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Marseille (13) : une bagarre entre migrants armés dégénère devant la faculté d’éco-gestion

Une violente bagarre entre migrants armés de couteaux a éclaté mardi devant la faculté d’éco-gestion de Marseille. Les étudiants se sont réfugiés dans le bâtiment de l’Université. Le doyen demande à ce qu’une solution soit trouvée en urgence pour éviter que ce genre d’incident ne se reproduise.

Panique sur le parvis de la faculté d’éco-gestion à Marseille. Ils sont une vingtaine de migrants à courir dans tous les sens armés de couteaux.

Une scène d’une rare violence qui s’est déroulée mardi, aux alentours de 13h au moment de la pause déjeuner.

Les étudiants, apeurés, ont été obligés de se réfugier dans l’établissement.

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Dans le 1er arrondissement de Marseille, plusieurs camps de migrants se situent dans le secteur de la Porte d’Aix à proximité de l’établissement. Depuis quelques mois, certains d’entre eux ont trouvé refuge sous le préau devant l’entrée de la faculté.

« Au départ, on avait juste des problèmes d’hygiène et d’insalubrité, mais pas des problèmes de sécurité et depuis juin la situation a totalement dégénéré », s’inquiète le doyen de la faculté Pierre Granier.

Selon lui, ce n’est pas la première fois que ce genre d’incident arrive et la situation est devenue intenable.
[…]





Saint-Maur : place aux migrants, 3 500 élèves et sportifs mis dehors en 24 heures

« On a 24 heures pour tout vider. Le club de judo a des locaux ici depuis plus de 30 ans ! » Samedi 14 septembre, c’était la panique au Gymnase Gilbert-Noël de Saint-Maur (94). La ville et les clubs sportifs avaient été mis la veille devant le diktat du sous-préfet. Évidemment, la préfecture ne propose aucune solution de rechange alors que tous les emplois du temps sont bouclés depuis des semaines pour la rentrée.

http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/saint-maur-24-heures-pour-quitter-le-gymnase-requisitionne-pour-100-migrants-16-09-2018-7890420.php

96 migrants ont donc été installés le 21/09 dans le gymnase Gilbert-Noël, rue Didier, en plein cœur de Saint-Maur. Cette décision manifeste un évident mépris pour le millier de sportifs et les 2 500 élèves (écoles élémentaires de Parc-est, Champignol et Michelet, du collège Camille Pissaro, des lycées Condorcet et d’Arsonval) utilisant ces équipements sportifs qui sont donc à la rue.

Sylvain Berrios, le maire de Saint-Maur, n’a rien fait pour empêcher ce diktat préfectoral. Il a seulement été capable de demander des renforts de police car il sait bien que ces hébergements feront exploser l’insécurité (agressions, dégradations, viols, meurtres…). Héritier d’une mairie qui a su préserver pendant plus de 30 ans un cadre de vie qui fait sa réputation, il est en train de le ramener au niveau des villes voisines de Créteil, Champigny ou Bonneuil…

Les dix centres du département sont saturés (Fresnes, Créteil, Fontenay-sous-Bois, Ivry, Villeneuve-saint-Georges, Chevilly-Larue, Villejuif et Champigny). Débordé par l’afflux de migrants transitant par la porte de la Chapelle, le jeune sous-préfet, Fabien Chollet, en a déjà installé dans des gymnases à Nogent, Vincennes et Cachan. C’est maintenant le tour de Saint-Maur, sans concertation et sans solution pour les 3 500 utilisateurs du site. Quoi d’étonnant, dans le dernier département à majorité communiste de France ?

https://94.citoyens.com/2018/vaste-operation-de-mise-a-labri-de-migrants,30-05-2018.html

Au-delà du mépris des sportifs, des professionnels et des élèves, cette réquisition révèle que l’État agit dans l’urgence alors que l’Italie, la Grèce, l’Autriche et la Hongrie ont déjà mis en place une autre politique responsable et durable. Le discours officiel sur les réfugiés passe mal quand chacun peut observer ses conséquences locales.

Il passe d’autant plus mal que la précarité touche de plus en plus de Français (travailleurs et retraités), que des SDF meurent dans les rues, que les priorités et les réquisitions sont en faveur de populations qui ne sont jamais accueillies par leurs coreligionnaires des monarchies du golfe Persique.

À la manœuvre pour l’accueil, une des multiples associations de l’économie sociale. Comme chacun peut le constater, elle vit grassement de subventions : pour sa dernière convention annuelle, elle avait choisi les Folies-Bergère, social et festif !

https://gymnasegilbertnoel.wordpress.com
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Par hasard, à La Baule, j’ai rencontré un vrai journaliste : il m’a même interviewé

Il y a quelques jours, il m’est arrivé une aventure étonnante. De passage à La Baule, avec Christine Tasin, j’étais dans une boulangerie, quand une femme nous reconnut. Surprise, démonstrative, elle nous embrassa spontanément, devant la boulangère un peu interdite. Nous lui fîmes signe qu’on allait payer et parler dehors pour ne pas faire attendre les autres clients.

Nous commençâmes à discuter avec la femme, mais celle-ci était pressée et nous quitta rapidement. C’est alors qu’un autre homme, qui était derrière nous, sortit de la boutique et nous aborda. « Bonjour Pierre, bonjour Christine, ravi de vous voir à La Baule, je suis Yannick Urrien, journaliste, vous vous souvenez de moi ? »

J’ai une bonne mémoire, contrairement à Christine. Je lui dis que je me souvenais de lui, qu’il avait fait une interview de Christine pour son mensuel de La Baule, il y a quelques années, sur les méfaits du halal. Il me le confirma et nous invita à prendre un verre. Le contact fut excellent. Il m’expliqua ses différentes activités. Il avait fondé une radio, Kernews (91,5), il pilotait un mensuel papier, « La Baule Plus », et collaborait également à l’hebdomadaire « Bourse Plus » de Nicolas Miguet.

Il me dit que c’était un miracle que nous nous soyons croisés et qu’il n’allait pas nous lâcher ainsi. Il me proposa tout de suite une interview et me demanda s’il pouvait entrer en contact avec l’auteur du livre « Immigration, le naufrage français », m’expliquant qu’à partir du moment où l’on parlait de trois villes bretonnes, il était intéressé. Il fit savoir à Christine qu’il souhaitait l’interviewer, elle aussi, dans la foulée. Dire que nous n’avons pas mis les pieds sur un plateau de télévision « officielle » depuis 2011, et nous rencontrons par hasard un journaliste qui nous demande tout de suite un entretien !

Nous tombâmes d’accord pour qu’il vienne chez les amis qui nous hébergeaient, dès le lendemain, et l’interview eut lieu, elle dura 25 minutes. Je dois dire que j’étais détendu, je savais qu’il n’y aurait aucune agressivité, aucun traquenard, qu’il me laisserait parler et que l’entretien serait agréable.

Quand je pense au sort qui serait le mien si je devais être un jour (je crois que ce n’est pas demain la veille) interrogé par un Bourdin, un Aphatie, une Elkrief ou un Cohen !…

Il avait apporté des exemplaires de La Baule Plus et m’expliqua que sa grande fierté, c’était de donner la parole à tout le monde, des gens de gauche comme de droite, aux entrepreneurs, aux ouvriers, aux associations culturelles ou sportives, mais qu’il refusait d’ostraciser un courant de pensée. Ainsi, il me montra qu’il avait consacré une longue interview de 5 pages à Mario Stasi, qui possède une résidence secondaire à La Baule, mais aussi à Pierre Jovanovic, de passage lui aussi dans le coin. Il me fit voir d’autres interviews, comme celles de Francis Lalanne, de maires socialistes ou LR.

http://www.kernews.com/category/linvite-de-yannick-urrien/

http://www.labauleplus.fr/

Je trouvais sa liberté de ton exceptionnelle, dans ce milieu. Il m’expliqua que La Baule Plus avait 150 000 lecteurs tous les mois, sans la moindre subvention, et qu’il s’auto-finançait par la publicité. Et il m’affirma que sa radio, fondée il y a 11 ans, à laquelle il consacrait beaucoup de temps, émettait dans toute la Bretagne et s’auto-finançait, elle aussi, par la publicité. Tous les matins, il avait un invité qu’il interviewait, en direct ou en différé.

Après l’interview, il nous fit le plaisir de nous inviter à manger et nous fîmes davantage connaissance. Il nous raconta son enfance au Maroc et nous révéla qu’il avait tout appris sur le tas, sans jamais faire la moindre école de journalisme, en commençant, dès 16 ans, à Radio Solidarité. Nous eûmes la possibilité, en toute liberté, d’approfondir amicalement des divergences que nous avions, notamment sur les musulmans modérés, l’assimilation et les questions sociétales. Mais les échanges avec lui furent un régal d’écoute réciproque, dans une bonne humeur contagieuse.

Finalement, Yannick Urrien ressemble, sur sa défense intransigeante de la liberté d’expression, à Frédéric Taddeï (avec le côté entrepreneur en plus) qui est en train de monter des émissions « Il est interdit d’interdire » sur Russia Today. Il est aux antipodes de tous ses confrères, haineux et sectaires, qui veulent interdire Éric Zemmour de plateau de télévision.

Cela fait du bien, même si j’en ai rencontré aussi quelques-uns qui, l’air gêné, m’expliquaient qu’ils étaient d’accord avec ce que nous faisions mais que, s’ils le disaient, ils se feraient virer…

J’ai depuis mis sa radio, Kernews, sur mon autoradio et j’ai commencé à lire les exemplaires de La Baule Plus qu’il m’a laissés. Un régal.

Finalement, j’ai découvert qu’il restait en France, en dehors de la réinfosphère, de vrais journalistes, qui disent ce qu’ils pensent et se donnent les moyens de défendre leur liberté d’expression et celle de leurs invités.

Cela fait du bien…

Pierre Cassen (Riposte laïque)





Baromètre 2018 du taux de prénoms musulmans donnés aux enfants nés en France département par département (étude exclusive)

L’INSEE a publié comme chaque année les chiffres de l’Etat Civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900.
Ces fichiers sont téléchargeables via ce lien.

Pour la 3ème année consécutive, fdesouche publie en exclusivité le baromètre des naissances enregistrées en France sous prénom musulman.

L’analyse de l’octroi de prénoms musulmans pour les naissances en France en 2017 révèle :
• Un taux national qui atteint les 20%, soit 1 enfant sur 5,
• Une croissance est régulière +0,5% de plus que 2016, comme chaque année depuis 1997.
• Pour rappel, ce taux était de 6,5% il y a 20 ans en 1997.

Au niveau départemental, les départements où le taux dépasse la moyenne nationale sont les plus fertiles, soit :
• L’ensemble des départements d’Île de France, hors Paris, avec le record pour la Seine Saint Denis qui dépasse les 50%
• Les départements très peuplés du Sud de la France : Rhône, Bouches du Rhône, Alpes Maritimes, Vaucluse, Gard, Hérault
• Deux départements à tradition industrielle : le Territoire de Belfort et le Loiret.

Un biais tend à minimiser le comptage des prénoms musulmans, l’INSEE ne publiant pas pour des raisons de secret statistique les prénoms considérés comme « rares » (moins de 3 occurrences par département). De part leur variété orthographique, cela tend à faire « disparaître » bon nombre de naissances de prénom étranger, ceci étant d’autant plus vérifié que les officiers de l’Etat Civil acceptent une multitude d’orthographes différentes pour les prénoms étrangers, ce qui n’est pas le cas pour les prénoms issus du calendrier grégorien.
Bref, ce taux est sous-estimé pour les départements présentant un faible nombre de naissances : il n’y a pas 0% de naissances d’enfants portant un prénom musulman en Lozère ou dans le Cantal !

Méthodologie
Afin de mener cette étude présentant la popularité spécifique des prénoms musulmans comparée aux autres prénoms aux niveaux national et départemental, il a été nécessaire de créer de toutes pièces un « référentiel » des prénoms musulmans.
Si le Coran indique que le prénom du musulman consiste en « une marque distinctive nécessaire pour faciliter la communication entre son porteur et les autres », il n’est pas évident de les identifier parmi les 34000 prénoms de la base de l’INSEE.
Plusieurs listings disponibles sur les sites communautaires suivants ont été passés au crible : www.halalbook.fr, www.prenommusulmanrare.com, www.pageshallal.com, www.katibin.fr.
Un référentiel des étudiants du monde, par pays d’origine www.studentsoftheworld.info a également été utilisé.
Plusieurs états civils de villes françaises ont enfin été examinés afin de valider l’association du prénom à des patronymes particuliers.

Certains prénoms sont systématiquement attribués à des enfants de familles musulmanes, ce sont les « prénoms musulmans certains ».
D’autres prénoms, majoritairement attribués à des enfants de familles musulmanes, peuvent parfois être attribués à d’autres enfants, nous les suivons comme « prénoms mixtes ».
Afin de disposer de chiffres indiscutables, nous ne décomptons les « prénoms mixtes » que pour moitié dans le décompte des prénoms musulmans.

Liste des 100 premiers prénoms identifiés mixtes ou muslims : ADAM, INES, EDEN, MOHAMED, SARAH, NAEL, RAYAN, SOAN, INAYA, YANIS, LINA, IMRAN, NOUR, YASMINE, AYDEN, AMINE, ALI, SOFIA, ELIA, ISMAEL, SOHAN, SOHAN, SARA, AMIR, ISSA, MANEL, IBRAHIM, KAIS, HAMZA, NASSIM, AYA, ILYES, YASSINE, ASSIA, MYRIAM, NAIM, HAYDEN, YOUNES, WASSIM, YOUSSEF, AYOUB, MOUSSA, MAISSA, ADEM, IMRANE, NAHIL, ANIS, SOFIANE, ALYA, RAYANE, MARYAM, YACINE, MALAK, ARYA, ANAS, LOUISA, IMANE, NAHEL, TASNIM, SELMA, SANA, KENZA, ZAKARIA, AYMEN, MEHDI, NORA, ISMAIL, LEILA, SWAN, AHMED, AICHA, NAELLE, ELIJAH, ALIYA, HANNA, AMINA, SAFA, FARAH, AMEL, NAILA, AMIRA, ILYANA, MINA, AIDEN, ALIYAH, RYAN, LILIA, ILYAS, FATIMA, JANA, SAMY, IDRISS, NELYA, HAJAR, MARWA, JAD, HAROUN, ASMA, MOHAMMED, ASSYA, NEYLA





L’Aquarius « en route vers Marseille » demande à la France l’autorisation de débarquer 58 migrants

L’Aquarius est « en route vers Marseille » et les ONG ayant affrété le navire humanitaire ont demandé aux autorités françaises d’autoriser « à titre exceptionnel » le débarquement des 58 migrants à son bord, a indiqué lundi le directeur des opérations de SOS Méditerranée.

« C’est la seule option que nous avons » pour permettre à l’Aquarius, « dernier navire » civil dans la zone, « de continuer sa mission » de sauvetage des migrants, a expliqué Frédéric Penard lors d’une conférence de presse à Paris. « Les autorités françaises ont été informées » de cette demande, a-t-il assuré, en soulignant qu’il était « urgent de mettre les personnes à l’abri » avec 17 femmes et 18 mineurs à bord du navire.

(…) La Dépêche





La bombe démographique qui va tuer la France : les vrais chiffres

La bombe démographique n’est pas seulement en Afrique, continent qui a vu sa population quadrupler depuis l’indépendance, ou en Algérie, dont la population a été multipliée par cinq depuis 1962.

En 2017, 28 % des naissances sont issues d’au moins 1 parent né hors UE ! (INSEE)

La bombe démographique se trouve aussi en France, non pas par l’explosion des naissances, qui tournent autour de 800 000 depuis des années, mais par le changement de population qui s’opère peu à peu.

https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381382
Et télécharger ensuite le document détaillé de 1998 à 2017.

En 1998, il y a eu 767 906 naissances en France.

Dont 590 160 issues de 2 parents nés en France et 144 607 naissances avec au moins 1 parent né hors UE.

En 2017, il y a eu 769 553 naissances.

Dont 527 120 issues de 2 parents nés en France et 213 553 naissances avec au moins 1 parent né hors UE.

Ce qui signifie qu’en 20 ans, la part des naissances issues de 2 parents nés en France, a diminué de 11 %.

Tandis que la part des naissances dont au moins 1 parent est né hors UE a augmenté de 47 %.

Mais ces chiffres ne reflètent qu’en partie l’explosion de l’immigration depuis le regroupement familial en 1975.

Car l’INSEE ne comptabilise les immigrés et les descendants d’immigrés que sur 2 générations.

Donc, tout descendant d’immigrés, mais dont les parents sont nés en France, est comptabilisé comme Français de souche et non pas comme descendant d’immigrés.

La part des naissances dont au moins 1 parent est né à l’étranger hors UE est de 28 % en 2017.

Mais pour avoir une idée exacte des naissances d’origine immigrée au sens large, avec au moins un parent originaire d’un pays hors UE, il n’existe qu’un seul moyen :

Prendre en compte les chiffres de dépistage de la drépanocytose, maladie génétique qui ne touche quasi exclusivement que les populations extra-européennes.

Les immigrationnistes peuvent bêler au racisme dès qu’on utilise cette donnée, mais si les statistiques ethniques étaient autorisées comme dans la plupart des pays occidentaux, l’INSEE pourrait faire son travail d’information.

Avec Internet, il est toujours possible de contourner l’omerta sur l’immigration de masse. Enfin, pour l’instant…

Tout citoyen a le droit d’être informé de l’évolution démographique de son pays, du moins dans une démocratie digne de ce nom où le mot liberté a encore un sens !

La dernière mise à jour date de 2016. Mais ces statistiques vont disparaître.

http://www.fdesouche.com/906357-drepanocytose-la-carte-du-grand-remplacement-mise-a-jour-chiffres-2016#

En 2016, 39,39 % des bébés nés en métropole ont subi les tests de dépistage de la maladie. Les chiffres explosent d’année en année.

En 2017, on dépasse donc les 40 %.

En résumé, en 2017, sur 769 553 naissances, on sait que 28 % sont issues d’au moins 1 parent né hors UE.

Et 40 % sont issues d’au moins 1 parent d’origine immigrée hors UE (qu’il soit né en France ou hors UE).

À ces 40 %, il convient d’ajouter l’immigration extra-européenne que l’INSEE ne chiffre jamais, se contentant d’un solde migratoire complètement trompeur, puisqu’il comptabilise aussi les expatriés français, actifs ou retraités, afin de minimiser la part des arrivées extra-européennes qui sont en augmentation.

On sait que le nombre de visas de séjour explose.

Il est de 262 000 en 2017, soit une augmentation de 13,7 % sur un an.

Chiffre auquel il faut ajouter les clandestins. 100 migrants arrivent chaque jour à Paris. Combien en France ? 300 ? 500 par jour ?

La France a accueilli 25 000 mineurs isolés en 2017. On en attend 35 000 en 2018.

Le Grand Remplacement est bien une réalité.

Rappelons qu’avec un taux de fécondité tombé à 1,6 enfant par femme chez les natives, la population de souche diminue de 20 % à chaque génération.

Chez les femmes immigrées, le taux de fécondité remonte avec l’arrivée des Africaines particulièrement prolifiques.

Avec un taux de fécondité de 3,6 enfants par femme, la population d’origine extra-européenne augmente de 80 % à chaque génération.

Quand la génération du baby-boom aura entièrement disparu, celle qui forme les gros bataillons de retraités, la France ne sera plus très loin du basculement.

Rappelons aussi qu’en Europe, il y a eu davantage de décès que de naissances et que la population n’a pu augmenter que par l’immigration.

https://www.la-croix.com/Monde/Europe/Sans-apport-migratoire-population-europeenne-aurait-perdu-1-million-dhabitants-2017-2018-07-12-1200954638

http://www.fdesouche.com/1016161-est-il-vrai-quen-europe-lintegralite-de-la-croissance-demographique-est-due-a-limmigration

Pas besoin d’être devin pour comprendre qu’à ce niveau d’immigration, l’intégration est devenue mission impossible.

Dans trente ans, les minorités extra-européennes seront devenues majoritaires avec les bouleversements qu’on imagine.

Un enfant sur cinq naît de parents musulmans. Un chiffre multiplié par 4 depuis le regroupement familial.

La France de nos ancêtres les Gaulois a fini d’exister.

C’est un désastre qui se prépare pour les générations futures. Mais quand un peuple vote depuis 40 ans pour les mêmes immigrationnistes, il n’est pas à plaindre, il est complice et artisan de sa propre disparition.

Quand les Hongrois se battent et refusent de disparaître en fermant leurs frontières, les Français en redemandent et continuent de creuser leur tombe.

On ne peut pas empêcher tout un peuple de se suicider.

Jacques Guillemain (dans Riposte laïque)





Éric Zemmour / Hapsatou Sy : petit détour par un cours de français dans une 3e de REP+

Loin des insultes, la polémique entre Éric Zemmour et Hapsatou Sy a eu le mérite d’attirer l’attention sur la fonction intégratrice des prénoms de tradition française. Il ne s’agit pas de contester la nationalité française d’une Hapsatou, d’un Mounir ou d’un Mohammed, mais de constater, simplement, que la généralisation de prénoms issus de la diversité est un frein puissant à la compréhension de la culture française, et de ce qui en fait peut-être sa gloire : la littérature. Et, donc, à l’intégration.

Si Hapsatou avait passé quelques heures de cours avec mon collègue de français, dans mon collège REP+ de banlieue, elle aurait peut-être compris ce que voulait dire Éric Zemmour : les parents d’immigrés qui piochaient naguère dans la liste des prénoms français traditionnels donnaient ainsi à leurs enfants un accès insoupçonné et unique à la culture française et à sa littérature. Mais aujourd’hui, dans des classes où ces prénoms ont quasiment disparu, que se passe-t-il ?

Réponse par deux scènes véridiques vécues l’an dernier dans une classe de 3e.

Au cours de l’année, l’inspection de lettres avait proposé un sujet de brevet correspondant aux nouvelles exigences de l’examen. Il s’agissait d’un extrait de la belle nouvelle de Gide, Geneviève, ou la confidence inachevée. Le texte était simple, court, et mettait en scène une amitié naissante entre deux lycéennes. Certes, il y avait des marques d’accord qui auraient dû leur permettre de deviner que le narrateur était une narratrice, mais pour la moitié de la classe, Geneviève était un prénom parfaitement inconnu, étranger et, l’inculture s’ajoutant à l’inattention, Geneviève – que beaucoup eurent du mal à recopier sans faute – devint un garçon. La première Geneviève qu’ils avaient rencontrée, c’était dans ce texte de Gide. Et la rencontre se passa mal…

Mais cette même génération de 3e n’était pas au bout de ses peines. Juin arriva et l’épreuve du vrai brevet : le célèbre texte d’Uranus, de Marcel Aymé, mettant en scène le cafetier, immortalisé par Depardieu, fasciné par la récitation des alexandrins de Racine et la douleur d’Andromaque. On sait quels cris ont poussés certains professeurs de lettres : on avait osé demander à des élèves de 3e de différencier une subordonnée relative d’une conjonctive et de transformer un passage du discours direct au style indirect. Sans doute des collègues qui n’avaient pas vu que Najat Vallaud-Belkacem et ses épigones n’étaient plus aux commandes. Mais le pire des copies n’était pas dans l’incapacité des élèves à répondre à ces questions de grammaire. Non : les confusions étaient bien plus affligeantes, de nouveau, au simple niveau des personnages. Mais qui était Léopold ? Là encore, c’était le premier Léopold que nos élèves rencontraient de leur vie. Était-ce le professeur ? Et cette Andromaque, un guerrier ?

Conclusion : la littérature française jusqu’à la seconde moitié du XXe siècle est devenue incompréhensible à une grande partie des élèves issus de la diversité. Et il n’y a pas que leurs lacunes en vocabulaire, en syntaxe et en orthographe qui soient en cause. Il y a aussi leur bain culturel et onomastique, réduit et ethnocentré. L’une des voies d’accès privilégiées vers la littérature, la voie de l’empathie, aurait pu être celle de la communauté des prénoms avec les personnages et les auteurs. Mais le choix de la diversité coupe un peu plus ces élèves de la culture et de la littérature qui devraient être la leur. Dans ce sens, oui, le choix systématique de prénoms issus de la diversité est une injustice (en latin : une injuria, une injure) faite à la France et à sa littérature. Une façon de lui dire – pour rester policé : je ne te connais pas.

Il faudrait qu’Hapsatou Sy prenne conscience que la France n’a pas commencé il y a dix ou vingt ans avec la généralisation des prénoms de la diversité, mais la Chanson de Roland, Racine, Chateaubriand, Gide, Marcel Aymé et quelques autres méritent peut-être que quelques petits René, Geneviève et Jean reviennent peupler nos classes. Cette diversité-là serait nécessaire. Pour le bien de tous.





Zemmour a raison : la preuve par Benalla

La polémique lancée par Hapsatou Sy a eu le mérite de braquer le projecteur sur ce qui était naguère un vecteur d’intégration, et aujourd’hui de différenciation, voire de communautarisme ou de rejet de la France : le choix ou la francisation du prénom. C’est une réalité sociale, historique, et un signe – un de plus – de la faillite de l’intégration de ces dernières décennies. On peut le déplorer violemment comme Éric Zemmour ou, au contraire, s’en réjouir, tout aussi violemment, mais on ne peut contester le fait. Les chiffres et les courbes établies par Jean Robert pour le site Fdesouche à partir des données fiables de l’INSEE sont éloquentes : le nombre de prénoms issus du calendrier grégorien s’est effondré en cinquante ans, passant de 85 % à 26 %, de 1965 à aujourd’hui. Et ils n’ont pas été remplacés par des prénoms tibétains ou japonais. C’est l’un des nombreux signes d’un Grand Remplacement. Objectif et constatable par tous.

Il fut une époque, pas si lointaine, où beaucoup de familles d’origine maghrébine, précisément dans un souci d’intégration, donnaient à leurs enfants des prénoms français. Et puis l’habitude s’arrêta. Les professeurs furent les premiers témoins de cette évolution.

Il est curieux que l’on n’ait pas apporté au débat l’exemple d’une personnalité qui fit pourtant, elle aussi, l’actualité de la semaine, pour d’autres raisons : Alexandre Benalla. BFM TV nous a révélé, il y a quelques semaines, l’histoire de la francisation de son prénom. Né à Évreux et déclaré à l’état civil Maroine Benalla par son père, il fut à plusieurs reprises menacé d’être enlevé et emmené au Maroc par ce père violent. Sa mère avait donc demandé et obtenu un changement de prénom : Maroine fut autorisé officiellement à s’appeler Alexandre. Par ce geste de francisation du prénom, elle a voulu pour son fils un destin français. Et, dans les raisons qu’a avancées le Président Macron pour justifier son choix de l’embaucher et de le garder à l’Élysée, il y avait, précisément, le choix de promouvoir « un profil différent ». Nul doute que l’ascension sociale extraordinaire de ce fils d’immigré d’Évreux à l’enfance difficile ait séduit Emmanuel Macron et qu’il ait eu le projet d’en faire un exemple, un symbole de la réussite de l’intégration. Malheureusement, la belle histoire a mal tourné. Mais cela n’enlève rien au fait que la question du prénom francisé y jouait un rôle clé. La mère d’Alexandre Benalla et le Président Macron avaient donné raison à Éric Zemmour.