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Collomb a annoncé la prochaine guerre de France, puis il est parti à Lyon…

La grenade dégoupillée que Collomb a balancée dans les pattes d’Édouard Philippe, lors de la passation de pouvoir, brise l’omerta sur l’immigration, que les autorités de ce pays imposent au peuple depuis trente ans.

C’est d’abord François Hollande qui avait clairement annoncé « la partition », dans le livre « Un président ne devrait pas dire ça ». Sujet explosif vite enterré.

http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/10/12/31001-20161012ARTFIG00292-immigration-l-incroyable-aveu-de-francois-hollande.php

La sécession des territoires ? « Comment peut-on éviter la partition ? Car c’est quand même ça qui est en train de se produire : la partition. »

Et aujourd’hui, c’est au tour du ministre de l’Intérieur d’enfoncer le clou et de reconnaître que la France court à la catastrophe, car avec Macron, tout empire dans des proportions dramatiques.

Ce qu’a déclaré le premier flic de France est annonciateur de lendemains tragiques et même de guerre civile, parce que des dirigeants irresponsables ont trahi le peuple, en lui vendant une société multiculturelle paradisiaque qui n’existe nulle part dans le monde.

Le « vivre ensemble », va inévitablement se transformer en choc frontal entre des communautés qui ne partagent plus rien en commun.

Évoquant l’explosion des zones de non-droit, ces quartiers où règne la « loi du plus fort », celle des caïds et des barbus, Collomb a carrément évoqué la menace de guerre civile.

« On vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face, nous sommes en face de problèmes immenses ».

Tel est le discours d’un ministre de l’Intérieur après 18 mois d’exercice en tant que responsable de la sécurité des Français ! Ahurissant !

Il avoue, en quittant le navire, ce que les Français de souche, les Français « pure laine », pour employer une expression de nos amis québécois, savent et craignent depuis des lustres.

Mais qu’a-t-il fait en 18 mois ? Ou bien Macron l’a empêché d’agir, et il devait démissionner dans les trois mois, ou bien il a fait preuve d’incompétence et d’une soumission coupable durant 18 mois.

Cette désintégration de la société, une évidence que les lanceurs d’alerte annoncent depuis des décennies, et qui devrait mobiliser toutes les énergies du pays pour éviter sa libanisation et son éclatement, a aussitôt été minimisée par les médias, certains occultant carrément le discours de Collomb.

Tout va bien, le peuple peut dormir tranquille.

Mais si pour une fois Collomb parle vrai et fait le juste constat, le remède qu’il propose sera pire que le mal.

Ce n’est certainement pas avec davantage de mixité que la France va surmonter l’échec de l’intégration. La mixité, c’est la diffusion du mal.

La mixité ne peut se concevoir qu’avec des populations qui partagent une même vision de leur avenir. Ce qui n’est pas le cas pour des millions d’immigrés qui refusent de s’intégrer et qui sont plus sensibles au discours de haine des barbus qu’au discours républicain.

Le bilan Macron et Collomb est des plus explicites :

1000 agressions gratuites par jour, avec très souvent un égorgé du jour.
130 mosquées salafistes qui prêchent la haine de la République.
Entre 500 000 et 1000 000 clandestins jamais expulsés.
Seulement 7000 places de prison supplémentaires sur les 15 000 promises.
30 000 armes illégales circulent dans les banlieues.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/12/15/01016-20101215ARTFIG00731-30000-armes-illegales-circulent-dans-les-banlieues.php

20 000 radicalisés inscrits au fichier FSPRT.
Sur les 1600 détenus pour terrorisme ou radicalisation, 450 seront libérés en 2019. Les bombes humaines de demain.
Des centaines de zones de non-droit et de zones sensibles.

http://www.europe-israel.org/2015/02/la-liste-des-quartiers-sensibles-de-france-ou-regnent-la-delinquance-les-dealers-les-armes-et-les-islamistes-les-zones-de-non-droit/

L’État a totalement perdu le contrôle de la situation pour la simple raison qu’il refuse l’épreuve de force avec les racailles des quartiers, qui y font régner leur propre loi.

Adeptes de la politique de l’autruche et cédant aux délires immigrationnistes de Bruxelles, nos dirigeants ont encouragé une invasion qu’ils ne maîtrisent plus.

L’intégration est un échec monumental, mais le mal est si profond que le pouvoir est devenu l’otage de millions d’immigrés. Il a peur.

Tétanisés par le souvenir des émeutes de 2005, tous nos dirigeants ont capitulé, espérant éviter l’inévitable confrontation que vient d’annoncer Collomb.

Dans un pays où les policiers sont présumés coupables au moindre incident et les racailles systématiquement victimisées, il n’y a pas grand chose à espérer.

On n’oublie pas l’affaire Théo, ce délinquant qui avait refusé un contrôle d’identité et qui s’est retrouvé à l’hôpital, avec Hollande à son chevet dans l’heure qui suivait.

Non seulement les policiers ont été traînés dans la boue, mais Hollande n’a même pas daigné se rendre au chevet d’autres policiers, également hospitalisés après avoir été brûlés vifs dans leur voiture par des racailles de banlieue.

Une odieuse marque de mépris envers ceux qui assurent notre protection. Par cette attitude ignoble, Hollande a déshonoré un peu plus sa fonction.

Nos policiers ont plus à craindre de leur hiérarchie et du pouvoir totalement acquis aux immigrés que des voyous qu’ils traquent.

La France court à la catastrophe. Et que fait Macron ? Il aggrave la situation.

Le nombre de visas longue durée est passé de 227000 en 2016 à 262000 en 2017. Il est en augmentation de 16 % en 2018 !

Le nombre de demandeurs d’asile a dépassé les 100 000 en 2017 et va exploser en 2018.

Certains quartiers de Paris se transforment en dépotoirs du tiers-monde.

Toutes les structures d’accueil sont saturées. On impose partout des migrants, y compris dans les villages les plus reculés, qui voient leur quotidien bouleversé quand il ne devient pas carrément invivable.

La France est en train de s’effondrer économiquement et de se désintégrer, et tout ce que Macron et la bobosphère qui le vénère ont dans leur collimateur, ce sont les patriotes qui défendent leur identité et leur patrimoine culturel.

En Italie, Salvini sanctionne les maires immigrationnistes.

https://www.marianne.net/monde/italie-arrestation-du-maire-de-riace-pionnier-dans-l-accueil-des-migrants

Tandis que Macron, en bon démocrate, veut sanctionner les pays qui refusent l’accueil de migrants, alors que 66 % des Français ne veulent plus d’immigration.

https://www.lexpress.fr/actualite/monde/macron-veut-sanctionner-les-pays-refusant-les-migrants_2019829.html

Tout est dit. L’un aime et protège son peuple, l’autre le méprise et le condamne à des lendemains tragiques.

D’ici 2022, Macron a largement le temps d’exercer son pouvoir de nuisance afin d’enfoncer le dernier clou sur le cercueil de la France de nos ancêtres. C’est ça, le mondialisme !

Comment un président, qui a capitulé et donné raison aux squatteurs de Notre-Dame-des-Landes au détriment des paysans historiques, au mépris de la démocratie, au mépris de toutes les décisions de justice, pourrait-il reconquérir les quartiers ? Impensable !

Son credo, c’est le renoncement permanent face aux communautarismes et à la délinquance. C’est un islam conquérant qui se propage en France.

Il est plus facile d’envoyer des Rafale bombarder la Syrie, un pays qui ne nous a jamais agressés, que de rétablir l’ordre républicain dans les banlieues !

Jacques Guillemain (Riposte laïque)





Zemmour : « À cause de l’immigration et des juges qui démolissent le travail des policiers, le Ministère de l’Intérieur ne peut plus rien… »





Dernière édition du journal TVLibertés (03/10)

Politique / Collomb : le nouveau choc de Macron
Gérard Collomb a pris la poudre d’escampette ! Il aura fallu deux jours pour être fixé, le ministre de l’Intérieur a rendu les clés de la place Beauvau pour récupérer sa ville de Lyon. Un départ qui affaiblit encore un peu plus la présidence d’Emmanuel Macron.

Sécurité / Redoine Faïd interpellé
Fin de cavale pour Redoine Faïd. 3 mois après s’être fait la belle de la prison de Réau en Seine-et-Marne, le braqueur multirécidiviste a été interpellé à Creil dans l’Oise après avoir profité de l’apathie du système judiciaire français.

International / Iran : une menace terroriste qui tombe à pic ?
Une nomination d’ambassadeur qui se fait attendre, une descente de police dans une association suspectée d’activité terroriste pour le compte de l’Iran, des avoirs gelés… l’Etat français envoie un signal à Téhéran et se positionne un peu plus du côté de l’Arabie Saoudite et de ses alliés.

International / Le Québec tourne le dos aux progressistes





Un chauffeur de bus Marseillais met un gros coup de pression à un adolescent qui lui a manqué de respect

A Marseille, un adolescent a manqué de respect à un chauffeur de bus et celui-ci est sorti de son véhicule pour le recadrer. Le ton est vite monté…





Centre-Bretagne : Des dizaines de jeunes couples s’installent dans des bourgades que l’on croyait condamnées

En quête d’immobilier à bas coût mais avant tout d’air pur, de tranquillité et de verdure, beaucoup de jeunes couples s’installent, depuis plusieurs mois, dans des bourgades du Centre-Bretagne que l’on croyait condamnées. Un phénomène étonnant qui redonne souffle et vie à cette partie de la région.

Un exil qui ravit Stéphane Le Coz, maire de Saint-Aignan cette petite commune qui compte 4 bars et 600 habitants. « Sur les quatre dernières années, 34 nouveaux jeunes couples se sont installés à Saint-Aignan ! Grâce à cela, les effectifs de l’école s’en ressentent et l’activité des commerces aussi », s’enthousiasme le premier édile.

« Clairement, depuis deux ou trois ans, il se passe quelque chose en Centre-Bretagne. Des dizaines et des dizaines de nouveaux habitants arrivent, à la recherche d’une qualité de vie et d’un environnement plus adéquat pour leurs enfants. Voilà qui peut sauver cette partie de la région ».

« Mais il y a aussi le côté sécuritaire. Beaucoup de jeunes couples viennent en Centre-Bretagne car ils peuvent laisser leurs gamins jouer tranquilles dans la rue ». Manu, 28 ans et primo-accédant à Guénin avec Camille, acquiesce. « J’habitais avant dans le centre de Lorient. Un matin, en sortant de chez moi, j’ai vu ma voiture abîmée. Ici, à Guénin, je laisse mon garage ouvert toute la nuit ! ».

Il est vrai que pour les jeunes d’aujourd’hui, la vie des champs n’est pas toujours des plus excitantes : à la campagne, le débit de boissons est souvent plus performant que le débit internet et le téléphone portable sert surtout de montre. « Mais habiter à la campagne, c’est préserver nos enfants des tentations, insiste Fanny. Ici, il y a moins d’effet de mode, de violence, d’industries, de McDo et compagnie ».

Le Télégramme de Brest





ERIC ZEMMOUR vs. Polony et Glucksman – Gros débat à la Radio du service public !

ERIC ZEMMOUR est de très loin aujourd’hui en France l’analyste politique le plus instruit et cultivé, dont tout le discours est parfaitement argumenté au moyen de références historiques nombreuses et très riches…
Ce qui fait d’Eric Zemmour l’intellectuel probablement le plus clairvoyant et le plus courageux de notre époque, où l’ignorance et l’immaturité érigée en institution règnent sans partage et plus que jamais dans les “grands médias dominants”.
En tout cas “Le Zemmour” est de très loin le plus suivi, et incarne tout un courant de pensée français qui devient tout doucement majoritaire chez les Français de souche.





Emmanuel Macron et le doigt de déshonneur

C’est étrange à dire et à écrire, mais ce lundi matin, c’est moi qui ai honte. Honte de vivre dans un pays où la lâcheté, la bêtise, la veulerie, le mensonge, la trouille sans doute, font que nos « élites » sont prêtes à accepter n’importe quoi et, pire encore, à le justifier.

Macron veut jouer les potos, donne des claques qu’il croit viriles dans le dos des jeunes « en devenir », balance des ouesh ouesh dans les cages d’escalier, colle sa chemise blanche à la sueur âcre des corps bodybuildés en zonzon… Et puis, embarqué par l’émoi qui le chatouille, grisé par tant de mâle audace, le Président pose, gringalet tout sourire entre deux jeunes gens très bien sous tous rapports. L’un met les doigts en fourche. L’autre fait un doigt d’honneur. Explicite. Orienté. Il n’y a pas à s’y tromper : il désigne, sans doute possible, monsieur Emmanuel Macron, président en exercice de la République française.

Ah, les braves petits. La bonne blague. Ils sont très fiers, les p’tits jeunes de Saint-Martin. Ont aussitôt mis le cliché en ligne. La Martinique a ses héros, viva Zapata !

Allez savoir pourquoi, il y a des gens que cela indigne. Des esprits chagrins, assurément, qui ne comprennent rien à l’enthousiasme de la jeunesse ultramarine. Marine Le Pen, par exemple, qui a tweeté ce commentaire : « On ne trouve même plus de mots pour exprimer notre indignation. La France ne mérite certainement pas cela. C’est impardonnable ! » Ou encore Robert Ménard : « Il ne reste quasiment rien. Que des lambeaux de dignité qui se perdent dans la nuit de la vulgarité. Le costume de Président est devenu bien trop large. »

Et que croyez-vous qu’il arriva ? C’est Le Pen qu’on accusa. Pour commencer.

Marlène Schiappa, dont la finesse est le plus sûr rempart présidentiel, y est allée aussitôt de sa tirade (sur RTL) : « Les commentaires de Marine Le Pen n’ont aucun intérêt. Elle est leader d’un grand parti raciste, d’extrême droite. Ce qui la choque, ce n’est pas que le Président pose à côté d’un jeune, c’est la couleur de peau de ce jeune. Soyons très clairs. »

Ce qui est très clair, aveuglant même, c’est l’imbécillité de ce commentaire. L’analyse au ras du gazogène, la reductio ad hitlerum qui, chez Marlène Schiappa, secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, sert en tout et pour tout de réflexion. C’est pourquoi, au cas où l’on n’aurait pas bien saisi, elle enfonce le clou de girofle : « À chaque fois que le Président pose avec des personnes de couleur noire, Marine Le Pen s’offusque. Donc, cela n’a pas grand intérêt. »

Je vais me répéter et j’en suis désolée : j’ai honte. Honte pour mon pays. Honte de voir que des jeunes à peine sortis de prison sont félicités comme des héros, honte qu’on feigne d’ignorer leur geste obscène adressé au Président pour vouer aux gémonies ceux qui le dénoncent.

À l’inverse de son ministre, Macron n’est pas idiot. Il est juste comme un chien fou qui s’émoustille et s’ébroue, tout à la fête d’avoir de nouveaux potes. Pense qu’il va se faire un « meilleur ami » dans l’escalier H de la Tour B2 comme un premier de la classe, bien dressé, file son portable aux racketteurs sans même qu’ils le demandent. Syndrome de Stockholm, quand tu nous tiens…

« J’aime chaque enfant de la République, quelles que soient ses bêtises (sic), parce que bien souvent, parce que c’est un enfant de la République, il n’a pas choisi l’endroit où il est né », a justifié le Président lors du point presse. « On ne tirera rien des discours de haine. Marine Le Pen n’est pas avec le peuple. Marine Le Pen, c’est l’extrême droite, et l’extrême droite, ce n’est pas le peuple. Je suis président de la République et je ne laisserai à personne le peuple », a-t-il ajouté.

Eh, Emmanuel, regarde bien la photo avec tes nouveaux potes : t’as vu ce qu’il te dit, le peuple ?





Nice : une enquête ouverte après la diffusion de la vidéo d’une violente agression

La vidéo ultra-violente, largement partagée sur les réseaux sociaux, a été l’objet d’un signalement de la part d’élus du Rassemblement National PACA.
Les images sont d’une violence rare. On aperçoit au moins trois personnes non identifiées, insulter un homme puis le frapper à terre, sans que l’on connaisse la raison de l’altercation. La victime en sang reçoit plusieurs coups à l’abdomen de la part d’un jeune homme, porteur d’une casquette blanche.

Suite à la diffusion sur les réseaux sociaux, depuis vendredi, de cette vidéo de cette agression ultra-violente, la police de Nice a diligenté une enquête, samedi, selon une source policière locale.

« Nous avons visionné cette vidéo sur laquelle on voit une personne se faire agresser par tout un groupe, mais ce n’est pas daté et le lieu n’est pas précisé », ajoute cette source policière. « Cela s’est-il passé cette nuit ou il y a trois ans, à Nice ou aux États-Unis, et qui a posté cette vidéo ? Ce sont tous les points que nous allons essayer d’éclaircir », relève la même source.

«Ici c’est Nice !»
Sur les images, tournées de nuit avec un smartphone, dans ce qui semble être une rue du Vieux-Nice proche du Palais de justice, on entend distinctement un groupe d’hommes se revendiquant de « Nice 06 000 » encourager l’un des siens à en « niquer » un autre. « Je l’ai détruit, il est mort », se vante l’auteur présumé des coups. « Ici c’est Nice !» commente celui qui filme, la vidéo se terminant sur un gros plan où l’on voit la victime gisant au sol, inconsciente, le visage ensanglanté.

Cette vidéo a été relayée notamment par Philippe Vardon, conseiller régional Rassemblement national (RN) de Provence-Alpes-Côte-d’Azur, pour lancer, indique-t-il, « un appel à témoignages » afin de retrouver les auteurs de cette agression. Dans un second tweet adressé à la police nationale des Alpes-Maritimes, l’élu RN alerte ces services sur l’origine du compte Instagram qui a posté cette vidéo.

La vidéo a été notamment diffusée sur Instagram, Twitter et Facebook, où elle totalise plusieurs milliers de vues. A lui seul, le post Instagram a été vu plus de 14 000 fois, selon le compteur du réseau. La vidéo sur Twitter a été vue plus de 19 000 fois.





Marine Le Pen refuse de pleurer sur le sort des migrants de l’Aquarius… et elle a raison !

Jeudi matin, face à Marine Le Pen, on a vu Jean-Jacques Bourdin prendre, une fois de plus, parti pour ses amis de la gauche bien pensante, s’offusquant dans un premier temps de voir la haine transpirer des propos de Moix, Campion et Zemmour. Ah ! Zemmour qu’il aimerait voir interdit d’antenne à jamais, lui le journaliste à qui-tout-est-permis-sauf. Mais ce n’était pas tout. Pour s’émouvoir du sort des « réfugiés » de l’Aquarius, il a absolument tenu à faire dire à Marine Le Pen combien, elle aussi, compatissait au sort de ces malheureux rescapés des flots. Et de citer le cas de cette pauvre femme ayant fui avec ses cinq enfants âgés de 9 à 22 ans parce que son mari avait été enlevé et qui pensait trouver refuge sur cet accueillant sol européen.

Eh bien non ! Marine Le Pen ne s’est pas mise à pleurer. Elle a rappelé sa position sur ces navires allant à la pêche aux migrants. « Ce sont les complices des passeurs. Ils font de la traite d’êtres humains. Ils vont chercher les migrants à vingt kilomètres des rives de la Libye pour des raisons d’idéologie politique et font appeler les ONG par les passeurs pour qu’ils viennent les prendre à leur bord. »

Jean-Jacques Bourdin insiste. Mais cette femme, Malaka, voulait sauver ses enfants, menacés par les ravisseurs de leur père, rappelle-t-il. Et Marine Le Pen de lui répliquer sans frémir que « l’agence de communication Aquarius a dû sélectionner des personnes qui puissent faire pleurer dans les chaumières ». Avec une conclusion évidente : pourquoi cette famille n’a-t-elle pas sollicité un visa dans un consulat à Tripoli ou Benghazi ? Un visa qui, au vu de ses explications, lui aurait certainement été accordé rapidement et lui aurait évité de mettre en péril sa vie et celle de ses enfants, en payant le prix fort. Enfin, si péril il y avait car les passeurs savaient, bien sûr, que l’Aquarius rôdait dans les parages…

Et c’est bien là le drame de cette migration maritime, qu’encouragent nos dirigeants, et notre « champion de la Terre » en premier. Le jour où passeurs et ONG seront considérés à égalité sans possibilité d’opérer leur sinistre besogne pour les premiers et leur fausse compassion pour les seconds, quel migrant aurait l’audace d’affronter une traversée de la Méditerranée problématique ?

Les consulats sont omniprésents sur le continent africain. Passer outre leur fonction, c’est entrer dans l’illégalité, la clandestinité, parfois et trop souvent, la mort anonyme par noyade ou déshydratation. Alors, oui, Marine Le Pen, entre autres, a raison de souligner qu’encourager ces navires complices de traite humaine, c’est donner l’illusion que l’Europe continuera à accueillir toute la misère du monde. Et à subir une invasion, en majorité musulmane, d’hommes à 95 %, à qui l’Europe ne pourra pas offrir un toit ou un travail sans léser leurs propres citoyens.





Pendez les Blancs : ce racisme anti-blanc que toute la gauche ose contester

LIEN VERS LA VIDEO : http://rutube.free.fr/video/Rutube Nick Conrad Rapp PLB.mp4

PLD, “Pendez les Blancs” !

“Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents !”

Voilà le clip barbare que le rappeur français Nick Conrad, un triste inconnu qui a besoin de se faire un nom, diffuse chez les jeunes immigrés.

Voilà où nous a menés la politique migratoire démentielle de nos élus.

Voilà où nous ont conduits l’idéologie mondialiste et le multiculturalisme des illuminés qui ont le destin de la France entre leurs mains : au désastre !

Ils ont littéralement détruit l’avenir des générations futures, détruit la France.

Nous lèguerons à nos enfants une société totalement disloquée où la haine des Blancs risque de mener, tôt ou tard, à des conflits inter-ethniques et inter-confessionnels de grande ampleur.

C’est ça, la société multiculturelle paradisiaque que nous ont vantée les ayatollahs du politiquement correct.

C’est ça, la diversité qui fait la richesse de la France.

C’est ça, le droit à la différence et l’acceptation de l’Autre !

Voilà maintenant 40 ans que les politiques, les pseudo-intellectuels, les faiseurs d’opinion de la presse de gauche, bref toutes ces élites auto-proclamées, voilà 40 ans qu’elles mentent au peuple français et imposent leur dictature tiers-mondiste qui détruit la nation.

Car ce genre de clip monstrueux, ce sont nos élites qui en sont responsables.

La haine des Blancs, le racisme anti-Blancs, nous les avons importés, nous les avons encouragés par le laxisme judiciaire, la tolérance à sens unique, la repentance à tout propos.

Quand Macron va dire aux Algériens que la colonisation fut un crime contre l’humanité, il sème la haine dans le cœur de nos jeunes immigrés et brise toute possibilité d’intégration.

Quand il accuse nos soldats d’avoir pratiqué la torture, sans jamais évoquer la barbarie FLN, il sème les germes de la désintégration de la nation.

Au nom de l’antiracisme à géométrie variable, les gardiens de la morale de gauche ont toujours fermé les yeux sur l’intolérable, défendu l’indéfendable, pour ne pas “stigmatiser”, mais surtout pour ne pas marcher sur les plates-bandes du Rassemblement national et apporter de l’eau au moulin des opposants à l’immigration de masse.

Et aujourd’hui, ils sont où, ces modèles de vertu, ces humanistes bon teint, ces nobles chevaliers de l’antiracisme qui ont accablé Zemmour pour avoir dit à Hapsatou Sy que le prénom “Corinne” lui irait très bien ?

Ils sont où, ces journalistes qui ont monopolisé les plateaux TV pendant 8 jours pour cracher sur Zemmour, pour le traiter de raciste, de salaud, de fou, de malade et de semeur de haine ?

On ne les entend plus. Ils sont aux abonnés absents.

L’un de leurs chouchous de la diversité vient de cracher son venin en braillant “pendez les Blancs” et ils sont tétanisés.

Que dire, que faire ?

Certains vont sans doute nous expliquer qu’on n’a rien compris au clip. Qu’il ne faut pas prendre ça au premier degré, que c’est une provocation, certes, mais qui, bien au contraire, dénonce le racisme de tout bord.

Un message artistique de haute volée qui nous aurait échappé, en quelque sorte.

Et pas de frein à la liberté d’expression des « artistes ». Refrain bien connu.

Conrad se fout même de notre gueule, en nous disant que ce n’est pas un appel à la haine, mais qu’il faut aller « chercher en profondeur » !

Il va falloir creuser profond ! Et si le Français moyen n’a rien compris, que dire du jeune public de Nick Conrad qui arrive en 6e sans maîtriser le français ?

D’autres, sociologues en tête, nous expliqueront doctement que c’est la faute de la colonisation, de l’esclavage, de la discrimination, la faute des suprémacistes blancs qui exercent leur domination sur les racisés et les “non-souchiens”.

Éternel discours de victimisation pour bénéficier de l’impunité.

Foutaises que tout cela. Discours hypocrite de la sphère bien-pensante.

La vérité est que l’immigration extra-européenne est une bombe à retardement qui va tout pulvériser dans les années qui viennent si nos décideurs continuent de fermer les yeux sur le naufrage de l’intégration et l’illusion du “vivre ensemble”.

Enquête après enquête, toutes les synthèses des services de renseignement et des acteurs sociaux qui opèrent en banlieue font le même constat :

“Que la violence est de plus en plus enracinée et précoce, que la déculturation de masse fait des ravages et profite tant aux trafiquants qu’aux islamistes qui attisent la haine.” (Figaro)

Rien de bien nouveau. Les services de renseignement tiraient déjà la sonnette d’alarme dans les années 90.

Mais la politique de l’autruche n’a fait qu’aggraver la situation.

On assiste à une explosion des violences antisémites et anti-Blancs, qu’on appelle pudiquement “violences gratuites”, mais qui sont des violences dictées par un pur racisme, just for fun.

Je n’ai pas vu le clip, puisque Gérard Collomb a ordonné, à juste titre, son retrait, mais Stéphane Kovacs, du Figaro, en donne un résumé détaillé.

“Le clip débute par une scène de pendaison d’un homme blanc, la nuit, à Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis. L’homme est enlevé, suffoque, la tête recouverte d’un sac-poubelle.”

“Deux hommes noirs lui enfoncent un pistolet dans la bouche et différents actes de torture s’enchaînent”.

“Prouve que t’as de la génétique ! Que t’as un ADN magique ! Est-ce qu’il court vite le Blanc ?” ricanent les deux agresseurs.

“Pendez-les tous ! Pendez les Blancs” !

“Écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants noirs de tous âges, petits et grands. Fouettez-les fort, faites-le franchement, que ça pue la mort, que ça pisse le sang” !

Et apparaît sur l’écran une citation de Malcom X, prêcheur musulman afro-américain, assassiné à Harlem en 1965.

“ Le prix pour faire que les autres respectent vos droits humains est la mort”.

De quoi donner bien des idées à la jeunesse immigrée déjà révoltée contre la République.

C’est donc bien davantage que de l’incitation à la haine, c’est un clip pousse-au-crime, passible de 5 ans de prison.

Cette barbarie est le fruit du renoncement permanent et de la lâcheté de nos politiques, qui ont toujours nié l’échec de l’intégration et refusé de stopper une immigration de masse dévastatrice.

La haine de la France se répand dans nos banlieues où des milliers de jeunes en situation d’échec scolaire sont sensibles au discours victimaire qui les exonère totalement de leurs responsabilités.

“Si tu es dans la détresse, c’est uniquement la faute de ces salauds de Blancs”.

D’un côté, les immigrés nous reprochent la colonisation et l’esclavage, de l’autre, les élites blanches se vautrent dans une repentance sans fin qui ne fait que renforcer la haine des minorités.

Une aubaine pour les barbus qui recrutent à tour de bras. 50 % des jeunes musulmans préfèrent la charia à la loi républicaine. Belle intégration !

Quant aux patriotes, sites identitaires et autres lanceurs d’alerte, ils sont entre le marteau et l’enclume, subissant depuis des années les foudres d’une justice bien-pensante qui interdit tout débat serein sur l’immigration au nom du politiquement correct.

En conclusion, nous payons au prix fort les délires mondialistes de nos élus qui ont passé les 30 dernières années à diaboliser le Front national, à traîner ses électeurs dans la boue, systématiquement taxés d’incitation à la haine, alors que c’est dans les banlieues que se répandait une haine viscérale à l’égard de la France et du peuple français de souche.

Ce clip n’est pas l’œuvre d’un illuminé. C’est beaucoup plus grave.

Il traduit la haine que des milliers de jeunes immigrés ressentent, à la troisième génération, et annonce des lendemains tragiques pour la France qui va devenir un enfer pour les générations futures.

Tout cela était écrit depuis longtemps. En 1980, JMLP tirait déjà la sonnette d’alarme. On a préféré le diaboliser.

Et jamais la France n’a accueilli autant d’immigrés qu’aujourd’hui. C’est bien la preuve que la destruction de la nation au profit d’une société multiculturelle est parfaitement orchestrée.

L’heure de la facture est arrivée, elle sera salée !

Jacques Guillemain (Dans Riposte Laïque)