. Quand l’Allemagne finance les ONG pro-migrants pour agir… en Italie

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Le torchon brûle, encore une fois, entre l’Allemagne et l’Italie. Alors que les chancelleries européennes ne bruissent que de promesses de « soutien à l’Italie » et autres assurances de « solidarité » pour la gestion de la crise migratoire, dans les faits, il apparaît que, comme toujours, les pays membres de l’Union européenne agissent sur la question en ordre dispersé.

L’Italie exige des explications

Cette semaine, c’est l’Allemagne qui annonçait un financement supplémentaire de 400 à 800 millions d’euros à deux ONG qui œuvrent en Italie pour le secours en mer des clandestins et l’installation des migrants en Italie. On l’imagine, les réactions du gouvernement italien ne se sont pas fait attendre. « J’ai appris avec étonnement, écrit Meloni à Olaf Scholz, que votre gouvernement – de manière non coordonnée avec le gouvernement italien – aurait décidé de soutenir par des fonds d’importantes organisations non gouvernementales engagées dans l’accueil des migrants en situation irrégulière sur le territoire italien et dans des sauvetages en mer Méditerranée. Ces deux possibilités soulèvent des questions. » Elle n’hésite pas, d’ailleurs, à rappeler que « le financement aux bateaux des ONG a un effet direct de multiplication des départs d’embarcations précaires » et « augmente le risque de nouvelles tragédies en mer ». Une triste lapalissade : que les ONG dont les bateaux sont postés au large de la Tunisie ou de la Libye soient un pull factor [facteur d’attractivité, NDLR] pour les clandestins pris en main par les mafias de passeurs est connu de tous. Matteo Salvini, qui dénonçait depuis des années le rôle financier à matrice idéologique de l’Allemagne dans le soutien au ONG pro-migrants, renchérit : « C’est une honte, un outrage et un acte hostile que des pays étrangers financent des associations privées étrangères pour amener des immigrés clandestins en Italie. »

Même le très modéré Antonio Tajani, ancien président du Parlement européen et ministre des Affaires étrangères du gouvernement Meloni, s’est insurgé sur ce qui ressemble furieusement à une ingérence étrangère : « Jeudi à Berlin, je demanderai à ma collègue Baerbock [Anna Baerbock, ministre des Affaires étrangères d’Allemagne] quelle est la raison du financement d’ONG qui doivent amener des migrants en Italie. Peut-être était-il juste de financer des ONG qui amènent les migrants en Allemagne. J’espère avoir des explications du gouvernement allemand. »

De l’argent pour quelles ONG ?

Qui sont les ONG qui bénéficieront de cette manne supplémentaire ? Il s’agit de l’ONG allemande SOS Humanity, qui recevra 790.000 euros pour continuer ses campagnes en mer, ce qui a irrité au plus haut point Guido Crosetto, le ministre de la Défense italien, qui rappelle que c’est le rôle dévolu aux autorités civiles italiennes. Pour sa part, la Communauté Sant’Egidio, très proche du pape François et qui assume depuis longtemps une sorte d’activité diplomatique parallèle du Saint-Siège, recevra 420.000 euros destinés à l’intégration des migrants arrivés régulièrement en Italie. Marco Impagliazzo, président de la Communauté Sant’Egidio, explique d’ailleurs que l’Allemagne travaille avec eux depuis la présidence de Helmut Khol.

En pleine crise migratoire, alors que l’Italie ne bénéficie pour l’instant que de belles paroles de solidarité, ce financement, qui en réalité n’est pas un scoop – beaucoup d’ONG patrouillant en Méditerranée battent pavillon allemand -, apparaît bien comme la traduction de l’ingérence d’un pays tiers dans des affaires relevant de la souveraineté nationale.

Marie d’Armagnac, Boulevard Voltaire

. De plus en plus de petites villes subissent les ravages de l’immigration

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Le 26 septembre, hier donc, TF1 nous a gratifié d’un reportage édifiant sur l’évolution inquiétante des petites villes en France. L’exemple pris était Guéret.

Vous ne savez pas où cela se situe ? C’est en Creuse (dans l’ex-Limousin) donc au centre de la France. Tenez-vous bien… il y a un peu moins de 13.000 habitants. Et voyez-vous c’est la plus grosse ville du département.

Je dois dire que le reportage était assez impressionnant. Pas en soi, mais parce que j’ai habité dans le Limousin pendant des années, notamment lorsque j’étais jeune. Et je connaissais bien Guéret.

Et bien le changement est assez sidérant, même pour une toute petite ville du fin fond de la province.

Le reportage nous a montré un paysagiste dont la voiture a brûlé l’an dernier. On découvre aussi un brave retraité dont le garage a été forcé avec un pied de biche.

Ensuite on apprend que de 2016 à 2022, les plaintes pour violences ont été multipliées par 3. Elles sont passées de 33 à 95. Pour une ville de 13.000 habitants !

C’est donc une évolution stupéfiante que celle qu’a connue Guéret et en très peu de temps.

Même ce type de ville voit du trafic de drogue s’y développer, indique le commissaire qui apparaît dans le reportage.

Deux facteurs explique cette évolution :

  • le développement incontrôlé de l’immigration et son cortège de délinquances
  • la Loi SRU qui oblige les communes de plus de 5000 habitants à avoir 25 % de logements sociaux. Or qui met-on en priorité dans ces logements ? Des migrants, dont un nombre certain se livrent au trafic de drogue ce qui contribue à pourrir très vite le quartier et même toute la ville dès lors qu’elle est d’une taille relativement modeste.

Et pour finir, le commissaire -chef de la police de Guéret- nous apprend que sa ville est devenu un enjeu, un territoire à conquérir pour les racailles de Limoges et Montluçon. Guéret étant à mi chemin entre ces deux villes. Limoges et Montluçon sont deux villes de beaucoup plus grande taille.

La seule conclusion qu’on peut tirer de ces éléments c’est que même des petites villes situées à plusieurs dizaines de kilomètres de villes plus grandes, deviennent l’enjeu des marchands de drogue. Il faisait bon vivre dans ces agglomérations il y a encore peu. C’est fini, la peste les a rattrapées et contaminées.

Autre exemple, Château-Thierry dans l’Aisne (02) donc dans le nord de la France. Une petite ville comptant un peu moins de 15.000 habitants.

C’était une petite ville tranquille. Ici aussi c’est terminé.

Les retraités sont partout vivre un peu plus loin, vraiment à la campagne pour y être au calme.

Ils ont été remplacés par d’autres populations auxquelles il convient de rajouter ceux qui occupent les logements sociaux. Les mêmes qu’ailleurs.

Résultat : selon les habitants en plein été le soir à 20 heures on entend fortement du rap marseillais s’échapper des voitures.

Et puis, il y a les motos-cross qui font aussi du vacarme en tournant dans le quartier.

La boulangère le dit « la rue Carnot (l’une des principales rues) devient infréquentable le soir ».

Bref, la ville est en train de complètement changer et ne ressemble plus à ce qu’elle était il y a seulement quelques années.

Combien sont-ils ces bourgs et petites villes à être ainsi transformés ? Défigurés serait sans doute un terme plus approprié.

La France est vraiment partie sur une mauvaise pente avec cette immigration qui submerge tout et s’étend partout.

Il n’y a plus guère que ceux qui habitent vraiment à la campagne qui sont encore relativement préservés.

Mais pour combien de temps ?

Car les petites villes sont très proches des habitations à la campagne.

Il m’étonnerait que quelques individus n’aient pas l’idée d’aller visiter ces habitations, histoire de voir s’il n’y a rien à rapiner.

Et là on aura touché le fond.

L’immigration est un cancer qui est en train de ronger notre société. Tous les immigrés ne sont pas des délinquants, mais il faut bien reconnaître que lorsque ces populations s’installent c’est assez souvent le début des problèmes pour les autochtones des localités concernées.

Et quand il s’agit de ville situées en grande banlieue des grandes villes, c’est encore pire. On parle alors de « banlieusardisation » de ces localités.

En quête de logements sociaux à bas coût, les ménages modestes s’éloignent de Paris et des grandes villes, et ils importent leurs codes. Pour le politologue Jérôme Fourquet, de plus en plus de populations issues de l’immigration maghrébine ou subsaharienne s’implantent dans les villes de province. C’est selon lui une des raisons qui expliquent les émeutes survenues dans ces villes après la mort du jeune Nahel.

Alors, arrêter l’immigration c’est une nécessité absolue, une évidence et c’est vraiment urgent.

Malheureusement ce sera absolument insuffisant.

Si nous voulons que la France reste la France, ou plus exactement redevienne la France et retrouve son visage, il faudra aussi penser à la remigration d’un nombre conséquent de ces migrants, tout particulièrement ceux qui ne veulent pas s’assimiler et ceux qui sont des délinquants.

Bernard GERMAIN, Riposte Laïque

. « Mères au foyer » : derrière la polémique, la fracture de société

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++ WEBTUBE : Quand on n’a pas d’idées en politique ni de déontologie, il est facile de jouer au jeu des petites phases tronquées sorties de leur contexte. C’est une méthode très efficace pour s’adresser à une population de moins en moins éduquée et de plus en plus enclin à croire n’importe qui dès qu’il dit une énormité.

Mais quelle énormité a bien pu proférer le député RN de l’Aisne Jocelyn Dessigny pour créer une telle polémique ? « Sous le vernis, le rance. À ceux qui pensent que l’extrême droite a changé… », a fustigé le ministre du renouveau démocratique Olivier Véran. « Pour le RN, c’est les hommes au travail et les femmes à la maison. Vision archaïque et rétrograde du monde », a réagi, pour sa part, Nadia Hai, députée Renaissance des Yvelines et présidente du groupe.

Voici donc les propos de l’élu picard : « Nous partons du principe qu’une mère au foyer est peut-être mieux à la maison à s’occuper de ses enfants. Si elle le souhaite. » Cette déclaration tenue dans le cadre des débats sur le projet de loi « plein-emploi » porté par le gouvernement a donc soulevé les élus de la majorité de leur banc… Et entraîné une bonne dose de mauvaise foi, puisque la plupart des médias ont titré cette citation en omettant la mention « Si elle le souhaite ». D’ailleurs, le député mariniste a embrayé : « Si elle le souhaite, vaut mieux qu’elle reste à la maison à s’occuper de ses enfants plutôt que vous l’envoyiez dans un dispositif où elle va devoir réaliser quinze heures d’activité. » Outre le fait que, par nature, une femme au foyer est… dans son foyer, on comprend facilement ce que révèle cette passe d’armes.

Car la polémique a eu l’avantage de masquer le réel sujet. Derrière ce projet de loi s’inscrit la volonté du gouvernement de centraliser les bénéficiaires du RSA dans un seul et même fichier. Cela, couplé à la volonté d’imposer aux bénéficiaires du RSA 15 heures de travaux d’intérêt général, entraînerait des situations ubuesques. Joint par téléphone, Jocelyn Dessigny n’a pas voulu commenter la polémique mais a précisé sa pensée : « Parmi les allocataires du RSA, il y a des personnes en suivi de conjoints, des micro-entrepreneurs qui viennent de lancer leur activité, des étudiants… et des mères au foyer. En bref, des gens qui n’ont rien à faire dans le marché du travail », alerte l’élu.

Le délitement de la cellule familiale

Derrière cette polémique assez vaine se cache, finalement, la volonté de la majorité de faire de belles économies au détriment des familles. Ainsi, à peine nommé, le ministre des Solidarités Aurore Bergé a annoncé sa volonté de raccourcir le congé parental et de mieux l’indemniser. Cela, afin de permettre aux parents en congé parental (des femmes, pour l’immense majorité des cas) de retourner travailler plus rapidement. En outre, les réactions qu’a suscitées cette phrase anodine du député Dessigny démontrent que pour les macronistes, une femme au foyer est avant tout une victime qui doit impérativement s’émanciper par le travail.

« Monsieur le Ministre, le dédain dont vous faites part ici est une insulte à toutes les mamans qui restent à la maison pour élever leurs enfants . Avec votre loi, vous souhaitez les priver de leur droit à être des mères au foyer ! Pas moi ! Je suis pour la liberté de choix », avait répondu Jocelyn Dessigny sur X. « Donc, si je comprends bien, dans l’esprit du gouvernement, une mère au foyer devra payer une garde pour effectuer quinze heures de travail pour mériter son RSA ? » soupire un autre député du groupe.

À ce sujet — Raccourcir le congé parental : Aurore Bergé commence fort !

La natalité et la famille : angle mort aussi à gauche

Aymeric Caron était bien seul, à gauche, à s’opposer à Aurore Bergé sur un critère familial : « C’est précisément l’inverse qu’il faut mettre en place : permettre aux parents qui le souhaitent d’élever leur enfant au quotidien les premières années, sans avoir à le confier à une crèche. Et, donc, prolonger fortement le congé parental (qui, certes, doit être beaucoup mieux indemnisé). » Car, à gauche aussi, la moindre opinion sur la natalité ou les choix privés relevant de la sphère familiale sont taxés de suspicion. Et ce n’est pas le député LR Thibault Bazin qui dira le contraire. L’élu défendait un amendement dans le cadre de la réforme des retraites censé « baisser le taux de CSG sur les revenus d’activités des mères de famille » en fonction du nombre d’enfants à charge. « Sans enfant demain, il n’y aura pas de renouvellement de générations », a-t-il dit pour cette mesure qui vise, selon lui, « à mieux soutenir les mères de familles qui travaillent ». Une hérésie pour la gauche. « Lâchez nos utérus », avait scandé Sandrine Rousseau, dans l’Hémicycle.

En commission, c’est Laure Lavalette qui s’est attiré les foudres de la NUPES en proposant des mesures pour relancer la natalité. « Une obsession lepéniste », pour la chercheuse en littérature Cécile Alduy. « Je suis choquée par la position du RN sur les femmes. Hier, on a eu droit à la politique nataliste, aujourd’hui, on a droit à la mariée. Moi, je parlerais d’incontinence conservatrice et rétrograde », avait protesté la députée NUPES Marie-Charlotte Garin.

« Rétrograde, sexiste, rance. » La France est sans doute le seul pays d’Europe ou parler de natalité et de femme au foyer renvoie aux heures les plus sombres de notre Histoire. « C’est magique, la libération de la femme, cela a tellement fonctionné qu’on décide à notre place », soupire une consœur trentenaire et mère de deux jeunes enfants…

Marc Eynaud, Boulevard Voltaire

. Tours : une Française de 67 ans brutalement enrichie dans son hall d’immeuble par un migrant soudanais

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Tours était une ville triste et repliée sur elle-même avant d’être enrichie de réfugiés politiques du Soudan

Dans la France d’Emmanuel Macron, il vaut mieux regarder derrière soi avant d’entrer dans son hall d’immeuble.

Actu17 :

Un homme de 36 ans a été interpellé par les policiers de la brigade anticriminalité (BAC) ce dimanche en début de soirée à Tours (Indre-et-Loire). Ce réfugié soudanais en situation régulière en France, qui était ivre, est soupçonné d’avoir tenté de violer une femme de 67 ans dans les parties communes de son immeuble, alors qu’elle rentrait chez elle, indique une source proche de l’affaire, confirmant une information de Valeurs Actuelles.

La police a été alertée peu après 18 heures par un voisin de la victime qui a entendu des cris et qui s’est alors interposé. Il a déclaré aux forces de l’ordre qu’un homme avait violemment agressé sa voisine de 67 ans avant de tenter d’abuser d’elle sexuellement, et de prendre la fuite. Rapidement sur place, un équipage de la BAC repère un suspect qui correspond à la description physique de l’agresseur. L’homme a sa braguette ouverte et il est ivre. Conduit au commissariat, il est placé en garde à vue différée. Il devait être interrogé ce lundi concernant cette affaire.

Selon les premiers éléments, l’agresseur a suivi la sexagénaire qui rentrait chez elle, dans un immeuble situé dans le quartier La Fuye-Velpeau. Alors qu’elle se trouvait sur le palier, l’homme se serait jeté sur elle, la frappant en lui mettant la main sur la bouche pour l’empêcher de crier. La victime et son agresseur sont tombés au sol. Il aurait partiellement dénudé la sexagénaire, avant que le voisin n’intervienne et mette le suspect en fuite, après avoir reçu des coups à son tour.

La sexagénaire a été transportée à l’hôpital pour y recevoir des soins et subir des examens. Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la sûreté départementale (SD). Selon le parquet, le trentenaire était jusqu’ici inconnu des services de police.

Bizarrement, les féministes n’ont pas dénoncé la culture du viol du suspect. C’est sûrement un oubli.

D.P.

. Philadelphie : scènes de pillages ethniques massifs cette nuit.

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++ WEBTUBE : La vie en société ce n’est pas un jeu vidéo ni une cours de récréation pour adolescent prépubères ! Ces vidéos de pillages ethniques à Philadelphie doivent nous rappeler que s’il existe des biens de consommation, de la nourriture abondante, des transports et de quoi se loger c’est grâce à une société organisée où des individus travaillent au quotidien pour rendre tout cela possible. La police devrait arrêter ces jeunes personnes, les mettre en prison et leur faire passer l’envie de recommencer. Il en va de la survie de nos sociétés occidentales. Pour le moment tout cela ressemble plutôt à une grande décadence qui semble plus ou moins acceptée par les dirigeants en place.

. Alsace : déjà “femme libérée” à 15 ans, la petite Blanche Lina disparaît

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Une gamine de 15 ans fringuée comme une clubeuse émancipée de 28 ans, rien ne cloche du tout dans cette photo ?

Il est totalement normal de laisser sa fille de 15 ans marcher seule pendant des kilomètres jusqu’à une gare pour se rendre ensuite dans une grande ville voir son « mec ».

C’est exactement comme ça que l’on doit éduquer ses filles mineures.

France Info :

Elle s’est volatilisée alors qu’elle se rendait à la gare. Lina, 15 ans, n’a plus donné signe de vie depuis samedi, en fin de matinée, dans le secteur de Saint-Blaise-la-Roche, une petite commune d’environ 230 habitants dans le Bas-Rhin, située à une soixantaine de kilomètres de Strasbourg. Alertée vers 14 heures, le jour même, la gendarmerie a lancé un appel à témoins. Une enquête pour disparition inquiétante, pilotée par le parquet de Saverne, a été confiée à la section de recherches de Strasbourg. Des premières fouilles ont eu lieu dès samedi, avec l’appui d’une équipe cynophile et d’un hélicoptère. Elles se poursuivent, mardi 26 septembre.

Dans son appel à témoin lancé samedi, la gendarmerie précise que Lina a les cheveux blonds mi-longs et mesure 1m60. Le jour de sa disparition, elle était vêtue d’une robe grise, d’une doudoune blanche et de chaussures Converse blanches. La gendarmerie n’a pas diffusé de portrait de la jeune fille, mais renvoie vers un appel publié sur une page Facebook, « Info Trafic Bas-Rhin ».

Selon les gendarmes, elle est partie samedi, vers 11 heures, de son domicile situé dans la petite commune de Plaine, dans la vallée de la Bruche, pour se rendre à la gare de Saint-Blaise-la-Roche, distante de trois kilomètres. Elle devait y prendre un train à 12h03 en direction de Strasbourg, pour y retrouver son petit ami. Ce dernier, ne la voyant pas arriver, « a immédiatement donné l’alerte à la famille » de la jeune fille, relate le parquet de Saverne.

Selon la gendarmerie, Lina a marché de son domicile à la gare de Saint-Blaise-la-Roche, située à trois kilomètres de son domicile, en empruntant la route D350. Elle devait ensuite emprunter une piste cyclable sur la dernière partie du trajet. Des vérifications menées sur place ont permis d’affirmer qu’elle n’était pas montée dans le train, précise le parquet de Saverne lundi. « Certes, le chemin qu’elle empruntait de chez elle jusqu’à la gare est dans un endroit où il n’y a pas trop de maisons et où il y a un petit peu de circulation, mais ce n’est pas un coupe-gorge », affirme à BFMTV Patricia Simoni, la maire de Plaine, la commune de résidence de l’adolescente.

Ce n’est jamais un coupe-gorge jusqu’à ce qu’une gorge y soit coupée.

Aucune piste n’est pour l’instant privilégiée, selon la procureure de Saverne, qui souligne que Lina n’est pas connue pour des faits de fugues. « C’est une famille sans problème particulier à ma connaissance », assure la maire de la Plaine à France 3. « Des investigations téléphoniques » ont été ordonnées par le parquet.

Des opérations de ratissage sont également menées depuis samedi sur les lieux de la possible disparition avec le renfort d’une équipe cynophile, d’un hélicoptère et de drones. Lundi, plus de cent volontaires ont participé à une battue, après un appel lancé par la famille de la disparue, rapporte France Bleu Alsace.

La mère de la jeune fille a brièvement pris la parole devant les journalistes, lundi après-midi. « Ma fille Lina, 15 ans, a disparu samedi matin. Elle a dû partir de la maison à 11h (…) Vers 11H20 elle a envoyé un message à son petit ami, c’est la dernière fois qu’on a eu des contacts avec elle (…) », a-t-elle notamment expliqué, très émue. Elle a remercié toutes les personnes qui participent aux recherches et la gendarmerie, « pour sa réactivité ».

Où est le père ?

S’il existe pourquoi ne s’exprime-t-il pas ?

si cette mère avait interdit à sa fille de sortir seule pour aller à des dizaines de kilomètres, peut-être que sa fille serait encore chez elle, en sûreté ? Il s’agit d’un réflexe élémentaire de survie dans ce monde de plus en plus ensauvagé.

Il y a encore quelques décennies, c’était l’évidence. Aujourd’hui, les adolescentes de 14 ou 15 ans ont déjà un smartphone, portent des fringues moulants, couchent et n’ont aucune espère d’autorité paternelle pour surveiller leurs faits et gestes.

Résultat, les millions de bêtes sauvages importées de tous les continents par Emmanuel Macron et ses prédécesseurs peuvent chasser le gibier blanc sans aucun obstacle. Sans parler des détraqués habituels.

Ce n’est pas la police de Darmanin qui va les arrêter.

Conclusion : Quand on a une fille de 15 ans, elle reste à la maison, on limite l’usage du smartphone et on évite qu’elle ait déjà un « mec ». Enfin on évite aussi les tenues moulantes dans les transports quand on est seule. C’est malheureusement ce qu’il faut faire dans le nouveau monde “ensauvagé” voulu par nos dirigeants en place.

D.P.

. Stanislas Rigault : Ce document que le gouvernement veut à tout prix vous cacher

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Stanislas Rigault, président de Génération Z et membre du bureau exécutif de Reconquête, vous parle d’un document gouvernemental adressé aux administrations pour faire accepter aux Français la répartition des migrants dans nos campagnes. Téléchargez le document : https://accueil-integration-refugies…. Avec Eric Zemmour, Reconquête s’oppose fermement à cette répartition des migrants et exige qu’on les fasse repartir plutôt que de les répartir.

. Frédéric Taddeï – Propagande et Information.

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Ici, discussions autour de sujets controversés avec des invités de qualité et sans préjugés, en abordant les grands enjeux de notre époque et en posant des questions difficiles, dans un espace de dialogue et de réflexion libre de toute idéologie. Cette chaine a pour objectif de promouvoir les apparitions de Frédéric Taddeï ainsi que de faire de la publicité à sa nouvelle émission sur CNEWS. 📩 tad.medias@gmail.com 00:00 Démocratie française autoritaire 16:54 Propagande et information 49:18 La vision du pape 1:18:34 La surveillance contemporaine

. Hausse des vols : les paysans en première ligne face à l’ensauvagement

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« Stop vols dans les champs ! Propriété privée ! » « Marre des vols ! Agriculteurs en colère. » Sur le bord des routes, les paysans affichent leur mécontentement en grosses lettres. Potirons dérobés, pommes de terre arrachées, pieds de vigne volés, systèmes de GPS agricole subtilisés… Depuis plusieurs semaines, les agriculteurs français font face à une recrudescence des cambriolages.

Le fléau des vols agricoles

Jamais Guillaume Delannoye n’aurait pensé vivre cette scène. Maraîcher dans les Flandres françaises, il cultive des potirons. Il y a quelques jours, alors qu’il inspectait ses parcelles, raconte Le Parisien-Aujourd’hui en France, il découvre une femme venue faire son marché dans l’un de ses champs. Comme lui, de nombreux agriculteurs ont vu une partie – parfois plusieurs hectares – de leurs légumes dérobés par des particuliers ou des bandes bien plus organisées qui revendent ensuite leur butin sur les marchés ou en ligne. Pour le syndicat des Jeunes Agriculteurs, joint par BV, de « nombreux agriculteurs des Flandres sont actuellement touchés par ce problème ». Un phénomène qui s’étend sur tout l’Hexagone. Miel volé en Loire-Atlantique (BFM TV), « le fléau des vols de GPS agricoles en Normandie » (France Bleu Normandie), « vols de matériels agricoles » en Seine-et-Marne (20 Minutes), « agriculteurs excédés par le vol de leurs légumes » dans l’Oise (Le Parisien), « recrudescence des vols de GPS en Meurthe-et-Moselle » (Le Républicain lorrain), « vols de carburants signalés dans le Haut-Rhin » (France 3 Alsace)… La presse régionale regorge de faits divers malheureux dont sont victimes les agriculteurs depuis la fin de l’été. Pas un département ne semble épargné.

Si le phénomène n’est pas nouveau – déjà, au début des années 2010, des paysans alertaient les autorités -, il prend désormais des proportions inquiétantes. Ainsi, en 2022, 16.000 atteintes aux biens agricoles ont été recensées par la gendarmerie, soit une toutes les 30 minutes. Une hausse de plus de 6 % par rapport à 2019, quand la cellule Déméter (désormais inactive) comptabilisait 14.998 faits. Et les premiers chiffres de 2023 laissent présager une nouvelle année noire pour les paysans. Ainsi, la gendarmerie d’Eure-et-Loir dénombrait, avant l’été, « vingt délits de plus que l’année dernière à la même période » sur le département. Même constat dans le Calvados ou en Ille-et-Vilaine. Une augmentation qui contraint les agriculteurs, déjà pris à la gorge, à s’équiper en systèmes de surveillance.

« Des gens mal éduqués »

Pour expliquer cette hause des atteintes aux biens agricoles, les syndicats pointent d’abord l’inflation. L’explosion des prix du carburant et l’inflation sur les biens alimentaires et ménagers conduiraient certains particuliers à se servir directement dans les fermes ou les champs afin de réaliser quelques économies.

Mais, plus grave, ces vols à répétition sont surtout le symptôme d’un ensauvagement de la société. « Oui, l’augmentation du coût de la vie [peut expliquer cette razzia sur les campagnes] mais ce n’est pas que ça », confie un jeune agriculteur à la radio Delta. « Ce sont des gens mal éduqués qui essaient de se faire un peu de sous sur le dos des agriculteurs », poursuit-il. Forts d’un sentiment d’impunité, certains n’hésitent ainsi pas à voler les paysans, souvent bien impuissants pour lutter contre ce fléau. D’autres, plus organisés, venus de l’étranger (Europe de l’Est), mettent en place un véritable trafic international.

À ces vols à répétition qui mettent en danger la rentabilité des exploitations agricoles s’ajoutent les attaques de l’extrême gauche et les actes de vandalisme de groupuscules écologistes sur des exploitations. Les agriculteurs, autrefois respectés sont aujourd’hui abandonnés, et à bout.

Clémence de Longraye, Boulevard Voltaire

. Allez voir le film “Bernadette” !

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Ce n’est pas si souvent que les personnages politiques de notre pays prêtent à sourire. Alors, quand on peut voir un film qui souligne malicieusement leurs travers et nous faire rire quelques bonnes fois, il ne faut pas s’en priver !

Bernadette est un film de Léa Domenach, avec d’excellents acteurs et une mise en scène bien réussie. Le choix des acteurs n’a pas dû être facile, mais ils se sont sans doute bien marrés à tourner ce film. Bernadette Chodron de Courcel, épouse Chirac, est jouée par Catherine Deneuve. Pas ressemblantes et d’âges différents, Bernadette Chirac ayant eu entre 62 et 74 ans pendant la présidence de son mari, et l’actrice ayant davantage aujourd’hui, cette caractéristique est effacée par son talent de comédienne. Jacques Chirac est joué par Michel Vuillermoz, que les spécialistes ont remarquablement grimé afin qu’il ressemble au vrai, lui ajoutant probablement du nez et du menton, donnant à sa magistrale interprétation une allure confondante, dans tous les sens du terme.

On reconnaît facilement, avant même que leur nom soit prononcé : Dominique de Villepin avec sa tignasse et ses costumes trois pièces déjà surannés, et ses gaffes dont la mémorable dissolution de l’Assemblée nationale – Nicolas Sarkozy dont l’interprète imite si bien sa façon de parler en phrase courtes et un peu ridicules tout en agitant la tête – Xavier Bertrand dont on se demande si ce n’est pas lui jouant son propre rôle… On note une sosie particulière de Hillary Clinton et la désopilante caricature de Karl Lagerfeld avec ses cheveux gris en queue de cheval, ses verres fumés hors circonstance, sa façon de parler en agitant un éventail. Sans doute l’un des meilleurs éclats de rire du film, avec les réparties de Bernadette Chirac et les gesticulations de son mari.

Les cadres de tournage sont fort bien choisis, en extérieur et en intérieur, les vêtements d’époque – pas si lointaine – à peine sortis de la naphtaline, et on si on est amateur de belles voitures, on se régale à retrouver quelques rares pièces de collection.

Le film devait initialement se nommer La Tortue, l’un des surnoms d’une délicatesse remarquable que donnait Chirac à son épouse lorsqu’elle contrariait, par sa lenteur supposée, son rythme de politicien macho. Ce nom resta l’indicatif de travail durant le tournage et fut remplacé tardivement par Bernadette, bien meilleur choix à mon avis. Celle-ci ne manqua pas de rendre à son époux volage, crédule et inconstant les nombreuses avanies qu’il lui fit subir, notamment lorsqu’il fut devenu président. Indélicatesse fort bien rendue dans une scène du film où on le cherche partout alors que Lady Di vient d’être hospitalisée là où elle va mourir. Pendant ce temps, Chirac est dans un hôtel particulier de Palerme et c’est finalement une voix féminine qui répond à l’interphone. Les nombreux participants s’affairant à autant de téléphones présents dans la pièce entendent sans oser trop regarder madame Chirac. Celle-ci abrège la situation au juste moment, sans s’attarder sur ce qu’elle en pense. Elle ne se présenta jamais en victime et défendit son mari autant qu’elle le put, allant même jusqu’à se réconcilier avec le déloyal nain de jardin. Une droiture de comportement dont devraient s’inspirer tous ceux qui se plaignent de leur sort en le laissant prendre en charge par les autres. Des qualités et des efforts non négligeables offerts avec constance à un individu peu fréquentable malgré ses allures officielles. Rendons-lui cependant cette vérité qu’il fut le dernier président à en avoir l’allure, avant que ne lui succèdent les « petits malfaiteurs » comme l’écrit Jean-Marie Le Pen dans ses mémoires, des hommes sans classe ni distinction. Sachant faire le beau en public, Chirac n’en était pas moins détestable en cercle restreint dès qu’il se trouvait contrarié.

Toutes les scènes du film ne sont pas véridiques, le spectateur en est averti dès le début. Mais vraies ou imaginaires, les séquences produisent quelques bons rires tout en amenant réflexion, et forment un ensemble cohérent où l’on ne s’ennuie jamais. Les vrais personnages encore vivants caricaturés ou révélés tels qu’ils sont dans le film en sont-ils satisfaits ? Non sans doute, pour notre plus grand plaisir !

Daniel Pollett, Riposte Laïque