Mois : janvier 2025

. Le rédacteur en chef de la télé belge LN24 explique comment les médias verrouillent toute opposition à l’immigration massive… Dormez tranquilles l’Etat pense pour vous !


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°° WEBTUBE : Les Belges seraient-ils autistes ? et comme tous les autistes ils ne le savent pas. Du coup ils peuvent faire des vidéos comme celle-là. En Belgique, il y a les Flamands et les Belges. Les Belges sont ceux qui parlent français. Et comme le dit ce journaliste, en Belgique francophone, « on a pas un sentiment national très fort »

En France aussi il y a un « accord tacite » entre les médias et les partis (de gauche), mais les médias et les politiciens savent qu’il faut éviter de s’en vanter face caméra.

La France est un pays qui a connu de nombreuses révolutions parce que des types au pouvoir ne pouvaient pas s’empêcher de se payer la tête du peuple. À force, les cercles dirigeants en ont retenu culturellement quelque chose.

La Belgique n’existe pas vraiment et de toute façon et depuis si peu de temps que ses dirigeants font des erreurs de débutants de ce genre.

En Belgique, il y a les Flamands et les Belges. Les Belges sont ceux qui parlent français. Et comme le dit ce journaliste, en Belgique francophone, « on a pas un sentiment national très fort ». La raison en étant que la Belgique n’a jamais été un pays, encore moins une nation, mais un assemblage de territoires […] négocié entre la Grande-Bretagne, la France et la Prusse pour calmer les tensions pour aller savoir quoi.

[…]

Et si vous alliez vous ballader en Belgique ? Vincent Lapierre l’a fait pour vous… Vous m’en direz des nouveles.

D.P.

. Entraînée et équipée pour un milliard d’euros, la brigade ukrainienne formée par Macron a déjà disparu après une désertion générale


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°° WEBTUBE : Avec un nom aussi mytho que « Anne de Kiev », ça ne pouvait pas se terminer autrement. Cette mauvaise farce a coûté un milliard d’euros aux contribuablex de l’Hexagone. C’est la première fois que l’on entend parler d’une unité ukrainienne de cette taille qui s’évapore sans jamais avoir approché la ligne de front. On peut être sûr qu’une grande partie du matériel donné à ces gens a été revendu au marché noir quelque part en Afrique ou à des groupes islamiques radicaux.

Source : The Kiev Post : article ci-dessous

L’Ukraine a ouvert une enquête criminelle sur un cas présumé de désertion et d’« abus de pouvoir » après que des centaines de soldats aient fui une unité de l’armée partiellement entraînée par la France, ont déclaré les enquêteurs jeudi.

La 155e brigade mécanisée, surnommée « Anne de Kiev », était l’un des nombreux groupements militaires formés l’année dernière, l’Ukraine cherchant à renforcer ses préparatifs en vue d’éventuelles nouvelles offensives russes. L’unité devait être composée de 4 500 soldats, la France formant environ la moitié d’entre eux et fournissant l’équipement.

Mais son développement a connu des problèmes, notamment ce qu’un législateur a décrit comme une mauvaise gestion.

Le commandant de la brigade a été remplacé peu après le retour de l’unité après des mois d’entraînement en France, et quelques jours avant qu’elle ne parte au combat, selon des rapports datant de décembre.

Le colonel Dmytro Ryumshin a quitté le commandement de la 155e brigade mécanisée le 12 décembre. Dans une courte déclaration publiée sur la page Facebook de la brigade, il a remercié les soldats, les sous-officiers et les officiers pour leur « loyauté et leur professionnalisme », et a déclaré que ce fut un honneur de les former. L’unité se rendra « bientôt » sur la ligne de combat, a-t-il ajouté.

Cet officier n’avait peut-être pas envie de mourir avec des gens incapables de se battre. On peut difficilement le blâmer.

Le Kyiv Post a obtenu une vidéo exclusive du ministère français des Affaires étrangères montrant l’entraînement de la brigade lorsque le président français Emmanuel Macron a visité le campement en octobre. La vidéo de compilation a permis de voir pour la première fois des dizaines de soldats ukrainiens prendre des leçons avec des officiers français sur les tactiques de terrain, la théorie et les opérations d’armement.

Dans le clip, on peut voir les troupes ukrainiennes s’entraîner avec une grande variété de matériel – notamment des systèmes d’artillerie à roquettes M270, des obusiers Caesar et des jets Alpha – dans la campagne française et sur des terrains d’entraînement spécialisés choisis pour se rapprocher des défis topographiques posés par la guerre en Ukraine.

Le Bureau d’enquête de l’État ukrainien (DBR) a déclaré qu’il avait ouvert une enquête criminelle pour abus de pouvoir par un responsable militaire et désertion dans cette affaire, sans donner plus de détails.

« Le Bureau d’enquête de l’État étudie en effet les faits rapportés dans les médias dans le cadre d’une procédure pénale ouverte en vertu de l’article 426-1 (dépassement de l’autorité ou des pouvoirs officiels par un militaire) et de l’article 408 (désertion) du code pénal ukrainien. L’enquête est en cours. Il est trop tôt pour parler de résultats préliminaires », a déclaré Tetyana Sapyan, conseillère en communication de la DBR, à Interfax-Ukraine.

Yuriy Butusov, rédacteur en chef de Censor.NET, a affirmé en décembre sur sa chaîne Telegram que 1 700 soldats avaient fui la brigade sans aller au combat, et que 50 s’étaient échappés lors d’un entraînement en France.

Le mois dernier, la législatrice Mariana Bezuhla a affirmé que la brigade avait été effectivement démantelée et redistribuée dans d’autres unités. Elle a blâmé ce qu’elle a appelé un manque de « coordination des structures de commandement ».

« Même les efforts de la France pour spécialiser la brigade n’ont pas pu la sauver des mauvaises décisions militaires de nos généraux, qui ont finalement démantelé l’unité », a-t-elle déclaré.

Quelle humiliation pour le régime macroniste et l’armée française. Les Russes doivent suffoquer de rire.

Cette mauvaise farce a coûté un milliard d’euros au contribuables de l’Hexagone.

C’est la première fois que l’on entend parler d’une unité ukrainienne de cette taille qui s’évapore sans jamais avoir approché la ligne de front.

En somme, la quasi totalité de cette « brigade » n’a jamais existé ailleurs que sur le papier. Des dizaines de ces « soldats » imaginaires sont actuellement cachés en France, terrifiés à l’idée de finir broyés par des drones […] Les autres ont disparu dans la nature en Ukraine. Les rares qui n’ont pas fui devaient être trop ivres pour mettre un pied devant l’autre.

On peut être sûr qu’une grande partie du matériel donné à ces gens a été revendu au marché noir quelque part en Afrique ou à des groupes islamiques radicaux.

Tout l’argent que Macron engloutit là dedans finit de la même façon.

Cela finira comme le Vietnam Sud en 1975. À la minute où le cash cessera d’arriver, tous ces dirigeants ukrainiens changeront de camp et se déclareront russes.

Peut-être que Zelensky travaille déjà à sa reconversion dans les jeux d’argent… Allez savoir.

D.P.

Pour aller plus loin sur le sujet :

https://www.bvoltaire.fr/point-de-vue-ukraine-desertions-massives-dans-la-brigade-anne-de-kiev

. Netanyahou, stratège visionnaire, peut savourer sa quadruple victoire


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°° WEBTUBE : Si le bilan de Macron, aussi ondoyant qu’irrésolu, est une catastrophe absolue pour la France, celui de Netanyahou est réellement impressionnant. Parfois seul contre tous, mais toujours déterminé et convaincu du succès final, le Premier ministre israélien n’a pas hésité à engager son pays et son armée sur plusieurs fronts simultanés. Le résultat est à la hauteur de la réputation de Tsahal et du Mossad : la victoire est totale.

Après 15 mois d’une guerre difficile, les observateurs les plus honnêtes reconnaissent aujourd’hui que « Bibi » a été le seul à avoir eu une vision stratégique payante. Seuls les indécrottables antisémites et analystes de mauvaise foi diront le contraire. Le bilan est bien là :

– Le Hamas est anéanti, ne conservant qu’une maigre force résiduelle de 1000 combattants soumis au feu continu de Tsahal. Il y a peu de chance pour que le mouvement terroriste renaisse de ses cendres.

– Le Hezbollah a été décapité et n’est plus cet arrogant Etat dans l’Etat, qui imposait sa loi au Liban. Le leader Hassan Nasrallah a été éliminé avec la plupart des chefs terroristes.

– Assad ayant été chassé du pouvoir, Tsahal a mis en œuvre un vaste programme de destruction de tout l’arsenal militaire syrien, afin qu’il ne tombe pas aux mains des milices chiites soutenues par Téhéran ou des jihadistes venant de prendre les rênes à Damas.

– Les Houthis, rebelles yéménites soutenus par l’Iran, sont également sous le feu de Tsahal et nul doute que leur sort sera celui du Hamas ou du Hezbollah, avec la destruction de leur outil militaire menaçant Israël. 

« Nous allons traquer les dirigeants houthistes, les frapper comme nous l’avons fait ailleurs. Personne ne pourra nous échapper », a déclaré le ministre israélien de la Défense.

« Il faut couper cette branche terroriste de l’axe du mal iranien », ajoute Netanyahou.

Quel citoyen n’aimerait pas avoir un tel chef d’Etat à poigne pour le protéger ? Les Netanyahou se comptent sur les doigts d’une seule main à travers le monde. Mais les pleutres qui ne savent que subir face aux menaces sont légion.

Les grincheux, c’est-à-dire les mêmes antisémites qui ont relayé la propagande du Hamas sans discontinuer et surtout sans jamais relativiser les chiffres surévalués des pertes civiles fournis par Gaza, nous diront que rien n’est réglé au Moyen-Orient.

Certes, les problèmes demeurent, mais la sécurité aux frontières de l’Etat hébreu est rétablie et nous ne reverrons plus de sitôt un massacre comme celui du 7 octobre 2023, que la communauté internationale s’est lâchement empressée d’oublier, huit jours seulement après les scènes d’épouvante qui ont traumatisé le peuple juif.

L’important pour Israël est que l’arc chiite, de Téhéran à Beyrouth en passant par Bagdad et Damas, n’existe plus en tant que menace armée harcelant Israël. Jamais un tel coup n’a été porté au régime des mollahs qui perd ses supplétifs et son influence face au monde sunnite.

Les armes vont bientôt céder la place à la diplomatie afin de normaliser les relations entre Etats. Mais dans cette poudrière du Moyen-Orient, nul ne peut dire de quoi demain sera fait.

– Je ne crois pas qu’Israël, après sa flamboyante démonstration de force face aux entités terroristes, accepte la création d’un Etat palestinien à ses côtés, lequel pourrait tomber sous la coupe des islamistes les plus fanatiques et les plus revanchards.

– Nul ne sait ce que Netanyahou veut faire de Gaza. Rappelons que Sharon à largué le territoire en 2005. Deux ans plus tard, les combattants du Hamas en chassaient le Fatah pour préparer leur guerre de harcèlement et d’actions terroristes contre Israël, qui s’est terminée par la barbarie du 7 octobre. Leçon que les Israéliens n’oublieront pas.

– Le nucléaire iranien reste évidemment le souci majeur d’Israël. Faut-il bombarder les installations nucléaires de Téhéran au risque d’embraser la région ? La vraie solution pour une paix durable serait un changement de régime en Iran. Mais parier sur l’éviction des mollahs, en place depuis 1979, c’est un calcul des plus incertains.

– Reste aussi le douloureux problème des otages encore aux mains de leurs geôliers. Souhaitons que les négociations de Doha aboutissent.

La conclusion de tout cela est que seule la force a permis à Israël de survivre depuis 1948 dans cet environnement éminemment hostile. Ceux qui n’ont cessé de diaboliser Netanyahou qui défend les frontières et protège son peuple, refusent de reconnaître qu’Israël veut la paix mais que ce sont bien les entités terroristes qui veulent rayer l’Etat hébreu de la carte.

Ceux qui condamnent Israël à longueur d’année se gardent bien d’évoquer la Charte du Hamas qui prône l’éradication du peuple juif du Jourdain à la mer.

Enfin, ceux qui accusent Netanyahou d’être responsable d’un génocide à Gaza et entendent le traduire devant la CPI oublient que l’ONU ne reconnait que trois génocides : le génocide arménien perpétré par les Turcs en 1915, la Shoah par les nazis et celui des Tutsis au Rwanda en 1994. Les trois étaient des entreprises d’extermination planifiées.

Assimiler les victimes collatérales à Gaza avec ces trois génocides, dont les victimes se comptent par millions, est une ignominie sans nom. Jamais Israël n’a programmé l’extermination du peuple de Gaza. Mais quand le Hamas utilise les civils comme boucliers humains, les victimes collatérales sont malheureusement inévitables. Par conséquent, un minimum de décence ne serait pas de trop.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. « ZFE » : zone à faibles émissions… ou à forte exclusion ?


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°° WEBTUBE : Déjà surnommée la « zone à forte exclusion » sur les réseaux sociaux, la ZFE (pour « zone à faibles émissions ») entre en vigueur à partir de ce 1er janvier 2025. En théorie, ce dispositif présenté comme une solution pour réduire les gaz à effet de serre émis par les véhicules les plus polluants vise à améliorer la santé publique dans les agglomérations de plus de 150.000 habitants « où les valeurs de qualité de l’air […] sont dépassées ». Dans les faits, il va priver des millions de Français de la possibilité de circuler dans certaines zones avec leurs véhicules, jugés trop polluants.

Les nouvelles réglementations : un casse-tête chinois

C’est une mise en vigueur de la loi d’orientation des mobilités de 2019 qui s’applique à compter de ce 1er janvier dans de nombreuses agglomérations de France. Elle s’appuie sur la « Norme Euro », qui indique la classe d’émissions européennes de votre voiture en fonction de la quantité de particules produites. Au total, 42 d’entre elles doivent commencer ou continuer à se conformer aux recommandations de l’OMS concernant la qualité de l’air. À l’entrée des zones concernées, des panneaux indiquent, désormais, les vignettes Crit’Air autorisées, allant de 1 à 5. Selon les villes, les véhicules affichant un macaron avec un chiffre trop élevé ou ne possédant pas de vignette (obligatoire) devront rester à la porte du lundi au vendredi, entre 8h et 20h, sous peine d’une amende de 68 euros, et 135 euros pour les poids lourds.

Les restrictions varient selon les villes. À Paris, Lyon, Grenoble et Montpellier, où le système est déjà en place, les règles se durcissent : en plus des véhicules Crit’Air 4, 5 et non classés (soit les voitures immatriculées avant 1996, les utilitaires légers d’avant septembre 1997 et les poids lourds d’avant septembre 2001), les Crit’Air 3 (diesel d’avant 2011 et essence d’avant 2006) sont désormais bannis. Dans les autres agglomérations, les interdictions se « limitent », pour l’instant, aux véhicules non classés (NC). Cependant, les municipalités se réservent le droit d’adopter des restrictions temporaires adaptées en cas de dépassements ponctuels des seuils de pollution.

La liberté des Français dans le collimateur

Mais rassurons-nous : si la loi entre en vigueur dès aujourd’hui, les sanctions ne tomberont qu’à partir de l’année prochaine. 2025 servira de période « pédagogique » pour sensibiliser les conducteurs aux enjeux écologiques et les encourager à changer progressivement d’automobiles. Ou serait-ce une façon de faire « avaler la pilule » aux Français qui se sont montrés défavorables aux ZFE ?

En effet, la loi passe difficilement, auprès de l’opinion publique. « La chasse aux pauvres est officiellement déclarée », lit-on sur les réseaux sociaux sous la mention « ZFE ». Ce qui en révolte plus d’un, c’est qu’il est désormais exigé des Français n’ayant souvent pas les moyens de s’acheter une nouvelle voiture de se séparer de leur ancienne, toujours en très bon état de fonctionnement. Beaucoup dénoncent une « obsolescence programmée » incitant à la consommation forcée : « Une mesure tellement écolo qu’elle oblige à acheter des véhicules neufs qu’on ne peut pas payer », s’indigne un utilisateur, sur X. Importer des millions de tonnes d’aliments depuis l’Amérique latine grâce aux accords du Mercosur, oui, mais laisser les Français se déplacer comme ils l’entendent, surtout pas ! Le message semble clair, l’écologie se paye au prix des plus modestes. Laurent Wauquiez, lui, dénonce « la bureaucratie punitive et idéologique qui fracture notre pays ».

À ce sujet — ZFE : quand les « zones à faibles émissions » se transforment en « zones à forte exclusion »

Pendant ce temps, les piétons des centres-villes ne sont pas inquiétés. Quant aux autres ? « Ils n’avaient qu’à s’acheter une Tesla, comme tout le monde », ironise un internaute.


Alienor de Pompignan, BV

. La chanson du jour, Calogero – les feux d’artifice 


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°° WEBTUBE : Magnifique chanson, tristement prémonitoire (écrite 2 à 3 ans avant les évènements de Nice). Elle était déjà émouvante lors sa sortie. Elle a pris une autre dimension depuis qu’elle a été choisie pour rendre hommage aux victimes de l’attentat de Nice en 2017… Cette horreur qui a frappée les niçois. Hier aux US, encore un attentat du même type. On ne s’y habituera jamais. Cette chanson est dédiée à toutes ces innoncentes victimes qui n’ont rien demandé à personne et que l’on élimine d’un trait de plume pour des idéologies mortifères. Hommage.

°° WEBTUBE : Magnificent song, sadly premonitory (written 2 to 3 years before the events in Nice). It was already moving when it came out. It has taken on another dimension since it was chosen to pay tribute to the victims of the Nice attack in 2017… This horror which struck the people of Nice. Yesterday in the US, another attack of the same type. We’ll never get used to it. This song is dedicated to all these innocent victims who asked nothing of anyone and who are eliminated with the stroke of a pen for deadly ideologies. Tribute.

. Nouvelle-Orléans : encore un tueur musulman, mais pas islamophobe cette fois !


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°° WEBTUBE : Avec l’islam, on ne s’ennuie jamais, à condition d’en accepter le prix : la mort, de préférence celle des mécréants. C’est ce prix que la ville américaine de La Nouvelle-Orléans (Louisiane) a payé dans la nuit du réveillon de la Saint-Sylvestre lorsqu’un partisan de la religion de paix et d’amour, au volant d’un pick-up, a foncé sur la foule amassée là pour célébrer une fête diabolique et pas halal du tout, notamment dans une rue baptisée Bourbon Street : quel affront pour l’islam qui n’aime pas l’alcool !

Même si le mode opératoire laissait peu de doutes – notamment des engins explosifs retrouvés sur place et qui ne ressemblaient apparemment pas à des feux d’artifice ! –, la prudence des médias français était à vomir. Ces mêmes médias qui ont essayé, sans succès, de nous faire avaler que le tueur saoudien de Magdebourg en Allemagne était… d’extrême droite et islamophobe ! Ce qui était à peu près aussi crédible que Robert de Niro, interprétant Al Capone dans l’excellent film Les Incorruptibles, de Brian de Palma, et essayant de nous persuader qu’il est un paisible citoyen :

Peu importe pour nos médias que le FBI ait pris les choses en main sur place en enquêtant rapidement sur un « acte terroriste ». Peu importe encore qu’on leur ait dit qu’un drapeau de Daech avait été retrouvé dans le véhicule du tueur. Dire la vérité islamique est une impossibilité pour nos journalistes français. Sauf que la vérité est tombée comme un éclair : c’est un musulman qui a fait le coup, pétri de haine de la liberté, comme il est prescrit dans son livre sacré.

Dieu merci, aux États-Unis, les policiers n’ont pas la main qui tremble pour éradiquer ces nuisibles, dont ce spécimen abattu qui était par ailleurs armé et n’a pas hésité à tirer sur eux et la foule.

Dans le déni total, nos médias sont ainsi allés jusqu’à nous ressortir l’attentat d’Oklahoma City (Oklahoma), en 1995, contre un bâtiment fédéral et ayant provoqué la mort de 168 personnes. Attentat effectivement commis par un activiste nationaliste, Timothy McVeigh. Les médias putrides avaient donc besoin d’un néo-nazi pour lancer la curée et ils n’ont eu qu’un croissant à tremper dans le sang des infidèles. Dommage !

Aussi, en désespoir de cause, et à mesure que les faits devenaient indiscutables, BFM TV, pour ne citer que cette chaîne-poubelle, a jeté son dévolu sur Donald Trump, qui cliverait la société américaine, disait-on sur le plateau, comme une justification sournoise et non moins ignoble de l’attentat de La Nouvelle-Orléans.

Mais Trump, qui s’apprête à être investi dans les prochains jours, était très renseigné et il savait, lui, que l’attentat était le fait non pas d’un Wasp – White Anglo-Saxon Protestant – mais bel et bien d’un migrant islamique, peu importe le temps qu’il a passé aux États-Unis. C’est pour cela que le nouveau président a twitté assez tôt ce message : « Quand j’ai dit que les criminels qui arrivent sont bien pires que les criminels que nous avons dans notre pays, cette affirmation a été constamment réfutée par les démocrates et les faux médias, mais elle s’est avérée vraie. »

In fine ce n’est pas un facho autochtone qui assassiné des innocents à La Nouvelle-Orléans, mais bien un musulman fanatisé, du nom de Shamsud Din Jabbar, ce qui ne fait pas très couleur locale, même s’il est né au Texas. Un Américain de papiers en somme. Fox News nous apprenait par ailleurs qu’il aurait été aidé par quatre à cinq personnes. Enfin, le terroriste était un adepte de la taqîya puisqu’il avait même servi dans l’armée américaine. On peut parler d’un agent dormant de l’islam.

https://www.foxnews.com/live-news/bourbon-street-mass-casualty-incident-new-orleans-live-updates

À moins qu’on nous apprenne que lui aussi était un islamophobe… ? Tout est possible avec les médias ! 

Charles Demassieux, Riposte Laïque

. Sébastien Delogu veut légaliser le cannabis et confier sa vente aux dealers !


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°° WEBTUBE : Ceci n’est pas un poisson d’avril. Afin de « lutter contre le blanchiment d’argent », Sébastien Delogu, député LFI de Marseille, propose de légaliser le cannabis. C’est à peu près aussi intelligent que de vouloir lutter contre la hausse des cambriolages en proposant d’abolir la propriété privée… Très soucieux du bien-être des dealers de drogue, il suggère de les réinsérer en leur confiant la vente des narcotiques qui leur a valu d’être emprisonnés. « Si ces personnes-là ont vendu et ont été pénalisées à cause de cela et sont entrées en prison, on leur laisse la possibilité de venir et d’ouvrir un commerce, déclare l’élu dans un entretien diffusé sur la plateforme de streaming Twitch. Cela évite en fait de les renfermer et de les laisser peut-être aller devoir vendre une autre drogue… » Brillant.

La proposition a été fraîchement accueillie par le ministre de l’Intérieur, très investi dans la lutte contre le narcotrafic. « Les députés insoumis continuent dans leurs délires pro-drogues, a réagi Bruno Retailleau sur X. Dans le monde idéal de Monsieur Delogu, le dealer est un fonctionnaire honorable. Dans le mien, il a perdu son logement social, il n’a plus le droit de paraître dans le quartier où il dealait, il n’a plus d’allocations et il est en prison. »

Les internautes n’ont pas été plus tendres avec Sébastien Delogu et sa proposition saugrenue, vivement moquée sur les réseaux. « Tout à fait !! Confions également les crèches et écoles aux pédophiles, une officine pharmaceutique à Pélicot, les armureries aux terroristes… en voilà une idée qu’elle est bonne ! », a ainsi commenté un utilisateur de X. « Parfait pour recycler Boyard et Kerbrat », a renchéri un autre. « Très logique ! Il plaide pour son électorat de prédilection », a analysé un dernier. Pas faux.

Un habitué des polémiques

Les frasques du député LFI sont si nombreuses que certains le soupçonnent de les multiplier à dessein, dans une stratégie du bad buzz permanent qui a fait notamment la notoriété d’une Sandrine Rousseau. Deux jours avant cette énième polémique, Sébastien Delogu s’était déjà illustré grâce à une autre vidéo dans laquelle on le voyait s’adonner au jeu de force du marteau et de l’enclume dans une salle de jeux, avant de s’exclamer face caméra : « Les fachos, c’est quand vous voulez ».

En septembre dernier, il avait suscité la consternation en avouant ne pas savoir qui était le maréchal Pétain. « Je ne sais pas qui est Pétain. J’ai entendu parler de lui. Je sais qu’apparemment, c’est un raciste, avait-il fièrement déclaré sur l’antenne de Sud Radio. Je connais pas tellement l’Histoire. J’apprends ».

À ce sujet — Légaliser le cannabis ? Une mauvaise idée. La preuve par le Canada

Devant l’effarement général, son entourage avait plaidé l’ironie. Même Radio France, d’ordinaire très bienveillant avec l’extrême gauche, avait été contraint de reconnaître à demi-mot une certaine impéritie : « En creusant davantage dans ses autres déclarations, il apparaît que l’histoire n’est pas son domaine de prédilection, et que ses propos sur le Proche-Orient, un sujet cher à LFI, sont pour le moins “gloubiboulgesques” ». C’est en effet le moins que l’on puisse dire.

La vieille lubie de la légalisation

Sur la question de la légalisation du cannabis, Sébastien Delogu ne fait que reprendre une vieille rengaine de la gauche. Ses acolytes usent certes de mots mieux choisis, mais défendent, peu ou prou, la même idée : puisque nous n’avons pas réussi à éradiquer le trafic de cannabis, autant le légaliser. Et tant pis pour les familles brisées par l’addiction, pour les centaines de morts causées chaque année sur la route par des conducteurs sous l’emprise de stupéfiants. Tant pis aussi pour ces pays qui ont légalisé le cannabis et s’en mordent les doigts. C’est le cas du Canada, souvent donné en exemple par les pro-drogues, où les hospitalisations liées à la consommation de cannabis ont explosé après la légalisation entrée en vigueur en 2018.

À court d’arguments sérieux, la gauche évoque souvent l’inefficacité de la « surenchère répressive » de la France face aux trafiquants. La sévérité « ultra » de notre système judiciaire n’ayant pas porté ses fruits, il serait temps de changer d’approche… Sauf que les peines de prison prononcées à l’encontre des dealers sont bien souvent ridicules. La « surenchère répressive » n’existe pas. Rien que sur le mois de décembre 2024, les quelques verdicts relatés dans la presse témoignent d’une sévérité toute relative : 4 ans de prison pour deux Roumains qui transportaient 1,4 tonne de cannabis dans leur camion ; 2 ans de prison ferme pour Lamine D., cerveau d’un large réseau de trafic de drogues à Dreux ; de six mois à un an de prison ferme pour trois « jeunes » qui avaient vendu pour 220.000 euros de marchandise à Montbéliard…

Plutôt que d’appeler à leur réinsertion professionnelle, il s’agirait peut-être, au contraire, d’enfin punir les trafiquants à hauteur de leurs méfaits et expulser tous ceux qui peuvent l’être à l’issue de leur peine.

. Attaque terroriste islamiste en Nouvelle-Orléans : 10 morts, 35 blessés, dont 2 policiers blessés par balles


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°° WEBTUBE : Le suspect accusé d’avoir foncé avec un camion dans la foule sur Bourbon Street est Shamsud Din Jabbar, 42 ans, selon une source des forces de l’ordre. La source a déclaré qu’il transportait un drapeau ISIS dans le camion. La présidente du conseil municipal de la Nouvelle-Orléans, Helena Moreno, a déclaré que le suspect de l’incident ayant fait de nombreuses victimes portait un équipement militaire complet et n’était apparemment pas un résident local.

Fox News a appris que le camion utilisé dans l’attaque avait une plaque d’immatriculation du Texas et qu’il avait été suivi en train de traverser la frontière sud des États-Unis à Eagle Pass, au Texas, deux jours avant l’attaque.

Il n’a pas été confirmé que l’agresseur conduisait le véhicule au moment où il a traversé la frontière. La police n’a pas non plus confirmé le statut d’immigration de l’agresseur.

FOX News

Le conducteur a été tué par balle lors d’une fusillade avec la police, ont indiqué les autorités. La maire de La Nouvelle-Orléans, LaToya Cantrell, a qualifié l’attaque d’« attaque terroriste ».

Un suspect qui était « déterminé à tuer autant de personnes que possible » a conduit une camionnette autour des barricades et a propulsé son véhicule à travers une foule de fêtards du Nouvel An sur Bourbon Street à la Nouvelle-Orléans à une vitesse élevée, faisant au moins 10 morts et en blessant des dizaines d’autres tôt mercredi, ont indiqué des responsables municipaux et fédéraux.

Après avoir fauché de nombreuses personnes sur un tronçon de trois pâtés de maisons de la célèbre artère tout en tirant sur la foule, le suspect serait sorti du camion armé d’un fusil d’assaut et aurait ouvert le feu sur les policiers, ont déclaré à ABC News des responsables des forces de l’ordre informés de l’incident. Les policiers ont riposté, tuant le suspect qui n’a pas été immédiatement identifié, ont indiqué des sources. Au moins deux policiers ont été blessés par balle, ont indiqué les autorités.

Les engins explosifs improvisés retrouvés sur les lieux de l’attaque sur Bourbon Street se sont révélés viables et les enquêteurs en recherchent d’autres dans le quartier français de la ville, ont indiqué à ABC News plusieurs sources policières. Les enquêteurs tentent de déterminer si le suspect décédé est entré récemment aux États-Unis et s’il avait un lien avec l’EI, ont indiqué à ABC News des sources policières.

ABC News

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