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Les prisons françaises sous la coupe des islamistes (Suite…)


Le 16 janvier, devant la prison de Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais). Cinq jours après l’attaque, la colère des gardiens ne faiblit pas
FRANCOIS LO PRESTI / AFP

Après l’agression de trois d’entre eux par un détenu de Vendin-le-Vieil, les surveillants de prison se révoltent.

« Avant, chaque matin, j’avais peur de trouver un gars pendu dans sa cellule. Vous savez ce que je redoute aujourd’hui ? Qu’on m’égorge, qu’on me décapite, qu’on me plante une lame dans le dos. Au nom de l’islam et de Daech. Tous les jours, en allant travailler, j’ai cette peur qui me bouffe le ventre. » Bernard n’est pas le seul, jure-t-il, à craindre pour sa vie. « A l’intérieur [le mot pudique pour dire prison], l’état de guerre… c’est puissance dix. » Alors ils sont de plus en plus nombreux à démissionner, parfois après dix ou douze ans d’ancienneté. Malgré les affiches qui fleurissent dans les couloirs du métro – « Fier de servir la justice » au-dessus du portrait d’un surveillant au regard aussi bleu que son uniforme –, l’administration peine à recruter, et près de 40 % des admis renonceraient au terme de la première année.

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Pour Joaquim Pueyo, ancien directeur de la prison de Fleury-Mérogis et député de l’Orne (Nouvelle Gauche), l’explication est simple : « Autrefois, les comportements agressifs étaient liés aux difficultés du quotidien. A présent, la haine et la violence se déchaînent à l’encontre de l’autorité, de notre société, de ses valeurs. Pas surprenant que, face à la radicalisation, les surveillants deviennent des cibles. »
En prison, « imposer sa loi » se dit « tenir la taule ». C’est le secret de la tranquillité, mais ça demande de la puissance. Les Corses ont longtemps dominé la cour, comme on le voit dans « Un prophète » d’Audiard, mais les fondamentalistes les ont détrônés. « Les uns et les autres appliquent la même technique de “pêche” », raconte un officier du renseignement. « Les radicaux dealent le shit quatre fois plus cher “à l’intérieur” que dehors. Leur profit ? Jusqu’à 10 000 euros par mois. Ce qui leur permet d’accumuler les appareils électroniques, la nourriture, les produits d’hygiène. Ils offrent leur butin aux plus vulnérables, aux détenus fragiles, isolés, qui leur deviennent redevables, et le piège se referme. »

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Kader, un minot marseillais, petit et maigre, n’est libre que depuis quelques semaines. Il était tombé pour vols et deal de shit. Quand il me parle, sa jambe s’agite de soubresauts nerveux. « En prison, il faut survivre. Ça veut dire dormir sereinement, manger à sa faim. Pour ça, tu dois te rapprocher d’un camp. Sinon, au mieux, tu souffres. Au pire, tu crèves. Quand j’ai été incarcéré aux Baumettes [il baisse soudain la voix comme s’il avait peur qu’on l’entende], les barbus m’ont offert protection et téléphone portable… contre les cinq prières par jour. Je n’étais pas pratiquant, mais j’ai obéi. J’ai lu leur Coran, porté la djellaba, arrêté la musique dans la cellule, pris ma douche en caleçon. J’avais une vie pieuse, parce que c’était le seul moyen d’avoir la paix. On fait tous pareil, même les catholiques ! Un jour, ils m’ont demandé si j’étais prêt à faire le djihad. Ils disaient qu’ils pouvaient m’aider à organiser une action violente à l’extérieur. Ou à l’intérieur… »


L’auteur de l’agression, Christian Ganczarski, condamné à dix-huit ans de prison pour l’attentat de Djerba (21 morts) en 2002.
© DR

Et ce n’est pas l’installation de quelques lignes dans les cellules qui va transformer les radicaux en agneaux. « Ils se savent surveillés, se rasent, fument du shit. Ils sont polis, parfois aimables. Avec des profils atypiques, comme cet ingénieur nucléaire ou cet étudiant en médecine. Surtout, ils évitent les effets de masse, ils ciblent une proie à la fois », observe un gardien. Sur les quelque 70 000 détenus des 186 prisons françaises, près de 1 400 sont considérés comme des radicaux. Parmi eux, des « volontaires contrariés », interpellés juste avant leur départ pour la Syrie ou l’Irak.

Dans l’Oise, pendant six mois, un groupe de quatre détenus radicaux avait pris la place de l’imam, qui laissait faire par crainte de représailles ! 
Près de 15 % des détenus se seraient radicalisés en prison. « Accuser systématiquement les prisons, c’est déresponsabiliser les familles, l’Education nationale, les services sociaux, la police, l’Etat… », se révolte un agent. Depuis les attentats de « Charlie », en janvier 2015, le nombre de radicalisés n’a fait que grandir. En 2015, ils étaient 700. En 2016, 1 336. Les auteurs d’infractions terroristes étaient 90 fin 2014, ils sont 349. Selon des sources proches du ministère, il y aurait chaque semaine « une demi-douzaine d’incarcérations pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste [ATM]… »
En octobre 2017, un quatrième projet d’attentat élaboré en prison avait été déjoué à Fresnes. Deux condamnés pour délits de droit commun, Charles-Henri, un Camerounais de 28 ans, meneur radical, et sa proie, Maxime, un Français de 22 ans converti à l’islam, tentaient de recruter, via leurs téléphones portables et des messageries cryptées, d’autres combattants incarcérés. Pas de plan de bataille bien fixé. Cela aurait pu être « une prise d’otages, un mitraillage », lancera Charles-Henri aux enquêteurs avant de saluer ses « frères tueurs du Bataclan ». C’est grâce aux communications de Charles-Henri avec un djihadiste de Raqqa, surveillé par les services de renseignement belges, que la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a été alertée. Depuis novembre 2016, la surveillance s’était faite discrète. Les plans des détenus qui avaient bénéficié de réduction de peine ont été déjoués à deux jours de leur libération… Dans leur cellule, ils avaient caché un téléphone portable, une carte Sim et une tige en métal. L’analyse rapide du GSM permettra d’aboutir à une mise en examen, in extremis, pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle ».


A Vendin-le-Vieil, tous les proches des surveillants soutiennent le mouvement. Salah Abdeslam doit y être incarcéré lors de son procès en Belgique.
© AFP

Ce 11 janvier, ce que Bernard, surveillant depuis deux décennies, redoutait, s’est produit : l’islamiste d’origine polonaise Christian Ganczarski, le « cerveau » de l’attentat de Djerba, a profité de l’ouverture de sa porte pour se jeter avec des ciseaux et une lame de rasoir sur trois gardiens en criant « Allah Akbar ! ». Aujourd’hui, les agents sont indignés : « Cela fait des années qu’on se prépare au pire. On sait qu’il va y avoir un mort parmi nous. On est passé près, il y a deux ans, à Osny, avec une tentative d’assassinat. Qu’attend-on pour réagir ? » Depuis 2003, un Bureau central du renseignement pénitentiaire opère au sein des centres de détention. Pour autant, un haut fonctionnaire reconnaît : « On s’est laissé déborder. » Au départ, les établissements misaient sur les aumôniers. Une aberration de plus. Les 50 à 70 % de prisonniers musulmans ne disposent que de 193 aumôniers de leur confession !
Alors qu’il y a 760 aumôniers catholiques, 377 protestants, 111 pour les seuls Témoins de Jéhovah et 75 pour les juifs. « C’est difficile de recruter des professionnels de confiance, explique un officier du renseignement. Ils sermonnent seuls dans les salles, sans surveillance. Dans l’Oise, pendant six mois, un groupe de quatre détenus radicaux avait pris la place de l’imam, qui laissait faire par crainte de représailles ! »

Les coups ont toujours existé, reconnaît Nicolas. Mais aujourd’hui, il y a le risque des armes. Les fouilles sont réduites et les couteaux en céramique, les téléphones en plastique ne sonnent pas sous les portiques
Resterait donc, pour lutter contre l’extrémisme, les activités : équitation, escrime, leçons de citoyenneté, concerts lyriques, boxe, musculation et cours de pétanque avec de vraies boules en acier ! Toutes les idées saugrenues sont les bienvenues… Un gardien raconte : « Dans un établissement, un parcours de santé a été installé sur le stade. Dans un autre, un directeur a proposé des cours de tir avec des armes à plomb, prétextant qu’il fallait aider les détenus à se concentrer… » Efficace ? Sans doute pas, à en croire les insultes – « mécréant », « koufar » –, voire les menaces de mort et d’égorgement, qui continuent à résonner entre les murs. Et pire parfois : le 11 septembre 2017, à Tarascon, un détenu a agressé un gardien puis frappé violemment au visage sa collègue en criant « Allah Akbar ! ». La surveillante s’est retrouvée au sol, évanouie, le nez en miettes. « Les coups ont toujours existé, reconnaît Nicolas.Mais aujourd’hui, il y a le risque des armes. Les fouilles sont réduites et les couteaux en céramique, les téléphones en plastique ne sonnent pas sous les portiques. Il y a aussi les bricolages. Régulièrement, nous découvrons des lames de 20 centimètres, aiguisées d’un côté, crantées de l’autre, fabriquées à partir d’une plaque en métal récupérée dans les ateliers. » Le personnel reconnaît qu’il n’est pas formé à gérer cette épidémie galopante. Manque de connaissances, manque de moyens : on compte en moyenne 1 surveillant pour 100 prisonniers. Il en faudrait 1 pour 50. « On peut faire le diagnostic, assure Olivier. Mais pas soigner, et encore moins guérir. On n’a ni le temps ni les compétences. »

Les syndicats réclament des prisons dédiées, des structures spécialisées avec des systèmes de sécurité adaptés. Ou de petits établissements ultra-sécurisés, totalement hermétiques au reste de la population. « Il faut absolument isoler ces radicaux. Des autres, mais aussi de leurs semblables ! » Les unités de prévention de la radicalisation (Upra) ont été abandonnées au bout de six mois. L’administration dispose désormais de trois quartiers d’évaluation de la radicalisation (QER), à Fresnes, Osny et Fleury-Mérogis. Le principe ? Des psychologues, des intervenants extérieurs et des conseillers d’insertion et de probation évaluent pendant quatre mois les détenus radicalisés. En fonction de leur niveau de dangerosité, ils sont ensuite orientés vers d’autres établissements. Les plus dangereux, « violents et prosélytes », seront soumis à un régime proche de l’isolement. Ça, c’est dans l’idéal ; parce qu’à Fresnes, « après évaluation, ils sont réintégrés dans la masse », révèle Frédéric Godet, délégué syndical Ufap-Unsa. Pas de budget. « Voilà pourquoi les prisons de France sont des Cocotte-Minute prêtes à exploser ! »

Ne vous croyez pas protégés parce que vous êtes à l’extérieur, résume Eric Rouvière, délégué Ufap-Unsa au centre de Tarascon. Et de citer cet incident : six mois avant « Charlie », un détenu, le corps enveloppé des huit couches du martyr, a poignardé à plusieurs reprises un gardien en hurlant « Allah Akbar ! ». La lame est passée à quelques millimètres de la moelle épinière. Pourtant, l’homme n’était à l’origine d’aucun incident disciplinaire. Surtout, il portait un christ immense tatoué dans le dos, et un crucifix trônait au-dessus de son lit ! « La prison est une boule de cristal. Ici, on observe ce qui se passera ailleurs plus tard. »




Prisons françaises sous la coupe des islamistes et colère des matons


Le monde carcéral est en crise et ses salariés en colère.

Et on le comprend. Il est à l’image de notre pays mis à mal par des hordes de politiciens incapables et malhonnêtes, de hauts fonctionnaires incompétents et des tas de parasites gauchistes crétins qui se mêlent de tout : un pays en ruine.

Un système pénitentiaire totalement obsolète, insuffisant (euphémisme !), ridicule, archaïque, moyenâgeux et des règles carcérales qui défient l’entendement. La gauche est passée par là, avec ses préjugés imbéciles et décadents et son éternelle tolérance idiote.

On ne croirait pas que les taulards sont là pour purger une peine parce qu’ils ont commis des délits graves ou des crimes de sang, parfois après d’innombrables récidives et sans le moindre état d’âme !
De plus, inégalité de traitement qui s’oppose à la loi française.
Des prisons toutes différentes, des vieilles toutes pourries et inhabitables, des neuves toutes modernes et confortables.
Des situations inacceptables dans un pays qui se prétend civilisé ou avancé.

La prison ne doit pas être un lieu de mort, mais pas non plus un havre de paix, une sorte de Club Med pour criminels.

La prison est une punition, une sanction dite « pénale » qui repose sur une condamnation légitime de privation de liberté, à l’issue d’un procès légal, devant une cour de justice composée de juges professionnels appliquant le droit, lui-même créé et surveillé par les élus du peuple. Du moins tout cela en théorie.
En pratique, on sait que le droit est très fluctuant, aléatoire, opaque et souvent approximatif, car la justice est laxiste, soumise à l’exécutif et de plus en plus à des « consignes » gouvernementales qui n’ont rien à voir avec la loi et sont donc illégales. Le droit est une chose, mais la vraie justice équitable en est une autre, car l’homme n’est pas honnête.

Mais que peut-on faire, à part une révolution par la force des armes… ?

Que peut-on penser lorsqu’on voit la police tabasser à coups de matraques des gardiens de prison désespérés (tout comme les flics, d’ailleurs) en grève et en manifestation pour des raisons parfaitement légitimes que n’importe qui peut comprendre… Quel est l’Etat dégénéré et violent qui dresse ses fonctionnaires contre d’autres de ses fonctionnaires, au lieu de tenter le dialogue et d’améliorer les choses pour tous…

En vérité, c’est tout un pays qui part à la dérive.
On nous dit que c’est un problème de budget, d’argent, de dette… Mais il me semble que nos dirigeants n’ont pas vraiment de problèmes d’argent, ni personnels, ni dans leur mission qui leur permet de jongler avec beaucoup d’argent et de vivre dans le luxe de la République.

Nous payons toujours plus d’impôts et la contrepartie que nous en recevons à travers les services publics est de plus en plus mince. Une vraie peau de chagrin. On se demande vraiment où vont nos impôts.

L’argent de nos impôts et de nos charges sociales est dilapidé par nos dirigeants politiques. Les dépenses de l’état sont scandaleuses par rapport à la situation du pays affichée par l’état lui-même. Notamment une dette extérieure astronomique (+/- 2500 milliards d’euros).

La dette n’est qu’une farce. Une excuse à cracher à la face du peuple pour le culpabiliser, alors que c’est l’Etat, sur des décennies qui a creusé cette dette. De toute façon, personne ne remboursera cette dette, aujourd’hui, car les états trouvent toujours des moyens politiques ou mafieux pour ne pas le faire.

Parlons des subventions aux associations, par exemple. C’est un poste budgétaire énorme et qui échappe totalement à tout contrôle intelligent et démocratique.
Des centaines de milliers d’associations en France, pour la plus grande partie stériles et inutiles, perçoivent des subventions hallucinantes. Parmi elles, notamment, des associations à vocation politique, amies des dirigeants, ou encore religieuse et cultuelle qui sont grassement subventionnées en totale contradiction avec la loi de 1905.

Sans l’argent public, ces associations n’existeraient pas.
Elémentairement, une association loi de 1901 devrait pouvoir répondre à un véritable besoin d’une population et fonctionner sur les cotisations de ses membres, ce qui est le cas de certaines et même pas mal, car les subventions ne sont pas accordées à toutes. Ce qui est tout à leur honneur.
Mais d’autres associations n’existent que pour pomper des subventions de l’état ou des collectivités locales par des artifices et des pressions politiques souvent invisibles.
Et tout cet argent n’est généralement pas perdu pour tout le monde et tombe dans les poches des dirigeants (on se souvient, par exemple, de « l’Association pour la Recherche contre le Cancer » (l’ARC) créée par Jacques Crozemarie, et dont 80% des énormes rentrées d’argent tombaient dans sa poche. Il fut condamné à la suite d’un procès pour abus de confiance.

J’ai toujours considéré qu’une entreprise, un commerce, tout comme une association ne peut exister légitimement que si elle est capable de s’autosuffire. Dans le cas contraire, elle doit disparaître.
C’est ce qui arrive aux commerces honnêtes. Mais pas aux grandes entreprises ou aux banques qui sont toujours renflouées par des fonds publics, en dépit de leur incapacité à l’autosuffisance et donc de leur inutilité. C’est inadmissible.

Toute cette digression pour souligner, entre autres, que nos dirigeants ne donnent pas à notre pays les orientations budgétaires prioritaires dont il a besoin.

Le problème de l’administration pénitentiaire rejoint celui des autres institutions et administrations françaises : armée, police, justice, éducation (enseignement), santé, etc.

Elles sont méprisées et vouées à disparaître, dans un grand élan de folie des états.
Le vrai rêve de nos dirigeants serait d’ouvrir et de supprimer toutes les prisons une fois pour toutes, car eux ne se sentent pas concernés par la criminalité, se sentant, à tort, protégés dans leurs tours d’ivoire par des armées de gardes du corps…

Aujourd’hui, l’Etat refuse d’entendre les Français et notamment ses fonctionnaires, refuse de bâtir les 100 000 places de prison indispensables, refuse d’écouter et de satisfaire les salariés de l’administration pénitentiaire et les renvoie à leurs trousseaux de clefs. L’Etat sera responsable de tout ce qui pourra en découler…

Le problème des prisons, outre la surpopulation carcérale, c’est aussi celui du mélange des détenus dangereux avec ceux qui ne présentent pas de danger criminel et qui se sentent aussi à chaque instant menacés par les autres. C’est aussi l’islamisation par la violence dans le milieu pénitentiaire et la radicalisation de certains musulmans et, pire encore, de certains convertis à l’esprit fragile et perturbé au sein des prisons qui sont, comme on le sait, souvent de pires intégristes que les musulmans d’origine eux-mêmes, par zèle, pour se faire bien voir et bien traiter, ou par stupidité. La vie dans une prison n’a rien à voir avec la vie en dehors d’une prison et les lois n’y ont plus cours. C’est la loi du plus fort et du plus violent.

A cela, il faut ajouter toutes sortes de trafics de téléphones, d’armes, de drogues, d’explosifs, etc.
Contre tout cela, les « matons » (les gardiens) n’ont à peu près rien d’autres à opposer pour faire leur travail que leurs mains nues, parfois des matraques, rarement des tasers et jamais des armes à feu, à part ceux qui sont dans les miradors, quand il s’y trouve quelqu’un.

Dans les prisons, en fait, les détenus sont souvent mieux armés que les gardiens.
Par ailleurs, ils n’ont pas le droit de faire leur travail rationnellement, pas de fouilles au corps, pas de fouille des cellules, pas de sanctions possibles, pas de mitard (cellule disciplinaire). Ils ne sont même pas préparés ni formés correctement pour faire ce travail. Ils n’ont pas de formation au combat corps à corps ou « close combat » et certains ne sont même pas dans une stature ni une forme physique suffisante, alors que c’est un métier qui nécessiterait parfois d’avoir une formation de commando.

Certes, ils reçoivent généralement une formation psychologique pour détecter et comprendre certains comportements, ainsi que pour aider les détenus qui le souhaitent à recevoir les bases de leur future réinsertion par les services concernés. En cela, le rôle des surveillants est aussi important.

Mais ils subissent toute la journée l’agressivité et les insultes de certains de ces criminels et de ces détraqués religieux, se font cracher à la face, reçoivent des jets d’objets contondants, de liquides corporels, de nourriture, etc.

Accepteriez-vous de faire ce travail pour 1500 euros par mois en débutant, sachant que vous irez chaque jour travailler la peur au ventre, que vous ne dormirez plus et que vous finirez peut-être par vous suicider… ?

Non, nos braves matons ont droit à notre respect et à notre gratitude de faire ce boulot « de merde » et nous devons les soutenir et les encourager dans leur combat. Ce sont le plus souvent de braves types, de braves pères et mères de famille, qui risquent leur peau tous les jours sous le plus grand mépris de l’Etat, leur patron.

Pour ma part, en ce qui concerne les terroristes musulmans et les « radicalisés », je suis pour un « Guantanamo » français dans une île paumée, gardée par des chiens, des robots et des « Rambos » à la gâchette facile…

Le laxisme d’état français de ces 40 dernière années a conduit à la situation où les racailles et les musulmans n’ont pas peur d’aller en prison ni de mourir et ont fait des prisons françaises leurs centres de formation et de communication et de hauts lieux de l’islamisation de notre pays.

Ils ont des armes, des téléphones et tout ce que peut espérer avoir un grand criminel. Ils sont logés, chauffés, bien nourris, blanchis, divertis et ils ont plein d’avantages (frigo et télévision dans la cellule, salles de sport…) dont doivent rêver de nombreux français pauvres, SDF ou petits retraités qui, eux, doivent se nourrir dans les poubelles…

Dans nos prisons, ils sont chez eux, ils font ce qu’ils veulent et ils ne risquent rien. En tout cas pas d’aller en prison…!
On comprend la colère de nos gardiens et ils devraient se fâcher encore plus fort. Qu’est-ce qu’ils risquent ? Qu’on leur fasse un trou au cul…?
Ce pays est tombé à un niveau qui nécessite soit un Poutine, soit une guerre civile qui fera des millions de morts. Sinon, de toute façon, le pays est mort !

« Les prisons françaises sous la coupe des islamistes » :

http://www.parismatch.com/Actu/Societe/Les-prisons-francaises-sous-la-coupe-des-islamistes-1441511

Tout va tellement mal en France, aujourd’hui que de nombreux français, jeunes ou moins jeunes et des retraités, partent loin de ce pays où ils sont nés parce qu’ils se rendent compte que leur pays ne les défend plus, mais fait tout pour construire leur échec et qu’ils n’ont donc plus aucune chance d’y réussir leur vie.

Chaque année, 200 000 jeunes adultes quittent la France pour une vie meilleure ailleurs. Parmi eux, 100 000 reviennent. Perte sèche pour la France qui voit ses cerveaux et ses compétences fuir à l’étranger. Comme quoi, la vie en France est loin d’être idéale…

Laurent Droit (Riposte Laïque)




La femme grillagée de Pierre Perret : toujours censurée dans nos médias !

Pierre Perret a toujours été pour moi une référence poétique, une figure sympathique chantant l’amour et la tendresse. Certes, on peut se gausser de sa chanson sur les oiseaux qu’il fallait libérer, sur cette Lili qui était venue faire les poubelles à Paris et qui est partie sans que l’on sache comment, faire la révolution aux USA.

Paraboles, images de la pensée humaniste. On serait un salaud si à 18 ans, on n’était pas humaniste, mais un vrai con si à 50 ans, on l’est encore.

Pierre Perret s’est mis en scène avec des représentants de la diversité. Des noirs, des métisses et des arabes, tous reprenant l’un de ses tubes. Pourquoi pas ! Curieusement, c’est un noir qui chante Lili. Curieux parce que ce n’est pas une femme noire pour la cohérence ! Surtout si on sait ce que vivent les femmes noires en Afrique de par leurs « frères » noirs ! Ce serait plus cohérent que cette série anglaise qui a repris « Les Misérables » de Victor Hugo, et fait de Javert, ce salaud national, un flic noir ! Pas sympathique pour la diversité d’avoir fait d’un noir, un salaud.J’ignore s’il se suicide à la fin, en réalisant qu’en tant que noir, ce n’était pas bien d’avoir poursuivi un pauvre ex bagnard blanc ! Jean Valjean finira bien dans la peau d’un Chinois, puisque déjà, on a pu voir un Lancelot noir ! Il ne faut pas désespérer de la bêtise des producteurs.

Bref, Pierre Perret a fait son disque qui va sûrement avoir du succès et satisfera plein de bien-pensants. Je les vois déjà se congratuler chez Michel Drucker l’inamovible animateur de bientôt 76 ans !
Je n’ai qu’un regret. Dans ce disque, il n’y a pas « la femme grillagée » ! Il faut croire que ce n’était pas politiquement correct de rappeler cette réalité, à savoir que dans 57 pays musulmans, les femmes sont des êtres inférieurs, juste au dessus du chien si l’on en croit certaines hadiths. Que dans beaucoup de pays africains, la femme n’est qu’un ventre destiné à assurer la retraite des parents. Que beaucoup de jeunes filles dans des villages, sont vendues par leur famille à de riches commerçants noirs. Elles y sont violées, maltraitées et épuisées par des heures interminables de tâches ! Alors la fameuse Lili avait bien fait de partir de son village. Pierre Perret a eu le tort d’en faire une victime des blancs en France. C’est toute la différence entre un poète et un esclave. L’un rêve, et l’autre subit la réalité !

Cette pauvre Lili, Pierre Perret devrait aller l’aider sur place en Afrique, lui donner les moyens de s’en sortir. Pierre Perret a plus de 18 ans maintenant, il faudrait qu’il atterrisse vraiment.

Source: Gérard Brazon (Libre Expression)




Quand Macron promettait de construire l’aéroport Notre-Dame-des-Landes

Lors de la campagne présidentielle, Emmanuel Macron promettait de construire l’aéroport Notre-Dame-des-Landes en des termes très forts. Il a finalement abandonné le projet le 17 janvier.

Sur Public Sénat en 2017 : «J’ai dit et rappelé qu’il y a eu une consultation publique de type référendaire, qu’elle s’est exprimée, et qu’elle a dit oui au projet.
Donc, je ne peux pas aujourd’hui être dans une situation où je déchire et je dis “avec moi, il n’y aura pas Notre Dame des Landes”, parce qu’à la fin des fins, ça envoie 2 messages qui sont très négatifs : Le 1er on ne respecte pas les consultations publiques quand elles ne nous arrangent pas, et le 2ème ça veut dire qu’on ne peut plus avoir quelque projet que ce soit dans le pays parce que vouloir le bloquer suffit à tout empêcher de manière durable.»

6 avril 2017 dans L’Emission Politique sur France 2 : «Y’a eu un vote. Mon souhait, je vous le réitère ici TRES CLAIREMENT, C’EST DE LE RESPECTER, donc de le faire.»

Le 17 décembre 2017, il promettait encore de tenir ses engagements : «J’ai pris des engagements devant nos concitoyens. Il faut faire ce qu’on a dit [car] les gens ne croient plus ce qu’on dit.»




«Je ne veux pas sacrifier mon enfant à mes idéaux !» : L’entrée en sixième sonne souvent comme un défi pour les familles bobos installées dans les quartiers mélangés

C’est un iceberg que personne ne voit venir. Qui met à l’épreuve, parfois violemment, dans les familles de gauche, des valeurs qui semblaient ancrées pour la vie. Une déchirure intime, un rite de passage citoyen et politique, la première occasion majeure, souvent, de confronter ses actes à son discours politique. L’aîné entre en sixième.

Entre convictions solidaires et souci de protéger sa fille ou son fils, le choix prend des allures de dilemme intime.
Ceux qui y sont confrontés étaient partis gentrifier les quartiers populaires, ils s’étaient éloignés du centre-ville parce que l’immobilier n’y était plus accessible, ils aimaient croiser leurs voisins d’origine et de classe sociale diverses le dimanche matin au marché. Ils comprennent désormais que vivre dans le quartier, dans cette banlieue, c’est aussi faire grandir les enfants ensemble. Mais le collège public du secteur a mauvaise réputation. Dans les palmarès des meilleurs collèges, il est moins bon que celui du pâté de maisons d’à côté. D’année en année, les collégiens n’y reflètent plus vraiment la diversité du quartier. Parfois même, il est devenu un «collège ghetto», tant de nombreux parents ont déjà préféré l’éviter à leurs enfants. Dans les dîners entre copains, dans les familles et au sein du couple, les discussions se tendent. Puis il y a cette phrase qui résume tout : «La mixité sociale ne se fera pas sur le dos de ma fille !» Un cri de désespoir que le philosophe Patrick Savidan comprend bien : «Parce qu’il n’a pas pris au sérieux le problème de la mixité à l’école, l’Etat met les parents en demeure de choisir entre leur enfant et la solidarité.» En septembre, une tribune publiée dans Libération, «A mes amis qui trichent avec la carte scolaire», avait suscité de nombreuses réactions, tant de la part des «tricheurs» que de parents excédés par les petits arrangements de leurs voisins.

Comment articuler, au plus profond de soi, cette décision de ne pas scolariser son enfant dans le quartier, quand on se réclamait en primaire de l’esprit laïque de l’école de la République, et qu’on se faisait élire représentants FCPE aux conseils d’école ? Comment justifier quotidiennement ce grand écart entre le dire («je pense qu’il est important que chacun s’engage pour lutter contre les inégalités») et le faire («je préfère garantir à mon enfant un entre-soi rassurant») ?

Certains parents, lucides, assument d’avoir fait le deuil de certaines convictions et expliquent, sans fierté mais sans faux-semblants, avoir établi, la mort dans l’âme, une priorité : mon enfant vaut plus que mes principes. D’autres tentent la quadrature du cercle et plaident le cas particulier. Le petit dernier est trop «fragile». Le grand s’est pris d’une soudaine passion pour le tuba… ça tombe bien, le collège réputé d’à côté propose justement une option instruments à vent. Ou, version plus politique : «Tant que le privé ne sera pas contraint à jouer le jeu de la mixité, pas de raison que je le fasse (et en attendant, je mets mon enfant dans ledit privé)». Entre les mots, il s’agit de se persuader qu’on est toujours de gauche. Qu’on pense toujours «bien». «Des parents qui ont toujours joué le jeu du public et de la mixité se retrouvent dans certains quartiers face à un choix cornélien – ghetto ou privé – à cause d’un manque de coordination de la puissance publique, estime Julien Grenet, enseignant à l’Ecole d’économie de Paris, qui a participé au projet de multisectorisation mis en place à la rentrée dernière à Paris visant à casser certains ghettos scolaires. On ne peut pas leur en vouloir de dire non. Ce qui est choquant, c’est que certains parents, très armés intellectuellement, s’aveuglent et nient la ségrégation avec de faux arguments.»

«Les parents se trouvent pris dans un tissu d’injonctions contradictoires. Ce ne sont pas des égoïstes ni de mauvais citoyens. Mais ils tranchent désormais en faveur d’une solidarité restreinte, la solidarité intergénérationnelle en faveur de leur enfant, au détriment d’une solidarité publique», analyse Patrick Savidan, qui a justement consacré un livre à ces choix terribles, Voulons-nous vraiment l’égalité ? (Albin Michel, 2015) : comment se fait-il qu’en France, où la passion de l’égalité est bien réelle, nous optons pour des choix (contourner la carte scolaire, «optimiser» ses impôts…) qui creusent les disparités sociales ? Le philosophe, professeur de philosophie politique à l’université Paris-Est – Créteil et président de l’Observatoire des inégalités, a un joli mot pour résumer ces mauvais choix : l’akrasia. «En philosophie, depuis l’Antiquité, c’est une faiblesse de la volonté. Agir de manière contraire à ce qu’on sait être le meilleur. Ce n’est pas vraiment immoral, pas vraiment irrationnel, c’est le résultat d’une injonction contradictoire. Il serait trop facile de dire que les parents sont hypocrites. La question importante c’est : pourquoi ?» (….)

Jouer sur la fibre morale ne suffira pas pour progresser sur le chemin de la mixité scolaire. Sans doute faudra-t-il accepter que les parents ne joueront le jeu de la carte scolaire que s’il leur profite : collèges défavorisés encore mieux dotés, classes très allégées, bonus pour l’affectation en lycée, options rares dispensées prioritairement dans les établissements délaissés (lire ci-contre)… Une façon d’accepter que l’intérêt collectif, s’il veut progresser, doit parler à l’intérêt particulier.

Très impliqué dans la bisectorisation entre les collèges Coysevox (plutôt pas trop mal loti) et Berlioz (plus difficile) dans le XVIIIe à Paris, Philippe Darriulat a souvent été confronté à l’inquiétude, voire à la colère, des parents. «On peut dire ce qu’on veut, ce qui a le plus de poids, c’est la parole des parents et des enfants qui ont joué le jeu. C’est le discours de pair à pair, le plus utile. Pas celui de l’expert, ni celui du politique.»

Personne n’a envie d’être généreux tout seul. Des associations de parents, comme, à Paris, Apprendre ensemble (lire ci-contre), tentent de faire entendre d’autres arguments : faire l’expérience d’une école diverse et moins déconnectée des réalités sociales peut être un atout, bien plus tard, sur le marché du travail. Si les familles jouent le jeu toutes ensemble, personne n’est perdant : une façon de résoudre le fameux dilemme du prisonnier.

www.liberation.fr




Statistiques annuelles en matière d’immigration, d’asile et d’acquisition de la nationalité française


Conformément au code de bonnes pratiques de la statistique européenne, la Direction générale des étrangers en France (DGEF) du ministère de l’intérieur a mis en place un calendrier de publication des statistiques annuelles entrant dans le champ de la migration et de la protection internationale.

Ainsi, dans le respect des règles de la statistique publique, sont diffusées le 16 janvier 2018 une première estimation de l’admission au séjour ainsi que les données provisoires relatives à la délivrance des visas aux étrangers, aux éloignements des étrangers en situation irrégulière, à la demande d’asile et à l’acquisition de la nationalité française.

I. Les visas et les titres de séjour
Après le repli de 2016, le nombre de visas délivrés repart à la hausse en 2017 (+ 11 %), avec un total de 3 420 395 visas délivrés. Les visas de court séjour Schengen augmentent de 11,5 %, sous l’effet de la nette progression des visas touristiques, notamment pour les ressortissants chinois, indiens et russes. La Chine reste le premier pays d’origine des titulaires de visas, avec 849 550 visas délivrés en 2017 (+ 18,7 % par rapport à 2016).

La primo-délivrance des titres de séjour progresse de 13,7 % en 2017, avec un total de 262 000 titres de séjour délivrés, sur la base d’une première estimation. Cette évolution traduit en premier lieu l’augmentation des premiers titres de réfugiés et de bénéficiaires de la protection subsidiaire : 35 825, en forte hausse (+56,5 %).

Toujours sur la base d’une première estimation, l’immigration professionnelle augmente de 20,5 % ; elle représente 11 % de l’ensemble.

La loi du 7 mars 2016 a créé une nouvelle catégorie de titre, le « Passeports talent ». Dans ce cadre, 27 656 titres de séjour ont été délivrés depuis le 1er novembre 2016 (8 746 premiers titres et 18 910 titres en renouvellement).

En 2017, 88 095 premiers titres de séjour ont été délivrés à des étudiants, après 73 600 en 2016, ce qui représente le plus haut niveau jamais atteint.

L’immigration familiale, qui représente la plus grande part du flux migratoire, est en légère hausse (+ 2,2 %).

Par ailleurs, après l’entrée en vigueur de la loi du 7 mars 2016, 304 000 cartes de séjour pluriannuelles avaient déjà été délivrées au 31 décembre 2017.

II. L’éloignement des étrangers en situation irrégulière

En 2017, les éloignements forcés d’étrangers en situation irrégulière sont en hausse de 14,6 %, à 14 859 après 12 961 en 2016. Par ailleurs, dans le contexte du rétablissement des contrôles aux frontières intérieures, les non admissions d’étrangers en situation irrégulière prononcées à nos frontières augmentent fortement (85 408 en 2017 après 63 732 en 2016, +34 %).

Les retours forcés de ressortissants de pays tiers vers les pays tiers s’établissent à 6 596 en 2017, après 6 166 en 2016, ce qui constitue leur plus haut niveau depuis 2010. Ce sont ces retours forcés qui sont les plus représentatifs de l’action des forces de l’ordre et des services des préfectures dans la lutte contre l’immigration irrégulière. Enfin, les retours aidés progressent de 32 %.

III. L’asile
En 2017, 100 412 demandes d’asile y compris mineurs accompagnants ont été introduites à l’OFPRA, soit 17 % de plus qu’en 2016.

Le nombre de demandes d’asile enregistrées au niveau des guichets uniques atteint 121 200 y compris mineurs accompagnants.

La procédure Dublin représente 36 % de la totalité de ces demandes d’asile. La proportion de personnes relevant de la procédure Dublin a fortement augmenté par rapport à 2016.

En 2017, le premier pays de provenance des primo-demandeurs d’asile à l’OFPRA, y compris mineurs accompagnants, est l’Albanie, suivie de l’Afghanistan, de la Syrie, d’Haïti et du Soudan.
Le nombre de personnes s’étant vu octroyer en France une protection est de 32 011 en 2017 après 26 499 en 2016 (+ 21 %). Le taux d’admission au statut en première instance par l’OFPRA passe de 28,4 % à 26,8 %. Le taux d’admission final au statut, après prise en compte des décisions de la CNDA, passe de 37,7 % en 2016 à 35,8 % en 2017.

IV. L’acquisition de la nationalité française
En 2017, le nombre des acquisitions de la nationalité française par décret et par déclarations (mariage, ascendants de français, frères et sœurs de français) a connu une baisse de 5,7 %.

Cette évolution traduit une diminution des acquisitions par décret qui passent de 68 067 en 2016 à 65 654 en 2017 (soit -3,5 %).

Le nombre d’acquisitions par déclarations diminue de 13% (18 020 en 2017 contre 20 708 en 2016).

www.immigration.interieur.gouv.fr




L’Homme Blanc doit disparaître

Publié le 15 janvier 2018 – par Marc Noé (dans Riposte Laïque)

La guerre a toujours fait partie de la nature humaine et ce n’est pas près de changer. N’en déplaise aux doux rêveurs adeptes du « Peace and Love », slogan qui peut séduire les plus crédules et les plus faibles, mais qui ne tient pas une seconde devant les dures réalités de la vie. Ainsi, mettez un agneau dans un champ et introduisez-y un loup affamé et vous constaterez d’emblée que, il y a maintenant quelques siècles, LA FONTAINE ne s’était pas trompé : « La raison du plus fort est toujours la meilleure. »

LA GUERRE, POINT FORT DE LA SÉDENTARISATION

Et il en va ainsi depuis que le monde est monde. Déjà, dans la Préhistoire, les conflits étaient fréquents entre tribus qui se disputaient des points de cueillette, des zones de chasse, des zones d’habitat ou d’alimentation en eau.

Avec l’introduction de l’agriculture, lors de la révolution du Néolithique, les choses n’allaient pas s’arranger : la sédentarisation consécutive à l’agriculture accentuait encore la notion d’espace vital, d’instinct de conservation et de protection des sols travaillés.

Et plus la population augmentait, plus celle-ci avait besoin d’un espace vital sans cesse plus grand qu’il fallait bien défendre contre les visées des communautés voisines qui n’étaient pas nécessairement amies. Cela ne fit encore que s’accentuer lorsque naquirent les domaines royaux et les rapports de féodalité pour ce qui touche l’Occident. Nous sommes ici bien loin « des imbécillités proférées par certaines bonnes âmes de gauche » qui voudraient faire croire que n’importe qui pouvait traverser n’importe quelle Terre et s’y installer selon son bon vouloir (Voir l’article du Gaulois : Identité Nationale – Nos Racines). C’est précisément le contraire qui se produisait. Et celui qui contrevenait à la règle du Territoire « inviolable » risquait fort d’y jouer jusqu’à sa propre vie.

LES CIVILISATIONS SE DÉVELOPPENT, VIVENT ET MEURENT

Puis, au fil des siècles, les différentes Races de la Terre produisirent de multiples civilisations avec leurs mœurs propres, leurs codes distincts, leurs religions respectives, leur génie particulier. Beaucoup d’entre elles périrent et disparurent… D’autres survécurent mais au prix de luttes acharnées. Toujours la raison du plus fort.

De nos jours, on peut estimer que les civilisations qui perdurent sont : la Blanche, la Noire, l’Asiatique, et une quatrième l’Orientale et Moyen-Orientale. Cette dernière étant plus basée sur une « religion » que sur une quelconque appartenance raciale ou ethnique : l’islam pour l’essentiel.

Jusqu’à il y a peu, chacune de ces civilisations disposait globalement de son propre continent. Ce qui n’évitait nullement les guerres de temps à autre mais générait principalement beaucoup d’échanges et de commerce. Les Peuples n’ont jamais attendu « Bruxelles » et la « mondialisation » pour se rencontrer et échanger. Il serait grand temps que « politiques » et médias cessent de raconter de pareilles stupidités.

De toutes ces civilisations, et que cela plaise ou non, c’est surtout l’Homme Blanc qui, par curiosité et esprit d’aventure vraisemblablement, se sera montré le plus entreprenant, le plus conquérant, le plus explorateur, le plus inventif… Ce qui ne veut pas dire que celui-ci se soit toujours tenu de manière irréprochable… et là, je pense notamment aux Conquistadors Espagnols en Amérique du Sud, aux colons blancs d’Amérique du Nord, aux Britanniques face aux Aborigènes d’Australie, aux esclavagistes de toutes Races et nationalités … la liste n’étant pas exhaustive. Dans tous ces domaines, bien peu de Peuples peuvent aujourd’hui prétendre avoir toujours été… « Blancs comme neige ». Ces propos n’ont donc rien à voir avec un quelconque racisme : ils ne sont que l’expression d’un simple constat. Et il faudrait avoir un « cerveau » bien malade pour y voir autre chose ! Quoi qu’il en soit, et tant pis pour les atrophiés du bulbe, les choses sont ainsi.

L’HISTOIRE REVUE ET CORRIGÉE AU DÉTRIMENT DU BLANC

Or, depuis un certain temps, la culpabilisation de l’Homme Blanc touche à des extrémités telles que celui-ci croule désormais sous une avalanche de reproches et de demandes de repentance. Quelques exemples parmi d’autres :

Les Blancs auraient empêché les Noirs d’Afrique de se développer à cause de la colonisation. Il faut être parfaitement ignare pour proférer ce genre d’insanités. Les premières colonies blanches remontent en effet aux années 1860- 1870. Avant, à certains endroits sur les côtes africaines, il n’existait que quelques comptoirs commerciaux tenus par des civils Blancs et datant principalement du XVIIème siècle. Ces comptoirs n’étaient nullement des colonies mais des points de commerce et d’échanges – des magasins – avec les tribus locales et des points de ravitaillement pour les navires cinglant vers les Indes (Bois, eaux nourriture…). Ici, nulle intervention des Blancs sur le développement des Tribus Noires qui vivaient parfaitement selon leurs coutumes, leurs Traditions et leur religion. Rien ne venait entraver un éventuel développement.

Et pendant que les Blancs s’étaient développés depuis des siècles en Occident de la manière que l’on connait, personne n’avait alors empêché les Peuples Noirs de faire de même chez eux, y compris dans des directions différentes. Mais aujourd’hui, les idéologues ont la prétention d’affirmer le contraire.

Même chose pour l’île de la Réunion que beaucoup considèrent comme étant une « Terre Noire » que les « méchants Blancs » se seraient sauvagement approprié sur le dos des « gentils Noirs ». Or, c’est en 1638 que le navire Saint-Alexis accoste l’île et que son capitaine en prend possession au nom du roi de France, Louis XIII. À cette époque, l’île est totalement inhabitée. On est loin des contes à dormir debout véhiculés par les « antiracistes-anti-Blancs ». De 1646 à 1649, l’île, concédée par Richelieu à la première Compagnie de Indes Orientales, accueille ses premiers habitants : une douzaine de mutins exilés de Madagascar. Et c’est en 1649, que le capitaine Lebourg est envoyé par le commandant de Fort-Dauphin, Etienne de Flacourt, pour prendre à nouveau possession de l’île (au lieu-dit la Possession) et la baptiser « Île Bourbon ».

Et nous pourrions multiplier ainsi les exemples tendant à présenter l’Homme Blanc comme un sempiternel prédateur… même si certaines « choses » ne jouent pas nécessairement en sa faveur, il ne faut tout de même pas exagérer.

Car quelles Races, quels Peuples actuels peuvent s’enorgueillir d’une Histoire sans taches !… D’autant que beaucoup de pseudo historiens actuels jugent les faits historiques au travers du prisme déformant des valeurs – ou fausses valeurs – d’aujourd’hui qui n’avaient pas cours aux époques considérées.

LA SITUATION ACTUELLE

Aujourd’hui, et là aussi que cela plaise ou non, la plupart des sciences et des technologies sont d’origine « Blanche ». Ça aussi, ce n’est pas non plus de l’idéologie mais un simple constat. Ces sciences et ces technologies sont désormais répandues sur l’ensemble de la Terre et tous les Peuples ont la possibilité d’en profiter ou de se les assimiler.

Il n’est que de considérer les ONG qui sont quasiment toutes dirigées par des Blancs et qui viennent en aide aux Peuples moins « chanceux » pour se débrouiller seuls en cas de catastrophes. Ici, les exemples ne manquent pas et point n’est besoin de les citer. Et malgré cela, ce sont encore et toujours les Blancs qui sont taxés de racisme et de méchanceté !!! Cela commence à devenir lassant…

Aujourd’hui, les faux « migrants » débarquent en France et en Europe sans autorisation. D’emblée, ils sont pris en charge, logés et nourris… mais c’est encore et toujours l’Homme Blanc qui est mauvais.

En France comme en Europe, on constate une recrudescence des actes anti-Juifs, mais « ON » se garde bien de dire quels sont ceux qui les perpétuent conformément à ce que leur commande l’islam. Alors, on culpabilise l’ensemble de la population encore majoritairement blanche pour ne pas discriminer. Là, l’amalgame est autorisé !

« ON » nous livre en pâture des tas de gens accusés de pédophilie en oubliant de préciser que les mahométans ont le droit d’épouser et de coucher avec des mineures de moins de 10 ans. En cela, leur prophète en est un exemple typique.

« On » nous a parlé également de viols collectifs par des « migrants », notamment en Allemagne, au moment des Fêtes de Fin d’Année. Mais là aussi, les faits ont été minorés. Certains mouvements gauchistes et féministes – un comble ! – prenant fait et cause pour les violeurs, parlant de leur misère sexuelle et prétextant que cela faisait partie de leur culture ! Alors pourquoi tous ces clandestins se gêneraient-ils ?…

Si le viol fait partie de la culture de ces « migrants-envahisseurs », il serait plus que temps que l’Homme Blanc leur montre comment il sait régler le problème… toujours en fonction de sa propre culture, naturellement !

Il n’est jusqu’aux derniers évènements touchant au harcèlement sexuel qui viennent mettre en cause le comportement de l’Homme, dès l’instant qu’il est blanc. Et c’est vrai que nous assistons en ce moment à un déferlement de calomnies, de procès d’intention, principalement de la part de féministes abruties d’idéologie. Certaines d’entre elles allant jusqu’à prétendre que la galanterie masculine constitue une forme de harcèlement. Pauvres imbéciles ! Pour ce genre de harpies, l’Homme – Blanc surtout – devient ainsi l’ennemi, le prédateur présumé, le violeur en puissance…

UNE OFFENSIVE CONTRE L’HOMME BLANC

En fait, bien naïf serait celui qui ne voit pas en tout cela une large offensive contre les Hommes Blancs coupables simplement d’être Blancs et de se comporter encore comme des Hommes.

Ici, le propos peut-être illustré par les propos d’Anne LAUVERGEON, ex-présidente d’Areva et grande copine de Nicolas SARKOZY.

Il faut savoir que ces propos ont donné lieu à un procès intenté par l’Agrif (Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l’Identité Française et chrétienne) de Bernard ANTONY qui se trouva déboutée de ses « poursuites pour discrimination » contre Anne LAUVERGEON. Encore un comble : d’après le juge, l’Homme Blanc peut donc être discriminé et bafoué ! Pour ces gens-là, le mieux serait d’ailleurs qu’il disparaisse.

Aujourd’hui, faire preuve d’anti-racisme est un comportement médiatiquement formaté et un point de passage obligé dans toute discussion. Tout le monde connait le « Je ne suis pas raciste, mais… ». Mais le racisme ant-Blanc est désormais devenu le racisme le plus répandu.

►Et pourtant, a-t-on déjà vu « SOS-Racisme », le « MRAP » ou la « LICRA » prendre la défense d’un Blanc persécuté ?… JAMAIS !

ALORS, HOMME BLANC, RÉVEILLE-TOI !

Reproduction autorisée avec la mention suivante :

Marc NOÉ pour FPI-Le Gaulois

http://francepresseinfos.blogspot.fr/

Ancien Maire-Conseiller Général de Seine-et-Marne
International d’Athlétisme

Sur le même sujet voir aussi l’article du Gaulois :

http://francepresseinfos.blogspot.fr/2017/11/les-blancs-une-race-inferieure-par-marc.html




Pour le droit de ne plus être importuné par l’islam, et de dire que c’est une religion de m…

Publié le 14 janvier 2018 – par Cyrano

La semaine dernière, lors de mon premier édito de l’année 2018, j’appelais les Français à redevenir Français, et à leur dire « Merde » à tous.

http://ripostelaique.com/liberte-dexpression-francais-redevenez-francais-et-dites-leur-merde-a-tous.html

Le moins qu’on puisse dire, sans m’attribuer le mérite, bien sûr, est que le message paraît passé, parce que l’année 2018 commence fort, quant à la défense de la liberté d’expression.

Ce sont d’abord ces cent femmes qui, derrière Catherine Deneuve, Catherine Millet, Brigitte Lahaie et Elisabeth Levy, ont lancé un formidable appel, intitulé « Défendons une liberté d’importuner indispensable à la liberté sexuelle ».

http://www.lemonde.fr/idees/article/2018/01/09/nous-defendons-une-liberte-d-importuner-indispensable-a-la-liberte-sexuelle_5239134_3232.html

Un véritable pavé dans la mare, qui tord le coup à 40 ans de propagande féministe, uniquement tournés contre les mâles blancs européens hétérosexuels, de la part de mouvements dirigés par des gauchistes, par ailleurs souvent lesbiennes. Un cri de femmes libres, qui refusent la dictature du Parti unique des femmes, comme l’a si bien dit Elisabeth Levy.

Naturellement, le lynchage politico-médiatique a commencé, et des jours durant, les initiatrices ont été bassement calomniées, mais elles ont parfaitement répondu, et su exprimer un sentiment largement répandu dans les société française : les féministes hystériques haineuses coincées du slip commencent sérieusement à faire chier la France entière !

A peine la polémique commençait-elle à s’éteindre que le formidable Donald Trump se retrouvait au cœur d’un nouveau scandale. Il « aurait dit » devant des sénateurs américains (dont un seul confirme l’information, un démocrate, par ailleurs) qu’il ne voyait pas pourquoi les Etats-Unis devraient accueillir des ressortissants de « pays de merde ». Ce n’est pas une déclaration publique, ce serait un échange privé. Et cela suffit pour enflammer le monde entier, et faire la « une » de tous les journaux télévisés. Au lieu, comme le fit Marcus Graven, de s’interroger sur ce que pouvait être un « pays de merde » (ce qu’est en train de devenir la France), c’est qui insultera au mieux le président des Etats-Unis.

http://ripostelaique.com/a-quoi-reconnait-on-un-pays-de-merde.html

Et l’ineffable Jack Lang, voulant venger les opprimés du monde entier, s’est laissé aller à qualifier Donald Trump de « président de merde ». Cela a dû empêcher de dormir l’hôte de la Maison Blanche, et a valu à « Djack » une volée de bois vert de la part de notre ami Arsène Rouletabille, qui a effectué quelques rappels utiles sur la carrière de Lang.

http://ripostelaique.com/cabale-contre-trump-jack-lang-est-un-raciste-de-merde.html

Puisque, comme je le souhaitais, la parole se libère sur un ensemble de sujets tabous, je vais donc, à mon tour, revendiquer un droit, comme ces femmes qui demandaient celui d’être importuné. Moi, au contraire, je revendique le droit de ne pas être importuné par l’islam, dans mon pays la France.

Je revendique le droit de ne pas être importuné d’abord par le nombre. Dix millions de musulmans présents sur le territoire français, c’est une agression qui menace tout simplement l’équilibre démographique de la France. Comme le disait Michel Onfray, si les choses continuent ainsi, dans 50 ans, les musulmans seront majoritaires en France, et les lois de l’islam auront remplacé la loi des hommes, en Europe.

Je revendique le droit de ne pas être importuné par la visibilité : les voiles, les kamis, les djellabas, les boucherie halal, les mosquées, les prières illégales, bientôt les muezzin, et tout signe qui marque la progression de la conquête islamique en France.

Je revendique le droit de ne pas être importuné par la peur que fait subir cette religion qui n’en est pas une, comme le démontre régulièrement notre ami René Marchand.




Allemagne : 1 élève musulman sur 3 en Basse-Saxe se déclare prêt « à se battre et à mourir pour l’islam »

Dans une enquête réalisée en Basse-Saxe, huit pour cent des étudiants musulmans soutiennent la propagation violente de l’État islamique. Certains montrent même de la sympathie pour les attentats terroristes. Cette surprenante conclusion controversée apparaît dans le chapitre 4, sous-section 1. « L’extrémisme et l’islamisme fondamentaliste » est le sous-titre de ce paragraphe et comprend seulement quelques pages. Il fait partie de l’étude remise la semaine dernière sur les causes de la criminalité des migrants, menée par le scientifique criminel Christian Pfeiffer.

Pfeiffer, qui a effectué des recherches pour le compte du ministère fédéral des Affaires familiales, examine principalement dans son étude, le lien entre la violence et l’immigration. Les auteurs rapportent, entre autres, les résultats d’un sondage réalisé en 2015 auprès des étudiants, qui n’avait pas encore été rendu publique. Ils indiquent une proportion considérable d’élèves musulmans qui approuve la violence et la terreur islamiques.

Depuis 1998, l’Institut de recherche criminologique de Basse-Saxe (KFN) sonde régulièrement les étudiants de Basse-Saxe au sujet de la criminalité – en 2015, des données sur les attitudes islamistes ont également été collectées et ce, pour la première fois. 10.638 adolescents de neuvième année ont été interrogés, dont 500 ont déclaré être de confession musulmane. Tous les musulmans n’ont pas commenté l’ensemble des déclarations qui leur ont été présentées – environ 280 d’entre eux y ont répondu. Les auteurs soulignent que le groupe est relativement restreint, mais ils considèrent tout de même que les résultats sont dignes d’intérêt.

L’analyse a montré qu’une personne sur trois (29,9%) parmi les élèves musulmans qui ont fourni des réponses, peut « très bien imaginer devoir se battre et risquer sa vie pour l’islam« . L’affirmation selon laquelle « les lois islamiques de la charia, pour lesquelles, par exemple, l’adultère ou l’homosexualité doivent être sévèrement punis, sont bien meilleures que les lois allemandes » a trouvé un écho favorable chez 27,4% des sondés.

Il est frappant que même l’État islamique (EI) et les attentats terroristes soient perçus positivement par certains d’entre eux. Par exemple, 8,0% des jeunes musulmans qui ont répondu croient qu’il est juste que leurs frères croyants du Moyen-Orient essaient de fonder un État islamique par la guerre; 3,8 pour cent ont même répondu positivement à la phrase suivante: « Les musulmans sont autorisés à atteindre leurs objectifs, au besoin par des attaques terroristes. »

Près d’un cinquième des élèves était d’accord avec la déclaration: «Les musulmans sont opprimés dans le monde entier; ils doivent donc se défendre par la force»(19,8%). Presque autant tiennent pour exacte l’expression: « Il est du devoir de chaque musulman de combattre les incroyants et de répandre l’islam dans le monde » (18,6%). Un peu moins d’un cinquième a également trouvé que «les ennemis de l’Islam» doivent être attaqué avec la plus grande sévérité (17,7%). Le niveau d’approbation est légèrement plus élevée chez les élèves masculins que chez les femmes – mais les différences ne sont pas significatives.

Die Welt

Nicolas Bay à une Grand reporter : «Le premiers demandeurs d’asile sont les Albanais. Ils ne fuient pas la guerre.»

Nicolas Bay à Elsa Freyssenet (Grand reporter aux Echos) : «Les chiffres officiels du gouvernement montrent que ceux qui viennent en France, viennent pour l’immense majorité d’entre eux pour des raisons économiques. Est-ce que vous savez par exemple que le premier pays “pourvoyeur” de demandeurs d’asile vers la France est l’Albanie ? Donc ils ne fuient pas la guerre, ils fuient des situations économiques difficiles. Le deuxième pays, vous savez lequel c’est ? C’est Haïti. Ils fuient pas la guerre, ils fuient des situations économiques. Et la Syrie arrive bien après !»
– LCI, 10 janvier 2018, 21h19