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#webtube : La journée pourrait bien servir d’exutoire aux Black Blocs et autres militants de l’ultra-gauche anticapitaliste. Une menace prise très au sérieux. Lundi soir, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a dévoilé le dispositif prévu pour la journée du 10 septembre, ne cachant rien de son appréhension. « Je ne prends pas du tout cette date à la légère parce qu’au départ, il y a eu une mobilisation citoyenne. Celle-ci a été, depuis, confisquée et détournée. Elle n’a plus rien de citoyen.
Cela a été une radicalisation puisque c’est Monsieur Mélenchon qui a voulu la préempter, a expliqué le locataire de la place Beauvau, sur le plateau du 20 Heures de France 2. Ce sera la mouvance d’extrême-gauche et d’ultra-gauche. On sait que ces groupuscules sont déterminés et organisés. L’ultra-gauche est ultra-violente. Nous allons mobiliser beaucoup de forces, gendarmes et policiers, 80.000. »
🔴🗣 INFO #JT20h
— Le20h-France Télévisions (@le20hfrancetele) September 8, 2025
Bruno Retailleau dénonce la "radicalisation" et la "préemption" du mouvement "Bloquons tout" par Jean-Luc Mélenchon et annonce la mobilisation de 80 000 gendarmes et policiers. pic.twitter.com/5EGjiYfXm0
Aux abords des Champs-Élysées, des commerçants se préparent déjà au pire et comptent se barricader pour défendre leurs biens. Mais les dégâts pourraient potentiellement s’étendre bien au-delà de la capitale puisqu’une vingtaine d’opérations de blocage sont prévues, principalement dans des dépôts pétroliers et les plates-formes logistiques comme les aéroports et les voies ferroviaires. Des sabotages contre des sites stratégiques, notamment dans le domaine de l’énergie ou encore l’industrie de Défense, sont également redoutés. Selon une note des services de renseignement territorial, consultée par CNews, « des initiatives désorganisées et difficilement anticipables » seraient à prévoir, avec un « risque d’actions par des groupes radicaux et violents ». « Nous serons là. Nous n’avons pas peur. Nous protégerons le droit, la loi, les Françaises et les Français et la République, a d’ores et déjà averti le ministre, à l’attention des factieux d’ultra-gauche. On ne tolérera aucun blocage, aucune violence ».
Un dispositif XXL
Il faut comparer cette mobilisation de 80.000 forces de l’ordre à des dispositifs précédents pour prendre la juste mesure de la menace. Le 1er mai 2023, 12.000 agents avaient été déployés pour sécuriser les manifestations dans tout le pays. Pour les Jeux Olympiques de 2024, c’était une moyenne de 30.000 agents par jour pour toute la région Ile-de-France. Et le 14 juillet dernier, 65.000 policiers et gendarmes avaient été mobilisés en France afin de sécuriser des festivités devenues le prétexte aux défoulements barbares de la « nouvelle France ».
Les fameux « jeunes » issus des quartiers ne sont cependant pas les seuls capables de violence. Lors des mouvements sociaux, les black blocs prennent leur relai, s’attaquant eux aussi autant aux biens qu’aux personnes.
Ce mouvement – qui va très probablement s’inviter aux mobilisations du 10 septembre – s’est installé en tête des cortèges depuis les manifestations contre la « loi travail », en 2016. Il s’est notamment illustré lors de l’épisode des Gilets jaunes dont chacune des journées d’action s’était retrouvée infiltrée par ces factieux cagoulés et vêtus de noir.
Une violence tolérée
Que fait le gouvernement contre ces Black Blocs dont l’identité est souvent connue des forces de police ? Rien, ou si peu. « Nous ne pouvons pas interpeller un certain nombre de gens qui arrivent comme vous et moi en civil, et qui tout à coup s’habillent en black bloc, se mettent au milieu de la foule », s’était défendu l’ancien ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, en 2018. Il faut dire aussi que l’État n’est pas aidé dans sa volonté de lutte contre l’extrême gauche. En 2016, lors d’un défilé contre la loi travail, la participation de dizaines de militants identifiés comme dangereux avait été empêchée par des contrôles d’identité aux points d’entrée stratégique et la mesure avait à l’époque suscité l’indignation des ONG…
L’Élysée n’a pas pu nous recevoir.
— amnestyfrance (@amnestyfrance) November 27, 2021
Mais notre présidente @CecileCoudriou a rencontré @GDarmanin et @E_DupondM
Elle a réitéré notre demande : le cadre juridique doit être plus protecteur du droit de manifester.
Les médias de gauche sont globalement sur la même ligne et voient dans les black blocs le bras armé d’une lutte anti-capitaliste fort légitime. En juin 2023, France Inter avait ainsi invité ses auditeurs à poser sur ces militants un regard plus indulgent, estimant que « le gouvernement les pointe du doigt pour justifier des dispositifs de plus en plus musclés ». « Ces Black Blocs sont-ils devenus un fléau ou un mal nécessaire ? Comment les arrêter, et le faut-il seulement ? », ajoutait encore la radio publique. Des questions qu’il faudrait sans doute poser aux centaines de policiers blessés ou handicapés à vie chaque année par ces milices d’ultra gauche.
- Jean Kast, dans BV
. Matignon : Lecornu sort vainqueur du casting de l’horreur politique
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#webtube : La France ne manque pas de candidats pour diriger un pays en faillite. Suspect… a France sait. Le ministre de la Défense Sébastien Lecornu devient le septième Premier ministre d’Emmanuel Macron. Enfermé à l’Elysée, le président de la République a livré son choix dans un délai record. Et pour cause, sans fusible, sans bouclier, soumis aux appels croissants à la démission, il était dangereusement exposé.
Il a choisi un proche, fiable, presque un garde du corps, dans un réflexe de défense et de crispation face au danger imminent. « Un macroniste qui sera tenu en rênes serrées par Macron », analyse Marine Le Pen. La principale opposante au pouvoir n’est pas dupe : « Le président tire la dernière cartouche du macronisme, bunkerisé avec son petit carré de fidèles. Après les inéluctables futures élections législatives, le Premier ministre s’appellera Jordan Bardella ». Bien considéré par l’armée, Lecornu rappelle Charles Hernu, le fidèle ministre de la Défense de Mitterrand qui passait pour un homme énergique au tempérament droito-compatible avant que l’on ne découvre qu’il avait été rémunéré durant des années par le KGB soviétique… Faute de KGB, Lecornu ne court pas ce risque. Il court le risque d’être considéré pour ce qu’il est, soit l’ombre de Macron. L’homme qui hurlait en meeting « parce que c’est notre projet !» n’en a plus. Pour Lecornu, le principal défi consiste donc à gouverner auprès d’un président usé politiquement, décrédibilisé et qui ne parvient pas à écarter l’idée qu’il est en sursis… court. Le contexte n’est donc pas idéalement porteur pour rassembler et constituer une majorité à la chambre.
La France ne manquait pas de candidats. Pour reprendre les rênes d’un pays plombé par 3.400 milliards d’euros de dettes, ingouvernable car divisé en trois grands pôles (extrême gauche, centre et droite nationale), entravé par l’Europe, menacé socialement par la poussée de l’islam fruit d’une immigration sans limite, on se bouscule au portillon. C’est en soi assez curieux, voire suspect. Car ce n’est pas un lit de rose qui attend l’heureux élu s’il veut faire vraiment son travail, c’est-à-dire redresser la France après huit ans de macronisme. Les banlieues sont une poudrière, les agriculteurs, les policiers, les profs, les ouvriers, les patrons, les riches et les pauvres, les jeunes et les vieux « boomers », la droite et la gauche, tous les compartiments de la société sont à bout. La France a fait le chemin de l’horreur économique vers l’horreur politique et sociétale. « Que ceux qui veulent mourir lèvent le doigt », lançait le Cyrano de Rostand, épée en main. Les doigts levés sont nombreux…
Les fantômes d’une maison hantée
Plus personne heureusement n’a parlé de Lucie Castets, objet d’une intense campagne de communication orchestrée par la France insoumise et son baryton Jean-Luc Mélenchon qui a fait flop. Cette étoile sans la moindre expérience pour occuper un poste éjectable est passée dans l’oubli sans provoquer de regrets excessifs de part et d’autre de l’échiquier politique.
À ce sujet — L’affaire du poulailler de Yaël Braun-Pivet rebondit
Mais certains noms sont revenus comme les fantômes d’une maison hantée. Pas de prévisions sans entendre le nom de Gérald Darmanin dont le bilan après des années passées au service de la macronie à l’intérieur puis à la justice ne brille pas par des résultats spectaculaires en matière de sécurité, d’ordre public, de lutte contre l’islamisme ou de maîtrise de l’immigration…. Au grand dam de Kevin et Matteo accusés à tort de dévaliser les spectateurs de foot anglais…
Autre personnalité citée un temps pour Matignon, Catherine Vautrin, ministre du Travail et de la Santé. En 2022, Macron lui avait préféré la très sectaire et ancienne socialiste Elisabeth Borne qui cumulera les 49.3 pour faire passer ses mesures. Un choix judicieux salué avec enthousiasme et perspicacité sur Twitter à l’époque par… Catherine Vautrin : « Enfin une femme à Matignon ! Bravo à @Elisabeth_Borne et plein succès à la France. » Chacun peut aujourd’hui constater que le vœu de « plein succès à la France » n’a pas été suivi d’effet sous le mandat de Borne… Troisième possibilité écartée, Xavier Bertrand, président LR de la région des Hauts-de-France, dont la grande qualité aux yeux du centre, de la gauche et sans doute du président Macron est sa haine anti-RN réflexe, technique et viscérale. Eternel candidat à Matignon, Bertrand aura tout fait pour décrocher la timbale, sans négliger aucune compromission ni aucune bassesse, déclarant volontiers préférer les communistes aux « identitaires du RN ». Lorsqu’il reconnut son appartenance au Grand Orient de France dans une interview, en 2008, François Fillon aurait eu ce mot rapporté par le Canard enchaîné : « Maçon, je le savais, en revanche franc… »
Mer démontée
La journée du 9 septembre avait même amené une nouvelle candidate, Yael Braun-Pivet. Macroniste sans nuances, la présidente de l’Assemblée nationale, qui aura réussi à confier ses poules à d’autres qu’aux policiers chargés de sa protection, se sentait appelée à un destin qui la porte au-dessus du perchoir.
« Chacun peut gouverner lorsque la mer est belle », disait Publius Syrus. La mer démontée appelle des qualités et un courage exceptionnels. Lecornu sera-t-il la personnalité sacrificielle destinée à devenir l’homme ou la femme providentiels dont la France a un besoin aujourd’hui vital ? Emmanuel Macron qui avait pris 51 jours pour nommer Michel Barnier, avec le succès que l’on sait, a décidé vite pour nommer… son double. Avec Lecornu, le macronisme bégaye mais ne change en rien.
Marc Baudriller, dans BV
. Règlement Chat Control : vers une surveillance de masse des communications privées en Europe ?
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#webtube : L’Union européenne s’apprête à franchir une étape décisive dans l’adoption de la législation controversée surnommée « Chat Control ». Officiellement appelé Règlement visant à prévenir et à combattre les abus sexuels sur enfants, est une proposition législative de l’Union européenne qui vise à lutter contre l’exploitation sexuelle en ligne des mineurs.
Proposé par la Commission européenne en mai 2022, ce texte obligerait les fournisseurs de services de messagerie et de courrier électronique à analyser les communications pour détecter du matériel pédopornographique (connu ou nouveau). Il prévoit également la création d’un Centre européen pour la prévention des abus sexuels sur enfants, qui serait chargé de coordonner les efforts et de gérer une base de données de contenus illégaux.
Les principales mesures et les controverses
Ce règlement soulève un débat majeur entre la protection de l’enfance et le respect de la vie privée. Voici un aperçu des mesures clés et des points de friction :
- Détection obligatoire sur les plateformes « à haut risque » : Le règlement imposerait un balayage côté client, c’est-à-dire une analyse des messages directement sur l’appareil de l’utilisateur, même pour les services chiffrés comme WhatsApp ou Signal.
- Analyse du grooming : Le texte prévoit également la détection des tentatives de sollicitation sexuelle via l’analyse de textes, d’images et de vidéos, avec des rapports automatiques aux autorités.
- Risque pour la vie privée : De nombreux experts en cybersécurité et des ONG alertent sur le fait que l’analyse côté client pourrait compromettre le chiffrement de bout en bout, une protection essentielle pour la vie privée et la sécurité en ligne. Pour eux, cela pourrait ouvrir la voie à une surveillance de masse.
En septembre 2025, le règlement n’a pas encore été adopté, mais les discussions avancent. Le Conseil de l’Union européenne devrait voter au plus tôt le 14 octobre 2025, bien que l’opposition de certains pays comme l’Allemagne et les Pays-Bas se fasse de plus en plus forte. Des modifications ont été proposées pour atténuer les critiques, mais la mobilisation citoyenne et des entreprises tech comme Proton reste très forte pour amender ou bloquer le texte. Le Parlement européen doit également se prononcer, et si le texte est adopté, son application pourrait débuter dès la fin de l’année 2025 ou le début de l’année 2026.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter le texte officiel de la proposition (en anglais) sur le site d’EUR-Lex
« Une trahison de l’image de l’Europe »
Pour Yaël Ossowski, directeur adjoint du Consumer Choice Center, cette législation va à l’encontre de l’identité que l’Union aime à se donner : « Chat Control, tel qu’il est conçu actuellement, trahit l’image que l’Europe aime se donner de protecteur des droits humains et de la vie privée ».
En d’autres termes, au lieu d’incarner un modèle face aux excès sécuritaires d’autres puissances, Bruxelles risquerait de suivre un chemin déjà emprunté par des régimes autoritaires. « Forcer le scan des messageries chiffrées s’apparente davantage au modèle chinois de surveillance d’État qu’à celui d’une société libre », avertit Ossowski.
La fin du chiffrement de bout en bout
Le cœur du problème se résume en une formule : le chiffrement de bout en bout serait vidé de son sens. Actuellement, les échanges sécurisés reposent sur un système de clés privées et publiques qui garantissent que seul le destinataire prévu peut lire le message. Or, avec le « client-side scanning », chaque contenu serait d’abord transféré vers une base de données pour être analysé, avant même d’être livré.
« Cela revient à imposer une attaque de type “homme du milieu”, qui rend inutile l’existence même du chiffrement », explique Ossowski. Et d’ajouter : « Une fois Chat Control mis en place, cela signifiera qu’il existe un processus légal obligeant à ce que toutes les informations soient rendues disponibles aux autorités, en permanence ».
La justification de la protection des enfants
Les partisans de la mesure invoquent la nécessité de protéger les mineurs. Mais pour Ossowski, il s’agit d’un alibi : « Encore une fois, on se sert d’un exemple odieux que toute personne rationnelle abhorre — les images d’enfants abusés — pour justifier de nouveaux pouvoirs de surveillance policière ».
En réalité, la police dispose déjà d’outils juridiques pour accéder aux appareils ou demander des données, souligne-t-il. Le danger, selon lui, est d’ouvrir une brèche qui sera tôt ou tard utilisée pour d’autres motifs : discours jugés offensants, débats sur les vaccins, contestations politiques, voire opinions légales mais dérangeantes pour le pouvoir.
Journalistes, dissidents, citoyens : tous menacés
L’une des inquiétudes majeures réside dans les risques pour ceux qui dépendent de communications sûres. Ossowski prend un exemple concret : « Si un gouvernement autoritaire veut identifier qui organise des manifestations via ces applications, il lui suffit d’ajuster les filtres pour repérer les participants et obtenir les identifiants de leurs appareils. L’arrestation devient facile ».
Cette perspective ne relève pas de la science-fiction : de nombreux États dans le monde utilisent déjà ces techniques pour surveiller les opposants.
Une Europe qui perd son modèle
Au-delà des libertés individuelles, le projet menace aussi la crédibilité du continent. « Le génie de l’innovation et du chiffrement ne peut pas être remis dans sa bouteille. Il a permis à des centaines de millions d’Européens, et à des milliards d’autres dans le monde, de communiquer librement et en sécurité », rappelle Ossowski.
En s’engageant dans cette voie, l’Europe prend le risque d’affaiblir son propre écosystème numérique, de faire fuir les talents et les entreprises, et de rendre ses communications plus vulnérables aux attaques informatiques. « Introduire des obstacles, c’est affaiblir toutes nos interactions en ligne et les rendre exploitables par des hackers », ajoute-t-il.
Autre risque évoqué par les experts : celui du « function creep », soit l’extension progressive des outils à d’autres usages que ceux initialement prévus. Ossowski constate que les précédentes réglementations numériques européennes (Digital Services Act, Digital Markets Act) ont déjà ouvert la voie à un contrôle toujours plus étendu des communications et des contenus.
« Le danger n’est pas que l’Europe devienne brutalement totalitaire, mais que nous laissions nos droits s’éroder, loi après loi, jusqu’à donner à n’importe quel gouvernement les outils de l’oppression », alerte-t-il.
Enfin, ce projet illustre une impasse géopolitique. L’Europe, coincée entre la domination des géants technologiques américains et le modèle chinois de surveillance totale, semble incapable de tracer une voie autonome. « On peut seulement imaginer ce qu’auraient fait les services de la Stasi avec de telles règles si la technologie avait existé à leur époque », souligne Ossowski.
Une Europe à la croisée des chemins
L’habeas corpus numérique, c’est-à-dire le droit de communiquer sans surveillance préalable, risque de disparaître avec Chat Control. L’Europe, qui se targue de protéger les droits fondamentaux, se retrouve accusée de renier son propre héritage.
Au moment où le Conseil européen doit formaliser sa position (12 septembre) avant un vote crucial prévu le 14 octobre, les critiques se multiplient. Le choix est clair : protéger réellement les citoyens en utilisant les outils juridiques déjà existants, ou basculer dans une ère où chaque message privé sera suspect et potentiellement scanné.
Comme le conclut Ossowski : « Nous n’avons pas besoin de casser le chiffrement pour avoir une société avec loi et ordre. Nous avons besoin d’outils légaux efficaces pour poursuivre les criminels, pas de transformer les citoyens ordinaires en suspects permanents ».
Breizh-info.com
. La chanson du jour, The War On Drugs – Thinking Of A Place
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#webtube : “Thinking of a Place” de The War on Drugs est une pépite introspective et envoûtante. Cette chanson, avec ses 11 minutes de voyage sonore, tisse une ambiance hypnotique grâce à ses guitares aériennes et ses synthés qui évoquent une douce nostalgie. Un bijou du rock moderne !
#webtube : The War on Drugs’ “Thinking of a Place” is an introspective and captivating gem. This song, with its 11-minute sonic journey, weaves a hypnotic atmosphere thanks to its airy guitars and synths that evoke sweet nostalgia. A modern rock gem !
. 40 ans de politique anti-FN et de front républicain, ça donne ça !
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#webtube : Souvenez-vous, Bayrou a écarté l’immigration, pourtant largement assistée, comme cause de la dette, alors qu’elle entraine une perte de PIB de 100 milliards par an selon l’Observatoire de l’immigration et de la démographie. Faites le calcul sur des décennies. Ce monsieur soi-disant plein d’expérience, préfère faire porter le chapeau aux boomers, qui ont connu les semaines de 48 heures, la retraite à 65 ans et les trois semaines de congés payés.
Quand on dramatise à juste titre sur la faillite du pays, on a au moins l’honnêteté d’en analyser les causes réelles sans trembler devant la dictature du politiquement correct. Bayrou paie le prix de son manque de courage.
La vérité est que l’immigration de millions de déshérités sans diplômes a détruit le pays. A raison de 500 000 arrivées par an, alors que la croissance est nulle, ne peut que nous ruiner. N’importe quel crétin peut comprendre cela. Seul un immigré qualifié peut apporter le bien, mais certainement pas
En un peu plus de 2000 ans d’histoire, depuis Vercingétorix, aucune guerre, aucune invasion, aucune révolution, n’a pu anéantir notre France millénaire. Le pays légué par nos ancêtres a relevé tous les défis, surmonté toutes les tragédies. Pourquoi ?
Parce que le peuple gaulois, depuis la bataille de Gergovie à celle de Verdun, a montré un courage et une détermination sans faille pour défendre et sauver sa terre, au prix de lourds sacrifices. C’est le même sang qui coulait dans les veines des intrépides guerriers gaulois face aux légions de César, comme dans celles des Poilus des tranchées de 14-18 face aux Prussiens : le sang versé sans compter par des patriotes indomptables face à l’ennemi.
Mais le Gaulois de 2025 n’est plus celui de Gergovie ni celui de nos ainés tombés à Verdun. 80 ans de paix et de confort matériel ont incontestablement ramolli les corps et anesthésié les esprits. Mais ce sont surtout les délires mondialistes qui ont sabordé les nations européennes et remisé le patriotisme au rang de curiosité d’un autre temps, aussi malsaine qu’incompatible avec la paix de 1945.
C’est ainsi que tous nos politiques se gargarisent avec « nos valeurs républicaines », sans jamais les définir clairement. Je n’ai jamais entendu Macron parler de notre France éternelle ou citer les personnages illustres de son histoire. La nation et le patriotisme sont pour lui des notions d’un autre âge. Il se dit patriote européen et prêt à partager notre dissuasion nucléaire, donc notre indépendance nationale, avec toute l’Europe.
Dans la France de 2025, où les mots « valeurs républicaines » sont prononcés 10 fois lors de chaque discours politique, les principes qui fondent notre société, liberté, égalité, fraternité ou laïcité, sont en réalité systématiquement bafoués.
Quand le patriotisme devient ringard, que la famille traditionnelle n’est plus défendue, quand la nation et la démocratie deviennent des mots vides de sens, on ne peut que constater que notre idéal de société, inscrit dans la Constitution et dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, s’est dissipé comme un mirage dans le désert.
Le dernier garant des valeurs républicaines a été Charles de Gaulle. Depuis, ses successeurs ont dilapidé son héritage.
Mais c’est au cours des 40 dernières années que tout a vraiment empiré.
En une seule génération nos politiques de droite comme de gauche ont réussi l’exploit de détruire la France et ses 2000 ans d’histoire. Car si notre pays s’est relevé des guerres, des invasions et des révolutions, il ne peut aucunement survivre à un changement de peuple, dès lors que immigration de masse qui le submerge ne s’intègre plus.
Le drame de la France est que toute la politique menée depuis des décennies n’a eu qu’un seul objectif : faire barrage au Front national, le seul rempart contre l’immigration extra-européenne qui bouleverse la société et ruine le pays. Tout le reste, aussi bien pour l’Elysée que pour Matignon, est devenu secondaire. La haine anti RN est générale, sauf chez les citoyens, qui, à 70%, ne veulent plus de cette immigration nuisible au pays.
Dès 1980, JMLP tirait la sonnette d’alarme. Gauche et droite l’ont diabolisé.
Et en 2024, alors que toute la presse annonçait que le front républicain était mort depuis longtemps, on a pu voir toutes les formations politiques se liguer contre le RN au deuxième tour des législatives.
« Pas une seule voix pour le RN », tel était le mot d’ordre général. On en voit le résultat :
Au lieu d’une majorité clairement à droite, nous avons une Assemblée paralysée, donc inutile. C’est la valse des gouvernements comme au temps de la IVe République, avec une France à l’arrêt, dont la dette titanesque continue de grimper sans qu’un seul politicien lucide ne s’impose aux cigales de la République, totalement irresponsables.
40 années de politique de droite comme de gauche se résument à diaboliser le seul parti patriote refusant de disparaitre dans le tourbillon mondialiste et multiculturaliste.
C’est bien le front républicain qui a rendu la France ingouvernable.
Le seul parti qui n’a jamais gouverné est coupable de tous les maux. Pourtant, tout lui donne raison.
La France n’est plus qu’une république bananière où seule compte la gamelle des élus.
Il n’y a plus qu’à attendre que Fitch dégrade vendredi la note souveraine de la France, ce qui fera monter les taux. Le niveau de vie sauvegardé par l’emprunt perpétuel, c’est fini. Les Français vont enfin comprendre qu’on leur impose de partager leur niveau de vie avec des millions d’immigrés dont la France n’a nul besoin.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque