Publié le 7 mars 2018 – par Pierre Cassen Christine Tasin (Riposte laïque)
Le « Djihad silencieux » : un journaliste israélien confirme que la France est la première étape du Califat
Le journaliste israélien Zvi Yehezkeli est l’auteur du documentaire, sous-titré par Résistance républicaine, « Le djihad silencieux ». Déguisé en religieux palestinien, avec une caméra cachée, il multiplie les rencontres avec la hiérarchie de l’UOIF, devenue depuis « Les Musulmans de France », et nombre de militants de cette mouvance.
On y découvre l’ampleur de l’implantation de cette organisation, qui ne cache guère ses objectifs : utiliser les lois françaises, qui sont une aubaine pour eux, pour renforcer l’influence des disciples d’Allah sur le pays, et le conquérir sans le sabre, mais par le nombre et l’influence.
Le double discours, entre celui qui est tenu aux autorités françaises et celui qui est tenu, en interne, y est démontré, sans la moindre ambiguïté.
La France y est clairement désignée comme devant être la première étape du Djihad par le cheikh Youssouf Al-Qaradawi (qui appelle les musulmans à finir le travail d’Hitler contre les juifs), qui intervint même au Congrès de l’UOIF, au Bourget, en 2010. On y voit des cassettes et des livres, interdits dans de nombreux pays musulmans, être en vente libre au cœur de Paris. On entend clairement un appel au djihad, lancé depuis la trop célèbre mosquée Omar, rue Jean-Pierre Timbaud, à Paris.
Ce que dénoncent, depuis plus de dix ans, Riposte Laïque, Résistance républicaine et nombre de patriotes y est confirmé de manière éclatante. Et pourtant, ce sont ces résistants qui sont persécutés par l’Etat français, qui finance sans vergogne ceux qui veulent que notre pays devienne terre d’islam, et le disent.
Après ce documentaire, les poursuites contre tous les Français qui dénoncent l’islamisation de notre pays doivent être levées.
« Le djihad silencieux », de Zvi Yehezkeli, doit être diffusé, et commenté, sur tous les grands médias français, et le journaliste israélien y être invité.
Il doit être vu par tous les députés de notre pays, qui doivent demander, d’urgence, la tenue d’une mission parlementaire sur la compatibilité entre l’islam et la France, et les mesures à prendre pour mettre fin à la stratégie de conquête, montrée dans ce documentaire, des Frères musulmans.
C’est l’avenir de notre pays, et de sa civilisation qui est en jeu. Plus personne ne peut prétendre qu’il ignore ce qui se passe.
Après ce film, ceux qui continueront, par leur passivité et leur silence complice, à mentir aux Français et à cautionner l’islamisation de notre pays, devront être considérés comme des traîtres, et jugés en conséquence.
Riposte Laïque et Résistance républicaine, quant à eux, malgré la répression qui touche leurs animateurs, vont accentuer, avec tous les patriotes disponibles, les informations et les actions, pour qu’un maximum de Français se mobilisent pour sauver le pays, comme en 1940.
Si l’on en croit le gouvernement fédéral, les frontières allemandes ne sont plus ouvertes depuis longtemps. L’arrivée incontrôlée de centaines de milliers de réfugiés, cela appartient au passé, et la route des Balkans est fermée. Bien plus de 10 000 demandeurs d’asile continuent pourtant d’arriver chaque mois. Dans la seule année 2017, 186 644 nouveaux demandeurs d’asile ont été enregistrés. […]
Mais comment tous ces gens arrivent-ils chez nous, alors que l’Allemagne n’est entourée que de pays tiers sûrs ? […]
C’est notamment pour cette raison que l’Office fédéral pour les migrations et les réfugiés (Bamf) demande aux demandeurs d’asile par quelle route ils sont venus. Cette autorité veut également savoir comment les réfugiés sont arrivés en République fédérale, que ce soit à pied, en train, en voiture, en car ou en avion.
Notre journal s’était déjà adressé l’an passé au Bamf pour obtenir des chiffres précis, mais la seule réponse qu’on lui avait faite avait été que ces données avaient certes été collectées, mais n’avaient pas été évaluées statistiquement. […]
Une question adressée au gouvernement fédéral par Leif-Erik Holm, député AfD au Bundestag, apporte par contre un peu plus de clarté. Le vice-président du groupe avait demandé quel était le pourcentage des demandeurs d’asiles qui, interrogés par le Bamf, avaient indiqué être arrivés en Allemagne en avion. La réponse du ministère fédéral de l’Intérieur mérite d’être connue : près de 30 pourcent.
[…]
Selon nos informations, une grande partie d’entre eux a utilisé des avions venant de Grèce, d’Italie et de Turquie. […]
[Leif-Erik Holm :] « Si vraiment un demandeur d’asile sur trois entre en Allemagne en avion, ce serait un énorme scandale. »
L’homophobie n’est pas morte. Loin de là. Voici une scène ordinaire de l’homophobie crasse au centre Commercial Carrefour Colmar à Rueil Malmaison le samedi 3 mars à 19H.[…]
« Aujourd’hui samedi 3 mars 2018 vers 19h00 alors que je passe en caisse avec mon ami, une femme d’à peu près 25 ans accompagnée de sa fille de 4 ans pousse violemment nos achats sur le tapis de caisse et dépose les siens.
[…] La femme nous a traité de sales gros pédés….de tarlouses….qu’on avait pas le droit de vivre en France quand on est pédales pour reprendre son expression.
Les insultes ont continué en arabe ensuite…« Sales shbeb…..en Algérie les mecs comme vous on les égorge….»
[…] Elle a pris son portable en appelant quelqu’un de son entourage en lui disant qu’il y avait deux clients PD qui ne méritait pas de vivre et qu’il fallait les buter…[…]
Un vigile arrive…. […] La cliente le connaissais et lui demande comment il va. Et elle continue auprès du vigile en disant qu’on était deux PD et qu’on devait crever. Mon ami et moi on insisté auprès du vigile pour que ca s’arrête. Et là incroyable le vigile de carrefour nous demande de nous calmer. […] Au final on s’est fait insulter et menacer de mort sans que le personnel de carrefour n’intervienne. Le vigile nous a demandé de payer et de partir sans faire d’émeute…
Publié le 2 mars 2018 – par Gérard Brazon Les Sud-Africains sont-ils racistes ? N’en déplaise à nos Obono, Ndiaye, Diallo, Avia, Noël, et d’autres, il s’avère que oui. Le racisme anti-blanc existe bel et bien en Afrique du Sud comme d’ailleurs il existe en France, aux USA et dans d’autres pays.
Le Parlement sud-africain a donné mardi le coup d’envoi d’une réforme de la Constitution pour autoriser l’expropriation sans compensation des terres agricoles au profit de la majorité noire, un sujet très sensible qui agite la vie politique du pays. (Source)
A cette lecture, on commence à comprendre pourquoi les colons blancs des USA n’ont laissé aucune chance aux Indiens d’Amérique, du Canada, que les Anglais n’ont laissé aucune chance aux Aborigènes d’Australie ! La méthode d’extinction des revendications a été efficace. Les Néerlandais, Français et Allemands d’Afrique du Sud (Les Boers) ont eu des pudeurs que les Anglais n’ont jamais eues !
Les blancs sont-ils devenus les bêtes noires des Africains. De tous les Africains ? Si nous en jugeons par les réactions de nos « français noirs » issus de l’Afrique, on peut se poser des questions ! Pour ma part, je pense que les noirs ne sont pas différents et qu’ils connaissent bien le racisme pour le pratiquer eux-mêmes. Qu’ils n’aiment pas les blancs. Certes, je ne généralise pas, mais je ne suis pas sûr qu’un noir lambda prenne parti pour un blanc dans la rue, si ce blanc était victime d’une agression par d’autres noirs ! Que l’on ne me fasse pas le discours sur l’esclavage, j’ai déjà répondu sur ce sujet !
L’Afrique du Sud, commence réellement le 6 avril 1652 avec l’arrivée du commandant néerlandais Jan van Riebeeck dans la baie de la montagne de la Table où il fonde Le Cap. D’un point de vue historique, il n’y avait pas de noirs à l’arrivée des blancs sur la pointe du Cap.
Ils étaient essentiellement des protestants fuyant les persécutions catholiques. Dire qu’il n’y avait pas d’état digne de ce nom, n’est pas insulter les noirs qui vivaient plus à l’Est à l’époque. Dire qu’il y a eu des confrontations entre les noirs et les blancs serait idiot. Nous sommes au 17ème siécle, en 1652. D’autant plus que les blancs se contentaient dans un premier temps, de rester sur les côtes. Les noirs peu nombreux d’ailleurs, vivaient en tribus dans les terres de l’Est.
Les blancs reproduisaient ce qu’ils avaient vécu. Ils ont fait pendant des années ce que les premiers colons ont fait dans les territoires devenus plus tard les USA ou l’Algérie.
En 1685, soit 36 ans après, le nombre des colons est de 800. Ce sont essentiellement des fermiers, des artisans ou des manutentionnaires. Ils sont rejoints en 1688 par 238 huguenots français chassés des villages du Sud-Luberon par la révocation de l’Édit de Nantes et installés par le commandeur Simon van der Stel dans la vallée d’Olifantshoek pour y développer la viticulture sur des terres riches en alluvions. Ces nouveaux colons sont instruits et vont marquer très fortement de leur empreinte la culture blanche sud-africaine, apprenons-nous sur Wikipédia.
On s’aperçoit que ce ne fut pas une armée d’occupation et si les noirs l’avaient voulu, les blancs seraient repartis, ou ils auraient été tués sur place. Mais encore, aurait-il fallu qu’il y ait des noirs à cette époque sur cette terre vierge !
La première manifestation d’une identité africaine des blancs de la colonie fut faite en 1706 par un jeune hollandais qui refusa la prédominance de son pays d’origine. C’est la volonté de suprématie hollandaise qui poussa les premiers boers à aller plus loin dans les terres vers l’Est ! Cela nous rappelle les USA et ses colons, sauf qu’en Afrique du Sud, il n’y avait pas d’indiens.
Il fallut, avec cette remontée des Boers vers l’Est, loin du Cap, attendre 1779 pour que la rencontre se fasse avec les Xhoras, une tribu noire. A 1500 km du Cap, et à 700 km à l’intérieur des terres. Imaginez que vous débarquez à Marseille, et que vous trouvez votre premier gaulois en Picardie. Les Xohras venaient de l’Afrique centrale et eux se dirigeaient vers le Sud.
Pour ceux qui se poseraient la question des Zoulous : la patrie d’origine des Zoulous semble se situer dans la région de la Tanzanie moderne. Leur présence en Afrique du Sud actuelle, remonterait au XIVe siécle. Tout comme les Xhosas qui se sont installés dans cette Afrique du Sud actuelle, au cours des vagues migratoires bantoues antérieures. (Source)
À la fin du XVIIIe siècle, la population blanche est majoritairement issue des Pays-Bas, des États de langue allemande et de France. Ainsi, au moins 14 000 Allemands se sont installés dans la colonie du Cap entre 1652 et 1792, dépassant le nombre des huguenots français. En 1795, la population d’origine européenne compte alors 20 000 personnes et se trouve dépassée par celle des esclaves (25 000 individus).
Puis vint les emmerdeurs d’Anglais, et tout se mit à déraper… comme d’hab !
Tout cela pour dire que les noirs n’ont pas plus de droits sur cette terre que les blancs, sauf à dire que c’est la couleur majoritaire d’un continent qui prime et alors nous pouvons poser la même question sur l’Europe blanche, l’Asie jaune, etc. Chacun chez soi en fonction de la couleur ? Aberrant n’est-ce pas. Surtout pour les Diallo, Obono, Sy, Ndiaye, Avia, Noël, etc. Sans compter les quelques membres adhérents au CRAN, etc.
A une très large majorité, les députés d’Afrique du Sud ont adopté une motion mettant en place une commission chargée de réviser à cette fin l’article 25 de la loi fondamentale d’Afrique du Sud. Près d’un quart de siècle après la chute de l’apartheid, la question de la redistribution des terres reste très controversée. Souvent, la redistribution se solde par un échec. Les nouveaux propriétaires sont contraints de jeter l’éponge, incapables d’assurer la rentabilité de leur exploitation par manque de formation, de moyens ou d’accès aux marchés.
Le nouveau président Cyril Ramaphosa a promis une réforme agraire destinée à « panser les plaies du passé ». De quel passé parle-t-il ? Celui des Boers venus de loin, fuyant la persécution et s’installant sur une terre vierge de présence humaine, ou celui de l’Apartheid ? Règlement de compte ou justice ?
Au Zimbabwe voisin, l’ex-président Robert Mugabe a lancé dans les années 2000 une réforme agraire fondée sur l’expropriation brutale des fermiers blancs. Elle a plongé le pays dans une misère noire. D’un pays exportateur, il devint importateur de tout, y compris du minimum vital pour vivre. Ce pays du temps de la Rhodésie était prospère, mais avait le défaut d’être franchement raciste. Toutefois, chacun pouvait manger à sa faim. La justice était blanche et il valait mieux de ne pas avoir affaire à la justice si l’on était noir.
Les noirs sont-ils plus heureux aujourd’hui ? Je pense qu’ils ont loupé leur indépendance ! Les « opprimés » commettent toujours la même erreur. Ils font confiance à leurs libérateurs. Nous l’avons vu dans tous les pays qui ont obtenu leur indépendance. Le pire étant le Liberia, jamais colonisé qui lui, ne doit son existence qu’à l’implantation des noirs américains anciens esclaves. Ceux-ci se dépêchèrent de mettre en esclavage les locaux, et de vivre comme leurs anciens maîtres !
Je pense qu’il y a un temps pour tout et que chaque pays avance à sa vitesse. L’Europe, les frontières des Nations européennes ne se sont pas construites en 10 ans ! L’Afrique avance lentement ! Les blancs voulaient accélérer le tempo. Ils avaient de l’avance, la connaissance, une histoire européenne. L’Afrique tribale n’avait pas toute cette connaissance, ces techniques, ces savants, etc. Il fallait sans doute l’attendre, et l’accompagner.
L’Apartheid fut un choix désastreux. Exproprier les blancs d’une terre qui leur appartient, ou leurs ancêtres sont enterrés est un autre choix désastreux.
L’Afrique du Sud autrefois puissante et riche, mais injuste, va tomber dans la misère, et ne sera pas plus juste pour autant ! Nous avons l’Algérie comme exemple, elle se fit sans les « pieds noirs ». C’est une Algérie indépendante aujourd’hui, où même Nelson Mandela soutenait le FLN.
Nous savons désormais que la jeunesse fuit ce pays, et que l’Algérie sombre. Nous pouvons à coup sûr, dire que l’Afrique du Sud ouvre une page noire de son histoire, et que son avenir est bien sombre.
Roberto Di Stefano (Maire de la ville italienne de Sesto San Giovanni) : «Beaucoup de villes italiennes nous demandent comment nous avons réussi à interdire la construction de la mosquée et à nous débarrasser des migrants (…) La gauche planifiait de construire l’une des plus grandes mosquées dans le nord de l’Italie, cela aurait fait de ma ville la Mecque du pays. C’était un projet criminel qui aurait fait de Sesto San Giovanni un aimant à musulmans».
– RT France, 3 mars 2018, 7h02
« La barbe noire bien taillée, et costume-cravate inhabituel pour un islamiste convaincu, Mohammad Allouche avait la tâche de conduire la délégation rebelle syrienne, qui a négocié pour la première fois – du moins publiquement et officiellement – avec le régime de Damas, du 23 au 24 janvier à Astana.
Ancien étudiant en jurisprudence islamique en Arabie saoudite, le royaume wahhabite qui prône la pratique et la propagation d’un islam rigoriste, Mohammad Allouche n’est autre que le cousin de l’ancien leader de Jaïch al-Islam Zahran Allouche. Celui-ci a été tué dans un raid aérien de l’armée syrienne, le 25 décembre 2015.
Membre du Haut Comité des négociations (HCN) de l’opposition, l’instance qui représente les principaux groupes politiques et armés de l’opposition syrienne, mise sur pied fin 2015 avec l’appui de l’Arabie saoudite et des Occidentaux, Mohammad Allouche représente surtout l’un des plus importants groupes rebelles syriens.
Très actif dans les zones rurales de la région de Damas, notamment dans la Ghouta orientale (banlieue est de la capitale), Jaïch al-Islam serait constitué de 15 000 à 20 000 combattants islamistes, selon des services de renseignement occidentaux. Lire la suite sur France 24
Jaish Al Islam place des civils dans des cages pour en faire des boucliers humains informe l’AFP. Rappelons que la France a soutenu le Haut Comité des Négociations (HCN), aussi appelée Plateforme de Riyad, lors des négociations de Genève I et II. Relire notre interview avec la syrienne Randa Kassis de l’opposition laïque.
Après une vague de violences commises par des migrants à Cottbus, de nombreuses personnes sont descendues dans la rue pour s’opposer à la politique d’immigration massive.
Selon les estimations des observateurs, plus de 2 000 personnes ont manifesté et se sont rassemblées dans le centre-ville samedi. L’initiative citoyenne, à l’origine de la protestation, revendique 5 000 manifestants.
Parmi les slogans, on a pu entendre des «traîtres au peuple» visant le gouvernement allemand, des appels à la «résistance» et des appels à la démission «Merkel doit s’en aller». Des élus locaux de l’AfD étaient également présents.
Le Tafel (équivalent de la banque alimentaire française) d’Essen en Allemagne a pris la décision d’interdire aux étrangers l’accès à ses services. Pour recevoir l’aide alimentaire, il faut désormais présenter des papiers d’identité allemands. Les étrangers sont quant à eux refoulés.
Depuis 2015, le nombre d’étrangers – pour une grande partie en situation illégale – bénéficiant de l‘aide alimentaire a augmenté de 75%, au détriment des nécessiteux allemands.
Les responsables locaux de la soupe populaire d’Essen se sont défendus en expliquant que la mesure n’était que temporaire et que les étrangers qui fréquentaient déjà l’endroit pouvaient continuer à venir. Il n’est pas question pour eux de revenir sur leur décision: «Nous voulons que la grand-mère allemande puisse continuer à venir», a expliqué aux médias allemands le responsable de Essen, Jörg Sartor, en pointant du doigt le comportement de certains réfugiés: «manque de respect envers les femmes» ou encore «bousculades» dans les files d’attente. A l’entendre, certains demandeurs d’asile se comporteraient en «profiteurs». Avant la crise migratoire de 2015, les étrangers ne représentaient que 35% de la population aidée. Aujourd’hui, quelque 6000 personnes fréquentent la Tafel à Essen, les trois-quarts relevant de l’asile.
Publié le 20 février 2018 – par Sophie Durand sur “Riposte Laïque”
Une blague circule : l’Algérie et la France ont divorcé, et c’est la France qui a la garde des enfants. Mais ce n’est pas drôle du tout. Surtout si c’est la réalité qui nous est promise.
Le prêt-à-penser politiquement correct veut nous faire croire que très peu de musulmans sont radicalisés, et que les adeptes du fondamentalisme islamique sont une minorité. Or c’est faux. Le soutien au jihad menant à la création d’un Etat islamique avec pour loi la charia est massif chez les musulmans. Spécialement en Algérie. Voici une vidéo qui le prouve :
Cette vidéo nous fait voir des images prises en Algérie en 1991. Devant des foules hystériques et immenses, un gamin de 7 ou 8 ans dans les oripeaux islamistes est lancé dans un discours islamique qu’il continue par la prière. Il est véritablement effarant de voir cette foule communier dans ce qui pour nous Occidentaux est un délire guerrier.
On y voit ensuite Ali Benhadj, fondateur du FIS, Front islamique du Salut, lancé dans une harangue dans laquelle il s’écrie : « pour l’Etat islamique, nous vivons ! Pour l’Etat islamique, nous mourrons ! » Ses auditeurs sont une foule immense, compacte, à perte de vue, qui scande en réponse « Etat islamique ! Etat islamique » !
Cela tout seul est déjà véritablement effrayant. On est loin de ce jour de mai 1958 où à Alger les Algériennes dans un bel ensemble spontané et inattendu ont arraché leurs voiles. Que s’est-il passé depuis ? Peut-on dire que dans l’échec économique de l’indépendance, avec l’effondrement du pays, suivi de la guerre civile amenée par le FIS, la radicalisation était quasiment inéluctable ?
N’en doutons pas malgré l’échec du FIS, Benhadj est toujours là qui attend son heure. Lui ou un autre d’ailleurs, peu importe, les islamistes guettent. Les foules galvanisées et radicalisées attendent aussi leur heure. Rien qu’à regarder cette foule, on voit bien que tous les milieux sociaux sont atteints de cette maladie. Certains sont habillés comme les « jeunes cadres dynamiques » de chez nous. D’autres comme des paysans et des ouvriers.
Une question alors jaillit : que se passera-t-il lorsque les Algériens restés en Algérie, lassés de l’effondrement de leur pays, traverseront en masse la Méditerranée pour venir goûter à notre eldorado d’assistanat social ?…
En France, nous ne savons pas combien nous avons d’Algériens sur notre sol puisqu’il est interdit de le dire, mais ils sont de plus en plus nombreux, ils sont partout et jusque dans la garde rapprochée et le conseil du petit Cron.
On sait avec les études de l’Institut Montaigne et du Centre social de Berlin, qu’une grande partie des musulmans est fondamentaliste, sur trois bases : le retour aux racines de la foi, une seule interprétation du coran, et la considération que les règles religieuses musulmanes sont plus importantes que les lois du pays.
La moitié des musulmans de Belgique et de France serait concernée d’après ces études. Il est donc certain que ces musulmans accueilleront à bras ouverts leurs frères d’Algérie, qui deviendront un renfort inespéré pour la conquête du pouvoir, pour faire de la France un Etat islamique soumis à la charia, comme le rêvent Marwann Muhammad, les Frères musulmans, Edwy Plenel, Jacques Attali, Yann Moix et bien d’autres. Des musulmans et des collabos hélas bien de chez nous, ensemble dans ce projet ignominieux.
Les Algériens étaient 9 ou 10 millions d’habitants à l’indépendance, ils sont maintenant quarante et un millions d’habitants. La population a explosé, le pays n’étant pas nourri par son travail mais par les revenus du pétrole. Le pays n’a rien entretenu de ce que la France avait créé et une crise gravissime le guette.
Les Algériens se précipitant en Europe et traversant par milliers la Méditerranée par bateaux entiers, ou par avions ?.. Ce sont les prophéties du livre de Jean Raspail qui se matérialiseront. Les musulmans voudront prendre le pouvoir pour instaurer la charia. Nous résisterons. On aura la guerre pour de vrai.
On aura tout et le tout de la guerre, la guerre au couteau, la guerilla urbaine des rues, les attentats, la guerre dans les campagnes et les collines évoquée par Churchill en 1940, les cités dégringolant dans les villes pour tuer tout ce qui bouge chez les kouffars, l’intifada, les enlèvements, les tortures et massacres sanglants du FLN…
On aura des familles entières surprises et achevées à la hache chez elles, leurs intestins servant de guirlandes sur la scène, comme lors de la guerre d’Algérie. Et d’autres spectacles qui ne peuvent tout simplement pas être décrits.
On aura une guerre imprévisible et contraire aux lois internationales, comme seuls la font des musulmans.
On aura la guerre totale entre les Algériens et les Occidentaux, plus la guerre civile entre les Français car il faudra bien s’occuper des collabos pour éviter qu’ils s’occupent des patriotes…
On y dépassera tout ce qui a été dit ou imaginé sur la guerre. Ce sera une guerre d’une nature totalement nouvelle. Les mots pour décrire cette épouvante qui nous attend sont insuffisants. Le génial Clausewitz (1780-1831), référence pour la théorie stratégique moderne, n’aurait plus qu’à écrire un nouveau « De la Guerre », son œuvre étant devenue totalement obsolète devant les Barbares.
En un mot comme en cent, ce sera l’invasion de la France par l’Algérie. Ce sera l’apocalypse grandeur nature. On y arrive tout doucement et inéluctablement. Il est minuit moins trente secondes.