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°° WEBTUBE : Une émission qu’il ne faut pas manquer surtout à quelques jours du réveillon dez Noël.
. [MIEUX VAUT EN RIRE] Manon Aubry sort de ses gonds face à Julien Odoul !
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°° WEBTUBE : Cette semaine, François Pignon entre à Matignon, Yseult insulte son public et Anne Hidalgo se prend les pieds dans le montant des dettes de la France !
. Pas de CADA à Bélâbre : « Une victoire locale, une leçon nationale ! »

°° WEBTUBE : Depuis deux ans, les habitants du petit village de Bélâbre (36) se battaient pour empêcher l’ouverture d’un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA), imposé par le maire de la ville. L’avocat Pierre Gentillet, candidat aux élections législatives anticipées sous l’étiquette Rassemblement national, s’est mobilisé dans ce combat. Sous la pression des citoyens, le projet vient d’être abandonné. Pour BV, Pierre Gentillet revient sur cette victoire marquante.
Raphaëlle Claisse : Quelles ont été les grandes étapes de ce combat ?
Pierre Gentillet. C’est un combat qui remonte au tout début de l’année 2023. La première grande étape était d’organiser une manifestation dans un village de 900 habitants, loin de tout, loin de tout bassin d’emploi, loin de toute grande ville, à quarante minutes de la première gare qui est Argenton-sur-Creuse, sans aucun bus, sans rien, et d’attirer l’attention médiatique. C’était la grande étape, l’enjeu majeur. Je me souviens qu’au mois de mai 2023, je suis parti de Paris à 5 heures du matin prendre le train en me disant : « Je vais y aller pour 20 personnes. » Pensez-vous, un village de 900 âmes, perdu dans le Berry ! Je le connais bien, c’est aussi pour cela que j’y allais. C’est un berceau familial, mes parents, mes grands-parents sont d’Argenton-sur-Creuse. Quand je suis parti le matin, j’y allais presque sentimentalement, c’était un élan romantique et politique. En fait, nous étions 200 personnes sur une place de village, à manifester avec des gens qui n’avaient jamais manifesté de leur vie. Ça se voyait. En fait, la politique avait perturbé leur quotidien et ils étaient bien obligés de sortir dans la rue.
Après, il y a eu un deuxième temps, un temps de combat : il fallait maintenir la lutte sur la durée, avec l’organisation de plus d’une douzaine de manifestations à Bélâbre, parfois dans des conditions difficiles. Je me souviens qu’on a manifesté sous une pluie battante, dans le froid… Et finalement, on l’a emporté.
R. C. Quels ont été les éléments déterminant de cette victoire ?
P. G. Le motif qui a été annoncé est soi-disant un motif d’incapacité financière de l’association qui, soit dit en passant, touche 20 millions d’euros de subventions par an et dispose d’un budget de 30 millions. Donc, l’argument budgétaire et financier était surtout une grosse excuse parce qu’ils voient qu’ils perdent énormément de plumes médiatiquement et parce que, concrètement, le préfet en a assez des manifestations, assez de mobiliser un escadron de gendarmes à chaque fois. Ce qui a été déterminant, c’est la mobilisation, l’énergie et l’endurance des habitants. C’était la condition sine qua non pour que la presse locale et nationale s’intéresse à cela.
On avait un petit village perdu au fin fond du Berry qui manifestait, plusieurs samedis par an pendant deux ans, contre l’installation forcée du CADA. Le maire a tout fait en catimini et nous réclamions un référendum car la majorité de la population y était opposée. Ce qui l’a emporté, c’est l’endurance, la ferveur et la mobilisation des habitants du village. Je ne pensais pas que la victoire serait publiée. Je pensais que les choses allaient progressivement se tasser, s’enterrer, qu’on allait faire traîner tout ça. Depuis les législatives, nous savions que le projet était au point mort. La différence, maintenant, c’est que c’est enterré. Il est officiellement abandonné.
R. C. Cette « victoire modeste », comme vous la qualifiez vous-même, servira-t-elle d’exemple, au-delà de Bélâbre ?
P. G. C’est une victoire locale et une leçon nationale. Le projet a reculé et il est certain que cette opposition a rencontré un écho fort. Une grande partie des habitants du Berry connaissent l’épisode Bélâbre. Donc, un maire désireux d’installer un centre pour migrants y réfléchira sûrement à deux fois. L’affaire Bélâbre a fait du bruit, les grands médias en ont parlé : CNews, TPMP, même France Info a fait un reportage.
Bélâbre a montré qu’une communauté enracinée et déterminée peut, si elle le veut, faire plier la volonté de gouvernants déconnectés, locaux ou nationaux, que ce soit la préfecture ou la mairie qui souhaitent la répartition de migrants contre la volonté des habitants. Une communauté bien organisée peut faire plier la volonté politique et imposer sa décision.
. Benjamin Duhamel : un journaleux de bac à sable soumis aux Insoumis
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°° WEBTUBE : Tout le monde ne connait pas encore assez Manon Aubry, cette eurodéputé de La France Insoumise, qui déteste les Français et ne perd jamais une occasion de cracher sa haine, que ce soit contre les patriotes, les Français ou Israël. Elle a démontré à plusieurs reprises qu’elle ne supporte pas le contradiction, qu’elle ne supporte pas le pluralisme, qu’elle ne supporte pas le débat et éructe ses insultes dès qu’elle n’est pas d’accord avec un des ses opposants (ennemis à abattre ?). Lors d’un nouveau débat mené par le désastreux Benjamin Duhamel, fils des deux journalistes Olivier Duhamel et Nathalie Saint Cricq, qui ne doit sa place qu’à sa filiation, eu égard au nombre de postulants au poste qu’il occupe… devant l’agressivité haineuse de la député LFI, Julien Odoul lui a légitimement demandé de boire un verre d’eau et de se calmer, ce qui a semblé la mettre hors d’elle.
Manon Aubry a même menacé de quitter le plateau (bigre !) comme si une gauchiste stalinienne chimiquement pure pouvait envisager de refuser l’audience qu’une chaîne de télévision lui accorde pour vomir ses mensonges et sa haine.
Même pas en rêve ! Même fiévreuse, même avec une jambe dans le plâtre, trois côtes cassées, et un œil fermé, et atteinte du sida en phase terminale, une gauchiste comme Manon Aubry se battrait encore avec les dents pour être sur un plateau de télévision.
Accuser les autres de racisme, hurler, couper la parole, « s’indigner », « s’outrager », se prétendre « choquée », éructer, insulter, mentir, cracher ses pseudo-leçons de morale puante sur les autres, c’est l’aphrodisiaque de Manon Aubry.
Mais on a vu une nouvelle fois Benjamin Duhamel qui a voulu jouer les Zorro de bac à sable, en voulant faire taire Julien Odoul et lui rappeler en gentleman de la Courneuve qu’on ne parle pas comme ça à une femme.
Il faut vraiment que Benjamin Duhamel n’ait pas un grand courage pour se soumettre aux caprices de Manon Aubry et pour prendre sa défense comme il l’a fait.
Il a non seulement totalement manqué à son devoir d’impartialité envers les représentants politiques, ce qui vaudrait sur une chaîne de télévision normale de lui retirer de toute urgence le poste qu’il occupe… mais de surcroît, il a montré qu’il n’est qu’un faible, prêt à se coucher devant celui ou surtout celle qui hurle le plus fort… surtout si c’est une femme.
Il a peur qu’on le prenne en tort, il a peur de Metoo, il a peur qu’on lui dise qu’il n’est pas galant, il a peur de tout.
Benjamin Duhamel est un minable. Ce n’est pas la première fois qu’il le démontre, mais il vient de le prouver définitivement.
Cyril Hanouna, avec son franc-parler, a résumé l’avis des téléspectateurs. Benjamin Duhamel n’est pas de notre monde, comme sa famille, il ne connaît rien à la France, rien aux Français, et il n’a pas les épaules pour animer des émissions en direct. N’est pas Hanouna qui le veut…
J’invite tous ceux qui le rencontreront à lui rentrer dans le lard, à lui rappeler en permanence son pedigree, et à le ridiculiser pour ce qu’il est : un minable.
QUANT À MANON AUBRY, J’INVITE TOUS CEUX QUI LA RENCONTRERONT À LUI DIRE « CALMEZ-VOUS, PRENEZ UN VERRE D’EAU », que ce soit sur un plateau de télévision ou au Parlement européen…
Encore davantage si l’animateur est Benjamin Duhamel…
Albert Nollet, Riposte Laïque
. Chute imminente de Macron : et si cette fois Philippot avait raison ?
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°° WEBTUBE : Florian Philippot nous a habitués, par le passé, à souvent prévoir des lendemains qui chantent, et de paraître certains qu’ils allaient chanter. Il a nous ainsi souvent promis l’émergence d’une grave crise européenne, la faillite de l’euro, avec l’explosion de l’UE, qui, hélas, même si elle s’aggrave, ne vient toujours pas.
Il nous a aussi souvent annoncé des crimes de régime, et Macron en difficulté, ce qui, hélas, ne s’est jamais confirmé dans les urnes.
Précisons que nous rendons souvent hommage au remarquable travail de Florian Philippot et des Patriotes, et que nous le savons si attaché à la souveraineté de la France qu’il prend parfois ses désirs pour des réalités, mais que les perspectives qu’il trace font du bien et donnent de l’espoir.
Donc, Florian Philippot, le premier, il y a un mois, nous a parlé d’une rumeur de démission de Macron, expliquant que le scénario d’une prochaine présidentielle était plus probable que celui de prochaines législatives. Cette déclaration a rencontré beaucoup de scepticisme, y compris au sein de notre rédaction.
Mais pourtant, cette fois, les choses paraissent plus sérieuses que quand on annonçait la chute de Macron, suite au mouvement des Gilets jaunes, ou bien quand d’autres affirmaient qu’il ne se remettrait pas de la dictature sanitaire imposée aux Français.
Et pourtant, sans faire campagne, Macron a été élu avec 58 % des voix, et tout s’est passé comme il le souhaitait à la présidentielle 2022. Mais les ennuis ont commencé, de manière surprenante pour ceux qui pensent que les législatives accentuent toujours le phénomène de la présidentielle, quand il lui a manqué, et nettement, la majorité à la Chambre.
Et depuis, la France est ingérable, et la dissolution surprise de l’Assemblée a été fiasco pour l’Élysée. Normalement, c’est Bardella qui devrait être à Matignon, et un coup tordu entre Macron et la gauche a certes privé le RN de l’exercice du pouvoir mais a accentué les divisions dans le pays et dans les institutions. La grenade que Macron, avec beaucoup de légèreté, se vantait d’avoir dégoupillée et jetée dans les jambes de ses opposants lui a pété au visage.
Résultat, nous en sommes à quatre Premiers ministres en 2024, record absolu de tous les temps ! Il est clair qu’après l’échec de l’opération Barnier, Bayrou, qui a humilié publiquement Macron, paraît le vrai chef du pays, mais il demeure un Premier ministre très fragile. Et surtout, il est le dernier rempart de Macron. Si le Premier ministre sautait, on voit mal Macron en nommer un nouveau, et s’il voulait utiliser l’article 16, il serait dans une très grande difficulté pour faire passer la pilule aux Français.
La France n’a toujours pas de budget, et on ne voit pas comment Bayrou réussirait là où Barnier a échoué. Élément encore plus grave, ses soutiens les plus fidèles le lâchent. Le journal Le Monde révèle des confidences élyséennes destructrices pour Macron. Le voilà accusé ouvertement de tenir des propos racistes, dans le privé, qui, certes ne sont pas forcément faux, quand il évoque « les urgences occupées surtout par des Mamadou », mais qui font désordre quand on prétend combattre le supposé racisme de l’extrême droite. Et quand on apprend que le même occupant de l’Élysée qualifiait Matignon du temps d’Attal de « Cage aux Folles », là encore, ce n’est peut-être pas faux, mais quand on prétend défendre le droit de toutes les minorités, cela fait toujours désordre.
Les jours qui vont suivre, avec l’attente de la formation du gouvernement Bayrou, dont les Français n’attendent absolument plus rien, si ce n’est sa prochaine chute, va ouvrir une période des plus instables pour l’Élysée et Matignon.
Nombreux seront les Français qui, quand ils vont entendre Macron leur présenter ses vœux, prieront le ciel, s’ils sont croyants, que ce soient les derniers. Car les choses sont de plus en plus claires. De plus en plus de Français comprennent que le problème en France, c’est Macron, et que c’est lui qui nous pourrit le pays depuis sept ans, et qui veut finir le travail pour les deux ans et demi qui lui restent…
… Sauf si, cette fois, les prévisions de Philippot se réalisent !
Cyrano, Riposte Laïque
. Ignoré, incapable de nommer le Premier ministre de son choix, Macron doit-il partir ?
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°° WEBTUBE : Rejeté et ignoré, incapable de nommer le Premier ministre de son choix, Macron doit partir. 52 % des Français veulent désormais son départ et le jugent entièrement responsable du chaos institutionnel actuel qui s’éternise depuis des mois. La capitulation de Macron face à un Bayrou déterminé qui s’est imposé à Matignon en dit long sur l’impuissance du chef de l’Etat, devenu une véritable potiche sans aucun pouvoir depuis la dissolution kamikaze de l’Assemblée.
Tout lui échappe. Il reste impuissant face aux provocations du pouvoir algérien qui emprisonne Boualem Sansal sans motif sérieux. Il reste impuissant face à Ursula von der Leyen qui signe dans son dos le Mercosur, contre l’avis de la France. Il reste impuissant face au sentiment antifrançais qui gagne nos ex-colonies et nous chasse de l’Afrique.
La diplomatie française est un tel fiasco que plus personne n’écoute l’agité de l’Elysée qui retourne sa veste en permanence. Gaza, Liban, Syrie, Ukraine, tout se traite sans lui. Son double jeu permanent avec Poutine et Netanyahou l’a mis définitivement hors jeu sur l’échiquier international, son soi-disant domaine réservé.
Le Jupiter de 2017, qui rêvait de s’imposer au monde du haut de ses 39 ans, ivre de sa réussite, n’est plus qu’un fantôme abandonné de tous. Jupiter est devenu insignifiant aux yeux du monde. Et même l’Europe avance désormais sans la France.
C’est pourquoi de plus en plus de voix se font entendre pour qu’il démissionne.
Les Français le souhaitent, LFI le réclame, le RN l’espère sans le demander. Mais d’autres voix se manifestent en ce sens, Hervé Morin, Jean-François Copé, Charles de Courson.
Chacun s’accorde à dire que si Bayrou échoue, c’est le tandem Elysée/Matignon qui fera ses valises. Or, les difficultés de Bayrou à former un gouvernement montrent que le champion du compromis patauge lamentablement autant que son prédécesseur.
En réunissant aujourd’hui les seuls partis responsables du naufrage de la France, ceux qui ont surtout l’expérience de l’échec, donc sans LFI et sans le RN, Bayrou prouve qu’il n’a rien compris. Il veut ressortir de la naphtaline des incapables qui ont déjà sévi. Il va encore nous faire un gouvernement de pyromanes alors que l’incendie fait rage.
Mais c’est aussi la preuve que la censure n’a servi à rien et que seule la démission de Macron mettra fin à ce mortel immobilisme centriste qui nous ruine depuis des années. À vouloir godiller de gauche à droite, donc sans réelle conviction, le pouvoir accélère l’effondrement de la France, déclassée d’année en année dans tous les domaines. Et ce ne sont ni les JO, ni Notre-Dame qui doivent faire illusion.
La France ne pourra survivre qu’avec des réformes de choc. Et ce n’est pas Bayrou, un mollasson, un marin d’eau douce qui ne veut pas de vagues, qui sera l’homme de la situation. Il nous faut un capitaine de gros temps, capable de faire franchir le Cap Horn au bateau France. Mais pour cela, il faut d’abord une majorité, donc des présidentielles et des législatives qui remettent les compteurs à zéro. Aucun rafistolage, aucun compromis ne résoudra nos problèmes.
Evidemment, Macron se retranche derrière la Constitution.
« Le mandat que vous m’avez démocratiquement confié est un mandat de cinq ans, et je l’exercerai pleinement jusqu’à son terme. »
Il n’a pas tort, le peuple a été assez crétin pour le réélire en 2022.
Mais la chute de Michel Barnier et les débuts chaotiques de Bayrou n’augurent rien de bon. Tôt ou tard la pression va devenir telle que les sondages appelant à la démission du chef de l’Etat ne pourront être ignorés.
Quand 70 % des Français réclameront son départ, Macron ne pourra que s’exécuter.
Et si Bayrou saute plus vite que prévu, il entraînera Macron dans sa chute.
C’est le pari que beaucoup commencent à faire. Car les lignes rouges de LFI et du RN, totalement incompatibles, n’ont pas disparu avec Barnier. Ce grand écart est toujours mission impossible.
Le champion du compromis ne fera donc pas de miracle. Il ne fera rien qui puisse bousculer les extrêmes afin de durer le plus longtemps possible, laissant la France couler vers un déclassement inexorable et irréversible.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
. Une chanson de Noël par jour, Nat King Cole – The Christmas Song
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°° WEBTUBE : Cette chanson c’est la référence ! Nate King Cole, personne ne la chante mieux que lui, faite sur mesure pour sa voix. Indémodable et tellement l’esprit de Noël !
°° WEBTUBE : This song is the reference! Nate King Cole, no one sings it better than him, tailor-made for his voice. Timeless and so much the spirit of Christmas!
. Un général russe tué dans un attentat à Moscou : que fait le FSB ?
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°° WEBTUBE : Le SBU et le GRU ukrainiens sont comme des poissons dans l’eau en Russie, multipliant les attentats par supplétifs interposés, auxquels Kiev tente souvent de faire porter le chapeau. Mais dans cas présent, Kiev reconnait sa responsabilité et s’en félicite.
Le problème n’est pas que les services secrets ukrainiens sèment la peur en Russie par des attentats terroristes, l’arme des faibles, le vrai problème qui interpelle est qu’un haut responsable militaire, le général Igor Kirillov qui est à la tête des forces de défense nucléaires, chimiques et biologiques, sorte de chez lui comme n’importe quel quidam anonyme, sans la moindre protection.
Si le FSB est incapable de protéger les grands chefs militaires, la haute hiérarchie étoilée a du souci à se faire car ça va tomber comme à Stalingrad. Cette défaillance de l’Etat est consternante.
Résultat : A 6 heures du matin, une bombe placée sur un engin à deux roues et déclenchée à distance, a explosé devant le domicile du général, tuant également son chauffeur.
J’avoue ne pas comprendre. Cette guerre n’en finit pas pour deux raisons :
Primo, parce que Poutine a laissé franchir toutes les lignes rouges depuis trois ans, sans la moindre réaction, au-delà de quelques timides réprobations qui amusent les faucons otaniens. Un encouragement à l’escalade unique dans l’histoire. Plus personne ne croit aux lignes rouges du Tsar. Le missile Oreshnik n’a eu aucun effet sur les Occidentaux, qui continuent leur surenchère belliqueuse.
Secundo, parce que Poutine s’est toujours refusé à frapper au sommet, alors que Kiev n’hésite pas à cibler Moscou avec des drones, en attendant les missiles longue portée. Je ne crois pas que Zelensky hésiterait une seule seconde à frapper le Kremlin pour éliminer Poutine s’il en avait les moyens. A quoi bon posséder des missiles hypersoniques capables de pulvériser des bunkers à 150 mètres de profondeur, pour éliminer un centre décisionnel, si on ne s’en sert pas ? Depuis trois ans, les Russes font la guerre une main dans le dos, alors que leur supériorité numérique et technologique est écrasante.
On sait que cette guerre était évitable si Kiev avait respecté les accords de Minsk.
Mais une fois déclenchée, cette guerre n’aurait jamais dû s’éterniser. C’est la faiblesse de Poutine qui a encouragé l’escalade. En 2022, il n’était pas question pour Washington de prendre le moindre risque. On en restait aux équipements défensifs fournis à Kiev. Trois ans plus tard, Zelensky rêve d’un engagement total de l’Otan, y compris nucléaire. Chars, avions, missiles logue portée, tout y est passé, sauf le nucléaire. Mais si la guerre dure, nul doute que les armes tactiques viendront irradier le champ de bataille.
On ne peut que souhaiter que Trump et Poutine tombent d’accord avant l’irréparable.
Situation actuelle
Les Russes progressent sur l’ensemble du front. Pokrovsk et Kurakhovo vont tomber incessamment.
L’armée ukrainienne fait face à des désertions massives de plusieurs dizaines de milliers de soldats, tandis que Moscou voit 30 à 40 000 volontaires venir s’enrôler chaque mois dans l’armée russe.
Voici ce que rapporte le général Delawarde :
« Ce qui devient très inquiétant pour Kiev, c’est la croissance impressionnante du taux de désertion. Le reporter de guerre ukrainien Vladimir Boyko indique que 18.984 actions judiciaires pour désertion ont été ouvertes pour le seul mois de novembre, contre 3.448 en janvier et 9.487 en Octobre.
Il nous dit aussi que ces chiffres ne représentent que la moitié du nombre réel de désertions et que sur 90 soldats de réserve envoyés de Kherson vers Kurakhovo pour défendre la ville, seul 3 sont arrivés, le reste s’étant «évaporé» en route.
Ces chiffres de source ukrainienne semblent indiquer que la résilience des forces armées otano-kiéviennes approche de sa limite avec son inévitable conséquence: l’effondrement du front. »
« En 2024 seulement, les pertes des forces armées ukrainiennes ont dépassé 560.000 soldats tués et blessés. Le total des pertes ukrainiennes s’élèverait à près de 1.000.000 d’hommes. L’armée ukrainienne a perdu plus de 40.000 soldats dans la seule région de Koursk. »
Sur le plan économique, les sanctions n’ont fait que moderniser l’économie russe, qui s’est adaptée au nouvel environnement à une vitesse impressionnante, qui a bluffé Xi Jinping.
En 2024, la croissance russe devrait dépasser les 4%. A titre de comparaison l’Allemagne est en récession et la France surendettée et en pleine crise institutionnelle vient d’être dégradée par Moody’s.
Négociations
On attend le plan Trump pour en finir avec ce carnage inutile. Mais si Poutine ne capitule pas devant le président américain, les objectifs russes restent inchangés : les 4 oblasts du Donbass sont dorénavant russes, comme la Crimée. Démilitarisation dénazification et neutralité de l’Ukraine sont toujours au menu.
On peut supposer que Poutine exigera la levée des sanctions et la restitution des 300 milliards de dollars volés à la Banque de Russie par les va-t-en-guerre occidentaux.
Dans ces négociations, l’Ukraine et l’Europe ne devraient faire que de la figuration. Affaiblies comme jamais, elles sont les gros dindons de la farce. Et si par malheur Trump et Poutine ne parviennent pas à se mettre d’accord, seul un devin pourra nous dire de quoi 2025 sera fait.
Voilà où mènent les délires des leaders européens, acharnés à mener une guerre qui n’est pas la nôtre, en agitant le mensonge d’une invasion programmée de l’Europe par l’Ours russe. La France ne se relèvera jamais de cette guerre qui nous a appauvris tout en faisant la fortune des oligarques ukrainiens.
Quant au peuple ukrainien, grand sacrifié aux seuls intérêts américains, il pleurera ses morts jusqu’à la fin du siècle. Beau bilan, sans doute le pire dans le long chapelet des fiascos otaniens de ces trente dernières années.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
. [POINT DE VUE] F. Bayrou, à peine nommé, pas de Pau : déjà criblé de dettes !
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°° WEBTUBE : On continue de se perdre en conjectures sur les raisons qui ont présidé au choix de François Bayrou comme Premier ministre. D’après Roselyne Bachelot (sans commentaire), la version du chantage serait un coup monté, avec l’accord de Macron, pour donner du crédit à François Bayrou. Rien n’est moins sûr. En termes de crédit, en revanche, ce n’est pas tant de crédibilité politique que de solidité financière que François Bayrou aurait besoin. Et on ne parle pas de la dette de la France, mais de celle de la ville de Pau, qu’il dirige depuis dix ans.
On sait qu’après sa nomination, et après sa prestation calamiteuse lors de la conférence de presse qui a suivi l’ouragan Chido à Mayotte, le Premier ministre s’est engouffré dans un Falcone de la République pour se rendre séance tenante… au conseil municipal de Pau. Une heure d’avion aux frais de l’État, c’est cher, dans une situation comme la nôtre, alors que le trajet entre Paris et Pau se fait en quatre heures. Et puis, à quoi bon emmerder les Français qui roulent au diesel quand on se claque un petit trajet vite fait, avec un gros avion qui pollue ? Passons.
Au conseil municipal, un élu lui a fait la remarque – de manière assez acide et mal élevée, mais avec un certain bon sens – de l’incongruité de sa présence. François Bayrou s’en est tiré avec une explication filandreuse : on lui aurait reproché de ne pas être resté connecté à la province s’il n’avait pas été présent. On lui objectera qu’Henri IV, son modèle, n’a plus jamais remis les pieds dans sa chère ville de Pau après son sacre, même s’il n’a cessé de donner des directives pour l’aménagement de son château et s’il s’est enquis de l’évolution des travaux. On imagine que cet effort lui a coûté, mais faire passer les intérêts du pays avant les considérations personnelles, fût-ce au prix de déchirements nostalgiques, c’est probablement ce que l’on appelle le sens de l’État.
Et maintenant, on apprend que la dette de la ville de Pau a presque été multipliée par deux depuis qu’il en a pris les rênes : de 60 à 110 millions d’euros, soit une dette de 1.440 euros par habitant. Ce n’est guère mieux pour la communauté de communes Pau Béarn Pyrénées, que François Bayrou préside également (on se souviendra qu’il est pour le cumul des mandats…), dont la dette est passée de 124,4, en 2017, à 187,5 millions d’euros, en 2023. Certes, comme pour le gras, il y a la bonne et la mauvaise dette : les collectivités s’endettent pour investir, pas pour payer les fonctionnaires, à la différence de l’État. Mais tout de même…
L’avenir proche du tout nouveau Premier ministre devrait consister, en priorité, à assainir les finances publiques. Évidemment, la tâche est herculéenne et on ne lui tiendra pas rigueur de ne pas tout régler en un an – ou moins… Bayrou n’est pas Javier Milei : il manie mieux la langue de bois que la tronçonneuse. Mais tout de même. Confier le gouvernement du pays à un homme qui, à l’échelle d’une paisible ville de province, a multiplié la dette publique par deux en dix ans, c’est un petit peu ironique. On sait que rien n’étouffe Emmanuel Macron, ni la honte, ni les scandales, ni la contradiction ou l’absurdité. Il s’en sortira toujours – croit-il – avec des éléments de langage dignes d’une « relation toxique ». Ce sera de la faute des Français. Pour la forme, on souhaite malgré tout bonne chance à François Bayrou. Et on lui conseillera, malgré son goût pour l’aviation (on est sur les terres des frères Wright, après tout), de s’installer dans un TGV, la prochaine fois qu’il aura envie de retourner sur ses terres.
Arnaud Florac, BV
. [RÉACTION] « Conseiller à quelqu’un de se calmer n’est pas une insulte »
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°° WEBTUBE : En attendant la formation du gouvernement de François Bayrou, BFM TV anime une nouvelle émission spéciale :l’Assemblée BFM. Dans ce format, des élus issus des différents partis politiques confrontent leurs idées dans des débats, parfois houleux. Ce mardi 17 décembre, le ton est monté entre Manon Aubry, eurodéputée (LFI), et Julien Odoul, député (RN) de l’Yonne, sur la question de la loi Immigration. Manon Aubry s’est écriée, à l’égard de son collègue : « Ça suffit ! » Et Julien Odoul de lui répondre : « Calmez-vous, prenez un verre d’eau ». La réponse n’est pas passée et Benjamin Duhamel a fini par interrompre l’échange, jugeant le comportement de Julien Odoul « inacceptable ». Pour BV, le député RN a accepté de revenir sur cette séquence médiatique haute en couleur.
Incident en direct : clash télévisé et dérapage médiatique !
— Ⓜ️🆔Pat Pat🇫🇷 (@patriceidfrance) December 17, 2024
Manon Aubry (@ManonAubryFr) de La France Insoumise perd ses moyens face à Julien Odoul (@JulienOdoul) du Rassemblement National.
Lorsque ce dernier lui lance un « Calmez-vous », l’intéressée réplique : « Vos remarques… pic.twitter.com/8GsnR21tCn
Raphaëlle Claisse. Que révèle cette séquence médiatique au sujet de La France insoumise ? La réaction de Manon Aubry reflète-t-elle l’état d’esprit de LFI ?
Julien Odoul. Cette séquence est révélatrice et montre, finalement, la nature profonde et toutes les dimensions de La France insoumise qui a véritablement été, hier, La France indigne et La France intolérable. Nous avions une personne qui ne supporte pas la contradiction, qui ne supporte pas le débat, qui ne supporte pas le pluralisme et les oppositions, qui était en train de déblatérer des mensonges et des insultes vis-à-vis du parti aux onze millions d’électeurs : le Rassemblement national. Cette personne a totalement perdu ses nerfs avec ses cris, ses hurlements, ses yeux révulsés.
Je me faisais crier dessus et mes électeurs se faisaient insulter. Je me suis contenté de rectifier ce qu’elle était en train de dire, à savoir que le RN est raciste. Elle affirmait, en effet, que nous considérions que tous les étrangers devaient être mis au ban de la société, qu’ils étaient des délinquants en puissance, qu’un tri était organisé en fonction de la bonne couleur de peau, de la bonne religion, etc. J’ai donc rectifié ce mensonge éhonté. Puis je lui ai demandé de se calmer. Il me semble que conseiller à quelqu’un de se calmer et prendre un verre d’eau n’est ni une insulte ni une remarque outrageante ou un propos sexiste. D’ailleurs, je l’aurais dit à n’importe qui, dans la même situation.
Ensuite, il y a eu cette récupération, cette victimisation, pour faire passer la victime pour l’agresseur. C’est systématique, avec l’extrême gauche, qui utilise sans arrêt la victimisation et l’inversion de la charge. Que ce soit pour les policiers et les délinquants : c’est toujours le policier qui est dans son tort et qui est le barbare, l’agresseur, celui qui tue, etc. Ils le font aussi dans le cadre du conflit entre Israël et les terroristes du Hamas : Israël, qui pourtant se défend, devient l’agresseur, la puissance génocidaire, le monstre qui est pratiquement nazifié. Bref, ils le font en permanence.
R. C. Qu’avez-vous pensé de l’attitude de Benjamin Duhamel, le présentateur de ce débat ?
J. O. Cette attitude était lamentable. Je le lui ai dit. Je ne me suis pas laissé faire. Je lui ai répondu qu’il prenait parti. Il n’aurait pas dû réagir comme cela. Il n’aurait pas dû tomber dans le piège de LFI. Parce qu’encore une fois, il n’a rien dit quand Manon Aubry, plusieurs fois, s’est emportée et a eu cette attitude-là. Surtout qu’elle n’en est pas à son coup d’essai. Elle avait fait exactement la même chose au moment des élections européennes dans le cadre d’un débat. Elle emploie toujours les mêmes méthodes et vient, ensuite, se retrancher derrière son statut de femme, comme s’il y avait un totem d’immunité.
R. C. Antoine Léaument a réagi, sur X : « Julien Odoul est nul, vulgaire et machiste ». Que répondez-vous à ceux qui vous taxent de misogynie ?
J. O. Je n’ai même pas envie de répondre. Être taxé de misogynie par le parti d’Adrien Quatennens, c’est assez cocasse ! Leur ancien député a été obligé de démissionner parce qu’il était visé pour agression sexuelle. Citons Taha Bouhafs, également, qui était inquiété pour harcèlement sexuel… LFI regorge de misogynie. C’est même une cellule de misogynie. Quant à Antoine Léaument, le triptyque dont il m’insulte s’applique très bien à ses collègues : le nul serait peut-être Antoine Léaument ou Sébastien Delogu ; la vulgarité est, je pense, magnifiquement bien incarnée par Ersilia Soudais ; et puis le machisme par Adrien Quatennens ou par un autre…