La sociologie est-elle la science de ceux qui ne foutent pas les pieds dehors ? Ce serait un commencement d’explication à certains phénomènes de mépris social assez répugnants, qui commencent à se montrer avec de moins en moins de complexes parmi les « élites » urbaines et diplômées. Vous savez, ces jeunes CSP+ qui élisent des maires écolos dans les grandes villes, trouvent que les migrants ont toute leur place dans les campagnes mais n’en veulent pas chez eux, veulent du circuit court mais détestent les agriculteurs, aiment les pauvres mais pas quand ils sont français… Beaucoup d’entre eux (tous ?) votent à gauche : LFI, EELV ou même pour le Parti socialiste.
Le PS, en état de mort cérébrale, a pourtant fait 1,75 % aux élections présidentielles. La faute, disent les méchantes langues, au choix de la ligne Terra Nova, du nom du think tank situé à son aile gauche et qui avait théorisé le choix des minorités et des immigrés comme nouveaux damnés de la Terre, en négligeant l’historique lutte pour les ouvriers.
Cet embourgeoisement n’est pas sans conséquences : parti d’intellectuels depuis toujours, le PS s’est dernièrement (depuis 2007, disons) coupé de sa base électorale (et n’en a donc plus). Au même titre que les écolos qui ne savent pas reconnaître une vache, les socialistes ne savent donc plus reconnaître un électeur populaire. Les ouvriers et les employés de la France périphérique, vous savez, celle qui écoute Sardou, vote massivement RN. On se moque d’eux depuis quarante ans, depuis que les émissions urbaines et branchées font la pluie et le beau temps à la télévision. Ce sont des « beaufs », des « ploucs ». Ils ont honte d’être ce qu’ils sont, français, vulgaires, pas à la mode, alors qu’on leur montre en exemple des trafiquants de drogue extra-européens et des influenceuses prostituées à Dubaï.
Avec une louable mansuétude, afin de se pencher sur les marginaux, le PS, sur son « campus d’été » (là non plus, comme chez EELV, on ne parle pas d’université, bien sûr, « la république n’a pas besoin de savants », disait-on sous la Terreur), a prévu une table ronde au titre symbolique : « La France périurbaine est-elle la France des beaufs ? »
On est quasiment tous le beauf de quelqu’un
Mépris de classe difficile à supporter, mais surtout flou conceptuel. C’est quoi, au juste, un beauf ? Le beauf de Cabu, c’était un nouveau riche en catogan. Les beaufs de la télé, ce sont les Français quinquagénaires qui n’aiment pas les immigrés. Les gens de droite trouvent que les cheffaillons de mairie et les retraités anticléricaux sont de gros beaufs. Les gens de gauche trouvent que les porte-drapeaux du 11 novembre et les piliers de bistrot sont d’immondes ploucs. On est quasiment tous le beauf de quelqu’un.
Deux questions viennent à l’esprit du lecteur : d’abord, cette table ronde sera-t-elle un cours d’entomologie (« Comment reconnaître ces vilains cafards incultes ? ») ou un salutaire rappel à la réalité (« sans 2000 ans de beaufs, pas de petits cons qui mangent des graines ») ? On a une vague et triste idée de la tournure que va prendre ce petit groupe de parole. Mais surtout, la réponse sera-t-elle objectivement « oui » ? Pas sûr. Pas sûr du tout.
La France des blessés
La France périurbaine, c’est celle des églises oubliées, des pavillons sur lesquels la cité en béton mord chaque année du terrain ; c’est celle dont on ne peut pas partir, faute d’argent ; c’est celle qui subit les conséquences de toutes les politiques publiques de gauche. Ce n’est pas la France des beaufs : c’est la France des blessés. Les beaufs, ce sont ceux qui, dans leurs certitudes, continuent de se croire malins parce qu’ils ont fait quelques études de sciences molles et détiennent deux ou trois peaux d’âne universitaires. Les beaufs, ce sont ceux qui font des blagues grasses sur la France éternelle, sur la grandeur et le sacré. Ce sont les derniers hommes dont parlait Nietzsche, ceux qui pensent avoir inventé le bonheur et qui clignent de l’œil, unis dans le culte de la dérision, ce dernier dieu qui salit tout. Et des beaufs comme ça, on en trouve davantage dans les centres urbains que dans les pavillons déshérités.
Le RN ou Reconquête n’organiseront pas de tables rondes sur le thème « La France hors-sol des grandes métropoles est-elle celle des cons ? » Leurs électeurs, quoique « beaufs », sont assez intelligents pour trouver la réponse tout seuls.
++ WEBTUBE : Malheureusement en Europe, il va falloir s’habituer à ce type de fait divers. En fait ça devient presque banal de relayer ce type d’information.
La bonne nouvelle avec l’immigration massive, c’est qu’il n’y a plus d’autochtones pour subir les conséquences de l’immigration massive.
Un jeune homme de nationalité polonaise est venu à Munich en tant qu’invité, il y fréquentait une école de langues. Ce week-end, il a été victime d’un viol à la station de métro Max-Weber-Platz.
Munich – Un acte répugnant sur un quai de métro à Munich ! Un jeunehomme de 18 ans a été violé pendant des heures. La police a arrêté l’agresseur âgé de 20 ans le lendemain.
Ce samedi-là (19 août vers 1 heure), le jeune homme de 18 ans, fortement alcoolisé, se trouvait seul sur le quai de la station de métro Max-Weber-Platz en rentrant d’une fête. C’est là qu’il a rencontré le futur agresseur, qui a profité du fait que la victime était trop ivre pour se défendre. Pendant plusieurs heures, l’agresseur s’est livré à des « actes sexuels sur lui », selon la police.
Le futur de l’Allemagne sans Allemands s’annonce enfin débarrassé du racisme !
Ce n’est qu’au petit matin que l’agresseur a lâché le jeune homme de 18 ans et lui a encore volé son téléphone portable. L’inconnu s’est enfui – son acte répugnant a été enregistré par des caméras de surveillance.
Le jeune homme de 18 ans est ensuite rentré chez lui par ses propres moyens. Ce n’est que le lendemain qu’il a informé la police et déposé plainte. Grâce à la localisation de son téléphone portable, les policiers ont pu déterminer l’endroit où se trouvait l’auteur des faits et l’ont arrêté.
Le suspect, un Afghan de 20 ans résidant à Munich, est désormais en détention provisoire.
La suite de l’enquête est menée par le commissariat 15 (délits sexuels) de la préfecture de police de Munich. Les agents devront également déterminer pourquoi le viol n’a pas été découvert pendant plusieurs heures.
Les Polonais ont intérêt à faire attention, car beaucoup d’autres afghans arrivent.
La Riviera définitivement défigurée par la diversité bling bling d’IDF
Hier une bagarre a éclaté à Cannes au Palme ( boîte de nuit) Ahmed Thai, Ad Laurent et leur copains ce sont embrouillé avec l’équipe de Yomi Denzel. Beaucoup de filles blessées l’établissement a fermé suite à ça ! pic.twitter.com/lpBE0wMz1X
C’est toute la France qui devient progressivement une vaste zone de basanés au QI de 82 et c’est encore plus vrai des endroits jadis réservés à l’ancienne haute société.
L’été, la transhumance a lieu et la diversité déboule en force dans les lieux réputés d’antan.
Trop de blancs, trop de villages, trop de terrasses de cafés paisibles… Le clip de présentation des joueurs sélectionnés pour figurer dans l’équipe de France de rugby a fort déplu à ce qu’il est convenu d’appeler “des internautes”. Non, décidément, la nébuleuse “internaute” n’a pas apprécié ce défilé de supporters blancs annonçant le nom de chaque joueur dans le cadre bucolique de diverses bourgades françaises. Toutes ces places fleuries, ces fontaines, ces joueurs de pétanque, ces jeunes sans kalachnikov… Pouah ! Clip pétainiste ! Peu de mixité ! Une France bien blanche, raciste, RN… Les sentences s’abattent sur ces images pleines de charme. L’un des membres du jury “internaute” résume l’affaire simplement : «….sa pue le fn ». Le militant renifleur spécialisé dans les avalanches d’extrême droite a détecté ce qui se cache sous ces décombres du “Vivre ensemble”. Inracontable.
Les amateurs de rugby jugeront de la propagande insidieuse de ce clip stigmatisant : le 3ème ligne Sékou Makalou est présenté par deux jeunes filles d’un blanc immaculé (Pétainistes assidues). Un homme en short et une dame blonde annoncent le “première ligne” Sipili Falatéa, puis viennent le tour de Uini Atonio, Romain Taofifénua, Cameron Woki, Yoram Moefana, Peato Mauvaka dont les photos s’affichent avec à leurs côtés, les insupportables personnages pâlots, sans aucun signe de diversité.
Comble de pétainisme, des joueurs comme Julien Marchand, Antoine Dupont et Thibaud Flament sont parvenus à s’immiscer dans l’équipe ! Par quel subterfuge sont-ils arrivés à déjouer la vigilance des internautes renifleurs ? Le mystère reste entier. L’un des fins limiers de la planète X (ex-Twitter) a repéré un plan furtif d’une possible charcutaille dans l’assiette d’un client de restaurant devant lequel se déroule l’annonce du premier sélectionné. Le détecteur d’ultra droite a réalisé une capture d’écran pour preuve de ce racisme rampant. Il y a des tranches de saucisson qui ne trompent pas. Des analyses sont en cours.
Parmi les nombreux commentaires élogieux, la congrégation des rabougris se désole. Il s’agit d’une France fantasmée par l’extrême-droite. Villages en carton, décors factices installés par Marine le Pen et Eric Zemmour. Les gardiens de la mixité ne sont pas dupes. Les cités où il fait bon vivre ont été dissimulées sous des bâches peintes et des fausses pierres. Pas un mot sur les zones commerciales et les Mc Do ! Rien pour les petites épiceries des halls d’immeuble ! Diantre et diable ! Mais tout fout le camp ! Indigné, le réputé internaute se drape dans sa toge d’humaniste et retourne allumer son téléviseur. Son essai de faire passer la Fédération française de rugby pour des racistes ne fait l’objet d’aucune retransmission. Il est vrai qu’il n’a pas réussi à le transformer.
Quelques tâches éparses de rouge noyées dans un océan de blanc, telle a longtemps été la physionomie du vignoble nantais, voué quasi exclusivement au muscadet et à quelques cépages accessoires majoritairement blancs (folle blanche, chardonnay).
Pour autant un mouvement de diversification entamé depuis 20 ans, tend de plus en plus à teinter le règne sans partage des vins blancs, d’un rouge aux multiples nuances.
Longtemps mise sous le boisseau, la plantation des cépages à peau noire s’est maintenue en marge du muscadet, principalement représentée par le merlot et le cabernet sauvignon dans leur version la plus rudimentaire…
Face à l’omnipotence d’une culture de la vinification tournée vers le blanc, certains vins rouges ont pu ainsi entretenir un caractère confidentiel, voire folklorique au travers de d’un petit nombre de cépages autochtones qui ont fait souche au fil de l’histoire.
Et puis il y a eu le jeu des mutations génétiques qui a fait naître par le hasard de la pollinisation de nouvelles variantes de cépages qui perdurent encore aujourd’hui, grâce au le travail des pépiniéristes et de vignerons désireux de perpétuer ces nouveaux plants.
Peut-on y voir une amorce de tournant pour le vignoble nantais ? C’est peut-être aller vite en besogne, mais toujours est-il que des vins rouges de solide stature émergent d’années en années.
Au premier chef le fameux pinot noir (Statera) de Jérôme Bretaudeau qui perfore les prix habituels à près de 50 euros la bouteille, vendu avec parcimonie aux professionnels par allocation.
Quant aux rouges d’inspiration « nature » de Fred Niger du domaine de L’Ecu, parfois déroutants et à l’évolution hasardeuse, ils revendiquent aussi des tarifs allègrement supérieurs aux standards de la région.
Aux côtés de cette production élitaire émergeante, prospère une poignée de cépages rouges quasi endémiques, à l’origine de propositions inédites.
Berligou, abouriou, egiodola… les réussites sont diverses selon les cépages et le soin apporté par les vignerons, ayant en charge de défendre cette facette méconnue du patrimoine ampélographique nantais.
Cet article découle de dégustations personnelles et s’appuie sur l’excellent compte-rendu de Jocelyn Gombault de Vertivin lors d’une séance de dégustation dédiée aux cépages rouges du pays nantais.
Le berligou, le plus insolite et le plus prometteur d’entre tous
Ce plant descendant du pinot noir doit sa notoriété récente au travail d’un groupe de 4 vignerons investis dans sa résurrection. Dès le Moyen Âge, il est fait mention de ce clone local du pinot noir qui tire son nom d’une parcelle de vigne située sur la commune de Couëron. Comme toujours avec le vin, il traîne avec lui sa part de légende, en grande partie apocryphe. La grande histoire raconte que son implantation en Bretagne résulte d’un cadeau du duc de Bourgogne à François II duc de Bretagne.
La réalité est sans doute plus prosaïque et son arrivée en terre nantaise dérive en toute vraisemblance du jeu du commerce… De fait, réduit à quelques ares pendant la crise du phylloxera, le cépage a bien failli disparaître.
C’est sans compter sur l’abnégation de quelques vignerons qui vont s’employer à vouloir le faire subsister au milieu des vins blancs.
Comme le souligne justement Jocelyn Gombault de l’association Vertivin, les plantations sont récentes et par conséquent, il faudra attendre une bonne décennie pour prendre la mesure du potentiel de ce cépage.
Reste que dans le berligou de certains vignerons, les marqueurs du pinot noir dont la filiation est avérée, sont bien apparents. En particulier chez celui de Jean Luc Viaud, ce vigneron discret arrive à sortir sur le délicat millésime 2021 un berligou centré sur un bel équilibre et paré d’un fruit noir juteux et fin. Le petit élevage lui confère une légère préciosité sans attenter à l’authenticité, avec un joli retour sur un tanin au grain léger en fin de bouche. Le millésime 2022 est à l’avenant et augure d’une belle continuité pour les années à venir, compte tenu du fait que le vin semble affirmer sa surprenante finesse et une franche personnalité de millésime en millésime, prometteur !
En revanche celui du domaine Poiron Dabin se perd dans les effluves vanillés du bois. Très bon communicants, les frères Dabin ont eu tendance à s’ériger en seuls représentants bruyants du cépage disparu, mais dans le vin comme ailleurs, ce n’est pas ceux qui en parlent le plus qui obtiennent forcément les meilleurs résultats …
L’abouriou : résolument rustique, mais son profil pourrait changer à la faveur du réchauffement climatique
L’abouriou compte aussi parmi les vieux cépages témoins d’une tentative de diversification du vignoble nantais vers les vins rouges. Ce descendant de la magdeleine noire qui signe l’identité gustative des Côtes du Marmandais a été planté de façon résiduelle et expérimentale dans les années 80.
Le moins que l’on puisse dire, est que jusqu’à présent, les résultats ne se sont pas révélés concluants, car ce « gros producteur » au jus fortement coloré grâce à sa forte teneur en anthocyanes peut pâtir d’une franche rugosité lorsque les maturités (physiologique et phénolique) ne sont pas abouties.
Or sous le climat des fins d’été pluvieuses des années 90, l’abouriou a souvent été pénalisé par une verdeur désagréable que venait renchérir un tanin saillant et rêche… Quelques vignerons s’obstinent encore à vouloir en tirer le meilleur parti avec plus ou moins de réussite.
Beaucoup se révèlent assez râpeux, d’autres sont affectés par des réductions assez désagréables (même si la disgrâce est passagère et peut se dissiper sous l’effet du carafage).
Encore une fois, notre satisfecit va à l’abouriou de Jean Luc Viaud au tanin remarquablement adouci par un petit passage sous bois (élevage en barrique) salutaire, la profondeur de fruit est notable, le vin arbore une franche noirceur et ses arômes de fruits noirs dérivent sur le végétal noble en finale.
Celui de Christian Gautier sur le millésime 2015 recueille aussi les suffrages lors de la dégustation de Vertivin (non dégusté).
Malgré quelques progrès, il semble que l’avenir de l’abouriou en terres nantaise demeure anecdotique et incertain car contrairement au berligou, son acclimatation paraît moins évidente. Peut-être que le changement climatique à l’œuvre ces dernières années, changera le profil de ce vin encore foncièrement rustique dans l’âme.
L’egiodola , des résultats probants en rosé
Il est issu du croisement entre un cépage très répandu sur l’île de madère : le tinta negra mole avec l’abouriou. Si les vinifications en rouge donnent des vins assez communs, souvent pénalisés par une faiblesse structurelle assez récurrente, sans doute aussi en raison d’un manque d’ambition des vignerons, a contrario, le cépage révèle de vraies qualités gustatives sur les rosés.
Pas franchement aligné sur la mode des rosés pâles et transparents voire délavés, l’egiodola apporte des teintes assez marquées sur des saignées courtes en durée par sa richesse en matière colorantes (antiocyanes). Surtout, son potentiel aromatique lègue aux rosés un caractère fortement expressif sur le registre de la fraise, ainsi celui du domaine Drouard au prix ridiculement bas (vers les 5 euros) affiche une personnalité aguicheuse par l’entremise de ses francs arômes de fraises des bois.
D’autres cépages rouges s’intercalent subrepticement entre les vignes de muscadet à l’instar du côt du domaine de la Pépière, qui s’est érigé en une cuvée phare pour toute la restauration nantaise.
Si le processus de réhabilitation est encore en gestation et se cantonne encore aux marges de la production de vins en pays nantais, il contribue toutefois à instaurer lentement une culture du vin rouge en terre de muscadet.
Outre une progression notable de leur qualité, les cépages rouges du pays nantais ont aussi le mérite de tempérer leur niveau d’alcool associé à des maturités phénoliques* de plus en plus satisfaisantes, un atout de taille pour un marché de plus en plus réfractaire aux vins trop alcoolisés.
Raphno
Maturité phénolique : Une maturité cruciale pour la qualité d’un vin rouge bien plus déterminante la sacro-saint critère de la richesse en sucre gage d’un titre alcoométrique élevé. Elle traduit avant tout la maturité des composantes phénolique du raisin : anthocyanes (pigment), tanins [cc] Breizh-info.com
Alors que les services de la Mairie de Paris sondent la Seine pour savoir si elle sera enfin baignable l’été prochain et que s’approche la grande fête du rugby (le 8 septembre), voilà trois semaines qu’un nouveau camp de migrants s’est installé place de l’Hôtel de ville. Exactement entre la rue de Rivoli et l’avenue Victoria.
Ils sont une cinquantaine, à la sortie du métro, couchés sur des cartons au milieu de leurs détritus. Le temps est clément, la chaleur étouffante. Alors, l’association qui les cornaque n’a pas jugé utile, cette fois, de les mettre sous tente. Le Parisien s’écarte, passe au large… il s’est habitué à l’inhumanité engendrée par la lâcheté de ceux qui nous gouvernent.
Le Figaro est allé voir ce campement qui ne semble perturber que les riverains et les touristes. Il y a là essentiellement des femmes et des enfants arrivés d’Afrique par la Méditerranée. Ainsi Mme Koulibaly, débarquée de Côte d’Ivoire, comme sa voisine de carton Mme Kone. « On n’a pas de logement, dit la première au Figaro. Quand on appelle le 115, ils disent qu’il n’y a pas de place. Alors on reste là, ou parfois on va à la gare du Nord. Quand il pleut on va en bas, dans le métro, sinon on reste là ». La seconde, arrivée voilà quinze jours via la Tunisie, est plus directe : « On n’était pas au courant que c’était compliqué (sic). On a vu la réalité. On est venu en France parce que ça va pas en Afrique. Si ça allait, pourquoi on aurait traversé la mer et risqué notre vie comme ça ? Je ne regrette pas d’être venue. Mais on veut un logement ».
Bien sûr. Et les allocations qui vont avec, et la sécu, et les soins pour la famille, et l’école pour les enfants, les transports gratuits et la retraite au soleil… C’est l’association Utopia56 qui les a installés là, une « association humanitaire, de mobilisation citoyenne et de défense des droits des personnes en situation d’exil et de migration ». Depuis le temps qu’elle installe les camps de migrants, on les voit se rapprocher du périphérique nord vers le cœur de la capitale.
On ne recense même plus les évacuations, aussi nombreuses qu’inopérantes. Qu’on en juge par ce petit retour en arrière :
17 décembre 2018 : 200 migrants tentent d’entrer à la Comédie française, place Colette. 31 janvier 2019 : 300 migrants sont évacués d’un camp Porte de la Chapelle. 28 août 2019 : 157 migrants sont évacués du parc de la Villette. 28 novembre 2019 : plus de 500 migrants sont évacués d’un camp dans le nord-est de la capitale. 28 janvier 2020 : plus de 1.400 personnes sont évacuées d’un camp Porte d’Aubervilliers. 24 novembre 2020 : plusieurs centaines de migrants sont installées sous tente place de la République. 24 juin 2021 : plus de 250 tentes sont installées sur le parvis de l’Hôtel de ville. 28 septembre 2022 : évacuation d’un campement occupé par 354 migrants près du canal de l’Ourcq. C’est « le quinzième démantèlement de l’année » dit la Préfecture de police.Un mois plus tard, en octobre 2022, le collectif « La Chapelle Debout » organise l’invasion de l’Hôtel de ville de Paris.
17 novembre 2022, on recommence : 956 personnes sont évacuées d’un camp installé entre les stations de métro La Chapelle et Barbès à Paris.
16 décembre 2022 : plus de 700 réfugiés de nouveau évacués d’un campement de La Chapelle à Paris.
Dans la nuit du 20 au 21 juin 2023, la police évacue les “mineurs isolés“ installés dans un camp de fortune devant le Conseil d’État.
On le voit, les camps s’approchent toujours un peu plus du cœur du pouvoir et de ses institutions. Jusqu’où ?
Le GIEC n’est pas crédible tant les facteurs sont nombreux au milieu de quelques certitudes astronomiques qui ne plaident pas pour le réchauffement climatique dans la durée. Plusieurs objections majeures existent. Les cycles astronomiques, les cycles solaires, les conditions de changement et plus encore l’ordre des facteurs entre CO2 et température.
Ces objections ne peuvent plus être balayées d’un revers de main par des politiques qui se sont embarqués, en Occident, dans un projet de transition totalement fou sur le plan économique et extrêmement risqué sur le plan industriel. Il est temps d’ouvrir le débat et de respecter les libertés les plus fondamentales, celle de la recherche, celle de la controverse scientifique, celle de la liberté d’expression. Il est temps que nos politiques prennent la mesure de l’ostracisme et de l’aveuglement scientifique qui est le leur et dont les conséquences économiques et sociales vont s’avérer désastreuses : ils en seraient les seuls et uniques responsables et coupables. Dans quelques décennies, les historiens ne manqueront pas de railler les peurs de l’an 2000 comme celles de l’an mil, les premiers cherchant la crainte de Dieu pour le salut des âmes, les seconds cherchant, semble-t-il, la soumission des populations pour le profit des puissants. Les temps changent, mais les stratégies demeurent, avec, au milieu, le sacrifice de l’intelligence humaine pour que la peur règne parmi les soumis.
Les cycles de Milankovitch peuvent-ils être invalidés ?
L’astronomie est une science rigoureuse qui modélise des trajectoires. Les cycles de Milankovitch évoquent particulièrement deux causes majeures des évolutions climatiques : l’excentricité de l’orbite terrestre qui fait varier très significativement la distance de la Terre au Soleil et l’obliquité qui fait varier l’axe de rotation. En l’état des connaissances actuelles, ces cycles astronomiques ne sont pas contestés. Les travaux de Nick Shackleton, géologue, climatologue et spécialiste du quaternaire des années soixante-dix confirment que les cycles de l’excentricité correspondent à ceux des périodes glaciaires et interglaciaires. Ces variations astronomiques étant connues, ayant une probabilité d’être invalidées très faible, sauf événement astronomique inédit du style télescopage avec un astéroïde de grande taille, la prochaine période glaciaire est donc prédictible à un horizon de quelques dizaines de milliers d’années. Est-ce un fait scientifique partagé ?
Malgré cette relative certitude sur l’époque géologique récente du quaternaire, les scientifiques s’expliquent mal le fait de son invalidité sur des époques plus anciennes. En effet, la relation entre ces cycles astronomiques réputés constants et le climat n’est plus établie. Aux époques tertiaires et secondaires, il semblerait que les périodes glaciaires n’existaient pas, en l’état de nos connaissances. Cette situation n’est pas à ce jour expliquée. C’est pour dire que les prétendues causalités certaines de la détermination du climat sont d’une très grande complexité, puisqu’il a fallu d’autres phénomènes puissants pour contrecarrer les cycles astronomiques, sauf à ce qu’ils aient eux-mêmes évolué au fil du temps. Les inconnues sont nombreuses dans un passé lointain.
Toutefois, en admettant que les cycles sont valides depuis le quaternaire (2,6 millions d’années) et qu’aucun événement majeur ne les a contrariés, la prédiction est la suivante : la glaciation débuterait dans quelques milliers d’années pour s’installer à un horizon d’environ 5 000 ans. À l’horizon de 15 000 ans, nous serions bien dans la glaciation pour une période de quelques dizaines de milliers d’années.
À ce jour, personne ne peut invalider cette hypothèse. Les contradicteurs facétieux voudront bien, au lieu de calomnier les auteurs, nous exposer des arguments scientifiques contre l’existence et la qualité de la prédiction du cycle de Milankovitch.
Le minimum de Maunder est-il envisageable vers 2030 ?
Il s’agit de la mesure de l’activité solaire qui est le surdéterminant de la chaleur à la surface du globe terrestre. Il suffit de constater la baisse de température en quelques minutes lors d’une éclipse pour admettre que le Soleil est le surdéterminant, il suffit de constater la différence de température entre la nuit et le jour ou selon les expositions saisonnières à des latitudes différentes. Les études et prédictions, elles aussi très complexes, tiennent au fait que l’on observe régulièrement des périodes de refroidissement liés à une baisse de l’intensité de l’activité solaire. Ces différents minima (Dalton, Spörer) sont établis. La compréhension de ces phénomènes reste partielle. On étudie la variation du rayonnement, les flux des rayons cosmiques et les vents solaires. Des travaux récents de la Royal Astronomical Society, dont la légitimité scientifique n’est pas moindre que celle des experts du GIEC, indiquent que l’activité solaire pourrait chuter sur la période 2030-2040. La conséquence en serait une baisse significative des températures comparable à celle connue de 1645 à 1715, dite minimum de Maunder.
Pourquoi ne pas accorder de valeur à une prédiction fondée sur cette modélisation des cycles solaires qui s’appuie sur l’analyse de la circulation des champs magnétiques et les effets dynamo du Soleil ? Ces travaux prolongent des conclusions de la NASA datant des années 2010 qui alertaient déjà sur ce phénomène, en l’estimant probable dans les décennies à venir. En effet, depuis 2011, le nombre de taches solaires diminue. Certains émettent des réserves sur cette prédiction avec prudence, puisque les nouveaux calculs ne seront validés que si les événements se produisent comme prévu. Mais pourquoi une réserve sur la prédiction des cycles solaires serait plus légitime qu’une réserve sur des prévisions infiniment moins robustes et composites, celles du GIEC ? Cherchez l’erreur.
À ce jour, en matière de cycles solaires, ces prédictions sont les plus savantes existantes. Comment ne pas les prendre au sérieux et les intégrer sérieusement dans les recherches ? Rappelons au lecteur que pendant la période du minimum de Maunder (1645-1715), la rudesse des hivers avait entraîné la gelée des principaux fleuves d’Europe (Tamise, Seine par exemple) et les minima hivernaux flirtaient avec les -25° C sur le continent européen, éternisé par les peintres flamands.
Le changement de cycle est-il imprévisible ?
L’University College London (UCL) a produit récemment des travaux qui évoquent l’éminence d’un changement de cycle. Par similitude avec une époque dénommée savamment Marine Isotope Stage 19c – MIS19c, les équipes de Chronis Tzedakis, professeur de géographie physique de l’UCL, montrent que tout est comparable à cette période d’il y a 780 000 ans. Ils en tirent un parallélisme et en induisent une prédiction de basculement prochain vers un refroidissement. Leur conclusion, le début de la nouvelle époque glaciaire pourrait commencer plus tôt, à l’horizon de 1 500 ans.
Je peux multiplier les exemples de recherches récentes, de travaux établis, de théories non invalidées qui remettent en cause assez radicalement la doxa du climat. En effet, pour contrer l’ensemble de ces phénomènes qui prédisent tous une prochaine glaciation, les tenants du réchauffement climatique n’ont en fait plus qu’un seul, unique et dernier argument : celui de la hausse du taux de CO2, de 280 à 410 ppm actuellement. Il faut donc que cette élévation soit telle que le réchauffement qu’on prétend lui lier annule tous les phénomènes contraires et que cette variation introduise un basculement ! Mais personne ne parle de la quantité de CO2 en valeur absolue dans l’atmosphère pour mesurer l’infime part de la production humaine.
Une autre hypothèse sur le CO2 existe
Elle se décompose en plusieurs éléments qui conduisent à contester vertement l’hypothèse du GIEC. Sur le siècle écoulé, il n’existe pas de relation continue d’élévation du taux de CO2 et de la température. La courbe de CO2 et celle des températures, sans oublier le crédit limité de ces moyennes planétaires, attestent d’un décalage permanent entre la température et le taux, l’élévation de la température précédant systématiquement celle du taux de CO2. Cela illustre la loi de Henry selon laquelle la température plus élevée provoque un dégazement des océans. Cette réalité inverse l’ordre des facteurs, le taux de CO2 n’étant pas la cause d’un réchauffement, mais sa conséquence puisqu’il advient après, et que, jusqu’à preuve du contraire, une cause précède chronologiquement ses effets. L’ordre d’apparition est donc essentiel. À notre connaissance, la loi de Henry n’est pas remise en cause. Sur des périodes plus longues qui ont été étudiées : les derniers 500 000 ans par exemple, la même conclusion ressort. Les courbes se suivent dans l’ordre inverse d’une relation de causalité du CO2 auteur des élévations de température. Ce déphasage est confirmé dans de nombreux travaux et publié dans des revues scientifiques comme Nature ou Science. Pourquoi le GIEC n’y accorde-t-il aucune importance visiblement, puisque cette conclusion suffirait à invalider l’hypothèse du rôle causal de l’élévation du taux de CO2 ?
Pire encore, ces évolutions alternent des phases de croissance et de décroissance. Or, à chaque fois, des études montrent que la température se met à baisser en premier, puis le taux de CO2 l’accompagne ensuite. Ces recherches mettent en évidence que le lien de causalité entre le CO2 et les températures est alors impossible ; sauf à considérer que toutes ces mesures et leurs analyses sont fausses. Faudrait-il le démontrer et s’accorder sur les mesures, leur exactitude, car aucune science commune n’est possible si nous ne partageons pas une base de données reconnues par tous. D’autres travaux montrent en revanche de fortes relations entre l’évolution des températures océaniques par latitude et le reflet du rayonnement solaire. Ces travaux concluent à l’effet majeur du rayonnement solaire sur les océans.
Devenons-nous la nouvelle Union Soviétique des savants soumis à la doxa politique ?
Tout cela mérite un débat scientifique, en rien politique, et certainement pas un projet de loi de censure de la contestation de la thèse officielle comme cela se trame actuellement en France. Serions-nous de nouveau dans une espèce d’Union Soviétique où le parti décide de ce que la science et les scientifiques doivent dire ? La période sanitaire nous a donné de sales habitudes en la matière. L’idée même que des législateurs puissent imaginer de telles lois en dit très long sur le degré de décomposition de l’esprit critique et de l’intelligence scientifique en France en particulier. Or, tout est fait pour que l’inquisition de la doxa triomphe. C’est la faillite intellectuelle de l’Occident. Celui-ci bascule sur ce sujet, comme sur d’autres dans une dictature fabriquant son idéologie scientifique, avec ses excommunications et ses interdictions d’expressions scandaleuses.
En effet, lorsque John Clauser, prix Nobel de physique 2022, doit prononcer une conférence devant le public du FMI sur la corruption des idéaux scientifiques et la controverse sur le climat dont le titre était : Quelle confiance peut-on accorder aux prédictions climatiques du GIEC ?, son intervention est étrangement annulée. Nous sommes en juillet 2023, pas à l’époque de l’Inquisition. Or, une personnalité comme J. Clauser, c’est le prix Wolf 2010 de physique, le Nobel et un des grands physiciens de sa génération. Ces arguments très épistémologiques ne sont pas secondaires. Il conteste la modélisation de phénomènes chaotiques et non linéaires. Il critique l’arrogance des conclusions qui ne sont que des scénarios parmi d’autres, avec des degrés d’inexactitudes immenses. Il interpelle sur le degré de compréhension encore très faible de process clés qui conduisent à des extrapolations très hasardeuses. Bref, il critique et conteste. Et il n’est pas le seul, car la fabrique des conclusions du GIEC est très contestable.
La réponse ne tiendra pas en l’exclusion d’un prix Nobel de physique d’un colloque. C’est une méthode sectaire et inquisitoriale inouïe, totalement indigne du 3e millénaire. Ostraciser n’a rien de très rigoureux. Cette censure témoigne du degré d’énervement d’une communauté qui perd son sang-froid. Il s’agit de faire taire le débat et la controverse contre des recherches et des résultats qui ne cessent de contrecarrer l’hypothèse du réchauffement climatique causé par l’élévation du taux de CO2.
D’autres scénarios très différents sont crédibles et plus valides
De cela plusieurs scénarios.
Le refroidissement rapide. Le cumul des lois de Milankovitch et d’un minimum de Maunder nous ferait entrer assez vite dans une période froide. Après 2100, reste quelques siècles avant d’entrer vraiment dans la période de refroidissement glaciaire. Comment imaginons-nous nous y adapter ? Ce sera un objet de discussion aux mille facettes, mais qui risque de poser les questions dans un autre sens, comme le verdissement de zones aujourd’hui arides et l’afflux de populations du Nord vers le Sud et non l’inverse.
Le refroidissement lent. L’hypothèse d’un minimum de Maunder est différée dans le temps. Il faut attendre, peut-être le début du XXIe siècle, mais la perspective à mille ans reste celle du début du refroidissement.
Le refroidissement tempéré. Quoique je conteste l’ordre des facteurs présenté par le GIEC, admettons qu’il y ait un effet de serre modérateur-retardateur, sans qu’il vienne contrecarrer les tendances de fond précédentes, alors le processus de refroidissement serait plus lent, sans être annulable, hypothèse que j’expose mais que j’exclus ici.
Les politiques occidentaux sont pris au piège de l’intolérance idéologique
Les politiques activent une stratégie de la peur pour obtenir l’obéissance. Et plus encore, ils pratiquent la guerre d’opinion avec les mêmes techniques que celles employées lors de la covid-19 : discrédit, attaque ad hominem, mais jamais de débat sur les faits, les données, les nouvelles recherches, la possibilité d’autres interprétations, le risque d’erreur, des découvertes, etc.
Cette construction hasardeuse d’une politique se fait au nom d’une science obéissante. Des institutions sont construites pour qu’elles disent une seule chose à l’OMS ou au GIEC. C’est ce que la science ne sait pas faire, quand elle est en gestation sur des sujets qu’elle explore avec des degrés d’incertitudes considérables. Or, ces institutions sont là pour fabriquer la vérité officielle mondiale comme une nouvelle Sainte Inquisition, à la façon d’une nouvelle secte universelle. L’empressement des politiques est surprenant, leur autoritarisme et l’intolérance exacerbée qui accompagne cette dictature des transitions l’est tout autant.
Tout cela est d’autant plus perturbant en lisant les fils de commentaires de la presse. On s’interroge sur l’honnêteté intellectuelle, la sincérité, le souci de l’exactitude, l’intérêt accordé au fait au lieu de détourner l’attention en polémiquant sur les personnes. Toutes ces pratiques sur internet témoignent elles aussi d’une déviance de l’esprit scientifique et démocratique qui fondaient l’esprit occidental. L’éthique scientifique commence dans l’intégrité, la sincérité, le débat sur les faits et non sur les personnes. La plus belle preuve d’incurie du GIEC, ce sont ces multiples attaques personnelles sur internet qui démontrent à elles seules que le refus du débat est volontaire, que le souci de la vérité par la recherche de l’exactitude produite loyalement dans les recherches n’est plus là. Les enjeux sont alors ailleurs, quand la science devient la servante du politique, une idéologie de circonstance, une doctrine au service de la normalisation et de la poursuite des « infidèles ».
Ces temps derniers, c’est un peu la panique avec des chercheurs qui tentent de justifier leurs prédictions contrariées par l’actualité météorologique. Ils entretiennent une confusion permanente entre météorologie et climatologie. Eux ont le droit de dire qu’il y a réchauffement en utilisant les aléas météos : canicules par exemple, mais ils interdisent à leurs contradicteurs de faire de même avec les périodes froides observées dans de nombreuses régions depuis plusieurs années. Ensuite, les moyennes ont le beau rôle… La plus belle, c’est la prévision entre la météo du jour et la climatologie à la petite semaine dans Le Figaro d’aujourd’hui : « Nous allons vers un réchauffement accru ces 18 prochains mois » (lefigaro.fr). Et après ? Fait-on de la politique industrielle avec des investissements en centaines de milliards pour une hypothèse météorologique à 18 mois ?
Il nous appartient sans doute d’initier les assises climatiques en y invitant des chercheurs libres dans le respect des faits et des recherches dont ces prix Nobel de physique. Il faut étayer, partager, informer. Il appartient peut-être aussi à des politiques courageux, Philippot, Zemmour, Le Pen, Dupont Aignan et d’autres d’interpeller le GIEC et l’État et les élus, car si le ridicule ne tue pas, le sacrifice de centaines de milliards pour une transition qui n’existera pas.