L’Intellectual Dark Web, refuge des intellectuels anticonformistes


Depuis quelques mois, la sphère intellectuelle anglophone observe avec suspicion ou admiration, c’est selon, l’émergence d’un mouvement nouveau. Vous connaissiez le Dark Web – cette partie du Web qui utilise l’Internet public mais n’est accessible que via des configurations spécifiques. Voici l’Intellectual Dark Web (IDW), un courant aux contours vagues qui utilise la technologie la plus nouvelle – réseaux sociaux, podcasts, vidéos YouTube – pour diffuser ses idées. Ce n’est pas la technologie parallèle qui en fait un mouvement de l’ombre, mais les idées de ses membres. Ceux-ci, malgré des expériences différentes, convergent vers un constat commun : le paysage intellectuel et médiatique anglophone n’accueille pas – ou plus – la diversité des opinions comme il le devrait.

Liberté d’expression.
La plupart des membres de l’IDW ont rejoint le mouvement après un conflit avec la « gauche identitaire » – celle qui se fait entendre dans des universités, influence certains médias et voit le monde par le prisme d’une lutte entre groupes « oppresseurs » et « opprimés ».(…)

Tendances intolérantes.
Dans cette nébuleuse, on peut citer aussi Debra W. Soh, neuroscientifique au style offensif, remarquée pour un article rédigé en 2015 et intitulé « Why Transgender Kids Should Wait to Transition » : elle y démontrait que, dans la majorité des cas, la « dysphorie de genre » de certains enfants – la détresse provenant d’une inadéquation entre le sexe de naissance et l’identité de genre – cessait à l’adolescence. Ou encore le docteur en neurosciences Sam Harris, qui déclencha en 2006 l’ire de la gauche, laquelle révérait jusque-là son athéisme militant. Pourquoi ? Parce qu’il s’en était pris à l’islam, critiquant ce qu’il estimait être ses tendances intolérantes.(…)

Véritable média.
On l’aura compris, l’IDW est un ensemble cohérent mais hétérogène. Et le paradoxe veut que la plupart des réflexions qui en émergent soient des idées modérées, inspirées par le libéralisme politique classique (…)

A ce phénomène médiatique trois grandes raisons.
La première est idéologique : dans les médias, à commencer par la radio et la télévision, le parti pris progressiste est de plus en plus flagrant. Ce déséquilibre est sournois : il ne signifie pas que certaines opinions n’aient pas leurs canaux médiatiques, mais que les chaînes et les émissions reconnues semblent terrorisées à l’idée de tendre le micro à ceux qui pensent autrement, même s’ils se fondent sur des faits. Loin de relever d’une censure directe, les obstacles sont alors plus subtils : ainsi, quand les membres de l’IDW s’expriment (ou s’exprimaient) dans les médias traditionnels, ils sont seuls contre tous, non pas parce que leur opinion est minoritaire, mais parce qu’elle l’est parmi ceux qui conçoivent ces émissions ou y sont invités. La deuxième transformation est liée aux formats mêmes des programmes de radio-télévision. En quelques décennies, aux Etats-Unis comme ailleurs, les émissions de débat sont devenues plus rares, plus courtes, de moins en moins sérieuses. L’idée même de nuance a disparu, les prétendus débats d’aujourd’hui confondant la polémique avec l’échange cordial. Pour traiter tout sujet, dès lors, il faut garnir un plateau de personnes en désaccord. Résultat, un biais de sélection qui nous porte à croire que tout sujet crée des oppositions irréconciliables. Cela, prétendument, serait générateur d’audience. Vraiment ?

(…)Contre toute attente, ces émissions de plusieurs heures passionnent.(…)

Le dernier livre de Jordan Peterson, « 12 Rules for Life », est un best-seller et son auteur remplit les salles. Quillette, confidentiel à son lancement, grossit de mois en mois.(…)

L’IDW n’échappe cependant pas aux critiques.
La première est idéologique. Certains médias de gauche, comme le Guardian ou Vox, tentent de dépeindre le mouvement comme le repère honteux du conservatisme 2.0, voire de l’alt-right (extrême droite). C’est une contre-vérité : si l’IDW compte son lot de conservateurs, il est surtout le refuge de libéraux classiques, et la gauche y a sa part.
(…)

LePoint
(Merci à Valdorf)

Macron victime de ses connivences musulmanes

Publié le 21 juillet 2018 – par Manuel Gomez dans “Riposte Laïque”

On ne vous dit pas tout, chers citoyens !

Les « racailles » soutenues par l’Elysée coûte que coûte et jusqu’à la dernière minute.

L’affaire Benalla arrive à sa conclusion. Les privilèges dont jouissait cet « intime » du couple présidentiel, âgé à peine de 26 ans, payé comme un ministre (10.000 euros mensuels) et bénéficiant d’une voiture de fonction avec chauffeur et dotée d’un matériel policier et, tout récemment (déclaré par Benalla en juillet), alors qu’il avait déjà été mis à pied dans cette affaire de violence, d’un appartement dans le 7e arrondissement, Quai Branly, dans une dépendance de l’Elysée.

Ce chargé de mission, devenu « par miracle » lieutenant-colonel dans la réserve citoyenne (fort heureusement un grade sans aucune autorité) a suscité une colère non retenue des milieux préfectoraux lorsque le président de la République l’a proposé au poste de sous-préfet.

Benalla, ambitieux mais prudent, a préféré renoncer bien malgré lui !

Mais s’il n’y avait que Benalla, parmi les « racailles » de l’entourage Macron ! Ce n’est pas le cas, on pourrait même être tenté de parler « d’association de malfaiteurs ».

Avant l’incident, devenu « affaire d’Etat », Benalla qui, rappelons-le, avait déjà auparavant agressé un journaliste et un militant communiste, et même, tout récemment, menacé un commissaire de police, à l’intérieur de l’hôtel Crillon, où devaient descendre « Les Bleus » et provoqué un accident de voiture en tentant de s’échapper.

Malgré tous ces « menus problèmes », en tant qu’adjoint au chef de cabinet du Président (c’était son titre officiel) c’est toujours Benalla qui était chargé de l’organisation des vacances du couple présidentiel au Fort de Brégançon.

Mais oublions un instant Benalla et souvenons-nous de cet autre garde du corps du Président, recruté par Benalla justement, le nommé « Makao », ce colosse, ex rugbyman de 2 m 10 d’origine congolaise, qui avait été surpris, dans une vidéo diffusée par « Snapchat », en juin 2018, à jouer à un jeu vidéo en compagnie de Jawad Bendaoud, vous savez : celui qui a logé (sans le savoir, paraît-il) les terroristes de Daech.

Cette proximité malencontreuse n’a entraîné aucun commentaire de l’Elysée.Autre « racaille », proche de l’Elysée, ce représentant de La République en Marche dans le Val d’Oise, Mohamed Saou, qui s’affiche comme un partisan inconditionnel du dictateur Erdogan et, ce qui à notre avis est plus grave, du CCIF de Marwan Muhammad.

Ce Mohamed qui a twitté : « Je n’ai jamais été et je ne serai jamais Charlie ! ».

Pour d’autres raisons, bien évidemment, que les nôtres.

Protégé par Emmanuel Macron : « C’est un type bien, Mohamed, et c’est pour ça que je ne l’ai pas viré. Il fait un travail remarquable. Il a le droit de ne pas être Charlie. »

Ajoutons, dans cette « association », l’humoriste (paraît-il !) Yassine Bellatar.

Accusé, par « Marianne » notamment, de ne pas cacher son approbation à un « certain islamisme », ni aux discours contre les « Blancs », Bellatar s’est plaint, par SMS, auprès de « son frère » Macron : « C’est une guerre contre moi que lance Marianne, je suis au fond du trou ! »

C’en était trop pour Emmanuel, qui lui répond aussitôt : « Continue, les critiques suivent le talent. »

Son talent ? Avoir menacé le père du soldat français assassiné par Mohamed Mérah, affirmé que « Les hommes « Blancs » de plus de 60 ans sont les clés du problème. », comparé Thierry Ardisson à un « nazi », animé un gala du CCIF, etc.

Interpellé et placé en garde à vue, en février 2018, pour avoir insulté un policier, Belattar a été remercié pour ce geste par le Président puisque, quelques semaines plus tard, l’a intégré dans le Conseil présidentiel des villes, en le recevant à l’Elysée.

Terminons, enfin, cette énumération avec ce député de LREM, bien connu des services de police, M’Jid El Guerrab, élu des Français de l’étranger, qui avait frappé de deux violents coups de casque, un cadre du Parti Socialiste, Boris Faure, en août 2017, opéré et hospitalisé en soins intensifs.

Mis en examen pour violences volontaires avec arme, El Guerrab avait démissionné de son Parti tout en conservant sa fonction de député.

Toute cette « racaille » faisait partie de cette « République inaltérable », proposée par Emmanuel Macron, avant son élection, et même actuellement, mais bien loin d’avoir été réalisée !

Vacances marocaines = Danger !

Valérie, 41 ans, résidente à Colombes (Hauts-de-Seine) et cadre dans une grande entreprise, vient de vivre une mésaventure dont elle se souviendra toute sa vie.

En vacances à Marrakech, Valérie fait la connaissance d’un beau Marocain et, dans la folie des festivités du 14 juillet, passe la nuit en sa compagnie dans un luxueux hôtel.

Cela pourrait être une anecdote érotique agréable dans bien des pays du monde, mais pas dans un pays islamiste, même moderne (paraît-il) comme le Maroc, si proche pourtant des gouvernements français.

Le matin du 14, au saut du lit, elle est arrêtée par les policiers pour « délit d’adultère ».

Valérie ignorait que son bel amant d’une nuit était marié (En instance de divorce, lui avait-il dit !).

Elle s’est retrouvée en garde à vue et est restée plus de trente heures dans des conditions déplorables, dans un couloir très étroit et infesté de cafards, de femmes enceintes battues (par qui ? Leurs maris ou compagnons, ou la police ? Valérie ne le précise pas) et sous les hurlements continus d’un procureur qui ne l’appréciait guère, apparemment !

Relâchée, après avoir payé une caution de 5000 dirhams (450 euros), Valérie devrait se présenter, ce lundi, devant le tribunal correctionnel de Marrakech.

Voyage que, bien entendu, elle évitera de refaire.

Elle ne se présentera pas à cette convocation et, d’ailleurs, ne remettra plus jamais les pieds dans ce pays, si cher à certaines personnalités françaises, pour des raisons autrement plus condamnables et répréhensibles qu’un vulgaire adultère et pourtant jamais interpellées, ni arrêtées !

Manuel Gomez (Dans Riposte laïque)

Alexandre Benalla : originaire du Maroc, il aurait modifié son prénom pour le franciser

En Normandie où il a grandi et commencé à jouer les gros bras, Alexandre Benalla a laissé l’image d’un ambitieux prêt à tout.

Il a passé son enfance et son adolescence dans la « ZUP » de la Madeleine, le quartier sensible, symbole d’une rénovation urbaine révolue à Évreux (Eure). « Alexandre » Benalla, 26 ans, en charge de la protection très rapprochée d’Emmanuel Macron est né en septembre 1991 dans cette ville, une arrière-cour de la banlieue parisienne.

Originaire du Maroc, lui qui aurait modifié son prénom pour le franciser, n’a pas laissé le souvenir du solide gaillard aux épaules larges qu’on lui connaît après les images de l’agression commise sur un manifestant le 1er mai dernier à Paris sur la place de la Contrescarpe.

« Il était plutôt fluet et mince. Presque trop discret. Mais à la réflexion, il se rêvait toujours en garde du corps. Il était fasciné par le film Bodyguard avec Kevin Costner et Whitney Houston. Et pour s’entraîner, il levait de la fonte comme un damné », se souvient cet ancien régisseur d’une salle de sport à Évreux. Très vite celui qui se fait déjà appeler « Ben » marche dans les traces de la politique à Évreux.

Sa famille milite au PS local et lui, dès 2010, entre au Mouvement des jeunes socialistes (MJS) à 19 ans. Dans ce département rural et industriel, il choisit de mettre sa carrure au service des personnalités locales. « Il faisait de la protection haut de gamme pour des gens qui estimaient en avoir besoin », rapporte Marc-Antoine Jamet, le maire socialiste de Val-de-Reuil dans Paris-Normandie.

« Il rêvait d’être indispensable aux stars »

Cette carrure imposante, « Ben » l’a acquise au rugby à l’adolescence après avoir changé plusieurs fois d’établissements. D’abord au collège Foch de L’Aigle dans l’Orne entre 2001 et 2005, il acquiert une réputation de bagarreur violent, selon un ancien élève.

Il finit sa terminale au lycée Augustin-de-Fresnel à Bernay (Eure) en 2009 où il « explose au rugby » selon un de ses compagnons de bancs toujours joueur. « C’était surtout pour s’imposer aux autres et auprès des filles. Il rêvait d’être indispensable aux stars », assure-t-il.

Il sera même quelques jours le garde du corps du couple Guillaume Canet Marion Cotillard lors du festival de cinéma de Deauville, selon le journal L’Éveil Normand.

« Il était attiré par le milieu politique »

Mais « Ben » est ambitieux. « Il avait de l’ambition trop sans doute… Mais il lui manquait un peu d’éducation. Sans lui faire injure, il était lourdaud mais côté physique il en imposait. Même trop. C’était le robocop de l’équipe. Il fallait parfois le retenir », se souvient un réserviste qui a fait sa préparation militaire gendarmerie (PMG) avec lui. Une formation accélérée d’une centaine d’heures qui permet à des civils d’endosser l’uniforme dans la réserve opérationnelle.

Il devient gendarme adjoint de réserve militaire du rang avant d’obtenir le grade de brigadier-chef et a pour responsable un certain Sébastien Lecornu, lieutenant de réserve de la gendarmerie et maire de Vernon (Eure), devenu depuis secrétaire d’État à la Transition écologique. Contacté, celui qui était le chef de peloton de « Ben » n’a pas répondu à nos sollicitations.

« Il ne cachait rien de ses ambitions. Il voulait briller. Il était attiré par le milieu politique, car il savait qu’il pouvait en tirer profit. Moi au bout de 8 ans, je suis toujours simple gendarme… », critique cet ancien qui a côtoyé Alexandre Benalla et qui juge « immorale » cette promotion « au grade de lieutenant-colonel ».

Dans un communiqué interne, la gendarmerie indique qu’Alexandre Benalla « n’a plus été employé dans la réserve opérationnelle depuis 2015 et radié en 2017 à sa demande ». Curieusement, il a été intégré comme « spécialiste expert » de la gendarmerie et son grade de lieutenant-colonel lui a été été attribué en raison de son « niveau d’expertise ».

Une promotion vertigineuse dans la gendarmerie permise grâce à l’Élysée

Une promotion qui « ulcère » dans les rangs de la gendarmerie. C’est sur proposition de l’Élysée que le brigadier-chef de réserve a en effet été nommé en 2017 lieutenant-colonel de la réserve opérationnelle, la plus prestigieuse, au titre « de la sécurité des installations » sans aucune référence militaire ou universitaire reconnue ou même professionnelle. Une promotion vertigineuse surtout pour son âge.

« Une hérésie. Nous on passe les concours de Saint-Cyr, d’autres l’École militaire inter-armes, ou de Polytechnique ! Au mieux on peut être colonel à 40 ans à quelques exceptions si on a réussi encore le concours de l’École de guerre. C’est plutôt vers 43/44 ans pour la plupart », s’étonne un patron de groupement de gendarmerie.

Le Parisien

VICTOIRE !

Partout sur le territoire, les mêmes scènes de pillages, de razzias, d’affrontements avec les forces de l’ordre, de destructions de biens, de saccages de magasins, de logements, de voitures, des rixes, agressions, vols, viols…

Aux yeux sidérés du monde entier, la France d’après a montré son visage de brute épaisse équatoriale montée sur Nike-Air avec sourates incorporées en écriture inclusive. Et comme de coutume, dans cette dystopie super-discount qui est désormais la nôtre, les médias officiels parlent aujourd’hui de “liesse”, de “joie populaire”, et de “célébration” émaillée de “quelques incidents”… Oh trois fois rien. Presque rien. On sent bien une petite gêne en bas à droite, un truc lancinant, ça grince un peu à Vivre-Ensemble-Land, mais heureusement la fête n’a pas été gâchée. Kevin-Marcel N’Ghanna Diop et Youssouf-Henry M’Giclo-Dan-ta-fass ont tout de même porté fièrement les valeurs républicaines, porté haut le drapeau tricolore, chanté bien fort la Marseillaise, et c’est tout ce qui compte.

En tous cas, pour Marie-So Loft-à-Soho et Mouloud Bien-intégré, c’est l’essentiel. C’est la France qu’on aime, c’est la France qui gagne, c’est la France qui te nique ta race, compagnon.

Trêve d’ironie. Ce serait une grave erreur de croire que ces exactions monstrueuses sont “gratuites” ou bien qu’elles ne seraient que le symptôme insignifiant d’une sauvagerie aveugle désindexée de tout sens profond. Que ce serait juste un prétexte.

En vérité, ces “manifestations” sont bien des témoignages de joie : la joie toujours obombrée de cruautés par laquelle s’affirme la victoire définitive d’un peuple sur un autre. Comme dans les récits de l’ancien monde, la peuplade barbare, une fois après avoir pillé la cité, la brûle – et son incendie authentifie son triomphe.
La cendre fixe les récits.

En l’occurrence, la destruction est tolérée par les administrateurs impériaux qui se servent de ce processus de submersion démographique et de colonisation car il les arrange dans la perspective plus globale de la désaffiliation technicienne de l’homme. L’homme européen, par son caractère racé, résiste un peu trop à la réduction physicaliste, il faut en finir avec lui.

Pourquoi pas le noyer avec des hordes d’Africains qui prétendent risquer la noyade ? Hum… Pas bête. Drôle en plus. Cette nuit, donc, avec l’aval de la techno-oligarchie mondialisée dont elle n’est qu’un protectorat, l’Union Panafricaine d’Europe de l’Ouest a célébré la victoire de son équipe et a chanté la mort du peuple français. L’ironie cruelle (et l’originalité historique) est ici que ce chant se réclame des valeurs mêmes du peuple vaincu, qu’il annonce que le drapeau du perdant est en fait le sien, que l’histoire du terrassé stupéfait n’est pas différente de la sienne… En une effroyable escroquerie, le 21ème siècle aura eu inventé l’usurpation d’identité à l’échelle d’une nation. L’oncle d’Amérique appelle Monsieur François à Paris et c’est Mamadou qui répond. Mais attention, Mamadou est bien le vrai Monsieur François – et le type qui gueule ligoté dans le placard n’est qu’un clodo un peu fou qui squattait là par hasard.

Pas d’inquiétude, il n’en a plus pour longtemps de toute manière, à force de ruminer son malheur il finira par s’étouffer avec sa langue étrangère pleine d’inintelligibles “Mademoiselle”, de “race”, de “vasque et de haute terrasse”, de “je vous en prie Monsieur, après vous”… Et puis… Mediapart sera toujours là pour le dénoncer au fisc.

Bien plus inquiétante que la passivité résignée qui fait liturgiquement suite aux attentats mahométans, cette ferveur exaltée qui succède aux témoignages éclatants de la conquête. Plus désespérante que la tristesse et l’impuissant chagrin des endeuillés, cette débauche furieuse de vulgarité contente des envahisseurs et de leurs vassaux, cette captation d’identité par et dans la vomissure joyeuse – ce crachat heureux sur la face du vieillard désarmé. Cette nuit, la bataille du Nom s’est une fois encore montrée dans sa nudité : ces gens qui osent se revendiquer de la France, de son drapeau, de son histoire, alors que tout dans leurs faits et gestes en constitue la négation, le rejet et la marque de mépris, ces gens sont des ravisseurs et des usurpateurs. Certes. Mais comme la législation prévoit que passé un certain délai, l’usage de la chose finit par donner des droits sur elle, en l’occurrence, la passivité révoltante des anciens Français est l’accusatrice véridique de leur lâcheté face à ces colonisateurs bien installés. Il ne sert de rien de vouloir leur reprendre un nom qui de fait leur a été cédé sans résistance, il ne sert de rien de vouloir leur arracher un drapeau qui en acte leur a été donné, il ne sert de rien de prétendre s’insurger alors qu’il n’y a pas d’insurgés, de se battre alors que personne n’est prêt à mourir, de reconquérir alors qu’il n’y a pas de conquérants et que Marie-Alix trouve que dans le fond il n’est pas si mal que ça ce “M’Babakar n’golo mwaka”….

Cette guerre est déjà perdue qui n’a pas été menée. Lorsque des millions de jeunes “Français” s’enthousiasment sincèrement pour des brutes d’Afrique de l’Ouest, c’est que nous n’assistons plus à la destruction de la France : nous sommes actuellement aux Pompes Funèbres et nous négocions le prix du cercueil. Cette césure, c’est pour toujours. Ce seuil est constant – il ne sera plus jamais franchi en sens inverse.

Si par miracle la France était un jour restaurée, elle ne pourrait pas repartir du point qui précéda sa colonisation par l’Union Panafricaine d’Europe de l’Ouest, elle ne pourrait qu’en authentifier le poids historique, la réalité. Il faut donc bien l’admettre : ces gens venus d’ailleurs sont réellement à l’image de la France contemporaine, et nous sommes donc, nous, ceux que la fête fait pleurer, des descendants d’Anciens Français, un peuple qui, il y a beau temps, habitait cette terre. Minoritaires, persécutés physiquement et moralement, passifs et maintenant tout à fait vaincus. On nous a pris nos terres, nos femmes, notre langue, nos symboles, notre drapeau, nos institutions et notre nom. Nos parents ont donné l’hospitalité à nos ravisseurs, ils ont payé les preneurs d’otages et nous ont enjoints de les traiter comme des frères. En bout de chaîne, chaque “Allez les Bleus” n’est donc rien d’autre qu’un “Hourra ! On crève !”…

Notre condition est d’ores et déjà celle d’exilés, de marginaux et de pourchassés. Des gens qui doivent se sauver pour pouvoir se sauver. Je ne sais pas quelle identité sera la nôtre, ni même si tout ceci n’annonce pas une extinction physique pure et simple. Je suis cependant sûr d’une chose : l’Histoire ne connaît que l’effectivité – elle n’a que faire des poses et des discours. Elle ne change de direction qu’au prix du sang versé. Ici et maintenant, “ils” sont la France, et ils sont les champions. C’est vrai. Mais s’ils ne méritent pas le nom de “Français” parce qu’il n’y entendent rien, nous qui y entendons quelque chose ne le méritons pas plus qu’eux puisque nous ne l’avons pas défendu… Qu’au moins cette lâcheté ne se donne pas la mine d’être une forme quelconque de résistance. Et que cessent pour de bon les imbécilités au sujet des divergences de “lignes” politiques nationalistes – ces cache-misères de l’aboulie honteuse et du consentement à l’africanisation. Ce serait bien le moins. Laissons-leurs donc ce nom et cette histoire pour nous achevée désormais et qu’ils prolongent de leurs cris d’animaux – nous n’avons plus d’autre choix que d’être les guetteurs d’un autre possible, les acteurs d’une autre légende, celle de la diaspora des descendants de l’Ancienne France. Je suppose que nous ne gagnerons jamais la moindre coupe du monde et que nous ne serons jamais les champions de rien.

Du moins nous sera-t-il épargné la honte, si nous survivons ailleurs, d’avoir à faire comme si le trophée qui dit notre indignité était un symbole de triomphe et de fraternité.

Source : “Journal de l’exil”

Mondial : FO dénonce la censure en direct de l’envoyé spécial de France 3 car il parlait trop des incidents sur les Champs Elysées


> LIEN VERS LA VIDEO : https://www.dailymotion.com/video/x6phhwx

Curieux incident d’antenne, ce dimanche 15 juillet, lors de la diffusion du Soir 3 entièrement consacré à la victoire de la France au Mondial de football.

Un journaliste de la rédaction s’apprête à intervenir en direct dans le journal depuis la terrasse Publicis qui surplombe la place de l’Etoile et les Champs Elysées.

Il est un peu plus de minuit et le journaliste décrit la situation qui se déroule sous ses yeux : la fête devait se prolonger une bonne partie de la nuit mais elle a dégénéré et est désormais finie. Le drugstore et de nombreux magasins ont été pillés. Les Champs Elysées et l’Etoile sont désormais évacués, quadrillés par les CRS et baignés dans des effluves de gaz lacrymogène qui rend l’air irrespirable, y compris sur la terrasse au sommet de l’immeuble d’où se tient le direct…

…On n’en saura pas plus. Au bout de quarante secondes, le direct est coupé sans plus d’explications sur décision de la rédactrice en chef. (de 3’14 à 4’00)

L’explication n’a été donnée que le lendemain au journaliste : son direct a été interrompu parce qu’il a exagéré l’ampleur des violences et qu’il aurait dû évoquer « l’atmosphère de liesse… » qui n’existait plus depuis près de deux heures !

On peut toujours discuter de la pertinence ou de l’angle d’un papier, les conférences critiques sont là pour ça.

Mais interrompre volontairement un direct est un acte grave réservé aux circonstances exceptionnelles ou aux cas de force majeure.

Cette interruption intempestive est d’autant plus incompréhensible que le journaliste n’a fait que son métier : décrire une réalité – certes déplaisante – qui a été largement rapportée et développée dans la presse du lendemain.

Cette censure est d’autant plus absurde qu’elle alimente le fantasme d’une télévision d’Etat qui voudrait « dissimuler des informations » au public

De nombreux internautes ont d’ailleurs réagi en ce sens à l’interruption du direct du Soir 3.

L’incident de dimanche soir témoigne aussi d’une certaine dérive dans les pratiques professionnelles en vigueur dans les rédactions de France Télévisions.

De nombreux confrères déplorent de se voir de plus en plus en dicter leurs papiers par des chefs qui prétendent mieux appréhender un événement depuis les bureaux de la rédaction que les journalistes qui se trouvent sur le terrain.

FO France TV

Après la grande messe footballistique, c’est la chienlit…

Après la grand-messe footballistique ( il est préférable de parler d’un orgasme footballistique collectif), c’est la chienlit qui a pris possession de Paris. La caste politico-médiatique découvre que les agressions sexuelles contre les femmes venues célébrer la victoire des bleus, la casse des magasins, le vol et les incendies de voitures font partie désormais du paysage français. C’est un rituel bien rôdé qui surgit lors de chaque grande manifestation. Des comportements scandaleux qu’elle a tenté de dissimuler, se sont déroulés sur la plus belle avenue du monde (les Champs Elysées), à deux pas du Palais de la république. Des images montrant une guérilla urbaine au cœur de Paris ont fait le tour du monde. Désormais, il n’y a plus rien à cacher, tout se sait à la seconde qui suit.
Ces agressions sexuelles, ne sont-elles pas identiques à celles qu’ont subies plus d’un millier de femmes allemandes à Cologne le 31 décembre 2015 ?
Le même scénario, ne s’est-il pas reproduit sur les Champs Elysées, le 15 juillet 2018, à minuit ?
Qu’attendent les journalistes d’investigation intègres (s’il en reste encore, car le doute est permis) pour éclairer l’opinion publique sur ce qui s’est réellement passé durant cette orgie footballistique ?

En vérité, le succès des bleus a été gâché par les comportements bestiaux des énergumènes qui considèrent la femme comme une proie qu’Allah a mis à leur disposition. Les bisounours et la bien-pensance refusent de condamner ces actes inqualifiables d’un autre âge parce qu’ils ne veulent pas scier la branche sur laquelle, ils sont assis. En un mot, leur fonds de commerce…
Le vivre-ensemble commercialisé a un goût amer pour la caste hors sol qui gouverne la France. Après les mensonges distillés par les médias aux ordres, la réalité finit par exploser à la figure des chamans du multiculturalisme, ces champions de la morale de bas étage, malgré le silence assourdissant imposé aux Français qui sont encore endormis.

L’overdose communautariste déborde de toute part… Et c’est de bon augure. Car désormais, la célèbre réponse ‘circulez, il n’y a rien à voir’ de l’oligarchie politico-médiatique ne tient plus la route. Les digues du vivre-ensemble ont craqué sous le poids de la réalité quoiqu’en pensent les colporteurs du mensonge permanent. Est-ce la fin du déni entretenu sciemment par les puissants ?

Auront-ils, ces messieurs-dames, le courage de reconnaître que leur politique mène la France droit au mur (ou plutôt vers le précipice). Il ne suffit pas de vanter le vivre-ensemble pour effacer par une baguette magique les difficultés que subit le Français moyen (en tout cas, celui qui n’a pas le pognon nécessaire pour fuir les quartiers perdus de la république qui deviendront des émirats où la charia fera force de loi), livré à lui-même face à l’adversité du communautarisme et de l’islamisation.
L’intégration a échoué parce que le seuil d’absorption est atteint depuis longtemps.
Il n’y a plus rien à vendre. La morale infantilisante et culpabilisante ne fonctionne plus. Le roi est nu…

Cette caste est uniquement impitoyable contre le Français qui se lève tôt pour gagner son pain à la sueur de son front et qui paie ses impôts mais par contre, elle se montre lâche, laxiste face aux casseurs, aux violeurs, aux djihadistes et aux barbares.
Même, l’ancien président américain Obama est venu au secours de cette secte mondialiste qui se croit progressiste. A partir de Cap Town, en Afrique du Sud, il a salué le succès footballistique des bleus, qui est dû, selon ses propres termes à la diversité (comprendre à l’africanisation et l’islamisation de la France). Son message subliminal signifie encore plus de diversité pour la bonne cause. Car pour lui, la France n’a pas encore fait le plein de migrants.

Toutes les occasions sont bonnes pour les adeptes de la mondialisation, sans port d’attache afin d’occuper le terrain et qui veulent détruire les nations, en imposant la fin des identités des peuples au nom de la libre circulation des biens et des personnes (pour s’enrichir davantage sur les cadavres des autres).

Et toute personne qui refuse cette idéologie suicidaire est taxée de lépreuse.
Ces fameux progressistes sont en vérité les fossoyeurs de la liberté. Au nom de la pensée unique, ils ont préparé les guerres tribales du futur surtout en Occident et notamment en France.

hamdane ammar (dans Riposte laïque)

Ils répondent « Vive la France » à des racailles qui crient « Vive l’Algérie » : lynchés !

« Bravo les Bleus », nous sommes champion du monde, tout est bien… mais ce qui n’est pas bien du tout c’est le bilan chiffré des dégâts, dégradations et débordements est non seulement considérable mais accablant.

Entre magasins dévastés et pillés, vitrines brisées, voitures brûlées, arrêts de bus et de tram détruits, terrasses de café balayées, etc.

Des dizaines de personnes blessées plus ou moins gravement.

Et, ce qui est bien plus grave, plus désolant, un cas de viol, rue de Savoie, dans le 6e arrondissement parisien, des agressions et des exhibitions sexuelles au milieu de foules indifférentes et lâches.

Plusieurs femmes ont eu le courage de s’exprimer sur les réseaux sociaux. Nombreuses ont jugé préférable de se taire, de rester dans l’anonymat, car elles n’attendaient rien des autorités.

Le préfet de police de Paris, Michel Delpuech, invite les femmes à porter plaine, fort bien, mais contre qui ? Qui va rechercher et surtout retrouver ces agresseurs, ces harceleurs ?

292 individus placés en garde à vue en France, dont 90 à Paris et 18 à Lyon.

45 policiers et gendarmes blessés plus ou moins gravement.

« La fête a été gâchée à cause d’une poignée de « casseurs », des minables » s’est indignée sur « Twitter » Jeanne d’Hauteserre, la maire du 8e arrondissement de Paris.

Pas une poignée, madame la maire, des milliers, des dizaines de milliers dans toute la France.

« C’était l’heure des vandales », a témoigné Sophie de Ravivel, journaliste au « Figaro ».

Les « Vandales », Chère Sophie, ravagaient les autres pays, pas le leur !

Drugstore Publicis, sur les Champs, vandalisé.

Intermarché, avenue de la Grande Armée, ravagé.

Franprix, Boulevard Haussmann, dévasté.

Epicerie, Avenue Marceau, pillée.

Restaurant attaqué Place de la Bastille.

Bar dégradé, avenue Bosquet, près du Champ de Mars.

Ligne 13 du métro dévastée, les voyageurs ont dû descendre à la station « Liège ».

Des camions de pompiers endommagés.

Bref rappel uniquement sur Paris. Il serait trop long de citer également les destructions et les agressions à Grenoble, Lyon, Nantes, Rouen, Marseille, Mulhouse, Strasbourg, Menton, Annecy, Toul, La Roche-sur-Yon, en Alsace, enfin dans toute la France.

Combien de millions d’euros nous coûte cette victoire des « Bleus », qui nous met dans le « rouge » un peu plus ?

A combien se chiffre ce triste bilan ?

Et qui va payer ? Nous, bien sûr !

Selon une étude du « Figaro », les actes de vandalisme et de dégradation de biens publics sont en constante progression, plus de 300.000 signalés chaque année.

Le professeur en économie, Jacques Bichot, les a estimés à plus de 5,2 milliards d’euros, l’équivalent de la construction de 140 hôpitaux !

La Ciotat (13) – Le dispositif mis en place pour sécuriser les manifestations de dimanche avait fait ses preuves lorsque, vers 20 h 30, 80 « racailles » cagoulées se sont rassemblées au rond-point Wilson dans l’objectif unique d’agresser les forces de police.

Des projectiles ont été lancés de toutes parts mais, soyez rassurés braves gens, les policiers ont fait preuve d’un sang-froid exemplaire.

Ils n’ont interpellé qu’un mineur de 17 ans, très défavorablement connu de leurs services, et placé en garde à vue (avant d’être probablement remis en liberté !) pour « jet de projectiles et participation à une attaque armée. ».

Saint-Denis (9.3) – Lundi 16 juillet vers 9 h, un « Grand Frère » trouve sa jeune sœur, âgée de 18 ans, faisant l’amour dans sa chambre de l’appartement familial.

L’individu, âgé d’environ la trentaine, entre dans une très grande colère, au point de sortir l’amoureux du lit, de l’entraîner à l’extérieur du domicile vers le hall de l’immeuble et là de le frapper de plusieurs coups de couteau, notamment au visage.

Touché à l’œil, le jeune homme de 21 ans, tente de se protéger avec ses bras, qui sont lacérés en plusieurs endroits.

Il a été conduit dans un hôpital parisien et ses jours ne sont pas en danger, mais il l’a échappé belle !

La jeune sœur est en état de choc et on la comprend.

Le « Grand Frère », conduit au commissariat de la ville, a été placé en garde à vue prolongée.

Nous ignorons l’identité et les origines de ce « Grand Frère » !

Lille (Nord) – Dimanche, en début de soirée, une bande d’une cinquantaine de « racailles » se rassemble dans l’objectif de remonter le centre piétonnier, partant de la place de Béthune jusqu’à Lille-Flandres.

« On va tout casser ! On va tous vous tuer ! »

L’amusement était d’agresser au hasard les « supporters » fêtant la victoire des « Bleus ».

Plusieurs victimes ont eu droit à un tabassage en règle.

La police a réussi l’exploit d’appréhender deux individus sur les 50 présents, âgés de 18 et 22 ans, originaires de Villeneuve-D’ascq.

Ils attendront en prison la prochaine audience du 27 août, mais ils paraissent très sereins !

Chevilly-Larue (Val de Marne) – Cinq individus, bien connus des services de police et de la justice pour des faits graves, ont été arrêtés et placés en garde à vue, mercredi 18 juillet, pour avoir organisé et participé à l’enlèvement d’une femme, à son domicile, une semaine plus tôt, le 11 juillet.

Une première fois, la veille, elle avait réussi à échapper à cette « racaille » des cités proches.

Il s’agit, selon les enquêteurs de la brigade criminelle de la PJ parisienne, « D’un commando parfaitement structuré. »

Une rançon de 700.000 euros avait d’abord été exigée, avant d’être ramenée à une somme moins élevée, pour obtenir la libération de la femme.

La remise de la rançon a échoué à plusieurs reprises faisant craindre le pire pour la victime de ce rapt. Cette femme est présentée comme la fille d’une ex figure du grand banditisme, autour du gang célèbre de la banlieue sud.

Bien entendu nous ne sommes pas informés sur les identités et les origines de ces cinq individus !

Le Mans (72) – Une femme de 35 ans et sa fille de 16 ans, déjà connues des services de police pour menaces de mort et ayant fait de la prison, ont commencé à frapper une jeune voisine, adolescente de 16 ans, parce que «Elle les avait mal regardé. »

Puis elles se sont dirigées vers l’arrêt du tram des « Atlantides », quartier des sablons, et là elles ont agressé à coups de claques, pour une raison identique, une femme, âgée de 34 ans, enceinte de 9 mois, sa fille et une amie.

Des passants sont intervenus et les « agresseuses » sont parties en tramway.

Nous ignorons pourquoi « Elles étaient mal regardées » !

Poitiers (86) – Dans la nuit de dimanche à lundi, vers minuit, un jeune couple qui circulait en voiture, dans le quartier Saint-Eloi, en déployant un drapeau tricolore, est dépassé par un véhicule au bord duquel « la racaille » de sortie, les invectives tout en hurlant « Vive l’Algérie ».

La jeune femme s’est permis de leur répondre : « Non, vive la France ! ».

L’individu conduisant l’autre voiture descend et lui donne un violent coup de poing et la jeune femme tombe sur le sol.

Les complices de cette « racaille » se précipitent sur le jeune compagnon et le rouent de coups sur tout le corps.

Il a un arrêt de travail de huit jours.

Cette « racaille » est recherchée par la police.

Le général Richard Lizurey, directeur général de la gendarmerie nationale, dénonce le taux très élevé des suicides : 20 depuis début 2018, chiffre le plus élevé depuis dix années.

Entre de nombreuses constatations, il trouve que l’on sanctionne encore un peu trop en interne.

Que le travail effectué par les gendarmes n’est pas toujours connu ou compris. La population voit trop souvent seulement le côté répressif du gendarme (cela se comprend, les gendarmes ne sont-ils pas bien plus répressifs envers les citoyens pour des infractions qui n’ont rien de comparables avec les actions répréhensibles des « casseurs » et de la « racaille » ?)

Manuel Gomez dans “Riposte Laique”

La France est championne du monde de foot… et des violences festives !

La France est championne du monde de foot ! Joie sans mélange ? On aurait pu le croire, si Paris, Grenoble, Villefranche-sur-Saône, Mulhouse, Nice, Nantes, Bordeaux, Fougères, Redon, Nancy, Châlons-en-Champagne, Lyon, Rouen, Menton, Marseille, Bastia, Saint-Chamond, Aix-les-Bains, Annecy, Annemasse, Bourgoin-Jallieu… et j’en passe n’avaient connu leur nuit de violences en tout genre, avec, pour finir, 292 gardes à vue et 45 policiers et gendarmes blessés !

Aurait-on pu voir pareils agissements en Russie, en Turquie, en Iran ou en Arabie-Saoudite ? Qu’est-ce qu’un Pouvoir qui n’a pas le pouvoir de faire respecter l’ordre civil le plus élémentaire ? Que dire d’un pays qui s’enorgueillit des « Droits de l’Homme » et se révèle incapable d’assurer la paix sociale en des jours de liesse nationale ? Que doivent penser ceux dont les biens matériels ont été détruits par des individus à qui ils n’ont jamais fait le moindre mal, puisqu’ils ne les connaissent même pas ? Est-ce cela le « vivre-ensemble » à la française ?

Moi qui ne suis pas un fou de foot, je m’étais pris à rêver, en ce dimanche 15 juillet 2018, d’une France unie et fraternelle ! J’oubliais alors que la réalité balaye bien souvent nos rêves les plus beaux, en nous enfonçant toujours davantage dans les pires incohérences, à l’instar de ces millions de personnes qui hurlent pour un 4-2 français et se taisent contre la défrancisation d’un 9-3 !

J’avais donc oublié que la réalité est toujours politique, et que la politique se joue de nous… par le pain et les jeux !

Maurice Vidal dans “Riposte Laïque”

Football : si cela continue, dans 10 ans, il ne restera plus un Blanc chez les Bleus

Publié le 14 juillet 2018 – par Paul Le Poulpe : “Riposte laïque”

C’est curieux, il y a 20 ans, quand l’équipe de France a été sacrée championne du monde, les antiracistes, ceux qui viennent de réussir à faire supprimer le mot « race » de la constitution, à la demande du président de la Licra, Mario Stasi (cela ne s’invente pas) n’avaient à la bouche que le mot Black-Blanc-Beur, qui devait remplacer Bleu-Blanc-Rouge, jugé trop Gaulois.

Pourtant, lorsque le coup d’envoi de la finale avait été donné, il y avait sur le terrain 7 Gaulois, 2 originaires d’Afrique noire (Desailly et Thuram), un Kanak (Karembeu) et Zidane, originaire d’Afrique du Nord. Cette équipe était donc majoritairement gauloise, quoi qu’en disent les adeptes du multiculturalisme.

20 ans plus tard, les choses ont bien changé. Sur les 23 Bleus retenus par Deschamps, 16 ont des racines africaines très visibles, ce que ne manquent pas de relever les journaux africains, mais aussi les suppôts de l’invasion migratoire comme Le Courrier International, Le Monde ou Libération. Et pourtant, ce fait est dissimulé, car le Onze titulaire ne réflète pas la marginalisation des Gaulois. En effet, cinq joueurs français de souche sont titulaires de l’équipe type, complétée par deux métis et quatre Africains noirs. Au début de la compétition, il ne devait y en avoir que trois, mais les latéraux, Pavard et Hernandez, ont su gagner leur place au détriment de Sidibé et de Mendy, ce qui a changé le visuel de l’équipe.

Chose étonnante, alors que les antiracistes stigmatisaient ceux qui, comme Jean-Marie Le Pen ou Alain Finkielkraut, osaient évoquer le fait que cette équipe de France ne ressemblait pas au pays pour lequel elle jouait, cela devient, à présent, un argument de fierté repris par tous ceux qui expliquent que parler de la couleur des gens, c’est être raciste.

Chose étonnante encore, les footballeurs noirs, qui se disent en permanence victimes du racisme, sont les seuls qui parlent de la couleur de peau des Blancs, comme si cela était une obsession. Nul n’a oublié le témoignage de Christophe Dugarry, rappelant à « l’antiraciste Thuram » que, dans les vestiaires, au soir de la victoire de 1998, celui-ci appelait « les Blacks » à faire une photo ensemble, se faisant sermonner ensuite par Franck Leboeuf, qui lui avait demandé quelle serait sa réaction si lui demandait aux Blancs de faire une photo ensemble.

C’est également le Guyanais Bernard Lama qui, dans un livre, qualifie son rival de 1998 dans les buts, Fabien Barthez, de « Blanc ». Imaginez ce dernier qualifier lui aussi le gardien de but du PSG de l’époque de « noir »…

Chose étonnante encore, tous les antiracistes professionnels, qui hurlent parce qu’il n’y aurait pas assez de diversité dans les instances élues (sans réfléchir à l’apport des élus de la diversité, qui, trop souvent, utilisent leur mandat pour reproduire des pratiques claniques), n’ont rien à redire sur la sur-représentation de la diversité dans cette équipe de France.

Par ailleurs, le football est un magnifique résumé du Grand Remplacement qui se met en place. En 1998, les Gaulois étaient majoritaires. En 2018, ils sont devenus minoritaires. Il suffit de regarder la liste qu’a retenue le sélectionneur des Espoirs français Bernard Diomède (antillais) pour comprendre que, dans dix ans, il n’y aura plus aucun Blanc en équipe de France ! Cela provoquera sans doute chez Rokhaya Diallo et Houria Bouteldja l’orgasme de leur vie !

http://www.fdesouche.com/1040735-equipe-de-france-la-liste-des-u19-joueurs-espoirs-pour-leuro-2018-de-football

Cette sélection, qui devrait poser des questions à l’ensemble de la classe politique, n’est que la conséquence de la politique des centres de formation des grands clubs professionnels français : de l’Africain, de l’Africain, de l’Africain. Ce que confirmait l’ineffable Guy Roux, invité par Macron à Moscou, quand il entraînait Auxerre : 80 % d’Afrique noire, 10 % d’Afrique du Nord et 10 % de Gaulois ! Et cela donne cette sélection de Bernard Diomède, par ailleurs ancien Auxerrois. Et là, les anti-colonialistes se taisent, sur ce véritable pillage des forces vives d’un Continent. Faut-il rappeler que, à cause de ces critères, les clubs français sont passés à côté d’un Griezmann, d’un Valbuena, et de combien d’autres « petits blancs », jugés pas assez costauds pour devenir professionnels ? Et faut-il rappeler que quand un courageux Directeur Technique National français voulut remettre en cause cette politique des « Gros blacks » dans les centres de formation, et évoqua la double nationalité de nombre de ces joueurs, qui, ensuite, choisissaient leur pays d’origine, la crapule Plenel et le faux anti-raciste Thuram le qualifia de raciste, et que l’ensemble de la presse le lyncha, ainsi que Laurent Blanc, accusé d’avoir prêté une oreille complaisante à ces propos.

La suite, on la connaît, et si cela continue ainsi, Griezmann, Giroud, Lloris, Pavard et Hernandez auront été les derniers des Mohicans !

Et cela ne dérangera certainement pas les élites de ce pays, qui ont décidé que les nôtres devaient disparaître.