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« Inch’allah ». Deux journalistes du Monde l’affirment : «Oui, l’islamisation est à l’œuvre en Seine-Saint-Denis»

« Marianne » a lu « Inch’allah », l’enquête dirigée par les journalistes du « Monde », Gérard Davet et Fabrice Lhomme, sur la progression en Seine-Saint-Denis d’un islam en rupture avec la société française. Un livre rigoureux, mais qui documente une réalité sur laquelle de nombreux témoins lancent l’alerte depuis longtemps.

Dans ce département où, selon les estimations officieuses, une bonne moitié de la population est musulmane, une contre-société s’installe, avec ses codes et ses valeurs propres, en rupture avec la République.

C’est un livre aussi passionnant qu’inquiétant. Pendant près d’un an, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, enquêteurs connus et reconnus du Monde, ont dirigé cinq étudiants en journalisme qui ont arpenté la Seine-Saint-Denis. Leur mission : déceler les traces concrètes de l’islamisation du département le plus pauvre de France, un sujet qui «se prête à tous les raccourcis, à tous les amalgames» et qui «effraye les tenants du politiquement correct», comme l’admettent volontiers Davet et Lhomme. L’initiative est partie de l’une des confidences retentissantes de François Hollande aux deux journalistes dans Un président ne devrait pas dire ça : «Qu’il y ait un problème avec l’islam, c’est vrai. Nul n’en doute.»

Saluons-le d’emblée : l’enquête est remarquable par son contenu et sa rigueur, servie par une galerie d’acteurs et de témoins qui ont accepté de parler sans réclamer l’anonymat. De cette directrice d’école qui se bat face aux tentatives d’intrusion religieuse à cette gynécologue atterrée par l’obscurantisme de ses patientes, de ces élus qui se livrent à toutes les compromissions pour s’attirer les faveurs des électeurs musulmans à ce syndicaliste qui réclame des salles de prière dans les dépôts de la RATP, le tableau dressé est édifiant. auteurs l’écrivent d’ailleurs noir sur blanc : «Oui, l’islamisation est à l’œuvre en Seine-Saint-Denis». […]

Marianne





Weimar (All.) : 20 migrants ont agressé sexuellement une jeune femme, tabassé son ami venu l’aider et frappé les agents de sécurité lors d’une fête folklorique

Allemagne – Samedi soir, un incident grave est survenu durant un festival folklorique à Weimar au cours duquel même des agents de sécurité ont été blessés.

Lors de la fête populaire de Weimar, plusieurs hommes ont harcelé une jeune femme (20 ans) le soir. Selon la police, ils l’ont agrippée et l’ont agressée sexuellement Lorsque l’ami de la victime (26 ans) est venu la secourir, il a été pris à partie et tabassé par les jeunes agresseurs.

Des agents de sécurité ont essayé d’intervenir et ont été à leur tour attaqués et légèrement blessés. Selon la police, le groupe d’agresseurs comptait une vingtaine d’individus.

Pour le moment, quatre suspects ont été interpellés par la police : trois Syriens et un Irakien.

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Bravo Sarkozy et BHL : Poutine s’est emparé de la Libye !

C’est la France calamiteuse de Sarkozy, guidée par BHL, qui a produit ce désastre, qui a conduit à accélérer l’invasion de la France, mais en bon joueur d’échecs, c’est Poutine qui va tirer les marrons du feu…

Eu égard à tout l’argent du pétrole qui est en jeu, est-ce que la France, l’Angleterre, les États-Unis ou la Chine procèdent à des opérations semblables en Libye ?

Ci-dessous, la traduction d’un article du Dailymail.

POUTINE S’EMPARE FURTIVEMENT DE LA LIBYE AFIN DE LANCER UNE NOUVELLE ARME À L’OUEST : DES MILLIONS DE MIGRANTS DÉSESPÉRÉS, ÉCRIT MICHAEL BURLEIGH.

Traduit d’un article du Dailymail

https://www.dailymail.co.uk/debate/article-6273681/Putins-taking-Libya-order-point-new-weapon-West-writes-MICHAEL-BURLEIGH.html

« Les actes d’agression du président Poutine, y compris en Syrie et en Ukraine, sont si sanglants et étendus qu’une incursion dans les déserts vides d’Afrique du Nord peut sembler digne de mention.

Pourtant, la découverte que la Russie déplace des troupes et des missiles dans une Libye déchirée par la guerre a, à juste titre, provoqué des alarmes sonores dans toutes les capitales européennes.

C’est une étape extrêmement importante et dont les résultats pourraient être désastreux pour les pays occidentaux.

La Libye possède à la fois des ports pétroliers et des ports méditerranéens, et la Russie qui a faim de ces deux phénomènes a de quoi inquiéter.

Mais la véritable crainte des gouvernements européens est la suivante : la Libye, avec ses frontières sud poreuses, est devenue le principal point de départ des centaines de milliers de migrants africains qui cherchent maintenant à traverser la Méditerranée vers les côtes de l’UE, et en particulier l’Italie.

Plus d’un demi-million d’adultes et d’enfants du Ghana, du Sénégal, du Kenya et du Nigeria, ainsi que de l’Érythrée et de la Somalie ravagées par la guerre, ont effectué le voyage périlleux des cinq dernières années, le fret humain dans un budget de 6 milliards de livres sterling par an. Ce commerce est plus lucratif et moins risqué que le trafic de drogue.

Aujourd’hui, en établissant des bases militaires dans les villes portuaires de Tobrouk et de Benghazi, Poutine a laissé entrevoir que Moscou pourrait bientôt prendre le contrôle de ce flux de migrants, en l’ouvrant et en le désactivant comme un robinet.

Et cela signifie menacer les gouvernements européens qui l’opposent au chaos politique pur et simple en réponse.

La présence russe en Libye se renforce depuis des mois. Dans les villes portuaires, cela se présente sous la forme de sociétés militaires privées telles que les groupes Wagner et RSB, des entrepreneurs durs qui, bien que ne faisant pas officiellement partie de l’armée russe, travaillent néanmoins en étroite collaboration avec le GRU paramilitaire de Poutine.

Ces entrepreneurs ont également été vus dans l’est de la Libye, près de la frontière avec l’Égypte, où ils ont défendu des puits de pétrole critiques contre de nombreuses milices armées libyennes. Ils ont également formé les troupes libyennes et fourni des renseignements à l’armée libyenne.

Plus tôt cette année, les autorités tunisiennes ont pris possession d’un navire battant pavillon panaméen, qui transportait 24 conteneurs d’équipements militaires russes et 66 véhicules de transport militaire russes. Le navire était à destination de la Libye.

Il est également plausible que des systèmes de missiles russes – comprenant vraisemblablement les missiles anti-navires Kalibr et les missiles de défense aérienne S-300 – soient maintenant installés sur le sol libyen.

La Russie a même un chef de guerre libyen docile avec sa propre « armée nationale ».

Poutine cultive depuis quelque temps le maréchal Khalifa Haftar, un Américain naturalisé qui, après avoir aidé le colonel Kadhafi au pouvoir en 1969, a finalement fui aux États-Unis après la débâcle des deux hommes.

Aujourd’hui, il est le principal destinataire des armes et de l’argent russes, notamment des billets imprimés sur des presses moscovites.

Ce n’est pas la première fois que la migration libyenne est utilisée comme une menace. En 2010, Kadhafi avait notoirement déclaré au Premier ministre italien, Silvio Berlusconi, qu’il pouvait « transformer l’Europe en noir » en décidant simplement de relâcher le contrôle de la côte méditerranéenne.

« Quelle sera la réaction des Européens blancs et chrétiens face à cet afflux d’Africains affamés et ignorants ? », a demandé le dictateur. « Nous ne savons pas si l’Europe restera un continent avancé et uni ou si elle sera détruite, comme ce fut le cas avec les invasions barbares. »

Pour démontrer son pouvoir, Kadhafi a ensuite « encouragé » les passeurs clandestins dans le sud-ouest sauvage de la Libye à verser un pot-de-vin de 4 millions de livres sterling pour se consacrer à l’exportation de carburant et de farine vers le sud plutôt que de déplacer les migrants du nord vers l’Europe. Ça a marché.

En effet, c’est le retrait soudain de Kadhafi en 2011 – grâce à l’Amérique, la Grande-Bretagne et la vaine tentative de changement de régime – qui a fait de la Libye le premier relais pour les migrants de l’Afrique subsaharienne.

Si le but principal de Kadhafi était la survie, Poutine a un jeu plus vaste à jouer, un jeu qui, espère-t-il, signifie le rétablissement du pouvoir et de l’influence dont jouissait la Russie avant l’humiliation abjecte des années 90.

Premièrement, il y a les objectifs diplomatiques. Poutine veut renforcer sa présence militaire à la frontière sud de l’UE.

Plus tôt cette année, les autorités tunisiennes ont pris possession d’un navire battant pavillon panaméen, qui transportait 24 conteneurs d’équipements militaires russes et 66 véhicules de transport militaire russes. Le navire était à destination de la Libye.

Il est également plausible que des systèmes de missiles russes – comprenant vraisemblablement les missiles anti-navires Kalibr et les missiles de défense aérienne S-300 – soient maintenant installés sur le sol libyen.

Il a le sentiment que l’OTAN a encerclé la Russie. Il a maintenant l’intention de donner à l’Europe un avant-goût de sa médecine en établissant une présence emphatique en Méditerranée.

Sa marine n’a actuellement qu’une seule base méditerranéenne, à Tartous en Syrie. Une autre déclaration près de Benghazi – à moins de 300 km du sud de l’Italie – serait une déclaration majeure de la puissance maritime russe.

L’argent sérieux est aussi un motif. La Russie – cette fois sous la forme de Rosneft, l’énorme société pétrolière contrôlée par le sinistre compagnon de Poutine, Igor Sechin – s’intéresse à une partie des vastes réserves de pétrole de la Libye, la plus grande d’Afrique.

La Libye produit actuellement environ 700 000 barils de pétrole par jour, mais le pays pourrait augmenter sa production à 2,5 millions de dollars si la paix était finalement instaurée.

En fin de compte, la présence russe en continu signifie que Moscou serait en position de force pour remporter des contrats lucratifs pour reconstruire l’infrastructure détruite du pays et, bien sûr, pour conquérir un marché extrêmement rentable en matière de vente d’armes.

À part le pétrole et le gaz, les armes sont l’un des rares produits russes demandés par les autres pays. La Russie avait des intérêts commerciaux énormes avec la Libye de Kadhafi et avait perdu environ 10 milliards de dollars de contrats pétroliers et autres, dont 3 milliards de dollars pour un projet de chemin de fer et un marché de 4 milliards de dollars d’armes, lorsqu’il avait été destitué.

Une partie de la motivation de Poutine réside dans sa colère persistante face à l’intervention militaire occidentale qui a semé le chaos au Moyen-Orient et a porté atteinte aux intérêts russes.

Aujourd’hui, le président russe aide de manière remarquable à rassembler les éléments. Moscou est impliquée dans des discussions internationales sur l’avenir de l’Afghanistan et de la Syrie. Il voudrait aussi se présenter comme le sauveur de la Libye.

Poutine s’est imposé comme un incontournable du Moyen-Orient, ainsi le roi Abdullah de Jordanie et le roi Salmane d’Arabie saoudite sont présents et jusqu’au Premier ministre israélien Netanyahu et au président iranien Rohani qui font une cour assidue au Kremlin.

Il convient de noter que Trump n’a pas encore nommé d’ambassadeurs en Arabie saoudite ou en Turquie, et encore moins en Libye.

Sur une note plus personnelle, Poutine a été alarmé par le sort horrible de son co-dirigeant : après une campagne de bombardement de l’OTAN de six mois, Kadhafi a reçu une balle dans la tête sur un ponceau au bord de la route.

Ou, comme l’ont dit les responsables russes, il a été tué « comme un vieux bourreau ». Ce n’est probablement pas ainsi que le président russe pense que les hommes forts de la région devraient être traités.

Poutine est avant tout un opportuniste. Il ne recherche pas seulement la levée des sanctions contre son pays, mais la déstabilisation continue de l’Europe, raison pour laquelle il a soutenu avec tant de passion ses partis séparatistes et nationalistes. Cela reste une tactique extrêmement réussie. Entre-temps, après des années d’inefficacité diplomatique et d’interventions catastrophiques, il semble incapable de réagir.

Devrions-nous coopérer avec la Russie et avec d’autres puissances mondiales pour reconstruire l’État libyen brisé? Est-ce que cela pourrait au moins aider à freiner Poutine, aussi dégoûtant qu’il puisse paraître un partenaire ? C’est un dilemme auquel nous devons maintenant faire face.

Aujourd’hui, grâce à la corruption et à la diplomatie italiennes, le littoral libyen est au moins partiellement sécurisé.

Mais si, demain, la Russie prend réellement le contrôle de l’État libyen et de son immense réservoir de migrants désespérés – l’une des plus grandes forces déstabilisatrices de l’Europe – la perspective pour nous tous est vraiment terrifiante. »

Michael Burleigh for the Daily Mail

Traduction par Albert Nollet





Un scoop : nous mangeons halal sans le savoir !

Une fois de plus, la presse mainstream, en l’occurrence L’Express, découvre l’eau tiède : nous mangeons halal et casher sans le savoir !

Récemment, les médias se sont alarmés également de la montée de revendications religieuses dans les écoles y compris maternelles ; ils étaient pourtant largement documentés depuis des années… Le réel rattrape tout ce microcosme de la « classe parlante » sans que, pour autant, cela ne génère des actes appropriés de la part des pouvoirs publics ni de conclusions pertinentes de la part de nos commentateurs médiatiques. L’exemple caricatural en est un certain Clément Viktorovitch, habitué des plateaux médiatiques.

En l’occurrence, la demande d’étiquetage du mode d’abattage est ancienne, et légitime. Elle devrait être faite en clair et non par un code. Cela correspondrait à la législation qui accorde à titre dérogatoire seulement la possibilité d’abattre halal ou casher, uniquement sur commande, consignée dans un registre spécifique. Ce point a été utilisé par Vigilance Halal pour attaquer devant les tribunaux administratifs les arrêtés préfectoraux pour certains abattoirs (dont celui de Meaux, affaire en appel, initiée en 2012 !). Mais il nous a systématiquement été répondu en justice que ces registres étaient des documents commerciaux non communicables.

Nicolas Dhuicq, alors député de l’Aube, avait déposé en 2011 et 2014 des projets de loi dans ce sens, toujours rejetés car il ne faut pas… stigmatiser et cela serait catastrophique sur le plan financier car le circuit traditionnel n’absorberait plus les excédents de halal et casher.

Il faut d’ailleurs relativiser le casher qui représente maintenant moins de 1 % de la viande rituelle et est en baisse continue. Le problème est bien lié essentiellement au halal, marqueur essentiel de l’islamisation, car le halal, c’est la charia ! Mais le « système », en agglomérant les deux, noie la problématique de la submersion par le halal, qui représente maintenant plus de 60 % des abattages. En Provence on appelle ça la recette du « pâté d’alouette » : une alouette de casher plus un cheval de halal…

Cette indication essentielle pour nombre de consommateurs (plus de 70 %) est demandée par notre association, à titre transitoire en attente de l’interdiction totale et définitive du halal en raison des problématiques cumulées de souffrance animale inutile, de scandale sanitaire car ces pratiques s’affranchissent de la législation en la matière, et de circuits financiers importants et opaques finançant l’islam. Sur ce point, on aimerait entendre les associations de consommateurs, et de protection animale. Mais surtout, il faut le rappeler sans cesse, le halal est une notion globale liée à la charia, système juridique totalement incompatible avec le nôtre (voir entre autres l’arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme du 31 Juillet 2001).

Devant l’inertie des pouvoirs publics, nous avons créé « Suivez le Coq », qui regroupe les bouchers attestant que la viande qu’ils vendent est abattue de façon traditionnelle. Nous engageons les lecteurs de Boulevard Voltaire à visiter le site suivezlecoq.fr avec son système de géolocalisation, à télécharger l’application smartphone et à inciter leur boucher à y adhérer. C’est une forme d’étiquetage citoyen

Et puis se pose une question de fond : ces interdits alimentaires ne sont-ils pas largement obsolètes au XXIe siècle ? Le problème d’actualité ne serait-il pas plutôt la dégradation de la qualité de notre alimentation (parfaitement compatible avec le halal et le casher d’ailleurs…) plutôt que sa « pureté » rituelle ?

Et pour conclure, en paraphrasant Ségolène Royal, « l’halalitude n’est t’elle pas le prélude à la dhimmitude » ?





La Seine Saint-Denis islamisée, c’est la France de demain

Publié le 14 octobre 2018 – par Jacques Guillemain (Riposte Laïque)

Huit commerçants de Seine-Saint-Denis brisent enfin l’omerta sur le racket.
Mais combien sont-ils en France, à subir quotidiennement les menaces des racailles, la peur au ventre, totalement abandonnés par la République ?
Combien vivent dans la terreur de voir le fruit de leur travail détruit par des malfrats sans foi ni loi, s’ils ne paient pas le prix de leur “protection” ?

Des centaines, des milliers, qui sait ? Mais le mal est profond.

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/tremblay-en-france-les-commercants-rackettes-brisent-l-omerta-05-10-2018

La Seine-Saint-Denis devient l’enfer pour des milliers de citoyens, abandonnés par la République. C’est la loi des caïds et des barbus qui s’est imposée à tous.
Enseignants, commerçants, pompiers, policiers, médecins et personnel soignant, mais aussi simples résidents, et notamment les femmes, subissent, la peur au ventre, la loi des voyous parce que l’État a démissionné.
L’omerta, elle est omniprésente. Omerta sur l’islamisation de l’école (rapport Obin de 2004 enterré par Fillon), omerta sur l’insécurité dans les hôpitaux, omerta sur les viols en tournante, omerta sur les vrais chiffres de l’insécurité, omerta sur le coût démentiel de l’immigration.
Si les vrais chiffres étaient connus, Marine serait élue au premier tour avec 60 % des voix ! Car tout le problème est là.

Pour que nos élus fossoyeurs de la nation gardent le pouvoir, il leur faut désinformer, pratiquer la manipulation de masse et diaboliser les Zemmour et les Onfray. Presse aux ordres et justice laxiste sont leurs outils.

Combien de maires subissent des pressions et des menaces, ou un chantage électoral, pour céder aux revendications communautaristes ?

Combien de patrons subissent l’islamisation de leur entreprise et doivent céder aux exigences des intégristes, sous peine de subir des représailles qui détruiraient le fruit de leur travail ?

On se demande aussi si les juges ne subissent pas des pressions et des menaces, tant certains d’entre eux répugnent à appliquer le Code pénal et à frapper fort.

La France court à la catastrophe. Car la Seine-Saint-Denis, c’est le miroir de la France de demain, quand l’immigration extra-européenne aura doublé puis triplé, jusqu’à devenir majoritaire dans le pays. Dans une ou deux générations.

Que se passera t-il quand des secteurs économiques entiers tomberont sous la coupe des minorités devenues majorité ?

Verrons nous, comme en Afrique du Sud, l’emploi réservé aux immigrés à qualification égale ? “L’identité heureuse” de Juppé est un slogan totalement naïf et stupide, à des années-lumière de la réalité du “vivre-ensemble”.

Car entre natifs et immigrés, la conception du “vivre-ensemble” n’est pas la même. Deux visions diamétralement opposées.

Comme le dit Obertone dans son dernier livre, “La France interdite” :

“La Seine-Saint-Denis, c’est le département plus violent et criminogène, le plus touché par le chômage, le plus frappé par la pauvreté, le plus assisté, le plus subventionné, le plus atteint par les trafics, le plus fourni en logements sociaux, le plus soigné avec la CMU.”

https://ripostelaique.com/la-france-interdite-la-verite-sur-limmigration-nouvelle-bombe-de-laurent-obertone.html

Sur les 10 villes les plus dangereuses de France, 5 sont situées en Seine-Saint-Denis (classement 2017).

Où est la “richesse” pour la France ? Où est la réussite de l’intégration ? Ce département illustre à lui seul le naufrage de la politique d’immigration et l’illusion du “vivre-ensemble”.

Oui, c’est bien une menace de guerre civile que nous a annoncée Collomb en pliant bagage. Zemmour ne s’y est pas trompé, même si les bobos le contestent et font tout pour minimiser la gravité de la situation. Police et services de renseignement savent ce qu’il en est. C’est gravissime.

« On vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face. Nous sommes en face de problèmes immenses. »

https://www.rtl.fr/emission/on-n-est-pas-forcement-d-accord

Mais revenons aux huit commerçants du Tremblay-en-France, commune proche de Roissy.

Les 4 malfrats qui rackettaient les commerçants étaient bien connus de la justice.

Refrain connu puisque les peines infligées ne sont jamais dissuasives. Le Code pénal, qui est très bien fait mais jamais appliqué, prévoit 20 ans de prison. À suivre…

Les victimes ne dormaient plus la nuit. Aujourd’hui, elles sont menacées afin qu’elles retirent leur plainte.

Tout a commencé par des vols, des articles emportés ostensiblement sans payer, pour faire plier le commerçant au chantage. Avec menaces de représailles, y compris sur la famille.

Certains commerces ont été saccagés. D’autres commerçants ont préféré fermer.

Ceux qui ont choisi de payer ont casqué entre 500 et 3 000 euros. Mais beaucoup se taisent et paient en silence.

Une supérette a dû embaucher un membre de la bande de racketteurs pour être tranquille. Embauche forcée.

Un système mafieux s’est mis en place dans nos banlieues.

Voilà ce qui se passe au paradis du “vivre-ensemble”.

C’est un enfer que vivent les commerçants et petits patrons, auxquels il est interdit de faire la moindre remontrance à un employé de la diversité, sous peine de voir leur outil de travail pillé et saccagé.

C’est ce que Collomb appelle la loi du plus fort.

Et nos bobos s’étonnent que plus personne ne veuille s’installer dans ces zones de non-droit, où la loi des caïds régit la société.

La presse, immigrationniste à 90 %, monte en épingle le moindre contrôle d’identité un peu musclé, la justice s’acharne sur les policiers à la moindre bavure, mais c’est l’omerta la plus totale sur l’enfer que vivent les citoyens des cités.

Politiques, juges, journalistes et intellectuels sont les responsables de ce désastre.

Plus les frontières resteront ouvertes et plus la situation va empirer, au détriment des natifs qui voient leur pays sombrer et se désintégrer.

Jamais, au cours de l’Histoire, on n’a vu un tel acharnement des leaders occidentaux à détruire leur propre civilisation, en pactisant avec un islam conquérant qui rêve d’asservir le monde.

Islamisation et insécurité sont les deux menaces existentielles qui vont tout emporter en Europe. Il n’y a aucune volonté de redresser la situation.





Albi : le mariage « communautaire » tourne à l’affrontement : un mort, les CRS déployés

Samedi dernier, ici même, je disais mon inquiétude et mon exaspération face aux excès et aux délits causés par les mariages arabes dans ma ville du sud-ouest. Hier, toujours dans ma ville, ce fut le même scénario, un cran au-dessus : klaxons, pneus qui crissent, drapeaux algériens, rodéos en ville, en mode crescendo. Mais il n’a pas fallu une semaine pour que ces excès montent de deux crans et prennent un tour qui était prévisible : un mort tué au couteau, hier, à Albi, dans le quartier de Lapanousse.

Donc hier, samedi 13 octobre, comme tous les samedis dans de très nombreuses villes moyennes du sud-ouest et d’ailleurs, Albi, et sa si belle cathédrale Sainte-Cécile, toute inquiète et excédée dans son silence de forteresse, observent de haut les rodéos, les convois bruyants, les cris échappant des voitures de ce mariage musulman. Selon France bleu Occitanie, la fête très bruyante, déjà insupportable sur la voie publique et autour de la mairie, se poursuit tout aussi bruyamment dans le quartier de Lapanousse. Sauf qu’un groupe rival, du quartier Cantepau, a été dérangé par ce tapage : des jeunes sont arrivés sur le lieu de la fête avec des battes de base-ball et des armes blanches. Une rixe a alors éclaté entre les membres des deux bandes rivales, un jeune homme de 20 ans a été poignardé. Il est décédé dans la soirée. Et des CRS ont été déployés pour assurer le retour au calm

Voilà où nous en sommes : ce que le Français moyen est tenu de subir sans broncher, les communautés elles-mêmes, selon leur humeur, ne le supportent même pas et n’arrivent pas à vivre côte-à-côte !

Alors que faudra-t-il encore à nos édiles, à nos gouvernants, à notre ministre de l’Intérieur -quand Jupiter et sa start-up nous en auront trouvé un…- pour agir, sévir, interdire ces drapeaux, ces couteaux, ces coutumes mortifères (au sens propre) des mariages du samedi après-midi ?





Violences, trafic de stupéfiants, comportements déplacés envers les femmes : le maire socialiste de Lorient (56) accuse les migrants

Depuis plusieurs mois,des faits de violences et les trafics de stupéfiants sont imputés à de jeunes migrants. Une nouvelle forme de délinquance qui pose aussi la question de leur intégration.

« La présence de minorités étrangères conduit à des trafics de stupéfiants, des trafics de bandes de jeunes oisifs, de jeunes mineurs livrés à eux-mêmes qui se regroupent toute la journée » près de la gare d’échanges et dans la galerie de l’Orientis. « J’ai bien envie d’y mettre de l’ordre ! » Ces propos, c’est bien le maire socialiste de Lorient qui les a tenus voici trois semaines dans Ouest-France. Un revirement à 180° ou plutôt le constat d’une réalité? Et tandis que Norbert Métairie se faisait à l’idée d’étendre le réseau de vidéoprotection dans sa cité – fort déjà de 40 caméras – Fabrice Loher, le chef de file de l’opposition municipale buvait du petit-lait: « Quand j’en parlais il y a quinze ans, on me traitait de liberticide et même pire… » Dans le quartier de la gare et dans le centre-ville, ajoutait cet élu, « à certaines heures, oui, les gens ont peur »…

« Soyons clairs, dans le secteur gare, mais aussi, durant l’été, du côté de l’avenue Anatole-France et jusque devant la mairie, nous sommes en présence de jeunes migrants, sans activité, au statut administratif précaire, sans encadrement suffisant, observe le commissaire central,Emmanuel Allabatre. Ils occupent le terrain. Des conflits éclatent régulièrement entre eux. Des interpellations ont été réalisées pour vols et violences. Des produits stupéfiants et des armes blanches ont été saisis. La plupart sont mineurs ou se font passer comme tel. Nous constatons également un nombre croissant de comportements déplacés vis-à-vis des jeunes femmes » qui ont d’ailleurs fait l’objet de poursuites judiciaires. (…)

www.ouest-france.fr





Philippe de Villiers : « il y a des gens qui ont fait sécession mentalement et qui le jour venu nous feront comprendre que c’est nous les étrangers »





Ancienne membre du Conseil constitutionnel et ministre, Noëlle Lenoir dénonce le 2 poids 2 mesures entre le racisme anti-blanc et les autres racismes

Présidente du Cercle droit et débat public, Noëlle Lenoir, ancienne ministre de Jacques Chirac et ancienne membre du Conseil constitutionnel, estime que la « provocation publique à la commission d’un crime ou d’un délit », qualification retenue par le parquet de Paris à l’encontre du rappeur Nick Conrad, auteur de chanson accompagnée d’un clip « Pendez les Blancs » , ne va pas assez loin. Et que celui-ci doit être poursuivi pour racisme.

Voici la tribune de Noëlle Lenoir :

Imaginons qu’un groupe de rockers à la peau blanche diffuse un clip intitulé « Pendez les Noirs », s’ouvrant sur l’image d’un homme à la peau noire ensanglanté au bout d’une corde, et rythmé par ces paroles : Je rentre dans des crèches, je tue des bébés noirs, attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants blancs de tout âge petits et grands. Fouettez-les fort faites-le franchement, que ça pue la mort que ça pisse le sang et ainsi de suite…

S’interrogerait-on un instant sur le caractère raciste de cette exhortation ? Hésiterait-on sur l’applicabilité des dispositions de l’article 24 de la loi du 1881 punissant ceux qui « provoquent à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à une race » ? Ou sur l’applicabilité du cinquième alinéa du même article réprimant l’apologie des atteintes volontaires à la vie et des atteintes volontaires à l’intégrité de la personne (ici avec circonstance aggravante de racisme conformément à l’article 132-76 du Code pénal) ? Ou des dispositions du Code pénal sur l’apologie du terrorisme (article 421-2-5) ou de l’article sur l’incitation à s’armer contre une partie de la population (article 412-8), là encore avec circonstance aggravante de racisme ? Disserterait-on sur la distinction à faire entre les débordements des paroles d’une chanson et un appel au meurtre ? Minimiserait-on cet appel en relevant que ce groupe de rock n’avait jusqu’alors qu’une faible audience ? Prétendrait-on que l’écho fait à un tel clip est idéologiquement orienté ? Qu’exprimer sa frayeur et son dégoût reviendrait à stigmatiser injustement les hommes et les femmes qui ont la peau blanche ?

Répondre par un non ferme et énergique à ces questions va de soi aux juristes et analystes que nous sommes. Pourquoi n’est-ce pas la réaction unanime ? Pourquoi tente-t-on de nous faire avaler que le clip de Nick Conrad rappellerait les chansons de Brassens ? Qu’il serait une revanche contre « les hommes blancs et éduqués qui ont le pouvoir de tout dire » ? Ou encore que ce clip mériterait « une distanciation grâce à l’art » (sic !) ? Non, les « hommes blancs et éduqués » n’ont pas le pouvoir de tout dire. Nous sommes tous tenus de respecter le droit. Il doit être clair pour tous, ainsi que l’énonce l’article 4 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, que « la liberté consiste à faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ». Enfin, quel art – si art il y a dans ce clip – pourrait justifier l’impunité de celui qui appelle à tuer des enfants parce qu’ils ont la peau blan

En racialisant la réprobation et la répression, on institutionnaliserait un « deux poids deux mesures » qui, pour être du racisme à rebours, n’en serait pas moins du racisme et se rendrait en l’occurrence complice d’une épouvantable invitation à tuer.

www.lepoint.frche ? (…)





Castaner à Beauvau ? Pour inaugurer les mosquées, il serait parfait !

Publié le 11 octobre 2018 – par Jacques Guillemain (dans Riposte La¨que)

Selon Libé, Castaner tiendrait la corde pour remplacer Collomb. Vrai ou intox ?

http://www.fdesouche.com/1086057-castaner-a-menace-de-demissionner-sil-nobtenait-pas-le-ministere-de-linterieur

Mais les deux intéressés démentent cette information. Castaner affirmant qu’il n’a jamais exercé le moindre chantage.

En tout état de cause, la nomination de Castaner serait une faute. L’heure n’est plus aux accommodements raisonnables avec l’islam mais à la reconquête des quartiers.

En quittant ses fonctions, l’ex-ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, a tenu à transmettre au peuple français un message majeur, d’une gravité sans précédent.

Il a notamment insisté sur la situation très dégradée des quartiers difficiles, qui se ghettoïsent et doivent être reconquis pour y restaurer l’ordre républicain.

« On vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face, nous sommes en face de problèmes immenses », a reconnu l’ex-ministre.

Cette déclaration gravissime, porteuse de lendemains tragiques mais aussitôt minimisée, puis évacuée, par le gouvernement et les médias, est un aveu on ne peut plus clair.

Le risque de guérilla territoriale, voire de guerre civile si les choses empirent, n’est pas un pur fantasme de facho décérébré mais bien une réalité que le pouvoir a toujours niée et refuse d’affronter.

Qui d’autre était mieux renseigné que Collomb sur la sinistre réalité des banlieues, évaluée en permanence par les synthèses de la police et de la gendarmerie ?

Et face à cette situation qui risque de virer à la tragédie, une situation qui exige un homme fort à la tête du ministère de l’Intérieur, un type à poigne de la trempe d’un Pasqua, Macron ne trouverait rien de mieux que de nous donner l’inénarrable Castaner pour assurer la sécurité des Français !

Castaner, c’est l’islamophile bon teint. Une grande gueule arrogante qui nie l’islamisation de la France. Je ne sais pas si les forces de l’ordre apprécieront sa nomination, mais les musulmans seront satisfaits, c’est certain.

Quand Valls déclare « En France, nous avons un problème : l’islam et les musulmans », Castaner voit de la brutalité dans ces propos lucides.

« Certains, au nom de l’islam, ont des comportements qui ne sont pas acceptables. Cela n’a rien à voir avec ce qu’est la religion de l’islam, qui est une religion de bonheur, d’amour, comme la religion catholique. » (@CCastaner#BourdinDirect 10:00- 23 nov. 2017)

Ou encore :

« Cessons de parler d’État islamique, ils trahissent la religion qu’ils prétendent servir. Ce sont juste des assassins. »

Visiblement, Castaner n’a pas le Coran comme livre de chevet. Quand on est ministre des Cultes, il est pourtant bon de savoir de quoi on parle…

Qu’il écoute cette vidéo, il y verra que Daesh, c’est le véritable islam, celui du Coran et des hadiths, celui de Mahomet.

Ensuite, si les pays musulmans rayonnent de bonheur, on se demande pourquoi toute la jeunesse d’Afrique et du Moyen-Orient rêve de fuir en Occident, terre de mécréants.

Si le Coran promet le bonheur, c’est uniquement dans l’au-delà, avec fruits, miel et vin à profusion, sans oublier les multiples houris aux grands yeux noirs.

Quant à la religion de paix et d’amour, il suffit de faire le bilan du terrorisme et de la criminalité quotidienne, perpétrés au nom d’Allah, pour comprendre que Castaner est un illuminé totalement ignare.

Sur les 6 400 versets du Coran, le mot “amour” ne figure nulle part.

Encore un signe de soumission de notre pressenti ministre de l’Intérieur :

« Il y a quelques années, quand en France, y compris nos mamans portaient un voile, portaient le voile catholique, on ne se posait pas la question ».

Réflexion grotesque. C’est confondre un signe de piété affiché dans une église et un acte de soumission à une religion intolérante.

Castaner est tout désigné pour inaugurer les futures mosquées en tant que ministre des Cultes. Mais il ne sera jamais l’homme de la situation pour reconquérir les quartiers insoumis tenus par les caïds et les barbus.

Rappelons-lui que dans le 9-3, les juifs sont indésirables et que nombre de familles juives, constamment persécutées, ont fui la plupart de ses villes. Mais pour Castaner, l’islam, c’est que du bonheur.

De plus en plus de musulmans refusent de serrer la main des femmes, refusent de les accepter dans un café, refusent de conduire un bus après elles.

Une religion qui tue les apostats et qui estime que la charia est au-dessus de la loi républicaine, c’est ce que Castaner appelle une religion d’amour.

En Seine-Saint-Denis, de plus en plus de quartiers deviennent des “mini-califats” passés sous le contrôle des barbus. C’est un commissaire de police qui le dit.

Rappelons aussi à notre éventuel futur premier flic de France que les musulmans occupent les 2/3 des places de prison. S’il n’en est pas convaincu, qu’il demande confirmation à Jack Lang ou qu’il consulte les synthèses de la DCPJ ou de la DCSP.

Ça fera bientôt partie de son job.

Mais il y a fort à parier que Castaner n’a jamais lu le moindre ouvrage sur l’islamisation de l’Europe. Qu’il relise les propos d’un Youssef al-Qaradawi, le maître à penser des Frères musulmans, ou d’un Marwan Muhammad, ex-responsable du CCIF.

Il y verra ce que la France représente pour bon nombre de leaders musulmans : une terre de conquête, le ventre mou de l’Europe.

Qu’il lise l’ouvrage de François Billot de Lochner, “Chronique de l’islamisation ordinaire de la France. Le grand tabou”. Il aura l’air moins nul en parlant de l’islam.

La vérité est que l’islam n’est compatible avec la loi républicaine que pour les musulmans non pratiquants qui s’affranchissent des 5 piliers de l’islam.

Mais dès lors que 50 % des jeunes musulmans souhaitent que la charia prenne le pas sur la loi républicaine, il est clair que c’est le discours des barbus qui prévaut sur le discours républicain.

Nous ne sommes plus dans une “minorité qui trahit l’islam” mais dans une majorité qui prône un islam conquérant, c’est-à-dire le véritable islam, celui du Coran.

Comme le dit Obertone dans son dernier ouvrage, “La France interdite” :

“Le seul moyen d’être “compatible” avec l’islam est donc la mort, la conversion ou la capitation. Entre ces trois alternatives, la République hésite encore.”

C’est la France qui se plie à l’islam, et non pas la République qui exige l’intégration des musulmans.

Nous ne savons pas encore si Castaner sera nommé place Beauvau, mais ce qui est certain, c’est qu’il incarne la soumission et certainement pas le chef de guerre qu’on attend pour la reconquête des quartiers réclamée par Collomb.

Combien d’années encore la cinquième puissance du monde, puissance nucléaire qui a son siège au Conseil permanent de sécurité de l’ONU et entend peser sur l’échiquier mondial, combien d’années encore notre pays va-t-il courber l’échine devant les barbus et les caïds qui ont pris le contrôle de plusieurs centaines de zones de non-droit ?

Assez de poules mouillées et de capitulards aux commandes de la France. Il nous faut un Salvini ou un Orban. C’est vital et urgent.