Le gouvernement entend mieux contrôler les retraités résidents à l’étranger. Revenus, âge, localisation… Le Parisien a dressé le portrait de ces bénéficiaires de l’assurance retraite française.
Ils seraient un million désormais placé dans le viseur de Bercy. Dans une interview exclusive au Parisien Aujourd’hui en France, Gabriel Attal, le ministre de l’Action et des Comptes publics, a dévoilé son plan pour le contrôle des retraités de plus de 85 ans installés à l’étranger, notamment pour s’assurer qu’ils sont toujours vivants.
Cette annonce fait suite à une expérimentation menée depuis septembre en Algérie, au cours de laquelle 300 dossiers de retraités « quasi-centenaires » sur 1 000 dossiers étudiés ont été déclarés non conformes, a affirmé le ministre qui a rappelé que plus d’un million de pensions étaient versées à l’étranger, dont la moitié hors d’Europe et 300 000 en Algérie.[…]
++ WEBTUBE : franchement plus rien ne nous étonne….. Mais on peut certainement descendre encore plus bas.
En plein débat sur l’immigration, un rapport parlementaire, présenté ce matin, propose de soutenir le 101e département de France en répartissant l’immigration comorienne sur l’ensemble de tout le territoire français. Une proposition politiquement explosive. Le Brief Politique de Jean-Rémi Baudot.
(…) Ce rapport fait d’ailleurs un parallèle inédit : une comparaison entre l’île grecque de Samos, l’Italienne de Lampedusa et la Française de Mayotte. On apprend que ces trois territoires, en proie à une importante immigration illégale, ont les mêmes problèmes, avec des services publics asphyxiés (sécurité, santé, éducation…), des difficultés d’approvisionnements (en eau et nourriture). Mais si ces trois îles sont au sein de l’Union européenne, toutes n’ont pas la même gestion de la question migratoire. (…)
Faut-il répartir les migrants comoriens sur l’ensemble du territoire français ?
Le rapport fait enfin des recommandations avec notamment l’instauration de l’Aide Médicale d’Etat à Mayotte pour que le budget de la santé sur l’île ne soit plus amputé de moitié par les dépenses de santé des étrangers. L’AME pourra ainsi compenser. Le rapport demande aussi le renforcement des patrouilles entre Mayotte et les Comores.
Enfin, beaucoup plus explosif : le rapport préconise la fin du “Visa Territorialisé à Mayotte”, un léger détail qui fait qu’un Comorien régularisé ne peut pas quitter Mayotte. En effet, Mayotte est une exception à la règle : deux titres de séjour coexistent, le local qui est plutôt une autorisation temporaire de résidence et un autre de 10 ans, le même que celui délivré par toutes les préfectures de France.
(…) Faire sauter ce verrou permettrait de répartir sur l’ensemble du territoire français l’immigration comorienne. Une proposition qui ne manquera pas de faire parler en plein débat sur l’immigration.
Nous allons avoir un internet sous haute surveillance avec une liberté d’expression très encadrée. En fait nous l’avons quasiment, mais ça va s’officialiser à l’été.
Twitter sera banni dans toute l’Europe si Musk persiste à refuser d’appliquer le système de censure intégral que l’UE va déployer dans les prochains mois.
Lu dans D.P.
Désinformation : "Je souhaite que Twitter puisse se conformer d'ici le 25 août aux règles européennes nouvelles que nous avons adoptées sinon il ne sera pas le bienvenue en Europe", déclare Jean-Noël Barrot, ministre délégué de la Transition numérique pic.twitter.com/ewJj5Lkdwd
Dans cette vidéo, Rudy io, expert dans le marketing digital, discute des principaux points du témoignage de Sam Altman, PDG d’OpenAI, devant le Congrès américain sur l’intelligence artificielle (IA).
Les sujets abordés comprennent la conscience de soi dans les IA, les seuils de capacité de GPT-5, les applications potentielles dans le domaine militaire, et les pertes d’emplois potentielles en raison de l’avènement de ces technologies. Altman émet des recommandations de sécurité pour le contrôle des IA, comme la création d’une agence de surveillance gouvernementale dédiée aux IA, l’établissement de drapeaux rouges basés sur la vitesse de calcul et d’autres facteurs, et l’obligation pour les entreprises de faire auditer leurs IA par des experts externes.
Depuis quelques semaines, une petite musique lancinante s’est installée dans les médias : la Grèce serait devenue un modèle économique et financier pour nous tous.
Ce petit pays, qui était il y encore une dizaine d’années un paria, un repoussoir, source de moquerie et symbole suprême d’incurie politique et financière, serait donc devenu une référence. Voilà qui a de quoi surprendre.
Pour mémoire, la Grèce est entrée dans la CEE en 1981, en dépit du fait que tout le monde savait que son économie n’y survivrait pas.
De même, à grands coups de tricherie et de maquillage des comptes publics, les fonctionnaires européens l’ont fait entrer dans la zone euro dès la création de cette dernière.
Personne n’a vraiment essayé de savoir par quel miracle la Grèce était parvenue à remplir les critères de Maastricht, sans effectuer aucune réforme. Plus exactement, on ne le savait que trop bien, mais il était préférable de ne pas en parler.
L’économie grecque finirait bien, par on ne sait quel tour de magie, par converger vers l’économie allemande. Toute la construction européenne est basée sur ce mythe de la convergence.
Le cocktail détonnant, composé d’une industrie peu compétitive, d’une monnaie beaucoup trop forte et d’une incapacité à collecter l’impôt, a bien entendu abouti, en l’espace de 10 ans, à une destruction du tissu économique, ainsi qu’à un endettement massif.
Tout ceci n’a dérangé personne, tant que cela permettait aux Grecs d’acheter à crédit des voitures allemandes.
En 2009, c’est le coup de tonnerre. La crise des subprimes laisse place à une crise des dettes souveraines.
Les investisseurs, qui ont prêté des centaines de milliards à la Grèce sans rechigner pendant une décennie, commencent à s’inquiéter de la situation financière. Le ratio dette sur PIB est de 127 % ; la faillite est proche.
Fait incroyable, on découvre que la Grèce a masqué une partie de sa dette, avec la complicité de la banque Goldman Sachs !
Pire encore, les 180 milliards d’euros de dette grecque sont disséminés à travers tout le système financier, particulièrement dans les banques allemandes, et menacent de faire exploser l’édifice dans son intégralité.
Merkel menace de sortir les Grecs manu militari de l’euro (alors que c’est, paraît-il, impossible). On se résout à restructurer les misérables 180 milliards, mais la punition merkelienne va s’abattre sur le peuple grec.
La troïka (FMI, BCE, UE) débarque en Grèce pour les restructurer et leur apprendre ce qu’est la discipline budgétaire.
On procède donc à un équarrissage en règle de ce petit pays. Tout sera vendu et privatisé (eau, électricité, chemins de fer, routes), les salaires et pensions sont baissés, les hôpitaux fermés.
Évidemment, cela se traduit par une explosion du taux de suicide et de la mortalité infantile, mais la bonne gestion est à ce prix.
Bien entendu, le ratio dette sur PIB a continué de se détériorer, atteignant les 206 %.
Oui, mais voilà, cette année les sacrifices ont fini par payer.
Les médias nous annoncent que, contrairement à la France, la Grèce a réduit de 22 % sont ratio dette sur PIB, qui atteint le chiffre remarquable de 170 % en 2022.
On s’entend dire que la Grèce est en plein boom économique, que c’est la nouvelle start up nation européenne, selon les médias français.
Il suffit de s’entendre sur les termes ; la Grèce s’est lancée dans le développement du tourisme de masse qui, comme tout le monde a pu le constater, a systématiquement enrichi massivement tous les pays qui s’y sont engouffrés.
Il suffit, pour s’en convaincre, de constater le succès de cette stratégie de développement en Andalousie, région célèbre pour sa vigueur économique, et l’implantation de très nombreuses sociétés de haute technologie à forte valeur ajoutée, comme les chiringuitos (bar de plage) ou Uber.
Bien évidemment, comme le fait remarquer la petite gourdasse journaliste de CNews, le prix à payer pour ces 22 % de réduction du ratio dette sur PIB est tout de même élevé, à savoir une baisse de 30 % des salaires, un taux de chômage des jeunes de 30 %, et 25 % des Grecs à une enjambée de la pauvreté.
Ce n’est pas un hasard si on nous présente soudainement la Grèce comme le nouveau modèle européen de développement.
En effet, c’est dans un processus de tiers-mondisation similaire que nos dirigeants nous ont engagés depuis des décennies.
Désindustrialisation, invasion migratoire, chômage structurel, tourisme de masse, endettement, nous sommes sur la même trajectoire que la Grèce.
La réforme des retraites n’est que le début d’un vaste plan de restructuration.
Il faut vous préparer à une smicardisation de la société, ainsi qu’à une réduction drastique du niveau des services publics, pourtant déjà bien mal en point.
Avec la Grèce comme modèle de développement, la France fait officiellement ses premiers pas dans l’univers des pays sous-développés.
Quelle sera donc la prochaine étape ? Peut-être des convois humanitaires sous l’égide de l’ONU en Seine-St-Denis ?
Ce n’est pas une surprise : les élections municipales et provinciales offrent une voie royale à la « droite » espagnole qui rejoint ainsi les « droites européennes » à l’image de l’Italie.
Le PSOE (Parti Socialiste) de Sanchez subit une défaite impressionnante, l’extrême gauche PODEMOS a pratiquement disparu de l’avant-scène politique et le Parti centriste CUIDADANOS, qui n’a jamais su se positionner à droite ou à gauche de l’échiquier (à l’image du Parti RENAISSANCE français d’Emmanuel Macron) devient pratiquement invisible.
La couleur de la carte des provinces d’Espagne est devenue « Bleue » alors qu’elle était encore « Rose » la semaine dernière.
Le PP (Parti Popular) connaît une progression spectaculaire et va gouverner plusieurs provinces (nous attendons les résultats officiels) soit avec sa seule majorité, soit avec les voix du parti de droite VOX, qui a pratiquement doublé le pourcentage de ses électeurs.
Désormais installé comme la troisième force politique du pays, VOX, qui n’est pas diabolisé à droite comme l’est le RN de Marine Le Pen bien que, pour encore une majorité d’Espagnols, il soit encore considéré comme une émanation du « Franquisme » (comme le RN l’est du « Pétainisme » n’est-ce pas Madame Borne ?).
Totalement déstabilisé par le résultat de ces élections intermédiaires, le chef de l’État espagnol, Pedro Sanchez a aussitôt décidé la démission de son gouvernement et avancé au mois de juillet les élections présidentielles qui devaient se dérouler en fin d’année 2023 ou début 2024.
Il ne fait aucun doute, pour une majorité d’Espagnols, que ces élections confirmeront un changement total de politique pour le pays et l’une des raisons principales de ce bouleversement politique est sans contexte l’immigration clandestine et l’insécurité : les deux priorités du parti VOX, avant même l’inflation présente.
Je reviendrai sur les résultats de ce vote intermédiaire, et ses conséquences, à la lecture de la totalité des pourcentages et des voix.
Quelques rayons de soleil de nouveau sur l’Europe.
++ WEBTUBE :Sur notre chaine cela fait plusierus mois que l’on s’alarme sur ces sordides faits divers. Pas un mots dans les médias “main stream”. Marion a raison, faisons du bruit autour de ces affaires de violence et de viols à l’encontre des personnes âgées à leur domicile.
Marion Maréchal reprend un fait que Riposte Laïque et d’autres dénoncent depuis longtemps, malgré l’assourdissant silence des féministes : les viols par des jeunes migrants de Françaises âgées.
Scandale caché : des viols insoutenables sont commis en masse par des clandestins sur nos aînés, partout en France.
Depuis le 93, je dénonce cette tragédie méconnue en m'appuyant sur de nombreux exemples passés sous silence.
++ WEBRUBE :Chaque jour Paris perd une partie de son âme… Bientôt nos parcs et jardins ne seront plus peuplés que de “zombis” à la recherche de drogue, d’argent facile et de viols…. J’aimerais dire que j’exagère mais c’est malheureusement la triste réalité. Le Parc André-Citroën était un parc magnifique et sûr…. avant.
Vols avec effraction, violences physiques… Les actes de délinquance répétés ces dernières années ont contraint la Buvette du parc André-Citroën (XVe) à baisser définitivement le rideau. La mairie d’arrondissement regrette cette décision et condamne les « voyous » qui font aussi fuir les familles.
C’est une « très belle aventure » qui a pris fin, résumait le restaurant sur sa page Facebook au mois de janvier, sept ans après son ouverture au cœur du parc de 14 ha inauguré en 1992. Baissé, le rideau ne se relèvera pas, apprend-on lors du dernier conseil d’arrondissement. La convention qui permettait à la société Concept au Parc d’exploiter ce restaurant a été résiliée après des « agressions et incivilités subies par le personnel ainsi que par la clientèle de la buvette ».
(…) « Il y a eu des histoires avec des gamins, poursuit Maryse, mère de famille et habitante du quartier. Des violences et des affrontements. Le quartier a mauvaise réputation à cause du trafic de drogues, notamment vers Balard. Des jeunes zonent en soirée autour du parc. En journée, oui c’est sympa mais le soir, c’est une autre ambiance… »
« Les personnes âgées ne restent jamais après 17 heures même en été dans le parc, par crainte des vols à l’arraché par exemple, remarque la gérante d’une brasserie voisine. Les nuisances se sont calmées ces derniers temps malgré quelques tirs de mortiers lancés par ces bandes de jeunes désœuvrés qui font des bêtises. » Cette professionnelle de la restauration rappelle l’importante vague de cambriolages fin 2021 et début 2022 dans le quartier. « Nous avions été ciblés à trois reprises, la porte fracturée. »
Vandalisme, intrusions, rixes…
C’est justement « à la suite de multiples nuisances causées au gérant de la buvette, à ses salariés et aux clients du restaurant que la société a résilié son contrat d’exploitation du site avant sa fin initiale », confirme Anthony Samama, adjoint au maire du XVe en charge de la tranquillité publique, de la prévention et de la police municipale. Lui-même a présenté un vœu lors du conseil d’arrondissement cette semaine, regrettant cette décision et condamnant les « voyous » qui ont « transformé ce parc si paisible en lieu hostile ».
La présidente d'une association de commerçants de Montpellier sur les migrants mineurs isolés semant la terreur : « Je me permets de dire que c'est le tiers-monde aujourd'hui la France parce que j'ai connu le tiers-monde » pic.twitter.com/nIYZgvRW5t
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) May 29, 2023
++ WEBTUBE : Tout est bon pour mettre à terre tous les symboles de la civilisation Chrétienne dont est issue la France. Que l’on soit de religion chrétienne ou non, ces actes sont essentiellement dirigés vers la France et la culture qu’elle représente. Derrière ces actes se cachent la volonté de pousser notre pays vers d’autres symboles et une autre culture, que l’on ne s’y trompe pas. Qui va réagir et prendre des décisions ? Personne. On va continuer de parler pour ne rien dire et voir notre pays sombrer dans l’obscurantisme. Bon voyage vers le côté sombre de la France.
L’information a été révélée, et surtout relayée, par les réseaux sociaux. La statue de Notre-Dame de Lavasina, installée sur le front de mer d’Ajaccio, a été décapitée, ce qui a provoqué l’indignation de nombreux internautes.
Il s’agit d’un énième acte de vandalisme perpétré sur des symboles religieux en seulement quelques mois en Corse. Samedi 29 avril, le camp de scouts sur la commune de Vero, où un autel de fortune a été installé, avait été vandalisé.
Mais dans quelle société vivons nous ? 😢 La statue de notre Dame de Lavasina, qui avait été installée sur le front de mer à #Ajaccio , a été décapitée. Et cela le week-end de la Pentecôte. pic.twitter.com/GGEB55CwsQ
Le 12 avril dernier, des riverains de Sevani, à Ajaccio, dénonçaient des actes de vandalisme perpétrés contre une statuette de la Vierge placée dans une petite arche de pierre à proximité de la plage du Petit Capo. Deux semaines plus tard, le 27 avril, le cliché de la croix décapitée du col Saint-Jean, à Sisco, avait provoqué une vive colère, dont le maire de la commune s’était fait le porte-voix. “C’est un acte révoltant”, avait réagi Ange-Pierre Vivoni.