. La chanson du jour, My Love – Kovacs


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°° WEBTUBE : Ce qu’on remarque en premier à l’écoute de ce morceau c’est la voix de la chanteuse. Une tonalité particulière à la fois douce et aussi puissante. C’est unique. Tout de suite après la musique s’impose avec ses cordes, ses percussions légères et le piano. Le tout d’une grande sobriété mais très présent. Du grand art !

°° WEBTUBE : What we notice first when listening to this piece is the singer’s voice. A particular tone that is both soft and powerful. It’s unique. Immediately afterwards the music imposes itself with its strings, light percussion and piano. All very sober but very present. Great art!

. Pouvoir d’achat, dette de la France, Baisse du niveau de vie avec Charles et Emmanuelle Gave


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°° WEBTUBE : 01:00 Le pouvoir d’achat. Définition et développement 02:35 Que regarder pour 2025. 03:32 La tarte à la crème du pouvoir d’achat 09:30 Qui détient vraiment la dette Française. 12:14 Les coupes dans les transferts sociaux 16:05 les dépenses publiques du régalien 17:50 Graphique sur le pouvoir d’achat. 27:00 La situation en Allemagne. 29:51 Du sang et des larmes 33:00 Une réserve Européenne de Bitcoin? (idée de Sarah Knafo)

. Marine invitée par Trump le 20 janvier ? Vrai ou faux ?


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°° WEBTUBE : Cette information circule sur les réseaux sociaux, mais reste à confirmer. Si cela est avéré, c’est le signe que Trump  affiche la couleur : honneur aux leaders nationalistes ! Pour Trump, nationalisme et patriotisme sont deux armes indissociables face au rouleau compresseur mondialiste qui ravage la planète. Les mondialistes fossoyeurs des nations et du monde ancien sont dans le collimateur du milliardaire et d’Elon Musk. Il faut donc s’attendre à un grand nettoyage de printemps aux Etats-Unis. Des têtes tomberont au FBI, à la CIA et dans bon nombre de secteurs clés.

Au programme, des expulsions massives de migrants illégaux, une guerre au wokisme et à la dictature LGBT, qui veut s’imposer dans tous les rouages de la société, y compris dans l’armée. 15 000 membres transgenres de l’armée américaine devraient être remerciés dès janvier 2025.

Quant à Marine, elle pourra savourer son plaisir en entamant l’année 2025 en fanfare, si elle est réellement invitée par Donald Trump pour son investiture le 20 janvier à Washington. Elle serait accompagnée de Viktor Orban et de Giorgia Meloni, deux figures emblématiques de l’Europe, opposées aux délires mondialistes qui menacent l’identité européenne par une immigration-invasion démentielle imposée par Bruxelles.

Pour la patronne du camp patriote, traitée en véritable chef d’Etat par Donald Trump, cette invitation serait inespérée et donnerait un coup de lustre à son image internationale.

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C’est donc une révolution antimondialiste qui se prépare aux Etats-Unis et Trump ne fera pas dans la dentelle. Il y aura un coup de balai dans la presse et la justice, deux entités qui l’ont littéralement persécuté depuis 2017. Mais le ton a changé. Aussi bien en Amérique qu’en Europe, les attaques contre le milliardaire ont disparu et c’est l’inquiétude attentiste qui prévaut. Trump va régler ses comptes et chacun se demande s’il est sur sa liste noire.

Les questions restent nombreuses concernant l’Europe, l’Otan et l’Ukraine.

Au-delà du domaine économique et commercial, où le slogan « America first » prendra toute sa dimension, la politique étrangère de Trump reste floue. Si le soutien inconditionnel à Israël reste entier, les rapports avec l’Europe et l’avenir de l’Otan restent incertains.

On sait que Trump exige des Européens un effort massif pour leur défense s’ils veulent bénéficier de la protection de l’Otan. Effort d’autant plus difficile que l’Europe est au bord de la récession et que certains pays, dont la France, sont en quasi-faillite. Un budget défense égal à 5 % du PIB, comme le souhaite Trump, cela représente 150 milliards par an pour la France, soit un triplement du budget actuel de 50 milliards. Impossible avec nos 3300 milliards de dettes qui nous coûtent déjà 50 milliards d’intérêts chaque année. Tout passe dans l’immigration de masse, dans un social démesuré partagé avec toute la planète et dans une fraude gigantesque jamais combattue.

Voilà trente ans que la France n’est plus gouvernée et  les guignols au pouvoir découvrent soudain que la dette est devenue incontrôlable, tout comme l’immigration ou l’insécurité. Trente années de communication permanente, c’est à dire de mensonges, trente années de promesses sans lendemain et d’inaction criminelle. Tous se battent pour le pouvoir et ne font rien.

Il va de soi que l’exigence de Trump n’est pas innocente. Sachant que 80 % de l’armement européen est d’origine américaine, l’essentiel des dépenses de l’UE ira dans la poche du lobby de l’armement américain, qui pousse à la guerre continuellement depuis 1945.

Sur l’Ukraine le flou demeure

Il est clair qu’avec Trump il n’y aurait pas eu de guerre, car il aurait donné suite aux multiples demandes de garanties de sécurité pour l’Europe, formulées par Poutine à plusieurs reprises, avant de lancer son Opération spéciale pour protéger les populations russes du Donbass.

Mais au delà des annonces de paix fracassantes, Trump veut-il un simple cessez-le-feu ou une paix durable ? Le plan de son conseiller pour l’Ukraine, le général Kellogg, un antirusse notoire, est  totalement inacceptable pour Poutine puisqu’il propose un gel du front actuel, alors que les objectifs de Moscou sont loin d’être atteints.

Pourquoi Poutine accepterait-il de figer le front, alors que l’armée ukrainienne exsangue recule sur les 1000 kilomètres de front et que sa propre armée a conquis plus de 200 localités en 2024 ? Rappelons que sans la prise d’Odessa jusqu’à la Transnistrie, la Crimée sera sans cesse menacée. Si la destruction de l’armée ukrainienne est acquise, nul ne sait si Poutine veut annexer la Novorossia ou se contenter des quatre oblasts, Donetsk, Lougansk, Kherson et Zaporijjia.

Pourquoi le Tsar accepterait-il de figer le front alors qu’il sait que les mutineries, les désertions et les redditions dans l’armée de Zelensky montrent que l’effondrement du front ukrainien est proche ? J’annonçais hier 700 000 morts côté ukrainien mais un journal anglais évoque le million de soldats tués.

Ce qui est certain, c’est que Trump veut se désengager du bourbier ukrainien. Mais à quel prix pour l’Europe ? Veut-il que l’UE prenne le relais ?

Toutes les armées européennes sont inaptes au combat de haute intensité. Elles ne possèdent ni le nombre, ni l’expérience, ni les munitions, ni les armes du futur, ni l’industrie de l’armement que possède le tsar. Moscou produit davantage de munitions que l’ensemble des 32 pays de l’Otan. Et le Tsar peut mobiliser 15 millions de soldats si la situation tourne au tragique.

Et techniquement parlant, l’Occident a vingt ans de retard sur les chercheurs russes de l’armement. La maîtrise du domaine hypersonique appartient aux Russes, comme l’ont prouvé à maintes reprises les frappes avec leur panoplie de missiles.

Car si les missiles balistiques intercontinentaux, donc à trajectoire facilement prévisible, peuvent voler à mach 20, les missiles hypersoniques de courte et moyenne portée, capables par ailleurs de changer de trajectoire en approche de la cible, sont une nouveauté sur le champ de bataille, repoussant ainsi le recours aux armes nucléaires tactiques. L’invincible Oreshnik par exemple, peut détruire 6 cibles simultanément.

Aucun pays occidental ne possède l’équivalent.

Par conséquent, si Trump n’envisage pas de paix durable mais propose un simple transfert du fardeau à l’Europe, ce sera une véritable grenade dégoupillée lancée dans les couloirs de l’UE, tant les divisions et les désaccords seront nombreux chez les 27. Et que dire de l’Otan qui perdrait toute sa signification dès lors que son principal membre, en puissance militaire et en financement, déclarerait forfait ?

Faut-il le souhaiter ? La question pourrait très vite se poser.

Un retour aux nations qui, tout compte fait, serait bénéfique pour la France, puissance nucléaire qui ne fut jamais aussi forte et indépendante qu’avant d’intégrer l’UE et de réintégrer l’Otan. En abandonnant notre monnaie et notre souveraineté à Bruxelles et Washington, nous avons dilapidé le fabuleux héritage gaullien.

Nul n’est devin et bien malin celui qui connait les intentions réelles de Poutine et de Trump. Mais attendons-nous à de grands bouleversements dans les quatre ans qui viennent. Des bouleversements face auxquels l’UE, ruinée, divisée comme jamais, sans armée et sans matières premières, est bien mal préparée.

En 1990 les Russes espéraient intégrer l’Europe. Nous leur avons menti et sommes assez crétins pour leur faire la guerre, alors qu’ils nous écrasent dans tous les domaines. Je ne connais aucun pays au monde capable de résister à 15 trains de sanctions économiques et de pavoiser avec 4% de croissance en 2024. Je ne connais aucun pays au monde capable de résister militairement à une coalition de 50 pays qui fournissent canons, chars, missiles et avions à l’Ukraine, mais en pure perte. La France s’est révélée incapable de soutenir sur la durée ses opérations au Sahel, nos 5000 soldats étant totalement démunis face à un ennemi sans chars ni avions ni missiles. Notre armée était à l’os, disait le général Pierre de Villiers.

Notre outil de combat a été divisé par 2,5 depuis 1990, mais nous donnons nos Mirage et nos missiles au Churchill ukrainien, qui ne gagnera jamais cette guerre. Il partira, fortune faite, profiter des millions de l’Occident. Selon la CIA, 400 millions avaient déjà été détournés en 2023.

Mais qui s’en soucie ? Que pèse un million de morts quand des fortunes colossales peuvent s’amasser en si peu de temps ? Aucun dirigeant responsable de l’hécatombe ukrainienne n’en endossera la responsabilité, ni en Amérique, ni en Europe. Rien de bien nouveau.

Les soldats sont faits pour mourir dès lors que les va-t-en-guerre qui ne la font pas s’enrichissent.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque