++ WEBTUBE : Ce lundi 6 novembre, un migrant djiboutien de 26 ans a été interpellé pour le viol d’une adolescente de 13 ans ! Cerise sur le gâteau, ce prédateur était déjà visé par une autre affaire de viol ! Mais toujours en liberté dans nos rues vendéennes !Allons-nous admettre qu’il existe une culture qui permet de violer nos femmes et filles en Vendée ?
L’article dans RP
À peine avais-je ramassé mes banderoles, la sono et appelé à la dispersion de notre manifestation à Saint-Jean-de-Monts où nous dénoncions et refusions l’accueil de nouveaux migrants sur cette commune, que dès le lendemain j’apprends qu’à la Roche-sur-Yon, ce lundi 6 novembre, un migrant djiboutien de 26 ans a été interpellé pour le viol d’une adolescente de 13 ans !
Cerise sur le gâteau, ce prédateur était déjà visé par une autre affaire de viol ! Mais toujours en liberté dans nos rues vendéennes !
Allons-nous admettre qu’il existe une culture qui permet de violer nos femmes et filles en Vendée ?
Nous n’allons pas accepter encore comme circonstance atténuante que ce migrant djiboutien n’avait pas les “codes culturels”… Nous n’acceptons plus le laxisme criminel d’une justice qui n’en a que le nom !
Ces cultures allogènes, on n’en veut plus, on ne veut pas de leurs mœurs, on ne veut pas de leurs valeurs… Je ne veux pas que la Vendée devienne un pays du tiers-monde, je ne veux pas que ces “Chances pour la France” changent notre vie et notre avenir !
Je ne veux plus de ces vrai-faux migrants qui profitent allègrement du système et pleurnichent dans les jupons des associations collabos ! On ne veut plus de cette immigration qui casse, pille, viol, brûle, trafique la drogue, les bagnoles, les armes… J’engage les décideurs politiques vendéens à prendre rapidement en compte le désarroi et la peur de leur peuple !
À très bientôt.
Éric Mauvoisin-Delavaud Président du Rassemblement Vendéen
++ WEBTUBE : A l’occasion de la sortie du numéro 14 de La Revue d’Histoire européenne et du dossier “États-Unis, la guerre permanente”, Guillaume Fiquet reçoit Antoine de Lacoste, conférencier, spécialiste de géopolitique, auteur de nombreux articles sur les conflits en cours, les relations internationales et les jeux et enjeux des grandes puissances. Ils abordent les fractures qui divisent la société américaine : les élites contre le peuple, Black Lives Matter, le wokisme, la crise sociale et sanitaire, etc.
++ WEBTUBE : 40 ans de lâchetés et de décadence revus par Charles Gave ! Avec Charles Gave, financier, entrepreneur, et fondateur de l’Institut des Libertés, auteur de “La vérité vous rendra libre” (éditions Pierre de Taillac)
Avec Charles Gave, financier, entrepreneur, et fondateur de l’Institut des Libertés, auteur de “La vérité vous rendra libre” (éditions Pierre de Taillac)
++ WEBTUBE :Un livre prophétique ? Au-delà de la polémique déclenchée par Augustin de Romanet, la scène étonne bon nombre d’internautes. À tort. Déjà, en 2004, un directeur de la police aux frontières de Roissy adresse un rapport à sa hiérarchie dans lequel il s’inquiète de la « pratique de l’islam sur la plate-forme aéroportuaire ». Il écrit alors : « Certains agents se sont livrés sur leurs lieux de travail à des manifestations favorables aux auteurs des attentats du 11 septembre. » Deux ans plus tard, en 2006, Philippe de Villiers, alors pressenti pour être candidat à l’élection présidentielle, publie Les Mosquées de Roissy.La suite ci-dessous :
« Pas de vagues. » Ce dimanche 5 novembre, Noëlle Lenoir, ancien ministre aux Affaires européennes, publie sur X (anciennement Twitter) la photo d’une prière collective musulmane au milieu de l’aéroport de Roissy. Agenouillés les uns à côtés des autres, ces voyageurs prient, pieds nus, sur la moquette du terminal d’embarquement. Et ce, alors que des salles consacrées à la pratique des cultes existent. « Que fait le PDG d’Aéroports de Paris quand son aéroport se transforme en mosquée ? » s’interroge Noëlle Lenoir. La réponse du principal intéressé ne se fait pas attendre. S’il « regrette » cette prière et assure que la police aux frontières « va redoubler de vigilance » pour éviter qu’une telle scène ne se reproduise, Augustin de Romanet, à la tête d’Aéroports de Paris, juge surtout qu’il n’est « pas nécessaire de monter cet épisode, inédit, en exergue en ce moment ».
Plus que la prière collective, c’est surtout la réaction du PDG d’Aéroports de Paris qui indigne une partie de la classe politique. « Oh, que si, c’est “nécessaire” d’en parler ! Le “pas de vagues” a assez fait de mal dans ce pays, ça suffit ! », réagit Laure Lavalette, députée (RN) du Var. Un sentiment partagé par le président des Républicains, Éric Ciotti : « La réaction d’Augustin de Romanet est insupportable. Le “pas de vagues” nous plonge dans l’inaction ! »« Cette atteinte grave à la laïcité est banalisée, poursuit-il, mais ce sont ceux qui dénoncent cette situation qui sont pris à partie ! », s’agace le député des Alpes-Maritimes. Et la sénatrice (LR) Valérie Boyer d’ajouter : « Même si je doute que ce soit un fait isolé, pourquoi, dans ce cas, la police aux frontières n’est-elle pas intervenue ? Peut-être au nom du “pas de vagues”, surtout “en ce moment”, pour reprendre les mots d’Augustin de Romanet ? » Seul Clément Beaune, ministre des Transports, salue la « fermeté » du PDG d’Aéroports de Paris.
Un livre prophétique ?
Au-delà de la polémique déclenchée par Augustin de Romanet, la scène étonne bon nombre d’internautes. À tort. Déjà, en 2004, un directeur de la police aux frontières de Roissy adresse un rapport à sa hiérarchie dans lequel il s’inquiète de la « pratique de l’islam sur la plate-forme aéroportuaire ». Il écrit alors : « Certains agents se sont livrés sur leurs lieux de travail à des manifestations favorables aux auteurs des attentats du 11 septembre. » Deux ans plus tard, en 2006, Philippe de Villiers, alors pressenti pour être candidat à l’élection présidentielle, publie Les Mosquées de Roissy.
En 2006, dans mon livre "Les Mosquées de Roissy", je dénonçais – entre autres – l'existence de lieux de culte clandestins dans l'aéroport de #Roissy. Presque 20 ans plus tard, la salle d'attente du même aéroport se transforme en salle de prière islamique. A l'époque, hélas, on ne… https://t.co/2PR9xJBJfMpic.twitter.com/XbXORON1BS
Dans ce livre qu’il présente comme une « enquête », le fondateur du Puy du Fou entend alors révéler l’emprise de l’islamisme sur certains lieux stratégiques, à commencer par l’aéroport de Roissy. Documents officiels à l’appui, Philippe de Villiers dénonce un réseau de cooptation sur la base de la religion, « le noyautage des syndicats par les islamistes » et la présence « de salles de prière clandestines sur l’aéroport de Roissy ». Il conclut : « Islamistes et délinquants des cités œuvrent de concert pour placer l’aéroport sous la loi de la charia. » À l’époque, son livre est moqué. Ses sources sont jugées peu fiables. Son diagnostic sur « l’islamisation de la France » est peu repris.
Dix-sept ans plus tard, les faits semblent lui donner raison, au moins en partie. Dès août 2006, Libération, qui avait pourtant jugé contestable l’essai de Philippe de Villiers, annonce que toutes « les salles de prière musulmanes clandestines des aéroports de Roissy et Orly ont été fermées ». Preuve que ces lieux de culte illégaux, installés la plupart du temps dans des vestiaires, existaient bel et bien. La fermeture des salles de prière clandestines ne semble pas avoir mis un terme à l’islamisation du lieu. En 2011, un des restaurants d’entreprise de l’aéroport de Roissy se retrouve au cœur d’un scandale. La cantine est soupçonnée d’être passée au halal sans en informer les usagers. Derrière cette affaire, la CGT est accusée d’avoir voulu imposer la consommation de nourriture halal au personnel. Une accusation réfutée par le syndicat, mais qui laisse planer un doute sur l’ampleur de l’entrisme islamiste. En 2015, après les attentats de Paris, la direction d’Aéroports de Paris décide de faire le ménage parmi ses employés et sous-traitants. Près de 70 badges sont alors retirés à des agents « pour des phénomènes de radicalisation ». En cause, notamment, une main-d’œuvre embauchée « dans le bassin d’emploi local ».
Ces différents éléments semblent accréditer la thèse de Philippe de Villiers. Mais, dix-sept ans plus tard, si les attentats ont permis d’améliorer sensiblement la situation sécuritaire, « il reste une problématique non encore résolue : la présence d’islamistes radicaux au sein du personnel », note, en 2016, Éric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement, interrogé par Atlantico. Cette prière musulmane d’une dizaine de minutes pourrait être une nouvelle preuve de cette islamisation. « À l’époque, hélas, on ne m’a pas cru… », réagit, aujourd’hui, Philippe de Villiers.
++ WEBTUBE : Beaucoup de gesticulations pour rien donc, car cette loi de Darmanin sera votée avant la fin de l’année parce que de nombreux patrons la veulent, mais sans l’avouer. Et nous aurons une régularisation de masse, comme le veut Macron, qui a la même obsession que Mélenchon, créoliser la France.
L’article :
Immigration : une 29e loi pour plaire au patronat, qui veut régulariser mais sans l’avouer
“Le projet de loi immigration arrive lundi au Sénat. Le principal point de discorde sur ce texte est l’article 3, qui doit faciliter la vie des entreprises en créant un titre temporaire permettant de sortir des milliers de travailleurs de l’illégalité”, afin de soulager les secteurs en tension.
Nous en sommes à la 29e loi sur l’immigration depuis 1980. Un record. C’est dire combien les gouvernements successifs maîtrisent l’art de légiférer inutilement, puisque tout s’aggrave d’année en année. Il faut dire que personne n’a jamais eu l’intention de régler le problème de l’immigration. Ni la gauche, ni la droite.
Beaucoup de gesticulations pour rien donc, car cette loi de Darmanin sera votée avant la fin de l’année parce que de nombreux patrons la veulent, mais sans l’avouer. Et nous aurons une régularisation de masse, comme le veut Macron, qui a la même obsession que Mélenchon, créoliser la France.
Car dans ce pays, la politique d’immigration est du ressort du seul patronat qui réclame toujours plus de consommateurs. L’échec de l’intégration n’est pas son problème. D’ailleurs le pouvoir a délégué la gestion de l’immigration à quelques centaines d’associations grassement financées par nos impôts.
Autrement dit, le défi le plus important que l’État doit relever échappe à son pouvoir de décision. Quand ce n’est pas l’UE qui lui interdit d’expulser un criminel, c’est le patronat qui dicte sa volonté.
Le Medef feint de vouloir former des chômeurs plutôt que de régulariser les clandestins dans les métiers en tension, mais dans les faits, cette régularisation l’arrange. La gauche dit que 700 000 clandestins travaillent dans divers secteurs. Si on ajoute les sans-papiers qui rasent les murs et ne sont pas là pour travailler, on dépasse largement le million de clandestins. D’ailleurs chaque année, des dizaines de milliers de déboutés de l’asile se fondent dans la clandestinité. De plus, les 110 000 OQTF annuelles ne sont jamais exécutées. Le stock de clandestins est sans cesse alimenté.
Comme en Angleterre, nous avons nous aussi plus d’un million de clandestins. Londres le reconnait, Paris le nie.
LR, qui parlait comme JMLP en 1990, a renié sa parole et a mené une politique de gauche conforme aux vœux de Bruxelles. Ces bons à rien et ces menteurs qui nous ont toujours trahis veulent aujourd’hui nous faire croire qu’ils veulent sauver la France menacée de désintégration. Mais il fallait agir il y a 20 ans, quand la droite était au pouvoir au lieu de se coucher devant Bruxelles.
Leur menace d’une motion de censure en cas de passage en force avec le 49-3, n’a aucune chance d’aboutir, le PS déclarant qu’il ne suivrait pas LR. Tout cela n’est que mascarade pour que Macron puisse ajouter une loi à son maigre bilan. En réalité, après cette loi bidon, tout va continuer de s’aggraver.
Nous n’expulserons personne puisque les pays du Maghreb et d’Afrique, connaissant la faiblesse de Macron, refusent de coopérer pour reprendre leurs ressortissants.
Et pour ce qui est de l’accélération des procédures d’asile, c’est également du vent puisque Macron a toujours botté en touche, déclarant qu’il fallait une solution européenne. C’est la faute de l’Europe, refrain habituel…
Quant à la proposition de Macron d’étudier l’élargissement du référendum à l’immigration, c’est un monumental attrape-nigaud pour élus LR attardés. Vous votez ma loi aujourd’hui et dans 2, 3, ou 4 ans, on modifiera la Constitution pour élargir l’article 11 à l’immigration.
Pour terminer, rappelons que le Sénat ne sert à rien. Il gesticule beaucoup avec cette loi, mais c’est l’Assemblée nationale qui aura le dernier mot, avec ou sans 49-3. Larcher n’a aucun pouvoir. Le Sénat, tel que conçu dans notre Ve République, n’est qu’un boulet inutile qui nous ruine. Cela dit, la place de sénateur est sans aucun doute la meilleure planque de la République, avec des privilèges inégalés qui saignent le contribuable.
En conclusion, avec ou sans LR, cette loi sera votée. Elle sera le prétexte à une régularisation de masse, alors que le taux d’emploi de nos immigrés est de 50 % contre 66 % pour l’ensemble de la population en âge de travailler. Quant au taux de chômage, il est de 7 % en France mais de 14 % pour les immigrés hors UE.
Des chiffres dont se fout totalement le patronat, qui veut avant tout de nouveaux consommateurs alors que la population de natifs diminue. L’énorme réservoir de main-d’oeuvre que constituent les chômeurs et les clandestins prouve que cet article 3 de régularisation massive n’est qu’un faux prétexte, qui va créer encore un appel d’air massif.
La France, paradis des sans-papiers, où tout est gratuit, pays qui n’expulse jamais, régularise à tout-va et naturalise 120 000 étrangers par an. Le monde entier le sait. Notre pays reste le déversoir numéro 1 de toute la misère du monde.
Par ailleurs, le gouvernement peut très bien retirer l’article 3 de la loi, car les préfets auront toute latitude pour régulariser les clandestins en catimini. Rien de bien nouveau. Cette possibilité de contourner la régularisation de masse, très impopulaire, par une régularisation préfectorale dans le dos du peuple a toujours existé. Les préfets ont parfois régularisé à raison de 2 500 clandestins par mois, donc 30 000 par an. Ni vu ni connu !
++ WEBTUBE : L’Italie va ouvrir en Albanie, un État non membre de l’UE, deux centres pour accueillir des migrants sauvés en mer, en vertu d’un accord signé lundi à Rome par la Première ministre Giorgia Meloni avec son homologue Edil Rama…. La suite de l’article ci-dessous
L’article :
L’Italie va ouvrir en Albanie, un État non membre de l’UE, deux centres pour accueillir des migrants sauvés en mer, en vertu d’un accord signé lundi à Rome par la Première ministre Giorgia Meloni avec son homologue Edil Rama.
Ces deux centres gérés par l’Italie, opérationnels au printemps 2024, pourront accueillir jusqu’à 3.000 migrants, soit environ 39.000 par an selon les prévisions, selon un document communiqué à l’AFP par les services du gouvernement.
Ces “deux structures d’entrée et d’accueil temporaire des immigrés sauvés en mer” permettront de “mener rapidement les procédures de traitement des demandes d’asile ou les éventuels rapatriements”.
Dans le centre de premier accueil et de triage situé au port de Shengjin (nord) auront lieu les procédures de débarquement et d’identification, tandis que le centre de Gjader, une localité situé à une vingtaine de km, sera chargé des procédures ultérieures. Les deux centres, placés sous juridiction italienne, bénéficieront de la collaboration des forces de police albanaises pour les activités de sécurité et de surveillance.
++ WEBTUBE :On apprend, ce dimanche, que la Garde républicaine sera à nouveau relevée officiellement. Cette pratique avait lieu depuis 1909 et il avait fallu attendre Jacques Chirac, décidément bien plus fort en « déconstruction » qu’on ne l’avait soupçonné à l’époque, pour qu’en 1996 la tradition prît fin.La suite de l’article de BV ci-dessous :
On apprend, ce dimanche, que la Garde républicaine sera à nouveau relevée officiellement. C’est RTL qui relaie cette information apparemment anodine : à partir du 7 novembre, c’est-à-dire mardi prochain, et tous les premiers mardis du mois, on pourra désormais voir les gardes du régiment d’infanterie de la Garde républicaine se relever devant les grilles de l’Élysée selon un cérémonial bien précis. Une section de ce régiment traversera la rue Saint-Honoré au pas cadencé, avant d’entrer dans la cour d’honneur. Cette pratique avait lieu depuis 1909 et il avait fallu attendre Jacques Chirac, décidément bien plus fort en « déconstruction » qu’on ne l’avait soupçonné à l’époque, pour qu’en 1996 la tradition prît fin.
Nombreuses sont les nations, jeunes ou vieilles, grandes ou petites, qui pratiquent encore ce cérémonial. Le Royaume-Uni est célèbre pour la relève de ses gardes (vous savez, ceux qui sont habillés en rouge et portent un bonnet à poil), qui ne sont d’ailleurs pas des unités protocolaires mais servent sur les théâtres d’opération au même titre que les autres régiments de la Couronne. Monaco, le Danemark ou la Corée du Sud sont également de ces pays qui considèrent qu’un peu de décorum martial ne fait pas de mal. Et puis, plus près de notre pays méditerranéen, il y a les evzones grecs, dont le costume date, pour la plus grande partie, de l’Antiquité, et dont chaque symbole rappelle la lutte farouche que mena le pays d’Homère pour s’affranchir de la domination ottomane. Les quatre cents ans de souffrance des Grecs sous le joug des musulmans sont d’ailleurs symbolisés par les quatre cents plis des fustanelles règlementaires, ces « jupettes » folkloriques dont se moquent volontiers les touristes.
La garde rapprochée et le pouvoir, c’est une histoire européenne. Ce fut la garde prétorienne de Rome qui renversa les empereurs décadents, souvent pour les remplacer par ses propres généraux. C’est aussi une histoire typiquement française. Ce furent les gardes du corps suisses de Louis XVI qui se laissèrent massacrer aux Tuileries, le 10 août 1792, sur ordre d’un roi trop faible pour l’Histoire. Ce fut, on s’en souvient grâce à Victor Hugo, à Waterloo que « tranquille, souriant à la mitraille anglaise/La garde impériale entra dans la fournaise ». En soi, c’est donc une excellente idée qu’a eue l’entourage du président de la République. C’est à porter à son crédit, de la même façon que le retour au bleu profond sur le drapeau tricolore.
C’est d’ailleurs, peut-être, précisément là que le bât blesse : à l’exception de ces mesurettes esthétiques, c’est le désastre depuis 2017. Macron, c’est l’absence de culture française, ce sont les migrants par millions, le pays transformé en cloaque, la « gênance » des Français, quand il va à l’étranger, devant cet enfant gâté, qui est tour à tour sans gêne, servile ou méprisant, selon les cas. Demain, le macronisme, ce sera peut-être également l’inscription de l’avortement dans la Constitution. Bref, au bout de dix ans de pouvoir, grâce à un peuple français éternellement cocu de la démocratie, Macron n’aura fait que du mal. En somme, tout ce qu’il restera de bénéfique, de vraiment tourné vers la grandeur de la France, ce sont : le drapeau tricolore historique, la relève de la Garde républicaine et, peut-être, l’interdiction des pailles en plastique. Ses trois vraies bonnes réformes.
Emmanuel Macron, lors d’un déplacement au Kazakhstan, a saisi l’occasion pour parler du sujet qu’il préfère : lui-même. Il a indiqué qu’en 2027, après dix ans de mandat, il ferait probablement « complètement autre chose ». Aidons-le à trouver un job : Macron est cultivé, obséquieux, vaniteux et superficiel. Il maîtrise les codes du Vieux Monde tout en le détestant. Incapable de faire preuve d’autorité sans être cassant, incapable de faire preuve d’empathie sans malaxer son prochain, il est désastreux en gestion de crise mais peut encadrer, sous contrainte de stress, du personnel qui n’a pas besoin de lui pour faire son métier. Enfin, il aime le décorum tout en « cassant les codes ». Ne cherchons plus : avec cette réforme, il vient de prouver définitivement qu’il avait peut-être, depuis le début, sa place à l’Élysée. Mais en tant que chef du protocole, auprès d’un véritable homme d’État. Il faut le connaître.
++ WEBTUBE :Regardez bien cette photo. Je pense qu’elle résume sans grands discours le niveau double zéro de cette personne. Mathilde Panot accuse l’extrême droite de semer le chaos en France ! Petite question à vous tous lecteurs de mes posts : Vous les avez vu ces chemises brunes défiler en masse dans nos rues ? Vous les avez vu ces attaques régulières de juifs par des fachistes en ce moment ? Vous les avez vu nos “crânes rasés” s’en prendre quotidiennement aux juifs, aux homosexuels, aux femmes etc….? Plus c’est faux, plus c’est décalé avec la réalité plus c’est relayé par les réseaux sociaux. Cette femme et son parti sont une honte pour la France (d’avant). La France d’aujourd’hui ne ressemble plus à grand choses.Qui va enfin donner une leçon d’histoire à cette inculte ?
L’article de BV :
Alors que l’enquête se poursuit, ce dimanche, sur l’attaque au couteau d’une femme juive, chez elle, à Lyon, la députée de La France insoumise Mathilde Panot a, le jour même, sur X, accusé « l’extrême droite » de « semer le chaos » en France.
« Horreur et indignation. Une femme poignardée à Lyon. Une croix gammée, symbole nazi antisémite tagué sur sa porte. L’extrême droite sème le chaos dans le pays. Tout doit être mis en œuvre pour appréhender l’agresseur », a-t-elle écrit sur X, alors que l’enquête ne fait que commencer.
Horreur et indignation.
Une femme poignardée à Lyon.
Une croix-gammée, symbole nazi antisémite tagué sur sa porte.
L’extrême-droite sème le chaos dans le pays.
Tout doit être mis en œuvre pour appréhender l’agresseur.
Des propos repris par son collègue député Thomas Portes, accusant également « l’extrême droite ». « L’horreur. Le nazisme frappe à nouveau. À Lyon une femme a été poignardée et une croix-gammée (sic) a été taguée sur sa porte. Hier comme aujourd’hui l’extrême droite est une menace pour le pays. Elle ne rêve que de chaos et de mort. Voilà où mène la banalisation de ses idées. »
Certes, la présence d’une croix gammée taguée sur la porte peut laisser penser qu’il s’agirait d’un acte antisémite, même si, selon une source policière, il « n’est pas possible » de dater ce tag. Mais, pour l’heure, le parquet de Lyon se montre prudent sur « le caractère antisémite de cette attaque, d’autant que la piste d’un conflit personnel n’est pas écartée », explique Lyon Mag.
Le site d’information lyonnais rappelle, au sujet de Mathilde Panot, que « ce n’est pas la première fois que La France insoumise se mêle ainsi d’un fait divers lyonnais. On se souvient qu’en 2020, Jean-Luc Mélenchon avait accusé “un moine d’extrême droite” d’être l’auteur des tirs contre le prêtre orthodoxe Nikolaos Kakavelakis. Une piste certes étudiée par les enquêteurs à l’époque mais qui avait rapidement fait pschitt. »
++ WEBTUBE :Le déchainement antijuif actuel n’a rien de bien nouveau dans notre France toujours plus islamisée. Et ceux qui versent leurs larmes de crocodile aujourd’hui sont les mêmes qui ont fermé les yeux hier sur la judéophobie islamique de plus en plus violente. On feint de découvrir un fléau revenu en force avec l’immigration de masse… La suite dans l’article ci-dessous :
Le déchainement antijuif actuel n’a rien de bien nouveau dans notre France toujours plus islamisée. Et ceux qui versent leurs larmes de crocodile aujourd’hui sont les mêmes qui ont fermé les yeux hier sur la judéophobie islamique de plus en plus violente. On feint de découvrir un fléau revenu en force avec l’immigration de masse.
Dans le JDD, Alain Finkielkraut nous rappelle qu’en 2014, en plein conflit à Gaza, un véritable pogrom eut lieu à Garges-lès-Gonesse et à Sarcelles, avec drapeaux turcs et slogans haineux : “Mort aux Juifs”, “Hitler avait raison”.
La synagogue de Sarcelles fut attaquée à coups de cocktails Molotov et le maire déclarait : “Le conflit israélo-palestinien n’est que l’excuse pour exprimer la haine du Juif et des institutions”.
Dix ans plus tôt, en 2004, la frileuse République qui tremble devant l’immigration musulmane si prompte à s’enflammer, enterrait le rapport Obin qui dénonçait la dramatique islamisation de l’école. Merci Fillon !
Visitant un lycée de banlieue, l’inspecteur Obin s’étonnait qu’il n’y ait plus d’élèves juifs dans l’établissement. La réponse des enseignants fut limpide : “C’est bien simple, ils n’étaient plus assez nombreux pour se défendre”.
Qu’a fait la République pour prévenir le mal et protéger la communauté juive de France ? Elle a accueilli cinq ou six millions de musulmans supplémentaires en vingt ans. Les familles juives ont été chassées du 9-3 dans l’indifférence générale.
Ce qui fait qu’en France, nous avons 10 millions de musulmans au bas mot pour 500 000 Juifs. Autant dire que le pouvoir est devenu l’otage des banlieues islamisées et craint par dessus tout un embrasement généralisé incontrôlable. Mais plus le risque augmente, plus Macron ouvre les frontières.
Pendant des années, les ayatollahs de la bien-pensance ont préféré agiter le spectre du retour des années 1930 pour ne pas dénoncer l’antisémitisme musulman et ne pas faire le jeu du FN. On voit le résultat de cette lâcheté.
Les Israéliens ont depuis longtemps été assimilés à des nazis, mais aujourd’hui, les antisémites les plus haineux se réclament carrément de Hitler.
Dans les territoires perdus de la République, avec la bienveillance de l’Élysée qui ne fait rien pour les récupérer, dans ces quartiers conquis par l’islamisme, les injures les plus fréquentes sont “Sale Juif” et “Sale Français”.
Dans nos écoles, l’enseignement de la Shoah est obligatoire mais devient impossible. Et quand l’ONU qualifie les opérations de Tsahal à Gaza de génocide, comment peut-on apaiser la jeunesse des banlieues ?
Mais au delà de la France, la judéophobie s’exprime à travers toute la planète.
Ce qui inquiète, nous dit Finkielkraut, c’est l’alliance naissante entre la judéophobie islamiste et le wokisme. Le conflit entre dominants et dominés remplace la lutte des classes. L’anti-impérialisme remplace l’anticapitalisme. Et dans ce climat éminemment inflammable, Israël représente le modèle d’impérialisme qu’il faut combattre.
Qu’Israël ait fait la paix avec l’Égypte et la Jordanie en restituant les territoires conquis en 1967 importe peu. Israël reste le dominant qu’il faut éliminer. Et que pèsent 15 à 20 millions de Juifs dans le monde face à 1,5 milliard de musulmans ? Tout le drame des Juifs réside dans ce déséquilibre numérique.
Dans les universités américaines et même certaines françaises, on se mobilise pour “une Palestine libre de la rivière jusqu’à la mer”. Par conséquent, une Palestine sans Juifs.
Mais cela n’arrivera jamais. Car tous ces crétins incapables de faire la paix et qui ont la haine au cœur n’ont pas compris que le peuple juif préférera l’holocauste nucléaire à une nouvelle Shoah. Auquel cas il n’y aura plus de Palestine pour personne.
En attendant, en France, nous avons un pouvoir inexistant qui ne cesse de combattre une extrême droite imaginaire pour mieux fermer les yeux sur l’antisémitisme musulman qui va se terminer en tragédie nationale.
Macron est incapable de protéger la communauté juive, incapable de protéger les enfants à l’école, incapable de protéger les femmes dans les transports. La France, jadis un paradis, devient tout simplement invivable et dangereuse, d’abord pour les Juifs qui ont peur, mais aussi pour tous les mécréants.
C’est beau la richesse de l’immigration, c’est beau le vivre-ensemble, c’est beau le multiculturalisme, c’est beau la mondialisation heureuse. Mais le pire, comme dit JMLP, c’est que nous n’avons encore rien vu ! Les esprits s’échauffent comme le montre cette vidéo :
L’immigration de masse devient le plus grand ratage de nos 2 000 ans d’histoire.