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Macron, le méprisant de la République

Comment Emmanuel Macron va-t-il pouvoir faire face aux Français lors de sa prochaine prestation télévisée après de multiples faux pas rapportés par une presse de moins en moins macroniste, donc de plus en plus objective ?

Après l’arrogance dont il a usé face aux retraités venus le saluer à Colombey-les-Deux-Églises, il a enchaîné au Salon de l’automobile où il affiché une évidente nervosité, comme nous allons le voir. Cette attitude serait-elle due à la scène de ménage rapportée avec force détails par Valeurs actuelles et qui aurait affecté profondément le Président ? Après sa catastrophique séance de photos de Saint-Martin, Brigitte Macron lui aurait hurlé : « Il faut arrêter les conneries, maintenant. » Scène décrite par le journaliste d’Europe 1 Frédéric Helbert sur Twitter, mercredi : « Selon une top source, le Président a subi une véritable engueulade, une déculottée », venue de son épouse Brigitte Macron, qui a tout passé en revue (Benalla, etc.). « Ça gueulait si fort derrière la porte qu’on a tout entendu (membre #GSPR). » Et de poursuivre, dans un autre tweet : « C’était un huis clos derrière la lourde porte du bureau du PDR. Mais ça cognait si dur qu’on a tout capté, dit 1 officier #Secu. »

On peut prévoir que Macron n’en restera pas là et qu’une enquête approfondie auprès des services de sécurité de l’Élysée va trouver le délateur. Mais cette révélation ainsi rendue publique après le claquage de porte de son ami Collomb aura suffisamment affecté le Président pour expliquer ce qui s’est passé à Colombey et au Mondial de l’automobile.

« En quarante ans de Salon, je n’avais jamais vu un tel mépris ! », a confié le responsable d’un groupe français. Emmanuel Macron avait tout simplement privatisé le Mondial pendant trois heures, bloquant derrière un important cordon de sécurité des centaines de visiteurs et journalistes venus inaugurer cet événement. Un petit groupe d’accrédités auprès de l’Élysée avait été autorisé à suivre le Président, qui leur a déclaré, selon l’AFP, qu’« il y a un cap, des institutions, un gouvernement au travail, au service du pays et du peuple français… c’est ce qui compte. Le reste, ce sont des péripéties. » Péripéties créées par le caractère impérial du visiteur qui a bien voulu répondre qu’il continuait à conduire. « Le volant, ce sont les Français qui le donnent et ils l’ont donné pour cinq ans à une personne. »

Le ton se veut, volontairement ou pas, toujours arrogant et au-dessus de toute contestation possible. Emmanuel Macron est le chef. Et il aime le faire sentir. Même si, derrière lui, une certaine cheftaine tente de le remettre sur le chemin de la tempérance.

On peut prévoir ce qu’il va déclamer pendant ses futures deux heures d’intervention télévisée. Qu’il a fait, qu’il fait et qu’il va faire de l’excellent travail pour donner au pays (la France, je suppose) le bonheur tant attendu, la prospérité, même si celle-ci va creuser le modeste déficit qui atteindra peut-être les 2.800 milliards en 2022. « Je sais, je suis peut-être un peu cru. J’ai le défaut de dire ce que je pense », etc. Avec son sourire à la George Clooney, il va tenter de nous embobiner avec le talent que les Français ont pensé découvrir pendant sa campagne présidentielle.





Belattar et Macron, unis par la haine de la France et le mépris des Français

Publié le 10 octobre 2018 – par Martin Moisan (Dans Riposte Laïque)

Yassine Belattar a de plus en plus une sale gueule, au fur et à mesure que les années passent. Toute sa haine, sa laideur, sa noirceur, se reflètent sur son visage. C’est cet homme, qui nous hait, que Macron a osé nommer membre du Conseil présidentiel des villes, excusez du peu. Autrement dit, la France va solliciter son avis sur les banlieues.

Ce mec vient pourtant ouvertement de sommer notre pays, et son prochain ministre de l’Intérieur (nous en sommes à dix jours de vacance, après le départ de Gérard Collomb) de se plier aux règles des banlieues, en menaçant ouvertement la France de représailles dans le cas contraire.

Il a parlé d’apartheid, rien de moins, pour protéger son copain le rappeur islamiste qui voulait pendre les Blancs.

Il a insulté grossièrement Éric Zemmour sur les plateaux de télévision, faisant glousser d’aise les journalistes présents.

Il menace de procès quiconque ose lui rappeler quelques vérités, comme l’avocat Gilles-William Goldnadel ou Valeurs Actuelles.

Il a même reproché aux Grandes Gueules d’être responsables de la montée du racisme (contre les musulmans, bien sûr), ce à quoi Marschall a piteusement répondu qu’il avait toujours défendu l’islam et, au lendemain des attentats de Charlie Hebdo, qu’ils avaient fait l’émission dans la mosquée de Bordeaux chez Tareq Oubrou.

Il s’est permis de harceler Albert Chennouf-Meyer, le père d’une des victimes de Merah, qui lui ne défend pas l’islam en prétendant combattre l’islamisme.

Il a été placé en garde à vue pendant quelques heures, le 20 février dernier, aux Mureaux, lors de la visite d’Emmanuel Macron dans cette ville, après avoir insulté des policiers qu’il aurait qualifiés « d’abrutis » et de « bons à rien », ces policiers l’ayant empêché de rejoindre le cortège présidentiel dès lors qu’il se présentait sans invitation.

Les Mureaux : l’humoriste Yassine Belattar en garde à vue – Le Point

Yassine Belattar est également accusé d’avoir menacé d’égorger le journaliste Alexandre Devecchio et sa compagne après avoir traité le journaliste « d’islamophobe » et de « fils de pute ».

Et, cerise sur le gâteau, c’est lui qui présentait, en 2015, le gala du CCIF, dont on connaît les liens avec les Frères Musulmans, et qui ne cache plus sa volonté de transformer la France en terre d’islam.

Précisons qu’il vient des valises du Parti socialiste, qu’il avait voté Royal en 2007, Hollande en 2012 et s’est vendu à son « frère » Macron dont il se vante d’avoir eu le soutien lors d’une polémique que ce charlot avait provoquée avec le journal Marianne.

Parlant de sa pratique religieuse, il affiche clairement la couleur : « Il n’y a pas de modération dans la religion : on est musulman ou on ne l’est pas. »

C’est cet islamiste que Macron a nommé membre du Conseil présidentiel sur les villes. Décidément, Macron, qui passe son temps à insulter les Français des classes populaires, paraît avoir un faible pour les trafiquants noirs et les musulmans haineux qui insultent, eux aussi, la France, la France et les Français. Se souvenir de la manière dont Benalla parlait aux policiers français, à l’Elysée, se sachant protéger par celui que Jean Sobieski a surnommé Choupinet.

C’est cet islamiste que les journalistes invitent fréquemment sur les plateaux de télévision.

C’est cet islamiste que l’institution judiciaire protège. Si nous avions une justice digne de ce nom, suite à ses menaces contre la France, il aurait dû être déféré dans le bureau d’un procureur de la République et être mis en examen, voire incarcéré immédiatement, pour incitation à la haine et appel à l’émeute. Mais c’est beaucoup plus facile de s’en prendre aux Identitaires.

Comment ne pas remarquer la similitude, et la complémentarité, des insultes de Macron vis-à-vis de la France, de ses piliers, de son Histoire et de ses couches populaires.

Depuis l’Algérie, il a accusé notre pays d’avoir commis des crimes contre l’humanité, relayant la version du FLN algérien, alors que dans la réalité, en période de guerre, ce sont les indépendantistes islamistes qui ont commis le plus d’actes de sauvagerie, dans des conditions qui confirment la barbarie de cette mouvance.

Continuant, dans ce registre, à cracher sur l’armée française, il a honoré le traître communiste Audin, responsable de la mort de nombre de Français et complice du FLN.

Puis, depuis l’Angleterre, il a osé nier la réalité de la culture française.

Au Danemark, il a dénoncé ces « Gaulois réfractaires aux réformes ».

En Roumanie, il a rappelé que les Français détestaient les réformes.

En Grèce, il a affirmé qu’il ne céderait rien aux « fainéants et aux hypocrites ».

À la tribune de l’Onu, il a osé dire que la France avait fait « beaucoup de mal ».

En France, à l’occasion de différents déplacements, il a qualifié des Français « d’illettrés », « d’alcooliques » et de « fainéants ».

Jamais un chef d’État, dans l’Histoire de France mais aussi dans le monde, n’a, en si peu de temps, autant sali son pays et ses compatriotes et, qui plus est, depuis l’étranger.

Macron n’est pas un Français de cœur, c’est un citoyen du monde. Son projet politique est de supprimer les frontières, de gommer les identités des peuples et d’imposer un vivre-ensemble suicidaire pour notre civilisation. Il interdit aux Français de défendre leur culture, leur mode de vie et accorde toutes les dérogations aux autres minorités, musulmans en tête. C’est un traître dont le pays devra se débarrasser et qu’il faudra juger.

Belattar est pourtant né à Conflans-Sainte-Honorine, la ville de Rocard, où les socialistes lui ont tout accordé. Il se dit un enfant de la République. Mais c’est d’abord et surtout un enfant de l’islam, un ennemi de la France et de notre modèle laïque, et un copain de Macron. Qui se ressemble s’assemble.

Il fait partie de ces milliers de musulmans, même nés en France, même de nationalité française, qu’il faudra expulser hors de notre pays et envoyer dans un des cinquante-sept pays musulmans que compte le monde.

Sans le moindre état d’âme, tout simplement parce que, quand on a la gangrène, si on n’ampute pas, on meurt.

Donc, pour sauver la France, il faudra la débarrasser de tous les Belattar et de tous les Macron qui la pourrissent et lui crachent dessus matin, midi et soir. Les juger, les virer, les exiler, les chasser, mais ne plus les voir, ne plus les entendre.

Cela s’appelle le Grand nettoyage, et moi je n’attends que cela.

Martin Moisan (dans Riposte Laïque)





Laïcité : le ministère de l’Éducation reçoit pas moins de 30 appels par jour d’enseignants pour des conflits liés à la religion

Si le nombre d’incidents relevés par les profs est stable, certains observent une « radicalisation des pratiques religieuses ».

La plateforme d’appels créée fin mai par le ministère de l’Éducation nationale reçoit pas moins de 30 appels par jour d’enseignants en quête d’aide et de conseils, notamment pour des questions relatives à la laïcité et aux conflits liés à la religion. Dans l’entourage de Jean-Michel Blanquer, on assure que ces professionnels sont écoutés, orientés et pris en charge dans les 24 heures.

Dans ce contexte, le contenu d’une note de synthèse annuelle des renseignements territoriaux, datée de juillet et révélée mardi par Europe 1, n’étonne guère au ministère. Comme d’autres avant celle-ci, la note de quelques pages signale des cas de communautarisme musulman dans les établissements scolaires, en insistant sur le fait que ces cas sont stables. «Les motifs sont de plus en plus inquiétants», estime en revanche la radio, qui prend l’exemple d’élèves refusant d’avoir cours dans une classe comportant du mobilier rouge, jugé « haram », c’est-à-dire interdit par le Coran.

(…) Le Figaro





Le communautarisme musulman c’est aussi à l’école !

C’est une note plus qu’alarmante des services de renseignement à laquelle Europe 1 a eu accès et dont la teneur nous est révélée ce mardi. Elle concerne « les dérives du communautarisme à l’école ». Voilà pour le titre qui ne désigne personne, mais ledit communautarisme, bien sûr, c’est le communautarisme musulman. De plus en plus radical, de plus en plus aberrant, de plus en plus ingérable.

Donc, « Europe 1 a pu consulter en exclusivité une note ultra confidentielle des services de renseignement, reçue par le cabinet du président de la République, du Premier ministre et de Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Éducation nationale, sur les signalements de cas de communautarisme musulman dans les établissements scolaires ». Et ce que cette note révèle est particulièrement inquiétant.

C’est la gravité des faits et particulièrement les motifs, totalement extravagants, qui inquiètent grandement l’institution. On signale ainsi une nouveauté sur le terrain du « refus de » : après la nourriture, la mixité, le contenu des enseignements, etc., ce sont désormais des élèves qui « refusent d’avoir cours dans des classes comportant du mobilier rouge, jugé « haram », c’est-à-dire interdit par le Coran ». La note signale également la multiplication des cas où les enfants « refusent de dessiner des représentations humaines », « se bouchent les oreilles quand on passe de la musique en classe » ou bien, presque classique désormais, refusent de se donner la main entre garçons et filles.

La note alerte également sur un problème qui pourrait relever de la santé publique, à savoir que les enfants suivent le ramadan de plus en plus tôt, mettant en place de véritables phobies délirantes. Ainsi « à Troyes, des élèves de sixième ont refusé d’aller à la piscine avec leur classe de peur de « boire la tasse et de casser leur jeûne » ».
La question des repas devient dès lors ingérable quand il ne s’agit plus seulement de refuser la nourriture, mais même de s’asseoir à côté de celui qui ne mange pas halal ! Il est ainsi rapporté qu’au cours d’un voyage scolaire organisé dans un collège de Saint-Denis, il a été proposé du poulet et des frites. Sur une cinquantaine d’enfants, 35 ont refusé le poulet « non halal »… qui a été jeté. Pour les mêmes raisons, on supprime partout des voyages scolaires.

Voilà autant de faits qui relativisent les discours larmoyants des belles âmes sur les enfants qui ne peuvent manger à leur faim, ou qui sont discriminés parce que privés de sorties…

Tout cela est su mais nié par une grande partie de nos intellectuels (ou prétendus tels) qui persistent à voir en tout musulman un martyre de l’Occident colonisateur. Pourtant, comme le soulignait Hakim El Karoui au début de septembre, sur Europe 1 également, le communautarisme musulman est en train de fabriquer sous notre nez une société parallèle.

Auteur d’un rapport sur la réorganisation de l’islam de France, ce spécialiste de l’histoire de l’islam auprès de l’Institut Montaigne établit une comparaison sans doute très déstabilisante pour nos penseurs de gauche, mais parfaitement fondée : « l’islamisme ressemble au communisme », dit-il. Comme lui, il a « des militants, des sympathisants, et une activité locale pour diffuser une idée ». Comme le communisme qui voulait imposer par la force une société prétendument généreuse, les islamistes « essayent de créer une société alternative, qui va être pure, halal – halal veut dire « licite ». De façon concrète, ce sont évidemment les vêtements, la nourriture mais aussi la façon de vivre ensemble. On crée un « Blablacar halal », un « Airbnb halal » pour ne pas se mélanger ». Car le propre des tous les communautarismes est là : créer une société en marge, avec ses propres règles.

On peut contester les propositions d’Hakim El Karoui, mais certes pas sa conclusion : « Il faut se lever et reprendre la main sur la religion musulmane. » S’il n’est pas trop tard…





Paris 13e : Agression filmée d’un couple d’origine asiatique à son domicile

Un couple d’origine asiatique rentre tard le soir à son domicile, dans un quartier résidentiel du 13e arrondissement de Paris, lundi 1er octobre. Il se fait prendre en filature par quatre individus puis est agressé dans le hall de leur immeuble.

Le mari est fouillé pendant une minute qui lui parait interminable, sous les yeux de sa femme, impuissante.

Les agresseurs le précisent aux victimes : ils ne cherchent ni cartes bancaires, ni téléphones portables… mais avant tout des espèces.

Ils repartent avec un butin d’un peu plus de 100€ tandis que pour le couple, cela signifiera des séquelles psychologiques à vie.
Le couple a décidé de porter plainte.

Sécurité pour tous

Samedi, c’est jour de mariage, et cela devient insupportable dans ma ville

Je n’habite pas les quartiers nord de Marseille ou le 93, mais une ville du Sud-Ouest. Et pourtant, je vais vivre un samedi après-midi de mariages comme partout en France. Pas de mariage blanc, non. Un vrai mariage. Un mariage vert ou rouge, car ce sont les couleurs qui domineront dans des drapeaux agités par les portières des belles voitures et que verront les passants. Passants qui seront contraints, s’ils font des courses en centre-ville, conduisent leurs enfants à la musique ou au foot, de reconnaître qu’un mariage communautaire – c’est comme ça que disent pudiquement les journalistes de la presse quotidienne régionale – a lieu. Contraints de mille façons : les drapeaux brandis (marocains, algériens ou turcs), donc, les klaxons, les cris, la circulation perturbée par le convoi nuptial qui n’hésitera pas à griller les feux, monter sur les trottoirs, mais aussi les cris et les injures lancées au citoyen lambda qui ose lancer un regard désapprobateur ou respecter les feux tricolores.

Or, il semblerait que la désapprobation progresse. Les Français sont un peuple patient et policé. Jusqu’à un certain point, peut-être. Surtout quand ils commencent à comprendre qu’il y a abus, excès, manque de retenue, de respect. Et ces excès, qui deviennent parfois des délits en termes de sécurité routière ou de simple respect du Code de la route, passent mal et font que, sommés de voir du vert tous les samedis après-midi, certains piétons ou commerçants commencent à voir vraiment rouge. À l’heure où vos dépassements de 8 km/h et vos 5 minutes de retard au parking vous coûtent des centaines d’euros, l’impunité dont jouissent les noceurs du samedi après-midi dans les villes de France est inacceptable.

Samedi dernier, à Annecy, les débordements ont été si manifestes, les piétons si excédés que la police a dû intervenir. Tant que le piéton ne crie pas, les autorités ne bougent pas : étrange façon de gérer le vivre ensemble… Selon France Bleu,

« Deux mariages célébrés dans la communauté turque d’Annecy ont entraîné, en plein centre-ville, de nombreux débordements et infractions au Code de la route. Voitures sur le trottoir, circulation à contresens, refus de priorité… la liste est longue. “Ce jour-là, nous avons reçu énormément d’appels de la part de piétons ou de conducteurs excédés par ces comportements”, indique un responsable du commissariat d’Annecy. »

À Nice, le 1er septembre dernier, Christian Estrosi avait même décidé de reporter un mariage dont les protagonistes et les invités ne respectaient pas le Code de la route, ni la « charte » des mariages qu’il a édictée en 2012. Visiblement, la charte n’a pas suffi.

Dans ma ville, ces deux derniers samedis de septembre, nous avons assisté avec nos enfants à des excès comparables.

Sur d’autres sujets, il nous est demandé de « ne plus rien laisser passer ». Et, si, devant ces dérives inacceptables, on ne laissait plus passer non plus ? Et si, au-delà de la nécessaire répression de ces comportements irrespectueux et délictueux, on demandait à nos maires, à tous nos élus, d’agir, de légiférer, réglementer pour exiger, dans tout ce qui entoure cet acte d’état civil majeur qu’est le mariage, un respect minimum de la France et des Français, aussi bien dans les symboles (pas de drapeaux étrangers) que dans les comportements. Le vivre ensemble y gagnerait beaucoup.

Car – ne nous y trompons pas – la question des mariages communautaires n’est pas qu’un simple problème de Code de la route : il est l’un des nombreux signes par lesquels des communautés musulmanes disent dans l’espace public, avec des drapeaux turcs ou marocains, et jusqu’aux abords des mairies : nous sommes chez nous.





Pendant que l’Occident s’effondre, la Chine s’empare de l’Afrique

Pendant que tout l’Occident s’effondre et ne s’occupe plus que de ses toutes petites affaires, la Chine (et plus généralement tout l’Est) se lance à la conquête du monde et de sa plus importante réserve de ressources : l’Afrique.

Les Chinois : ils sont simplistes. Ils n’inventent rien, ils ne font que reproduire des processus qui ont marché et fait leurs preuves. Ils savent merveilleusement bien copier et améliorer et ils ne s’embarrassent d’aucune considération morale ou religieuse. Et ils ont une très belle intelligence politique, des moyens financiers considérables et une remarquable persévérance.

En Afrique, c’est hyper simple : on corrompt les leaders politiques qui acceptent un endettement démesuré garanti par des entreprises d’État, on constate l’insolvabilité et on s’empare des actifs.

Voyons cela de plus près.

Dans un récent article publié dans Libre Afrique, Ibrahim Anoba a très clairement expliqué le phénomène au travers de l’exemple de la Zambie. Citons Ibrahim Anoba : « Le jeu est simple : donner discrètement des prêts stupéfiants aux avides dirigeants africains et garder les détails du remboursement à l’abri des regards indiscrets du peuple. Ainsi les débiteurs ne sont pas en mesure de rembourser leurs dettes, la Chine saisit leurs hypothèques qui, comme le monde le voit maintenant, sont constituées d’actifs nationaux. »

C’est grâce à ce mécanisme que la Chine va s’emparer de la société nationale d’électricité de la Zambie, ZESCO, puis de l’aéroport de Lusaka, la capitale de la Zambie, après avoir fait main basse sur la société nationale de radio-télévision !

La Chine reproduit ce même schéma dans toute l’Afrique en utilisant à plein la corruption des dirigeants africains estimée, en 2016, par l’Union africaine, à 184 milliards de dollars !

Sont concernés des pays clés tels que le Kenya, le Nigeria, l’Angola, l’Afrique du Sud et même des « pays faibles » comme le Soudan, l’Éthiopie ou le Congo.

Le FMI a mis en garde les pays africains sur le danger des prêts chinois (qualifiés d’opium), mais les dirigeants des pays africains n’en ont cure, en dépit même de la pression des États-Unis qui ont exhorté le FMI à ne pas renflouer les pays débiteurs de la Chine.

Quant la technique de l’endettement n’est pas utilisée, il y a celle de « la guerre commerciale ».

Prenons l’exemple du Maroc. S’il est un pays qui entretient des relations historiques et apaisées avec la France, c’est bien celui-là ! Eh bien, le tramway de Casablanca a été construit par BYD, une gigantesque firme chinoise créée en 1995. BYD, cela signifie « Build Your Dreams » (« Construisez vos rêves »). C’est le leader mondial des batteries : celles qui sont mises dans les téléphones et celles qui sont mises dans les bagnoles. BYD est en train de construire, au Maroc, la plus grande usine de fabrication de batteries pour véhicules électriques. Des véhicules électriques que BYD produit déjà et qui sont commercialisés en Chine. Le dernier Salon de l’auto, c’est « le tout-électrique », mais on fait comment, sans batteries ? Sans ces batteries produites quasiment exclusivement par les Chinois ?

Et puis la conquête économique de l’Afrique par la Chine s’accompagne aussi d’une conquête de peuplement, notamment en vidant les prisons chinoises et envoyant les prisonniers travailler dans des chantiers africains où ils obtiendront la liberté s’ils « ne retournent pas au pays ». Exactement ce qui a été fait par l’Angleterre pour peupler l’Australie.

Quand je vous dis que les Chinois savent copier en mieux les modèles qui marchent !
Et où vont donc aller tous ces pauvres africains chassés par les Chinois ? Ben, en Europe, bien sûr.





Arrestation de Rédoine Faïd : «Arborer une burqa en public aurait du être une faute impardonnable pour les braqueurs»

L’arrestation de Rédoine Faïd avec ses proches dans un quartier qu’il connaissait parfaitement à Creil dans l’Oise est une illustration supplémentaire des failles profondes que présente la société française selon Raphaël Nisand, Avocat du BNVCA (« Bureau National de Vigilance contre l’Antisémitisme »).

Certes la police a fait un travail remarquable en arrêtant au saut du lit sans qu’une goutte de sang soit versée le braqueur spécialiste de l’évasion. C’est pourtant un sentiment de profonde stupéfaction lorsqu’on entend le procureur de Paris François Molins indiquer que les malfrats disposaient de plusieurs burqas à leur domicile. Des burqas dont ils se servaient immanquablement dans leurs déplacements extérieurs afin de ne pas être repéré.

L’Assemblée Nationale a voté en grande pompe il y a quelques années une loi interdisant le port de la burqa sur le territoire national en en faisant même un délit. Arborer une burqa en public aurait donc du être une faute impardonnable pour les braqueurs. Comment commettre un délit aussi évident que le port d’une tenue interdite sans se faire repérer et interpeller.

Rédoine FAÏD et ses complices étaient-ils fous de braver ici un interdit aussi fondamental au vu et au su de tous au moment où précisément ils voulaient passer inaperçus et se fondre dans la masse.

En fait , chacun l’aura compris, cette loi qui interdit le port de la burqa est simplement restée lettre morte. Elle n’a jamais été appliquée et les condamnations peuvent se compter sur les doigts d’une main, bien que le pays se soit doté d’une législation anti-burqa . La burqa est en elle-même une apologie du terrorisme islamique , aucun policier ne se sent assez fort pour faire appliquer la loi face à ces personnes provocatrices qui violent la loi de la République au nom de la charia. [.. .]

La presse a fait les grands titres sur l’arrestation de Rédoine FAÏD mais les journalistes sont souvent restés évasifs sur cette affaire de burqa .Le même jour alors qu’il quittait la place Beauvau Gérard Collomb ne disait pas autre chose et mettait en garde contre le développement de l’islamisme radical dans les quartiers. [.. .]





Gérard Collomb fait du Zemmour… et ce n’est pas rassurant !

Quand un marchand de parapluies vous dit qu’il va pleuvoir, vous relativisez ses propos. Hé, hé, pas si bête, c’est, bien sûr, dans son intérêt de vous alarmer.

Mais quand un vendeur de lunettes de soleil vous fait les mêmes mises en garde, vous prêtez l’oreille, voire vous vous inquiétez sérieusement. S’il y avait la moindre chance pour que le ciel s’éclaire, il l’aurait claironné urbi et orbi. S’il prédit à contrecœur une rincée, c’est que vous risquez bien une tempête.

Il est peu probable que Gérard Collomb se reconvertisse dans le commerce de détail puisqu’il n’a même pas eu besoin de traverser la rue pour trouver un nouveau travail : il sera maire de Lyon. Néanmoins, il est un peu l’opticien de cette petite parabole. Un passage de son discours d’adieu, abondamment relayé par la presse, semble avoir été écrit par Éric Zemmour. Sauf que, dans la bouche du ci-devant ministre de l’Intérieur, il est infiniment plus inquiétant. Son fonds de commerce politique, c’est en principe celui de l’identité heureuse qui pense printemps. Celui du vivre ensemble qui s’enrichit de la diversité.

« Aujourd’hui, on vite côte à côte. Je crains que, demain, on vive face à face », a-t-il lancé. Et, plus loin, évoquant les quartiers sensibles : « Aujourd’hui, c’est plutôt la loi du plus fort qui s’impose, des narcotrafiquants, des islamistes radicaux, qui a pris la place de la République. »

Sa pensée semble désormais à l’unisson de la saison, grise et automnale, dans la bourrasque.

Tous les analystes politiques se perdent en conjectures : mais pourquoi a-t-il donc démissionné ? On avance des blessures d’amour-propre, on suppute des querelles de personnes, on imagine des déceptions. En guise de cadeau de départ, on peut lui faire crédit de motivations dépassant le strict niveau zéro de son ego : peut-être l’idéologie s’est-elle fracassée contre une réalité que sa fonction du même nom lui a fait voir de l’intérieur ? Peut-être le sentiment de son impuissance ou une certaine schizophrénie lui devenaient-ils insupportables ?

Sa mise en garde n’est pas sans faire écho à la « partition » des territoires évoquée par François Hollande dans son livre d’entretiens Un président ne devrait pas dire ça… Un ministre de l’Intérieur socialiste non plus. Tous deux ont la double caractéristique d’avoir été aux premières loges et de de n’avoir aucun intérêt politique – c’est une litote – à dépeindre une situation dramatique.

On le sait, Daniel Cohn-Bendit, qui a d’ailleurs l’âge d’en faire autant, lui a recommandé d’aller s’occuper de ses petits-enfants. Un mot de plus et il l’envoyait à l’EHPAD. On peut prendre ce discours de départ de Gérard Collomb comme une sorte de testament, dont chaque mot a été posé. Pour s’exonérer à l’avance des reproches qu’on pourrait lui faire dans le futur, quand, qui sait, on ne vivra plus côte à côte, ni face à face, mais que l’on survivra dos à dos ? « J’ai tout essayé, sans succès. Je les ai prévenus en partant le 3 octobre, ils ne m’ont pas entendu. »





L’Etat ambitionne d’héberger 86 % des demandeurs d’asile à l’horizon 2020. le budget consacré à la mission « immigration, asile et intégration » est chiffré à 1,58 milliard d’euros en 2019 (+14%)

Côté hébergement des demandeurs d’asile, l’objectif suppose une augmentation du parc, qui devrait atteindre plus de 97 000 places en 2019.

Les documents budgétaires publiés cette semaine font apparaître un gros coup de pouce à l’intégration de réfugiés. L’Etat se fixe pour objectif d’héberger 86 % des demandeurs d’asile à l’horizon 2020, contre 50 % seulement en 2018.

Au total, le budget consacré à la mission « immigration, asile et intégration » est chiffré à 1,58 milliard d’euros en 2019 (à périmètre constant), soit une hausse de 200 millions par rapport à 2018 (+ 14 %), dans un contexte de tour de vis budgétaire (+ 0,6 % pour le budget général). « Il y a un redimensionnement de la politique d’intégration », dans le sillage du comité interministériel de cet été, qui permettra notamment de financer le doublement des cours de langue et les mesures d’insertion professionnelle, a-t-on expliqué à l’intérieur. Le budget prévoit ainsi une hausse de plus de 40 % l’an prochain des crédits de l’intégration, à 395 millions d’euros, dont 52 millions pour la formation linguistique.

Côté hébergement des demandeurs d’asile, l’objectif « ambitieux » suppose une augmentation du parc, qui devrait atteindre « plus de 97 000 places en 2019 », selon les annexes budgétaires. Pour cela, diverses mesures sont prévues: 1 000 places créées en centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA), 3 500 en hébergement d’urgence, transfert de places déjà existantes…

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