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Selon le journaleux du Monde Birnbaum, Bat Ye’or serait l’égérie des nouveaux Croisés !

Jean Birnbaum, dans un article du Monde des Livres intitulé Bat Ye’or, l’égérie des nouveaux croisés, titre auquel il a cru bon de spécifier dans sa chronique sur France culture que ces nouveaux croisés sont anti-islam, puis au détour d’une autre phrase qu’ils sont islamophobes.

Le ton est donné.

Birnbaum n’a pas d’actualité littéraire à mettre en avant concernant Bat Ye’or, mais ce qu’il appelle «un curieux télescopage entre événement littéraire et actualité terroriste. Quelques heures avant l’attentat du 7 janvier 2015 contre Charlie Hebdo, l’hebdomadaire Valeurs actuelles annonçait sa “une” du lendemain, sous forme d’une question: “Islam: et si Houellebecq avait raison? Cette couverture saluait la sortie de Soumission, roman publié le même jour chez Flammarion, dans lequel l’écrivain dépeint une France sous domination musulmane. Or, à la page 157, l’un des personnages de Houellebecq conclut: “Dans un sens la vieille Bat Ye’or n’a pas tort, avec son fantasme de complot Eurabia.” A partir de là, une partie de la presse de droite et toute une blogosphère identitaire allait s’interroger: si Houellebecq avait raison, serait-ce que Bat Ye’or n’a pas tort?»

Il rappelle que Bat Ye’or, de son vrai nom, Gisèle Orebi, britannique née au Caire en 1933, a travaillé sur le statut de dhimmi avant de signer ce qu’il appelle un pamphlet, Eurabia dans lequel, d’après Birnbaum, «elle accuse les élites européennes contemporaines de renoncer à leurs racines judéo-chrétiennes et de livrer leurs peuples à une nouvelle “dhimmitude”»

Une telle phrase m’a tout de suite ramené aux Heures sombres, le film de Joe Wright sur Churchill. Celui-ci, lors de son arrivée au pouvoir en mai 1940, refuse le discours des élites britanniques représentées par Lord Halifax, il refuse de livrer le peuple britannique à la dhimmitude nazie. Aussitôt les critiques du Monde et de Télérama y ont vu du patriotisme, pire, du nationalisme et se sont empressés de plomber le film (que je vous conseille).

Birbaum n’est pas un employé du Monde pour rien.

Il raconte comment Bat Ye’or, des émeutes du Caire en 1945 à la crise de Suez de 1956 en passant par la création de l’Etat d’Israël en 1948, a vu son univers s’effondrer. Elle raconte les pillages des commerces et des maisons juives, les filles violées, les synagogues et les écoles juives incendiées : « J’assistais à un phénomène extraordinaire : l’effacement d’une communauté présente en Egypte depuis près de trois mille ans.»

Si le livre qu’elle tire de son étude du destin des juifs et des chrétiens, Le Dhimmi, paru en 1980 est d’abord salué comme un ouvrage de références sans équivalent (même dans Le Monde), Birnbaum tient à aussitôt le traiter par la bouche de Lucette Valensi, une référence sur l’islam (rien de moins) de «pamphlet exalté».

1980-2018. En presque quarante ans, on voit ce que sont devenues nos supposées élites, des islamo-collabos qui ne tolèrent aucune critique de l’islam.

Birnbaum écrit que les textes de Bat Ye’or «nourrissent essentiellement la prose de journalistes ou de militants qui font de la lutte contre “l’islamisation de l’Europe » leur combat affiché, au nom de l’identité française, de l’Occident chrétien ou d’Israël.»

Ce combat est-il honteux M. Birnbaum ?

Puis le journaliste de pratiquer le “name dropping” à haute dose pour dénoncer les admirateur de Bat Ye’or. « Souvent comparée à la journaliste italienne Oriana Fallaci (1929-2006), Bat Ye’or se voit citée élogieusement par l’éditorialiste du Figaro Ivan Rioufol. Son lexique est également repris par Eric Zemmour ou par Philippe de Villiers, lequel vitupère régulièrement des élites françaises “dhimmisées”. Référencée par des sites comme Riposte laïque, le Salon beige ou Dreuz. »

Sans oublier les catholiques traditionnalistes et l’Action française.

Toute la “fachosphère”, comme ils disent, est là.

Jean Birnbaum dit clairement qu’il voit dans la dénonciation de la menace musulmane, une obsession des milieux islamophobes et croisés.

Une photo d’une manifestation de Résistance républicaine illustre le propos.

« Une réception aussi orientée a fini par mettre en alerte. Et par semer le doute, y compris chez ceux qui l’ont éditée ». Comme d’habitude, pour Birnbaum et les collabobos, dire les choses, c’est faire le jeu de l’extrême droite.

« Pierre-André Taguieff (…) n’hésite plus à confier une certaine gêne à son égard: « elle s’est montrée insuffisamment méfiante à l’égard des usages qu’on peut faire de son travail, et il est regrettable que, en noircissant le tableau, elle ait pu sembler justifier les fantasmes complotistes » ».

L’avancée de l’islam conquérant en Occident est donc une fable complotiste pour Birnbaum et C°.

Boualem Sansal est également critiqué dans l’article puisqu’il ose affirmer que « ce que dit Bat Ye’or me semble sérieux et correspond à ce que je vis dans mon pays ».

« Comme Bat Ye’or, écrit Birnbaum, il affiche une conscience aux aguets, toujours à l’affût d’une servilité qui passerait moins par de grandes lois que par de minuscules malaises, effrois quotidiens et reculades intimes. »

Un autre fabulateur complotiste ?

L’article de Birnbaum est complété par un entretien du même Birnbaum avec Dominique Avon, un « spécialiste » de l’islam.

Pour lui, Bat Ye’or « verse dans un registre outrancier », elle ignore les vrais débats internes qui ont lieu dans le monde musulman où, pour Avon, des savants musulmans œuvrent à intégrer l’islam à la modernité, réfléchissent sur la loi islamique pour fixer une relation de tolérance fondée sur la protection-domination.

Autrement dit, instaurer un statut soft de dhimmi.

Quant à la fatwa des oulémas marocains de 2012 réaffirmant que les apostats doivent être punis de mort, elle aurait été partiellement abolie par le fait que certains de ces oulémas auraient précisé en 2017, que la peine capitale concernant les apostats ne peut être appliquée dans le monde contemporain.

Avon voit là un frémissement libéral dans le monde musulman même si bien sûr le blasphème et l’apostasie sont toujours punis de mort en Arabie Saoudite, au Koweït, en Iran, en Afghanistan, au Pakistan, à Brunei et bientôt en Mauritanie.

Que tirer de la diarrhée verbale de Birnbaum ? (deux pleines pages).

Qu’il faut lire et relire Bat Ye’or.

Et que nous sommes fiers d’être parmi ceux qui combattent l’islamisation de l’Europe.

Marcus Graven (Riposte Laïque)




6 % de naissances musulmanes en 1997, 20 % en 2016 : pourquoi ?

Publié le 15 février 2018 sur Riposte laïque – par Christine Tasin

Qui donc, récemment, nous faisait un caca nerveux, en évoquant les mensonges de la « fachosphère » à propos du Grand Remplacement et de la carte de la drépanocytose ?

Il suffit de mettre côte à côte la carte ci-dessus et celle de la drépanocytose pour réduire à néant les doctes et arrogantes affirmations dhimmis qui veulent cacher la vérité :

L’Insee confirme. Et l’Insee n’est pas payé par Résistance républicaine. Ni par F de Souche.

L’INSEE vient de publier comme chaque année les chiffres de l’Etat Civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900.

L’analyse de l’octroi de prénoms musulmans pour les naissances en France en 2016 révèle :
• Un taux national dépassant désormais les 20%, soit 1 enfant sur 5,
• Pour rappel, ce taux était de 6,5% il y a 20 ans en 1997,

• Un taux dépassant les 32% en région parisienne, hors Paris intra-muros, soit près d’1 enfant sur 3,
• Seulement 10 départements au-dessus de la moyenne nationale de 20%, mais ces départements sont très fertiles, avec plus de 26% des naissances nationales :
o 6 départements d’Île de France (hors Paris et la Seine et Marne qui sont légèrement en dessous),
o Au Sud de la Loire : les Bouches du Rhône, le Rhône, le Vaucluse et le Gard.
• 28 départements sont en dessous des 5% d’octroi, mais sont peu fertiles, représentant à peine 8% des naissances nationales et voient par ailleurs une baisse sensible des naissances

http://www.fdesouche.com/955217-barometre-2016-de-loctroi-de-prenoms-musulmans-france

Pourquoi cette augmentation quasi-exponentielle depuis 1997 ?

Et si la réponse s’appelait et le 5 janvier 1986, et l’ISESCO, et les islamo-collabos ?

I Le 5 janvier 1986
Voir la video ci-dessous, à partir de la minute 6, je rappelais que le 5 janvier 1986, une réunion a eu lieu en Libye, réunissant les responsables des services secrets de 5 pays musulmans, Lybie, Algérie, Arabie saoudite, Irak, Egypte. Dans cette réunion il a été décidé de nous envahir pour nous islamiser.

Rien n’a été fait, au contraire, pour empêcher ou freiner cette décision islamique. Rien. 10 ans après on en voit les effets qui commencent sur le graphique ci-dessus.

II l’ISESCO

https://www.isesco.org.ma/wp-content/uploads/sites/2/2015/05/StratégieExtVFLR1.pdf

Texte original en anglais :
https://www.isesco.org.ma/wp-content/uploads/2015/05/Strategy-for-Islamic-Cultural-Action-outside-the-Islamic-World.pdf

La « Stratégie adoptée par la neuvième Conférence islamique au Sommet tenu à Doha, Etat du Qatar », en 2000 :

Stratégie pour l’action culturelle islamique en-dehors du monde islamique

Il s’agit d’un document de toute première importance publié par l’équivalent islamique de l’UNESCO, l’ISESCO ( Organisation islamique pour l’Education, les Sciences et la Culture )

Dans ce document, l’ISESCO met par écrit ce que les musulmans doivent faire et exiger des pays européens qui les accueillent. C’est un document de 112 pages expliquant en détail comment islamiser les pays mécréants.

Et l’islamisation, c’est, d’abord et surtout, le refuse de l’assimilation et même de la simple intégration. Les pays musulmans ont exigé que, pour avoir la double nationalité, les enfants nés en France portent des prénoms musulmans… C’est à partir de ce moment-là que les voiles se mettent à pulluler, que votre voisine musulmane se met à le porter, que les demandes pour les repas de substitution se font de plus en plus nombreuses, de plus en plus agressives.

Voir ce que nous écrivions à ce propos en 2016.

http://resistancerepublicaine.eu/2016/11/01/rappel-hollande-et-juppe-veulent-appliquer-la-feuille-de-route-de-loci-lisesco/

Refus de la culture occidentale, enseignement de l’arabe ( que les conseillers bien intentionnés de Macron nous préparent ) et… démographie galopante.

http://resistancerepublicaine.eu/2016/07/01/enorme-scandale-arabe-en-classe-belkacem-met-en-pratique-la-feuille-de-route-de-loci-de-2000/

L’UE interdisant la préférence nationale pour les prestations sociales, les musulmans font d’une pierre deux coups. Ils appliquent la feuille de route de l’ISESCO et profitent d’un système fort généreux.

III Les islamo-collabos…

Depuis 1986, il y en a eu un paquet, de gauche et de droite confondus. Pas un seul pour rattraper l’autre. Jospin, Chirac, Mitterrand, Sarkozy, Hollande, Macron, leurs ministres et conseillers. Tous responsables, tous coupables. Sans oublier le rôle majeur joué par Bruxelles, l’ONU et autres UNESCO.

D’ailleurs, le plus franc – ou le plus naïf d’entre eux – l’avait avoué. Le métissage est obligatoire. C’était en 2008.

On peut supposer qu’il sortait d’une réunion avec les autres grands de ce monde, à Bilderberg par exemple. Et qu’on lui avait si bien fait la leçon qu’il avait voulu, dans la foulée, transmettre le message reçu.

Quant à ses palinodies sur l’immigration… Entre les différentes promesses de campagne transparaît le lavage de cerveau : les portes de la France doivent être grandes ouvertes aux autres.




Tariq et Mennel, mêmes colonisateurs, Plenel et Askolovitch, mêmes collabos !


Tariq Ramadan et Mennel Ibtissem ont fait l’actualité, ces derniers jours. Le prédicateur suisse, idole de toute une jeunesse musulmane et d’une partie de la gauche, s’est retrouvé en prison, victime collatérale de l’opération « Balance ton porc ».

Quant à la jeune Mennel Ibtissem, elle est passée en quelques heures du statut de belle chanteuse musulmane voilée modérée à celui d’islamiste complotiste.

Et pourtant, même s’il faut se réjouir de leur disgrâce et de leurs déboires, il convient de demeurer prudents sur les raisons pour lesquelles ils se sont retrouvés dans la tourmente.

Le vrai problème de Tariq Ramadan ne sont pas ses viols, c’est son engagement au service de l’islam, dont les viols ne sont que la continuité, comme je l’ai expliqué la semaine dernière.

https://ripostelaique.com/viols-tariq-ramadan-sest-comporte-en-parfait-musulman.html

Pour avoir dit les choses plus crûment, notre ami Salem Ben Ammar a vu son article poursuivi par la Licra et le Parquet, ce qui a occasionné par la justice française la condamnation de notre président suisse Alain Jean-Mairet.

https://ripostelaique.com/et-si-lislam-etait-le-culte-de-la-perversion-sexuelle-et-morale.html

Le vrai problème de Mennel Ibtissem, ce ne sont pas ses tweets, c’est son voile, et l’ensemble de son militantisme au service de l’islamisation de notre pays, comme le démontrait fort bien Lucette Jeanpierre.

https://ripostelaique.com/mennel-ibtissen-le-vrai-scandale-cest-son-voile-qui-annonce-ses-tweets.html

Il est fort bien que la société française ait paru, au travers ces deux affaires, capable d’opérer un sursaut, dont ont été victimes le prédicateur islamiste et la chanteuse voilée. Mais il serait dommage de ne voir que ces anecdotes, et pas ce qu’elles recouvrent.

Le vrai problème de la France et d’une partie de l’Europe, ce sont ces millions de musulmans, introduits sur notre sol sans que nos peuples aient été consultés, qui se comportent en bons disciples d’Allah, à l’image de Tariq Ramadan et de Mennel Ibtissem.

Le vrai problème de la France, c’est que ces millions de femmes voilées ou d’hommes en djellabas, qui rêvent de transformer notre pays en terre d’islam, comme le dit d’ailleurs très clairement Marwan Muhammad le porte-parole du CCIF

Le vrai problème de la France, c’est l’Etat dans l’Etat que constitue l’islam et ses dix millions de musulmans, qui entraîne forcément une logique de partition, ce qu’avait reconnu Hollande en personne.

Le vrai problème de la France, c’est que, parce qu’ils sont de bons musulmans, Tariq Ramadan et Mennel Ibdissem ont le devoir, par la ruse ou par la force, de se comporter en colonisateurs, en envahisseurs, parce qu’ils ne peuvent vivre qu’en terre d’islam. Et quand ce n’est pas le cas, ils doivent tout faire pour que cela le devienne au plus vite.

Et ce n’est pas la nouvelle lubie de Macron, qui veut nous rejouer un nième épisode de l’islam de France, qui va arranger les choses, bien au contraire. C’est une soumission d’une ampleur inégalée qui se prépare, il suffit de se souvenir des propos de Macron légitimant le voile dans l’entreprise, offensive reprise par un député LREM, Aurélien Taché.

Le vrai problème de la France, c’est que cette invasion des soldats d’Allah que nous subissons, qui s’apparente à la pire des colonisations, n’est possible que par l’activisme des collabos qui la soutiennent et qui l’encouragent.

Tariq Ramadan n’aurait jamais réussi sa percée médiatique sans le soutien de la Ligue de l’Enseignement, de la Ligue des Droits de l’Homme, des gauchistes d’Attac, des trotskistes de NPA et d’Edwy Plenel.

Plenel incarne le traitre à la France dans toute sa splendeur. Par internationalisme, il hait les Etats-Nations. Par tiers-mondisme, il exècre notre pays, coupable d’être une puissance occidentale. Philippe Cohen et Pierre Péan, dans « La face cachée du Monde » racontaient fort bien le passé du père de Plenel, prénommé Alain, qui, en Martinique, où il était vice-recteur, avait essayé de fomenter une révolte des indigènes opprimés par l’Etat colonial français. Echec pathétique, retour en France, puis départ en Algérie, où bien sûr, la famille Plenel est du côté du FLN, contre la France. Le fils, Edwy, trotskiste dans l’âme, reprenant les combats de son père, a passé sa vie à combattre un pays qu’il déteste, et à l’affaiblir. En toute logique, il est aujourd’hui, de toutes ses forces, du côté des islamistes, contre la France laïque, féministe et républicaine, tout simplement parce qu’il espère que les barbus vont nous détruire, et remplacer des Français qu’il n’aime pas par des musulmans qu’il vénère. C’est l’oeuvre de la vie de cet idéologue, déguisé en journaliste, comme le confirme ce débat entre le fondateur de Médiapart et Alain Finkielkraut.

Pareil pour Askolovitch, qui pleurniche après l’éviction de la malheureuse Mennel, et crache sa haine contre Eric Zemmour, dont il réclame l’éviction des plateaux télé, rien de moins !

http://www.slate.fr/story/157513/zemmour-mennel-the-voice-anti-france

Même haine de la France, mais pour des raisons différentes. Dans son livre, écrit en 1999, « Voyage au bout de la France, le Front national tel qu’il est« , il n’a pas de mots assez durs contre les militants de Jean-Marie Le Pen, dont certains contestent la version officielle de l’Histoire de l’Holocauste. Indigné, le journaliste les accuse d’insulter la mémoire des membres de sa famille disparus dans les camps. La haine d’Askolovitch pour la France vient de là. Pour lui (comme pour Chirac, Hollande et Macron), notre pays est coupable du drame survenu aux juifs, et il doit expier.

Par haine revancharde contre la France de Vichy, il est prêt, lui l’askhenaze, à s’allier avec des musulmans qui, s’ils partagent la même aversion de notre pays et de son modèle, pour des raisons différentes, n’en haïssent pas moins encore davantage les juifs. !

Sur ce sujet, Eric Zemmour, objet d’une haine pathologique de la part d’Askolovitch et de Plenel avait, suite aux polémiques qui avaient suivi la sortie de son livre « Le suicide français« , accepté de défendre son point de vue, à la synagogue de la Victoire, et tenu, durant quinze minutes, des propos qui, sans défendre le régime de Vichy, expliquent d’une manière dépassionnée le contexte de l’époque. Durant un quart d’heure, le journaliste du Figaro se livre à un magistral cours d’histoire, rappelle certains contextes historiques oubliés, et réhabilité notre pays, que des Plenel, Askololovitch, Ramadan ou Mennel passent leur temps à salir.

Un discours bien sûr insupportable pour Plenel, insupportable pour Askolovitch, insupportable pour tous les francophobes ! Eux, l’image de la France qu’ils veulent, c’est celle qu’on accuse d’avoir été esclavagiste, coloniale et vichyste. Donc raciste, forcément ! Leur copine Caroline Fourest, dans un lapsus révélateur, accusera même, au terme d’une logorrhée incompréhensible, pour justifier les limites à la liberté d’expression, notre pays d’avoir exterminé 6 millions de juifs, rien de moins !

Ils n’aiment pas la France, et utilisent toute leur énergie à détruire notre pays, pour qu’il devienne musulman au plus vite.

Tariq Ramadan et Mennel Ibtissem sont les héritiers de 14 siècles de combat de l’islam, contre tout ce qui n’est pas musulman. Ils auraient été à Poitiers, en 732, à Lepante en 1571, à Vienne en 1683. Ils mènent le même combat sur notre sol, en 2018, en faisant la guerre d’une autre manière, c’est la seule différence. Ils nous envahissent et nous colonisent en douceur…

Plenel et Askolovitch ont choisi, comme des milliers de leurs complices collabos, de soutenir les colonisateurs, qui veulent remplacer notre civilisation par la leur, barbare et archaïque. Cela s’appelle une invasion. Ils agissent comme beaucoup d’autres hommes de gauche, dans les années 1940…

L’histoire est un éternel recommencement, dit-on. Mais si elle se renouvelle comme en 1945, cela va être dur pour eux, et pour beaucoup d’autres…




En Allemagne, de jeunes migrants fraudent pour 141 000 € de prestations familiales et on retrouve chez eux des drapeaux de l’État islamique…


A Hambourg, démantèlement d’un réseau de 43 familles qui ont détourné de l’argent des caisses familiales avec de fausses pièces administratives.

En prétendant à des prestations avec règlement rétroactif, c’est-à-dire en revenant 3 à 4 années en arrière sous prétexte qu’ils étaient en formation ou en recherche d’emploi durant ces périodes, les fraudeurs ont éveillé les soupçons de l’administration, notamment aussi en présentant des attestations falsifiées (fausses adresses, réponses négatives d’entreprises n’existant déjà plus depuis de nombreuses années…). Malgré cela, la caisse des allocations familiale a donné une suite favorable à 1/3 des dossiers et ainsi versé jusqu’à 141’000 €.

Les fraudeurs sont tous de jeunes migrants de moins de 25 ans. Les autorités ont découvert que des groupes WhatsApp et des bars à chicha servaient de cellules de recrutement pour élargir le réseau qui comptent 78 suspects et 2 auteurs principaux qui auraient à eux seuls encaissé la moitié des sommes ainsi détournées. Lors de perquisitions, en plus de documents falsifiés et de drogue, la police a trouvé des armes et des drapeaux du prétendu Etat islamique.

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Italie : Des bombes contre les migrants, nous risquons actuellement la guerre civile

De Turin à Tarante, en passant par les régions « rouges » (ndt les régions politiquement à gauche) et le Latium, de plus en plus de bombes explosent près des centres d’accueil et des hôtels qui logent les migrants
Par Francesco Curridori

Du nord au sud, en passant par les îles, la révolte contre le business de l’accueil des migrants envahit toute la botte. Les bombes ou les cocktails molotov, mais également des armes plus rudimentaires sont les moyens les plus utilisés par les citoyens pour stopper l’arrivée des migrants dans leurs villages.

La Sardaigne, l’île où la crise économique favorise la révolte
Le cas le plus récent et le plus marquant s’est passé jeudi de la semaine passée devant le centre de premier accueil de Dorgali, dans la province de Nuoro. Par chance les 64 occupants ne furent pas blessés même si l’explosion a fait un grand trou à l’extérieur du bâtiment. Ce n’est pas le premier cas en Sardaigne, en fait cette aversion envers les réfugiés a déjà connu deux précédents. Le 11 octobre passé, l’ex caserne de Monastir, dans la province de Cagliari, a subi un attentat incendiaire suite à la décision du préfet de mettre à disposition ce bâtiment pour en faire un centre d’accueil. La même chose s’est produite à Burcei, également dans la province de Cagliari, aux premiers jours de septembre, quand une maison privée qui devait accueillir 25 migrants a été dévastée. En novembre, à Buddusò, un village de 4.000 habitants, un complexe de tourisme rural qui devait héberger des réfugiés, a été pris pour cible et dévasté par une bombe artisanale.

Les Sardes ont dépassé le seuil de tolérance. Ils considèrent cet afflux de migrants comme une invasion en bonne et due forme, et ceci dans une région qui a un des plus haut taux de chômage d’Italie. Le seuil de tolérance est dépassé et a eu une répercussion telle sur le Partito Democratico (ndt, le PD est le parti gouvernemental), autant au niveau national que régional, que le 4 décembre dernier, la Sardaigne a enregistré le taux le plus élevé de Non au référendum constitutionel.

La majorité du président PD Francesco Pigliaru, toujours plus fragile s’est effondrée le 26 juillet à l’occasion d’un vote sur le tourisme, grâce à un amendement qui avait été proposé par Forza Italia. Cet amendement refusait que des fonds régionaux aillent aux hôtels qui, plutôt que recevoir les touristes, accueillent des migrants.

Devant une telle règle de bon sens, et grâce au vote secret, même des conseillers de la majorité ont pu voter conformément à leur sentiment d’apartenance sarde. Mais cela n’a pas suffit à calmer les esprits.

Le 30 juillet, à Sassari, une villa, qui devait devenir un centre d’accueil pour migrants, a été attaquée par quelques individus qui ont mis le feu aux matelas qu’on avait amené quelques jours plus tôt.

La colère des citoyens du Latium et du Nord de l’Italie

Et pourtant, la Sardaigne n’est pas un cas isolé. Le 25 juillet, à Rocca di Papa, aux porte de Rome, une bombe a été lancée contre le mur d’enceinte d’une structure d’accueil destinée à héberger 500 Nord-Africains. En mai 2015, toujours dans la province de Rome, des habitants de Marino, avaient fait irruption dans un immeuble qui, sur décision de la préfecture, avait été choisi pour loger 78 réfugiés.

D’autres faits similaires se produisent aussi dans le Nord. En Vénétie, il y a environ une semaine, des jeunes gens ont lancé trois feux de bengale contre le centre d’accueil extraordinaire “La Verdiana di San Vito di Legnago” dans la province de Vérone. Le 17 février de cette année, à Aselogna di Cerea, toujours près de Vérone, une bombe a explosé contre le portail d’une structure qui abrite une vingtaine de requérants d’asile. A la fin octobre 2016, à Prada di San Zeno di Montagnaun, un ancien hôtel a été touché par deux bombes artisanales. En décembre de la même année, au Frioul, une lettre de menace a été envoyée au syndic de Turriaco et une bombe incendiaire a été retrouvée dans les jardins de la rue du 5 Juin, à côté de l’ancienne caserne des carabiniers où devaient être accueillis 12 migrants.

Et, beaucoup plus récemment, des actes similaires se sont produits en Lombardie. Une attaque à coup de cocktails Molotov contre l’hôtel Eureka à Vobarno, (province de Brescia). Ces évènements ont eu lieu début juillet et ont provoqué un incendie qui a détruit le rez-de-chaussée de cet hôtel qui devait recevoir des requérants d’asile. La même méthode a été utilisée fin mars pour endommager une petite villa à Cumignano sul Naviglio (province de Cremona).

Même au Piémont il y a eu des conflits entre Italiens et migrants. En novembre 2016 des Turinois, exaspérés par une situation qui se dégrade de plus en plus, on lancé deux engins explosifs contre les bâtiment ex Moi, occupé depuis des années par des centaines de nord-africains lesquels sont tout de suite descendus dans la rue où il y a eu de très violents affrontements. En septembre, une enveloppe contenant un engin explosif a été envoyé à l’agence de Voyage 747 qui s’occupe d’organiser le rapatriements de migrants.

Dans les régions gouvernées par la gauche, la colère contre les migrants monte au son d’engins explosifs

La “rouge Emilie” elle aussi a prouvé qu’elle n’en peut plus de cette arivée continue de migrants. Le 19 juillet, à Forli, deux bouteilles incendiaires ont été lancées sur le Cas (centre d’accueil extraordinaire), géré par la Croix Rouge qui hébergeait un seul migrant. En février, au centre d’accueil de Spadarolo, à Rimini, on a lancé des bouteilles : une vitre a été cassée et les ordures ont été éparpillées ce qui a sali les murs du bâtiment et le jardin. En mai 2016, à Parme, le siège d’un centre d’accueil pour réfugiés où vivaient une vingtaine de personnes, avait aussi été pris pour cible.

Dans les Marches, la plupart des agressions ont eu lieu en 2016, l’année où, à Fermo, Emmanuel Chidi a été tué suite à une dispute. Avant cet épisode, déjà une certaine intolérance montait face à l’arrivée continuelle de migrants. Cela s’est vérifié dans les premiers jours de mai avec un incendie volontaire contre l’hôtel Mark à Frontignano, qui était fermé depuis 10 ans et devait accueillir des réfugiés.

A Montottone, un petit village de la province de Fermo, une bombe a explosé devant l’église Santa Maria à l’endroit où sont accueilli les réfugiés. L’auteur de ce geste avait déjà sévi en avril à San Marco alle Paludi di Fermo.

Au Sud de l’Italie

Si on descend dans le sud de l’Italie, la situation n’est pas différente. En Calabre, à San Fernadino, un incendie probablement volontaire s’est déclaré début juillet dans un village de tentes. Toujours à San Fernandino, entre le 10 décembre et le 3 janvier 2016, 6 nord africains ont été agressés aux alentours de la date anniversaire de la révolte de Rosarno.

Dans les Pouilles, le dernier épisode de violence a eu lieu début juin quand une bombe a explosé près d’un centre d’accueil extraordinaire à Ginosa (province de Tarente).

Source : ilgiornale.it
Traduction D. Borer pour les observateurs.ch




Askolovitch en larmes : Mennel Ibtissem, l’islamiste voilée de TF1, quitte The Voice !


Pour TF1, c’est la catastrophe ! Ils étaient convaincus d’avoir réussi le coup du siècle. Promouvoir une gentille chanteuse voilée, Mennel Ibtissem, qui allait nous faire du Léonard Cohen (Hallelujah) et émouvoir la France entière, avec son beau sourire, ses yeux bleus, sa voix pas trop moche et surtout son voile. Quel plus message pour la RATP (Religion d’Amour, de Tolérance et de Paix), et quel plus beau camouflet pour les islamophobes… sans oublier les parts de marché qu’une nouvelle population pouvait amener.

http://resistancerepublicaine.eu/2018/02/07/the-voice-felicitez-donc-baptiste-jung-pour-sa-recrue-islamiste-voilee-mennel-ibtissem/

Et puis tout s’est effondré. Pourtant, personne n’avait remarqué qu’elle avait transformé les paroles de Léonard Cohen en hymne à la religion musulmane. Mais cette jeune imbécile avait oublié d’effacer ses tweets, où, en bonne musulmane, elle contestait la réalité de l’attentat islamique de Nice. Et puis elle avait dit que les terroristes ne pouvaient pas être musulmans, mais que c’était le gouvernement français. Bref, elle avait tombé le masque, et avait montré, outre ses relations avec les sulfureux de Baraka City (ceux qui refusent de saluer les femmes sur les plateaux de télévision) et Tariq Ramadan, ce qu’elle était vraiment : un agent de l’islam, une militante musulmane, une vraie. Et d’un seul coup, dès que les tweets sont apparus (grâce à la réinfosphère), toute la belle histoire s’est effondrée !

Et elle vient de jeter l’éponge, annonçant, dans un message digne de cul-cul La Praline, niais au possible, avec un numéro de takkya qui ne trompera pas grand monde, que, pour l’unité d’un pays qu’elle aime, elle se retire de l’émission, et que bien sûr, elle aime tout le monde et qu’elle déteste les terroristes ! Ben voyons !

Il faut dire que son maintien devenait problématique. C’était la guerre partout ! Chez Hanouna, on était prêt à en venir aux mains, rien de moins, sur le plateau. Benjamin Castaldi paraissait déchaîné !

http://www.fdesouche.com/951815-benjamin-castaldi-menace-de-quitter-le-plateau-de-tpmp-apres-avoir-ete-accuse-par-agathe-auproux-de-relayer-la-fachosphere-video

La petite Agathe Auproux, qui avait accusé son confrère de relayer des fake news de la fachosphère (quelle horreur !), était sortie laminée des échanges, et avait quitté le plateau en larmes. Ah ! la petite Agathe !

http://www.fdesouche.com/951815-benjamin-castaldi-menace-de-quitter-le-plateau-de-tpmp-apres-avoir-ete-accuse-par-agathe-auproux-de-relayer-la-fachosphere-video

Cette jeune bourgeoise de province qui s’est encanaillée en pigeant chez les Inrokuptibles, avant de faire une école de journalisme, et de bosser pour Canal Plus, était pourtant en mission. Elle se devait de défendre la victime du racisme, Mennel, contre les méchants islamophobes qui lui reprochent juste de nier les réalité d’un attentat islamique à Nice ! Caricature de la petite bobo pas finie, pleurnicheuse et compassionnelle. Une vraie tête à claques qui fait profiter la France entière de ses histoires d’amour dont tout le monde se fout !

Il n’empêche que dans cette situation, les soutiens de la malheureuse Mennel se sont fait bien rares, mis à part la vaillante Agathe. Frère Tariq au gnouf, Edwy Plenel ne s’est toujours pas remis des infidélités de son complice. Les associations muzz sont aux abonnés absents, les associations dites antiracistes ont bien trop à faire avec la réinfosphère pour soutenir la bâchée de TF1 et poursuivre pour incitation à la haine ceux qui la critiquent, bref, la malheureuse, au coeur de la tempête, s’est retrouvée bien seule.

Ah ! Pardon, j’ai failli oublier : il en est resté un, un vrai fidèle à la cause, le dernier : Claude Askolovitch en personne. Lui, il n’a pas failli ! S’il ne reste qu’un seul islamo-collabo, il sera celui-là !




Si la bulle financière crève, c’est votre épargne qui va trinquer !


Vous en avez sans doute entendu parler, les places financières mondiales dérapent. C’est pas la faute à la neige, mais ça commence à glisser gravement !

Mais c’est la faute aux taux d’intérêt qui grimpent.
C’est la très grande faute aux arbres qui ne montent pas jusqu’au ciel.
C’est aussi la faute aux parités monétaires qui se contorsionnent.
Et c’est sans doute la faute à Nabilla qui a mis le bitcoin à plat.

https://ripostelaique.com/depuis-que-nabilla-a-pris-a-pleines-mains-bitcoin-cest-la-debandade.html

Bref, et sans rentrer dans les causes techniques de la crise qui se profile, on évoquera quand même ses propagateurs, les grands argentiers mondiaux qui n’ont cessé de faire tourner les planches à billets, le « quantitative easing » comme ils disent, à taux zéro ou négatifs, pour relancer officiellement les économies mondiales.

Mais la finance internationale a orienté comme d’habitude à son profit ces liquidités surabondantes spécialement vers les produits spéculatifs et dérivés toxiques plutôt que vers l’économie réelle. Qui ne rapporte pas de quoi satisfaire les aigrefins de la finance internationale.

Alimentant ainsi des bulles plus inquiétantes aujourd’hui que celles des subprimes dont l’éclatement avait entrainé le krach du système financier en 2008. Et son coût exorbitant pour nos finances publiques avec plus de 400 milliards d’endettement supplémentaire.

Et souvenez-vous de l’imposture de la déclaration du candidat Hollande au Bourget en janvier 2012 : « mon véritable adversaire, c’est le monde de la finance ». Qui, pour rassurer la City londonienne avait dans le même temps envoyé Macron, son futur directeur de cabinet présidentiel, tenir le discours inverse.

Pour Macron, un ex-banquier bercé par la puissante banque Rothschild, rien de plus normal que de prêter main forte à son mentor Hollande qui n’avait pas imaginé que la trahison de son obligé, pur produit de la finance mondialisée, lui coûteraient son renoncement à la présidentielle de 2017.

Ce qui explique que malgré la crise financière de 2008, aucune leçon n’a été tirée par les politiques contre la caste de la finance internationale. Sauf qu’en prévision de la prochaine crise, qui pourrait bien être imminente, cette oligarchie s’est organisée pour mettre directement sur le dos des épargnants le fardeau de ses dévoiements spéculatifs qui menacent ruine.

La caste financière s’est donc préparée à vous faire les poches, et envisage de faire main basse sur votre épargne par diverses mesures avec la complicité de ceux qui vous gouvernent.

La première mesure de spoliation est opérationnelle depuis le 1er janvier 2016 sous l’égide de cette funeste Union Européenne qui se fout des peuples tant elle est soumise aux lobbies de cette caste. Les banques sont donc autorisées en cas de problème grave à ponctionner les comptes de leurs clients dont les dépôts sont supérieurs à 100 000 euros, voire en dessous de ce seuil si les circonstances l’exigent, comme je l’avais expliqué dans cette chronique :
https://ripostelaique.com/2016-main-basse-sur-vos-depots-bancaires-merci-hollande.html

Ensuite et depuis le 9 décembre 2016, en cas de menace grave sur le système financier, la loi « Sapin 2 » prévoit que le haut conseil de stabilité financière peut suspendre au maximum pour une durée de six mois les retraits des contrats d’assurance-vie. On imagine assez bien que sous le pression des événements et des mêmes lobbies ces délais de suspension pourraient être prorogés sine die.

Enfin toujours en cas de crise financière la BCE, Banque centrale européenne, pourrait accorder aux banques le pouvoir de bloquer les comptes, de geler les dépôts, en n’autorisant que les dépenses minimales nécessaires à la vie courante.

En limitant par exemple les retraits aux distributeurs automatiques de billets à quelques dizaines d’euros par semaine. Ou comment se faire enfumer comme chez les Grecs qui connurent cette drastique contrainte à l’été 2015.

Ce projet figure dans un récent rapport officiel du président de la BCE, Mario Draghi, dont on se souvient qu’il avait été l’un des principaux dirigeants de la banque Goldman Sachs, de sinistre mémoire lors de la crise financière de 2008 à cause de ses produits dérivés toxiques qui ont lessivé des millions d’épargnants.

Car cette caste oligarchique qui joue au casino de la spéculation et se planque dans les paradis fiscaux, se prépare à faire main basse sur votre épargne pour se refaire de la crise financière qu’elle aura fabriquée.

La spoliation de votre épargne est plus que jamais en marche car Macron, le pion de la finance mondialisée, a déjà dit et démontré qu’il n’aime pas les épargnants.

Alors avant d’être complètement plumé, pensez à installer un poulailler sur votre balcon ou dans votre jardin.
Il ne vous restera plus qu’à vous défendre contre les voleurs ou les égorgeurs de poules qui courent les rues en toute impunité.

Alain Lussay




Suède : « Il est difficile pour les autorités d’être honnêtes. La violence endémique est un rappel constant de l’échec de leur politique d’immigration »

Les fusillades, les attaques à la grenade et la guerre des gangs ont fait de grandes zones urbaines des zones interdites, des « no-go zones ».

La violence armée est à la hausse, avec des fusillades quotidiennes et sans égard pour les habitants. Au cours des neuf dernières années, les meurtres impliquant des armes à feu ont presque doublé. Selon la police suédoise, les attaques à la grenade (qui étaient pratiquement inconnues jusqu’à il y a quelques années) sont sans équivalent dans les pays qui ne sont pas en guerre.

Pourtant, il est toujours difficile pour les autorités suédoises d’être honnêtes sur ce qui se passe. Il est de notoriété publique que les membres de gangs sont principalement des immigrés de première et deuxième génération, et les problèmes sont endémiques dans ce que la police appelle des «zones vulnérables». Ainsi, les guerres de gangs sont un rappel constant des politiques migratoires et d’intégration ratées de la Suède. C’est un problème pour le gouvernement (et même l’opposition) dans un pays qui se targue d’être une «superpuissance humanitaire». Et pourtant, les politiciens, au sein du gouvernement et de l’opposition, semblent particulièrement préoccupés par le fait que la violence dans les banlieues immigrées constitue une menace pour l’image de la Suède.

Les ambulanciers et les pompiers ne sont pas les seuls à devoir prendre des précautions avant d’entrer dans des «zones vulnérables». La banlieue de Tensta, à Stockholm, disposait d’un parking gratuit pendant des mois, après que la zone ait été jugée trop dangereuse pour les gardiens de parkin. Le service postal suédois n’a pas livré de colis depuis un certain temps dans un quartier du centre de Malmö où sévit le crime. Un certain nombre de bibliothèques publiques ont dû réduire leurs heures d’ouverture ou même fermer temporairement en réponse du harcèlement de bandes de jeunes.

Les hésitations du Premier ministre suédois montrent ce qui se passe lorsque vous n’arrivez pas à intégrer les immigrés et que vous tolérez la création d’une société distincte au sein d’une société : la police est incapable de protéger ou de rassembler ces nouvelles communautés pleines de gens qui ne parlent pas la même langue . Les représentants de l’Etat suédois – paramédicaux, travailleurs sociaux et même bibliothécaires – sont confrontés à des agressions constantes.

Cela a conduit la police suédoise à une crise d’identité. Ses officiers ont été la cible d’un certain nombre d’attaques, dont les dernières ont été perpétrées contre la police dans le sud de la Suède. Dan Eliasson, chef sortant de la police nationale, se plaint que les enquêtes sont difficiles parce que personne ne parle à la police. Le type de contrat social entre l’Etat et la société qui conduit les citoyens à aider les autorités ne fonctionne pas dans les parties de la Suède où la police est considérée comme l’ennemi.

The Spectator



Saint-Denis (93) : une cinquantaine de migrants occupe depuis six jours un bâtiment de l’université Paris VIII


Originaires d’Afrique, ils demandent des papiers et un logement. La présidence de l’université de Saint-Denis leur a proposé sans succès de changer de bâtiment.

Ils sont une cinquantaine de Soudanais, Erythréens, Ethiopiens et Guinéens à occuper depuis le 30 janvier un bâtiment de l’université Paris-VIII, à Saint-Denis. Installés jusque-là porte de la Chapelle, « des militants les ont orientés vers notre établissement», dit un communiqué de la présidence de l’université. « Paris-VIII, justement nommée “université-monde”, a depuis sa fondation une tradition d’hospitalité et de solidarité. Nous avons toujours accueilli des étudiant•e•s du monde entier quelle que soit leur situation administrative», souligne le texte. Lequel cite, à titre d’exemple, la création d’un diplôme destiné aux réfugié•e•s ou encore son programme « Pause » d’accueil de scientifiques persécuté•e•s dans leur pays.

Mais l’université déplore un manque d’avancée dans « les négociations » avec les migrants pour qu’ils s’installent dans « un lieu plus approprié, plus grand et sécurisé» que le bâtiment A, actuellement occupé, où se déroulent de nombreux cours. […]

« Ce que nous voulons, c’est une réponse à nos revendications (papiers, logement) et non un déplacement dans un autre bâtiment », explique ce texte, qui appelle aussi à mettre fin à la distinction entre migrants économiques et réfugiés politiques, et au règlement de Dublin, qui prévoit le renvoi des migrants vers le pays dans lequel ils se sont enregistrés à leur entrée dans l’Union européenne.

Le Monde