. Une chanson de Noël par jour, Lily Allen – Somewhere Only We Know


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°° WEBTUBE : Une très belle vidéo, une magnifique chanson. Tout est réuni pour passer un merveilleux Noël.

°° WEBTUBE : A very beautiful video, a magnificent song. Everything is there to have a wonderful Christmas.

. Face à Philippe de Villiers / émission du 20 décembre 2024


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°° WEBTUBE : Une émission qu’il ne faut pas manquer surtout à quelques jours du réveillon dez Noël.

. [MIEUX VAUT EN RIRE] Manon Aubry sort de ses gonds face à Julien Odoul !


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°° WEBTUBE : Cette semaine, François Pignon entre à Matignon, Yseult insulte son public et Anne Hidalgo se prend les pieds dans le montant des dettes de la France !

. Pas de CADA à Bélâbre : « Une victoire locale, une leçon nationale ! »

°° WEBTUBE : Depuis deux ans, les habitants du petit village de Bélâbre (36) se battaient pour empêcher l’ouverture d’un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA), imposé par le maire de la ville. L’avocat Pierre Gentillet, candidat aux élections législatives anticipées sous l’étiquette Rassemblement national, s’est mobilisé dans ce combat. Sous la pression des citoyens, le projet vient d’être abandonné. Pour BV, Pierre Gentillet revient sur cette victoire marquante.

Raphaëlle Claisse : Quelles ont été les grandes étapes de ce combat ?

Pierre Gentillet. C’est un combat qui remonte au tout début de l’année 2023. La première grande étape était d’organiser une manifestation dans un village de 900 habitants, loin de tout, loin de tout bassin d’emploi, loin de toute grande ville, à quarante minutes de la première gare qui est Argenton-sur-Creuse, sans aucun bus, sans rien, et d’attirer l’attention médiatique. C’était la grande étape, l’enjeu majeur. Je me souviens qu’au mois de mai 2023, je suis parti de Paris à 5 heures du matin prendre le train en me disant : « Je vais y aller pour 20 personnes. » Pensez-vous, un village de 900 âmes, perdu dans le Berry ! Je le connais bien, c’est aussi pour cela que j’y allais. C’est un berceau familial, mes parents, mes grands-parents sont d’Argenton-sur-Creuse. Quand je suis parti le matin, j’y allais presque sentimentalement, c’était un élan romantique et politique. En fait, nous étions 200 personnes sur une place de village, à manifester avec des gens qui n’avaient jamais manifesté de leur vie. Ça se voyait. En fait, la politique avait perturbé leur quotidien et ils étaient bien obligés de sortir dans la rue.

Après, il y a eu un deuxième temps, un temps de combat : il fallait maintenir la lutte sur la durée, avec l’organisation de plus d’une douzaine de manifestations à Bélâbre, parfois dans des conditions difficiles. Je me souviens qu’on a manifesté sous une pluie battante, dans le froid… Et finalement, on l’a emporté.

R. C. Quels ont été les éléments déterminant de cette victoire ?

P. G. Le motif qui a été annoncé est soi-disant un motif d’incapacité financière de l’association qui, soit dit en passant, touche 20 millions d’euros de subventions par an et dispose d’un budget de 30 millions. Donc, l’argument budgétaire et financier était surtout une grosse excuse parce qu’ils voient qu’ils perdent énormément de plumes médiatiquement et parce que, concrètement, le préfet en a assez des manifestations, assez de mobiliser un escadron de gendarmes à chaque fois. Ce qui a été déterminant, c’est la mobilisation, l’énergie et l’endurance des habitants. C’était la condition sine qua non pour que la presse locale et nationale s’intéresse à cela.

On avait un petit village perdu au fin fond du Berry qui manifestait, plusieurs samedis par an pendant deux ans, contre l’installation forcée du CADA. Le maire a tout fait en catimini et nous réclamions un référendum car la majorité de la population y était opposée. Ce qui l’a emporté, c’est l’endurance, la ferveur et la mobilisation des habitants du village. Je ne pensais pas que la victoire serait publiée. Je pensais que les choses allaient progressivement se tasser, s’enterrer, qu’on allait faire traîner tout ça. Depuis les législatives, nous savions que le projet était au point mort. La différence, maintenant, c’est que c’est enterré. Il est officiellement abandonné.

R. C. Cette « victoire modeste », comme vous la qualifiez vous-même, servira-t-elle d’exemple, au-delà de Bélâbre ?

P. G. C’est une victoire locale et une leçon nationale. Le projet a reculé et il est certain que cette opposition a rencontré un écho fort. Une grande partie des habitants du Berry connaissent l’épisode Bélâbre. Donc, un maire désireux d’installer un centre pour migrants y réfléchira sûrement à deux fois. L’affaire Bélâbre a fait du bruit, les grands médias en ont parlé : CNewsTPMP, même France Info a fait un reportage.

Bélâbre a montré qu’une communauté enracinée et déterminée peut, si elle le veut, faire plier la volonté de gouvernants déconnectés, locaux ou nationaux, que ce soit la préfecture ou la mairie qui souhaitent la répartition de migrants contre la volonté des habitants. Une communauté bien organisée peut faire plier la volonté politique et imposer sa décision.

Raphaelle Claisse, BV

. Benjamin Duhamel : un journaleux de bac à sable soumis aux Insoumis


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°° WEBTUBE : Tout le monde ne connait pas encore assez Manon Aubry, cette eurodéputé de La France Insoumise, qui déteste les Français et ne perd jamais une occasion de cracher sa haine, que ce soit contre les patriotes, les Français ou Israël. Elle a démontré à plusieurs reprises qu’elle ne supporte pas le contradiction, qu’elle ne supporte pas le pluralisme, qu’elle ne supporte pas le débat et éructe ses insultes dès qu’elle n’est pas d’accord avec un des ses opposants (ennemis à abattre ?). Lors d’un nouveau débat mené par le désastreux Benjamin Duhamel, fils des deux journalistes Olivier Duhamel et Nathalie Saint Cricq, qui ne doit sa place qu’à sa filiation, eu égard au nombre de postulants au poste qu’il occupe… devant l’agressivité haineuse de la député LFI, Julien Odoul lui a légitimement demandé de boire un verre d’eau et de se calmer, ce qui a semblé la mettre hors d’elle.

Manon Aubry a même menacé de quitter le plateau (bigre !) comme si une gauchiste stalinienne chimiquement pure pouvait envisager de refuser l’audience qu’une chaîne de télévision lui accorde pour vomir ses mensonges et sa haine.

Même pas en rêve ! Même fiévreuse, même avec une jambe dans le plâtre, trois côtes cassées, et un œil fermé, et atteinte du sida en phase terminale, une gauchiste comme Manon Aubry se battrait encore avec les dents pour être sur un plateau de télévision.

Accuser les autres de racisme, hurler, couper la parole, « s’indigner », « s’outrager », se prétendre « choquée », éructer, insulter, mentir, cracher ses pseudo-leçons de morale puante sur les autres, c’est l’aphrodisiaque de Manon Aubry.

Mais on a vu une nouvelle fois Benjamin Duhamel qui a voulu jouer les Zorro de bac à sable, en voulant faire taire Julien Odoul et lui rappeler en gentleman de la Courneuve qu’on ne parle pas comme ça à une femme.

Il faut vraiment que Benjamin Duhamel n’ait pas un grand courage pour se soumettre aux caprices de Manon Aubry et pour prendre sa défense comme il l’a fait.

Il a non seulement totalement manqué à son devoir d’impartialité envers les représentants politiques, ce qui vaudrait sur une chaîne de télévision normale de lui retirer de toute urgence le poste qu’il occupe… mais de surcroît, il a montré qu’il n’est qu’un faible, prêt à se coucher devant celui ou surtout celle qui hurle le plus fort… surtout si c’est une femme.

Il a peur qu’on le prenne en tort, il a peur de Metoo, il a peur qu’on lui dise qu’il n’est pas galant, il a peur de tout.

Benjamin Duhamel est un minable. Ce n’est pas la première fois qu’il le démontre, mais il vient de le prouver définitivement.

Cyril Hanouna, avec son franc-parler, a résumé l’avis des téléspectateurs. Benjamin Duhamel n’est pas de notre monde, comme sa famille, il ne connaît rien à la France, rien aux Français, et il n’a pas les épaules pour animer des émissions en direct. N’est pas Hanouna qui le veut…

https://www.jeanmarcmorandini.com/article-593555-cyril-hanouna-s-en-prend-au-journaliste-de-bfmtv-benjamin-duhamel-il-n-est-pas-dans-notre-monde-il-ne-connait-pas-les-francais-il-ne-comprend-rien-a-rien-regardez.html

J’invite tous ceux qui le rencontreront à lui rentrer dans le lard, à lui rappeler en permanence son pedigree, et à le ridiculiser pour ce qu’il est : un minable.

QUANT À MANON AUBRY, J’INVITE TOUS CEUX QUI LA RENCONTRERONT À LUI DIRE « CALMEZ-VOUS, PRENEZ UN VERRE D’EAU », que ce soit sur un plateau de télévision ou au Parlement européen…

Encore davantage si l’animateur est Benjamin Duhamel…

Albert Nollet, Riposte Laïque

. Chute imminente de Macron : et si cette fois Philippot avait raison ?


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°° WEBTUBE : Florian Philippot nous a habitués, par le passé, à souvent prévoir des lendemains qui chantent, et de paraître certains qu’ils allaient chanter. Il a nous ainsi souvent promis l’émergence d’une grave crise européenne, la faillite de l’euro, avec l’explosion de l’UE, qui, hélas, même si elle s’aggrave, ne vient toujours pas.

Il nous a aussi souvent annoncé des crimes de régime, et Macron en difficulté, ce qui, hélas, ne s’est jamais confirmé dans les urnes.

Précisons que nous rendons souvent hommage au remarquable travail de Florian Philippot et des Patriotes, et que nous le savons si attaché à la souveraineté de la France qu’il prend parfois ses désirs pour des réalités, mais que les perspectives qu’il trace font du bien et donnent de l’espoir.

Donc, Florian Philippot, le premier, il y a un mois, nous a parlé d’une rumeur de démission de Macron, expliquant que le scénario d’une prochaine présidentielle était plus probable que celui de prochaines législatives. Cette déclaration a rencontré beaucoup de scepticisme, y compris au sein de notre rédaction.

Mais pourtant, cette fois, les choses paraissent plus sérieuses que quand on annonçait la chute de Macron, suite au mouvement des Gilets jaunes, ou bien quand d’autres affirmaient qu’il ne se remettrait pas de la dictature sanitaire imposée aux Français.

Et pourtant, sans faire campagne, Macron a été élu avec 58 % des voix, et tout s’est passé comme il le souhaitait à la présidentielle 2022. Mais les ennuis ont commencé, de manière surprenante pour ceux qui pensent que les législatives accentuent toujours le phénomène de la présidentielle, quand il lui a manqué, et nettement, la majorité à la Chambre.

Et depuis, la France est ingérable, et la dissolution surprise de l’Assemblée a été fiasco pour l’Élysée. Normalement, c’est Bardella qui devrait être à Matignon, et un coup tordu entre Macron et la gauche a certes privé le RN de l’exercice du pouvoir mais a accentué les divisions dans le pays et dans les institutions. La grenade que Macron, avec beaucoup de légèreté, se vantait d’avoir dégoupillée et jetée dans les jambes de ses opposants lui a pété au visage.

Résultat, nous en sommes à quatre Premiers ministres en 2024, record absolu de tous les temps ! Il est clair qu’après l’échec de l’opération Barnier, Bayrou, qui a humilié publiquement Macron, paraît le vrai chef du pays, mais il demeure un Premier ministre très fragile. Et surtout, il est le dernier rempart de Macron. Si le Premier ministre sautait, on voit mal Macron en nommer un nouveau, et s’il voulait utiliser l’article 16, il serait dans une très grande difficulté pour faire passer la pilule aux Français.

La France n’a toujours pas de budget, et on ne voit pas comment Bayrou réussirait là où Barnier a échoué. Élément encore plus grave, ses soutiens les plus fidèles le lâchent. Le journal Le Monde révèle des confidences élyséennes destructrices pour Macron. Le voilà accusé ouvertement de tenir des propos racistes, dans le privé, qui, certes ne sont pas forcément faux, quand il évoque « les urgences occupées surtout par des Mamadou », mais qui font désordre quand on prétend combattre le supposé racisme de l’extrême droite. Et quand on apprend que le même occupant de l’Élysée qualifiait Matignon du temps d’Attal de « Cage aux Folles », là encore, ce n’est peut-être pas faux, mais quand on prétend défendre le droit de toutes les minorités, cela fait toujours désordre.

Les jours qui vont suivre, avec l’attente de la formation du gouvernement Bayrou, dont les Français n’attendent absolument plus rien, si ce n’est sa prochaine chute, va ouvrir une période des plus instables pour l’Élysée et Matignon.

Nombreux seront les Français qui, quand ils vont entendre Macron leur présenter ses vœux, prieront le ciel, s’ils sont croyants, que ce soient les derniers. Car les choses sont de plus en plus claires. De plus en plus de Français comprennent que le problème en France, c’est Macron, et que c’est lui qui nous pourrit le pays depuis sept ans, et qui veut finir le travail pour les deux ans et demi qui lui restent…

… Sauf si, cette fois, les prévisions de Philippot se réalisent !

Cyrano, Riposte Laïque