Italie : Des bombes contre les migrants, nous risquons actuellement la guerre civile

De Turin à Tarante, en passant par les régions « rouges » (ndt les régions politiquement à gauche) et le Latium, de plus en plus de bombes explosent près des centres d’accueil et des hôtels qui logent les migrants
Par Francesco Curridori

Du nord au sud, en passant par les îles, la révolte contre le business de l’accueil des migrants envahit toute la botte. Les bombes ou les cocktails molotov, mais également des armes plus rudimentaires sont les moyens les plus utilisés par les citoyens pour stopper l’arrivée des migrants dans leurs villages.

La Sardaigne, l’île où la crise économique favorise la révolte
Le cas le plus récent et le plus marquant s’est passé jeudi de la semaine passée devant le centre de premier accueil de Dorgali, dans la province de Nuoro. Par chance les 64 occupants ne furent pas blessés même si l’explosion a fait un grand trou à l’extérieur du bâtiment. Ce n’est pas le premier cas en Sardaigne, en fait cette aversion envers les réfugiés a déjà connu deux précédents. Le 11 octobre passé, l’ex caserne de Monastir, dans la province de Cagliari, a subi un attentat incendiaire suite à la décision du préfet de mettre à disposition ce bâtiment pour en faire un centre d’accueil. La même chose s’est produite à Burcei, également dans la province de Cagliari, aux premiers jours de septembre, quand une maison privée qui devait accueillir 25 migrants a été dévastée. En novembre, à Buddusò, un village de 4.000 habitants, un complexe de tourisme rural qui devait héberger des réfugiés, a été pris pour cible et dévasté par une bombe artisanale.

Les Sardes ont dépassé le seuil de tolérance. Ils considèrent cet afflux de migrants comme une invasion en bonne et due forme, et ceci dans une région qui a un des plus haut taux de chômage d’Italie. Le seuil de tolérance est dépassé et a eu une répercussion telle sur le Partito Democratico (ndt, le PD est le parti gouvernemental), autant au niveau national que régional, que le 4 décembre dernier, la Sardaigne a enregistré le taux le plus élevé de Non au référendum constitutionel.

La majorité du président PD Francesco Pigliaru, toujours plus fragile s’est effondrée le 26 juillet à l’occasion d’un vote sur le tourisme, grâce à un amendement qui avait été proposé par Forza Italia. Cet amendement refusait que des fonds régionaux aillent aux hôtels qui, plutôt que recevoir les touristes, accueillent des migrants.

Devant une telle règle de bon sens, et grâce au vote secret, même des conseillers de la majorité ont pu voter conformément à leur sentiment d’apartenance sarde. Mais cela n’a pas suffit à calmer les esprits.

Le 30 juillet, à Sassari, une villa, qui devait devenir un centre d’accueil pour migrants, a été attaquée par quelques individus qui ont mis le feu aux matelas qu’on avait amené quelques jours plus tôt.

La colère des citoyens du Latium et du Nord de l’Italie

Et pourtant, la Sardaigne n’est pas un cas isolé. Le 25 juillet, à Rocca di Papa, aux porte de Rome, une bombe a été lancée contre le mur d’enceinte d’une structure d’accueil destinée à héberger 500 Nord-Africains. En mai 2015, toujours dans la province de Rome, des habitants de Marino, avaient fait irruption dans un immeuble qui, sur décision de la préfecture, avait été choisi pour loger 78 réfugiés.

D’autres faits similaires se produisent aussi dans le Nord. En Vénétie, il y a environ une semaine, des jeunes gens ont lancé trois feux de bengale contre le centre d’accueil extraordinaire “La Verdiana di San Vito di Legnago” dans la province de Vérone. Le 17 février de cette année, à Aselogna di Cerea, toujours près de Vérone, une bombe a explosé contre le portail d’une structure qui abrite une vingtaine de requérants d’asile. A la fin octobre 2016, à Prada di San Zeno di Montagnaun, un ancien hôtel a été touché par deux bombes artisanales. En décembre de la même année, au Frioul, une lettre de menace a été envoyée au syndic de Turriaco et une bombe incendiaire a été retrouvée dans les jardins de la rue du 5 Juin, à côté de l’ancienne caserne des carabiniers où devaient être accueillis 12 migrants.

Et, beaucoup plus récemment, des actes similaires se sont produits en Lombardie. Une attaque à coup de cocktails Molotov contre l’hôtel Eureka à Vobarno, (province de Brescia). Ces évènements ont eu lieu début juillet et ont provoqué un incendie qui a détruit le rez-de-chaussée de cet hôtel qui devait recevoir des requérants d’asile. La même méthode a été utilisée fin mars pour endommager une petite villa à Cumignano sul Naviglio (province de Cremona).

Même au Piémont il y a eu des conflits entre Italiens et migrants. En novembre 2016 des Turinois, exaspérés par une situation qui se dégrade de plus en plus, on lancé deux engins explosifs contre les bâtiment ex Moi, occupé depuis des années par des centaines de nord-africains lesquels sont tout de suite descendus dans la rue où il y a eu de très violents affrontements. En septembre, une enveloppe contenant un engin explosif a été envoyé à l’agence de Voyage 747 qui s’occupe d’organiser le rapatriements de migrants.

Dans les régions gouvernées par la gauche, la colère contre les migrants monte au son d’engins explosifs

La “rouge Emilie” elle aussi a prouvé qu’elle n’en peut plus de cette arivée continue de migrants. Le 19 juillet, à Forli, deux bouteilles incendiaires ont été lancées sur le Cas (centre d’accueil extraordinaire), géré par la Croix Rouge qui hébergeait un seul migrant. En février, au centre d’accueil de Spadarolo, à Rimini, on a lancé des bouteilles : une vitre a été cassée et les ordures ont été éparpillées ce qui a sali les murs du bâtiment et le jardin. En mai 2016, à Parme, le siège d’un centre d’accueil pour réfugiés où vivaient une vingtaine de personnes, avait aussi été pris pour cible.

Dans les Marches, la plupart des agressions ont eu lieu en 2016, l’année où, à Fermo, Emmanuel Chidi a été tué suite à une dispute. Avant cet épisode, déjà une certaine intolérance montait face à l’arrivée continuelle de migrants. Cela s’est vérifié dans les premiers jours de mai avec un incendie volontaire contre l’hôtel Mark à Frontignano, qui était fermé depuis 10 ans et devait accueillir des réfugiés.

A Montottone, un petit village de la province de Fermo, une bombe a explosé devant l’église Santa Maria à l’endroit où sont accueilli les réfugiés. L’auteur de ce geste avait déjà sévi en avril à San Marco alle Paludi di Fermo.

Au Sud de l’Italie

Si on descend dans le sud de l’Italie, la situation n’est pas différente. En Calabre, à San Fernadino, un incendie probablement volontaire s’est déclaré début juillet dans un village de tentes. Toujours à San Fernandino, entre le 10 décembre et le 3 janvier 2016, 6 nord africains ont été agressés aux alentours de la date anniversaire de la révolte de Rosarno.

Dans les Pouilles, le dernier épisode de violence a eu lieu début juin quand une bombe a explosé près d’un centre d’accueil extraordinaire à Ginosa (province de Tarente).

Source : ilgiornale.it
Traduction D. Borer pour les observateurs.ch




Askolovitch en larmes : Mennel Ibtissem, l’islamiste voilée de TF1, quitte The Voice !


Pour TF1, c’est la catastrophe ! Ils étaient convaincus d’avoir réussi le coup du siècle. Promouvoir une gentille chanteuse voilée, Mennel Ibtissem, qui allait nous faire du Léonard Cohen (Hallelujah) et émouvoir la France entière, avec son beau sourire, ses yeux bleus, sa voix pas trop moche et surtout son voile. Quel plus message pour la RATP (Religion d’Amour, de Tolérance et de Paix), et quel plus beau camouflet pour les islamophobes… sans oublier les parts de marché qu’une nouvelle population pouvait amener.

http://resistancerepublicaine.eu/2018/02/07/the-voice-felicitez-donc-baptiste-jung-pour-sa-recrue-islamiste-voilee-mennel-ibtissem/

Et puis tout s’est effondré. Pourtant, personne n’avait remarqué qu’elle avait transformé les paroles de Léonard Cohen en hymne à la religion musulmane. Mais cette jeune imbécile avait oublié d’effacer ses tweets, où, en bonne musulmane, elle contestait la réalité de l’attentat islamique de Nice. Et puis elle avait dit que les terroristes ne pouvaient pas être musulmans, mais que c’était le gouvernement français. Bref, elle avait tombé le masque, et avait montré, outre ses relations avec les sulfureux de Baraka City (ceux qui refusent de saluer les femmes sur les plateaux de télévision) et Tariq Ramadan, ce qu’elle était vraiment : un agent de l’islam, une militante musulmane, une vraie. Et d’un seul coup, dès que les tweets sont apparus (grâce à la réinfosphère), toute la belle histoire s’est effondrée !

Et elle vient de jeter l’éponge, annonçant, dans un message digne de cul-cul La Praline, niais au possible, avec un numéro de takkya qui ne trompera pas grand monde, que, pour l’unité d’un pays qu’elle aime, elle se retire de l’émission, et que bien sûr, elle aime tout le monde et qu’elle déteste les terroristes ! Ben voyons !

Il faut dire que son maintien devenait problématique. C’était la guerre partout ! Chez Hanouna, on était prêt à en venir aux mains, rien de moins, sur le plateau. Benjamin Castaldi paraissait déchaîné !

http://www.fdesouche.com/951815-benjamin-castaldi-menace-de-quitter-le-plateau-de-tpmp-apres-avoir-ete-accuse-par-agathe-auproux-de-relayer-la-fachosphere-video

La petite Agathe Auproux, qui avait accusé son confrère de relayer des fake news de la fachosphère (quelle horreur !), était sortie laminée des échanges, et avait quitté le plateau en larmes. Ah ! la petite Agathe !

http://www.fdesouche.com/951815-benjamin-castaldi-menace-de-quitter-le-plateau-de-tpmp-apres-avoir-ete-accuse-par-agathe-auproux-de-relayer-la-fachosphere-video

Cette jeune bourgeoise de province qui s’est encanaillée en pigeant chez les Inrokuptibles, avant de faire une école de journalisme, et de bosser pour Canal Plus, était pourtant en mission. Elle se devait de défendre la victime du racisme, Mennel, contre les méchants islamophobes qui lui reprochent juste de nier les réalité d’un attentat islamique à Nice ! Caricature de la petite bobo pas finie, pleurnicheuse et compassionnelle. Une vraie tête à claques qui fait profiter la France entière de ses histoires d’amour dont tout le monde se fout !

Il n’empêche que dans cette situation, les soutiens de la malheureuse Mennel se sont fait bien rares, mis à part la vaillante Agathe. Frère Tariq au gnouf, Edwy Plenel ne s’est toujours pas remis des infidélités de son complice. Les associations muzz sont aux abonnés absents, les associations dites antiracistes ont bien trop à faire avec la réinfosphère pour soutenir la bâchée de TF1 et poursuivre pour incitation à la haine ceux qui la critiquent, bref, la malheureuse, au coeur de la tempête, s’est retrouvée bien seule.

Ah ! Pardon, j’ai failli oublier : il en est resté un, un vrai fidèle à la cause, le dernier : Claude Askolovitch en personne. Lui, il n’a pas failli ! S’il ne reste qu’un seul islamo-collabo, il sera celui-là !




Si la bulle financière crève, c’est votre épargne qui va trinquer !


Vous en avez sans doute entendu parler, les places financières mondiales dérapent. C’est pas la faute à la neige, mais ça commence à glisser gravement !

Mais c’est la faute aux taux d’intérêt qui grimpent.
C’est la très grande faute aux arbres qui ne montent pas jusqu’au ciel.
C’est aussi la faute aux parités monétaires qui se contorsionnent.
Et c’est sans doute la faute à Nabilla qui a mis le bitcoin à plat.

https://ripostelaique.com/depuis-que-nabilla-a-pris-a-pleines-mains-bitcoin-cest-la-debandade.html

Bref, et sans rentrer dans les causes techniques de la crise qui se profile, on évoquera quand même ses propagateurs, les grands argentiers mondiaux qui n’ont cessé de faire tourner les planches à billets, le « quantitative easing » comme ils disent, à taux zéro ou négatifs, pour relancer officiellement les économies mondiales.

Mais la finance internationale a orienté comme d’habitude à son profit ces liquidités surabondantes spécialement vers les produits spéculatifs et dérivés toxiques plutôt que vers l’économie réelle. Qui ne rapporte pas de quoi satisfaire les aigrefins de la finance internationale.

Alimentant ainsi des bulles plus inquiétantes aujourd’hui que celles des subprimes dont l’éclatement avait entrainé le krach du système financier en 2008. Et son coût exorbitant pour nos finances publiques avec plus de 400 milliards d’endettement supplémentaire.

Et souvenez-vous de l’imposture de la déclaration du candidat Hollande au Bourget en janvier 2012 : « mon véritable adversaire, c’est le monde de la finance ». Qui, pour rassurer la City londonienne avait dans le même temps envoyé Macron, son futur directeur de cabinet présidentiel, tenir le discours inverse.

Pour Macron, un ex-banquier bercé par la puissante banque Rothschild, rien de plus normal que de prêter main forte à son mentor Hollande qui n’avait pas imaginé que la trahison de son obligé, pur produit de la finance mondialisée, lui coûteraient son renoncement à la présidentielle de 2017.

Ce qui explique que malgré la crise financière de 2008, aucune leçon n’a été tirée par les politiques contre la caste de la finance internationale. Sauf qu’en prévision de la prochaine crise, qui pourrait bien être imminente, cette oligarchie s’est organisée pour mettre directement sur le dos des épargnants le fardeau de ses dévoiements spéculatifs qui menacent ruine.

La caste financière s’est donc préparée à vous faire les poches, et envisage de faire main basse sur votre épargne par diverses mesures avec la complicité de ceux qui vous gouvernent.

La première mesure de spoliation est opérationnelle depuis le 1er janvier 2016 sous l’égide de cette funeste Union Européenne qui se fout des peuples tant elle est soumise aux lobbies de cette caste. Les banques sont donc autorisées en cas de problème grave à ponctionner les comptes de leurs clients dont les dépôts sont supérieurs à 100 000 euros, voire en dessous de ce seuil si les circonstances l’exigent, comme je l’avais expliqué dans cette chronique :
https://ripostelaique.com/2016-main-basse-sur-vos-depots-bancaires-merci-hollande.html

Ensuite et depuis le 9 décembre 2016, en cas de menace grave sur le système financier, la loi « Sapin 2 » prévoit que le haut conseil de stabilité financière peut suspendre au maximum pour une durée de six mois les retraits des contrats d’assurance-vie. On imagine assez bien que sous le pression des événements et des mêmes lobbies ces délais de suspension pourraient être prorogés sine die.

Enfin toujours en cas de crise financière la BCE, Banque centrale européenne, pourrait accorder aux banques le pouvoir de bloquer les comptes, de geler les dépôts, en n’autorisant que les dépenses minimales nécessaires à la vie courante.

En limitant par exemple les retraits aux distributeurs automatiques de billets à quelques dizaines d’euros par semaine. Ou comment se faire enfumer comme chez les Grecs qui connurent cette drastique contrainte à l’été 2015.

Ce projet figure dans un récent rapport officiel du président de la BCE, Mario Draghi, dont on se souvient qu’il avait été l’un des principaux dirigeants de la banque Goldman Sachs, de sinistre mémoire lors de la crise financière de 2008 à cause de ses produits dérivés toxiques qui ont lessivé des millions d’épargnants.

Car cette caste oligarchique qui joue au casino de la spéculation et se planque dans les paradis fiscaux, se prépare à faire main basse sur votre épargne pour se refaire de la crise financière qu’elle aura fabriquée.

La spoliation de votre épargne est plus que jamais en marche car Macron, le pion de la finance mondialisée, a déjà dit et démontré qu’il n’aime pas les épargnants.

Alors avant d’être complètement plumé, pensez à installer un poulailler sur votre balcon ou dans votre jardin.
Il ne vous restera plus qu’à vous défendre contre les voleurs ou les égorgeurs de poules qui courent les rues en toute impunité.

Alain Lussay




Suède : « Il est difficile pour les autorités d’être honnêtes. La violence endémique est un rappel constant de l’échec de leur politique d’immigration »

Les fusillades, les attaques à la grenade et la guerre des gangs ont fait de grandes zones urbaines des zones interdites, des « no-go zones ».

La violence armée est à la hausse, avec des fusillades quotidiennes et sans égard pour les habitants. Au cours des neuf dernières années, les meurtres impliquant des armes à feu ont presque doublé. Selon la police suédoise, les attaques à la grenade (qui étaient pratiquement inconnues jusqu’à il y a quelques années) sont sans équivalent dans les pays qui ne sont pas en guerre.

Pourtant, il est toujours difficile pour les autorités suédoises d’être honnêtes sur ce qui se passe. Il est de notoriété publique que les membres de gangs sont principalement des immigrés de première et deuxième génération, et les problèmes sont endémiques dans ce que la police appelle des «zones vulnérables». Ainsi, les guerres de gangs sont un rappel constant des politiques migratoires et d’intégration ratées de la Suède. C’est un problème pour le gouvernement (et même l’opposition) dans un pays qui se targue d’être une «superpuissance humanitaire». Et pourtant, les politiciens, au sein du gouvernement et de l’opposition, semblent particulièrement préoccupés par le fait que la violence dans les banlieues immigrées constitue une menace pour l’image de la Suède.

Les ambulanciers et les pompiers ne sont pas les seuls à devoir prendre des précautions avant d’entrer dans des «zones vulnérables». La banlieue de Tensta, à Stockholm, disposait d’un parking gratuit pendant des mois, après que la zone ait été jugée trop dangereuse pour les gardiens de parkin. Le service postal suédois n’a pas livré de colis depuis un certain temps dans un quartier du centre de Malmö où sévit le crime. Un certain nombre de bibliothèques publiques ont dû réduire leurs heures d’ouverture ou même fermer temporairement en réponse du harcèlement de bandes de jeunes.

Les hésitations du Premier ministre suédois montrent ce qui se passe lorsque vous n’arrivez pas à intégrer les immigrés et que vous tolérez la création d’une société distincte au sein d’une société : la police est incapable de protéger ou de rassembler ces nouvelles communautés pleines de gens qui ne parlent pas la même langue . Les représentants de l’Etat suédois – paramédicaux, travailleurs sociaux et même bibliothécaires – sont confrontés à des agressions constantes.

Cela a conduit la police suédoise à une crise d’identité. Ses officiers ont été la cible d’un certain nombre d’attaques, dont les dernières ont été perpétrées contre la police dans le sud de la Suède. Dan Eliasson, chef sortant de la police nationale, se plaint que les enquêtes sont difficiles parce que personne ne parle à la police. Le type de contrat social entre l’Etat et la société qui conduit les citoyens à aider les autorités ne fonctionne pas dans les parties de la Suède où la police est considérée comme l’ennemi.

The Spectator



Saint-Denis (93) : une cinquantaine de migrants occupe depuis six jours un bâtiment de l’université Paris VIII


Originaires d’Afrique, ils demandent des papiers et un logement. La présidence de l’université de Saint-Denis leur a proposé sans succès de changer de bâtiment.

Ils sont une cinquantaine de Soudanais, Erythréens, Ethiopiens et Guinéens à occuper depuis le 30 janvier un bâtiment de l’université Paris-VIII, à Saint-Denis. Installés jusque-là porte de la Chapelle, « des militants les ont orientés vers notre établissement», dit un communiqué de la présidence de l’université. « Paris-VIII, justement nommée “université-monde”, a depuis sa fondation une tradition d’hospitalité et de solidarité. Nous avons toujours accueilli des étudiant•e•s du monde entier quelle que soit leur situation administrative», souligne le texte. Lequel cite, à titre d’exemple, la création d’un diplôme destiné aux réfugié•e•s ou encore son programme « Pause » d’accueil de scientifiques persécuté•e•s dans leur pays.

Mais l’université déplore un manque d’avancée dans « les négociations » avec les migrants pour qu’ils s’installent dans « un lieu plus approprié, plus grand et sécurisé» que le bâtiment A, actuellement occupé, où se déroulent de nombreux cours. […]

« Ce que nous voulons, c’est une réponse à nos revendications (papiers, logement) et non un déplacement dans un autre bâtiment », explique ce texte, qui appelle aussi à mettre fin à la distinction entre migrants économiques et réfugiés politiques, et au règlement de Dublin, qui prévoit le renvoi des migrants vers le pays dans lequel ils se sont enregistrés à leur entrée dans l’Union européenne.

Le Monde




Nicolas Dupont-Aignan : « Un élu de la République qui s’exprime sur des statistiques migratoires et qui ne fait que dire la vérité est traduit en justice ! »


Interrogé plus tôt sur le projet de loi annoncé sur les « fake news« , M. Dupont-Aignan a répliqué : « Ce sont les juges qui vont décider qui dit la vérité ? » Il a alors indiqué qu’il était convoqué prochainement « pour incitation à la haine raciale » devant « le tribunal de Paris » – « j’ai eu un choc » -, […]




Les musulmans ont le droit de virer le squatteurs roms : qu’attendent les Français ?

Quel veinard ce Youcef dans sa malchance !… La solidarité communautaire a joué à plein pour lui. Tout le monde ne peut pas en dire autant. Combien aurait bien aimé un peu de solidarité, des mains tendues…

L’homme de 75 ans s’est aperçu que sa maison de Garges-les-Gonnesses était squattée. Il a commencé à se lamenter sur les réseaux sociaux. Un blogueur lyonnais, Bassem Baikri, a immédiatement réagi et invité les jeunes de la cité voisine à aller lui prêter main forte. Les jeunes sont arrivés et ont intimé aux Roms qui occupaient la maison l’ordre de « se casser ».

Les Roms sont partis mais ont appelé la police. La police est arrivée et a commencé à s’opposer aux jeunes car le fameux délai de 48 h était passé. En attestait un ticket de livraison de pizza !… Les notaires n’ont plus qu’à pleurer et s’essuyer les yeux avec leurs attestations et actes de propriétés. A partir de la fin de ce délai, les squatteurs ont tous les droits, paraît-il. Mais toute la cité est alors descendue et les Roms ont dû se retirer. L’interdiction de se faire justice soi-même a volé en éclat sous ce coup de boutoir communautariste.

https://francais.rt.com/france/47779-jeunes-cite-delogent-16-roms-squattaient-maison-rendre-proprietaire

Tout le monde ne peut pas bénéficier d’autant de chance que Youcef. La plupart du temps le squatté « ordinaire » n’a plus qu’à ronger son frein en suppliant les autorités d’intervenir. Non seulement personne ne l’aide mais les pouvoirs publics l’enfoncent. Le maire renvoie la balle au préfet qui s’en lave les mains et la police se tait. Pas la plus petite manifestation de soutien des habitants avoisinants, qui pourraient faire quelques efforts d’empathie…

Et pourtant, les propriétaires ont droit au logement eux aussi, non ? Surtout quand il s’agit du leur…

Et pourtant, comme l’a remarquablement démontré Tatiana Festerling dans un discours, si seulement on se réveillait tous et si on agissait tous ensemble, on soulèverait des montagnes.

Mais voilà : nous sommes devenus apathiques.

Quand on pense à Maryvonne Thamin, cette octogénaire nantaise partie vivre chez son ami malade et qui a mis dix huit mois pour récupérer sa maison entièrement ravagée, quand on pense à tous ces squattés anonymes qui ont galéré parfois plusieurs années pour récupérer ce qui restait de leur maison, et qui ont dû ensuite soit la vendre soit la réhabiliter à grands frais, après avoir bien sûr payé toutes les notes des squatteurs, et les procès des voisins, il y a de quoi se révolter contre la socialie qui a voulu cela.

La loi établissait qu’après 48 heures d’occupation illicite, le flagrant délit ne pouvait plus être invoqué, le squatteur était dans ses droits et que seule une action judiciaire pouvait le chasser. Mais de report d’audience en période hivernale où les expulsions sont interdites, le squatteur prenait racine.

La loi du 24 juin 2015, proposée par Nathalie Bouchard après l’affaire de Maryvonne, tente déjà d’apporter une réponse aux propriétaires en introduisant le délit de violation de domicile pour affaiblir ce délai des 48 heures. Si le propriétaire peut prouver que le squatteur était entré frauduleusement dans les lieux.

http://www.net-iris.fr/veille-juridique/actualite/34699/pour-lutter-contre-les-squats-une-loi-precise-infraction-de-violation-de-domicile.php

Une autre proposition de loi a été déposée, demandant entre autres que le délai soit porté à 48 h après que le propriétaire ait été prévenu que son logement était squatté et non plus 48 h après le début du squat :

http://www.dossierfamilial.com/immobilier/proprietaire/la-loi-favorisant-l-expulsion-des-squatteurs-est-publiee-82303

On attend que ces lois soient étudiées, votées et promulguées. D’ici là, combien de logements vont encore être squattés ? Combien de Maryvonne encore ? Va-t-il falloir trembler à chaque fois qu’on quitte son domicile ?

Surtout quand on découvre qu’à l’université de Nantes une assemblée générale d’étudiants (de gôoche faut-il le dire) prévoit la possibilité de donner des cours aux migrants pour leur apprendre comment squatter une maison. Cours de « repérage/ouverture squats ».

https://ripostelaique.com/luniversite-de-nantes-partagee-entre-zone-libre-et-zone-occupee-par-les-migrants.html

Combien de Français sont prêts à descendre dans la rue pour défendre les propriétaires chassés de leur logement, comme les jeunes de la cité ont défendu Youcef ? N’y-a-t-il plus que les musulmans qui aient le sens de la solidarité, de l’engagement gratuit et parfois risqué envers les autres ? Notre société est-elle si désintégrée ?

Et d’autre part, nous ne voulons pas non plus d’une justice clanique, tribale. Ce serait très dangereux et cela nous rapprocherait de la charia abhorrée en nous éloignant des lois de la République.

Il est temps de réagir et de nous sentir davantage solidaires envers nos propres compatriotes Français. Et d’agir sur le législateur.

Mais en attendant, bien que ce soit totalement illégal, plus d’un songera à l’éventualité de se procurer en catimini des « gros bras » dûment rétribués pour l’aider à rentrer chez lui en cas de squat. La justice étant défaillante, nous sommes de plus en plus souvent obligés de mettre en place d’autres mesures protectrices… Une nouvelle preuve qu’avec l’immigration incontrôlée, déjà la France n’est plus ce qu’elle était.

Sophie Durand sur Riposte Laïque




Affaire autour de jean-claude juncker

A la demande de M. Franck COUSTET, nous publions sur ce blog les informations suivantes.
Vous pouvez bien sûr réagir (confirmer ou infirmer cette information)

Liens VIDEO

(English subtitles)

Depuis 5 ans, un courageux français dénommé Franck COUSTET, se bat seul et de toutes ses forces contre les plus hautes autorités du Grand Duché du Luxembourg pour que d’une part la vérité sur l’assassinat (déguisé en suicide) d’un légataire luxembourgeois soit éclaircie et d’autre part connaître les circonstances précises de l’accident plus que suspect de la légatrice au moment de la relance de sa donation-légation, en Février 2011.

Un second étrange accident, de l’héritier cette fois, en date du 15 mars 2013 et aussi suspect que le premier, reste également un Mystère à éclaircir coûte que coûte !

Franck COUSTET attend également de connaître de la France et de la Belgique, les coupables (commanditaires et opérationnels) et directement impliqués dans les tentatives d’assassinat à son encontre.

Nonobstant, Franck COUSTET, exige depuis plusieurs années de connaître la raison des détournements de sommes élevées en 2009 et 2012 et leurs destinations inconnues à ce jour. Les transferts bancaires laissent généralement des traces pourtant !

Franck COUSTET exige également de connaître les coordonnées de la Banque, qui détient encore ces fonds de manière pas très légale, sachant que la fortune de la défunte s’élevait à plus de 120 Millions d’euros, montant conséquent caché volontairement aux ayants droits depuis plus de 10 ans.

Plusieurs membres de la famille Grand Ducale, Monsieur Jean-Claude JUNCKER  (Premier Ministre luxembourgeois à l’époque des faits) ainsi que Monsieur François BILTGEN (Ministre luxembourgeois de la justice à l’époque des faits) sont associés à cette affaire criminelle, dans laquelle il y a eu : l’assassinat d’un homme, des tentatives d’assassinat sur 3 autres personnes (dont Franck COUSTET), des faux en écritures et usage de faux ainsi que la spoliation de l’actif de cette famille luxembourgeoise estimé à plus de 120 Millions d’euros et orchestrée par 2 Notaires luxembourgeois successifs (Me Jacques DELVAUX en 2009 & Me Martine WEINANDY en 2012 ).

Il y a eu des complicités multiples et des interventions gravissimes au niveau bancaire, judiciaire et politique. C’est pourquoi, Franck COUSTET souhaite aujourd’hui, plus que jamais, tout connaître sur l’implication de certains fonctionnaires de la Justice luxembourgeoise et la raison de l’inertie flagrante de la Commission de Surveillance du Secteur Financier du G.D du Luxembourg (CSSF).

Franck COUSTET, s’est constitué partie civile au Parquet du Luxembourg avec la recevabilité de sa plainte. Il a tout tenté ces 2 dernières années dans le but d’obtenir la copie intégrale de son dossier, mais la réponse fut radicale et claire : son emprisonnement de plus de 40 jours en août 2016 pour des faits fabriqués assortis, depuis 2012, d’intimidations, d’agressions et de tentatives d’assassinat multiples tant en Belgique qu’en France. La Justice française ne semble pas suivie par le pouvoir politique…

Madame le Juge en charge de ce dossier aurait les mains liées puisqu’elle a demandé les réquisitions en vue de l’interpellation de Monsieur Jean-Claude JUNCKER mais le blocage se situe au niveau du Parquet du Luxembourg. Précision importante : le Procureur en charge du dossier n’est autre que le cousin de l’épouse du suspect, l’actuel Président de la Commission européenne… 
En conclusion, cette affaire risque de nuire à la réputation de l’Union européenne,  du Grand Duché du Luxembourg, de la France et de la Belgique.
C’est pourquoi, aujourd’hui , il est temps que des voix s’élèvent pour réclamer la vérité  pour qu’elle soit divulguée aux européens qui comptent énormément sur l’intégrité et la transparence des membres du parlement mais aussi des instances supérieures européennes concernées afin d’exiger, pour commencer, une commission d’enquête sur l’actuel Président de la Commission européenne ;
Un Comité de soutien à Franck COUSTET a, depuis 2017, été créé à Bruxelles afin de tout mettre en œuvre pour l’aider dans ses démarches revendicatives et ses plaintes dans cette affaire qui reste inacceptable tant pour une Justice indépendante que pour les Citoyens européens !

Franck COUSTET réclame donc, de toute urgence et en priorité, la copie intégrale de son dossier en tant que partie civile, auprès du Parquet du Luxembourg.
Monsieur JUNCKER & Consorts doivent impérativement être interpelés par la force de la Justice selon la Loi en vigueur qui nous montrera sa capacité à agir dans tous les pays cités.

Nul n’est au dessus des lois et personne ne peut s’en exonérer lorsque des faits graves et concordants sont mis en exergue par des citoyens européens lésés et menacés.

Franck COUSTET exige maintenant que tous ces escrocs criminels, (et il pèse ses mots), soient traduits devant la Justice afin de répondre de leur implication !

Comité de soutien à Franck COUSTET (Bruxelles)
csfc@protonmail.com / franckcoustet2017@gmail.com




Tariq Ramadan est mis en examen pour viol et emprisonné

«Tariq Ramadan vient d’être mis en examen et incarcéré pour viol. Placé en garde à vue depuis mercredi, il a été confronté à l’une de ses accusatrices. Son arrestation provoque un séisme dans la communauté musulmane de France.»
– France 24, 3 février 2018, 00h10

Le témoignage d’une des plaignantes a été jugé crédible en raison d’un détail intime de l’anatomie de l’islamologue qui nie pourtant avoir eu une relation sexuelle avec elle.

02/02/18
Le parquet de Paris a requis vendredi la mise en examen pour viols et le placement en détention provisoire du théologien musulman controversé Tariq Ramadan, a indiqué une source judiciaire.

L’islamologue suisse de 55 ans, visé par deux plaintes pour viol en France, était présenté vendredi après-midi à un juge d’instruction à Paris. Au terme de sa garde à vue entamée mercredi, le parquet de Paris a ouvert une information judiciaire pour viol et viol sur personne vulnérable.

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