Elon Musk refuse une "censure" de Twitter et donne une leçon de liberté d'expression aux censeurs. pic.twitter.com/TetuwZEJ8m
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) June 17, 2023
Alors que la patronne d’Orange l’interpellait abruptement sur les raisons pour lesquelles Twitter vient de quitter le code de bonne conduite de l’Union européenne sur la désinformation, Elon Musk lui a répliqué : si “quelqu’un qui dit quelque chose que vous n’aimez pas” est bloqué, “ce n’est qu’une question de temps pour que la censure se retourne contre vous”.
“Nous ne promouvons pas les tweets offensifs”, s’est-il aussi défendu, répétant que “Twitter devait être une force positive pour la civilisation” “Si vous êtes harcelé, c’est une mauvaise expérience,” a-t-il toutefois reconnu.
Fin 2022, le Commissaire européen Thierry Breton avait sommé Twitter, sous peine d’une amende de 6 % de son chiffre d’affaires, de contrôler davantage ses contenus et de respecter le DSA (Digital Services Act) sur la régulation des grandes plateformes, qui s’appliquera dans les prochains mois.
Les « journalistes » de l’audiovisuel, mais peut-on encore appeler ainsi des propagandistes qui n’essaient même plus de cacher pour qui ils roulent, déforment au lieu d’informer. Inventent au lieu de rapporter. Jugent au lieu d’expliquer. À croire qu’on les paye pour glorifier un camp et discréditer l’autre. Politique intérieure, avec Macronescu. Politique étrangère, avec le Zygomyr. Loufiats de deux bouffons tragiques.
L’institut Reuters d’Oxford évalue les médias
Émanation d’une des plus anciennes agences de presse fondée en 1851, qui a vu passer tous les régimes et toutes les guerres, cet institut se présente comme une école de journalisme. À l’instar des prétendues écoles de journalisme en France, on y enseigne le politiquement correct et l’art de jongler avec les propos tendancieux et les escamotages, pour que la populace ignore ce qu’elle ne doit pas connaître.
La majeure partie du chiffre d’affaires de Reuters, entreprise possédée par une holding internationale cotée en bourse, se fait grâce à l’information financière. Désintéressée et objective cela va sans dire. On est entre gentlemen n’est-ce pas ?
Toutefois, n’étant pas français et n’ayant aucun prébende à espérer des Macronescu, ni aucun renvoi d’ascenseur à attendre de nos chaînes de désinformation continue, l’institut Reuters publie chaque année un rapport sur la confiance que les peuples accordent à leurs médias.
Une soixantaine de pays sont concernés. Jusqu’en 2022, le verdict des enquêteurs aurait du provoquer des insomnies chez les journalistes honnêtes. À supposer qu’il en reste beaucoup… Ainsi en 2021, seulement 26 % des Étasuniens et 24 % des Français faisaient confiance à la parole de leurs télé propagandistes. Les autres affirmaient trouver sur le web une information plus diversifiée, moins corsetée, et surtout des enquêtes fouillées là où les ordres du pouvoir sont « circulez y a rien à voir ».
Après 2021, la tendance s’inverse, les chiffres remontent et dépassent miraculeusement les 40 %. Entre temps, il y a eu la pichenette russe aux corrompus Ukronazis, et l’arnaque mondiale du Covid. Reuters ne peut oublier qu’il fait partie d’un pays en guerre contre la Russie. Et accessoirement, Big Pharma offre des bourses à ses meilleurs étudiants. Sans contrepartie aucune. On est entre gentlemen, n’est-ce pas ?
Décadence et déchéance des médias mainstream
Une constatation incontournable que Reuters doit admettre, sous peine de perdre toute crédibilité : le niveau des rédactions a baissé. Partout. Les dépêches sont décalquées sans être recoupées. D’où cette lassante impression d’uniformité même chez les zappeurs compulsifs.
Les chroniqueurs n’ont pas le niveau pour faire des analyses géopolitiques, stratégiques, diplomatiques ou économiques. Dépourvus de sagacité et de pugnacité, ce sont de ternes récitants de « le chef a dit ». Travail bâclé ? Reuters, indulgent, l’impute au manque de temps et de moyens pour être partout à la fois, et à la nécessité de surfer sur tous les fronts de l’actu en permanence.
En France, outre leur inculture affligeante, la plupart de selzéceux qui se prennent pour des cadors, souffrent d’une atrophie cérébrale. Méninges sclérosées par un prêt-à-penser glauque mêlant islamofolie, russophobie, réchauffisme, covidiotisme et détestation de nos racines. Et ça va empirer puisque la génération perroquets-perruches actuelle ouvre la voie à la génération Greta. Ignare, wokiste, écolomaniaque et genriste.
Les Français mentent plus que les Anglais
« Stratégies » qui se présente comme le média des médias, dans un secteur où la concurrence est rude, annonce comme une divine surprise, que 58 % des Français font confiance aux informations diffusées par les médias audiovisuels. Depuis que la cote de Macronescu aurait remonté !
Là où Reuters interviewe 100 000 personnes, Stratégies sonde un millier de citoyens, sans dire en quoi ils sont représentatifs de la vox populi. Leur chiffre est révélateur : 58 % représentent à peu de choses près les innocents qui ont voté Macron. Et les inconscients qui sont allés se prêter aux thérapies expérimentales des docteurs Mabuse de la télé.
L’Ukraine a ouvert de nouvelles fractures entre les Français
Comparerait-on Lagaf ou Bigard au général de Gaulle ? Le Zygomyr avant d’être un « grand homme d’État » et un « stratège hors pair » était un amuseur de variétés. Pas des plus subtils. Et quand il fait sa coquette pour taire sa grande offensive, c’est Macronescu qui l’annonce pour lui. À sa place dans le rôle de l’aboyeur du guignol.
Tout est bidonné. Les charniers avec de mauvais acteurs. Les victoires à reculons. Le sabotage des gazoducs où, même aux USA, on admet que ce sont des Polaks et des Ukrainiens qui ont fait le coup… Et il y a fort à parier qu’avec le temps, il apparaîtra que l’explosion du barrage est une « idée géniale » du Zygomyr pour priver d’eau la Crimée, tout en faisant porter les chapeau aux Russes. Lesquels, comme à la centrale atomique tireraient sur leurs propres troupes, les maladroits!
De même, quand les Ukronazis réoccupent un hameau abandonné, c’est une très grande victoire du Zygomyr. Interviews de généraux d’opérette à l’appui. Par contre, quand les Russes neutralisent une petite armée, reprennent une grande ville, éliminent des usines d’armement, des stocks de munitions et un bunker d’état-major otanesque, c’est une escarmouche. Si on en parle. Car il est préconisé de ne rien dire.
Une salve de 50 missiles comptés 60, qui ont tous raté leurs cibles mais produisent des dégâts considérables permettant au Zygomyr de pleurnicher et de mendier un peu plus de pognon, cela ne semble troubler aucun journaleux. Ils sont tellement motivés et engagés du côté de l’OTAN que le simple bon sens a déserté leurs cervelles de moutons.
Enfin, tout élément provenant du côté russe est classé en brève et soumis au doute assorti d’ un sournois « on n’a pas vérifié ». Les vérificateurs auto proclamés dits « fact checkers » qui se confortent mutuellement sont la quintessence de l’enfumage et du cynisme.
La guerre fait rage aussi dans les médias
Le déséquilibre du traitement médiatique est flagrant. Officiellement nous ne sommes pas en guerre avec la Russie. Pourtant, non seulement Russia Today et Sputnik ont eu leurs accès fermés par les jocrisses qui tiennent de grands discours sur la liberté d’expression… Mais la plupart des sites et chaînes non russes qui voulaient expliquer les raisons de cette guerre, depuis les viols des accords de Minsk jusqu’aux dix années de pilonnage du Donbass, ont été fermés ou rendus inaccessibles.
Même cenSSure sur les mal nommés réseaux sociaux contre les sites, chaînes et intervenants qui présentaient la réalité de la corruption en Ukraine, et dénonçaient les tueries de tous ces pauvres types qui se battent pour les intérêts des banksters yankees. Et tout particulièrement ceux de BlackRock en train de racheter à l’encan les ruines fumantes.
C’est d’autant plus flagrant que Google, MSN, Youtube, Face de bouc ont ouvertement pris le parti du clown sanglant de Kiev, épurant toute info qui ne glorifie pas ses « hauts faits d’armes ». Et mettant en valeur les fakes news qui fustigent et déprécient systématiquement tout ce qui est russe. On ne doit pas s’en étonner puisque les GAFAM et leurs succursales sont des émanations des services de propagande du Nouvel Ordre Mondial.
Pour mesurer à quel point la duplicité de ces crapules n’a rien à envier aux virtuoses de la takiya, Meta Facebook, Instagram drapés dans leur «éthique» de carnaval, ont encouragé des discours de haine contre Poutine et la Russie, et appuyé des propos malveillants contre l’armée russe au nom de la « légitime défense des Ukrainiens » (sic). Le Kremlin ayant répondu à cette vilenie en suspendant Instagram, les hypocrites du NWO se sont déchaînés contre la prétendue « censure russe ».
L’alternative russe pour la défense de nos libertés
Un grand bien peut résulter de ces méprisables mesquineries. Ainsi le Kremlin a profité de ces turbulences pour renforcer sa stratégie de souveraineté numérique, actée en 2019 avec la loi pour un « internet souverain ». Dans ce cadre, la Russie a lancé des applications proches de leurs équivalents occidentaux, et parfois de meilleure qualité, tels que Rossgram au lieu d’Instagram. Ou rutube à la place de youtube pour diffuser des vidéos interdites par l’Eurocrature et la macronaille.
À l’ordre du jour également, la promotion d’acteurs plus anciens comme VKontakte, concurrent de Facebook. Et l’accueil comme chez TVS24 de nombre de persécutés par les collabos islamolâtres d’Occident, grâce à une multiplication de sites web et de courrier multi langues. Même si la connexion doit fréquemment passer par VPN ou proxy, comme au bon vieux temps d’Usenet. La cenSSure ne ménage pas ses forces en France pour vous empêcher de mal penser.
Quant au vilain canard Twitter qui prétend offrir quelques fenêtres de liberté, il est menacé par l’Eurocrature d’amendes et même de blocages. En raison des fausses informations qu’il diffuserait. Étant entendu que seuls les cenSSeurs de l’Eurocrature et leur führette piquousette détiennent la vraie vérité.
Une majorité de Français n’est pas dupe
Il y a encore de l’espoir puisque même des médias bien pensants reconnaissent que plus de la moitié des Français interrogés, estiment que le traitement par les télés du conflit opposant la Russie à l’Ukraine est déséquilibré, et fait l’objet d’informations systématiquement orientées en faveur de Kiev. Hélas, même ceux qui sont allergiques au Zygomyr sont bien obligés de constater que ce guignol déploie une communication plus efficace dans l’immédiat que celle de Poutine.
On regrette un peu la sobriété et la retenue du président russe, mais c’est la conséquence des effets pervers d’Internet. De même que des savants de classe internationale se font raboter par une mongolienne illettrée et un Congolais électricien pharaonique… N’importe quel histrion à la tchatche débordante, n’importe quel bateleur de foire qui sait occuper la scène, attire davantage l’attention du public qu’un conférencier qui parle géopolitique, avenir de la civilisation et multi-polarité.
Mais au-delà des impressions superficielles, si le Zygomyr amuse les téléspectateurs, le sérieux de Poutine surclasse en crédibilité le chouchou des médias, et la majorité de l’auditoire juge notre ami Vladimir infiniment plus fiable.
La semaine dernière, une conférence publique de la NASA a évoqué les ovnis. En mai dernier, Davis Grusch, un officier du renseignement, avait révélé que le Pentagone avait récupéré des vaisseaux non-humains, pour des analyses à des fins militaires. Cela a fait la une du Parisien. Pourquoi parle-t-on autant d’ovnis en ce moment ? Est-ce toujours un sujet tabou ou est-ce désormais un sujet sérieux ? Pour en parler sur Ligne droite, Egon Kragle, grand spécialiste d’Ufologie en France, qui a écrit un premier livre « OVNI, Enquête sur un secret d’Etat » au Cherche-Midi, en 2010 et « OVNI , les 12 dossiers que le Pentagone ne s’explique pas » aux Éditions Max Milo.
“Resilience” est un film d’animation réalisé par Yunie Choi dans le cadre de sa deuxième année à CalArts. Ce film traite de la nature ravagée qui retrouve progressivement sa force et se rétablit, en parallèle avec la résurgence vibrante de la vie.
Le son a été conçu et mixé par Chanmi Ro et Daniel Eaton, et la musique a été composée par Fabrizio Aiello. Vous pouvez également suivre Yunie Choi sur Instagram @uni.ch_art pour en savoir plus sur son travail.
Pipeau TV revient avec un nouveau numéro plein d’humour et d’ironie sur les sujets qui font l’actualité. Au programme : une Appli extraordinaire, la mode COVID19, fin et Vacances ?
Anaïs, installée en Bretagne pour faire du jardinage et lutter contre le capitalisme, la jeune bourgeoise Anaïs trouvait le temps long. Elle s’est donc mise en quête de son compagnon au fin fond du Sénégal[…] Chacun appréciera le niveau de réflexion de l’ensemble…. Des bons sentiments à Gogo !
Elle est ainsi partie au Sénégal trouver un musulman de compagnie afin de le ramener en Armorique. Objectif : créer son Haïti 100% bio.
C’est la belle histoire que diffuse aujourd’hui France 3 Bretagne pour un public de Bretonnes qui ne manquera pas de se reconnaître dans le personnage et de s’en inspirer.
France 3 Bretagne a malheureusement fermé les commentaires.
Mais pas sur Twitter. Faites-vous plaisir et invitez le plus grand nombre à faire part de sa critique artistique.
Ils s'appellent Anaïs et Seydou. Ils sont amoureux. Ils se sont mariés au Sénégal. Pour vivre en France, le parcours est difficile. Un parcours filmé par Marion Gervais dans "Anaïs s'en va aimer". Son 1er opus, "Anaïs s'en va en guerre", a été un succès.https://t.co/jHQfzeqlSr
— France 3 Bretagne (@france3Bretagne) June 11, 2023
Ce documentaire […] est signé Marion Gervais. Marion adore […] le tabac et le vin blanc, et elle déteste les fachos.
« L’essentiel des immigrés, aujourd’hui, sont des universitaires. » Et demain, des prix Nobel. Ça vous avait sans doute échappé. Ce n’est pas moi qui le dis mais le très réputé sociologue Jean Viard, candidat malheureux de La République en marche aux élections législatives de 2017 dans le Vaucluse. Invité sur le plateau de « C à vous », au lendemain du drame d’Annecy, il est venu délivrer quelques vérités qui ont échappé à tous ces bas du front, peu convaincus que l’immigration est une chance pour la France, comme par exemple ce twittos qui réagit en postant : « Jean Viard va venir avec moi pour rencontrer les universitaires des régions de Toulon et Marseille. » Jean Viard a sans doute autre chose à faire.
"On est une société métisse ! C'est quoi le mythe, on ne va pas redevenir tous blancs ?! On n'a jamais été tous blancs ! Il faut que la France accepte sa puissance et les immigrés sont une force !"@jeanviard dans #CàVouspic.twitter.com/ChT06rqmbV
En tout cas, les choses sont dites avec une telle assurance, sur ce ton de conversation entre gens bien élevés de rigueur sur le plateau d’Anne-Élisabeth Lemoine, qu’on ne peut que se rendre à l’évidence : aujourd’hui, en France, « on n’est pas dans l’immigration des années 50 ». Fini, les « pousseurs de brouette », pour reprendre l’expression de Jean Viard, place aux « universitaires », donc. Question : du coup, ne risque-t-on pas d’avoir trop d’universitaires, dans ce pays ? C’est un autre sujet…
Comme je suis quand même un peu curieux et que j’ai voulu en avoir le cœur net, je suis allé consulter le site de l’INSEE, qui n’est pas un organisme spécialement sponsorisé par le Rassemblement national et Reconquête, à la page « Catégories socioprofessionnelles des immigrés et des descendants d’immigrés par origine géographique » (données de 2021). Très intéressant. Ainsi, on apprend que la part des ouvriers dans la population immigrée en provenance d’Afrique frôle les 30 %, alors qu’elle n’est que de 18,3 % chez les « personnes sans ascendance migratoire ». Vous me direz que Jean Viard arrivera bien à nous démontrer que « l’essentiel des immigrés » ouvriers est constitué d’universitaires…
Mais Jean Viard va plus loin dans cette bousculade des idées reçues : « Aujourd’hui, l’immigré est considéré comme un risque, mais il faut rappeler que le taux de délinquance des immigrés n’est pas supérieur au taux des Français. »
"C'est un acte fou, il ne faut pas en tirer d'autres éléments ! Aujourd'hui, l'immigré est considéré comme un risque, mais il faut rappeler que le taux de délinquance des immigrés n'est pas supérieur au taux des Français."
De quoi semer le doute dans la tête d’Emmanuel Macron qui avait osé dire, en octobre 2022 : « Quand on regarde aujourd’hui la délinquance à Paris, on ne peut pas ne pas voir que la moitié au moins des délinquants, des faits de délinquance qu’on observe, viennent de personnes qui sont des étrangers en situation irrégulière… » Une affirmation, à l’époque, qualifiée de « douteuse » par Libé. Évidemment… La déclaration présidentielle, en tout cas, établissait un lien de cause à effet entre immigration (certes, irrégulière) et délinquance. Mais il faut affiner, en clair disséquer à la fourchette à escargot, les statistiques. Jean Viard est un expert : « Effectivement, les immigrés sont plus délinquants, mais pas si on tient compte de l’âge et du sexe, parce que les hommes sont plus délinquants que les femmes, que les jeunes sont plus délinquants que les autres… Que le fait qu’ils n’ont pas de papiers, ça augmente la charge… » Vu comme ça, effectivement, c’est imparable !
Viard reprend, semble-t-il, les conclusions d’une étude du Centre d’études prospectives et d’informations internationales rattaché à Matignon, dont Le Monde s’était fait l’écho en avril dernier. La même argumentation y était développée. Le Monde était tout de même obligé de reconnaître qu’« en France, en 2019, les étrangers représentaient 7,4 % de la population mais 14 % des auteurs d’affaires traitées par la justice ou encore 23 % des personnes incarcérées ». Sur ce sujet, on relira avec intérêt le reportage de Marc Baudriller, publié dans ces colonnes le 22 décembre dernier, relatant sa visite de la prison de Fresnes. On y apprenait que « Fresnes abrite 1.915 détenus, dont… 887 étrangers ». Mais, effectivement, si on tient compte de leur sexe, de leur âge, de celui du maton et de sa belle-mère divisé par le carré de l’hypoténuse, peut-être, aussi, on se rendra compte qu’il n’y a pas de quoi s’inquiéter. Du tout.
En tout cas, chapeau l’artiste ! Faire entrer des statistiques au chausse-pied dans des pantoufles idéologiques bien confortables demande du boulot et un peu de culot aussi.
L’immigration, une chance pour la France ? Tenons-nous-en uniquement aux faits, remontons le temps et observons.
Samedi 3 juin, à Boulogne-sur-Mer, un migrant soudanais s’en prend à des passants, armé d’un tesson de bouteille. Il s’oppose à son interpellation et mord à deux reprises la main de la policière. Le même jour vers 19 heures, c’est Khalid B., clandestin marocain, déjà connu pour des vols et visé par une OQTF émise par la préfecture des Hauts-de-Seine le 10 mai 2022, qui arrache la médaille de baptême d’un étudiant qui marchait sur le pont de Sèvres.
Lundi 5 juin, un chauffeur de bus est frappé et poignardé peu après 19 heures en gare d’Athis-Mons (Essonne) par un Libyen en situation irrégulière, déjà connu des services de police et… visé par une obligation de quitter le territoire français (OQTF). Toujours le 5 juin, mais à Sainte-Tulle (Alpes-de-Haute-Provence) cette fois, on apprend la condamnation à dix ans de réclusion criminelle d’Ahmed Nedjar. Son crime ? Le viol d’une adolescente…
Mardi 6 juin, un Syrien de 33 ans est placé en garde à vue, il a reconnu être à l’origine d’incendies en forêt de Niederbronn-les-Bains (Bas-Rhin). Ce même jour est interpellé par la police le Marocain Abdel Aït Abad. Il avait tenté de tuer sa voisine à coups de couteau à steak… Mardi, également, c’est un migrant tunisien en situation irrégulière, Jamel Amamari qui est à nouveau condamné pour un vol de colliers.
Mercredi 7 juin, à Grenoble (Isère), le RAID interpelle un homme de 23 ans, « de type africain et en possession d’une arme de poing ». Avant de se retrancher chez lui, il menaçait des enfants…
Jeudi 8 juin, l’attaque d’Annecy par le réfugié syrien Abdalmasih H. restera gravée dans les mémoires. Il est des faits divers plus marquants que d’autres : s’attaquer à des enfants en poussette marque un cran supplémentaire dans la barbarie. L’acte de bravoure d’Henri, le « héros au sac à dos » animé par « quelque chose de plus grand en [lui] qui [l]e dépassait » donne l’exemple aux Français désireux de « ne pas subir ». Pendant ce temps-là, Jamel Younes, de nationalité tunisienne, connu des services de police et de la Justice, et réputé selon ses voisins pour frapper régulièrement sa femme, est en fuite. Sa compagne a été retrouvée morte à son domicile avec des traces de strangulation et des hématomes. Le soir même, à Lyon, une dame de 85 ans se déplaçant en déambulateur se fait arracher son collier par un mineur de nationalité algérienne déjà connu de la Justice. La presse relate qu’il était « en possession d’un couteau ». Même jour, même lieu, un Tunisien menaçant et armé d’un pistolet est interpellé par des policiers et placé en garde à vue…
Faire le lien entre immigration et insécurité ? Gérald Darmanin a osé évoquer une « coïncidence troublante » : quelques jours avant son passage à l’acte, le Syrien d’Annecy avait essuyé un refus à sa demande d’asile en France. Mais en illustrant l’actualité, Plantu suscite la polémique et en fait les frais.
Quelle évolution@plantu flirte avec l’extrême-droite
Une nouvelle étape vient de se produire à Annecy, avec quatre bébés poignardés par un migrant en situation irrégulière, qui se dit catholique, mais a toutes les caractéristiques d’un musulman, et qu’on présente comme un déséquilibré. C’est une onde de choc dans l’opinion, comme à chaque fois, de manière récurrente, que des islamistes agressent et assassinent des Français. Et la liste commence à être bien longue, depuis une dizaine d’années…
En mai 2012, Mohamed Merah assassinait trois militaires à Montauban, et tuait quatre personnes, dont deux enfants, dans une école juive à Toulouse. Les médias et la police étaient mobilisés contre la prétendue extrême droite, et furent désespérés d’apprendre que, comme prévu, le tueur était un islamo.
En décembre 2014, les attaques à la voiture bélier commencent à voir le jour à Dijon et à Nantes, où les procureurs de la République s’empressent de nier le caractère terroriste des agressions.
Le 7 janvier 2015, les dessinateurs de Charlie Hebdo sont massacrés par un attentat islamiste, suivi de l’attaque d’une épicerie casher. Cela fera 17 morts et une vingtaine de blessés. Par une formidable manipulation médiatique, on transformera les rassemblements “Je suis Charlie” en procession de bougies et de minutes de silence, contre l’islamophobie.
En avril 2015, Aurélie Chatelain, 32 ans, est assassinée par un étudiant algérien qui prévoyait un massacre dans l’église de Villejuif.
En juin 2015, Hervé Cornara est décapité par un de ses salariés, et sa tête est accrochée, avec des drapeaux de Daesch, devant une usine, en Isère.
En août 2015, l’héroïsme de trois militaires américains en vacances empêchent un Marocain de perpétuer un carnage dans le train Thalys, qui reliait Amsterdam à Paris.
Le 13 novembre 2015, c’est le carnage du Bataclan, du Stade de France et de terrasses de café. 131 morts et 413 blessés.
En juin 2016, à Magnanville, un couple de policiers, Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider, est assassiné dans sa maison, devant leur enfant de trois ans, par l’islamiste Larissa Abdallah.
Le 14 juillet 2016, à Nice, un Tunisien, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, au volant d’un camion, fonce dans la foule, venue voir le feu d’artifice. 86 morts, 458 blessés.
Douze jours plus tard, dans l’église de Saint-Étienne du Rouvray, deux islamistes décapitent le père Hamel et blessent deux autres fidèles.
En octobre 2017, à la gare de Saint-Charles, un Tunisien en situation irrégulière égorge les deux cousines, Laura et Mauranne.
En mars 2018, près de Carcassonne, un Franco-Marocain se disant islamiste tue quatre personnes, dont le lieutenant-colonel Beltrame.
En décembre 2018, à Strasbourg, un Franco-Algérien tue au couteau cinq passants, et en blesse dix autres, avant d’être abattu.
En octobre 2019, quatre policiers sont tués à la préfecture de Paris par un de leurs collègues antillais, Michael Harpon, dont on apprendra qu’il s’était converti à l’islam, sans que les signalements effectués n’aient été suivis de faits.
En avril 2021, à Romans, un réfugié soudanais tue deux passants, en blesse cinq, et demande à ceux qu’il croise s’ils sont musulmans ou pas.
En octobre 2020, un enseignant, Samuel Paty, à Conflans Sainte-Honorine, accusé par une élève musulmane absente du cours d’avoir blasphémé contre le prophète, est décapité dans la rue par un Tchétchène de 19 ans.
Treize jours plus tard, à Nice, un Tunisien tue trois personnes et en blesse plusieurs autres dans la basilique Notre-Dame.
En avril 2021, un Tunisien tue une policière au commissariat de Rambouillet.
En mars 2022, Ivan Colonna est étranglé, en prison, par un islamiste, qui lui reproche d’avoir blasphémé contre Allah.
En octobre 2022, une enfant, Lola, est assassinée dans des conditions atroces par une Algérienne qui aurait dû quitter la France depuis trois ans. Une violente campagne se déclenche contre… les militants de Reconquête, accusés d’instrumentaliser la mort de l’enfant, et de manquer de décence.
Et donc, ce jeudi 8 juin, le drame d’Annecy, quatre enfants poignardés, six blessés, par un migrants syrien présenté comme un chrétien, ce qui, bien sûr, est une grossière imposture.
Nous aurions pu, à l’instar de nos collègues de Boulevard Voltaire, évoquer ce qui s’est passé cette dernière semaine…
Nous assistons, à chaque fois, au même scénario. La caste médiatique et politicarde se mobilise, et occupe les ondes durant 48 heures pour innocenter l’islam, exiger qu’on ne fasse pas d’amalgames, différencier l’islam et l’islamisme, nous dire que la très grande majorité des musulmans sont des êtres paisibles, et bien sûr stigmatiser et réduire au silence ceux qui osent faire lien entre les assassins et leur religion, leur religion, l’islam, et l’immigration.
Nous aurions pu également citer ces chiffres épouvantables, et pourtant truqués et revus à la baisse, du ministère de l’Intérieur, sur la délinquance, en 2022.
948 crimes par an, soit 3 par jour.
353 600 coups et blessures volontaires, soit 1 000 par jour.
120 000 viols et violences sexuelles, soit près de 400 par jour.
8 600 vols avec armes, soit 25 par jour.
663 700 vols sans violences, soit 2 000 par jour.
211 000 cambriolages de logements, soit 800 par jour.
133 000 vols de véhicules, soit 500 par jour.
550 000 actes de destruction et de dégradation, soit 1 800 par jour.
Tous ces actes sont dus majoritairement à l’immigration, essentiellement africaine et musulmane.
C’est parce qu’il a eu le courage de dénoncer le Grand Remplacement, l’islamisation de notre pays et l’ensauvagement de la France qui va avec, qu’Éric Zemmour a suscité un formidable espoir chez des millions de Français, a convaincu 130 000 citoyens d’adhérer à Reconquête, et réussi des dizaines de meetings qui ont provoqué un enthousiasme jamais vu dans une campagne présidentielle.
C’est aussi parce qu’il a voulu impulser ces thèmes lors de la campagne présidentielle qu’Éric Zemmour a été la cible de tous les journalistes, et de tous les autres candidats, Marine Le Pen y compris.
Aujourd’hui, la situation est tellement grave en France qu’on ne peut plus se complaire dans la division du camp patriote. Les faits qui sont signalés ci-dessus, le sang des Français qui coule tous les jours, comme l’a rappelé l’héroïque conseiller régional R! Vincent Lecaillon à Elisabeth Borne, imposent d’en finir avec les attitudes sectaires et diviseuses des uns et des autres.
Les gauchistes parlaient de front unique ouvrier, eh bien notre camp a besoin d’un Front unique patriotique. Nous sommes dans un contexte où Macron, servile laquais de Bruxelles et des mondialistes, a décidé d’imposer aux campagnes françaises la “transition démographique”, autrement dit le Grand Remplacement. Nous sommes dans un combat de survie civilisationnelle, pour sauver les derniers pans de territoires qui, contrairement à trop de grandes villes et aux communes moyennes, ne sont pas encore des zones islamisées soumises aux dealers et aux islamistes.
L’attitude du RN, et notamment de Marine Le Pen, dont la priorité paraît davantage de combattre et d’éradiquer Reconquête que de lutter contre les gauchistes, est une trahison contre notre camp. Il est inacceptable, comme à Callac, que la direction du RN interdise à ses militants de participer aux rassemblements, sous le prétexte de la présence de Reconquête. Mais l’attitude de la direction de Reconquête, mal conseillée par Damien Rieu, de diviser, sur le terrain de la lutte contre l’invasion des campagnes, est toute aussi intolérable. Que Reconquête ait abandonné les militants qui luttent contre le Cada à Saint-Brevin, par crainte de la diabolisation, parce qu’il y avait des jeunes militants combatifs masqués habillés de noir, est une faute politique grave.
Le RN a des électeurs, mais pas assez de militants, tandis que R! a des militants, mais pas assez d’électeurs. Halte à la division, union, sans exclusive, de tous les partis patriotiques !
Les Français qui veulent combattre, dans leurs villes, dans leurs villages, contre l’invasion migratoire, n’ont pas les moyens de subir cette division. Tous ceux qui sont prêts à se battre contre la transition démographique imposée dans nos campagnes doivent être les bienvenus.
Et nous avons besoin d’un véritable chef de guerre. Les signatures de livres sont certes intéressantes, et permettent au président de Reconquête de nouer un contact charnel avec les siens. Mais comment comprendre, dans le contexte actuel, qu’elles ne soient pas suivies de meetings où le chef, comme lors de la présidentielle, sait galvaniser ses troupes, et les préparer au combat contre la submersion migratoire qui menace le pays entier, et particulièrement ses campagnes. Dans ce rôle, Éric Zemmour a montré qu’il était le meilleur de Reconquête, mais aussi de tous les leaders du camp patriote.
Une union de tous les partis patriotiques pour sauver nos campagnes et préserver le pays, des meetings communs où la présence des chefs galvaniserait la résistance, voilà ce dont la France a besoin, et attend essentiellement du Rassemblement national et de Reconquête, et de tous ceux qui se réclament de la défense de la France. Qu’y a-t-il de vraiment différent entre le discours d’Eric Zemmour, celui de Marion Maréchal, celui de la remarquable Laure Lavalette et celui de Jordan Bardella ?
Cette attaque d'#Annecy est la conséquence du désordre migratoire qui règne aujourd'hui en France et en Europe.
On ne peut pas laisser cette situation migratoire hors de contrôle, qui, drame après drame, remet en cause la sécurité du peuple français. @TF1#Le13hpic.twitter.com/gcQ6NPgpN8
Certes, nous savons les États-majors de ces partis préoccupés par les prochaines élections européennes. Mais que pèsent ces élections face à la guerre des campagnes qui est en train de se mettre en place en France, sous l’impulsion de Macron et de Darmanin ?
L’avenir de la France vaut bien davantage qu’une improbable recherche de respectabilité, et quelques strapontins à Bruxelles.