. Une chanson de Noël par jour, Nat King Cole – The Christmas Song


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°° WEBTUBE : Cette chanson c’est la référence ! Nate King Cole, personne ne la chante mieux que lui, faite sur mesure pour sa voix. Indémodable et tellement l’esprit de Noël !

°° WEBTUBE : This song is the reference! Nate King Cole, no one sings it better than him, tailor-made for his voice. Timeless and so much the spirit of Christmas!

. Un général russe tué dans un attentat à Moscou : que fait le FSB ?


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°° WEBTUBE : Le SBU et le GRU ukrainiens sont comme des poissons dans l’eau en Russie, multipliant les attentats par supplétifs interposés, auxquels Kiev tente souvent de faire porter le chapeau. Mais dans cas présent, Kiev reconnait sa responsabilité et s’en félicite.

Le problème n’est pas que les services secrets ukrainiens sèment la peur en Russie par des attentats terroristes, l’arme des faibles, le vrai problème qui interpelle est qu’un haut responsable militaire, le général Igor Kirillov qui est à la tête des forces de défense nucléaires, chimiques et biologiques, sorte de chez lui comme n’importe quel quidam anonyme, sans la moindre protection.

Si le FSB est incapable de protéger les grands chefs militaires, la haute hiérarchie étoilée a du souci à se faire car ça va tomber comme à Stalingrad. Cette défaillance de l’Etat est consternante.

Résultat : A 6 heures du matin, une bombe placée sur un engin à deux roues et déclenchée à distance, a explosé devant le domicile du général, tuant également son chauffeur. 

J’avoue ne pas comprendre. Cette guerre n’en finit pas pour deux raisons :

Primo, parce que Poutine a laissé franchir toutes les lignes rouges depuis trois ans, sans la moindre réaction, au-delà de quelques timides réprobations qui amusent les faucons otaniens. Un encouragement à l’escalade unique dans l’histoire. Plus personne ne croit aux lignes rouges du Tsar. Le missile Oreshnik n’a eu aucun effet sur les Occidentaux, qui continuent leur surenchère belliqueuse.

Secundo, parce que Poutine s’est toujours refusé à frapper au sommet, alors que Kiev n’hésite pas à cibler Moscou avec des drones, en attendant les missiles longue portée. Je ne crois pas que Zelensky hésiterait une seule seconde à frapper le Kremlin pour éliminer Poutine s’il en avait les moyens. A quoi bon posséder des missiles hypersoniques capables de pulvériser des bunkers à 150 mètres de profondeur, pour éliminer un centre décisionnel, si on ne s’en sert pas ? Depuis trois ans, les Russes font la guerre une main dans le dos, alors que leur supériorité numérique et technologique est écrasante.

On sait que cette guerre était évitable si Kiev avait respecté les accords de Minsk.

Mais une fois déclenchée, cette guerre n’aurait jamais dû s’éterniser. C’est la faiblesse de Poutine qui a encouragé l’escalade. En 2022, il n’était pas question pour Washington de prendre le moindre risque. On en restait aux équipements défensifs fournis à Kiev. Trois ans plus tard, Zelensky rêve d’un engagement total de l’Otan, y compris nucléaire. Chars, avions, missiles logue portée, tout y est passé, sauf le nucléaire. Mais si la guerre dure, nul doute que les armes tactiques viendront irradier le champ de bataille.

On ne peut que souhaiter que Trump et Poutine tombent d’accord avant l’irréparable.

Situation actuelle

Les Russes progressent sur l’ensemble du front. Pokrovsk et Kurakhovo vont tomber incessamment.

L’armée ukrainienne fait face à des désertions massives de plusieurs dizaines de milliers de soldats, tandis que Moscou voit 30 à 40 000 volontaires venir s’enrôler chaque mois dans l’armée russe.

Voici ce que rapporte le général Delawarde :

« Ce qui devient très inquiétant pour Kiev, c’est la croissance impressionnante du taux de désertion. Le reporter de guerre ukrainien Vladimir Boyko indique que 18.984 actions judiciaires pour désertion ont été ouvertes pour le seul mois de novembre, contre 3.448 en janvier et 9.487 en Octobre.

Il nous dit aussi que ces chiffres ne représentent que la moitié du nombre réel de désertions et que sur 90 soldats de réserve envoyés de Kherson vers Kurakhovo pour défendre la ville, seul 3 sont arrivés, le reste s’étant «évaporé» en route.

Ces chiffres de source ukrainienne semblent indiquer que la résilience des forces armées otano-kiéviennes approche de sa limite avec son inévitable conséquence: l’effondrement du front. »

« En 2024 seulement, les pertes des forces armées ukrainiennes ont dépassé 560.000 soldats tués et blessés. Le total des pertes ukrainiennes s’élèverait à près de 1.000.000 d’hommes. L’armée ukrainienne a perdu plus de 40.000 soldats dans la seule région de Koursk. »

Sur le plan économique, les sanctions n’ont fait que moderniser l’économie russe, qui s’est adaptée au nouvel environnement à une vitesse impressionnante, qui a bluffé Xi Jinping.

En 2024, la croissance russe devrait dépasser les 4%. A titre de comparaison l’Allemagne est en récession et la France surendettée et en pleine crise institutionnelle vient d’être dégradée par Moody’s.

Négociations

On attend le plan Trump pour en finir avec ce carnage inutile. Mais si Poutine ne capitule pas devant le président américain, les objectifs russes restent inchangés : les 4 oblasts du Donbass sont dorénavant russes, comme la Crimée. Démilitarisation dénazification et neutralité de l’Ukraine sont toujours au menu.

On peut supposer que Poutine exigera la levée des sanctions et la restitution des 300 milliards de dollars volés à la Banque de Russie par les va-t-en-guerre occidentaux.

Dans ces négociations, l’Ukraine et l’Europe ne devraient faire que de la figuration. Affaiblies comme jamais, elles sont les gros dindons de la farce. Et si par malheur Trump et Poutine ne parviennent pas à se mettre d’accord, seul un devin pourra nous dire de quoi 2025 sera fait.

Voilà où mènent les délires des leaders européens, acharnés à mener une guerre qui n’est pas la nôtre, en agitant le mensonge d’une invasion programmée de l’Europe par l’Ours russe. La France ne se relèvera jamais de cette guerre qui nous a appauvris tout en faisant la fortune des oligarques ukrainiens.

Quant au peuple ukrainien, grand sacrifié aux seuls intérêts américains, il pleurera ses morts jusqu’à la fin du siècle. Beau bilan, sans doute le pire dans le long chapelet des fiascos otaniens de ces trente dernières années.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. [POINT DE VUE] F. Bayrou, à peine nommé, pas de Pau : déjà criblé de dettes !


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°° WEBTUBE : On continue de se perdre en conjectures sur les raisons qui ont présidé au choix de François Bayrou comme Premier ministre. D’après Roselyne Bachelot (sans commentaire), la version du chantage serait un coup monté, avec l’accord de Macron, pour donner du crédit à François Bayrou. Rien n’est moins sûr. En termes de crédit, en revanche, ce n’est pas tant de crédibilité politique que de solidité financière que François Bayrou aurait besoin. Et on ne parle pas de la dette de la France, mais de celle de la ville de Pau, qu’il dirige depuis dix ans.

On sait qu’après sa nomination, et après sa prestation calamiteuse lors de la conférence de presse qui a suivi l’ouragan Chido à Mayotte, le Premier ministre s’est engouffré dans un Falcone de la République pour se rendre séance tenante… au conseil municipal de Pau. Une heure d’avion aux frais de l’État, c’est cher, dans une situation comme la nôtre, alors que le trajet entre Paris et Pau se fait en quatre heures. Et puis, à quoi bon emmerder les Français qui roulent au diesel quand on se claque un petit trajet vite fait, avec un gros avion qui pollue ? Passons.

Au conseil municipal, un élu lui a fait la remarque – de manière assez acide et mal élevée, mais avec un certain bon sens – de l’incongruité de sa présence. François Bayrou s’en est tiré avec une explication filandreuse : on lui aurait reproché de ne pas être resté connecté à la province s’il n’avait pas été présent. On lui objectera qu’Henri IV, son modèle, n’a plus jamais remis les pieds dans sa chère ville de Pau après son sacre, même s’il n’a cessé de donner des directives pour l’aménagement de son château et s’il s’est enquis de l’évolution des travaux. On imagine que cet effort lui a coûté, mais faire passer les intérêts du pays avant les considérations personnelles, fût-ce au prix de déchirements nostalgiques, c’est probablement ce que l’on appelle le sens de l’État.

Et maintenant, on apprend que la dette de la ville de Pau a presque été multipliée par deux depuis qu’il en a pris les rênes : de 60 à 110 millions d’euros, soit une dette de 1.440 euros par habitant. Ce n’est guère mieux pour la communauté de communes Pau Béarn Pyrénées, que François Bayrou préside également (on se souviendra qu’il est pour le cumul des mandats…), dont la dette est passée de 124,4, en 2017, à 187,5 millions d’euros, en 2023. Certes, comme pour le gras, il y a la bonne et la mauvaise dette : les collectivités s’endettent pour investir, pas pour payer les fonctionnaires, à la différence de l’État. Mais tout de même…

L’avenir proche du tout nouveau Premier ministre devrait consister, en priorité, à assainir les finances publiques. Évidemment, la tâche est herculéenne et on ne lui tiendra pas rigueur de ne pas tout régler en un an – ou moins… Bayrou n’est pas Javier Milei : il manie mieux la langue de bois que la tronçonneuse. Mais tout de même. Confier le gouvernement du pays à un homme qui, à l’échelle d’une paisible ville de province, a multiplié la dette publique par deux en dix ans, c’est un petit peu ironique. On sait que rien n’étouffe Emmanuel Macron, ni la honte, ni les scandales, ni la contradiction ou l’absurdité. Il s’en sortira toujours – croit-il – avec des éléments de langage dignes d’une « relation toxique ». Ce sera de la faute des Français. Pour la forme, on souhaite malgré tout bonne chance à François Bayrou. Et on lui conseillera, malgré son goût pour l’aviation (on est sur les terres des frères Wright, après tout), de s’installer dans un TGV, la prochaine fois qu’il aura envie de retourner sur ses terres.

Arnaud Florac, BV

. [RÉACTION] « Conseiller à quelqu’un de se calmer n’est pas une insulte »


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°° WEBTUBE : En attendant la formation du gouvernement de François Bayrou, BFM TV anime une nouvelle émission spéciale :l’Assemblée BFM. Dans ce format, des élus issus des différents partis politiques confrontent leurs idées dans des débats, parfois houleux. Ce mardi 17 décembre, le ton est monté entre Manon Aubry, eurodéputée (LFI), et Julien Odoul, député (RN) de l’Yonne, sur la question de la loi Immigration. Manon Aubry s’est écriée, à l’égard de son collègue : « Ça suffit ! » Et Julien Odoul de lui répondre : « Calmez-vous, prenez un verre d’eau ». La réponse n’est pas passée et Benjamin Duhamel a fini par interrompre l’échange, jugeant le comportement de Julien Odoul « inacceptable ». Pour BV, le député RN a accepté de revenir sur cette séquence médiatique haute en couleur.

Raphaëlle Claisse. Que révèle cette séquence médiatique au sujet de La France insoumise ? La réaction de Manon Aubry reflète-t-elle l’état d’esprit de LFI ?

Julien Odoul. Cette séquence est révélatrice et montre, finalement, la nature profonde et toutes les dimensions de La France insoumise qui a véritablement été, hier, La France indigne et La France intolérable. Nous avions une personne qui ne supporte pas la contradiction, qui ne supporte pas le débat, qui ne supporte pas le pluralisme et les oppositions, qui était en train de déblatérer des mensonges et des insultes vis-à-vis du parti aux onze millions d’électeurs : le Rassemblement national. Cette personne a totalement perdu ses nerfs avec ses cris, ses hurlements, ses yeux révulsés.

Je me faisais crier dessus et mes électeurs se faisaient insulter. Je me suis contenté de rectifier ce qu’elle était en train de dire, à savoir que le RN est raciste. Elle affirmait, en effet, que nous considérions que tous les étrangers devaient être mis au ban de la société, qu’ils étaient des délinquants en puissance, qu’un tri était organisé en fonction de la bonne couleur de peau, de la bonne religion, etc. J’ai donc rectifié ce mensonge éhonté. Puis je lui ai demandé de se calmer. Il me semble que conseiller à quelqu’un de se calmer et prendre un verre d’eau n’est ni une insulte ni une remarque outrageante ou un propos sexiste. D’ailleurs, je l’aurais dit à n’importe qui, dans la même situation.

Ensuite, il y a eu cette récupération, cette victimisation, pour faire passer la victime pour l’agresseur. C’est systématique, avec l’extrême gauche, qui utilise sans arrêt la victimisation et l’inversion de la charge. Que ce soit pour les policiers et les délinquants : c’est toujours le policier qui est dans son tort et qui est le barbare, l’agresseur, celui qui tue, etc. Ils le font aussi dans le cadre du conflit entre Israël et les terroristes du Hamas : Israël, qui pourtant se défend, devient l’agresseur, la puissance génocidaire, le monstre qui est pratiquement nazifié. Bref, ils le font en permanence.

R. C. Qu’avez-vous pensé de l’attitude de Benjamin Duhamel, le présentateur de ce débat ?

J. O. Cette attitude était lamentable. Je le lui ai dit. Je ne me suis pas laissé faire. Je lui ai répondu qu’il prenait parti. Il n’aurait pas dû réagir comme cela. Il n’aurait pas dû tomber dans le piège de LFI. Parce qu’encore une fois, il n’a rien dit quand Manon Aubry, plusieurs fois, s’est emportée et a eu cette attitude-là. Surtout qu’elle n’en est pas à son coup d’essai. Elle avait fait exactement la même chose au moment des élections européennes dans le cadre d’un débat. Elle emploie toujours les mêmes méthodes et vient, ensuite, se retrancher derrière son statut de femme, comme s’il y avait un totem d’immunité.

R. C. Antoine Léaument a réagi, sur X : « Julien Odoul est nul, vulgaire et machiste ». Que répondez-vous à ceux qui vous taxent de misogynie ?

J. O. Je n’ai même pas envie de répondre. Être taxé de misogynie par le parti d’Adrien Quatennens, c’est assez cocasse ! Leur ancien député a été obligé de démissionner parce qu’il était visé pour agression sexuelle. Citons Taha Bouhafs, également, qui était inquiété pour harcèlement sexuel… LFI regorge de misogynie. C’est même une cellule de misogynie. Quant à Antoine Léaument, le triptyque dont il m’insulte s’applique très bien à ses collègues : le nul serait peut-être Antoine Léaument ou Sébastien Delogu ; la vulgarité est, je pense, magnifiquement bien incarnée par Ersilia Soudais ; et puis le machisme par Adrien Quatennens ou par un autre…

. Suppression de C8 : contre la « censure », ils manifestent devant l’Arcom


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°° WEBTUBE : Ils disent non. À l’initiative des journalistes Michel Taube, directeur de publication d’Opinion internationale, de Radouan Kourak, journaliste à Entrevue et chroniqueur TPMP, et l’avocat Aurane Reihanian, une manifestation s’est tenue devant le siège de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) contre la suppression des ondes hertziennes de C8. Sur place, une petite centaine de personnes s’est rassemblée pour soutenir cette initiative et rencontrer leur idole : l’animateur star de la chaîne, Cyril Hanouna – qui s’est exprimée en exclusivité à notre micro. 

« Cette émission n’est pas de droite, elle est pluraliste »

À notre micro, Gilles Verdez, chroniqueur phare de Touche pas à mon poste !, dénonce une décision qui, selon lui, va à l’encontre des valeurs françaises : « Je suis là pour défendre la liberté d’expression, qui est une valeur sacro-sainte de la France. » Pour le chroniqueur, la décision de l’Arcom n’est ni plus ni moins qu’un bâillon : « On veut nous priver de cette liberté d’expression en faisant taire une chaîne, une émission et un animateur qui parle à des millions de Français dans un esprit de débat contradictoire. »

Journaliste aux idées de gauche très affirmées, Gilles Verdez est souvent sous le feu des critiques, provoquant de vives réactions à la fois en plateau, sur les réseaux sociaux et autour des machines à café. « J’ai des valeurs de gauche affirmées, mais jamais je n’ai eu ni consigne ni directive. On ne m’a jamais briefé en amont sur ce que je devais dire », affirme haut et fort l’ancien reporter du Parisien, qui ajoute : « Dans l’émission, les échanges contradictoires peuvent être vifs, mais à aucun moment je n’ai dû taire mes opinions. » Consterné, il reprend : « Cette émission n’est pas de droite, elle est pluraliste. » Celui qui nous assure être venu en « simple soutien » et par amitié pour Radouan Kourak, co-organisateur de l’événement, conclut : « La chaîne a déjà payé des amendes. La double peine n’existe plus, en France, c’est bon, on a déjà payé. »

« Cette décision n’est pas fondée »

Venu remercier les organisateurs et les personnes présentes, Cyril Hanouna a fait une apparition éclair mais remarquée. « Ce qui compte, pour moi, c’est le public qui nous place premier talk de France », commence l’animateur. Si l’avenir de C8 semble plus que jamais compromis, Cyril Hanouna l’assure : « On travaille sur d’autres solutions pour que vous continuiez à avoir votre émission tous les soirs. » Une promesse qui semble ravir la maigre assemblée, qui applaudit.

Nouvelle chaîne ? Diffusion par décodeur ? Plate-forme de streaming vidéo ? Nul ne sait comment l’émission TPMP perdurera. Pour le moment, une chose est sûre : cette décision met au chômage plusieurs centaines de personnes. « Je me demande au nom de quoi on met 400 personnes au chômage », s’interroge Gilles Verdez. Mais Cyril Hanouna promet de récupérer l’ensemble de ses équipes qui seront « privilégiées » pour continuer à travailler avec lui. « Mon objectif, c’est de faire travailler ceux qui contribuent au succès de mon émission. » Partant sous les acclamations d’une foule resserrée, Cyril Hanouna a fait passer un message, à notre micro, aux commissaires de l’Arcom : « Je veux leur dire que nous sommes tristes, à la fois pour les gens qui travaillent avec nous et pour le public. »


Julien Tellier
, BV