Médine au Bataclan : peuple français, tu ne peux pas laisser faire cela…

Lettre ouverte au peuple français concernant le devoir de mémoire du 13 novembre 2015

Le 13 novembre 2015, une atroce tuerie s’est déroulée au Bataclan, salle de spectacles située au 50, boulevard Voltaire à Paris. Ce soir-là, la barbarie islamiste a frappé, fait couler le sang de tant d’innocents et a coûté la vie à 90 spectateurs assassinés dans des conditions épouvantables.

Les 19 et 20 octobre prochains, moins de 3 ans plus tard, le chanteur de rap Médine Zaouiche se produira au Bataclan, présence choquante et inacceptable pour de très nombreux Français.

Comment tolérer la venue d’un vociférateur de paroles anti-françaises, cultuelles et claniques dans un lieu où l’« horreur absolue » – pour reprendre les propos d’Arnaud Lagardère, propriétaire du Bataclan depuis le 11 septembre 2015 – laisse à jamais son empreinte ?

Comment admettre un individu ayant chanté « Crucifions les laïcards comme à Golgotha », véritable sacrilège pour les victimes et immense déshonneur pour la France ?

Comment considérer que cette programmation n’est pas une insulte intolérable et odieuse à la mémoire des 130 victimes de la soirée du 13 novembre 2015 en plein Paris ?

Cet individu se proclame le chantre de la lutte anti-extrême droite, avec la complaisance du pouvoir en place.

Il ne peut y avoir de considérations politiques dans un crime de masse comme celui du 13 novembre 2015 et en particulier au Bataclan puisque les victimes furent prises au piège d’une atrocité et d’une sauvagerie sans nom, d’autant plus que les forces d’intervention ce soir-là ont tardé à intervenir et ont fait preuve de dysfonctionnements anormaux, édifiants et condamnables.

Il ne peut en aucun cas, donc, s’agir d’une récupération politique, non, cela est exclu. Il ne peut s’agir, non plus, d’une instrumentalisation de la douleur des familles des victimes et de la souffrance des rescapés, traumatisés à vie par cette tuerie.

Oui, les crimes perpétrés à Paris et au stade de France le 13 novembre 2015 sont des crimes contre l’humanité. Aussi l’État Français doit-il enfin prendre la mesure de cette réalité et classer ces crimes dans le devoir de mémoire de la Nation.

Pour ce faire, il faut mettre un terme au déni de guerre et nommer l’adversaire qui n’est pas le terrorisme mais l’islam conquérant et radical.

Comment encore tolérer la venue d’un artiste sous le couvert fallacieux d’une liberté d’expression à deux vitesses, réservée désormais aux propagateurs de haine islamisés, tel Médine Zaouiche, proche des indigènes de la République, qui n’hésite pas à traiter racialement et haineusement les Blancs ainsi « Je hais les Blancs depuis Rodney King », « Ces porcs blancs vont loin/Passe-moi une arme de poing » et les Françaises de « crasseuses de souche », tandis qu’on opprime la liberté d’expression de tous les Français qui veulent faire respecter nos principes fondateurs et ancestraux ?

La question n’est pas, pour le Bataclan, d’enliser le devoir de mémoire sous la provocation de l’affaire Médine : non, il convient que le Bataclan ne soit plus exploité en tant que salle de spectacles et devienne à jamais un Mémorial !

Aujourd’hui, le Bataclan est devenu un « Golgotha », un Oradour-sur-Glane du 21e siècle. Nous ne pouvons pas nous contenter d’une plaque boulevard Voltaire devant le Bataclan. Nous laisser prendre au piège trompeur du « show must go on » est inacceptable.

Le Bataclan doit devenir un lieu sacré de mémoire et de recueillement ! Face à la mémoire des victimes, le maintien de spectacles ne peut subsister !

Dans ce lieu, la France a enduré le pire massacre depuis la dernière guerre : l’État français, à ce jour, ne semble pas avoir cherché à faire reconnaître le 13 novembre 2015 comme un jour international de deuil, alors que le 11 mars est la journée internationale des victimes du terrorisme, en mémoire de l’attentat de Madrid du 11 mars 2004.

Pourtant, l’assaut du Bataclan par les forces de l’ordre a constitué une véritable zone de guerre telle que nos soldats en affrontent la dure réalité en OPEX.

Respecter nos morts, c’est donc se donner les moyens de répondre militairement à cette guerre que nos politiciens ont de plus en plus de mal à étouffer, empêtrés dans leur clientélisme avec des puissances étrangères, fossoyeuses de notre Nation !

Le Qatar n’est-il pas l’actionnaire privilégié du groupe Lagardère ? Et ce n’est pas une fake news !

Aujourd’hui, le silence s’impose, ainsi que le respect des morts !!

Nous exigeons donc un mémorial du 13 novembre 2015 au Bataclan, en hommage à toutes les victimes de cette journée effroyable.

Nous en voulons aussi un à Nice ! Et aussi des monuments aux Morts partout où des Français ont été arrachés effroyablement à la vie, victimes civiles d’une guerre implacable !

Nos morts ne peuvent finir à la rubrique des faits divers !

Les lieux où ils sont fauchés ont une mémoire ! Elle doit être marquée !

Le Bataclan résonne encore des cris de souffrance et de terreur du peuple français ! Ne les étouffons pas sous les paroles d’un représentant qui se rit de nos douleurs. Il ne s’agit pas de Médine Zaouiche, simple maillon, mais de l’État qui doit faire son devoir en censurant tout spectacle au Bataclan.

Affichez partout ce tract sur les panneaux d’affichage publics, dans le pays tout entier :

L’heure n’est plus à l’impuissance, l’heure est à l’action. Rendez-vous, pour celles et ceux qui le peuvent, au Bataclan les 19 et 20 octobre à 19 heures (réservation trajet bus depuis la province au mail suivant memorial.bataclan@gmail.com)

La Vox Populi doit être enfin entendue et respectée.

La France vivra et restera fidèle à ses principes. Nos Morts seront honorés.

Aussi, pour ce mémorial du Bataclan, je propose l’inscription suivante :

À la mémoire des 130 victimes de la soirée du 13 novembre 2015.

Nous qui songions, la veille encore, à la vie, au bonheur, à nos parents, à nos proches, unis dans la mort, nous sommes partis tragiquement, victimes de la barbarie islamiste.

Ami, passant, en ce lieu sacré, souviens-toi toujours de la tuerie du Bataclan et respecte la mémoire de tous ceux qui sont morts ici, dans Paris et au stade de France, le 13 novembre 2015.

Oui, n’oublie jamais cela !

Que cette tragédie reste toujours présente et vivante afin qu’elle ne se reproduise plus et que la France continue à incarner la liberté et la justice, sans laisser la vérité sous séquestre !

Le 1er septembre 2018

Christian Piquemal
Président du Cercle de Citoyens Patriotes
Membre du Conseil National de la Résistance Européenne




Corse : un professionnel de santé menacé avec une arme pour avoir demandé à une femme d’enlever son voile islamique

Un professionnel de santé en Haute-Corse a été menacé mercredi par un homme armé qui s’est présenté comme le mari d’une femme voilée à laquelle le soignant avait demandé de retirer sa burqa, selon des sources concordantes.

Une enquête pour violence volontaire avec arme a été ouverte et confiée à la brigade de gendarmerie de Penta di Casinca (Haute-Corse), a indiqué la procureure de la République de Bastia, Caroline Tharot.

Le 5 septembre, le mari en question serait venu dans le cabinet de ce professionnel de santé et l’aurait menacé avec une arme de poing », a-t-elle ajouté, précisant que les enquêteurs cherchaient à déterminer si la femme voilée souhaitait être examinée ou si elle accompagnait juste son enfant.

Le praticien « a déposé plainte le 5 septembre » et a « parlé d’un voile qui pourrait ressembler à une burqa (un voile intégra) », a ajouté la magistrate.

Le Figaro




Les musulmans priant dans la rue à Clichy (92) condamnés en première instance

L’Union des associations musulmanes de Clichy et son président sont condamnés à verser un total de 27 000 € pour manifestation sans autorisation après 34 prières de rue.

A raison de 500 € la prière de rue illégale, l’Union des associations musulmanes de Clichy (UAMC) et son président, Mohand Kazed, sont condamnés à 5 000 € d’amende chacun et, ensemble, à 17 000 € de dommages et intérêts à verser à la ville de Clichy. Au terme de débats juridiques un brin complexes, le tribunal correctionnel de Nanterre a rendu cette décision ce mardi. Ainsi, les juges ont tranché : les trente-quatre prières de rue organisées chaque vendredi, entre le 24 mars et le 10 novembre 2017, sans déclaration à la préfecture, ne sont pas conformes à la loi.

En faisant venir les fidèles devant l’hôtel de ville, pour prier en partie sur le boulevard Jean-Jaurès, l’UAMC et son président entendaient protester contre leur expulsion des locaux de la rue d’Estienne-d’Orves, mis à disposition par l’ancien maire de la ville, Gilles Catoire (PS), selon les termes d’un bail précaire. A l’expiration de celui-ci, après l’élection du nouveau maire (LR) Rémi Muzeau, l’association avait refusé de quitter les lieux tandis qu’un nouveau lieu de culte était ouvert rue des Trois-Pavillons.

Le conflit s’était durci jusqu’à l’expulsion par la police puis ces rassemblements qui avaient perturbé la vie locale pendant dix mois. « On fustigeait le maire de cette ville où régnait le désordre », a plaidé Me Rémi-Pierre Drai, conseil de la ville et de Rémi Muzeau, « extrêmement satisfait » de la décision du tribunal. Bien sûr, le maire s’en félicite également et promet d’ores et déjà de reverser les dommages et intérêts aux actions culturelles de la rue des Trois-Pavillons.

Le président de l’Union des associations musulmanes de Clichy était absent

Du côté de Mohand Kazed, la réaction est évidemment tout autre. Même si l’intéressé ne la commente pas directement, puisqu’il ne s’est pas présenté devant le tribunal. Mais son conseil, Me Arie Alimi, annonce déjà qu’il fait appel du jugement. Selon l’avocat, la déclaration à la préfecture a été faite « mais pas dans le bon délai ». De plus, a-t-il plaidé, en poursuivant ses clients pour l’organisation de ces manifestations sans déclaration, la ville n’apporte pas les preuves incontestables des dates. Pas de photos, pas de témoignages… Pourtant, de multiples articles de presse ont été rédigés sur le sujet mais ne sont pas, selon son argument, « une preuve incontestable ».

Avant que le tribunal n’examine le fond de l’affaire, Me Alimi a bataillé sur un autre terrain en arguant de l’incompétence du tribunal. Pour l’avocat, les cultes étant « réglés par la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’Etat », la prière de rue ne peut être assimilée à une manifestation. Ce n’est donc pas, selon lui, au tribunal correctionnel mais au tribunal de police qu’il revient de trancher. Les juges ont écarté l’argument mais Me Alimi a déjà fait appel.

Par ailleurs, Rémi Muzeau était poursuivi pour « incitation à la haine » par Mohand Kazed. En novembre 2017, en direct sur LCI, l’édile avait notamment évoqué « des prêches avec des appels au meurtre ». Mais le président de l’UAMC a abandonné la procédure vendredi soir. Son avocat dit toutefois en préparer une autre « plus précise ». La justice n’en a pas fini avec cette affaire.




Témoignage choc : Immigration, le naufrage français, de Marcus Graven

C’est le livre de la rentrée pour Riposte Laique, et il est en pleine actualité. Lecteurs de Riposte Laïque, n’ayez aucune inquiétude, vous ne retrouverez pas dans cet ouvrage de 130 pages le moindre texte déjà publié sur notre site. « Immigration, le naufrage français » est un témoignage choc, exceptionnel, d’un de nos contributeurs, membre de la rédaction depuis de nombreuses années, Marcus Graven.

https://ripostelaique.com/author/marcus-graven

Durant l’été, au pied levé, il a dû accompagner sa nièce, accidentée, dans plusieurs grandes villes où elle doit passer des concours importants pour son avenir. Ce qu’il découvre, dans les périphéries urbaines ou dans les centre-villes, dans les sept villes dans lesquelles il s’arrête dépasse l’entendement, même si l’auteur suit de près l’actualité.

Il nous apporte donc un témoignage-choc de ce qu’il a vu lors de ses différentes étapes, de Brest à Nantes en passant par Rennes, Grenoble, Clermont-Ferrand, Roanne et Lille. Partout, il a vu les conséquences de la tiers-mondisation de nos villes françaises, de l’invasion africaine, de l’insécurité grandissante et de l’islamisation, de plus en plus visible, de notre pays.

Et il n’est pas allé à Paris, à Marseille, à Lyon, à Strasbourg, à Toulouse, à Nice, à Roubaix, en Seine-Saint-Denis ni dans les centaines d’autres villes françaises touchées, à des niveaux différents, par des phénomènes semblables.

Marcus Graven en a tiré deux conclusions. La première est que l’affrontement civilisationnel est devenu inévitable. La deuxième est que nous vaincrons.

Pour vous procurer ce témoignage-choc d’une réalité que politiciens et médias cachent soigneusement aux Français, vous pouvez le commander à Riposte Laïque en envoyant un chèque à l’adresse suivante :

Riposte Laïque – BP 32 – 27140 GISORS




Concert de Médine au Bataclan : les opposants se mobilisent sur Facebook.

1400 participants et 3300 qui se déclarent « intéressés » : c’est le nombre de personnes inscrites au rassemblement contre le concert du rappeur islamiste « Médine » au Bataclan sur l’événement Facebook « Pas de rappeur islamiste au Bataclan », à un mois et demi du concert, prévu le 19 octobre prochain.




Reportage exclusif : Paris, place de la Chapelle, une zone africaine de non-droit

Nos internautes connaissent de triste réputation la porte de la Chapelle, le Calais parisien, cul-de-sac de l’immigration clandestine, aux bons soins des associations autoproclamées caritatives et grassement subventionnées. Ils ont aussi entendu parler de la colline dite « du crack », à proximité de l’échangeur conduisant à l’autoroute du Nord.

Mais nous évoquerons ici la place de la Chapelle, située à environ 2 km de là. Louise de Marillac, qui fonda avec saint Vincent de Paul les « Filles de la Charité », y vécut de 1636 à 1641. À l’époque, le village de la Chapelle était encore situé en dehors de Paris. Aujourd’hui, le théâtre des Bouffes du Nord n’est pas très loin et surtout la station de métro La Chapelle, reliée à la Gare du Nord par un couloir très fréquenté dont nous aurons l’occasion de reparler.

La place de la Chapelle est devenue la plaque tournante de nombreux trafics aux mains de bandes parfaitement organisées. Quant aux vendeurs de rue, ils envahissent chaque soir le trottoir des numéros pairs de la rue Marx Dormoy (au fait, pourquoi pas les numéros impairs ? Auraient-ils négocié et avec qui ?). Entre 16 h et 22 h, il est difficile de se frayer un chemin entre les étals de produits neufs présentés sur des cartons de récupération procurés par des commerçants complices, principalement des chaussures de sport mais aussi des chargeurs de batterie, des objets en cuir, des téléphones, des cigarettes de contrebande ou des portables volés.

Des Maghrébins, Afghans, Soudanais, mais également des Roumains se sont approprié cet espace, bravant la présence permanente de plusieurs camions de police à qui, on le devine, des consignes ont été données.

http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-le-nouveau-cri-d-alarme-des-habitants-de-chapelle-pajol-03-09-2018-7875048.php

Malgré les alertes suscitées par des articles du Parisien, peu flatteurs sur le quartier, malgré la visite éclair de Valérie Pécresse en mai 2017, en soutien aux femmes agressées dans la rue, la situation ne s’est jamais améliorée, bien au contraire. Comme à Saint-Denis, cœur de ville, comme à Château Rouge, il est recommandé de ne jamais sortir son téléphone portable dans la rue, au risque de se faire tabasser. Les squares, remis en état à grand frais par la mairie, sont squattés par des soi-disant « mineurs » marocains, logés aux frais du contribuable dans des hôtels environnants.

Les vélibs servent de bancs publics, quand ils ne sont pas ostensiblement dépecés « pour s’amuser » !

Pas de doute que, derrière ces provocations quotidiennes, se cache une véritable stratégie de conquête au nez et à la barbe des pouvoirs publics.
Il faut rendre hommage aux nombreuses associations de quartier qui se sont usées, les unes après les autres, pour alerter, revendiquer la restauration de l’État de droit dans le quartier. La dernière en date, l’association SOS La Chapelle, fondée il y a quelques années à l’initiative de commerçants en colère, tire aujourd’hui un constat très amer. Après avoir joué la carte de la coopération avec les autorités locales, elle se sent aujourd’hui complètement démunie. Tout porte à croire que la seule politique consiste à faire accepter par les riverains l’intolérable. Le quartier est devenu un labo grandeur nature où l’on teste la résistance des habitants à l’invasion migratoire. Petit jeu bien dangereux qui pourrait bien mal finir !

Voici le témoignage récent d’un habitant :
« Monsieur le Préfet de Police est passé dans le quartier de la Chapelle pour se rendre compte de la situation, sur terrain, en toute discrétion, le 28 août vers 19 heures. Sa visite a été précédée par une opération de police d’ampleur et protégée par 10 policiers en civil. Dans ce contexte, la situation qu’il a pu constater était probablement (malheureusement) relativement tranquille.
Alors que tout autre jour, à partir de 16 heures jusque tard dans la nuit, 150, 200, 250 vendeurs à la sauvette, parfois mineurs, prennent le quartier d’assaut.
Arrogants, agressifs, bruyants, armés, certains de leur impunité, ils occupent les pas-de-portes et les porches des immeubles de la rue Marx Dormoy depuis la place de la Chapelle jusqu’à la rue du Département et à la station de métro La Chapelle, vendant contrefaçons de toutes sortes, cigarettes et drogues.

Les regards appuyés portés sur les rares femmes qui traversent la zone sont oppressants. Les vols de téléphones, colliers, marchandises des commerçants, sacs à main, contenus de camionnettes fracturées de nuit complètent au quotidien les revenus de ces délinquants.
Les planques sont partout : poteaux d’éclairage, poubelles, scooters, boutiques complices, regards, bouches d’égouts, voitures, camionnettes.
Les vendeurs, souvent alcoolisés ou drogués, disposent de guetteurs, affalés sur les scooters et consultant des portables.
Les rixes entre bandes rivales, sortant couteaux, bâtons, machettes… sont régulières avec des blessés graves ; les bagarres se poursuivant jusqu’à l’intérieur des commerces.

Ces scènes violentes se déroulent dans un espace urbain laissé à l’abandon.
Les parkings et les boxes des sous-sols sont squattés et vandalisés. Au 16 de la place de la Chapelle, les gens ont peur de prendre leur voiture.
Lorsqu’une patrouille de police, dont le camion est stationné place de la Chapelle, vient à sortir, les vendeurs avertis par leurs comparses disparaissent pour se réinstaller dans les minutes qui suivent.

Un peu plus haut dans la rue, de la rue du Département à l’église Jeanne d’Arc, une quinzaine de prostituées travaillent.
Le chantier de la rénovation du métro aérien qui fait suite au chantier de renouvellement du réseau de gaz renforce les embouteillages de la rue.
Une cabane de chantier, squattée, a brûlé sous le métro.
Les dés de béton des supports d’éclairage provisoires sont utilisés comme bar ou jeu de bonneteau.
L’éclairage de la place de la Chapelle s’est éteint 3 semaines durant. Et plus tard, celui de la rue Marx Dormoy entre le passage Ruelle et le passage de la Chapelle.
Les déchets sont partout, canettes, cartons, crachats, bouteilles, mégots, cagettes, barquettes, urine… et restent là jusqu’au matin.

Les commerces plongent, chacun préférant s’approvisionner dans d’autres lieux plus sûrs.
Les habitants déménagent, par peur, par manque de diversité des commerces, pour éviter de faire subir à leurs enfants cette situation…
Et il convient d’ajouter que les trafics se déploient à l’intérieur même de la station La Chapelle, et plus particulièrement dans le couloir menant à la gare du Nord, dans une indifférence générale qu’on ne retrouve dans aucun autre pays européen.

La réponse des autorités a été de créer une ZSP (zone de sécurité prioritaire) : une usine à gaz dont on a du mal à comprendre la logique et dont les résultats ne sont guère probants. On a même l’impression d’une contre-productivité qui donne le vertige ! Quant à la mairie socialiste du XVIIe, marquée par l’interminable mandat de Daniel Vaillant, sa politique consiste à cajoler un électorat bobo qui lui a été longtemps favorable, tout en s’assurant de l’appui électoral des communautés immigrées qui peuplent les nombreux logements sociaux du quartier.

Pour la mairie, l’insécurité n’est qu’une question de « sentiment ». Sous-entendu, la situation n’est pas pire ici qu’ailleurs ! Bref, la banalisation de la déglingue. Le tout accompagné de beaux discours sur le « vivre-ensemble » et de projets écolo-bobo comme la future promenade pédestre sous le métro qui a commencé par l’incendie criminel du Civic Lab, le 28 novembre 2016.

La municipalité communiste de Saint-Denis, moins naïve ou moins hypocrite, qualifie clairement les ventes à la sauvette dans le cadre de sa campagne d’information : elle rappelle notamment que la contrebande de cigarettes s’inscrit dans le cadre de puissants trafics internationaux.

L’opinion publique va-t-elle enfin se réveiller ? Pendant longtemps, elle s’est bornée à considérer que la déglingue ne pouvait concerner que les banlieues par définition « défavorisées » et que Paris serait toujours préservé. Ce qui se passe dans le Nord-Est de Paris depuis des années apporte un démenti cinglant et aujourd’hui, malgré les tentatives des médias du système de minimiser les faits, la vérité commence à se faire jour.

Hector Poupon (dans “Riposte laïque”)




La christianophobie se propage à petit feu

La christianophobie va bon train. Au rythme où les statues sont presque autant décapitées que les hommes, où les croix sont sciées, où les églises sont démolies comme ce mois-ci à Aslan, ou incendiées, l’Europe sera déchristianisée. Enfin, pas avant quelques années quand même, en tout cas, tant que nous veillerons au grain et si les journalistes sont un peu plus dynamiques pour dénoncer cette vague antichrétienne.

Car, effectivement, si le couteau semble avoir, dans nos rues, un bel avenir, les scies ou les allumettes sont devenues les accessoires préférés de ceux qui ont décidé que le Christ et sa mère Marie ne méritaient qu’une bonne raclée.

Pour tout savoir sur ces actes, ne comptez pas sur un ministère quelconque, sur vos députés, ni sur les médias parlés, télévisés ou imprimés. Mais sur les réseaux qui sont, bien sûr, des réseaux de désinformation selon nos gouvernants, dont le premier d’entre eux. Pourtant, sans ces réseaux, sans un certain nombre de sites et de blogs, vous apprendriez peu puisque, quelle que soit la chaîne que vous regardez, les informations sont réduites au minimum et toujours présentées via les dépêches de l’AFP, dont plus personne n’ignore la tendance politique et la soumission à ceux qui ont le pouvoir.

Le mois d’août a été particulièrement chargé, en France. Mais pas seulement, puisqu’il y a quelques jours, en Allemagne, des « jeunes » ont scié une croix et détaché le Christ pour lui briser les membres, lui écraser la tête et réduire ainsi la religion catholique à un tas de débris. Et à Mayence, c’est un très beau calvaire qui a vu son Christ coupé en deux. Sur notre sol, ce furent deux croix qui ont été abattues et précipitées dans le vide d’une vallée des Pyrénées. À Noirmoutier, sans doute un déséquilibré, enfin, plusieurs, vu la hauteur de 3,50 m de la statue, ont décapité la Vierge Marie et son fils, dont les têtes n’ont pas été retrouvées.

L’Observatoire de la christianophobie, dont je recommande à tous la lecture, nous apprend que la basilique du Bois-Chenu de Domrémy-la-Pucelle a été vandalisée en début d’année. Quatre départs de feu ont été signalés dans l’église Saint-Pierre de Neuilly. Oui, à Neuilly, dans cette église où se marie le gotha, aux portes de la capitale. C’était le 5 août, dans un silence assourdissant.

Daniel Hamiche nous rappelle aussi que des églises ont été incendiées en partie ou entièrement détruites, à Béthune, à Plapeville (en Moselle), à Revel (en Haute-Garonne), à Lyon, à Saint-Étienne. À Villeneuve-sur-Lot, à Naintré. Bref, la liste s’allonge aussi vite que le temps qui passe. Il y a aussi les vols, mais rien d’exceptionnel à cela : les cambrioleurs ont toujours ciblé les églises comme des lieux cachant des trésors.

Non, il semblerait que tous ces actes, dont d’ailleurs très peu voient leurs auteurs arrêtés, aient une cause religieuse. Personne n’est visé, bien entendu, mais comprenne qui voudra. C’est comme notre Président qui accuse sans accuser tout en accusant une religion, en particulier, qui ne sait pas toujours s’adapter aux lois de la République.

Imaginez une seule seconde que des mosquées ou des synagogues soient la cible d’actes de malveillance. Vous auriez à la même première minute du 20 heures, sur toutes les chaînes, des réactions outragées (et avec raison) du gouvernement, des journalistes, des communautés visées.

Ici, rien… Jeanne d’Arc attaquée dans son fief : enfin, quand même, c’était une info, non ?

Eh bien, non. Le Christ n’a pas achevé son chemin de croix.




Melbourne (Australie) : rixe sauvage entre 200 jeunes, principalement des Africains, 7 blessés

Australie – Un passant a été grièvement blessé suite à une rixe sauvage rassemblant 200 jeunes individus dans le quartier de Collingwood, à Melbourne. 7 blessés. (…) « Les riverains disent qu’ils ont vu des dizaines de jeunes se battre entre eux et sauter sur des voitures ».

Les émeutiers sont principalement des Africains et des gens originaires des îles du Pacifique.

News.com.au / TheAge.com

Merci à kentinbrooklynny