Le scandale de la fraude à la Sécurité sociale

Source Boulevard Voltaire

Qu’en est-il vraiment de la fraude à la Sécurité sociale ? Boulevard Voltaire a voulu savoir. Pour cela, il a interviewé la sénatrice Nathalie Goulet, qui a récemment interpellé le ministre Agnès Buzyn, ainsi que Charles Prats, magistrat, spécialiste de la lutte contre la fraude. L’enjeu serait de quatorze milliards d’euros d’enjeux potentiel de fraude… À comparer aux dix milliards que devraient coûter les mesures promises par Emmanuel Macron pour apaiser la colère des gilets jaunes.
À voir absolument.





La politique étrangère de Macron tourne au fiasco

Source: Boulevard Voltaire

2019 se fait proche, le paysage politique français, européen et mondial apparaît profondément transformé. On se souvient d’une des bourdes présidentielles françaises qui avait, en mai 2018, rejeté Borloo et son usine à gaz sur les banlieues en disant qu’une politique dans ce domaine ne pouvait être conçue par des « mâles blancs ». C’est ainsi que « Jupiter », pas encore tombé de l’Olympe, se définissait, dans une soumission assumée à la mélasse intellectuelle, communautariste et racialiste qui sert de mode politiquement correcte à la caste qui règne dans notre pays. Il semblait ravi de dire combien il était branché sur les rumeurs du microcosme. Il est, maintenant, tellement débranché qu’il n’ose plus trop parler. Les mâles blancs continuent de dominer le monde et il sait que ses déconvenues intérieures ne lui permettent plus de faire partie du club.

Dans ce club, il y a Trump, jadis toisé par le seigneur de l’Élysée, vilipendé par tous nos médias et qui poursuit sa balade éléphantesque dans le magasin de porcelaine démocrate. Les commentaires se font moins méprisants : il n’a pas perdu les élections de mi-mandat et se livre à un duel avec l’État profond des États-Unis dans un mélange de brutalité et de finesse qui surprend sans cesse. Son dernier coup double a consisté à annoncer le retrait de Syrie des troupes américaines et à rendre visite, pour le réveillon de Noël, aux soldats présents en Irak, en affirmant qu’ils demeuraient assez proches de la Syrie pour intervenir en cas de besoin. Cela place un coin américain dans le triangle d’Astana. Vladimir Poutine s’est réjoui, mais pas trop, pour ne pas provoquer le clan antirusse de Washington. Recep Tayyip Erdoğan en a rayonné au point de mettre la France en garde si elle persistait dans son soutien aux Kurdes. Téhéran, qui est toujours considéré comme l’ennemi principal, sait désormais que l’armée américaine reste sur le chemin qui va jusqu’au Hezbollah libanais. Protéger Israël d’un côté, tirer l’Arabie saoudite des deux fossés où elle s’est embourbée, la guerre au Yémen et l’assassinat de Khashoggi ne sont sans doute pas des motifs étrangers à ces décisions.

Notre jeune « génie » national, dont les retraités sont la cible privilégiée, est paradoxalement condamné à une sorte de retraite à l’Élysée. Les grandes leçons données à la Terre avec, en contrepoint, de l’arrogance et un couplet de repentance nationale, sont autant d’avancées hasardeuses achevées en débâcles ridicules. Sa déclaration de guerre aux « nationalistes », autrement dit à la Hongrie, à la Pologne et à la Ligue de Salvini, et son intention de la mener en généralissime avec Angela Merkel à ses côtés lui reviennent en boomerang. Le ministre de l’Intérieur italien se moque ouvertement de lui. Mme Merkel, très affaiblie, est sur le départ. Les gilets jaunes, cet abcès populiste qu’il n’avait pas prévu, minent son image et sa position aux yeux du monde, et ce symbole de résistance populaire se répand aujourd’hui dans plusieurs pays européens.

La signature du pacte de Marrakech « pour des migrations sûres, ordonnées et régulières » a été un signal très net de l’échec de la politique internationale de notre pays. La majorité des membres de l’ONU a voté ce texte. Elle est constituée des pays d’origine qui n’y voient que des avantages, des États qui, n’étant guère concernés par l’immigration, et se souciant peu des règles du droit international, continueront à faire ce qu’ils veulent, et de quelques pays « d’accueil » gouvernés par des mondialistes impénitents, comme Macron ou Trudeau. Beaucoup d’autres, et non des moindres, ont vu le danger d’un engagement politiquement non contraignant, mais qui pourrait le devenir par le biais du droit et des juges. La coalition belge a explosé. De nombreux pays européens se sont retirés sous la pression des « nationalistes » qui ont acquis de plus en plus d’importance. Les États-Unis et l’Australie n’ont pas signé. La France l’a fait dans la discrétion, dans cette « humilité vicieuse » qui caractérise les gouvernements qui ont perdu de leur légitimité aux yeux de leur peuple. Lorsqu’on perd à la fois ses alliés et la confiance de sa population, s’obstiner à conduire une politique qui présente un risque pour la souveraineté et l’identité d’une nation ne relève-t-il pas de la trahison ?





Délinquance étrangère : ces chiffres d’Obertone que le pouvoir cache aux Français

Publié le 27 décembre 2018 – par Jacques Guillemain (Riposte Laïque)

Alors que notre président fait face à une fronde sans précédent avec le mouvement des Gilets jaunes, qui ont démasqué le véritable Macron et ne supportent plus son arrogance, ses insultes, son mépris, ses mensonges et ses calculs machiavéliques, sans parler de ses photos dégradantes lors de la Fête de la musique ou aux Antilles, l’exécutif a décidé de fournir à tous ses militants un petit bréviaire pour répandre la bonne parole élyséenne.

Un ensemble de questions-réponses pour valoriser le maigre bilan de Jupiter, qui tente désespérément de reprendre la main face à la rébellion de la France profonde. Une propagande mensongère pour pallier le manque de résultats…

https://enmarche.typeform.com/to/vbvThF

D’entrée de jeu, le gouvernement nous fait le coup de l’héritage, après 40 années de gabegie et d’abandon. On se croirait revenu en 1981 avec Mitterrand aux affaires, qui accablait la droite avant de couler le pays avec l’Union de la gauche.

Macron oublie simplement qu’il est responsable de l’économie depuis 5 ans puisqu’il était ministre sous Hollande. L’héritage, c’est le sien.

Nos 9 millions de pauvres, nos 6,5 millions de chômeurs, nos 140 000 SDF, nos 47 % de prélèvements sociaux, nos 57 % de dépenses publiques (+ 16 % que la moyenne OCDE comme le rappelle Guy Millière), tout cela, Macron en est partiellement responsable.

Les 50 % de Français qui perçoivent moins que le salaire médian de 1 700 euros, les 5 millions de citoyens qui vivent avec moins de 850 euros, Macron n’y est pas étranger.

Les 1 038 milliards de taxes et impôts qui ne cessent d’augmenter, c’est Macron.

La croissance tombée de 2,3 % à 1,5 %, c’est Macron.

La dette qui dépasse les 2 300 milliards et le déficit qui remonte de 2,7 % à 3,2 % , c’est encore lui.

Les 45 milliards d’intérêts qui partent chez nos créanciers étrangers et nous appauvrissent chaque année, c’est Macron qui ne fait rien pour résorber la dette.

En 2017, Macron avait promis le paradis sur terre et maintenant que plus rien ne va, c’est la faute des autres.

« Vous n’imaginez pas combien je ne suis pas aidé », a dit Calimero aux maires des Yvelines ! Il centralise et décide de tout mais fait porter le chapeau aux autres !

Mais c’est en matière d’insécurité et d’immigration que Macron porte la plus lourde responsabilité, tant son obsession du « vivre-ensemble » entraîne le pays par le fond. On ne le dira jamais assez. La France va droit dans le mur.

Dans le bréviaire remis aux militants, il se garde bien de dire qu’il alourdit le fardeau, alors que chaque Français paie déjà 2 000 euros par an pour l’immigration (Gérard Pince, « La France ruinée par l’immigration »).

Il ose faire croire que l’immigration s’est effondrée après 2015 et que sa loi asile-immigration permet d’expulser les clandestins. C’est tout le contraire.

29 596 expulsions en 2015 et 28 000 en 2017 (chiffres ministère de l’Intérieur).

Il a facilité le regroupement familial et le nombre de mineurs isolés explose. Et la France reste la destination préférée des migrants arrivant en masse par l’Espagne, nouvelle terre des migrations africaines.

Il fait l’éloge du pacte de Marrakech et tape sur Salvini et Orban qui refusent l’invasion ! Or, le pacte de Marrakech ne fait aucune différence entre réfugiés et clandestins. C’est l’organisation de l’invasion. Une douzaine de pays lucides ont refusé de signer ce torchon qui vise à anéantir les nations occidentales au nom du mondialisme.

C’est ahurissant !

Macron a délivré 262 000 visas longue durée, soit 14 % d’augmentation.

Les demandes d’asile, qui ont dépassé les 100 000 en 2017, atteignent les 120 000 en 2018.

Et chacun sait que les déboutés ne sont jamais expulsés (Cour des comptes).

Ce que ne dit pas le petit bréviaire des marcheurs, c’est :

Que le milliard d’Africains produisent moins de richesses que le PIB français.

Que la part du social dans le revenu de nos immigrés atteint 24 % alors qu’elle n’est que de 4 % pour un natif.

Que la France est le premier pays polygame d’Europe et que le célèbre polygame malien de Bobigny, avec ses 4 femmes et ses 46 gamins, vit depuis des lustres sur le dos du contribuable sans travailler.

Que tout sans-papiers est soigné à 100 % alors que 5 millions de Français n’ont pas de mutuelle.

Que Macron baisse les retraites, contrairement à ses multiples promesses de campagne, mais accorde 830 euros de retraite aux étrangers de 65 ans n’ayant jamais travaillé ni cotisé en France (1300 euros pour un couple).

Pour financer le coût d’un seul mineur isolé (50 000 euros par an), il a fallu baisser la retraite de 150 retraités. C’est cela la vérité. Et la France a accueilli 40 000 MNA en 2018 ! Sans doute 50 à 60 000 en 2019 !!

Que la fraude à la Sécu oscille entre 14 et 20 milliards par an avec les fausses cartes Vitale obtenues avec des documents falsifiés.

Que chaque année, ce sont 10 milliards de transferts de capitaux qui partent au bled au lieu d’être investis en France.

Que les immigrés extra-européens représentaient 12,4 % de la population en 2011 mais ne produisaient que 7,3 % du PIB.

Que le PIB par tête des immigrés est de 17 900 euros, alors que celui des natifs de 32 300 euros.

On voit donc mal comment ils vont payer nos retraites, d’autant plus que le taux de chômage des immigrés de deuxième génération est de 23 % alors que celui de la première génération était de 20 % (Gérard Pince).

Même le milliard d’Africains ne pourraient pas payer nos retraites puisque le PIB de l’Afrique n’atteint pas le PIB de la France. Assez de fake news officielles.

L’intégration ne se fait pas. Les mensonges des immigrationnistes n’y changent rien. Sans immigration, il n’y aurait jamais eu de révolte des Gilets jaunes.

En 1975, la France avait le 5e niveau de vie au monde, pas de chômage, pas d’insécurité, une croissance forte et très peu de dettes. C’est l’immigration qui est la causse principale de nos 2 300 milliards de dettes.

Et que dire de l’insécurité galopante, qui est aux 3/4 d’origine immigrée ?

250 morts et 1 000 blessés. Tous les terroristes étaient musulmans.

Les chiffes que donne Laurent Obertone dans son dernier livre, « La France Interdite », sont accablants.

Seulement 17 % des Français disent ne pas se sentir en insécurité !

Chaque jour, on dénombre 640 violences sexuelles hors ménage, 1 670 violences physiques, 2 000 cambriolages, 4 000 voitures brûlées ou vandalisées.

« Chaque année, ce sont des centaines de milliers de Français, victimes de l’insécurité ordinaire, qui tombent sous les coups et parfois meurent pour un « vivre-ensemble » qui n’a jamais existé. »

Rappelons qu’il y a 1 000 agressions gratuites par jour.

50 policiers et gendarmes sont blessés chaque jour.

40 000 voitures sont incendiées chaque année.

100 000 peines de prison ferme ne sont pas exécutées faute de places. Et Macron, qui promettait 15 000 places de prison n’en veut plus que 7000, et sans doute beaucoup moins puisque les caisses sont vides.

Ravages de la pensée unique et laxisme judiciaire ont détruit le pays. Il n’y a plus aucun civisme, c’est le retour à la violence gratuite, aux pillages et saccages en tout genre, comme on a pu le voir ces derniers jours avec les casseurs et les racailles des cités, venus transformer les Champs-Élysées en bande de Gaza.

Obertone avait mesuré dans son livre, « La France Orange Mécanique », la corrélation entre le taux de criminalité et le taux d’immigration en France à l’échelle départementale.

Il l’avait chiffrée à 0,714, sachant que le taux zéro signifie qu’il n’y a aucune corrélation et que le taux 1 signifie que la corrélation est de 100 %, donc totale.

Ce chiffre correspond d’ailleurs aux données fournies par la DCSP et la DCPJ, qui montrent que la criminalité est majoritairement d’origine immigrée. Les 2/3 des détenus sont musulmans, nous dit Jack Lang.

Quand les avis de recherche étaient encore disponibles sur les sites de la police et de la gendarmerie, les noms et les photos montraient que 80 % des avis concernaient des immigrés extra-européens et quelques ressortissants de l’Europe de l’Est.

Mais les immigrationnistes ont supprimé ces données pour nier le lien immigration-criminalité. Omerta, omerta, omerta !!!

Ce qui est effrayant, c’est le refus des élites et du pouvoir d’admettre que la France est en train de s’autodétruire et va tout simplement rejoindre le tiers-monde.

Voici ce que dit Obertone :

« Si l’on s’en tient aux projections démographiques les plus raisonnables… et en l’absence de virage brutal de sa politique, la France va évoluer en une vingtaine d’années vers une situation comparable à celle du Brésil, dans une quarantaine d’années vers une situation comparable à celle de l’Afrique du Sud, dans une soixantaine d’années vers une situation comparable à celle de la Bosnie ou du Soudan. »

Dans la nation arc-en-ciel de Mandela, plus de 70 000 Blancs ont été assassinés depuis 1994. Silence radio dans nos médias…

Autant dire que la France paradisiaque des Trente Glorieuses sera devenue un des pays les plus dangereux de la planète, alors que la délinquance avait disparu en 1960. Elle a été multipliée par 5 depuis cette époque.

Tel est l’héritage que Macron veut léguer à nos descendants.

Et Obertone ajoute :

« La France aura achevé sa balkanisation, le facteur ethnique sera au cœur de tous les quotidiens, de tous les événements et de toutes les politiques, la civilisation ne sera plus qu’un souvenir, et il faudra se résigner à vivoter dans la peur, la misère et la corruption, à assister à des conflits, des déplacements et des « purifications » de grande ampleur. »

Comme le disait déjà Michel Poniatowski il y a 30 ans :

« Nous allons vers des Saint-Barthélemy si l’immigration africaine n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression. Les mesures à prendre sont sévères et il ne faudra pas que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu’un charter rapatriera des envahisseurs illégaux. »

Le « vivre-ensemble » est un leurre. Seules les nations homogènes avec une immigration maîtrisée éviteront le chaos et les conflits interethniques et interconfessionnels. C’est le cas du Japon et de la Chine.

C’est en fait le message que nous passait Gérard Collomb en quittant ses fonctions place Beauvau, annonçant un embrasement généralisé des banlieues avant 5 ans.

Macron ne l’a pas écouté, il ferme les yeux sur l’islamisation des cités, sur l’expansion du salafisme, sur le recul de la République et fait le choix du chaos futur, en précipitant les événements par une immigration de masse toujours plus démentielle.

Seuls les musulmans non pratiquants accepteront de s’intégrer. Ceux qui ne jurent que par le Coran préfèreront toujours la charia à la loi républicaine.

Le Coran est la Constitution, le Code pénal et le Code civil des musulmans pratiquants. Plus ils seront nombreux, moins l’intégration sera possible.

Avec les délires mondialistes de Macron, la France court à la catastrophe.

C’est bien pour cela que le fait d’évacuer l’immigration et l’islam du grand débat national est un crime envers la nation et une atteinte gravissime à l’identité française. Macron est un contre-modèle de démocrate et de patriote.

Mais les Gilets jaunes, les illettrés, les alcooliques, les fainéants, ceux qui ne sont rien, ces lépreux populistes qui entendent défendre leur identité et leur patrimoine culturel, ne se laisseront pas déposséder de leur pays sans réagir.

Après la révolte sociale viendra le sursaut identitaire salvateur car la France est en danger de mort.

Il y va de la survie de notre France millénaire.





«Benalla est couvert, protégé, soutenu, aidé. On le voit dans toute sa morgue. Il bénéficie d’une impunité, d’une indulgence qu’a demandé Macron à son égard.»

Edwy Plenel (Mediapart) réagissant à la possession par Alexandre Benalla d’un passeport diplomatique : «Alexandre Benalla qui se comportait comme un nervi en frappant des opposants politiques est couvert, protégé, soutenu, aidé. On le voit dans toute sa morgue actuelle. Il bénéficie d’une impunité, d’une indulgence qu’a demandé le président de la République à son égard.»





La fraude africaine à la Sécu : un scandale d’État à 14 milliards par an !

Publié le 23 décembre 2018 – par Jacques Guillemain, Riposte Laïque

Le chiffre de 14 milliards d’euros est avancé par Charles Prats. Le déficit budgétaire de l’État s’établissant à 67,8 milliards d’euros en 2017, la fraude représentait à elle seule 20 % du trou budgétaire annuel. DAMIEN MEYER/AFP.

Amis Gilets jaunes, les caisses sont vides car vos impôts sont engloutis dans l’accueil des migrants et dilapidés dans la gigantesque fraude sociale que Macron refuse de combattre. Voici deux exemples révoltants sur lesquels l’omerta est la règle. Le scandale des MNA et la fraude aux cartes Vitale.

1 ) En 2018, la France a accueilli 40 000 mineurs isolés dont 60 % sont des fraudeurs majeurs selon le Sénat. Coût annuel = 2,5 milliards dont 1,5 milliard de fraude (toutes dépenses confondues, structures d’accueil, répartition des mineurs, accès à l’emploi des jeunes majeurs, etc.).

https://www.valeursactuelles.com/societe/immigration-2-milliards-deuros-par-pour-les-mineurs-isoles-100607

Que fait Macron ? Il refuse de pratiquer les tests osseux qui permettent de détecter les fraudeurs. En 2019, on attend entre 50 000 et 60 000 MNA ! La facture va donc exploser et saigner un peu plus le contribuable.

2 ) La fraude colossale aux fausses carte Vitale refait surface. Mais le gouvernement botte en touche malgré l’ampleur du désastre financier.

Cette fraude n’est pas nouvelle puisque Douste-Blazy, alors ministre de la Santé, annonçait déjà en 2004 qu’il y avait 10 millions de fausses cartes Vitale en circulation !

Mais cette fois, c’est le magistrat Charles Prats et le sénateur UDI Nathalie Goulet qui reviennent sur la fraude détectée dès 2011.

https://rmc.bfmtv.com/mediaplayer/audio/rmc-2012-radio-brunet-des-centaines-de-milliers-de-cartes-vitales-attribuees-a-des-fraudeurs-cela-coute-des-milliards-aux-francais-13h-14h-448219.html

Une étude menée par le ministère des Finances et l’Insee avait conclu que sur les 18 millions de numéros SS attribués à des bénéficiaires nés à l’étranger, 1,8 million relevaient d’une fraude aux faux documents (faux certificats de naissance).

http://www.lefigaro.fr/economie/le-scan-eco/2018/12/21/29001-20181221ARTFIG00170-l-etat-laisse-t-il-passer-des-milliards-d-euros-de-fraude-a-la-secu.php

Selon Charles Prats, 80 % des faux documents sont d’origine algérienne, marocaine, congolaise et malienne. Il estime que la fraude pourrait atteindre aujourd’hui les 20 milliards d’euros par an !

Rappelons que Charles Prats n’est pas le neuneu de service en plein délire. Il sait de quoi il parle, malgré les dénégations qui fusent de tous côtés pour étouffer le scandale au moment où l’État fait les fonds de tiroir pour calmer les GJ.

Ex-magistrat de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude (DNLF) au ministère du Budget, ancien juge d’instruction, ancien inspecteur des douanes à la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED). Toujours magistrat du siège (dans une cour d’appel), toujours membre du conseil scientifique du CSFRS (le Conseil supérieur de la formation et de la recherche stratégique).

Et de citer le cas de cet Algérien, en situation régulière en France, qui a obtenu une fausse carte Vitale supplémentaire et a perçu 32 000 euros de prestations sociales indues.

Il faut savoir que 400 000 étrangers entrent dans notre système social chaque année. En 2018, 500 000 ont fait une demande.

Générosité de renommée planétaire et absence de contrôle encouragent toute la misère du monde à venir profiter de la manne sociale sans travailler.

En 2016, on dénombrait 68,7 millions de bénéficiaires de la SS et les caisses couvraient 72,3 millions de personnes… pour une population de 66,6 millions de Français !

Aujourd’hui, 21 millions des inscrits à la SS sont nés à l’étranger.

Et le ministre de la santé, Agnès Buzyn, nous dit que les 14 milliards de la fraude annuelle dénoncée par Charles Prats sont une « fake news ».

Réponse aussi fantaisiste que désinvolte car le sénateur Nathalie Goulet, qui a demandé une commission d’enquête depuis des lustres, a toujours été débouté. Tout va bien.

En 2016, ce sont seulement 500 dossiers irréguliers qui auraient été rayés sur 1,8 million de fraudeurs ! À comparer aux 14 milliards de fraude.

Et pour couronner le tout, le Conseil constitutionnel s’est mis de la partie pour encourager la fraude !

Depuis 2013, les fraudeurs ne sont plus des escrocs risquant 5 ans de prison et 375 000 euros d’amende, comme le prévoyait le Code pénal.

Ils écoperont d’une simple amende de 5 000 euros !

Fraudeurs de tous les pays, la France généreuse vous tend les bras. Venez nombreux. Quant aux Gilets jaunes, ils peuvent bien crever avec leur drapeau français à la main et leur Marseillaise chantée sur les ronds-points.

Macron ne veut rien voir de la détresse de ces lépreux populistes et de la fracture identitaire qui va tout emporter.

Comme le dit Obertone :

« L’immigration est le gigantesque angle mort d’un empire à la dérive, de ses problèmes sociaux, de sa stagnation économique, de son malaise identitaire. »

La crise des Gilets jaunes n’est qu’un léger soubresaut à côté de la déflagration qui va emporter le pays dans quelques années.

Appauvrissement généralisé et fracture identitaire vont balayer 2 000 ans d’Histoire et 1 500 ans de chrétienté parce que les mondialistes en ont décidé ainsi et parce que le peuple anesthésié refuse toujours de voter RN, le seul parti qui ne soit pas responsable du désastre actuel puisqu’il n’a jamais gouverné.





Les Bretons auraient perdu leur bienveillance envers l’immigration selon un sondage BVA

62 % des Bretons ont une opinion négative de l’action menée par la France en matière d’immigration et 58 % estiment que l’Union européenne devrait faire preuve de plus de fermeté au sujet de l’accueil des migrants, selon un sondage réalisé par BVA pour la presse régionale paru ce mercredi. Ces chiffres restent inférieurs à la moyenne nationale (respectivement 67 % et 59 %). Mais ils montrent que, sur les questions migratoires, la Bretagne ne fait plus bande à part.

« Même si les Bretons restent davantage bienveillants que la moyenne nationale, la bienveillance n’est plus majoritaire dans la région », résume Erwan Lestrohan, directeur d’études au département opinions de l’institut BVA.

À la question « La France accueille-t-elle trop de migrants ? », 60 % des Bretons répondent « oui ». Pas si loin des scores mesurés dans le Grand-Est (72 %), les Hauts de France (67 %) ou la Normandie (67 %), les trois régions où l’opinion est la plus rigide en la matière.

« Il y a quelques années, les habitants des régions Bretagne et Pays-de-la-Loire étaient systématiquement bienveillants sur les questions de société. Une tendance qu’on retrouve de moins en moins », remarque Erwan Lestrohan. […]

Le Télégramme





Toblerone, ou le halal ni vu ni connu

Source: Boulevard Voltaire

Jusqu’en avril 2018, lorsqu’un musulman se régalait d’un Toblerone, il avait à subir les foudres d’Allah. Rien ne garantissait que la barre chocolatée n’avait pas été manipulée par un ouvrier amateur de sandwichs au jambon. Quelques gouttes de bière pouvaient parsemer le sol des ateliers. Le directeur s’était peut-être rendu à son travail à dos de cochon.

Pour en finir avec cette suspicion bien naturelle, la société Mondelēz fabricante du produit décida de couper court à ces égarements en bannissant de ses unités de fabrication toutes traces de porc et d’alcool. Ainsi, la barre chocolatée devint halal et le musulman put croquer le Toblerone a pleines dents sans craindre que le ciel ne lui tombe sur la tête.

La prévision d’une progression de 30 % de l’économie islamique mondiale d’ici 2021 avait convaincu les mécréants de Mondelez de se conformer aux pinaillages des règles de la religion porteuse de chiffre d’affaires. Pour peu que l’Arabie saoudite procède, désormais, à des lapidations à coups de barre de Toblerone, le marché s’annonçait gigantesque.

Aux narquois tentés de sourire devant ces mesures, Mounir Khouzami, président du Swiss Arab Network, explique : « C’est plus que le renoncement au porc, c’est une philosophie de la vie. Le halal s’applique non seulement à l’alimentation, mais aussi à de nombreux autres domaines de la vie quotidienne. » La conquête d’une clientèle musulmane avide de pureté pourrait conduire à proposer des produits aussi inattendus que le tournevis halal, les œufs pondus par des poules voilées ou la chanson « Amsterdam » de Jacques Brel garantie sans port.

Malgré un arsenal de précautions, les industriels ne sont, hélas, pas à l’abri du grain de sable dans la babouche. Un ouvrier dont la belle-sœur est charcutière aurait été repéré au sein d’une équipe chargée de l’emballage du Toblerone. De gros efforts restent encore à faire.

Comme l’antériorité de cette certification le démontre, la société Mondelēz a procédé à ce changement en toute discrétion. La crainte d’un appel au boycott a poussé les dirigeants à opérer sournoisement… À raison. Le refus du consommateur d’ingurgiter des aliments conformés à une religion quelconque pourrait – à l’image des gilets jaunes – entraîner un effet de masse spontané… La forme triangulaire et dentelée du Toblerone semble avoir été conçue pour monter des barricades…





NDA : « Arrêtez ! Après chaque attentat on nous fait le coup de l’union nationale, on peut rien dire, et après c’est trop tard on n’en parle plus »

LIEN VIDEO : https://twitter.com/twitter/statuses/1075117713591320576

Nicolas @DupontAignan : “La naïveté française ça suffit, un fascisme islamique envahit l’Europe ! Après chaque attentat on nous interdit de parler des 120 mosquées salafistes et des fichés S dangereux. Notre pays est un foyer du terrorisme !” #i24News





Crise politique liée au pacte de Marrakech : Le Premier ministre belge Charles Michel démissionne à son tour

Le Premier ministre a présenté sa démission mardi soir devant la Chambre des députés, après plusieurs semaines de crise politique liée au pacte mondial de l’ONU sur les migrations.
Le Premier ministre belge Charles Michel a annoncé mardi soir la démission de son gouvernement de centre droit, neuf jours après le départ des ministres nationalistes flamands qui s’opposaient à ce que la Belgique soutienne le pacte mondial de l’ONU sur les migrations. Charles Michel en a fait l’annonce à l’issue d’un débat au Parlement, au cours duquel il avait appelé l’opposition à le soutenir au coup par coup, sur plusieurs thèmes-clés, pour permettre au gouvernement de continuer à travailler.

Un appel qui « n’a pas été entendu », a déploré le Premier ministre à l’issue d’une suspension de séance, tandis que socialistes et écologistes annonçaient le dépôt d’une motion visant à le renverser. « Je prends donc la décision de présenter ma démission et mon intention est de me rendre chez le roi immédiatement », a déclaré ce dirigeant libéral francophone, qui dirigeait le gouvernement depuis octobre 2014.

Sans majorité à la Chambre des députés. Depuis le 9 décembre, date du départ des ministres nationalistes flamands de la N-VA, Charles Michel était à la tête d’un gouvernement privé de majorité à la Chambre des députés. Ce parti flamand, dirigé par le maire d’Anvers Bart De Wever, avait posé certaines conditions pour continuer à soutenir le gouvernement « Michel II » et à voter notamment le projet de budget 2019. Mais ces conditions, parmi lesquelles la possibilité de rouvrir des discussions constitutionnelles, ont été jugées « inacceptables » par le Premier ministre.

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