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°° WEBTUBE : Grâce à un essor économique et culturel grandissant, Bordeaux est devenue une destination de rêve pour l’emploi mais aussi pour le tourisme. Malheureusement ce cadre idyllique n’a duré qu’un temps. Aujourd’hui celle que l’on surnommait « la belle endormie » est sortie brutalement de sa quiétude par l’insécurité : drogue, immigration, insalubrité, incivilité. Tous ces sujets ont gâté la ville aux mille et une vignes la rendant désormais invivable pour beaucoup de Bordelais. VA+ fait donc, pour vous, le point sur l’insécurité à Bordeaux. Ce reportage date de 2022
. MAYOTTE dans la tourmente (c’est violent) – épisode 1
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°° WEBTUBE : Le 14 décembre 2024, la tempête Chido passait sur Mayotte ravageant une grande partie de l’île. Je m’y rends au moment où une deuxième tempête se lève sur la petite île française de l’océan indien. Reportage !
. HelloQuitteX : derrière le boycott de X, le silence des dirigeants du CNRS…
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°° WEBTUBE : « HelloQuitteX », un nom de plateforme encore inconnu du grand public mais qui fait déjà couleur beaucoup d’encre. Ce 20 janvier, jour de l’investiture de Donald Trump, les créateurs de cette plateforme, initiée par David Chavalarias, chercheur au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), incitaient les utilisateurs de X (anciennement Twitter) à déserter la plateforme au prétexte que celle-ci serait devenu un lieu de « désinformation », « dangereux » pour la démocratie. Ils proposent donc à leurs adeptes un service afin de faire migrer leur compte X vers une plateforme concurrente (comme Blue Skye ou Mastodon) qui serait, selon eux, plus respectueuse des libertés. Mais lorsque l’on creuse un peu, dans la rubrique « mentions légales » du site internet de « HelloQuitteX », on découvre que ce projet, animé par une trentaine de personnes issues de différents collectifs, a notamment été « fondé par le CNRS ». Or, le CNRS est un organisme public de recherche scientifique, financé à hauteur de 2,8 milliards d’euros par des subventions publiques.
Par ailleurs, ce 20 janvier, une soirée autour de ce projet était organisée dans les locaux de l’Institut des Systèmes Complexes de Paris Île-de-France, une entité du CNRS. Le site internet de cette entité en faisait d’ailleurs la promotion. Enfin, le logo du CNRS est utilisé sur un visuel de promotion de la soirée. Malgré tous ces éléments, le CNRS dément avoir « fondé » le projet « HelloQuitteX ». Contacté par BV afin de préciser ses liens exacts avec cette plateforme d’appel au boycott de X, le CNRS n’a pas répondu à nos sollicitations.
Quid des financements publics ?
En dépit du démenti du CNRS, beaucoup continuent de s’interroger. Ce 21 janvier, Eric Ciotti (UDR), invité de CNEWS, s’est ainsi inquiété de « la potentielle utilisation de l’argent public par des chercheurs du CNRS pour une pure manœuvre politique ». Le député du Rassemblement national, Matthias Renault, a par ailleurs écrit à Elisabeth Borne à ce propos. Le parlementaire s’interroge, lui aussi, quant à la potentielle « utilisation des fonds publics ». Sur ce sujet des financements publics, un certain flou demeure. David Chavalarias, initiateur du projet, explique ainsi sur X : « Il est évident que ce n’est pas la direction du CNRS qui s’engage et valide directement le démarrage de tous les projets de recherche. Ce sont les chercheurs qui en sont responsable dans la limite de leurs moyens, moyens auxquels le CNRS ne participe que pour partie ». Autrement dit, il est possible que le CNRS ait financé « en partie » le développement de la plateforme « HelloQuitteX ». Florence Bergeaud-Blackler, chargée de recherche au CNRS, contactée par BV, précise : « Le CNRS n’est qu’une administration, une entité qui gère des ressources humaines. Quand vous êtes chercheur et que vous avez un projet, vous devez chercher des moyens financiers ailleurs ». Interrogés à ce propos, ni le CNRS, ni le ministère de l’Enseignement supérieur, ni la plateforme n’ont souhaité nous répondre.
Orientation idéologique « évidente »
Si la question des financements reste un mystère, Florence Bergeaud-Blackler souligne un autre point : la présence du logo du CNRS sur le site de la plateforme et sur un visuel partagé par « HelloQuitteX » pour une soirée ainsi que la communication d’une antenne du CNRS sur cette soirée. « Pour utiliser le logo du CNRS, il faut une autorisation. J’ai moi-même organisé un colloque scientifique sur l’islamisme et j’ai utilisé, en toute bonne foi, le logo du CNRS. Je ne savais alors pas qu’une autorisation était nécessaire. J’ai été recadrée » nous raconte l’auteur de Le frérisme et ses réseaux, l’enquête (Odile Jacob). « Quand il s’agit de sanctionner une conférence sur l’islamisme, la direction du CNRS n’hésite pas. Mais cette fois-ci, ils ont l’air d’hésiter, ils laissent faire… » s’indigne-t-elle. Contactés pour savoir si la direction du CNRS et le ministère de tutelle cautionnaient l’usage du logo par la plateforme « HelloQuitteX », aucun n’a répondu à nos sollicitions. Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche se contente de nous renvoyer vers le service presse du CNRS.
Donc quand, chercheuse au CNRS, j’appose le logo du @CNRS sur le site d’une conférence scientifique internationale que j’organise sur l’islamisme vous me rappelez à l’ordre. Mais vous ne voyez aucun problème à organiser le boycott d’un réseau social.
— Florence Bergeaud-Blackler 🎓 (@FBBlackler) January 19, 2025
Étrange. https://t.co/M44rUNQTFr
À ce sujet — « Bon débarras ! » : quand une (petite) partie de la gauche décide de quitter X
Pour Florence Bergeaud-Blackler, ce silence de la direction du CNRS est la preuve d’une « orientation idéologique » de certains chercheurs. Certes, certains « font très bien leur travail » note-t-elle, mais la direction crée, par ce silence, « un environnement favorable » à des dérives idéologiques. Elle en veut pour preuve les poursuites disciplinaires lancées à son encontre après qu’elle a « dénoncé [sur X] l’antisémitisme de certains de [s]es ex-collègues ». On se souvient également du refus de l’organisme d’enquêter sur l’islamo-gauchisme dans les universités au prétexte que ce terme ne serait pas une « réalité scientifique ». Plutôt que d’invectiver les chercheurs du CNRS, Florence Bergeaud-Blackler appelle à interpeller la direction de l’organisme et Elisabeth Borne.
Clémence de Longraye, Boulevard Voltaire
. “Affaire “Hello Quitte X” déjà un scandale d’Etat? | avec Didier Maïsto et Amélie Ismaïli
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°° WEBTUBE : Prenez un fort relent de Fonds Marianne, mâtiné de l’inénarrable “NoTwitterDay”, et vous avez le cas “Hello Quitte X” Depuis plusieurs jours David Chavalarias, directeur de recherche au CNRS, fait le tour des plateaux pour promouvoir une application étrange “Hello Quitte X” encourageant la collecte de données du réseau social X pour une migration vers ses concurrents Bluesky et Mastodon.
Problème, ce “collectif” est présenté comme “fondé par le CNRS”, la presse indique “30 chercheurs du CNRS”… puis le CNRS dément… Il semble désormais que ce soit ce Monsieur Chavalarias qui a entraîné son labo, avec le logo du CNRS, dans cette campagne de presse. Pire, le collectif n’a aucune existence légale, c’est un groupe de personnes physiques responsables en nom propre. Mais alors qui possède leur site? Qui est responsable des données collectées et de leur sécurité? Qui possède cette obscure application? Avait-il le droit d’utiliser le logo CNRS? Et aussi : en quoi dire sur les plateaux-télé que X est “toxique” est-il un objectif de recherche scientifique, comme s’identifie ce “collectif”. Enfin, a-t-il utilisé des hommes-heures du CNRS pour faire de la politique? Pire, a l’heure de ce direct, le laboratoire du CNRS recevra Thierry Breton en personne (qui est mis en cause dans l’affaire des suicides chez France Telecom mais rien de “toxique” à ça par contre) cependant que Raphaël Glucksmann a déclaré publiquement sur Sud Radio “JE suis en train d’ORGANISER un mouvement pour quitter X avec des chercheurs du CNRS”… pourtant à en croire Chavalarias c’est un collectif apolitique de science-citoyen… alors qui ment? Glucksmann ou Chavalarias? Nous faisons le point sur cette affaire exceptionnellement grave avec les journalistes Didier Maïsto et Amélie Ismaïli
. La gauche voit un nazi derrière chaque arbre : en voici quelques uns
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°° WEBTUBE : Le soi-disant salut nazi d’Elon Musk permet à la gauche française se se répandre dans ce qu’elle pratique le mieux, à savoir le mensonge, l’hypocrisie, la mauvaise foi et le procès d’intention. Tout cela lui évite de s’étendre sur l’investiture de Donald Trump et surtout sur son programme « choc et effroi » qui fait trembler la gauche américaine.
Voir un salut nazi dans le geste d’Elon Musk relève au mieux d’une misérable mauvaise foi, au pire de la psychiatrie. Car s’il suffit de tendre le bras pour se retrouver taxé de nazisme, cela va faire du monde dans le camp des pestiférés.
Il est vrai que la conception de la démocratie de la gauche française est assez étroite. Tous ceux qui ne pensent pas comme elle sont automatiquement des fachos, à commencer par les 11 millions de citoyens qui ont voté Marine.
C’est d’un grotesque renversant.
Je ne vais pas m’étendre sur un sujet finalement dérisoire comparé aux immenses défis que la France et la planète doivent relever, mais qui visiblement, ne passionnent pas nos traqueurs de nazis.
Rappelons que l’Aipac estime qu’il n’y a pas de salut nazi dans le geste de Musk.
Mais voici deux spécimens que la presse semble avoir curieusement oubliés.
Ces quelques photos résument à elles seules tout le grotesque de l’hystérie qui anime la meute anti-Musk. Une fois de plus la presse de gauche se vautre dans le caniveau en nous imposant sa morale à géométrie variable. Ignare et sans arguments crédibles, elle ne sait que brailler « facho » et « nazi » à tout va.
Elle se trompe lourdement et ne comprend rien aux changements qui s’opèrent chez les peuples occidentaux. Quel attardé pourrait encore gober le discours du retour aux années 1930 ?
Ce que vit l’Amérique, l’Europe le vivra aussi, car le refus d’un monde décadent qui ne propose que les délires du politiquement correct, finira par déferler tel un tsunami. Et les ayatollahs de la pensée unique n’auront plus qu’à retourner leur veste…comme on le voit aux Etats-Unis.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
. Trump va virer des millions de clandestins, Macron en veut toujours plus…
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°° WEBTUBE : Il paraît qu’il y aurait 68 millions d’habitants en France. On ignore, les statistiques ethniques étant interdites, le nombre de Français de souche, le nombre de musulmans, et le nombre de clandestins. Mais les statistiques démographiques ne sont pas rassurantes. En France, comme dans nombre de pays européens, on fait de moins en moins d’enfants, et si notre pays affiche des statistiques moins inquiétantes que l’Espagne, l’Italie ou l’Allemagne, c’est tout simplement parce qu’il est davantage islamisé, et donc que les femmes musulmanes font davantage d’enfants que les femmes françaises.
Bien évidemment, le patronat et les immigrationnistes de gauche, main dans la main, justifient cette démographie inquiétante pour demander toujours davantage d’immigration. Ils ont donc imposé une immigration de masse d’abord dans les grandes villes. Et donc celles-ci ont été l’objet d’une montée de l’insécurité et d’émeutes récurrentes. Ensuite, ils ont imposé, à cause notamment de la loi SRU de Cécile Duflot, aux villes moyennes de prendre plein d’immigrés, bien sûr majoritairement africains, pour désengorger les villes. La nouvelle étape, exprimée sans complexe par Macron, devant ses préfets, était de profiter de la désertification des campagnes pour imposer de nouveaux venus aux habitants des zones rurales, au nom de ce qu’il appelait la transition démographique, pour ne pas utiliser le mot « Grand remplacement ».
C’est dans ce contexte qu’ont eu lieu les batailles de Callac et de Bélabre, victorieuses, et d’autres combats qui, pour l’instant, n’ont pas abouti. Mais le régime pense avoir trouvé la solution, en saupoudrant les nouveaux venus, par petit nombre, avec la complicité des associations immigrationnistes, dans les villages, pour éviter de nouveaux Callac ou de nouveaux Saint-Brevin-les-Pins.
Mais il n’empêche qu’aucun Français n’est à l’abri de la décision d’un préfet qui, sur ordre du ministère de l’Intérieur, va imposer à son village ou à son quartier la venue de dizaines ou de centaines de clandestins, la plupart du temps hommes seuls, africains et musulmans.
La seule chance de ces habitants est de s’organiser, de se battre, et de prier le ciel, s’ils sont croyants, pour qu’un incendie détruise le lieu d’accueil prévu…
Pendant ce temps-là, aux États-Unis, Donald Trump annonce, au grand dam des médias de propagande et de la gauche immigrationniste, l’expulsion de millions de clandestins, qu’il appelle délinquants.
Les Américains ont choisi le patriote Donald Trump contre le mondialiste immigrationniste wokiste Joe Biden. Aux Français de voter pour ceux dont le programme se rapproche le plus de celui du candidat républicain, et de virer Macron et ses complices.
Cyrano, Riposte Laïque