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°° WEBTUBE : Grâce aux mairies écologistes comme celle de Bordeaux, les habitants de cette belle ville peuvent apprécier la politique du tout transports en commun. Merci qui ? Merci les écolos dingos !
À Bordeaux, un homme qui refusait de descendre du tramway a été évacué de force par les contrôleurs. pic.twitter.com/MtwjL5Z2a5
— Cpasdeslol (@cpasdeslol_X) November 17, 2024
D.P.
. Trump et l’économie mondiale, qu’attendre pour nous Européens? Par Charles et Emmanuelle Gave
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°° WEBTUBE : L’Election de Trump et ses conséquences sur le dollars (et l’Euro) a été commentée sur l’Université de L’ Epargne avec deux émissions spéciales. * 04:46 Le vote populaire de Trump * 07:15 la réserve Fédérale * 10:11 L’allemagne ne va pas très bien. * 15:50 L’industrie en France. * 16:20 La Chine et les USA * 20:38 L’envol de qualité de la Chine. * 28:00 L’isolationnisme des USA
. Colère des agriculteurs : panneaux, feux, radars et le soutien de l’opinion !
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°° WEBTUBE : Que dire d’un pays, d’un État qui voit se multiplier, se réitérer des révoltes des mêmes groupes sociaux, année après année ? Il y a moins d’un an, les agriculteurs lançaient un mouvement historique de blocage d’autoroutes et de montée à Paris, avec un soutien massif du reste de la population. Dix mois plus tard, malgré le cou de com’ « botte de paille » d’Attal, les agriculteurs sont plongés dans le même désarroi, soumis aux mêmes tracasseries, aux mêmes concurrences, aux mêmes trésoreries exsangues. Il faut dire que les politiques et les agriculteurs n’ont pas le même rapport au temps : ils ne peuvent pas, eux, contrairement à la République d’Emmanuel Macron, se payer le luxe d’une trêve estivale, d’un arrêt du fonctionnement de l’État pour cause de dissolution et d’absence de majorité. Il n’y a qu’une récolte, et ce qui est perdu ne se retrouve pas.
Si, en janvier dernier, le soutien de l’opinion a été acquis aux agriculteurs comme jamais par le passé, ils le doivent à plusieurs raisons de fond. D’abord, la prise de conscience, confuse mais bien réelle, que l’agriculteur est en charge de l’essentiel, matériel et immatériel : la nourriture évidemment, mais aussi la nature, les paysages, le pays, dans sa beauté, son identité et son passé. Le vieux slogan « pas de pays sans paysan » n’a jamais sonné aussi juste. Et cette popularité inattendue s’est paradoxalement manifestée au moment où l’agriculteur se fait rare, même dans les zones rurales : dans ce village des Pyrénées, il n’y a plus qu’une seule agricultrice. La dernière. La France a soudain touché du doigt l’angoisse de la disparition.
Ensuite, la population s’est retrouvée immédiatement solidaire de ces révoltés qui, par bien des côtés, prolongeaient l’action des gilets jaunes à ses débuts : même France périphérique, mêmes fins de mois difficiles, même exaspération devant des contrôles et des contraintes sans fin, même attention extrême au coût des carburants, de l’énergie, indispensables pour faire tourner une exploitation. Même sentiment d’abandon et de colère vis-à-vis d’élites politiques et médiatiques qui ne jurent que par la mondialisation (ce traité Mercosur qui les menace), l’écologie punitive et taxatrice, la valorisation de minorités woke et de l’immigration. Or, les agriculteurs sont devenus, en quarante ans, une minorité, et une minorité en proie à une souffrance extrême qu’attestent l’isolement, le célibat, le taux de suicide : « un risque de mortalité par suicide supérieur de 43,2 % à celui des assurés tous régimes », selon les chiffres de la MSA (Mutualité sociale agricole). Une souffrance invisibilisée.
Conscients de l’atout que représente ce soutien de la population, les agriculteurs, à partir de ce lundi, vont lancer dans tous les départements des opérations nouvelles, intelligentes, destinées à renforcer cette communauté de destin avec la population. Les panneaux retournés, les « feux de détresse » sur des ronds-points, comme dans l’Aveyron, mais aussi les radars « végétalisés » comme dans l’Eure ou couverts de pneus comme dans l’Oise. Nul doute que les automobilistes, eux-mêmes ulcérés par cet impôt exorbitant que constituent les milliards d’euros ramassés pour un dépassement de 5 km/h, se montreront solidaires de ces actions. C’est donc une nouvelle révolte qui commence, ce lundi : six ans après les gilets jaunes, moins d’un an après un premier round des agriculteurs, le pouvoir devrait la prendre très au sérieux.
Frédéric Sirgant, BV
. Préparez-vous à une élection présidentielle imminente
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°° WEBTUBE : Selon Philippot, parfaitement renseigné, le feuilleton du budget 2025 va se terminer par une démission de Macron. Du Machiavel pur jus. On ne se dirige donc pas vers de nouvelles élections législatives, mais vers une élection présidentielle anticipée. A suivre …
Le scénario serait le suivant :
– pas d’accord possible sur le budget 2025
– passage en force avec le 49-3
– vote d’une motion de censure dans la foulée
– démission du gouvernement Barnier
– retour à la case départ, sans aucune solution de rechange
– démission de Macron pour remettre les compteurs à zéro
Philippot est catégorique. Cette information, provenant de sources différentes, est parfaitement fiable.
Visionnez cette courte vidéo :
Faut-il y voir un lien avec la potentielle mise à l’écart de Marine Le Pen ? Qui sait ?
Mais cela nous ramène à l’hypothèse évoquée il y a peu chez RL.
En cas de démission avant la fin de son second mandat, Macron serait en droit de se représenter une troisième fois, conformément à l’avis rendu par le Conseil d’État, à propos de la Polynésie.
J’ai déjà évoqué le cas de la Polynésie et la réponse du Conseil d’État, saisi à l’époque par Élisabeth Borne.
Pour les sages de cette haute juridiction, la limitation à deux mandats consécutifs s’entend pour deux mandats complets. C’est ainsi que le président de Polynésie a pu se représenter pour un troisième mandat, car il n’avait pas mené son second mandat à terme.
L’hypothèse d’une démission de Macron n’a rien d’étonnant, compte tenu du bourbier institutionnel dans lequel il a mis le pays avec sa dissolution kamikaze.
Mais veut-il user de cette stratégie pour se représenter ? Là est la question.
Sa popularité est au plus bas, mais la peur du chaos consécutif à sa démission peut le servir. On a déjà vu des retournements de l’opinion plus spectaculaires.
De plus, si Marine est écartée par une inéligibilité à effet immédiat, Macron peut espérer un deuxième tour face à Mélenchon. Sa réélection serait alors assurée.
Mais ne faisons pas de politique fiction, trop d’inconnues demeurent.
En attendant, préparez-vous à des turbulences politiques majeures.
Adepte des coups fourrés les plus inattendus, Macron va encore nous sortir un lapin de son chapeau pour déstabiliser l’establishment. Il y a fort à parier que ce scénario mûrit depuis longtemps dans son esprit. Il n’est pas homme à végéter et à faire de la figuration jusqu’en 2027, loin des projecteurs.
On sait qu’il adore lancer des grenades dégoupillées dans les allées du pouvoir et qu’il se veut sans cesse au-dessus de la mêlée. À suivre.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
. La démission surprise envisagée de Macron est-elle une piste sérieuse ?
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°° WEBTUBE : L’actualité a ceci de passionnant qu’on a l’impression de participer à une histoire sans fin, parfois passionnante, souvent dramatique et quelquefois agréablement surprenante. Bien sûr, la semaine qui vient de s’écouler est marquée par les suites de la victoire du formidable Donald Trump, et par le séisme mondial qu’elle constitue. Tout le monde a hâte d’arriver au plus vite au 20 janvier et de voir à l’œuvre l’équipe de combat montée par le candidat républicain, avec Elon Musk et Robert Kennedy notamment. Pour notre petit monde, nous retiendrons, hélas, la disparition de notre ami René Marchand, et espérons avoir été à la hauteur de ce grand Monsieur pour lui rendre les hommages qu’il méritait. Mais les choses passent vite, et à présent, il faut se concentrer sur cette incroyable rumeur, rendue publique par Florian Philippot, qui évoque une possible démission surprise de Macron, et nous révèle que tous les états-majors politiques travaillent sur cette hypothèse.
Nous apprécions beaucoup les qualités de Florian Philippot, sa lutte constante contre l’Union européenne, les manifestations qu’il a organisées, bien seul, contre la dictature sanitaire, celles qu’il a impulsées contre la guerre faite à la Russie, son amour de la France et de sa souveraineté, mais nous savons aussi que parfois, il s’enflamme très vite et a tendance à prendre ses désirs pour la réalité. Reste que, au-delà du fol espoir que cette rumeur peut susciter chez de nombreux Français, il faut en toute humilité analyser si elle est crédible… ou pas.
L’humilité s’impose, car nous sommes dirigés par un homme imprévisible, qui se croit en représentation permanente et considère sa petite personne plus importante que l’intérêt de la France. Personne n’aurait misé un kopeck, au soir de l’élection européenne, sur une dissolution de l’Assemblée nationale. Et pourtant, imitant Chirac en 2017, il l’a fait, espérant sans doute retrouver une majorité absolue qu’il a perdue depuis 2022. On connaît le résultat, un raz-de-marée du Rassemblement national au premier tour, et une alliance de mondialistes immigrationnistes Macron-Mélenchon – pour faire simple – au deuxième tour, pour empêcher Bardella d’aller à Matignon, ce qui lui semblait promis. Bien sûr, depuis, la gauche essaie de se refaire une santé en voulant jouer le rôle de l’opposition radicale au nouveau gouvernement mais les Français ont de la mémoire et n’oublieront pas cette alliance qui a sauvé Macron.
Mais même si Mélenchon a sauvé Macron, la situation demeure la même et aujourd’hui, c’est le RN qui a les clés en main. Marine Le Pen a su jouer de sa position pour s’opposer bien sûr à la nomination d’un Premier ministre de gauche de type Cazeneuve, de faux homme de droite de type Xavier Bertrand, et a accepté de donner une chance à Michel Barnier que la gauche, pour se refaire une santé, a voulu censurer immédiatement. Nous avons alors assisté à une mascarade parlementaire de plusieurs semaines pour trouver 60 milliards à économiser. Et comme on arrive dans une impasse, entre la gauche qui veut toujours plus de taxes, qu’elle appelle des recettes nouvelles, et Barnier, qui se refuse à prendre les mesures nécessaires, on se dirige vers un 49-3 porteur de tous les dangers. Si Barnier était mis en minorité, Macron pourrait-il survivre et désigner un nouveau Premier ministre, ou bien cela serait-il pour lui le coup de grâce ?
Par un curieux clin d’œil du destin, c’est Marine Le Pen, que les juges de Macron veulent rendre inéligible, qui a entre les mains l’avenir de Barnier, et donc celui de Macron. Mais alors que Trump se prépare à imposer la paix en Ukraine, on sait Macron, dont la mission est de détruire la France, capable de jouer les Néron par tous les moyens, y compris en instrumentalisant une provocation montée contre la Russie pour imposer des mesures d’exception aux Français, comme il a su le faire pendant la fausse pandémie autour du Covid, pendant 3 ans.
Mais si, acculé, le tyran devait malgré tout démissionner, ce serait une formidable nouvelle pour les Français, qui auraient à ce moment leur sort entre les mains, quand Donald Trump est à la tête des États-Unis. Continuer avec un Macron bis de type Édouard Philippe, envoyer Marine Le Pen – pendant que c’est encore possible – à l’Élysée, ou bien livrer la France aux musulmans en y installant Rachid Mélenchon ?
Quand on vous dit que la vie politique et l’actualité sont passionnantes, même si elles peuvent être effrayantes…
Riposte Laïque