Rompu à l’économie réelle en qualité de banquier d’affaires des entrepreneurs patrimoniaux, Raphaël Rossello nous alerte sur l’obligation de réconcilier nos attentes et la réalité économique. Il est l’auteur de L’Opportunité du Covid 19 (2020) et Demain, la fin de l’insouciance ? (2022), parus chez Mareuil Editions. #or#banque#crise#economy Le site de Raphaël Rossello : https://raphaelrossello.com Son livre “Demain, la fin de l’insouciance ?” : https://www.amazon.fr/Demain-fin-lins… Sommaire ⬇️ 📍”00:00” – Introduction 📍”00:24” – Les faillites bancaires aux US 📍”10:30” – Banques, mathématiques et inflation 📍”14:55” – Décorrélation du virtuel avec l’économie réelle 📍”19:05” – Bitcoin, cryptomonnaies et start-up 📍”23:19” – Elon Musk et Tesla 📍”27:10” – Le marché de l’or 📍”36:04” – L’once d’or à 10 000 $ ? 📍”37:53” – Vers un retour aux étalons 📍”44:45” – La France en récession 🖐 Pour plus de vidéos et ne rien rater de nos éclairages sur les métaux précieux, abonnez-vous à notre chaîne et activez la cloche : / @aucoffre ➽ Qui sommes-nous ? AuCOFFRE c’est la plateforme d’achat et de vente en ligne d’or physique, d’argent métal, de platine et de palladium, avec conservation des pièces en or et argent et des lingots de platine et lingots de palladium dans des coffres sécurisés, hors du système bancaire.
Depuis le début du conflit entre la Russie et l’Ukraine, l’Europe subit petit à petit un rationnement énergétique l’obligeant à s’inscrire dans une transition forcée. Entre dépendance énergétique, flambée des prix du gaz et de la facture d’électricité, ou encore fragilisation des centrales nucléaires… Face à cette période de crise énergétique, quelles stratégies se profilent pour l’avenir ? Nicolas Meilhan, conseiller scientifique et membre des Econoclastes, nous donne des éléments de réponses. Sommaire ⬇️ 📍”00:00” – Introduction : présentation de l’invité 📍”00:37” – Un triple choc énergétique 📍”02:28” – L’effondrement qui vient 📍”09:33” – Gaz et pétrole 📍”12:48” – L’absence de vision politique et stratégique 📍”18:15” – Les pénuries et coupures à venir 📍”22:47” – Réindustrialisation et transition énergétique 📍”26:50” – Allemagne, dernier espoir de l’Europe ? 📍”34:27” – Suivre l’exemple Cubain Retrouvez les autres interviews autour des Guerres de demain : https://www.aucoffre.com/les-guerres-…#crise#énergie#effondrement#nucléaire
Ex-champion de France des poids moyens, Julien Marie-Sainte est décédé vendredi à Marseille, à l’âge de 42 ans, des suites d’un arrêt cardiaque.
Tout le monde meurt d’un « arrêt cardiaque ». C’est une façon de dissimuler la cause réelle de la mort.
« C’est arrivé il y a une dizaine de jours, précise Nasser Lalaoui, son ancien entraîneur du CSL Aulnay-sous-Bois. Il a été placé sous respirateur artificiel. La machine a été débranchée vendredi. C’est un véritable drame. Après un décès, on a tendance à dire du bien. Mais Julien, c’était vraiment quelqu’un de très bien élevé, gentil. Et quel boxeur. Il avait un style offensif, avec une garde hermétique. Quand il montait sur un ring, il cherchait le K.-O. »
Né à Cherbourg, où il découvrait tardivement la boxe, demi-finaliste des Championnats de France amateurs à -75 kg en février 2005, Marie-Sainte passait professionnel un an plus tard. Il battait François Bastient aux points pour le titre national vacant en 2010 à Levallois (Hauts-de-Seine), titre qu’il conservait quatre fois, en particulier aux points face à Affif Belghecham à l’issue de dix rounds d’une rare intensité (2011, Aulnay-sous-Bois).
Opéré d’une rupture du biceps gauche, il ne connaîtra plus la même réussite. En Championnat d’Europe, il était arrêté au troisième round contre l’Ukrainien Maksym Bursak (2013 Aulnay). Deux ans plus tard, il raccrochait les gants avec 37 victoires (dont 26 avant la limite), 1 nul et 7 défaites, la plupart en fin de carrière. Il devenait éducateur spécialisé et s’installait à Marignane, près de Marseille.
À son épouse, à ses trois enfants, à sa famille, L’Equipe présente ses condoléances les plus émues.
Pensez à faire votre rappel vaccinal à la rentrée pour mourir à Noël.
#COVID_19 Les vaccins Pfizer et Moderna devraient être efficaces contre le variant Eris. La nouvelle campagne de vaccination démarrera en France à la mi-octobre. Seul le vaccin de Pfizer y sera disponible. https://t.co/I89lhsW8sq
La responsabilité de ceux qui savent est toujours plus lourde. Or, Nicolas Sarkozy sait. C’est manifeste, dans l’entretien qu’il donne, ce dimanche 27 août, au Parisien, en marge du lancement de son livre Le Temps des combats. À droite, on ne peut plus entendre Sarkozy : le prix de la déception, du sentiment de trahison. Et pourtant, le constat livré dans Le Parisien par l’ancien Président rejoint (enfin !) celui d’Éric Zemmour, de Jean-Marie Le Pen jadis ou de Marine Le Pen aujourd’hui. « Dans 30 ans, il y aura 2,5 milliards d’habitants en Afrique et 450 millions en Europe. Le modèle occidental est en train de disparaitre. La civilisation judéo-chrétienne est menacée de disparition. Donc, oui, ça peut mal se terminer. »L’analyse de son ancien conseiller Patrick Buisson n’aura pas été vaine. Même lucidité lorsque l’ancien Président parle des quartiers dans lesquels, autrefois, on ne pouvait sortir car ils étaient éloignés des centres-villes et dans lesquels, aujourd’hui, « on ne peut même plus entrer ».
« La crise migratoire n’a pas commencé »
La vérité frappe lorsqu’il fait ce constat : « Il y a dans notre pays le déni d’une immigration non maîtrisée, une intégration ratée, un communautarisme institutionalisé qui génère aussi une délinquance […] » Sarkozy sait, voit, il a compris l’enjeu. Grand Remplacement ? « La crise migratoire n’a pas commencé et nous sommes face à un défi majeur certain », lance-t-il. Il plaide pour une aide massive à l’Afrique alliée à une fermeté redoublée : « Toute personne qui essaiera d’entrer en Europe sans avoir déposé un dossier dans son pays verra son admission refusée », propose-t-il. C’est la politique préconisée par le gouvernement britannique, entre autres. Une mesure de bon sens.
L’analyse est bonne. Or, « quand on ne pose pas le bon diagnostic, on ne peut pas trouver la solution », souligne encore l’ancien Président lui-même, dans cet entretien. Mais voilà, quand l’analyse est bonne, il faut l’accompagner d’une volonté farouche pour ne pas retomber dans les errances politiciennes funestes, celles qui ont causé la ruine de la France sous le mandat Sarkozy : explosion de la dette et de l’immigration, et victoire de la gauche dans la foulée.
Mais où est-il, ce courage, quand l’ancien Président appelle à une large alliance de la droite, d’Éric Ciotti à Zemmour, mais… sans Marine Le Pen. « J’ai toujours combattu la famille Le Pen », dit-il, tout en renvoyant aux pelotes ceux qui la mettent hors de « l’arc républicain ». « Est-ce que, pour moi, ce serait une bonne chose qu’elle soit Présidente ? Non. Elle n’en a ni l’expérience ni l’entourage », martèle Sarkozy. Affirmation très contestable. Il veut donc, lui aussi, les voix du RN sans la candidate, comme tous les leaders politiques hexagonaux. Et appelle au rassemblement de la droite sans sa principale composante qui pèse aujourd’hui plus de 20 % dans les enquêtes d’intention de vote. Autant envoyer la droite à l’échec.
Une analyse lucide, donc, mais un rejet de Le Pen et des affections… curieuses. Envers Wauquiez, un peu, envers Macron (« On a de bons rapports, on se parle »), envers Gérald Darmanin surtout ! « J’ai beaucoup d’amitié pour Gérald Darmanin qui a toujours été avec moi un ami réel […] Je me retrouve en lui », va jusqu’à dire Nicolas Sarkozy, qui semble avoir choisi son dauphin. Darmanin, l’homme de l’invasion migratoire record en France, celui qui voyait des Anglais dévaliser les touristes au Stade de France, le champion médiatique de la lutte contre le Rassemblement national, l’homme qui a trahi la droite pour suivre par ambition l’ancien ministre de l’Économie de François Hollande… un certain Emmanuel Macron !
Mi-Dr Jekyll et mi-Mister Hyde, le Sarkozy analyste lucide et soucieux de la France donne sa bénédiction à un homme qui assistait encore, voilà quelques semaines et sans rien dire, au Conseil des ministres aux côtés de Pap Ndiaye, qui ne s’est jamais élevé contre la répartition des migrants dans les campagnes et patine comme personne avant lui sur l’exécution des OQTF.
Et puis il y a le choix du temps. Sarkozy adoube Darmanin au moment même où le ministre de l’Intérieur tente une échappée présidentielle dans sa ville de Tourcoing. Une échappée très convenue, entourée de membres du gouvernement et sous la haute surveillance d’Élisabeth Borne, sans doute envoyée par Macron pour empêcher ce ministre trop pressé de quitter le peloton gouvernemental. La Macronie dans la tourmente n’a pas besoin de ce coup de canif supplémentaire… Ainsi Sarkozy fait-il sans effort apparent le grand écart : chez lui, la dénonciation des dangers mortels qui assaillent la France accompagne la bénédiction à ceux qui en accélèrent l’échéance. L’homme est ainsi fait.
Intérêt instantané
« Tout le temps où il avait été au pouvoir, résume son ancien conseiller Patrick Buisson dans la préface de son livre La Cause du peuple, Nicolas Sarkozy n’avait jamais eu pour conviction que son intérêt instantané et, son intérêt changeant, il n’avait cessé de changer d’idées en y mettant toute l’énergie de ses insincérités successives. » Chez Sarkozy, le calcul politique, l’intérêt à court terme, qu’il soit judiciaire ou électoral, et les amitiés mal choisies ont depuis longtemps dévoré ce qui restait d’amour de la France. La différence entre un politicien manœuvrier et un homme d’État.
++ WEBTUBE :Les journalistes ne sont pas là pour vous informer mais pour que vous regardiez ailleurs. Ne les écoutez plus, allez directement à l’information.
Cette fin d’été politique est assez surréaliste. Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal font parler d’eux. On se croirait revenu vingt ans en arrière : on prépare l’élection de 2027 avec les candidats de… 2007. François Hollande pointe le bout de son nez, et même Lionel Jospin ! Pour recadrer Sarko sur l’Ukraine, bien sûr. Tout ce cirque a son Monsieur Loyal : Jean-Luc Mélenchon. Un théâtre d’ombres destiné à faire passer Darmanin pour une lumière ? Peut-être.
Surréaliste, aussi, car les journaux télévisés sont focalisés sur les universités d’été d’une gauche en miettes qui voit en Médine son nouveau messie alors que l’immigration, la principale raison de leur échec à tous depuis plus de vingt ans, poursuit son déferlement incontrôlé.
Ainsi, ce 26 août, Euronews nous apprend que plus de 3.000 migrants provenant de Tunisie ont débarqué en 24 heures à Lampedusa ! L’île qui ne peut accueillir plus de 400 réfugiés en compte plus de 4.000 en tout. Le préfet d’Agrigente, Filippo Romano, a sonné le tocsin : « Lampedusa ne peut plus accueillir de réfugiés. » Avant ces arrivées massives, le décompte des autorités italiennes cité par Le Figaro donnait 101.386 nouveaux migrants débarqués en Italie depuis le début de l’année, contre 48.940 pour la même période de 2022 ! Un flux continu, incontrôlé et exponentiel. Le gouvernement italien a donc mobilisé navires et avions militaires pour répartir le trop-plein de Lampedusa dans les autres régions italiennes. Le Camp des saints. Mais seulement les premiers chapitres, pour l’instant.
Les autres régions d’Italie ? Et Menton, bien sûr. Benoît Huber, directeur de cabinet du préfet des Alpes-Maritimes, a, dans Le Figaro, cette phrase digne du roman de Jean Raspail : « Forcément, ça se répercute à la frontière. » Forcément, ça se répercutera partout en France. Forcément, ça se répercutera dans les urnes de 2024 et de 2027. Un reportage du Figaro indique que la police interpelle, ces jours-ci, plus de 300 migrants par jour à Menton ! Avec une forte proportion de mineurs non accompagnés, bien entendu.
Mais tout cela ne fera pas les gros titres. Pas question de gâcher l’ambiance de la gauche, de Darmanin, de Macron. Darmanin, l’homme des fiascos en série, et notamment celui de l’Ocean Viking, accueilli à Toulon et dont les migrants mineurs avaient rapidement échappé aux autorités françaises, il y a un an, nous ridiculisant un peu plus. Macron, le Président qui veut subitement « réduire significativement » l’immigration, mais que personne ne croit, puisque près de 92 % des Français ne l’en jugent pas capable, selon un sondage du Figaro.
La France et les Français sont, face à l’immigration, les victimes d’un double syndrome : celui de Stockholm (et nos preneurs d’otages sont légion : médias, culture, gauche, juges, communautarismes, etc.) et celui de Lampedusa : « Il faut que tout change pour que rien ne change. » Le réveil risque d’être douloureux.
On nous vend l’arrivée future du F-16 en Ukraine comme l’arme fatale qui va retourner la situation sur le théâtre ukrainien. Un peu de sérieux !
Zelensky a qualifié « d’historique » la décision américaine de livrer des F-16 et se dit « convaincu que la Russie allait perdre la guerre ».
Du bluff, évidemment, pour soutenir le moral d’une armée ukrainienne exsangue et au bout du rouleau, qui perd 1 500 soldats par jour, en venant se fracasser sur les défenses russes, véritable mur infranchissable depuis presque trois mois d’une contre-offensive catastrophique pour Kiev, qui a perdu la quasi totalité de sa troisième armée et tout le matériel fourni par l’Otan.
Si ce projet aboutit, cela se terminera comme la contre-offensive actuelle, c’est-à-dire en fiasco total. Cette escalade n’a d’autre but que de prolonger la guerre jusqu’aux élections américaines, en entretenant d’ici là le mythe d’une victoire ukrainienne. On peut rêver. Une décision avant tout politique, pour entretenir la flamme pro-ukrainienne en Europe. 11 pays vont participer à cette formation de pilotes ukrainiens sur F-16. Mais rien ne changera le cours de l’histoire.
Car l’Otan ne fait plus la guerre à des Afghans en babouches, mais aux Russes, équipés des meilleurs avions de combat au monde, dont les MIG et Sukhoï de dernière génération.
D’une part, la formation des pilotes ukrainiens est une tâche de longue haleine, d’autre part toute la partie logistique et technique va placer l’Otan dans la position de cobelligérant à part entière. Inutile de dire que les Russes ne vont pas rester les bras croisés face à cette menace. Non seulement les pilotes russes vont s’occuper du cas des F-16, mais les missiles s’abattront sur tous les terrains d’où les appareils ukrainiens opéreront. En Ukraine, évidemment, mais aussi en Pologne et en Roumanie, si l’Otan fait le choix suicidaire de la cobelligérance assumée.
“En juin, Vladimir Poutine a fait savoir que les forces russes étudieraient des options pour détruire ces avions s’ils étaient basés en dehors de l’Ukraine.”
“L’apparition en Ukraine d’avions F-16 capables de transporter des armes nucléaires sera considérée par la Russie comme une menace dans le domaine nucléaire, a fait savoir en juillet Sergueï Lavrov, chef de la diplomatie russe.”
Une fois de plus, l’Otan jongle avec des flacons de nitroglycérine.
Voici un excellent article qui détaille la complexité de l’entreprise, que beaucoup de va-t-en-guerre otaniens sous-estiment.
On parle pour l’instant d’une soixantaine de F-16 danois et hollandais. La Norvège devrait suivre, avec une cinquantaine d’avions. De quoi aligner entre trois et six escadrons. Et on apprend que la France participerait à la formation initiale des pilotes. À préciser. La phase finale sur F-16 se faisant hors de France.
Car le choix a été fait par l’état-major ukrainien de garder ses pilotes expérimentés pour assurer les missions de guerre et d’envoyer de jeunes pilotes sans expérience en formation sur F-16. Ce n’est peut-être pas la meilleure option pour affronter les pilotes russes bien entraînés, mais on comprend que Kiev n’a plus la ressource suffisante pour envoyer des pilotes aguerris en formation à l’étranger pour de longs mois.
Un petit groupe de pilotes et de mécaniciens est déjà en Angleterre pour perfectionner son anglais, avant d’attaquer la partie théorique, les procédures, les séances de simulateur et les vols. Aucun calendrier précis n’est encore défini pour ces différentes étapes.
Former des pilotes de F-16 est une chose, mais former des pilotes aptes au combat en est une autre. Un escadron de chasse aligne des pilotes opérationnels (PO), des sous-chefs de patrouille (SCP) et des chefs de patrouille (CP). On ne mène pas plusieurs avions au combat sans une longue expérience. Un CP, c’est cinq ans d’expérience et 1000 heures de vol au minimum, comme rappelé dans le lien. Même en temps de guerre, il y a des temps de formation incompressibles sur les avions de combat modernes.
Bref, l’Otan s’attaque carrément à la formation d’une aviation de combat ukrainienne sur F-16, de A jusqu’à Z. Cela ne se fera pas en six mois. À moins d’envoyer des pilotes mercenaires recrutés à prix d’or, qui vont se faire massacrer en Ukraine.
Mais au delà de la formation des pilotes, c’est l’environnement technique qui est aussi un véritable défi. Car un avion, après chaque mission, réclame un entretien ou des réparations qui nécessitent une logistique d’importance. Sans une maintenance de qualité, pas de missions. Et ces bases aériennes bien équipées seront évidemment les cibles prioritaires des Russes. Sans piste opérationnelle, pas de décollage, pas de mission. La formation des techniciens sur avion moderne va aussi prendre du temps, sauf à embaucher des “contractors” à prix d’or, eux aussi.
Car on a vu combien les missiles russes pouvaient faire de dégâts dans les rangs des conseillers Otan ou des mercenaires. Rappelons que 5 000 mercenaires ont déjà été éliminés en Ukraine. Un job bien payé mais qui n’a rien d’une situation d’avenir.
Et tout cela va coûter cher, très cher, pour un bien maigre résultat. Car ce ne sont pas 60 ou 120 F-16 qui changeront le cours de la guerre, face aux centaines d’avions de combat que peut aligner Moscou.
Combien de jeunes pilotes des deux camps vont périr, pour le bon plaisir de Biden et des crapules qui le soutiennent ? J’espère que la guerre s’achèvera avant que ce projet n’aboutisse.
Biden, Zelensky, Macron, Scholz et tous les fous furieux ivres de russophobie, ne sont que des misérables bouchers sacrifiant sans état d’âme le peuple ukrainien. L’histoire les jugera. Ils se comportent comme des Romains baissant le pouce pour voir mourir les gladiateurs dans l’arène. Et toute cette boucherie sous couvert de défense de la démocratie ! En réalité, on cherche vainement une once d’humanité dans le camp du Bien, pour lequel le sang ukrainien a moins de valeur qu’une seule goutte de pétrole.
++ WEBTUBE :Avec Macron aux manettes, les cancres ont encore de belles années devant eux dans le système scolaire français.Sur la photo, on voit un Macron satisfait de lui-même. Finalement il a raison cela fait 6 ans qu’il joue au président et les Français le réélisent !
Emmanuel Macron semble dire n’importe quoi pour exister. Dans un entretien exclusif au Point , il déclare que « sur l’école, nous devons sortir des hypocrisies » – « françaises », il va de soi. Et de faire des propositions sur les vacances scolaires, l’enseignement de l’Histoire, l’entrée en classe de sixième… Beaucoup de bruit pour faire le buzz, en occultant les véritables causes du déclin de l’enseignement français.
« Il y a trop de vacances, et des journées trop chargées », affirme-t-il, ajoutant qu’« il faut qu’on puisse faire rentrer dès le 20 août [les élèves qui en ont besoin] pour leur permettre de faire du rattrapage ». Les élèves seraient préalablement « évalués » pour savoir s’ils devraient participer à cette rentrée anticipée. On imagine, en ces jours de canicule, l’efficacité du travail des élèves en difficulté auxquels on infligerait ces cours supplémentaires. On pourra allonger l’année scolaire autant qu’on voudra, cela ne rehaussera pas le niveau de l’enseignement.
La question du collège unique
Macron se garde de remettre en cause le collège unique. En supprimant les filières sous prétexte d’égalité, la réforme Haby, patronnée par Giscard d’Estaing, a produit de la médiocrité qui ne profite ni aux meilleurs ni aux moins bons : « Collège unique, collège inique », comme le disaient, à l’époque, les plus lucides. Nos prétendues élites ont délibérément couché tous les élèves dans le lit de Procuste, réservant pour leur progéniture des lits plus douillets, plus confortables et plus adaptés. Elles se privent volontiers des talents des classes moyennes qui (on ne sait jamais) pourraient prendre leur place.
Macron déclare qu’« il faut cesser d’envoyer en 6e les 20 % d’élèves qui ne savent pas lire, écrire et compter » mais précise, aussitôt, qu’il serait « faux » de dire que « le problème, c’est celui du collège unique », soulignant que « le problème, c’est la manière dont on le fait » et que « tous les enfants ont le droit d’aller jusqu’en troisième avant d’être orientés ». Même en matière d’éducation, il fait du « en même temps ». S’il voulait être pris au sérieux, il aurait dû incriminer, outre l’égalitarisme, l’absence d’exigence, le laxisme, l’influence des idéolo-pédagogues, et annoncer qu’il va rompre avec des décennies de mauvaises habitudes.
Macron a un avis sur tout, il veut que l’Histoire soit enseignée de façon chronologique, que l’instruction civique devienne « une matière essentielle » et, comme il aime les débats, il annonce que « chaque semaine, un grand texte fondamental sur nos valeurs sera lu dans chaque classe puis débattu ». Quand on connaît ses « valeurs » et sa façon de déconstruire l’Histoire, il y a de quoi s’inquiéter. À ses yeux, « l’école est devenue un sujet régalien » et, « compte tenu des enjeux », l’éducation fait désormais « partie du domaine réservé du Président » : on croirait que c’est lui le véritable ministre de l’Éducation nationale. Pauvre Gabriel Attal, qui ne serait qu’un larbin aux ordres de son maître !
Emmanuel Macron veut secouer le marasme de l’école ? Rappelons-lui que le rôle de l’école est d’instruire les élèves et de conduire chacun d’eux au maximum de ses capacités. Tout le reste n’est que bavardage. Il veut sortir des « hypocrisies françaises » ? Qu’il commence par sortir de sa propre duplicité !
++ WEBTUBE : Les pays occidentaux se tirent une balle dans le pied en tournant le dos aux pays émergeants. Quant à l’Europe, le compte à rebours de sa “tiermondisassion” a commencé !
Sommet des BRICS : élargissement du groupe et création du “R5”
Les deux faits majeurs du sommet des BRICS, qui se déroule en Afrique du Sud du 22 au 24 août 2023 sont :
– L’arrivée de cinq nouveaux membres dans le club des pays promoteurs de la multipolarité
– L’avènement d’une monnaie commune pour les cinq pays historiques du groupe, le “R5”
Ce sommet est incontestablement la plus importante réunion des chefs d’État des pays du Sud de ces dernières années et aura des répercussions d’ampleur pour le futur de la planète, bousculant l’ordre établi depuis 1945 par les Occidentaux.
Élargissement qui double le nombre des membres du groupe, lequel passe à 10 pays. L’adhésion de l’Indonésie a finalement été reportée, tout comme celle de l’Algérie, qui espérait faire partie des heureux élus. On peut s’étonner de l’intégration de l’Argentine, compte tenu des graves difficultés économiques que connait ce pays. Nul ne s’étonnera en revanche de l’arrivée de l’Iran, fidèle allié de la Russie. Enfin, il n’échappera à personne que trois gros producteurs de pétrole font leur entrée dans le groupe, ce qui donne aux BRICS un poids énergétique considérable.
2. Nouvelle monnaie en gestation : le “R5”
L’Ambition du “R5” est de détrôner le dollar en tant que monnaie de réserve mondiale. Ce “R5” veut faciliter les échanges entre les membres des BRICS et redéfinir les règles des échanges internationaux. Le poids du dollar en tant que monnaie de réserve de change ne cesse de baisser mais représente encore 68 % du total.
D’où provient ce nom “R5” ?
De l’idée que les monnaies de ces cinq pays commencent toutes par la lettre “R”.
Renminbi (yuan), rouble, réal, roupie et rand.
Rappelons que le PIB des BRICS avant élargissement, en PPA, dépasse celui du G7.
Par ailleurs, 40 pays frappent à la porte du groupe et la plupart des 54 pays africains ont participé au sommet de Johannesburg. Il est indéniable que l’Afrique tourne définitivement le dos à l’Occident. Russes et Chinois n’hésitant pas à diaboliser les ex-colonisateurs européens pour rafler la mise. Ce qui n’augure rien de bon pour l’Europe qui manque cruellement de pétrole et de matières premières. Il faut être un irresponsable comme Bruno Le Maire pour vouloir mettre à genoux l’économie russe, alors que Moscou possède 20 % des richesses minières de la planète.
Je n’ai pas fait le calcul, mais le nouveau groupe de dix membres, doit posséder en pétrole et en matières premières, plus de la moitié des richesses mondiales. Trois pays, Russie, Afrique du Sud et Brésil possèdent des trésors géologiques.
Poutine sait très bien que l’arme du pétrole et des matières premières peut mettre l’Occident à genoux. C’est folie pour les Européens, sans pétrole ni idées, que d’avoir rompu avec la Russie.
Le Wall Street Journal déplore que la Chine et la Russie se soient unies pour s’opposer à l’Occident. Le monde unipolaire arrogant ne réalise même pas que sa domination par la force est devenue insupportable pour des milliards d’être humains, qui sont sortis des ténèbres et entendent rivaliser avec les Occidentaux dans tous les domaines, après des siècles de soumission.
«La Russie et la Chine ont profité du sommet des BRICS pour exprimer leur mécontentement à l’égard des pays occidentaux, se présenter comme les défenseurs des économies émergentes et présenter des arguments en faveur d’un ordre international alternatif. Vladimir Poutine a accusé l’Occident de tout provoquer, depuis le conflit militaire en Ukraine et l’inflation mondiale jusqu’à la famine dans les pays les plus vulnérables, en empêchant la vente de céréales et d’engrais russes par le biais de sanctions. Les BRICS envisagent de s’étendre et plus de 40 pays souhaitent les rejoindre. Bien qu’il n’existe pas d’alliance formelle entre Pékin et Moscou, leurs dirigeants ont coordonné des déclarations anti-occidentales. La Chine et la Russie ont plaidé en faveur du renforcement de la capacité des BRICS en tant qu’entité politique et bloc commercial indépendant, dans le but d’accroître leur influence en tant que contrepoids à l’Occident. »
L’Amérique semble s’étonner de l’attitude des BRICS. 40 nations ont le droit de s’unir contre la Russie en faveur de l’Ukraine, pays mafieux et corrompu jusqu’à la moëlle, mais la Chine et la Russie n’ont pas le droit de défendre leurs intérêts !
Les Occidentaux n’ont vraiment rien compris aux bouleversements qui s’annoncent.
Conclusion
Je ne vais pas m’étendre sur la conclusion. Je dirai simplement que l’Europe est dirigée par une équipe de bras cassés totalement irresponsables et inconscients. Sans pétrole ni matières premières, se mettre à dos des pays comme la Russie, la Chine ou l’Iran, par soumission à Washington, c’est du suicide. L’avenir, c’est la multipolarité et certainement pas l’impérialisme anglo-saxon, qui nous mène au naufrage économique et peut-être même à la guerre.
Avec des idiots comme nos dirigeants, l’Europe va prendre la place du tiers monde.
Un bouleversement économique et géopolitique d’ampleur planétaire est en cours, initié par 5 nations dynamiques, le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud, regroupées sous l’acronyme BRICS.
Ces pays, qui représentent près de la moitié des habitants de la terre, ont dépassé pour la première fois en 2022, en termes de PIB (produit intérieur brut), l’orgueilleux et arrogant G7. À savoir 31,5 % contre 30,7 %. L’écart n’est pas énorme. Mais les uns montent tandis que les autres descendent. Et la tendance semble s’accentuer.
Macronescu voulait entrer dans le club par la porte de derrière, mais les videurs l’ont éjecté
Sans doute vexé qu’on l’ait laissé tambouriner à la porte des BRICS sans lui ouvrir, le paltoquet a donné ordre à ses merdias et ses ministres de minimiser l’événement. Voire de ne pas en parler du tout.
L’événement majeur de l’été fut de savoir si un rappeur arabe, portant le nom de la deuxième ville sacrée de l’islam, pouvait être antisémite, raciste, homophobe et islamiste. Bien sûr que non, cela va sans dire ! Quand on fait partie du camp du bien, on ne saurait avoir d’aussi viles pensées.
Et dans leur moraline à géométrie variable, la gauche et ses journaleux dhimmis et fiers de l’être, ont tout fait pour excuser un jeu de mots débile avec le patronyme de Rachel Khan. Uncontraste flagrant avec l’opprobre unanime frappant JMLP pour son calembour tout aussi stupide « Durafour crématoire ».
Les donneurs de leçons de bonnes pensées ont juste oublié de préciser que si Rachel Khan est juive selon la loi mosaïque, puisque sa mère est une Ashkénaze, elle est aussi à moitié africaine par son père Gambien. Mais pire que tout, aux yeux des islamo gauchistes, elle aime la France, défend la laïcité, et est appréciée par l’Action Française.
En outre, ce n’est pas une découverte, sauf pour ceux qui s’enferrent dans la dissonance cognitive, les Arabes ont toujours méprisé les Noirs. À leurs yeux, ils sont destinés à être leurs esclaves par la volonté d’Allah. Puisqu’ils les tiennent pour des sous-hommes, ils leur ferment l’accès à leurs territoires. De façon un peu brutale dans la gentille Tunisie. Sans pitié chez les farouches Libyens. Et de manière carrément sauvage dans la féroce Arabie Saoudite. Mais ces querelles de boubous et de burnous sont anecdotiques à côté des coups portés au NWO par les BRICS.
Goldman Sachs a été le premier à flairer le danger des BRICS
Entre 2001 et 2003, plusieurs analystes financiers de cette grande banque d’investissements (rien à voir avec Gunther Sachs, l’ex de Bardot) avaient pondu des rapports considérant qu’au plus tard en 2040, le PIB total des BRICS pourrait dépasser celui du G7. Les cinq trublions ont juste 17 ans d’avance sur les prévisions des « experts ».
Ce n’est pas surprenant, vu qu’en dix ans, entre 2001 et 2011, la part des BRICS dans le PIB mondial est passée de 16 à 27 %. Dépassant celui cumulé de tous les pays de l’UE. Et équivalent celui des USA. Une croissance phénoménale quand tous les autres stagnent.
Au classement mondial des économies, la Chine a déjà pris au Japon la deuxième place, talonnée par la Russie, l’Inde et le Brésil. Et en matière de volume d’échanges commerciaux, les USA ne sont plus les premiers.
Quant à l’Afrique du Sud, malgré une forte criminalité ethnique et un chômage de masse, son PIB représente 40 % de celui de tout le continent. Ce pays est prometteur avec 30 % de la production mondiale d’or, et se classe cinquième producteur de diamants. Elle est aussi premier producteur mondial de manganèse et de chrome. Et avec 60 % des réserves mondiales de charbon elle produit 90 % de son électricité. N’en déplaise aux écolos.
Vers un dépérissement du dollar US ?
L’objectif des BRICS, avant de créer une monnaie de référence concurrente du dollar US, est d’utiliser leurs monnaies nationales respectives avec des cours de change réalistes. Afin de favoriser des échanges équilibrés entre eux, en se soustrayant aux monopoles des Yankees, ainsi qu’à leurs pressions et chantages contre ceux qui refusent de servir les intérêts des USA et en particulier d’ostraciser la Russie.
L’Inde, la Russie et la Chine ont déjà enclenché le processus de désengagement du dollar, suivis aussitôt par le Brésil. Ainsi Lula a annoncé renoncer au dollar pour ses transactions avec la Chine, laquelle ne demande pas mieux puisque cela favorise sa propre indépendance financière. Le Mexique, bien que pas encore membre du club, s’engage dans cette même voie.
La bonne question est de savoir combien de temps encore les USA vont pouvoir maintenir la confiance dans leur dollar qui ne représente plus rien. Pas même la valeur de son poids en papier recyclable.
Les chiffres semblent invraisemblables et il faut se frotter les yeux pour y croire. La dette nationale étasunienne augmente en ce moment de 45 500 dollars par seconde ! En comparaison, la France macronarde à la dérive, fait figure de pays bien géré.
Pour rembourser leur dette phénoménale, les USA émettent des bons du trésor, des bank notes et des titres de banques numérisés, sous le contrôle du gouvernement, qui leur attribue une valeur fictive. Les plus gros détenteurs de ces octets ou de ces bouts de papier au cours illusoire étaient les Chinois qui ont commencé, il y a quelques années, à s’en débarrasser, au fur et à mesure que leurs industries et leurs échanges se développaient de façon exponentielle.
C’est aussi une question de souveraineté nationale. Si les USA, dont on connaît l’impérialisme agressif dans tous les domaines, peuvent décider unilatéralement de la valeur de vos avoirs, leur emprise vous oblige à accepter leurs diktats pour ne pas être ruiné.
Vers un élargissement des BRICS ?
Des dizaines de pays ont présenté leur candidature pour adhérer au BRICS, pour participer à la création d’un ensemble multipolaire ou chacun serait maître chez lui et négocierait au cas par cas, des échanges et des alliances avec divers partenaires, selon leurs intérêts réciproques. De façon pragmatique. Sans idéologie pesante ni obligations diplomatiques forcées.
Parmi eux, certains comme l’Argentine, l’Iran, l’Arabie Saoudite, le Venezuela, le Mexique, l’Indonésie, la Biélorussie sont à la fois producteurs de matières premières et importants acteurs du commerce international. Porteurs de croissance potentielle, ils pourraient mieux se développer en échappant à la mafia du G7. Cette succursale du Nouvel Ordre mondial à la botte des banksters, regroupant des pays en déclin, gouvernés par des marionnettes, comme l’Allemagne, le Canada, les États-Unis, la France, l’Italie, le Japon, et le Royaume-Uni. Tous en guerre contre la Russie. Tous ligués économiquement contre les Chinois.
D’autres impétrants au BRICS mériteraient d’être mis en observation, à titre temporaire, pour évaluer leurs possibilités. Parmi ces puissances émergentes, l’Égypte, Bahreïn, le Nigeria, le Pakistan, le Soudan, la Turquie… Liste non exhaustive. Les discussions portent, entre autres sujets, sur ce point. Ne pas vexer, ne pas exclure, ne pas claquer la porte au nez. Mais poser des critères réalistes.
Les BRICS se développent quand les G7 stagnent et régressent
Avec un hypothétique moyen de paiement unique, ou avec une bourse dédiée à leurs monnaies nationales, l’un n’excluant pas l’autre, les BRICS entendent assainir les échanges en proposant une parité adossée à l’or pour remplacer le dollar américain.
Leur banque de développement créée en 2014 à Shanghai, en réponse aux droits de vote limités au FMI, peut accorder des prêts jusqu’à équivalent de 350 milliards de dollars. Elle est plus appréciée que le FMI car ses décisions reposent uniquement sur des critères économiques. Elle ne prétend pas s’immiscer dans la politique intérieure ou internationale des pays qui la sollicitent.
De plus en plus de multinationales, indépendantes du NWO, devancent ou accompagnent les États. Ainsi le principal raffineur de pétrole indien, Indian Oil Corp, a annoncé qu’il abandonnait le dollar US pour régler ses transactions pétrolières en roupies avec les producteurs d’Abu Dhabi. De même qu’il paye en roubles à la Russie le pétrole qu’il va raffiner avant de l’exporter avec un super bénéfice vers ces imbéciles d’Européens. Lesquels n’ont toujours pas compris que l’embargo sur les énergies russes ne nuit qu’à leurs fragiles économies.
Les États-Unis ont réussi à entraîner l’Europe dans cette situation défavorable, en interdisant tout commerce avec la Russie. Et en obligeant ses dirigeants fantoches à financer en pure perte l’insatiable Zelensky. Mais dans les pays qui ont un vrai président, courageux et patriote, la pression ou les menaces étasuniennes sont devenues insupportables. Les BRICS sont déjà une issue de secours. Et annoncent un monde nouveau, équilibré et multipolaire, en création. Dommage que, une fois encore, la France reste sur le quai quand passe le train de l’Histoire.