. Macron vend la France par la dette

Articles     : Oct. 2023Sept 2023Aout 2023Juillet 2023 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

Rassurez-vous, Français, tout va bien dans la meilleure Macronie. « Tout en continuant de baisser la fiscalité, l’État investit dans l’avenir : la transition écologique, nos services publics et notre souveraineté nationale », affirme un sous-titre de l’exposé des motifs du projet de loi de finances (PLF) pour 2024. Moyennant quoi, ledit PLF prévoit un besoin de financement de quelque 300 milliards d’euros et, pour y répondre, le gouvernement va lancer 285 milliards d’euros d’emprunts, qui s’ajouteront aux 3.000 milliards de dette publique enregistrés à la fin du deuxième trimestre 2023 (3.046,9 milliards d’euros, selon l’INSEE). Au troisième trimestre 2017, juste après l’entrée d’Emmanuel Macron à l’Élysée, la dette des administrations publiques s’élevait à 2.218,4 milliards d’euros. Autrement dit, en moins de sept ans, l’ancien associé gérant de la banque Rothschild aura accru l’endettement de la France de plus de 1.000 milliards d’euros.

Or, l’État paye à ses créanciers des intérêts, qui deviennent de plus en plus importants lorsque les taux augmentent, comme aujourd’hui. Cette charge de la dette s’élève, dans le PLF 2024, à 52,2 milliards d’euros. On donnera une idée de son importance en précisant qu’elle est supérieure aux budgets consacrés à la Défense (47,2 milliards d’euros), à la Recherche et l’Enseignement supérieur (31,6 milliards) et cinq fois plus importante que le budget de la Justice (10,1 milliards) ! Or, en raison de la hausse des taux d’intérêt, il est prévu que ces intérêts de la dette augmentent rapidement, jusqu’à atteindre 61 milliards d’euros en 2026.

Cet endettement public a d’énormes conséquences sur la souveraineté nationale, puisqu’il nous met à la merci d’un relèvement des taux d’emprunt par les banquiers et financiers internationaux – en somme, nos créanciers. Une augmentation brutale des taux aurait évidemment des répercussions douloureuses sur l’économie nationale et le niveau de vie des Français. En 2022, la question des conséquences économiques d’une victoire de Marine Le Pen au deuxième tour avait été posée dans la presse économique ; et l’on peut se demander, en effet, qu’elle aurait été la marge de manœuvre de la présidente du Rassemblement national si elle avait été soumise à un chantage à la remontée des taux.

On reproche parfois au Premier ministre italien Giorgia Meloni d’avoir renoncé à appliquer une partie de son programme. Mais les critiques savent-ils que l’Italie a connu la plus forte inflation de la zone euro, atteignant 8,7 % en 2022 ? La dette publique italienne atteignait 150 % du PIB, à la fin de l’année 2021, et les taux d’intérêt avaient commencé à grimper avant même la victoire électorale de la présidente de Fratelli d’Italia…

L’objection qui consiste à dire qu’il suffirait de faire défaut et de refuser de rembourser la dette n’est pas réaliste. On ne se met pas en faillite sans conséquences, comme le constatent les Argentins, qui doivent faire face à une inflation de 115 % sur un an. Depuis des décennies, la France vit sous perfusion. Sans crédits, alors que l’État se complaît dans le déficit budgétaire depuis la présidence de Giscard d’Estaing, avec quoi payer aujourd’hui les traitements des fonctionnaires, les pensions des retraités, les allocations des chômeurs, la paix sociale dans les banlieues ? Il ne suffit pas à un captif de souhaiter se libérer de ses liens pour retrouver sa liberté.

L’énorme poids de la dette menace gravement l’indépendance et la souveraineté nationales et a une forte incidence sur la vie démocratique, expression théorique de la souveraineté du peuple – et paravent commode pour nos gouvernants. En effet, plus la dette grossit, plus la possibilité d’un changement de paradigme politique et économique diminue. De ce point de vue, l’endettement fait le jeu d’Emmanuel Macron, dont le gouvernement continue à dépenser un « pognon de dingue », soutiré aux contribuables sous forme d’impôts présents ou à venir – sans parler de la flambée de l’inflation qui en résultera.

Pour l’instant, Macron joue sur du velours et sait que l’importance même de la dette française le protège. « Too big to fail » : trop gros pour faire faillite ; une faillite française présenterait de gros inconvénients aussi pour le système économique mondialisé, dans lequel le Président français est bien intégré. Mais les Français le paieront cher dans les prochaines années.

Éric Letty, Boulevard Voltaire

. Coiffeurs, épiciers, vendeurs de kebab… A Montpellier, enquête sur ces petits commerces qui blanchissent les milliards d’euros issus du trafic de drogue

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++ WEBTUBE : La drogue gangréné tous les secteurs de l’économie. Les centres villes sont maintenant remplies de commerces qui n’existent que pour blanchir l’argent de la drogue. Petit à petit, la France se transforme en un pays de narcotrafiquants. C’est aussi ça la fin de notre pays. La police se félicite d’avoir récupéré 112 millions l’année dernière…. mais combien de milliards associés à ces trafics ? Quelle progression d’année en année ?

. Punaises de lit et migrants : scandaleux procès contre Pascal Praud

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Scandaleux procès à charge contre Pascal Praud pour une question logique

Sommes-nous encore dans un pays libre ou bien dans une dictature où il est interdit de poser une question concernant les immigrés ?

C’est dans une incroyable hystérie collective que la chasse en meute contre Pascal Praud est lancée. L’Arcom est saisie et chacun y va de son couplet moralisateur pour ne pas donner l’impression fâcheuse qu’il a la fibre politiquement correcte légèrement émoussée.

“Je n’accepterai jamais les discours de haine dans les médias comme ailleurs. Il ne faut rien laisser passer”, a déclaré Bérangère Couillard, ministre chargée de la lutte contre les discriminations. Elle a demandé à la Dilcrah de saisir l’Arcom.

Ahurissant ! Nous sommes ruinés, nous avons 10 millions de pauvres dans le pays, l’insécurité explose tous les compteurs, le pouvoir d’achat angoisse les Français, certains ne mangent plus à leur faim ou ne peuvent plus se loger, mais le problème numéro 1 des médias et du gouvernement, c’est le soi-disant racisme de Pascal Praud. Cela en devient grotesque. Mais qu’a donc dit notre journaliste de CNews qui soit si grave ?

Alors que l’invasion des punaises de lit devient un problème de santé publique, Pascal Praud interroge, au cours de son émission “L’heure des pros” :

“Est-ce qu’on sait pourquoi il y a plus de punaises de lit aujourd’hui ? Est-ce lié à l’hygiène ? Je vais poser toutes les questions”

“Il y a beaucoup d’immigration en ce moment. Est-ce que c’est les personnes qui n’ont pas les mêmes conditions d’hygiène que ceux qui sont sur le sol de France qui les apportent, parce qu’ils sont dans la rue, parce que peut-être n’ont-ils pas accès à tous les services comme les autres ? Est-ce que c’est lié à cela ?”

Prévenu de la polémique naissante sur les réseaux, le journaliste ajoute en fin d’émission :

“l’Association nationale d’assistance aux frontières pour les étrangers s’est retirée de la zone d’attente de Roissy infestée par les punaises de lit”.

https://www.sudouest.fr/sante/migrations-immigration-police-lead-punaises-de-lit-une-association-alerte-sur-la-zone-d-attente-pour-etrangers-a-roissy-16098288.php

Mais trop tard, la meute est lâchée et les gardiens de la pensée unique se surpassent :

Propos odieux, haineux, racistes etc. Rien d’étonnant sur une chaîne d’extrême droite.

Évidemment, tout est bon pour éclabousser CNews, la seule chaîne qui ose encore s’affranchir de la dictature du politiquement correct.

Ce tollé est d’autant plus hypocrite que les plus hautes autorités de santé confirment que certaines maladies sont véhiculées par l’essor des migrations.

Voici ce que disait Jean-Pierre Bourassa, docteur en biologie et entomologie :

“Depuis le début du nouveau millénaire, la punaise de lit se propage de façon inquiétante ; elle profite en particulier de l’essor des moyens de transport et de l’immigration qui impliquent l’entrée de bagages importants et d’effets personnels, dont literie et vêtements.”

Où est le racisme dans ces propos ?

Voici ce qu’on peut lire sur Wikipédia sur les maladies d’importation :

“Il s’agit d’infections contractées le plus souvent en zone tropicale : parasitoses et mycoses, infections virales et moins souvent bactériennes.”

Trois infections prédominent : tuberculoseVIHhépatites virales.

“L’incidence de la tuberculose chez les migrants récemment arrivés est directement liée à son incidence dans le pays de provenance, mais aussi de nouvelles contaminations dans les foyers de travailleurs migrants. Les migrants présentant une tuberculose sont originaires d’Afrique subsaharienne pour 36 % d’entre eux, du Maghreb (29 %), d’Europe de l’Est (15 %), d’Asie (14 %), d’Amérique latine (6 %).”

“Par rapport à la population générale, la tuberculose est jusqu’à 8 fois plus fréquente chez les migrants arrivés depuis moins de 2 ans, c’est particulièrement le cas en GuyaneÎle-de-France et Provence-Alpes-Côte d’Azur.”

“Pour l’infection par le VIH, en 2015, sur les 6 500 nouveaux cas estimés en population générale,      38 % sont des personnes nées à l’étranger, et jusqu’à 60 % en Île-de-France. Les personnes concernées sont en majorité des femmes d’Afrique subsaharienne : dans près de la moitié des cas, la contamination a eu lieu en France, peu de temps après l’arrivée, puis viennent les personnes en provenance des Caraïbes, d’Afrique du nord, d’Europe de l’Est, du Portugal et d’Asie.”

“La contamination est le plus souvent hétérosexuelle. Le taux de découverte de nouveaux cas de VIH parmi les migrants est de l’ordre de 53 pour 100 000 (291 si origine subsaharienne) contre 5,4 pour les personnes nées en France.”

“L’hépatite B est très fréquente chez les migrants, notamment d’Afrique subsaharienne et d’Asie, sa prévalence est estimée de 1,5 à 5 %, seuls 41 % des personnes interrogées ont été vaccinées contre l’hépatite B.”

“La vie dans la rue ou en campement urbain favorise les maladies de la précarité : galedermatoses diverses, maladies virales respiratoires (grippe), varicelle ou rougeole chez les non vaccinés, insécurité alimentaire et carences nutritionnelles.”

Par conséquent si le fait de se demander si les migrants peuvent véhiculer des punaises de lit, alors que les plus hautes autorités de santé nous disent qu’ils véhiculent la tuberculose, le VIH ou les hépatites virales dans des proportions supérieures à celles de la population française, si une telle question est signe de racisme, alors la France n’est plus la patrie des droits de l’homme et des libertés. C’est une dictature de la pensée et ceux qui prétendent défendre les droits de l’homme sont des imposteurs et les fossoyeurs de la liberté.

Dans notre France de 2023, on peut chanter “Pendez les Blancs” en toute impunité, mais demander si l’invasion des punaises de lit n’est pas liée aux migrations est un odieux crime raciste. C’est abject.

Je ne reverrai plus les Trente Glorieuses et la belle France que j’ai tant aimée. Mais je partirai sans regret, tant les successeurs du général de Gaulle ont saccagé son héritage et détruit la France que le monde entier admirait.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Gilbert Collard : La France, pays du tiers-monde !

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++ WEBTUBE : La France des lumières devient la France de la pénombre. Nous ne rayons ni pour nos idées, ni pour nos innovations.

Retrouvez tous les vendredis la réaction de Gilbert Collard sur un sujet d’actualité de la semaine ! Au programme cette semaine : _ L’antisémitisme à l’université _ Inflation : la France s’écroule _ Bayonne : le verdict de la honte ! _ Azerbaïdjan : l’UE complice !

. Marseille, les algériens parlent aux Blancs : « On fait plus d’enfants on va vous niquer… vous êtes nos esclaves, vous travaillez pour nous ».

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++ WEBTUBE : Le vivre ensemble ce doit être dans les deux sens…. A Marseille ce n’est pas vraiment le cas…. Et ce n’est pas près de s’améliorer avec le discours ambiant de nos chers hommes politiques qui ont le trouillomètre à zéro !

L’article de D.P :

Vous soignerez les moukères et vous serez heureux.

Les catholiques appellent ça une mosaïque d’espérances.

. Tessancourt (78) : Le témoignage poignant de l’animateur Bruno Guillon, braqué à son domicile

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Quatre individus auraient pénétré au domicile de l’animateur dans la nuit de mardi à mercredi avant de repartir avec des montres, des bijoux et des sacs de luxe.

Les faits se sont déroulés en pleine nuit, aux alentours de 3h40 du matin. Bruno Guillon affirme avoir été séquestré avec sa famille – sa compagne et un enfant de 14 ans. Selon lui, quatre hommes sont entrés par effraction dans son domicile.

L’animateur explique avoir été menacé à l’aide d’une arme de poing et d’un marteau. Sa femme, elle, aurait été ligotée et bâillonnée.

Les individus seraient repartis avec des montres, des bijoux et des sacs de luxe. Le couple, qui n’a pas été blessé, est en état de choc.

Le Parisien

. Raisonnablement sexiste. Le dernier Laurent Obertone est sorti…et il va faire du bruit !

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Tandis que le monde de l’édition pour bobos parisiens et journalistes de gôche attend chaque année la « rentrée littéraire » qui accouche tout de même majoritairement de navets indigestes, des milliers de lecteurs eux, sont dans l’attente du livre non conformiste, impertinent, qui sortira. Et bien souvent, chaque année, c’est Laurent Obertone qui jette des pavés dans la marre.

Avec Raisonnablement sexiste, vous allez vous régaler. Et réfléchir. Il faudrait peut être même le faire digérer à Sandrine Rousseau et consorts.

C’est incisif. Percutant. Cela vous pousse y compris dans vos propres retranchements. Et surtout, c’est drôle, parfois noir. C’est un livre qui, dans une autre société ne ressemblant pas à un asile à ciel ouvert, pourrait même s’appeler traité de la normalité entre les hommes et les femmes.

Voici comment Magnus, son éditeur, présente le livre (à commander ici) :

Jamais les hommes et les femmes n’ont été à ce point malmenés, niés, séparés les uns des autres, par une époque qui semble jurer leur perte. Une relation déjà difficile, chaque jour un peu plus empoisonnée. D’un côté les salauds qu’il faut déconstruire, de l’autre les malheureuses oppressées, victimes du patriarcat sexiste.

Féminisme Netflix, wokisme « non binaire », théorie du genre dans les écoles… L’évolution des rapports amoureux, de la sexualité, des familles et des couples s’avère catastrophique.

Il est temps de renverser la vapeur.

Spécialiste des vérités qui dérangent, Laurent Obertone rompt une nouvelle fois avec le dogme, pulvérise les tabous, et nous plonge dans un bain de réel.

Comprendre les hommes et les femmes, les ramener à leurs particularités et aspirations fondamentales, pour mieux les réconcilier, les unir et les accomplir. Lecteurs et lectrices, voici l’heure du bilan sans concession, et du traitement de choc. Dans cette tragédie dont nous sommes les héros, vous seuls pouvez remettre les choses à l’endroit.

Tel est l’objet de ce livre décapant.

Tel sera le tombeau du politiquement correct.

On ne va pas vous spoiler ce livre, que vous lirez sans doute d’une traite en quelques heures, en vous régalant.

Par contre, nous avons interrogé Laurent Obertone, pour l’évoquer. Entretien ci-dessous.

Breizh-info.com : Quelle a été votre principale inspiration pour écrire “raisonnablement sexiste” ? La bibliographie de fin de livre laisse à penser que votre travail de recherche a été considérable….

Laurent Obertone : Ce sujet me travaille depuis très longtemps. Il est le fruit de mes observations et de moult lectures et publications scientifiques. Le plus délicat est de s’abstraire de ce que l’on croit savoir, ce que les médias nous rabâchent, ce que l’air du temps exige, pour revenir à une réalité dénuée d’idéologie. Évoquer de simples différences entre les hommes et les femmes est déjà quelque chose de dangereux, pour peu qu’on ne soit pas honorablement connu des autorités morales (les grands médias et leurs habitués), ça deviendra même un excellent motif de mise à mort sociale… Je dirais que c’est simplement un livre de « bon père de famille », forgé par le bon sens, conçu dans la durée, à l’abri de l’hystérie médiatique, qui régulièrement nous explique tout le chemin qui reste à faire pour gommer nos spécificités, nos identités. Ce que nous sommes.

Breizh-info.com : Comment définiriez-vous le féminisme ? Comment votre perspective sur le féminisme a-t-elle évolué au fil des changements sociétaux de ces dernières années ?

Laurent Obertone : D’abord affaire de revendications modestes autour de la condition des femmes, puis très vite sorte de panoplie idéologique bourgeoise, d’étiquette morale marketing, avec force de censure, comparable à l’antiracisme, le féminisme est au fil du temps devenu bien difficile à définir, tant il a pris plusieurs formes. Aujourd’hui des militantes se réclamant du féminisme peuvent à la fois prôner l’égalité totale de tout (aspirations, salaires, sentiments, etc.), donc l’indifférenciation entre hommes et femmes dès le plus jeune âge, mais aussi leur séparation totale, la sexualité la plus débridée ou son refus, le port du voile ou la nudité, la prostitution ou son interdiction, la déconstruction des uns et des autres, la mise à genoux option stérilisation du “patriarcat des puissants” – les hommes blancs hétérosexuels –, le soutien des hommes trans dans les compétitions féminines, la promotion de la dénatalité ou de la GPA, etc. Il est bien difficile de s’y retrouver, et ce féminisme a généralement tendance à s’effacer derrière les exigences wokistes. On peut rester féministe vis-à-vis des cartables roses, du vocabulaire et des magasins de jouets, mais on sera plus réservé vis-à-vis du harcèlement de rue, des violences et des viols quotidiens par centaines.

Breizh-info.com : En lisant votre livre, on se sent parfois bousculé, moqué même (qui peut prétendre ne pas se reconnaitre dans quelques uns des exemples que vous citez). Votre but était-il également de pousser chacun à faire une sorte d’introspection autour de sa propre vie, de ses propres contradictions ?

Laurent Obertone : Exactement ! Je m’inclus moi-même dans cette introspection, nous manquons souvent de recul sur nous-mêmes, beaucoup sont capables de mener des vies professionnelles abouties, et ramer lamentablement du point de vue sentimental ou conjugal. Nos actes ont des conséquences, nos sentiments des raisons profondes, et il n’est pas interdit d’y réfléchir, de se comprendre, de se mettre à la place de l’autre. J’ai voulu conduire le lecteur à se regarder en face, car je continue à penser qu’en prenant un peu de recul, lui seul détient la possibilité d’améliorer sa vie et ses perspectives, bien plus que quiconque – tel gourou, penseur, idéologue, politicien, etc. – ne pourra le faire à sa place.

Breizh-info.com : Eu égard du degré d’hystérie, mais aussi de manque d’humour (ou de recul) qui tend à se massifier dans nos sociétés occidentales qui ne supportent plus ni débat, ni critique, n’avez vous pas peur qu’y compris certains de vos lecteurs soient choqués, vexés finalement, par ce que vous écrivez ?

Laurent Obertone : Oui, j’ai toujours cette crainte. L’appréciation du second degré sans les smileys pour le souligner est devenu un bien plus rare que l’or… Mais je reste partisan de cette méthode « coup de pied au cul », dont le but est de faire réagir le lecteur, dans son intérêt. Si un livre sur un tel sujet n’est qu’un moment divertissant, il manquera son but. Le lecteur est souvent prompt à attribuer les critiques qu’il lira à d’autres, son voisin, son conjoint, son patron, le but est aussi qu’il se remette en question, et cesse de regarder ailleurs. Pas facile, à une époque où tout est fait pour éliminer la notion de responsabilité. Donc pour paraphraser Churchill, si telle vérité vous fait trébucher, ne passez pas votre chemin trop vite : prenez le temps d’y réfléchir. Rien de tel pour se grandir.

Breizh-info.com : Si vous deviez vendre votre livre à Sandrine Rousseau ou à d’autres personnalités médiatiques féministes, dans le but qu’elles débattent ensuite avec vous, que leur diriez vous ?

Laurent Obertone : Que la confrontation mènera plus souvent à la réflexion sincère, voire à la remise en question, que l’entre soi perpétuel et satisfait. Mais de telles personnalités doivent leur existence et leurs confortables revenus à leur idéologie, si dévoyée soit-elle. Et pour survivre dans un milieu si concurrentiel, il faut se livrer à une course à la radicalité, à qui ira le plus loin dans le délire. Elles n’ont que faire du réalisme, de la vérité, et n’ont aucune raison objective (payante) de s’aventurer sur le terrain du débat avec quelqu’un comme moi. De leur point de vue, je suis une sorte de démon, et on ne parle pas à Satan, ça ne peut que le servir, défaire son image d’épouvantail utile.

Breizh-info.com : Finalement, lorsque vous titrez « raisonnablement sexiste », et lorsque l’on referme votre livre, ne peut-on pas se dire que vous aurez pu titrer « Les relations hommes-femmes ou l’éloge du bon sens » ?

Laurent Obertone : C’est un excellent résumé, la notion de bon sens est fondamentale. Mais j’aime bien la petite touche de provocation d’un sexisme raisonnable, avec la sérénité d’un lion symbolisant nos différences immuables, qui annonce la couleur et suffira déjà à épouvanter Sandrine et son orchestre. De leur point de vue, le fait d’évoquer des différences entre les hommes et les femmes est déjà un crime sexiste inexpiable, motivé par on ne sait quelle haine inavouable, tout juste refoulée. Il est vrai que la déconstruction méthodique de leur « féminisme » représente de leur point de vue une menace mortelle – la survie d’une pensée libre et assumée. Raison de plus pour appeler les esprits, féminins comme masculins, à s’émanciper de leurs interdits, de leur prêt-à-penser, à revenir au réel et à renvoyer paître tous ceux qui veulent nous faire taire et disparaître.

Propos recueillis par YV
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. La voiture, symbole de la puissance chinoise

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Jean-Baptiste Noé

Longtemps, la voiture fut le symbole de la puissance américaine. Elles étaient belles et grandes, elles symbolisaient la liberté, les grands espaces et elles étaient pilotées par les idoles cinématographiques : James Dean, Steve McQueen, tant d’autres. La voiture était la synthèse des deux piliers de la puissance américaine : la puissance industrielle, dont Ford et General Motors étaient les dignes représentants, et la puissance culturelle, par les films, les symboles, les images, dont le cinéma fut l’un des vecteurs essentiels.

Rêve pour les pauvres, qui espéraient pouvoir se déplacer librement, sans contrainte, entre amis ou en famille, c’est au moment où la voiture est devenue plus sûre, plus fiable et accessible à tous, qu’elle fut frappée d’interdit. Peut-être parce que les ouvriers et la classe moyenne se hissaient avec elle au même niveau que les classes élitaires. La voiture fait toujours rêver, mais il est interdit de rêver à voix haute et l’on imagine mal désormais des road movies comme Sideways(2004) à travers les vignes de Californie ou Il Sorpasso (Le Fanfarron, 1962) où le jeune Jean-Louis Trintignant est trimbalé à travers les routes italiennes. Fini les paysages qui défilent et les discussions à contre-vent. La voiture est toujours un symbole, mais un symbole que l’on veut désormais honteux.

La Chine et le rêve automobile

Rien de tout cela en Chine, qui bâtit patiemment sa puissance industrielle, à défaut d’avoir encore, pour l’instant, une puissance culturelle qui crée en Europe un rêve chinois.

En quelques années, la Chine est devenue l’une des grandes puissances automobiles du monde, investissant massivement dans le véhicule électrique dont elle maitrise l’ensemble du processus.

Plusieurs entreprises chinoises, certaines liées à l’État, d’autres plus indépendantes, sont arrivées sur le marché européen au cours des dix dernières années. Certaines ont racheté des marques européennes en déshérence, comme SAIC (Shanghai automotive industry corporation) qui a repris MG, dont le nom et le logo évoquent l’ancienne voiture anglaise et non une voiture chinoise. SAIC est l’entreprise automobile numéro 1 en Chine avec 7,2 millions de véhicules vendus. En 2022, MG a vendu 12 000 véhicules en France, un chiffre encore très modeste, mais en croissance. Une croissance facilitée par l’entêtement de Paris et de Bruxelles à vouloir imposer le véhicule électrique, c’est-à-dire la voiture chinoise. Seul Carlos Tavarès a régulièrement le courage de dénoncer ce suicide industriel et politique, sans être véritablement entendu.

Huawei à la conquête de l’auto

Huawei fait un retour fracassant sur le marché de la tech et de l’industrie. Après les sanctions imposées par les États-Unis, beaucoup pensaient que l’entreprise chinoise ne pourrait plus être compétitive, voire qu’elle devrait s’orienter vers d’autres secteurs économiques. Or début septembre, sans aucune publicité et à la surprise générale, elle a sorti un nouveau smartphone, le Mate 60 Pro, qui est en mesure de rivaliser avec les meilleurs Apple. Surtout, pour sortir ce modèle, Huawei a réussi à s’approvisionner en micro-conducteurs, chose normalement impossible avec les sanctions américaines. Preuve, une fois de plus, que les sanctions économiques ne fonctionnent pas, et que la Chine dispose de solide ressort.

À peine remis de cette sortie remarquée dans le monde des smartphones, voilà que Huawei récidive, mais cette fois-ci dans le secteur automobile. Associé à Chery Automobile, Huawei annonce la mise sur le marché d’une voiture de luxe, pour le mois de novembre, dont l’entreprise promet qu’elle sera supérieure à la Tesla S. baptisée Luxeed, cette voiture est, selon la présentation de la marque, « un mariage entre la puissance technologique de Huawei et la force de production de Chery ». Luxeed est une marque co-lancée par Chery et Huawei, associant ainsi le savoir-faire automobile au savoir-faire technique. Un peu comme si Apple et Ford s’associaient pour produire un véhicule. Le communiqué de lancement annonce une conduite autonome, un stationnement automatique et des commandes vocales.

C’est en 2021 que Huawei a lancé ses premières applications pour l’automobile. Désormais bien implantée, l’entreprise multiplie les partenariats avec les constructeurs chinois, notamment pour créer des puces et des capteurs qui permettent aux voitures de se connecter à internet et entre elles.

Toutefois, si les voitures électriques chinoises sont en train de percer sur le marché européen, en Chine, Tesla est leader pour les voitures électriques haut de gamme. Une place de numéro 1 qui est désormais convoitée par de jeunes pousses chinoises qui rêvent de détrôner l’entreprise américaine. Et pourquoi pas, un jour, accoster sur le marché américain.

L’ambiguïté allemande

Les constructeurs allemands sont eux aussi très présents en Chine, et depuis longtemps. Leurs modèles trouvent un marché conséquent, attiré par la qualité et le luxe des Mercedes et des BMW. La marque bavaroise s’est associée au début des années 2000 avec l’entreprise chinoise Brilliance Auto pour donner BMW Brilliance. Une entreprise particulièrement bien vue par les autorités locales de Shenyang, où le siège et les usines sont implantés, puisque durant les confinements, alors que beaucoup d’usines avaient été contraintes de stopper leur production, BMW Brilliance fut placée sur la liste blanche des usines autorisées à continuer à produire, ainsi que ses fournisseurs. Les mauvaises langues pourront toujours faire remarquer que les caciques du Parti ne voulaient pas être privés de leur voiture et être livrés à temps. En URSS comme en Chine, les apparatchiks conservent leurs privilèges.

Mais la Lune de miel de la Chine et de l’Allemagne pourrait se briser sur le dossier des subventions de l’UE aux véhicules électriques. La Commission vient en effet de se rendre compte que les subventions octroyées aux particuliers pour acheter des véhicules électriques servaient en priorité l’industrie chinoise puisque c’est eux qui possèdent les voitures au meilleur rapport qualité / prix. Une enquête est en cours, qui pourrait aboutir à une hausse des tarifs douaniers à l’encontre des voitures chinoises. Ce qui pourrait conduire Pékin à sanctionner les voitures allemandes en retour. Il ne serait nullement surprenant que, pour sauver son industrie automobile, l’Allemagne fasse capoter l’enquête. Assez facile quand on contrôle les rouages de l’institution européenne. D’autant que les liens entre Olaf Scholz et Xi Jinping sont très bons, surtout quand il s’agit de faire des affaires. Les autorités chinoises ont-elles aussi dénoncé cette mentalité de protectionnisme, appelant à une libre circulation des biens et à l’abaissement des barrières douanières. Un message qui est bien reçu à Berlin, un peu moins à Paris. Dans cette bataille automobile, la France pourrait être, une nouvelle fois, le dindon de la farce.

Institut des Libertés

. MACRON se ridiculise en PLEIN DIRECT sur la CHUTE du POUVOIR D’ACHAT

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++ WEBTUBE : Langue de bois quand tu nous tiens. On fait dire ce qu’on veut aux chiffres. Emmanuel Macron est un artiste en la matière !

Comme d’habitude, on décrypte l’actualité du jour. Aujourd’hui on s’attaque à l’intervention de Emmanuel Macron. Si vous êtes nouveau : ici on vous explique les concepts, on vous apporte des connaissances personnelles, et on vous donne un avis subjectif sur les différents extraits présentés. Bon visionnage ! Source : 20h de TF1

. Combien de clandestins Laurent Ruquier peut-il héberger ?

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++ WEBTUBE : Tous ces donneurs de leçons ne vivent pas le quotidien des français…. Si c’était le cas ils ne tiendraient les mêmes discours.

À votre avis, combien de clandestins Laurent Ruquier peut-il héberger ?