Blog

Lettre à un ami qui, au nom de la liberté, ne veut pas interdire Médine au Bataclan

Au cours du week-end dernier, nous avons sollicité un certain nombre de personnalités afin qu’elles signent notre appel « Pas de Médine au Bataclan ».

Nous avons reçu essentiellement des réponses enthousiastes – ou des non-réponses matérialisées par le silence… peu courageux – et une explication, détaillée par son auteur qui, bien que scandalisé par la présence de Médine au Bataclan, ne voulait pas signer l’appel au nom de son attachement farouche à la liberté d’expression.

Cela l’honore. Chacun a en tête la phrase célèbre attribuée à Voltaire : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »

On ne va pas refaire ici les débats qui ont eu lieu lors de l’interdiction de Dieudonné. Je voudrais juste donner ici mon point de vue, qui est valable hic et nunc. Ici et maintenant. J’insiste sur ce point. Il y a l’éthique, la morale, la philosophie, les engagements politiques… qui font un être humain avec son caractère, un être dont on peut presque savoir à l’avance, justement, ce qu’il pensera de telle ou telle situation.
Mais il y a aussi, face aux principes, la réalité et l’adaptation à celle-ci.

Voici donc ce que je répondrai à tout ami qui refuserait de demander l’interdiction de Médine :

Je ne peux te comprendre, et encore moins partager ton point de vue, pour trois raisons fort simples :

1 – On n’est pas des gauchistes, on ne va pas reprendre et appliquer leur slogan « il est interdit d’interdire » !!! Un peu d’ordre dans ce pays, bordel ! Et pas d’ordre sans interdits.

2 – On est en guerre. Ce n’est pas le moment d’avoir des scrupules et des états d’âme. En face, tous les coups sont permis, il s’agit de vie et de mort, et nous on jouerait à la pucelle effarouchée ?

3 – En s’interdisant d’interdire les choses qui bafouent délibérément nos valeurs, notre Histoire, notre pays, on les abandonne, on les trahit. On laisse les autres les piétiner et on est des lâches de ne pas veiller à la mémoire des nôtres. Or qui, si ce n’est nous, sera gardien de la mémoire, du respect dû à nos morts ? Qui, si ce n’est nous, peut réagir et demander que l’inacceptable soit interdit ?

Un concert nazi à Oradour, il faudrait vraiment ne pas l’interdire ? Au nom de l’attachement à la liberté d’expression ?

Des centaines de djeunes piétinant les tombes des poilus à Verdun, il n’aurait pas fallu l’interdire ? Il ne fallait pas traîner dans la boue Hollande, qui a permis et voulu ce crime ?

Nous n’avons pas les moyens de détourner la tête au nom de nos principes. On a les deux pieds dans la boue et il faut avancer, prendre des décisions.

Les Résistants, entre 40 et 44, ont dû bien souvent oublier leurs principes, tuer bien qu’hostiles à la peine de mort, désobéir aux ordres du pouvoir en place, malgré leur attachement à la légalité…

Nous, patriotes, avons un devoir clair, nous mobiliser pour que n’ait pas lieu un concert monstrueux qui insulte nos morts. Et peu importe le moyen utilisé. Soit parce que Médine, devant la mobilisation, décide d’arrêter. Soit parce que le ministre de l’Intérieur, de crainte de trouble à l’ordre public, l’interdit. Soit parce que le ministre l’interdit parce qu’illégal, dangereux… comme ce fut le cas pour Dieudonné. Soit parce que la mobilisation est telle, le 19 octobre, que, malgré les forces de l’ordre, l’accès au Bataclan est impossible.

Si nous nous interdisons de rendre coup pour coup, nous sommes morts. Les autres, en face, ont tous les droits, se les donnent, interdisent par la violence, par les intimidations, par la justice tout ce qui défend notre identité, et nous on devrait « ne pas imiter nos ennemis » ?

La pseudo-tolérance que d’aucuns défendent s’appelle la dhimmitude et nous conduit tout droit à l’horreur, au renoncement, à la claque permanente, à notre disparition et, avec elle, à la disparition, justement, de toute liberté d’expression.

Christine Tasin (dans Riposte Laïque)




Ce ne sera pas un krach, mais un tsunami financier mondial

« Nous allons vivre une autre crise financière ; tous les gens intelligents la voient arriver », a pu déclarer Steve Bannon, l’ancien conseiller de Trump qui lui doit sa victoire. Depuis la chute de Lehman Brothers et le cataclysme de 2008, nous avons assisté à une mutation complète et ahurissante des banques centrales. L’initiateur, le pionnier de la folle politique monétaire d’assouplissement quantitatif a été la Banque du Japon, suivie par la Fed et ensuite la BCE.

Suite aux risques de défaut immédiat des États, de krach obligataire et boursier, les banques centrales se sont transformées en pompiers tout-terrain pour éteindre les multiples incendies avec des moyens inédits « non conventionnels ». Une véritable fuite en avant en pratiquant la politique des taux zéro, de l’endettement supplémentaire pour régler le problème du surendettement, de la création monétaire laxiste pour procurer des liquidités aux banques et faire baisser les taux d’intérêt du marché obligataire. La Banque de France détient, aujourd’hui, 20 % de la dette publique française tandis que la Banque du Japon détient 41 % de la dette publique japonaise (250 % du PIB).

Les banques centrales sont, aujourd’hui, coincées d’une façon irréversible et ne peuvent plus revenir en arrière en diminuant la masse monétaire et en augmentant ou en laissant monter les taux d’intérêt, sous peine de faillite des États, des entreprises zombies et d’écroulement des marchés obligataires et boursiers.

En fait, tout se passe comme si la Banque du Japon, la Fed et la BCE avaient décidé d’édifier ensemble une « Digue de Babel ». La réussite est, en apparence, totale puisque la digue tient et que les marchés sont au plus haut. En réalité, une masse d’eau énorme de dimension océanique continue inexorablement à s’accumuler et à monter de l’autre côté de la digue, tandis que les inconscients au sec continuent à spéculer, à faire grève, à se vautrer dans l’hédonisme individualiste matérialiste et à se moquer même des Cassandre réalistes. Mais, un jour, suite à la pression trop forte de l’eau, c’est-à-dire la perte subite de confiance, la « Digue de Babel » cédera et ce ne sera pas alors un vulgaire petit barrage de Malpasset, mais un tsunami océanique de dimension planétaire qui balaiera tout sur son passage et aura, pour conséquence, l’effondrement total du Système.

Les banques espagnoles sont un excellent exemple de la dangereuse interconnexion mondialiste des problèmes. Elles ont été sauvées, jusqu’à ce jour, en fusionnant, avec une aide d’urgence de 100 milliards d’euros, sans avoir encore rien remboursé. Mais les banques espagnoles sont exposées à hauteur de 83,2 milliards d’euros en Turquie, soit davantage que les 75 milliards réunis de la France, des États-Unis et du Royaume-Uni. Les crédits en devises étrangères, face à la baisse de la livre turque et à l’augmentation des taux d’intérêt, représentent 40 % de la dette de la Turquie.

En Argentine, les investissements espagnols s’élèvent à 28 milliards de dollars, soit un quart de l’investissement total étranger (les États-Unis, seulement 10 milliards). L’Espagne, à elle seule, représente plus de 40 % du risque des dettes de l’Amérique latine (Argentine, Mexique, Brésil). Pour se sauver de leurs risques européens, les banques espagnoles ont misé gros sur les pays émergents, cherchant à diversifier leurs risques avec des perspectives de rentabilité plus élevées. Mais gare en cas de retournement de situation.

Pour la première fois, depuis dix ans, la Banque centrale indienne a acheté de l’or. « Encore un petit moment, Monsieur le Bourreau ! » Il suffit de la perte subite de confiance d’un agent économique – ce qui fut le cas de la BNP, en 2008 -, d’un krach dans un seul pays tel que l’Espagne, la Grèce ou l’Italie pour que la réaction en chaîne se développe dans le monde et que tout explose. La « Digue de Babel » des banques centrales cédera aussi à son tour car l’arme atomique de l’assouplissement quantitatif, pratiqué alors sans limite et d’une façon exponentielle, nous conduira à l’hyperinflation du Venezuela ou de l’Allemagne en 1923. La crise de 1929 nous paraîtra, alors, comme un épiphénomène par rapport à ce qui nous attend !

« Quelle époque terrible que celle où des idiots dirigent des aveugles », selon William Shakespeare.




Entre abstention et vote contre, les LR lâchent Orbán : Emmanuel Macron peut être content !

En deux jours, les contradictions profondes qui minent le parti de Laurent Wauquiez ont refait surface.

D’abord, il y a la campagne d’Erik Tegnér pour la présidence des Jeunes Républicains sur le thème de l’union des droites jusqu’au Rassemblement national. Une campagne qui a le don d’affoler tous les tenants de la « ligne rouge », notamment les juppéo-centristes qui se réunissaient, dimanche, à Bordeaux, autour de leur chef, sans parler de Xavier Bertrand, qui a quitté les LR.

On saura, la semaine prochaine, si la candidature de Tegnér sera validée par les instances dirigeantes du parti. Un test sur la volonté de Laurent Wauquiez d’assumer vraiment une ligne de droite…

Mais, dès ce mercredi 12 septembre, à Strasbourg, a eu lieu un test, peut-être plus important, pour la crédibilité de Laurent Wauquiez : les députés européens, et donc ceux du PPE – groupe auquel appartiennent les élus LR -, ont voté pour l’activation de l’article 7 contre la Hongrie. Viktor Orbán, venu défendre la position de son pays, notamment sur son refus de l’immigration, appartient lui aussi au PPE. Jean Leonetti, porte-parole LR, a maladroitement justifié, dans L’Opinion, ce vote contre Orbán qui, selon lui, « s’est malheureusement détaché des règles européennes et du PPE ».

Donc, lâchage du PPE et de la droite LR. En effet, seuls trois des seize députés LR (dont Nadine Morano) ont voté contre l’ostracisme qui pourrait être infligé à la Hongrie, si la procédure allait jusqu’au bout. Rachida Dati, Brice Hortefeux, Michèle Alliot-Marie et Geoffroy Didier, qui viennent régulièrement tenter de nous séduire avec leurs airs martiaux, se sont abstenus. Quant à Renaud Muselier, il n’a même pas pris part au vote.

Or, ce matin même, le même Renaud Muselier déclarait à Var-matin :

« Je pèserai dans ma famille politique et je défendrai le PPE (Parti populaire européen), c’est-à-dire la droite française au niveau européen. La ligne va de Orbán à Lamassoure, et c’est pareil pour les LR. Je souhaiterais que ce soit monsieur Leonetti qui pilote notre liste pour les élections. »

Le 12 septembre 2018 est donc une nouvelle journée des dupes LR (des dupes ? Des hypocrites ? Des traîtres ? On ne sait plus) : le matin, « la ligne va de Orbán à Lamassoure », l’après-midi, elle va de Lamassoure à Lamassoure, et Orbán est lamentablement lâché par des députés LR en fin de mandat. Ils ont choisi Macron contre Orbán et ils ont eu tort. Cela ne sera pas sans conséquence, notamment pour les élections européennes de mai prochain. Dans un tweet, Erik Tegnér demandait à Laurent Wauquiez de ne pas reconduire les députés français qui ont trahi leur allié du PPE et un pays ami. Mais le mal est fait. Et cela ne suffira pas.

Laurent Wauqiuez et la droite LR ne pourront pas nous convaincre de leur sincérité sur les questions d’identité et d’immigration s’ils ne sont pas capables, quand il le faut, de s’engager clairement et de s’opposer à ces diabolisations. C’est une question de démocratie élémentaire et de respect des valeurs de leurs électeurs.

Il est, d’ailleurs, révélateur que la fracture au sein de LR, qui s’agrandit un peu plus aujourd’hui, se fasse au niveau de la jeunesse, de l’Europe et de l’immigration : en s’obstinant dans un conformisme centriste, les chefs LR condamnent leur parti à un dépérissement sociologique. En rejetant Tegnér comme Orbán, toutes choses égales par ailleurs, LR deviendra un parti de retraités qui ne pèsera plus que 10-15 %.

Depuis des années, la liste des occasions manquées par la droite LR pour se ressaisir est immense. Ce mercredi 12 septembre 2018, Laurent Wauquiez en a ajouté une nouvelle. Mais c’est aussi une occasion de clarification qui ouvre un espace considérable à droite pour constituer une liste anti-Macron (qui s’est, d’ailleurs, empressé d’applaudir au vote du Parlement européen). Une liste « pro-Orbán » ? Plus, mieux que cela : une liste qui défende, non pas les « valeurs de l’Union européenne », que les Juncker and Co. ont, du reste, bien du mal à définir, mais notre civilisation européenne.




Élections suédoises : France 2, championne de la non-information !

Aujourd’hui, dimanche 9 septembre, les Suédois sont aux urnes et les grands médias aux abois : la Suède, pays de l’exemplarité sociale, est au bord du gouffre. Tentée de basculer du côté obscur de la force. Selon le dernier sondage, le parti des Démocrates de Suède, qualifié d’extrême droite, est crédité d’une première place aux législatives avec 24,8 % des voix.

L’horreur, donc, et l’incompréhension totale. Comment, ce pays où le merveilleux surgit à chaque coin de rue, où l’on ouvre les bras à l’Autre pour déverser la manne dans sa bouche affamée, ce pays-là serait tenté par la peste brune ? Pourquoi ce peuple d’agneaux est-il prêt à se jeter dans la gueule de la bête immonde ?

Et donc, pour en savoir plus, France 2 propose, samedi, au JT de 20 heures, un reportage censé nous « expliquer cette poussée extrémiste ».

Interrogé par Delahousse, c’est Laurent Desbonnets qui commente le « paradoxe de ce pays » qui bénéficie « d’une croissance solide et d’un chômage quasi inexistant ». Mais la Suède est aussi « le pays qui a accueilli le plus de migrants proportionnellement à sa population ».

« Nous avons pu suivre de l’intérieur tout ce processus d’intégration suédoise, souvent cité en modèle, d’une générosité inédite mais aujourd’hui remise en cause »,

dit le journaliste qui nous emmène alors au cœur de Stockholm, au festival Musique et food trucks, « un modèle de diversité ».

Dans le public et les cuisines, « quelques-uns des 440.000 migrants arrivés ici depuis 2015 » (dont 160.000 pour cette seule année-là) et « pour beaucoup de Suédois, c’est une chance ». De grands blonds aux belles dents bien rangées font ainsi part de leur joie de vivre dans ce pays où, « aujourd’hui, 19 % des habitants sont nés à l’étranger ».

Comment le pays fait-il pour intégrer tout ce monde ? À merveille, bien sûr. D’abord, à l’agence pour l’emploi, tout est traduit en six langues, et puis chaque arrivant reçoit les services d’un interprète. « Les Suédois sont très bien organisés, c’est le luxe, ici », dit un Syrien fraîchement débarqué. L’économie suédoise manque de main-d’œuvre et, « pour aider les nouveaux arrivants, l’État prend en charge jusqu’à 78 % de leur salaire ». Ainsi, 46 % des immigrés trouvent un emploi en moins de trois mois. Et pour ceux qui ne travaillent pas tout de suite ou qui sont trop jeunes, l’État propose « une formation gratuite pour apprendre le suédois, jusqu’à deux ans de cours intensifs ». Cela leur ouvre toute une série d’aides publiques : soins médicaux gratuits, école gratuite, logement, etc

Au total, nous dit-on, la Suède dépense chaque année près de quatre milliards d’euros pour aider et intégrer les migrants, « une générosité aujourd’hui remise en cause par beaucoup de Suédois », et « des critiques relayées par des partis d’extrême droite qui ont réussi à placer l’immigration au cœur de la campagne électorale ».

Et ? Et rien de plus. Pour quelles raisons, ce revirement ? On ne sait pas, car Delahousse enchaîne sur une info capitale : la rencontre Macron-Mélenchon. Parce que ça, c’est de l’info, coco !

Ce reportage est la parfaite illustration du vide de France 2. Totalement orienté, il n’apporte aucune des réponses ni même de simples informations qu’il prétend offrir au téléspectateur. Pas un mot sur le pourquoi du vote « extrême » et la montée des partis qualifiés, avec mépris, de populistes. Point pourtant essentiel à l’affaire, on ne donne même pas le chiffre de la population suédoise ! Elle est de moins de 10 millions d’habitants.

Les Suédois en ont-ils marre de financer l’État-providence ? Se sentent-ils dépossédés de leur histoire, de leur culture ? Y a-t-il des problèmes d’insécurité liés à l’immigration ? On ne sait pas. La réponse n’intéresse pas France 2, qui ne sort pas de son manichéisme à front de bœuf.

Notre télévision d’État préfère voir des nazis partout, c’est plus simple.




Essen (All.) : une policière grièvement blessée après avoir été lynchée par des jeunes devant un bar à chicha

Essen – Déchaînement de violence contre la police devant un bar à chicha, suite à un contrôle de routine.

Des captures d’écran d’une vidéo montrent comment un agresseur a attaqué une jeune policière (26 ans) en la faisant tomber et lui tirant les jambes. Elle tente de se relever mais un autre homme lui donne un coup de pied dans l’abdomen.

Enfin, un collègue intervient pour la protéger de nouveaux coups de pied et de poing.

L’agresseur arrêté est âgé de 17 ans. Il est d’origine libanaise.

La policière est à l’hôpital. Elle est grièvement blessée.

Bild




Djihad sur l’aéroport de Lyon : inquiétantes lacunes policières…

France – Lyon (69) – Il s’agit bien d’un acte terroriste qui, fort heureusement, a échoué.

L’individu qui a pénétré sur le tarmac de l’aéroport Lyon-Saint-Exupéry et qui a été finalement appréhendé criait bien « Allahu akbar », selon les policiers qui l’entouraient, et il a annoncé qu’il était « un envoyé de Dieu ».

Les questions qui se posent sont : comment cet individu, âgé de 31 ans, a-t-il pu, à bord d’une voiture volée, une Mercedes immatriculée au Luxembourg, circuler durant des heures dans la région lyonnaise sans être intercepté par les forces de l’ordre ?

Il a parcouru à contresens, sur plusieurs dizaines de kilomètres, depuis le département de l’Ain, les autoroutes A46 puis A42.

Repéré par les CRS, il a foncé tout d’abord vers l’aéroport d’affaires de Bron, tentant au passage d’écraser des passants, puis il s’est dirigé vers le quartier central et populaire de la Part-Dieu, enfin, il a repris sa folle équipée vers l’aéroport de Lyon-Saint-Ex, brisant deux portes vitrées situées à l’entrée principale du Terminal 1, blessant au passage, sans doute involontairement, un ouvrier qui travaillait, puis a foncé à tombeau ouvert vers la piste.

Ce « déséquilibré », bien entendu, aurait pu massacrer des dizaines de personnes sur son très long parcours.

Cela aurait pu devenir l’une des actions terroristes les plus graves de 2018.

On lui a tiré dessus à plusieurs reprises, sans l’atteindre, vraiment désolant (dans ce cas il est nécessaire de revoir totalement l’entraînement au tir de toutes nos forces de l’ordre !) ou alors volontairement et, finalement, c’est un agent de sécurité de l’aéroport qui a réussi à le « plaquer » au sol, devant des dizaines de véhicules de police et de gendarmerie totalement impuissants.

Sommes-nous vraiment en guerre ?

Je suis désolé, moi qui défends souvent les forces de l’ordre, d’affirmer qu’elles ont été totalement défaillantes et que par leur incapacité à interpeller ce « terroriste », elles auraient pu être responsables d’une véritable tuerie !

Nous attendons, non pas les félicitations désormais habituelles du ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, mais une enquête pour déterminer les responsabilités dans ces graves défaillances car, si l’auteur de cette action terroriste avait été un peu moins « déséquilibré » et un peu plus déterminé, les morts se seraient comptés par dizaines.




En moins de 15 ans, le nombre de salafistes a progressé de 900 % en France

Combien d’années encore faudra t-il supporter ces politiciens minables, ce ramassis d’incapables qui se prélassent dans les palais de la République aux frais du contribuable, qui ne pensent qu’à leur carrière, avec le Sénat en ligne de mire, ce cimetière des éléphants de la politique, pour y finir à 90 ans, après s’être copieusement servis pendant des décennies, sans jamais avoir servi le pays ?

Ce sont des prédateurs et des fossoyeurs de la nation. Depuis la fin des Trente Glorieuses, ils ont tout détruit et ont ruiné le pays pour plusieurs générations.

Industrie, agriculture, système de santé, école, services publics, police et armée, tout a été saccagé par l’immigration de masse et par les délires mondialistes de l’UE.

La France de 1975 était une nation riche, avec une économie moderne et performante. Aujourd’hui, elle périclite sur les ruines de l’intégration et dans l’illusion mortelle d’une société multiculturelle paradisiaque.

Nos dirigeants, de gauche comme de droite, sont incapables de résorber le chômage, de restaurer l’ordre républicain dans les cités, d’assurer la sécurité élémentaire à laquelle tout citoyen a droit, de rétablir les finances du pays et de combattre l’islamisme qui ravage les banlieues.

Ils ne savent que capituler et se résigner. Ils ne savent que subir.

La France est devenue l’hôpital du tiers-monde alors que 30 % des Français diffèrent leurs soins faute de moyens. Nos retraités sont saignés au prétexte qu’ils sont des nantis, alors qu’ils n’ont jamais connu la semaine de 35 heures ou les 5 semaines de congés payés, certains ayant même travaillé dès l’âge de 14 ans.

Nos politiques ne savent que parader, faire des promesses sans lendemain. Ils ne savent que mentir et tromper les citoyens. Leur bilan n’est qu’un chapelet d’échecs, à cause de leur renoncement permanent et de leur lâcheté viscérale.

Et que lis-je dans la presse du jour ?

Que la propagation de l’idéologie islamiste devient alarmante !

On croit rêver. Mais c’est vraiment se foutre du monde.

Voilà des décennies que le pays s’islamise, à l’école, à l’hôpital, dans les services publics et maintenant dans les entreprises, et on vient de découvrir l’eau chaude !

En 2004, le rapport Obin dénonçait déjà la dangereuse islamisation de l’école.

Et qu’a fait le ministre de l’Éducation nationale de l’époque, un certain François Fillon ? Il a enterré le rapport !

Le péril islamiste est connu depuis des décennies.

Tous les services de renseignement ont tiré le signal d’alarme auprès des autorités. Mais tous les rapports ont été enterrés.

Bien des intellectuels ont également sonné le tocsin. On les a diabolisés.

Sans parler du seul homme politique qui a eu raison 40 ans avant tout le monde. Le Pen, un patriote infatigable qu’on a traîné dans la boue parce qu’il défendait la France.

À part JMLP, qui n’a jamais eu le pouvoir, tous les décideurs politiques sont coupables de trahison. Pas un seul n’a œuvré pour protéger le pays.

Le rapport diffusé par l’Institut Montaigne et élaboré par Hakim El Karoui ne fait que décrire ce que les sites identitaires dénoncent depuis des lustres :

Le patient travail de sape que mènent les barbus pour islamiser l’Europe, et la France en particulier, selon un processus savamment orchestré par nos amis saoudiens, mais aussi en Turquie ou chez les Frères musulmans d’Égypte.

Le rapport nous dit que cette idéologie est une menace aussi dangereuse que le communisme. Pas possible ?

Il aura fallu attendre qu’il y ait un égorgé par jour aux cris de « Allahu akbar » et qu’une multitude de mini-califats essaiment dans nos banlieues pour réaliser que les islamistes défiaient notre civilisation et qu’il était temps de se mobiliser !

Mais le réveil n’est pas pour demain. Non seulement nos dirigeants refusent de fermer les frontières, mais ils se montrent incapables d’imposer les règles d’assimilation indispensables à la cohésion nationale et à la survie du pays.

Les chiffres.

En moins de 15 ans, le nombre de salafistes a augmenté de 900 %.

Quelques centaines en 1990 selon les RG.
5 000 en 2004
15 à 20 000 en 2015
30 à 50 000 aujourd’hui !

13 719 personnes sont inscrites au fichier des radicalisés dont 1 977 mineurs.

Les salafistes sont partout, jusque dans les campagnes. Ils tiennent 150 mosquées, de nombreux commerces, les clubs de sport, s’infiltrent dans les écoles, les services publics et ne sont que la partie émergée de l’iceberg.

La France, avec ses 9 millions de musulmans, davantage qu’en Angleterre et qu’en Allemagne, est la cible privilégiée des barbus qui propagent leur idéologie à très grande vitesse grâce à Internet, ce “muezzin qui appelle à l’islamisation mondiale”, comme le dit le Figaro.

Ce quotidien a détaillé le maillage Internet de la propagande islamiste dans le monde.

On compte 1,2 million de comptes islamistes francophones.

Les 5 principaux islamistes saoudiens rassemblent plus de 87 millions de followers sur Twitter, soit moins qu’Obama, qui est suivi par 102 millions de fidèles, mais plus que Trump qui en compte 52 millions.

Bref, cet état des lieux n’a rien de nouveau, si ce n’est qu’il actualise des chiffres de plus en plus inquiétants.

Mais où sont les solutions ? El Karoui ne propose rien.

L’enseignement de l’arabe à l’école, alors que les immigrés ne maîtrisent pas le français en arrivant en 6ème. On a déjà donné.

L’arabe n’est pas un vecteur de la science et du progrès. 99 % des ouvrages en arabe concernent l’islam. Où sont les revues scientifiques occidentales traduites en arabe ?

Si les 130 nationalités qui peuplent nos banlieues réclament le droit d’étudier leur propre langue, l’école républicaine ne sera pas le creuset de l’intégration des immigrés, mais celui de la désintégration de la nation.

Il est consternant de voir le ministre Blanquer se plier à cette volonté. Quelle déception ! Il voulait revenir aux fondamentaux, il va promouvoir l’arabe !

Quant à créer une organisation neutre et indépendante pour lutter contre l’islamisme et gérer les flux financiers, c’est encore une illusion.

Le CFCM ayant échappé au contrôle de l’État pour tomber entre les mains des pays étrangers qui se déchirent pour dominer l’islam de France, Arabie, Qatar, Turquie, Algérie et Maroc, on voit mal comment une telle organisation, récoltant la taxe halal, pourrait rester indépendante et à l’abri des convoitises étrangères !

Le constat d’El Karoui est bon, mais les solutions sont inexistantes.

Fermer les frontières, fermer les 150 mosquées salafistes, supprimer la double nationalité, déradicaliser l’école, toucher les familles au portefeuille dès la moindre incartade, s’opposer à toute revendication communautariste et repousser l’islam dans la sphère privée, ce serait déjà un premier pas.

Mais voilà 30 ans que l’État tente d’organiser une religion qui est en fait un code de vie du musulman, qui gère toute son existence. C’est donc mission impossible.

Pour combattre l’islamisme, il faut d’abord cesser de l’alimenter en fermant les frontières. Inutile de compter sur Macron pour décider cette mesure de bon sens.

Jacques Guillemain (Riposte Laïque)




Dernière édition du journal TVLibertés (10/09)

Sécurité / Attaques au couteau, prémices de guerre “civile” ?
Paris, Chemnitz, Köthen, l’Europe connaît une vague meurtrière d’attaques au couteau commises par des étrangers. Alors que les politiques sont obsédés par le spectre de dérives racistes, les citoyens commencent à se mobiliser face à l’incapacité des pouvoirs publics à les protéger.

Union Européenne / Suède : Progression électorale des Démocrates de Suède
Le Parti des démocrates de Suède progresse de 5 points à l’issue des élections générales. Seule formation importante à disposer d’une dynamique électorale positive, les Démocrates de Suède progressent mais sont encore loin d’accéder au pouvoir.

Société / Quand l’islamisme s’infiltre partout

Politique / Ecologie : les échecs de Monsieur Hulot
Une semaine après le départ de Nicolas Hulot, l’heure est au premier bilan. S’il a fallu plus de 15 mois à l’ancien présentateur d’Ushuaïa pour rendre les gants, ses échecs sur le plan écologiques se sont accumulés au point d’afficher un zéro pointé pour son action.




Montpellier : le père d’un lycéen de Joffre poignardé sous ses yeux

INFO MÉTROPOLITAIN. Le père d’un adolescent âgé de 14 ans, élève au lycée Joffre à Montpellier a été poignardé vendredi vers 17h devant l’établissement, sur l’Esplanade Charles de Gaulle, alors qu’il portait secours à son fils agressé avec d’autres lycéens par une trentaine de migrants de nationalité albanaise, hébergés notamment par des associations locales dans le quartier de Gambetta.

Le parent d’élève a reçu trois coups de couteau et a été transporté au CHU Lapeyronie, à Montpellier. Il est hors de danger ce dimanche, selon nos informations. Deux autres membres de la famille qui accompagnaient le père du lycéen ont été légèrement blessés à la tête à coups de bouteilles. Un couple et une personne âgée qui se trouvaient à l’endroit de cette scène de violence, dont le mobile reste inconnu encore, ont également été malmenés par cette bande, qui a rapidement quitté les lieux.

« Les lycéens sont en danger »

« Les lycéens de Joffre sont en danger, depuis la rentrée, la même situation recommence comme l’année dernière, à savoir que des élèves sont abordés par ces migrants albanais regroupés en bande, souvent une trentaine pour leur vendre de la drogue. Ceux qui refusent sont menacés au couteau ou frappés, comme ce qui s’est produit vendredi en fin d’après-midi. Les parents doivent être informés, car un jour, il y aura un mort », témoigne la soeur du père du lycéen poignardé vendredi.

Une enquête est actuellement diligentée à la sûreté départementale de l’Hérault, où les policiers ont déjà visionné les bandes des caméras de vidéoprotection de la Ville de Montpellier.




Attaque au couteau à Paris : un homme « d’origine afghane » a poignardé plusieurs passants, 7 blessés dont 5 graves

L’individu, a priori d’origine afghane selon une source proche de l’enquête, «a attaqué des personnes qui lui étaient inconnues dans la rue».
Sources : Le Figaro

Un homme a commis une série d’attaques à l’arme blanche ce dimanche soir à Paris dans le 19ème arrondissement. Il a blessé plusieurs personnes avant d’être maîtrisé.

La série d’agression a débuté ce dimanche soir dans le 19ème arrondissement dans le secteur du Quai de la Loire. D’après nos informations, il était 22 heures passées quand un homme s’en est pris à plusieurs personnes à coups de couteau et de barres de fer.

Là, il s’en est pris notamment à deux touristes anglais, dont l’un a été blessé au thorax. Une autre de ses victimes a été gravement touchée par un coup de couteau à la tête. L’agresseur, lui aussi blessé, a finalement été interpellé par un équipage de la BAC.

Entre six et sept personnes ont été touchées par l’individu au total, et plusieurs se trouvent en état d’urgence sans pronostic vital engagé. Elles ont été transportées vers l’hôpital Lariboisière, Percy et Foch. (Le Parisien)

Au moins 7 personnes ont été blessées, dont 5 prises en charge par les secours en urgence absolue.