Londres (G-B) : des affrontements entre la police et des Gilets Jaunes pro-Brexit


Le mouvement des « gilets jaunes » commencent bel et bien à s’exporter à l’étranger.

Des tensions ont émaillé ce 5 janvier une manifestation pro-Brexit. Ses participants, vêtus de gilets jaunes, se sont rassemblés dans le centre de Londres. (RT)

Le mouvement des « gilets jaunes » commencent bel et bien à s’exporter à l’étranger. Ce samedi des « yellow vests » ont manifesté dans plusieurs grandes villes du Royaume-Uni. A Londres, des manifestants ont brièvement bloqué le pont de Westminster avant de se diriger devant le siège du Parlement, où d’importants ralentissements étaient signalés par les autorités, alors que des fumigènes étaient utilisés.

Quatre personnes, dont une adolescente de 13 ans, avaient été interpellées ce samedi à 11 heures en marge des manifestions à la suite de heurts avec les forces de l’ordre.

(…) 20minutes.fr

Le piège du Pacte de Marrakech

Le 19 décembre 2018, alors que les Français avaient les yeux ailleurs, les uns sur les gilets jaunes, les autres sur les Fêtes qui approchaient, le représentant de la France à l’ONU a voté en faveur du « Pacte de Marrakech », c’est-à-dire du « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières ». Notre pays avait déjà apporté son soutien à ce texte dans cette ville du Maroc, les 10 et 11 décembre. C’est un obscur secrétaire d’État qui y avait représenté le Président de la République empêtré dans les difficultés du pouvoir. Cette discrétion n’avait rien d’étonnant, puisque la signature de la France sur un sujet aussi sensible que l’immigration n’avait donné lieu à aucun vote ni à aucun débat, ni dans la nation, ni au parlement.

Dans la plupart des pays, un débat a eu lieu, pas en France, ce qui en dit long sur la dérive non-démocratique de notre pays. L’argument invoqué pour justifier l’injustifiable consiste à souligner que les dispositions du pacte sont « juridiquement non contraignantes ». Il s’agirait donc d’un texte sans portée sur la réalité autre que vertueuse et virtuelle. Le bon sens nous dit toutefois qu’il n’y a aucune raison de donner la signature officielle d’un État à un accord sans portée. En fait, on se trouve une fois de plus en face d’une subversion de l’ordre démocratique, de la souveraineté des peuples par un pouvoir d’une autre nature, utilisant d’autres moyens.

Les peuples, notamment ceux de la vieille Europe, ont acquis, pour certains depuis longtemps, pour d’autres, plus récemment, le pouvoir de décider de leur avenir. La volonté de sauvegarder leur identité et leur cohérence y grandit face à la menace migratoire. L’esprit de Davos, du Forum économique mondial est tout différent. La richesse mondiale dépend, selon lui, essentiellement de la croissance des échanges, de la circulation des marchandises, des services et des hommes. De là proviennent à la fois la pression sur les prix et celle sur les rémunérations en raison de la concurrence dans un marché ouvert. Les deux conséquences négatives que sont, d’une part, l’accroissement des inégalités et notamment l’appauvrissement des classes moyennes des pays développés, et d’autre part, la perte de cohésion des nations incapables d’assimiler les flux de migrants en provenance de cultures par trop différentes, sont totalement ignorées par une pensée qui privilégie l’économie et qui substitue la « gouvernance » rationnelle des entreprises au gouvernement des États. Elle le fait par la puissance des médias, par le biais d’organisations non-gouvernementales, qui tendent à influencer les opinions publiques et à exercer des pressions « morales » sur les élus afin de conduire les seconds à décider, les premières à accepter des décisions évidemment contraires à leurs intérêts. Lorsqu’il est évident qu’une consultation populaire conduirait au refus d’une mesure conforme à l’esprit de Davos, alors c’est le pouvoir doux qui subvertit la démocratie : des gouvernements avalisent des règles non contraignantes, acceptent qu’un forum vérifie périodiquement dans quelle mesure elles auront été observées, et subissent ensuite la pression des médias, des ONG, puis l’intrusion de la justice se référant à un texte non contraignant, mais qui le deviendra peu à peu.

C’est exactement le piège du Pacte de Marrakech ! Et c’est la raison pour laquelle des démocraties lucides et vigilantes ont refusé de signer ce texte, soit en votant contre, soit en s’abstenant, soit en étant absentes lors du vote. Parmi les États qui ont signé, figurent les pays d’émigration, ou ceux qui n’attirent guère les migrants, les régimes non-démocratiques qui se moqueront bien de ces règles, et enfin ceux qui sont gouvernés dans l’esprit de Davos, la France, notamment qui en est le chef de file avec son Président énarque et banquier. Au nom de leur souveraineté et du devoir de sauvegarder la cohésion nationale, les États-Unis, l’Australie, Israël, le groupe de Visegrad, l’Algérie, l’Autriche, le Chili, l’Italie, Singapour, la Suisse, rejoints par le Brésil de Bolsonaro, en tout 42 nations n’ont pas signé ou voté le Pacte de Marrakech.

Gilets Jaunes le 5 janvier à Paris. Direct !

«Gilets jaunes» acte 8 EN DIRECT. Près de 25.000 manifestants dans toute la France, selon le ministère de l’Intérieur

DIRECT 1 : https://www.facebook.com/PRESSTVFRANCAIS/videos/1118301421685028/UzpfSTkxOTkxNzk5ODA2MjAxMDpWSzoxMTE4MzAxNDIxNjg1MDI4/

DIRECT 2 : https://www.facebook.com/brutofficiel/videos/275415553149092/?notif_id=1546694962766725&notif_t=live_video

HISTORIQUE : https://www.facebook.com/sputnik.france/videos/236780753906729/?t=18

Retour sur les vœux du président Macron.

Publié le 31 décembre 2018 – par Jacques Guillemain, Riposte Laïque

Lors de ses vœux, Macron a fait trois bras d’honneur aux Français.

Monsieur le Président,

Votre prestation est un monument d’hypocrisie. C’est ahurissant. Une fois de plus vous vous foutez ouvertement du peuple français en lui présentant vos vœux pour 2019.

Je ne reviens pas sur le bilan que vous brossez de votre action et sur votre volonté de poursuivre vos réformes.

Je constate que vous n’avez eu aucun mot de  compassion pour les Gilets jaunes en détresse, vous contentant d’énumérer les exactions commises, sans citer les coupables, ces casseurs d’extrême-gauche et ces loubards de banlieue venus piller les beaux quartiers.

Vous dénoncez la montée des extrêmes sans expliquer pourquoi le peuple exaspéré se détourne de votre politique injuste qui consacre la préférence étrangère.

Vous évoquez l’immigration comme un phénomène inéluctable compte tenu de la démographie africaine, en omettant de dire que l’Italie, l’Australie ou la Hongrie ont mis fin à l’invasion avec des mesures énergiques.

Monsieur le Président, vous mentez en faisant croire aux Français que les migrations sont une fatalité.

Votre premier vœu pour 2019 est un vœu de véritéalors que votre quinquennat n’a été que mensonge et trahison depuis 18 mois.

Comment osez vous parler de vérité alors que l’affaire Benalla, qui revient au devant de la scène n’est qu’un chapelet de mensonges et de non-dits ?

Vous dénoncez les “fake news” alors que vous êtes le premier à mentir au peuple en prétendant que le Pacte de Marrakech n’est pas contraignant. Si c’était le cas, une douzaine de pays occidentaux ne se seraient pas abstenus de le signer !

Vous voulez de la transparance, de l’humilité, du dialogue. On croit rêver. J’évoque plus loin votre façon de gouverner. Tout le contraire de votre discours de ce soir.

Votre deuxième vœu est un voeu de dignité et de respect du citoyen.

Comment osez vous oublier que vous n’avez cessé d’insulter et de mépriser le peuple ? Les agriculteurs, vous les laissez crever avec 350 euros par mois pendant que vous consacrez 50 000 euros par an pour chaque mineur isolé. 40 000 MNA en 2018 ! Combien en 2019 ? 60 000  pour un coût de 3 milliards que paieront les Gilets jaunes ?

La liberté d’opinion ? Mais vous voulez légiférer pour faire taire les patriotes, ces lépreux populistes que vous haïssez !

L’ordre républicain ? Mais allez donc le rétablir dans les banlieues islamisées au lieu de matraquer les GJ !

Votre troisième vœu est un vœu d’espoir.

Vous parlez de liberté, de maitrise de notre destin ! Comment osez-vous ?

Les Français ne veulent plus d’immigration et d’islamisation de leur pays, mais vous leur imposez le Pacte de Marrakech qui organise le tsunami migratoire et interdit toute critique des migrations.

Vous défendez le projet européen qui nous a dépossédés de notre souveraineté monétaire, territoriale, budgétaire, diplomatique, judiciaire.

On ne peut même plus expulser un délinquant étranger sans que la CEDH n’y mette son nez.

Et cerise sur le gâteau, vous osez nous parler d’amour de la patrie, de votre fierté des Français que vous avez traînés dans la boue pendant 18 mois.

Par conséquent, ne vous faites aucune illusion. Quels que soient vos mea-culpa, quels que soient vos regrets pour vos comportements passés, les Français ne se laisseront pas amadouer par vos vœux pour l’année 2019. C’est trop tard, la confiance a disparu à jamais. Vous les avez trop souvent bernés.

Les Français ne vous aiment pas car vous les avez trahis dès le premier jour où vous avez décidé de vous lancer dans la campagne présidentielle. Insultes et mensonges permanents sont la marque de votre gouvernance. Vous n’avez pas de respect pour le peuple et encore moins pour les petits métiers.

Mais que serait un général sans la confiance de ses soldats ? On vous dit intelligent mais l’évidence vous échappe…

Il est donc totalement illusoire d’espérer  tourner la  page de 2018, véritable année noire de votre présidence, qui a définitivement plombé votre quinquennat et fait de vous le plus malaimé des présidents de la Ve République.

En un an, votre cote de confiance s’est effondrée de 23 points pour atteindre 21 %.

Certains n’hésitant pas à balancer votre portrait au bout d’une pique.

Vous n’avez été élu que par les 24 % des électeurs du 1er tour de la présidentielle. Mais le mode de scrutin vous a permis de rafler 60 % des sièges de l’Assemblée et la Constitution vous attribue 100 % du pouvoir de décision, soit bien davantage que celui dont dispose le président des États-Unis !!

Rien ne peut se faire sans votre aval.

L’histoire de votre prise de pouvoir, avec la torpille qui a frappé Fillon sous la ligne de flottaison reste à écrire. Qui a monté cette machination diabolique pour couler Fillon, alors que la droite jugeait cette élection imperdable pour son champion ?

En mai 2017, vous aviez donc tous les atouts en mains. Un boulevard s’ouvrait devant vous pour rendre à la France la grandeur qu’elle avait encore à la fin des Trente Glorieuses.

Une opposition laminée comme jamais, des syndicats à bout de souffle incapables de mobiliser leurs troupes, des médias totalement subjugués ne jurant que par Macron, une aura internationale dont rêverait n’importe quel chef d’État étranger et un peuple français s’étant quand-même décidé à vous suivre pour réformer un pays malade de 40 années d’immobilisme et de culture de l’échec.

Hélas, c’était sans compter avec votre ego démesuré, avec votre arrogance, avec votre mépris du peuple que vous n’avez cessé d’humilier et d’insulter. Voilà 40 ans qu’on vous rabâche que vous êtes le plus beau et le plus intelligent. Alors, vous avez fini par vous prendre pour le Mozart de la politique, le nouveau roi d’Europe pouvant tout se permettre.

Vous n’aimez pas la France puisque vous l’avez accusée de crime contre l’humanité en Algérie et avez nié sa culture propre. Quelle bassesse !

Vous l’avez même salie de façon ignoble devant les 193 États de l’ONU :

« Je viens d’un pays qui a fait beaucoup d’erreurs, beaucoup de mauvaises choses ». Aucun chef d’État au monde n’insulte ainsi son pays. C’est de la trahison.

Par ces propos, vous vous êtes révélé indigne de gouverner notre France millénaire qui a derrière elle des siècles de grandeur et tant de personnages illustres qui l’ont fait rayonner sans  jamais la salir.

Vous n’aimez pas notre armée puisque vous avez humilié publiquement et poussé à la démission le CEMA dès le 14 juillet 2017, en osant rappeler à ce grand soldat « Je suis votre chef ». Difficile de faire plus ridicule face à un grand serviteur de la France, dont la fidélité et le dévouement sont au dessus de tout soupçon.

Et le 11 novembre vous n’avez même pas daigné célébrer dignement le Centenaire de la victoire de nos Poilus, lui préférant un Forum pour la Paix qui ne sert à rien mais qui vous permet uniquement de briller sur la scène internationale. Chez vous, tout n’est que calcul.

Et pour mettre un peu de vinaigre sur les plaies, vous avez sali notre armée en l’accusant d’avoir pratiqué la torture en Algérie, oubliant les actes terroristes et les abominations perpétrées par le FLN  contre nos soldats et les populations civiles. Un procès à sens unique contre nos militaires qui servent la France. Ce n’est pas ce qu’on attend du Chef des armées.

En quelques mois, vous vous êtes mis à dos Poutine, Trump, Salvini et Orban, pour la simple raison qu’ils ne partagent pas vos délires mondialistes qui ruinent l’Europe et détruisent la France. Mais aujourd’hui, vous voyant embourbé dans la révolte des Gilets jaunes, vos quatre cibles préférées ricanent et on les comprend.

Ce jeune président français arrogant, qui prétendait donner des leçons au monde entier, doit en rabattre !

Vous vous mettez le monde entier à dos car vous ne supportez pas la contradiction. Toute la planète  doit penser comme vous, le premier de la classe ! Comme si les peuples américain, russe, italien ou hongrois n’étaient pas libres de mener la politique qui convient à leurs propres intérêts. Tout le monde ne rêve pas d’un mondialisme délirant !

Le peuple français vous l’avez toujours insulté dès le premier jour. Tantôt « illettré » ou « alcoolique ».  Tantôt « fainéant » ou « moins que rien », incapable de se réformer.

Quant à la majorité de Français qui ne veulent plus d’immigration et jugent que l’islam est un frein à l’intégration, vous les traitez de lépreux populistes, vos sbires n’hésitant pas à les mettre dans le même sac que les nazis en se référant aux années 30. Une telle fourberie est pitoyable !

Agiter un drapeau français en clamant « On est chez nous » devient un délit !

L’échec de l’intégration et les ravages de l’islamisme qui transforme nos banlieues en mini-califats, vous n’en parlez jamais. Votre ministre de l’Intérieur Gérard Collomb a pourtant démissionné pour cette raison, nous alertant sur le risque imminent d’un embrasement généralisé des banlieues.

Mais votre unique combat, c’est celui des« progressistes » contre les « populistes ».

Il est clair que vous manquez d’expérience et que votre jeunesse est synonyme d’amateurisme. Le danger du Grand Remplacement vous le niez alors que dans une génération, les natifs seront devenus minoritaires dans leur propre pays, avec les bouleversements et les conflits interethniques et interconfessionnels que l’on imagine.

Le terrorisme a déjà fait 250 morts et 1000 blessés depuis 2015. Et les Français subissent 1000 agressions gratuites par jour, mais vous refusez de sévir et de construire les 15 000 places de prison promises en 2017 !

Votre société multiraciale paradisiaque sera un enfer.

Votre politique désintègre la nation alors qu’on attend votre protection, comme le font un Salvini ou un Orban, qui donnent priorité aux intérêts de leur peuple.

Vous bradez la France et combattez les patriotes qui défendent leur identité et leur patrimoine culturel. En signant le Pacte de Marrakech, vous avez signé l’arrêt de mort de la France de nos ancêtres, pour faire des Français des citoyens du monde, sans Histoire ni héritage culturel, parce que votre obsession est de bâtir une France post-nationale, noyée dans le grand village mondial multiculturel.

C’est un crime contre les Français et une trahison envers nos Poilus qui se sont sacrifiés pour notre liberté.

Et que dire de vos frasques qui salissent la fonction présidentielle alors qu’on attendait que vous lui redonniez un peu de lustre après les comportements humiliants de Hollande, lors des affaires Leonarda et Théo ?

Lors de la Fête de la musique, sur les marches de l’Élysée, une troupe de danseurs en bas résille et marcel a craché ses insanités devant un couple présidentiel tout sourire, dont la photo dégradante a fait le tour du monde.

De Gaulle doit se retourner dans sa tombe à la vue d’un tel boxon, là où tant de rois et de grands de ce monde ont été reçus avec faste et honneurs !

Ensuite, vous avez alimenté le scandale à Saint-Martin, en prenant la pose avec un jeune délinquant dépoitraillé, faisant un doigt d’honneur devant l’objectif ! Une photo qui a également fait le tour du monde, ternissant un peu plus votre image de premier de la classe et faisant honte au peuple français. Quel gâchis !

Mais ce sont surtout vos mensonges qui vous ont discrédité. Ils sont quotidiens.

Vous aviez promis de respecter le référendum approuvant la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Mais par lâcheté vous avez botté en touche, en trahissant les électeurs et en bafouant 178 décisions de justice favorables au projet, pour donner raison à une poignée de squatteurs d’extrême- gauche occupant illégalement le terrain depuis 10 ans !

Ce faisant, vous avez bafoué à la fois la démocratie et la justice.

À cinq reprises pendant la campagne électorale vous avez répété devant les médias que vous ne toucheriez pas aux retraites. On voit le résultat aujourd’hui, la révolte des Gilets jaunes est le résultat de votre aveuglement  face à la détresse de la classe moyenne, saignée par votre politique mondialiste qui oblige le peuple à partager son modeste pouvoir d’achat avec toute la misère du monde.

Le peuple est écrasé d’impôts pour fiancer le coût démentiel de l’immigration de masse de pauvres non qualifiés, totalement improductifs.

Que chaque Français dépense 2000 euros par an pour financer l’immigration n’est pas votre problème. Mais cela va le devenir, car la révolte des GJ ne fait que commencer.

L’immigration de pauvres ne peut que niveler la France par le bas et donc ruiner un peu plus les Gilets jaunes. Tout va s’aggraver car vous niez le danger de l’immigration de masse.

Toute votre politique est vouée à l’échec si vous ne fermez pas les frontières. C’est inéluctable. L’immigration est la cause essentielle de nos  2300 milliards de dettes. 45 milliards partent chaque année pour payer les intérêts de nos créanciers étrangers. C’est 4,5 fois ce que les Gilets jaunes ont obtenu suite à leur révolte.

Appauvrissement généralisé et désintégration de la nation sont au bout du chemin de toute politique mondialiste. Le « vivre ensemble » n’existe nulle part dans le monde.

50 % des jeunes musulmans, parfaitement manipulés par les barbus, souhaitent l’instauration de la charia et vous ouvrez encore plus largement les frontières ! C’est irresponsable. Plus l’intégration échoue, plus vous chargez la barque.

Ce sont des légions de migrants qui errent dans nos rues car les structures d’accueil sont depuis longtemps saturées. Vous avez perdu le contrôle de la situation aux frontières, à Calais et à Paris.

Mais c’est le 1er Mai 2018 que l’opinion a vraiment basculé et que votre descente aux enfers a commencé, inexorable, incontrôlable, parsemée d’erreurs de communication grotesques et de magouilles sordides.

Les violences de Benalla, usurpant la fonction de policier pour molester des manifestants, ont d’abord été camouflées par l’Élysée et ensuite traitées par le mépris et l’arrogance. Pourquoi fanfaronner ?

« S’ils veulent un responsable, il est devant vous, qu’ils viennent me chercher ».

Commission d’enquête de l’Assemblée totalement sabotée, perquisition au domicile de Benalla bâclée, avec disparition du coffre-fort dans la nuit, sans qu’il y ait la moindre demande d’enquête pour connaître le contenu dudit coffre !

Aucune explication sur les incroyables privilèges dont bénéficiait Benalla, soi-disant simple porteur de valises, responsable de la logistique des voyages présidentiels, mais mieux traité qu’un ministre d’État !

Que cache une telle protection ? Qui est le véritable Benalla qui menace de parler ? Le peuple attend vos réponses alors que vous vous réfugiez dans le silence, quand ce ne sont pas les communiqués de votre entourage qui cherchent à noyer le poisson et se contredisent.

Car il y a obligatoirement anguille sous roche après cette panique qui dure depuis 6 mois.

L’affaire des passeports diplomatiques et des multiples voyages de Benalla en Afrique, en Turquie et en Israël vient de montrer que l’Élysée a menti en prétendant que les ponts avaient été coupés avec votre ex-conseiller.

Et aujourd’hui, Mediapart  balance une nouvelle grenade dégoupillée dans les couloirs du Palais.

Benalla vient d’affirmer qu’il était régulièrement en contact avec vous depuis son licenciement et Mediapart a confirmé ce jour que les messages échangés « ont été authentifiés ».

Donc le pouvoir  a menti. Benalla n’est pas devenu le paria de l’Élysée et n’a jamais été en disgrâce.

« Ça va être très dur de le démentir parce que tous ces échanges sont sur mon téléphone portable », dit Benalla.

http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2018/12/30/25001-20181230ARTFIG00036-alexandre-benalla-promet-de-rendre-ses-passeports-diplomatiques.php

Que peut espérer le peuple d’un président qui ment sans arrêt, dit tout et son contraire ?

Quel crédit accorder à ses promesses d’écoute ? Que penser d’un  « grand débat national » redonnant la parole au peuple pour l’associer aux décisions qui engagent son avenir ?

Dès lors que vous avez évacué du débat sur l’immigration et l’islam, les deux sujets existentiels qui conditionnent l’avenir même de notre nation millénaire, il ne peut y avoir de confiance entre l’Élysée et le peuple.

Par conséquent, ces vœux présidentiels pour 2019 n’ont aucune chance de rétablir le lien indispensable entre un peuple et ses élus.

Votre objectif est la disparition des nations, dans le droit fil du programme de l’ONU qui veut l’abolition des frontières et un grand brassage des peuples, ce qui va anéantir la civilisation occidentale.

Mais les patriotes n’accepteront pas de sacrifier leur patrimoine culturel et leur identité pour satisfaire vos délires mondialistes.

Après la révolte sociale des Gilets jaunes viendra le sursaut identitaire salvateur pour défendre notre civilisation et notre identité.

Pour vous, monsieur le Président, l’aventure féérique de mai 2017 est terminée. La descente aux enfers va se poursuivre parce que vous refusez d’écouter le peuple qui a toujours le dernier mot.

Contrairement à un Trump, un Salvini ou un Orban, vous préférez écouter les mondialistes de l’UE ou de l’ONU, plutôt que d’écouter le peuple français. C’est ce qui va vous perdre.





Les gilets jaunes du jour de l’an !

Dans l’objectif de “continuer la lutte pacifiquement”, et de montrer que les mesures prévues par le gouvernement ne suffisent pas, des “gilets jaunes” prévoient de se rassembler pendant le Nouvel An. Sur les champs et Elysées.


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Que faut-il penser du réchauffement climatique ?

Déjà il ne faut pas confondre “Lutte contre le réchauffement climatique” et “lutte contre la pollution”
La lutte contre la pollution est une nécessité évidente, il suffit de constater l’état de nos océans, de nos villes et de nos rivières. Le développement des activités humaines doit être beaucoup plus encadré pour éviter que nous vivions dans un monde de plus en plus pollué et nocif pour l’être humaine et les animaux.
Concernant le réchauffement climatique, le sujet est plus compliqué.

Le phénomène est complexe à démontrer. Même s’il on constate une certaine corrélation entre les activités humaines et le réchauffement climatique, d’autres phénomènes naturels peuvent aussi jouer sur le réchauffement (comme l’activité du soleil par exemple).

Il n’y a donc aucune volonté dans cet article de nier le réchauffement climatique mais de mettre en perspective les affirmations du GIEC et le contexte politique et économique qui sou-tendent ses rapports.

Cette petite introduction me permet maintenant de vous laisser lire un article de Médiapart (écrit en janvier 2016) sur ce sujet. Bonne lecture.

Le réchauffement climatique anthropique : un mensonge qui arrange !

La COP21 qui s’est tenue à Paris en décembre 2015, pour accoucher d’une broutille, a remis la question du climat sur le devant de la scène politico-médiatique et m’a donné envie de faire le point sur ce sujet controversé. Le dernier « résumé pour les décideurs » de 2014 publié par le GIEC, agence de l’ONU, a servi de base de travail lors de cette grande foire internationale.

L’ONU (Organisation des Nations unies) est une organisation internationale censée apporter la paix dans le monde. Elle comprend de nombreuses agences qui sont malheureusement au service des multinationales et des élites politiques, et pas au service des peuples.

L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) par exemple, suite à un accord de 1959, n’a pas le droit de s’exprimer, ni d’agir en faveur des populations contaminées par la radioactivité sans l’aval de l’AIEA  (Agence Internationale de l’Energie Atomique) 

L’AIEA est un autre exemple de structure de l’ONU peu indépendante, à la fois gendarme (très gentil) et complice de la prolifération nucléaire dans le monde. Fukushima en est une illustration magistrale : depuis le 11 mars 2011, début de ce terrible accident nucléaire, l’AIEA s’emploie à minimiser la gravité de la catastrophe pour ne pas nuire au développement de l’énergie nucléaire dans le monde.

Je pense aussi à la FAO (Organisation des Nations-Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture) qui prend comme alibi la faim dans le monde (qu’elle a peu combattu) pour promouvoir le développement des OGM.

Mais revenons au GIEC, l’agence de l’ONU la plus médiatisée ces dernières années. Il y a en effet un enjeu financier colossal autour des choix énergétiques, et bien sûr un lobbying effroyable.

La création du GIEC

Le GIEC fut créé en 1988 à la demande du G7 (G20 aujourd’hui) sous la pression de Ronald Reagan et Margaret Thatcher.  

Dans les années 1970 Thatcher, premier ministre, était en difficulté à cause des mineurs britanniques qui menaient de fortes grèves générant coupures d’électricité. Elle n’avait pas confiance dans les compagnies pétrolières ; sa préférence était l’énergie nucléaire.

En 1979, à Genève, se tient la première Conférence mondiale sur le climat. Alors que la crainte dans ces années là était celle d’un refroidissement planétaire, est déclaré que le dioxyde de carbone(CO2) émis par les activités humaines pourrait réchauffer la planète et avoir de graves  conséquences.
Très opportuniste, Margaret Thatcher s’empare de cette pensée nouvelle pour faire la promotion de l’énergie nucléaire. La France déjà très engagée dans le nucléaire, sous la présidence de François Mitterrand, avec Jacques Delors président de la Commission européenne et représentant la France lors des grands sommets internationaux, appuie cette ligne politique.

Et le GIEC (Groupe Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) va naître en novembre 1988 et tout faire pour prouver la véracité de ce réchauffement climatique anthropique. Le lobby nucléaire y est dès le départ très présent.
Il est amusant de constater que le GIEC s’est renommé « Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat » dans les traductions suivantes. L’appellation anglophone IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) ne contient pas ce mot. Le GIEC est un « Groupe Intergouvernemental » c’est à dire avant tout une structure soumise aux forces politiques. 

Un mensonge qui arrange !

Depuis sa création le GIEC publie tous les six ans environ un épais rapport de plusieurs milliers de pages, ainsi qu’un « résumé pour les décideurs » de 20 à 40 pages servant de base aux négociations climatiques internationales. Le cinquième et dernier rapport date de 2014. Au fil des ans, ces résumés sont devenus de plus en plus illisibles.

Les trois premiers rapports du GIEC restaient prudents. En 1995, le GIEC concluait en disant qu’aucune des études n’avait apporté la preuve que le changement climatique puisse être attribué aux gaz à effet de serre. En 2001, le GIEC soulignait qu’en matière de modélisation du climat, ils étaient face à un « système chaotique couplé et non linéaire » et que les prédictions à long terme s’avéraient impossibles.

Mais dés le 4 ème rapport (AR4), fin 2007, sans aucune donnée nouvelle, le GIEC affirme que la réalité et l’ampleur du réchauffement climatique sont « sans équivoque ». L’effet de serre du CO2 serait la cause d’un réchauffement pouvant atteindre 6,4° en 2100 si rien n’était fait; cela provoquerait aridité, désertification, catastrophes climatiques et montée des océans. Des prédictions avec un écart allant de 0,2° à 6,4°! Une marge d’incertitude invalidant leurs conclusions.

AR4 affirmait entre autres que les glaciers de l’Himalaya pourraient disparaître en 2035 voire avant. Le GIEC dût démentir en 2010 suite aux protestations des scientifiques. Des études ont confirmé qu’il n’y avait aucun recul inquiétant des glaciers en Himalaya et plusieurs scientifiques et ex-experts du GIEC  démissionnèrent pour exprimer leurs désaccords quant aux méthodes de travail et ses conclusions.

En tant que vice-président dans l’administration Clinton,  Al Gore aida à promouvoir le protocole de Kyoto en 1997, traité international visant à réduire les émissions de CO2.

En 2006,  dans son film « une vérité qui dérange », Al Gore se met en scène pour expliquer la future catastrophe planétaire liée aux activités humaines. Ce film quasi hollywoodien très médiatisé, avec ses images d’apocalypse et sa courbe impressionnante « en crosse de hockey » pour illustrer le réchauffement depuis la période industrielle, eut un retentissement international. 

Mais cette courbe était fausse ! (et ce n’était pas la seule erreur). Elle avait été sciemment falsifiée. Ce mensonge scandaleux à des fins idéologiques aurait dû entraîner la dissolution du GIEC. Mais non, le GIEC admit son «erreur», la courbe disparut du rapport suivant et le film reçut 5 prix, 2 nominations et le prix Nobel de la paix fut attribué en 2007 au GIEC et à Al Gore !! 

Puis il y eut en 2009, peu avant le sommet de Copenhague, la « Climategate », autre affaire très grave. Des hackers avaient diffusé plus de 5000 e-mails de hauts membres du GIEC. Dans ces échanges apparaissaient clairement les manipulations des données scientifiques pour les faire coller à leur théorie réchauffiste, ainsi que des rapports de scientifiques censurés « comme non conforme » à la version officielle du GIEC. On y vit aussi leurs méthodes d’intimidation contre ces scientifiques « dissidents ». 

Le président du GIEC, Rajendra Pachauri, faisant l’objet d’une plainte pour harcèlement sexuel, dût démissionner le 24 Février 2015. Ce n’était pas le seul scandale le concernant; il était également visé par des accusations de conflits d’intérêts et d’enrichissement personnel.

Dans le 5ème et dernier rapport (2014), sans nouvelles données scientifiques, le GIEC devient plus affirmatif encore : le réchauffement du système climatique est dû aux activités humaines (probabilité de plus de 95 %) et il faut mettre fin à l’utilisation des énergies fossiles, principales responsables.

Qu’en est-il de ce soi-disant réchauffement climatique anthropique dû au dioxyde de carbone (CO2) ?

Tout d’abord, il est bon de rappeler que le climat de la Terre n’a jamais été constant et a sans cesse changé. De plus la climatologie est une science récente qui ne s’est développée qu’après la seconde guerre mondiale. 

L’atmosphère de la Terre se compose d’une multitude de gaz dont une petite partie sont des gaz à effet de serre. Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau (H20). Heureusement qu’elle est là sinon il y aurait sur Terre 30°C de moins, soit une température moyenne de -18°C.

Le C02 est un gaz à effet de serre assez mineur ; c’est le seul qui augmente de façon significative. Depuis 20 ans, son augmentation semble se limiter d’elle-même dans une période pourtant fortement émettrice. 

Pourquoi le CO2 a t-il augmenté ? la raison principale semble avoir peu de lien avec les activités humaines, mais venir surtout des cycles solaires ; le soleil ayant connu une période d’activité intense depuis 1950, cause non prise en compte par le GIEC.

La hausse des températures, du niveau des océans et le recul des glaciers seraient liés à la lente récupération de la Terre depuis 1715, fin du dernier « petit âge glaciaire ». Cette alternance entre petits âges glaciaires et périodes plus chaudes a pu être observée dans l’histoire de la Terre grâce à l’analyse des carottes glaciaires sur une période de 600 000 ans.

Le CO2 suit les changements de températures. Il est une conséquence et non une cause. Quand il fait froid, les océans absorbent plus de CO2, et quand il fait chaud, c’est l’inverse, ils en rejettent davantage. Le taux de CO2 d’origine anthropique dans l’atmosphère serait d’environ 5 %.

Les océans représentent la majeure partie de la surface du globe et constituent un immense réservoir de CO2 contenant 60 fois sa quantité dans l’atmosphère. 
Depuis 2003, 3000 balises Argo sont installées sur tous les océans du globe et leurs données sont transmises par satellite. Ces capteurs ne constatent aucune évolution significative de la température des océans depuis leur mise en place. 

Depuis le début du XXIème siècle, les instituts spécialisés parlent de « pause », le GIEC emploie le mot « hiatus ». Le taux de réchauff ement durant la période 1970-1998 était d’environ 0,17°C par décennie, alors que durant 1998-2012, ce taux est passé à environ 0,04°C par décennie (chiffres du MET Office, un des 3 plus importants centres de météorologie mondiale, utilisés par le GIEC). Des records de température sont toujours observés, ce qui n’est pas en contradiction avec l’ambiance de fond qui elle est quasi stationnaire.
Il y a aussi le phénomène El Nino qui est à l’origine de phénomènes météo exceptionnels perturbant le climat planétaire. Il est particulièrement puissant en 2015-début 2016. Son influence reste faible en Europe.

Des prédictions peu scientifiques …

Les mesures récentes, en particulier celles provenant des satellites et des balises Argo, sont trop éloignées des projections du GIEC pour valider leur théorie. De plus leurs modélisations ne concordent pas avec les cycles du passé. Comment pourraient-ils faire des prédictions justes pour l’avenir !?

Un rapport très complet datant de 2009, signé par 37 spécialistes internationaux concluaient par : les causes anthropiques du changement climatique restent marginales devant les causes naturelles. 

Le soleil sortirait d’un cycle d’environ 60 ans d’activité intense et la tendance pourrait s’inverser et amener alors un refroidissement jusqu’en 2030.

De nombreux facteurs ont une influence sur le climat : les cycles solaires, le rayonnement cosmique (c’est à dire les particules chargées d’énergie qui pénètrent dans l’atmosphère terrestre), la formation des nuages, la dynamique des océans, le volcanisme et d’autres encore.
Les phénomènes météorologiques sont de nature chaotique et d’une prédiction aléatoire. La prévision climatique est complexe. Personne n’est en mesure de savoir vers quoi évoluera le climat d’ici la fin du XXIème siècle.

L’être humain et l’animal ne peuvent vivre sans oxygène comme les plantes ne peuvent se passer de CO2. Le CO2 est couramment utilisé dans les serres pour accroître le rendement des cultures. Aujourd’hui, le pourcentage de CO2 est de 0,04%. Un humain peut vivre dans une atmosphère contenant jusqu’à 5% de CO2. A ne pas confondre avec le monoxyde de carbone (CO), gaz toxique qui résulte de la combustion incomplète du bois, charbon, pétrole, gaz, etc…

Que penser de tout ça ?

Tout d’abord, les différentes affaires, erreurs et mensonges montrent qu’il n’y a aucune rigueur scientifique dans les travaux du GIEC, une structure pourtant censée synthétiser les travaux de qualité de nombreux scientifiques. Nous subissons une effroyable propagande idéologique. Il est d’ailleurs politiquement très incorrect de contester leurs thèses et tout est fait pour discréditer les contradicteurs en les raillant ou en censurant leur travail. D’où les départs de scientifiques du GIEC ( comme Judith Curry, une des climatologues les plus emblématiques )

Et surtout, il apparaît clairement qu’il y a de graves problèmes bien plus urgents à se préoccuper que cet éventuel réchauffement climatique futur.

Le matraquage permanent des médias autour de ce « global warming » anthropique sert à tout justifier : une inondation  inédite, une tornade comme jamais auparavant, des sécheresses dévastatrices de plus en sévères, des ouragans  plus puissants que jamais,  et même des truffes en baisse et des chenilles processionnaires en plus ! Diantre, vivrions nous les débuts de l’apocalypse ! Tout est pain béni pour servir ce dogme.  

Face au GIEC, certains « climato-sceptiques » ont des intérêts politiques et financiers aussi peu louables. L’enjeu climatique oppose l’industrie pétrolière et l’industrie nucléaire. S’y ajoute le récent enjeu des énergies renouvelables et les affrontements entre multinationales sont impitoyables. Cette fixation sur le CO2 est aussi un moyen de tenir à distance l’émergence économique des nouvelles puissances.

Le GIEC tente de donner à l’industrie nucléaire une dernière chance. Concernant la France, il est peu probable qu’elle soit économiquement en mesure d’investir les sommes énormes qu’elle a dépensée depuis les années 1970 pour renouveler son parc nucléaire vieillissant. D’autant plus qu’il n’y a rien de nouveau depuis longtemps sur le plan technologique. Les EPR sont très coûteux, d’une technologie ancienne, dangereuse et pas au point. 

Quant au projet expérimental ITER à Cadarache sur la fusion nucléaire, il ne verra probablement jamais le jour. C’est un projet pharaonique des années 80, complètement obsolète, au coût faramineux encore inconnu, qu’ils n’arriveront pas même à construire. Une majorité de scientifiques n’y croit pas. (Je reviendrai prochainement sur ITER)

Le nucléaire produit aujourd’hui à peine plus de 10% de l’électricité mondiale et ne représente que 1,8% de la consommation mondiale d’énergie. Malgré l’alibi d’être une « énergie décarbonée » pouvant lutter contre le réchauffement climatique, un nouvel essor de l’énergie nucléaire semble peu probable. La France se trouve donc dans une impasse avec des centrales dangereuses et vieillissantes qui fournissent 77 % de son énergie électrique.

Mais une nouvelle économie repeinte en vert se porte bien et mise sur de juteux profits futurs grâce aux thèses du GIEC. Les cabinets et consultants sur « l’empreinte carbone » prospèrent. La vente des voitures électriques espère décoller.

De nombreuses institutions environnementalistes (WWF, Réseau Action Climat, Greenpeace, Réseau Sortir du nucléaire,…) se sont bien sûr ralliées au discours dominant et à cette croisade, rejoignant ainsi pronucléaires et autres lobbies malpropres, et détournant les militants écologistes des vrais combats à mener. WWF et Greenpeace ont été associés au GIEC dès sa création.

Le matraquage autour de ce réchauffement idéologique a réussi à formater la pensée de nombreux militants qui sont devenus les relais zélés de cette propagande. Les personnes contestant ce dogme, ont vite droit à des insultes et se voient même traiter de révisionnistes !

Le capitalisme industriel fait des ravages sur la planète et de vraies catastrophes sont devant nos yeux.

Le danger de la science comme de la religion est de faire d’une théorie une grille de lecture unique et imposée. Les croyances ne devraient pas avoir leur place dans une étude scientifique. 

Cette propagande sur une catastrophe climatique à venir permet de laisser dans l’ombre les catastrophes mondiales bien réelles, catastrophes à la fois humaines et environnementales : les guerres et la faim dans le monde, la pollution de l’air, des sols, des mers et des rivières (par des composants chimiques plus problématiques que le CO2), l’appauvrissement de la biodiversité, les déchets nucléaires, …

Impossible de passer sous silence la terrible catastrophe nucléaire en cours à Fukushima. Matsuhei Murata, ancien ambassadeur du Japon en Suisse, parlait il y a quelques jours, d’un accident encore jamais vécu par l’humanité et toujours pas maîtrisé. Les cœurs fondus des réacteurs restent inaccessibles à cause de leur niveau de radiation, détruisant même les robots envoyés. De grandes quantités de radionucléides mortels sont rejetés sans cesse dans la mer et dans l’atmosphère, et ont atteint l’ouest des États-Unis. Aucune perspective de solution à ce jour. M.Murata souhaite que le Japon se retire de l’accueil des jeux Olympiques de 2020 pour consacrer tous les efforts à la crise de Fukushima.


Fera t-il beau demain ?

La COP21, à Paris en décembre 2015, a coûté plus de 180 millions € et s’est terminée par un accord international, qualifié d’historique, ratifié par 195 États : stabiliser le réchauffement climatique dû aux activités humaines bien en dessous de 2°C d’ici à 2100 (sans aucun engagement chiffré des États).
Quel gaspillage d’argent pub lic et quel égarement ! 

L’Homme ne commande quasiment rien du climat de la Terre. Ce sont là des forces naturelles bien plus puissantes qui sont à l’œuvre. Qu’en sera t-il du climat et de la température de la fin du siècle ? Fera t-il plus chaud ou plus froid ? Nous l’ignorons !

Le GIEC devrait être dissous. Rester aussi influent sur la scène internationale après une telle accumulation de mensonges, d’erreurs et de manipulations, montre la puissance des lobbies et forces politiques qui sont derrière cette structure.

Si l’ONU et ses agences se démenaient autant pour le bienfait de l’humanité qu’elles le font pour le monde des affaires, nous pourrions être confiants dans l’avenir.

Les multinationales ont pris le pouvoir et mènent le monde. Les dirigeants ne sont que des marionnettes pour les servir et nous endormir. Ils se plient aux impératifs du monde économique et délaissent les vrais problèmes de notre siècle. 

Il est urgent de remettre en cause nos sociétés occidentales, qui tirent le monde vers le pire, et de revoir radicalement leur fonctionnement (production, consommation, distribution)

Parler du temps permet souvent de ne pas aborder les choses essentielles !

Antoine Calandra
     janvier 2016

L’Allemagne maltraite ses retraités mais bichonne les migrants

Publié le 29 décembre 2018 – par Anne Schubert – Riposte Laïque

Retraités obligés de “faire les poubelles”

En Allemagne, un nombre croissant de retraités sont dans la pauvreté. Nombre d’entre eux retournent donc travailler, majoritairement en mini-job, les contrats les plus précaires.
Mis en place en 1883, le système de retraites le plus ancien du monde a survécu à deux guerres. Aujourd’hui pourtant, il est l’objet de nombreuses critiques dont celle d’avoir appauvri les retraités. Près de 4 millions de retraités sont menacés de pauvreté outre-Rhin. Il y a un mois, Ursula von der Leyen, ministre des Affaires sociales a évoqué plusieurs exemples de ce qui attendait la jeune génération. En 2030, un travailleur indépendant ayant exercé 35 années et gagné 2500 euros brut par mois ne gagnera pas plus que le minimum, soit 688 euro par mois. Un salarié ayant cotisé 40 années pour un salaire brut de 2200 euros percevra aussi l’équivalent du minimum retraite.

Les retraités retournent travailler
2,5% des retraités, soit 400.000 personnes, touchent ce minimum.
Nombreux retournent donc travailler. «Depuis 2000, le nombre de mini-jobs a progressé de 60% chez les plus de 65 ans, soit 761.000 retraités en mini-job en Allemagne.

On ramassent les bouteilles
Il y a également les retraités que l’on voit au quotidien ramasser les bouteilles dans la rue ou faire les poubelles pour récupérer les consignes, un phénomène à l’ampleur grandissante. Pour la très grande majorité c’est une nécessité financière. L’augmentation récente des bénéficiaires du minimum retraite en atteste.
Depuis l’instauration d’une consigne sur les boissons commercialisées, une nouvelle figure urbaine a fait son apparition : les collecteurs de bouteilles vides.
Les cadavres de bière ont à peine échoué près de la poubelle qu’un homme s’approche pour les glisser dans un grand cabas bleu. D’un coup d’œil, il les compte puis reprend sa route, l’air concentré. À l’heure où s’étirent apéritifs et barbecues à Berlin, nombreux sont les « collecteurs de consignes » qui écument les parcs pour récolter les bouteilles vides.
Le collecteur de consigne : une figure urbaine aux profils multiples
Andréas a 48 ans. Père de famille et employé de la Deutsche Bahn, il gagne 10 euros brut de l’heure. Chaque soir, il consacre entre deux et trois heures au ramassage de ces contenants vides, pour une recette moyenne de 1 à 2,50 euros. A l’extrémité du grand parc berlinois, il désigne un autre homme, flanqué d’un caddie chargé de bouteilles jusqu’à la gueule.
Pour le sociologue lyonnais Sebastian Jan Moser, auteur d’une thèse récente sur les collecteurs de consignes, cette nouvelle forme de cueillette concerne divers profils : sans-abris, retraités, mais aussi employés de l’administration, ouvriers ou encore éboueurs. La fouille des poubelles est interdite dans de nombreuses villes allemandes mais pas à Berlin où elle n’est prohibée que dans le métro.

D’autres préfèrent tendre la main
360.000 euros d’allocation pour un réfugié, ses quatre femmes et 23 enfants ! Tollé en Allemagne


D’autres préfèrent tendre la main

Ghazia A. a fui la Syrie en 2015 avec ses quatre moukères et leurs 23 enfants pour trouver refuge (oui, ils appellent cela trouver refuge, assez curieux pour des gens qui viennent nous plumer quand ce n’est pas pour nous égorger) en Allemagne. Le montant des allocations que leur verse l’Etat est un pur scandale.
L’histoire a suscité de nombreuses réactions outre-Rhin, après un article du journal BILD détaillant les conditions dans lesquelles ce Syrien de 49 ans, après avoir fui la Syrie par la Turquie, a finalement trouvé refuge (voir plus haut, excusez-moi, juste envie de vomir) dans la région de Rhénanie-Palatinat avec ses quatre mousmées et ses 23 rejetons.

Si la polygamie est autorisée dans la tradition musulmane, elle n’est pas reconnue par le droit allemand. A son arrivée, le mâle hyper-productif a donc dû choisir l’une de ses voilées comme esclave officielle, afin de pouvoir percevoir les aides sociales auxquelles-il-a-droit-et-qu’il-revendique-comme-tout-bon-musulman. Ils ont tous des droits et sont très forts pour les revendiquer, si nécessaire au long de plusieurs instances, épuisant tout une armada d’avocats musulmans eux aussi. Et usant des tribunaux à plein temps. A nos frais, s’entend.

Son choix s’est porté sur Twasif, sa régulière : avec leurs cinq enfants, ils forment donc un foyer officiel aux yeux de l’Etat. Les trois autres concubines sont considérées juridiquement comme des mères célibataires (avec allocations majorées) et se partagent la garde des 17 enfants restants. 17 futurs porteurs de couteau en poche.
Si tous vivent dans un rayon de 50 kilomètres, le géniteur prolifique passe cependant la plus grande partie de son temps sur les routes (compte tenu du prix de l’essence, c’est sûr qu’il a besoin des 360.000 Euro) afin de leur rendre visite. Selon notre religion, j’ai le devoir de passer autant de temps avec chaque famille et je ne dois pas favoriser l’une d’entre elles, c’est son argument. Pas le temps de bosser.
Cette affaire a commencé à prendre une ampleur nationale lorsque la question des aides financières étatiques a gagné la Toile, d’autant que l’intéressé, qui était à la tête d’une entreprise de location de voitures en Syrie, a admis ne pas avoir de travail en Allemagne. Je suis pratiquement toujours en route pour être avec ma famille. Pas une minute pour soutenir les finances familiales.

Il n’en a pas fallu davantage pour que certains s’interrogent. «Bien sûr qu’il vit des aides sociales, de quoi d’autre sinon ?», se demande ainsi l’un d’entre eux.
Réagissant au cas de cette famille, un syndicat patronal a publié une estimation du montant total des aides cumulées auxquelles, compte tenu du nombre d’enfants et d’épouses à sa charge, le mâle hyper-fécond aurait droit. Le résultat du calcul s’élève à 360.000 euros par an. Cependant, les réactions d’agacement se multiplient, notamment sur Twitter.

Pour l’instant, les réactions politiques se font plutôt discrètes. Bien entendu. Elles ne se manifestent bruyamment que quand ce sont les citoyens qui se manifestent, causant du désordre.
Un membre de l’administration locale a simplement tenu à faire savoir que ce cas était «exceptionnel». (Certes, ce sont toujours des cas exceptionnels, les attentats, les égorgements, les viols, les carnages, les massacres à répétition)

Les autres sont insatisfaits et ne se gênent pas pour le signaler


Les associations et les migrants sont insatisfaits des conditions d’hébergement dans les hôtels Formule 1 !

Les associations et les migrants sont insatisfaits des conditions d’hébergement dans les hôtels Formule 1 !
Que sommes-nous devenus ? Je me le demande chaque matin lorsque je cherche de la documentation pour mes articles. C’est à en devenir dépressif ou fou, c’est selon. On apprend ce qu’on pensait impossible, irréalisable, totalement insensé. Ce n’est pas la réalité, c’est de la fiction, ça ne peut pas exister, ce n’est tout simplement pas vrai. Pourtant tout est vrai et prouve la déliquescence de la nation.

Comment décrire un pays, un peuple ouvrant les bras à l’invasion, apportant le gîte, le couvert, donnant l’allocation aux indésirables au détriment des siens qui acquiescent lorsque ces « migrants » nous jettent ça au visage car en fait ce n’est pas assez, qu’on ne s’est pas assez couché par terre pour qu’ils nous marchent dessus ?
Cela se passe chez nous, dans nos centres d’accueils, dans nos rues, sur nos paliers, dans nos HLM, dans nos bâtiments publics. C’est généralisé, qu’on le veuille ou non.

Ainsi, vous verrez ces gentils migrants se plaindre de leur condition d’hébergement dans des hôtels Formule 1. Bien qu’ils n’aient rien à foutre en France, car arrivés illégalement, les migrants ont le toupet de réclamer. Peut-être aurait-il fallu les loger dans des palaces ?
Rappelez-vous l’image d’Epinal de notre enfance qu’on nous racontait au coin du feu, de ces voyageurs arrivant du froid, un seul baluchon comme bagage, à qui l’on tendait la main et qui vous remerciaient chaudement de les avoir sauvés. Non aujourd’hui rien de tout ça, le migrant est exigeant. Le migrant sait qu’il a tous les droits, et toutes les aides, si elles n’arrivent pas tout de suite décuplées qu’elles doivent être par le téléphone arabe et bien le migrant vous crache à la gueule dans le meilleur des cas parfois même lève la main, vous insulte et même vous tue. (Pardon, vous égorge, ce qui est différent)

Voici les vérités que les progressistes ne veulent pas voir derrière leurs lunettes roses. Les Français les vivent au quotidien, mais ne disent rien. Aucune révolte à l’horizon, peut-être en effet qu’ils approuvent ces politiques. Si c’est le cas préparez vos valises, les mensurations de vos cercueils sont déjà prêtes.

Personnellement, je suis paniquée, angoissée, et je le proclame.
> Aujourd’hui, les musulmans exigent de meilleurs logements, on les leur accorde.
> Ils refusent les leçons d’histoire de France et les cours de natation pour leurs filles, on les satisfait.
> Ils excluent le saucisse-purée à la cantine scolaire, on obéit.
> Ils réclament des mosquées, on les construit à la chaine.
> Ils nous imposent leur présence malsaine et fétide et on se tait
> Ils tuent, massacrent, égorgent, violent et ont des circonstances atténuante.
> Ils se baladent avec des couteaux et les policiers ont peur.
> Demain, ils vont exiger que les femmes portent toutes le voile, pourquoi leur refuser, puisque progressivement, nous cédons à toutes leurs exigences ?
> Ils vont sommer de retirer toutes les croix et les statues religieuses. Ce sera fait.
> Ils vont nous imposer l’application de la Charia
> Nos enfants et petits-enfants seront musulmans

Il sera trop tard pour pleurer.

Affaire Benalla : l’Élysée doit répondre au Peuple !

Source : Riposte Laïque

Le rebondissement de l’affaire Benalla est révélateur de la décomposition d’un pouvoir qui s’est cru au-dessus des lois et qui ne cesse de brouiller les pistes depuis que l’ex-conseiller présidentiel chargé de la protection du président a été filmé le 1er mai 2018 en train de violenter des manifestants.

Rien n’est clair dans cette affaire.

La commission d’enquête parlementaire a été littéralement sabotée et escamotée pour cacher la vérité. Un chapelet de mensonges et de non-dits.

La commission sénatoriale n’a pas encore rendu ses conclusions mais il est évident que Benalla est loin d’être devenu le paria de l’Élysée, comme voudrait le faire croire l’exécutif.

Qui est Benalla ? L’ex-chef d’orchestre de la sécurité présidentielle, qui agaçait les officiers du GSPR et imposait ses décisions, assimilées à des ordres venus du sommet de l’État ?

Y a-t-il une sorte de cabinet noir à l’Élysée, une police parallèle qui œuvre en coulisses ? Mystère.

Ou bien Benalla n’était-il que le simple porteur de valises responsable de la logistique des déplacements présidentiels, comme il l’a dit devant les commissions d’enquête après avoir prêté  serment ?

Mais dans ce cas, comment un simple logisticien a-t-il pu obtenir du président un ensemble de privilèges ahurissants, qu’aucun ministre ne serait en droit de réclamer ? On attend la réponse…

Logement de fonction.

Voiture de fonction avec chauffeur.

Permis de port d’arme.

Badge d’accès à l’Assemblée.

Grade de lieutenant-colonel de réserve dans la gendarmerie à 27 ans !

Salaire de 6 000 euros par mois.

Et, cerise sur le gâteau : deux passeports diplomatiques !

On sait bien que le personnel de l’Élysée n’est pas composé de va-nu-pieds, mais si un porteur de valises gagne 6 000 euros, on se demande quel est le montant de l’enveloppe budgétaire consacrée au salaire des employés du Château !

À une époque où les Gilets jaunes ont le frigo vide le 20 du mois, voilà qui fait désordre.

Ensuite, cette histoire de passeports diplomatiques, où chacun se refile la patate chaude, montre une fois de plus que l’Élysée et Matignon sont devenus le théâtre d’un foutoir absolu.

Personne n’est au courant de rien. Mensonges et contradictions sont de mise.

Benalla s’est rendu au Tchad et a rencontré le président Idriss Deby quelques jours avant le voyage officiel de Macron à N’Djamena le 22 décembre.

Un voyage d’affaires, paraît-il, un voyage privé, mais pourquoi avec des passeports diplomatiques qui devaient être rendus en quittant l’Élysée ?

Benalla a-t-il menti sous serment devant la commission sénatoriale en  prétendant que ses passeports étaient dans son bureau de l’Élysée ?

Le parjure est puni de 5 ans de prison et de 75 000 euros d’amende…

Dit-il vrai quand il prétend que l’Élysée lui a rendu ses deux passeports en octobre ? Ce qui laisserait supposer qu’il existe encore un lien entre le Palais et l’ex-conseiller élyséen ?

L’Élysée conteste. Qui ment ?

Le fait que ces deux sésames aient été délivrés le 24 mai, soit après la mise à pied de Benalla suite aux violences du 1er mai, est particulièrement troublant.

En tout cas, Benalla voyage beaucoup, en Afrique et en Israël, selon Le Monde.

Le ministère des Affaires étrangères nous ressort une vielle lettre réclamant à Benalla la restitution des deux passeports en juillet 2018.

Mais face au refus d’obtempérer de Benalla, le Quai d’Orsay ne s’est pas beaucoup remué !

Le Drian se bouge enfin et saisit le procureur de la République. Mieux vaut tard que jamais !!

Que cache toute cette affaire dont on attend les rebondissements ?

Benalla joue les victimes et menace : « Je ne me tairai plus ». Comme s’il se sentait intouchable…

Est-il en possession de lourds secrets pouvant déstabiliser ou compromettre le maître de l’Élysée ?Y a-t-il  un risque pour Macron de voir déballer quelque sombre histoire ?

Mediapart, qui a pour habitude de sortir ses informations au compte-gouttes, laisse planer le suspense.

Quant à la commission sénatoriale, elle devra réécouter Benalla afin de démêler le vrai du faux et d’en finir avec bien des contradictions.

Plenel a raison, c’est une affaire d’État. Trop de zones d’ombre, trop de mensonges entourent cette affaire de plus en plus énigmatique.

Pourquoi Benalla a-t-il été autant protégé depuis le début de cette affaire ?

Un passeport diplomatique n’est accordé que pour des fonctions bien précises au service de la France à l’étranger.

Quelles fonctions diplomatiques devait assurer Benalla quand l’Élysée lui a remis ses passeports en mai 2018, alors que ses violences étaient connues et indéfendables ?

Il est temps que l’Élysée réponde au peuple. Qui est le vrai Benalla ? Car tout cela ressemble de plus en plus aux sombres magouilles d’une république bananière.

Affaire Benalla : Edwy Plenel détaille les révélations de Médiapart sur LCI

"Ce n'est pas une affaire Benalla, c'est une affaire d'Etat. Avoir un passeport diplomatique, c'est représenter officiellement la France." Selon des révélations de Mediapart, Alexandre #Benalla a toujours son passeport diplomatique.Edwy Plenel, cofondateur, les détaille à LCI.

Publiée par LCI sur Jeudi 27 décembre 2018

Jacques Guillemain

A la veille du 1er janvier, une “intreview” cadeau de notre regretté Coluche

C’est la minute de vérité pour Coluche, invité de l’émission Trèfle d’or le 2 novembre 1985. Les journalistes Jean-Charles Simon, Edmée Cuttat et Pascal Schouwey essaient de le «coincer», façon “L’heure de vérité”. / Plein de bon sens, d’autodérision. Il avait tout compris Coluche. Nous on t’aime et tu nous manques. Bonne année à tous le enfoirés !

Gilets jaunes en direct à Paris.

ET MAINTENANT ? – Après la baisse de la mobilisation observée le samedi 22 décembre, le mouvement se réunit à nouveau à travers la France ce samedi 29 décembre. Le mouvement va-t-il réussir à se relancer ? Les dernières informations en direct.

LIENS vers le DIRECT :

Direct 1
https://www.facebook.com/brutofficiel/videos/2291585237793302/?notif_id=1546087429521882&notif_t=live_video

Direct 2
https://www.facebook.com/RevolutionPermanente.fr/videos/943100982567902/?notif_id=1546085939690132&notif_t=live_video

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