. Victoire de Trump : la gueule de bois des gros médias français


Articles    : Nov 2024Oct 2024Sept 2024Aout 2024 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews Music 24/24 : http://DJMUSIC.fr

°° WEBTUBE : Parallèlement à l’éclatante victoire de Donald Trump, il convient de souligner la belle performance des gros médias français durant toute la campagne : pas un seul qui ait publié le moindre article favorable au candidat républicain. Tous, sans exception, avaient les yeux de Chimène pour la candidate démocrate, comme ils les ont eus pour Biden ou Obama en leur temps.

Avant que Harris ne reçoive en catastrophe l’investiture du parti à l’âne en août dernier, quiconque émettait le moindre doute sur les capacités cognitives de Joe Biden était ipso facto cataloguer de complotiste. Est arrivé le calamiteux face-à-face de Senility Joe avec le flamboyant Donald qui n’en a fait qu’une bouchée. Lesdits gros médias ont fini par admettre que le président n’avait plus toute sa tête, mais ils continuaient à parler de ses « gaffes », alors qu’il s’agissait évidemment de bien autre chose. Quand en 2020, le président présente l’une de ses petites-filles comme son propre fils, Beau Biden, mort cinq ans plus tôt, peut-on décemment parler de « gaffe » ?

Et sur Harris, gare à vous si vous rappeliez comme Éric Zemmour qu’elle avait été totalement absente pendant ses quatre années de vice-présidence. Pas la moindre interview donnée à un journaliste de la presse nationale ni même la moindre exposition de chrysanthèmes. Et il ne fallait pas vous aviser à dire qu’elle n’a pas fait le poids face à ce vieux retors de Trump lors de leur débat : conspirationniste…

Sitôt actée l’élection de Donald Trump, France Info a pondu un article plein de fiel sur le 47e président, rappelant ses démêlés avec les juges du pays, un article sobrement titré « Le républicain est-il débarrassé de ses affaires judiciaires ? » – on notera la forme interrogative – et perfidement illustré par la photo d’identité judiciaire de Donald Trump, prise à la prison du comté de Fulton en Georgie, le 24 août 2023 :

Le journaliste du service « public » constate que « l’étau des procédures pénales autour du milliardaire s’était spectaculairement relâché ces derniers mois. Ses ennuis avec la justice ne l’ont pas empêché d’être de nouveau élu président des Etats-Unis ». Vous avez dit complotisme ?

Pire que ça : « Donald Trump se retrouve désormais à l’abri des poursuites judiciaires dont il fait l’objet car il peut se gracier lui-même. Tous ses procès vont être effacés du calendrier politique ». C’est vraiment pô juste… Avec ce début d’aveu : « On peut se demander si ses multiples procès n’ont pas contribué à augmenter la popularité de Donald TrumpCar il est apparu comme une sorte de victime de la volonté des démocrates d’abaisser le principal rival de leur candidate. »

Pas le moindre mot sur la double tentative d’assassinat essuyée par le candidat républicain. Donald Trump est apparu à beaucoup d’Américains comme l’homme de la Providence :

Il faut dire que les antitrumpistes rabiques ont bien cru que les démêlés de leur bête noire avec les juges du pays allaient finir par en avoir raison. Le palmarès de « The » Donald est en l’espèce impressionnant puisque il a été visé par pas moins de 88 chefs d’accusation. Qui ont fait pschitt, pour quasiment tous. On comparera cet acharnement avec la mansuétude dont les juges font preuve à l’égard de Biden au sujet des affaires auxquelles le 46e président est mêlé avec son fils Hunter dans le cadre des liens commerciaux que ce dernier a entretenu – et entretient toujours – avec l’Ukraine et la Chine.

Un ultime obstacle l’attend néanmoins le 26 novembre à New York avant son retour officiel à la Maison-Blanche le 20 janvier : le prononcé de sa peine dans le seul des quatre procès au pénal que ses avocats n’ont pas réussi à retarder au-delà de 2024. Reconnu coupable le 30 mai par la justice de l’Etat de New York de « falsification comptable aggravée pour dissimuler un complot visant à pervertir l’élection de 2016 », il encourt en théorie jusqu’à quatre ans de prison. Cette affaire concerne le paiement de 130 000 dollars, maquillé en frais juridiques – accusent les juges – à l’ex-star de films pornographiques Stormy Daniels, pour taire une relation sexuelle en 2006, ce que Donald Trump dément. Il est peu probable que le magistrat opte pour de la prison ferme. Non seulement parce qu’il s’agirait de la première condamnation pénale pour Donald Trump, mais surtout parce que l’incarcération d’un président en exercice soulèverait des difficultés pratiques insurmontables…

Concernant les deux procédures fédérales qui visent Donald Trump (dans le cadre de l’assaut du Capitole en janvier 2021 et pour les documents classifiés emportés dans sa résidence floridienne après son premier mandat), il est probable qu’elles vont être enterrées dès son arrivée au pouvoir le 20 janvier. Donald Trump va ordonner à son ministre de la Justice de limoger le procureur spécial chargé de ces dossiers et il n’y aura plus de crédits alloués pour ces enquêtes. « Je le virerai en deux secondes », a lancé Trump lors d’une interview au cours de la campagne. La juge du dossier a d’ailleurs pris acte de l’impossibilité de fixer une nouvelle date pour la tenue d’un procès.

Dans le second dossier, en Floride, la juge a annulé la procédure le 15 juillet au motif que la nomination du procureur spécial était illégale. Elle suivait en cela l’avis des avocats de Donald Trump, qui avaient mis en lumière que le cabinet du juge était en partie financé par le département de la Justice et que la nomination de ce juge contrevenait donc à la législation. Cette décision fait actuellement l’objet d’un appel. Des juristes font valoir que ces procédures fédérales ne peuvent toutefois pas être annulées puisqu’elles ont été engagées avant le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche. Trump ne pourrait être jugé qu’après avoir quitté le pouvoir, en 2028.

Restent les poursuites dans l’Etat-clé de Géorgie, où Donald Trump est poursuivi avec 14 autres personnes pour des faits similaires à ceux de son dossier fédéral à Washington, à savoir des tentatives d’inverser les résultats de l’élection de 2020. L’enquête a été déclenchée par un appel téléphonique en janvier 2021 du président sortant, demandant à un haut responsable de Géorgie de « trouver » les quelque 12 000 bulletins de vote à son nom qui lui manquaient pour remporter cet Etat-clé.

Inculpé, Donald Trump avait été contraint de se présenter dans une prison d’Atlanta pour une prise de photo d’identité judiciaire, une première humiliante pour un ancien président américain. Mais l’avancée des poursuites a subi un gros coup de frein quand la presse a dévoilé que la procureure de Géorgie entretenait une relation intime avec un des enquêteurs. A la demande de dessaisissement déposée par les avocats de Donald Trump se sont ajoutées les conséquences de la décision favorable de la Cour suprême sur l’immunité présidentielle. Résultat : l’ouverture du procès, un temps envisagée pour le 5 août 2024, a été repoussée sans nouvel agenda.

En 2020, le républicain avait accusé les démocrates de lui avoir volé l’élection, ce qui avait mené des milliers de ses partisans à prendre d’assaut le Capitole. Des faits troublants – des images montrent les policiers, curieusement en sous-effectifs patents alors qu’une manifestation des partisans de Trump était attendue à Washington, laisser entrer les manifestants sans autre forme de procès – laissent penser à une instrumentalisation de l’Etat profond. Lors de la campagne qui vient de s’achever, Donald Trump et ses alliés – dont Elon Musk – ont une nouvelle fois accusé les démocrates de tricherie. Les Américains sont 58% à partager l’avis du nouveau locataire de la Maison-Blanche. 86% des électeurs républicains ont déclaré redouter des fraudes massives, contre « seulement » 33% de démocrates.

« Il y a beaucoup de rumeurs sur des fraudes massives à Philadelphie« , a écrit Donald Trump ce mardi 5 novembre, alors que les élections battaient leur plein, à propos de ce bastion démocrate de l’État de Pennsylvanie.

Il n’y a pas que sur ses affaires personnelles que Trump a été harcelé par les juges. Sur ses décisions politiques, le 45e président a dû également faire face à la vindicte de l’establishment judiciaire :

Espérons que Trump fera ressortir des oubliettes les dossiers enterrés par les juges sur les fraudes de 2020. Nos bons médias nient la réalité de ces fraudes massives et qualifient ceux qui en font état de complotistes. La vérité, c’est que l’Amérique est malade de la fraude électorale. Hans Anatol von Spakovsky, avocat américain et ancien membre de la Commission électorale fédérale, directeur de l’initiative de réforme de la loi électorale de la Heritage Foundation et juriste principal au Meese Center for Legal and Judicial Studies de la Heritage Foundation, milite avec beaucoup d’autres juristes pour une réforme en profondeur du droit électoral et pour le renforcement de la sécurité. Il constatait en 2012 : « La fraude électorale, qu’il s’agisse d’inscriptions frauduleuses sur les listes électorales, de bulletins de vote par correspondance illégaux, d’achats de voix, de recomptes douteux ou de bourrage des urnes à l’ancienne, peut être constatée dans toutes les régions des États-Unis. » En 2021, Spakovsky publiait une liste de mesures à mettre d’urgence en œuvre, pour contrer les fraudes électorales :

– tenir à jour des listes électorales exactes ;
– exiger une pièce d’identité avec photo pour voter en personne ou par correspondance ;
– permettre aux observateurs électoraux d’avoir accès au dépouillement des bulletins, sans restriction ;
– interdire le dépouillement des bulletins de vote anticipé avant le jour du scrutin ;
– interdire que les machines à voter électroniques soient connectées à Internet et qu’elles soit dotées d’un modem ;
– empêcher les responsables électoraux et les élus de l’exécutif de modifier les lois électorales juste avant un scrutin ;
– interdire aux responsables électoraux de recevoir des fonds privés pour financer l’organisation d’une élection.

Parmi les dossiers emportés par Trump dans sa résidence privée de Mar a Lago, pourraient se trouver quelques croquignolettes archives sur notre cher président Macron et son « épouse » Brigitte. Là aussi, espérons que la vérité éclate. « Manu » a semble-t-il pris ses précautions en adressant ses « félicitations » au « président Donald Trump » avant même que son élection soit officielle. Le président français s’est dit prêt à travailler avec le républicain. « Avec vos convictions et avec les miennes. Avec respect et ambition. Pour plus de paix et de prospérité », a écrit le président français sur le réseau social X à l’endroit du candidat républicain, en français et en anglais…

Merci, cher Donald, pour cette magnifique victoire – quels que soient vos défauts, que l’on ne peut nier… – et ce suspens hors du commun. Merci pour toutes les pépites que vous voudrez bien publier sur les coups tordus de l’Etat profond américain et ses laquais européens.

Henri Dubost, Riposte Laïque

. On lui promettait la prison et c’est un retour triomphal à la Maison-Blanche


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°° WEBTUBE : Trump devient donc le 47e président des États-Unis, après un come back retentissant, qui va faire avaler leur chapeau aux mondialistes, Macron en tête. Cette éclatante victoire sonne comme l’heure de la revanche. Car s’il n’y a pas eu de fraude massive cette fois-ci, cela n’exonère aucunement le camp démocrate de ses honteuses magouilles de 2020, toutes enterrées par le Système aux ordres de Biden. Nous saurons vite si Trump règle ses comptes ou décide de jouer la carte du rassemblement du peuple américain.

La grande leçon à retenir de ce scrutin historique est que le peuple a toujours le dernier mot et qu’on ne lui ment pas impunément.

Car les médias ont odieusement menti et affiché une bienveillance – et même une complicité – éhontée envers Kamala Harris, que le peuple, loin d’être dupe, a sanctionnée de la façon la plus magistrale qui soit.

Les sondeurs ont également trompé l’électorat, pénalisant systématiquement le score de Trump pour donner sa chance à Kamala Harris, totalement discréditée par son incompétence sur la plupart des dossiers. Son sourire forcé a vite pris des allures de rictus figé, plutôt pénible.

Le scrutin soi-disant très serré devrait en réalité se terminer par une victoire écrasante de Donald Trump, avec au bas mot 300 grands électeurs à son actif, largement au-dessus des 270 requis.

À l’heure où j’écris cet article, à 13 heures, heure française, et 7 heures sur la côte Est, nous en sommes à 277 grands électeurs pour Trump et 224 pour Kamala Harris, avec un écart de 5 millions de voix.

Celui qu’on taxait de fascisme, le diable personnifié, est en passe de réaliser un grand chelem mémorable, en raflant la totalité des enjeux. Il pourrait même gagner tous les États clés. Du jamais vu.

– Il est majoritaire en nombre de grands électeurs ;

– Il est majoritaire en nombre de voix au niveau national ;

– Le Sénat devient républicain ;

– La Chambre des représentants également ;

– La Cour suprême est républicaine ;

– Les gouverneurs sont majoritairement républicains.

Trump aura donc tous les atouts en mains pour sauver son pays de la dictature mondialiste, des guerres sans fin, une spécialité démocrate, de l’invasion migratoire, du wokisme, des délires LGBT, de l’écologie punitive imposée par les ayatollahs du climat, de l’insécurité exponentielle.

Mais sa principale tâche sera de détruire cet État profond qui veut asservir les peuples et leur imposer sa vision multiculturelle du monde de demain, en liquidant les nations et en balayant leur héritage culturel, leur identité et leur propre histoire.

Trump va, je l’espère, mettre un terme à cette guerre fratricide entre Moscou et Kiev, en apportant les garanties de sécurité pour toute l’Europe, que Poutine réclame depuis vingt ans, en pure perte.

Il va, je l’espère, ramener la paix au Moyen-Orient, en protégeant Israël contre les mouvements terroristes du Hamas et du Hezbollah, dont l’unique obsession est de rayer l’État hébreu de la carte.

Il va, je l’espère, calmer le jeu entre Israël et l’Iran, la guerre étant toujours la pire des solutions pour régler les différends entre deux États.

Quant à l’Europe, devenue une véritable colonie américaine aux ordres de Biden, elle va devoir s’assumer seule pour relever les défis de ce monde en ébullition.

Divisée comme jamais, bien que se disant rassemblée sous la bannière de l’UE, elle part en ordre dispersé face à Trump, que ce soit sur le plan sécuritaire ou économique. Cet attelage bancal européen n’est qu’une vague union de pays ne partageant rien en commun et n’ayant pas les mêmes intérêts, ni la même vision de l’avenir. L’UE n’est qu’une grande illusion, ruineuse et inefficace.

La France, avec un Macron empêtré dans sa dissolution kamikaze, un Macron que Trump méprise au plus haut point, part avec un lourd handicap.

La conclusion de tout cela est que le peuple américain a gagné contre les mensonges des élites et contre les médias de gauche. Il ne s’est pas laissé abuser par la campagne de diabolisation du milliardaire, traité de dictateur et accusé de tous les maux, y compris des viols présumés vieux de trente ans. 

Oubliées les accusations de coup d’État et les violences du Capitole en 2021, oubliés les dérapages verbaux du milliardaire au cours de ses meetings.

Trump, c’est l’idole des républicains, insubmersible et ayant échappé à deux attentats. Un champion de 78 ans, capable de faire trois meetings par jour avec des discours de plusieurs heures chacun. Son énergie laisse pantois.

Pour l’Amérique profonde, celle du peuple qui se lève tôt et a fait l’Amérique, bien loin des nantis de la côte Est ou de la côte Ouest, Trump reste un patriote sincère, amoureux de son peuple et fier de son pays.

On comprend donc l’impossible entente entre un Trump et un Macron, lequel n’a cessé d’insulter son peuple et de traîner la France dans la boue.

Quand Trump dit que Macron est « stupide » et que « tout ce qu’il touche se transforme en m… », il dit tout haut ce que bien des dirigeants occidentaux pensent tout bas. Macron, impulsif, incompétent et immature, n’est pas fait pour être Président. Seul un vrai patriote, sage et responsable, peut redresser la France.

En attendant, souhaitons à Trump et à son camp la victoire la plus éclatante possible après ces quatre années de persécution judiciaire et de diabolisation outrancière. Ce retour fracassant dans le bureau ovale n’est que justice.

Le peuple finit toujours par avoir raison, tôt ou tard.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Gare de Vénissieux : des OQTF agressent des passants à la machette


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°° WEBTUBE : Depuis 43 ans déjà, les maghrébins venus en France enrichissent Vénissieux. Par contre à l’époque, ils parlaient encore en français… Archive !

Actu Lyon :

Les faits auraient pu être bien plus graves. Ce dimanche 3 novembre, vers 21h, deux hommes ivres ont agressé un premier passant à la gare de Vénissieux, à côté de Lyon.

Après lui avoir dérobé son téléphone puis jeté une bouteille en verre dessus, ils s’en sont pris à une deuxième personne en répétant la même scène.

La victime, qui a pu récupérer son bien, a ensuite été poursuivie par les deux individus. L’un d’eux a même brandi une machette dans sa direction.

La machette, le Laguiole des Fronssais

La police, appelée sur place par la première personne agressée et en fuite, a pu rapidement interpeller les deux individus, notamment désignés par « la clameur publique » comme le mentionne la DIPN 69 (Direction interdépartementale de la police nationale) dans son communiqué.

Mais leur arrestation ne s’est pas faite sans mal puisque le deuxième suspect, armé de la machette, a d’abord refusé d’obtempérer.

Placés en cellule de dégrisement puis en garde à vue, les deux hommes ont nié les faits et se sont déclarés mineurs. Ils étaient en fait âgés de 23 et 25 ans et en situation irrégulière sur le territoire français. La préfecture du Rhône leur a ainsi délivré des OQTF.

Ils ont été présentés au parquet de Lyon ce 6 novembre pour une comparution immédiate.

D.P.

. Hôpitaux, EHPAD, domicile… : ces sanctuaires devenus des lieux d’agressions


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°° WEBTUBE : Deux tribunaux, l’un à Paris, l’autre à Toulouse, et pourtant un même fait divers tragique. Ce 4 novembre, la cour criminelle départementale de Paris jugeait Faïd A., un présumé Jordanien sans-papiers, visé par trois OQTF et bien connu des services de police. Il est accusé d’avoir violé, en octobre 2022, une patiente inconsciente alitée dans un box des urgences de l’hôpital Cochin. Deux ans après les faits, douze ans de réclusion et une interdiction du territoire français ont été requis par le ministère public à son encontre. Le même jour, à 700 kilomètres de là, un homme devait également comparaitre devant la cour criminelle de Haute-Garonne pour le viol, en février 2022, d’une patiente, placée en unité psychiatrique de l’hôpital Marchand de Toulouse. L’audience a finalement été renvoyée à une date ultérieure. Dans ces deux affaires, deux femmes vulnérables qui pensaient se trouver en sécurité à l’hôpital, un établissement public, lieu de soins et refuge fréquenté par des médecins, y ont été violemment agressées. Et leur cas sont loin d’être anecdotiques.

« On se dit qu’elle est en sécurité… »

Une rapide revue de presse démontre ainsi que la rubrique « Faits divers » de la presse locale regorge d’agressions sexuelles commises dans des établissements hospitaliers. Dans la nuit du 10 au 11 février 2024, deux agressions sexuelles ont été signalées dans l’enceinte du CHU de Toulouse. Une patiente, sortie fumer sur le parvis de l’hôpital, aurait ainsi été abordée par un marginal qui cherchait les toilettes. Alors qu’elle lui indiquait l’endroit, l’homme en aurait profité pour l’agresser et la violer. Arrêté, l’individu, décrit comme un homme sans domicile fixe et marginal, a été écroué. Le même soir, une jeune femme admise au service des urgences explique avoir, quant à elle, été agressée sexuellement par un autre patient. La mère de la première victime, qui sous le choc de l’agression a tenté de se suicider, s’indigne auprès de nos confrères de la presse locale : « On se dit : cette nuit elle est à l’hôpital, elle est en sécurité, on peut dormir, tout ira bien et c’est vrai que quand elle m’appelle et qu’elle me dit qu’il s’est passé ça, je lui ai dit “mais c’est pas possible tu es à l’hôpital, comment tu peux te faire violer à l’hôpital !” c’est horrible ». Deux ans plus tôt, à l’hôpital de Nanterre, une septuagénaire et une sexagénaire étaient violées dans leur chambre par un homme de nationalité congolaise, sans domicile fixe. En octobre 2023, une femme de 93 ans décédait après avoir été présumément violée dans sa chambre d’hôpital à Argenteuil. L’auteur présumé de l’agression : Samir B., déjà connu des services de police, et susceptible d’avoir violé quelques instants plus tôt une autre patiente du service de gériatrie.

Les personnes vulnérables, une cible privilégiée 

Il en va de même dans de nombreux EHPAD ou foyers pour personnes âgées. Un soir d’août 2021, Madjid G., veilleur de nuit dans une résidence pour personnes âgées de Seine-et-Marne, aurait ainsi violé à deux reprises l’une des pensionnaires, âgée au moment des faits de 83 ans. Une agression sordide qui rappelle celle subie par Chantal Kempf, 70 ans, retrouvée gisant dans une marre de sang dans sa salle de bain, au sein d’une résidence pour seniors. Trois individus avaient alors été interpellés par les forces de l’ordre : des Algériens, sans domicile fixe, « dont deux se faisant passer pour des mineurs isolés et présentant plusieurs identités », précise L’Alsace.

A cela s’ajoutent les agressions au domicile des victimes. Le 11 novembre 2023, Claire, insouciante, rentre chez elle après quelques courses. Elle sera violée dans le hall de son immeuble, lieu où elle pensait pourtant être le plus en sécurité, par un individu, récidiviste, visé par une obligation de quitter le territoire français. Et comment ne pas citer Berthe, 91 ans, « massacrée » et vraisemblablement agressée sexuellement à son domicile, par un Pakistanais sous le coup d’une OQTF. Mais les féministes ne se bousculent pas pour dénoncer ces agressions dans ces lieux qui étaient, il y a encore quelques années, des refuges et des sanctuaires pour les femmes.

Clémence de Longraye, Boulevard Voltaire

. Les narcotrafiquants marseillais sont multipropriétaires à Dubaï… Normal !


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°° WEBTUBE : Le trafic de drogue fait, en ce moment plus que jamais, la Une de l’actualité. La France ouvre les yeux sur l’ampleur de ce commerce illégal et sur ses conséquences sur la société. Les réseaux sont tentaculaires, organisés comme des entreprises et génèrent des sommes folles. Les gros bonnets du narcotrafic sont multimillionnaires, si ce n’est pas plus. A Marseille, haut lieu du deal, sans doute encore plus qu’ailleurs. Problème (si l’on peut dire) : ces euros gagnés grâce aux stupéfiants sont de l’argent sale. Après avoir vendu leur marchandise, les dealers doivent donc blanchir son produit. Dans une grande enquête, Le Monde révèle que cette opération se fait notamment à Dubaï, via des achats immobiliers.

De la poudre à la pierre

Plusieurs caïds de la cité des Oliviers (13e), auraient acheté des appartements dans les tours Act One et Act Two de la ville des Emirats arabes unis. Non pas un petit pied-à-terre par-ci, par-là ou un appartement pour un vague cousin, les narcotrafiquants se sont offerts quarante-cinq biens. L’une des têtes de réseau en aurait acquis vingt-cinq, soit pour plus de 15 millions d’euros, au cours de la même année, en 2021. Il possèderait un étage entier, le quarante et unième de la tour Act Two. Un autre serait propriétaire de douze biens achetés pour un montant total de 7 millions. Lui aussi aurait acquis ces biens en 2021.

Ces appartements sont ensuite pour certains revendus, ce qui permet de blanchir de l’argent, ou louer sur des plateformes de location courte durée pour générer des revenus supplémentaires. Dans tous les cas, comme par enchantement, l’argent gagné illégalement devient de l’argent propre.

À ce sujet — À Marseille, les dealers délogent les honnêtes citoyens… Normal !

Du trou à la tour

Si la façon dont cet argent sort de Dubaï semble évidente, c’est la manière dont il entre aux Emirats arabes unis qui pose question. En petite coupure, en crypto monnaie, via des sociétés écrans, des banques peu scrupuleuses ? Toutes les pistes sont étudiées par l’Ofast (Office anti-stupéfiants), chargé de l’enquête, qui se confronte à un manque de coopération criant des autorités locales. Les narcotrafiquants ne choisissent pas leurs destinations par hasard. Ils savent que dans le golfe Persique, les services judiciaires français auront plus de mal à remonter jusqu’à eux.

Le plus étonnant dans cette affaire n’est pas que les dealers blanchissent leur argent ou qu’ils soient multipropriétaires à l’étranger. Le plus surprenant, c’est qu’ils font ces opérations depuis leurs cellules. Ils signent des baux de location pour leurs appartements dubaïotes alors qu’ils sont incarcérés en France. Preuve que la prison ne remplit plus sa mission. Pierre-Marie Sève, directeur de l’Institut pour la justice, le confirme à BV : « Normalement, la prison a pour but de neutraliser les délinquants. En principe, quelqu’un qui est en prison ne peut plus commettre de crime et de délit. »

Il ajoute : « L’intérêt de la prison est d’isoler socialement partiellement le détenu. » Pourtant, en France, un condamné peut « jouir de ses droits civils et politiques » comme indiqué dans le code de la procédure pénale. Chose qui « interpelle » Pierre-Marie Sève : « A partir du moment où on peut faire des procurations pour acheter des biens et les gérer, quelle est la différence entre le fait d’être dedans ou dehors ? » La question mérite, en effet, d’être posée.

Pour lui, « la seule façon de s’en sortir », de venir à bout de la délinquance, est de faire en sorte que « la prison ne soit pas un espace agréable pour les délinquants ». Dans les prisons françaises où les condamnés disposent de téléphones portables, font des sorties culturelles, organisent des grands jeux et ont moultes permissions, nous en sommes encore très loin.

Sarah-Louise Guille, Boulevard Voltaire

. Israël, Ukraine… Trump veut concilier apaisement et intérêts américains


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°° WEBTUBE : Interrogé par BV, Régis Le Sommier, directeur de la rédaction d’Omerta, table sur « un redéploiement géopolitique des États-Unis avec le retour de Donald Trump aux affaires. » Or, au vu des résultats dont nous disposons, il semble que ces élections américaines 2024 auront permis aux Républicains de conquérir non seulement la Maison Blanche mais aussi la majorité au Sénat, tout en conservant celle qu’ils avaient déjà depuis 2022 à la Chambre des représentants. Et comme l’a confié à BV le géopolitologue Nikola Mirković, président de l’association Ouest-Est, « Trump va donc avoir les mains libres sur les dossiers chauds de politique étrangère. Si Biden agissait souvent en idéologue et défendait avant tout les intérêts de la finance mondiale, Trump est un pragmatique, qui va rechercher l’apaisement tout en privilégiant les intérêts américains. Lors de son premier mandat, il a été le seul président de l’histoire américaine à ne pas déclencher une guerre. »

Israël / Palestine : vers une solution à deux États ?

Quelle sera la ligne de conduite de Donald Trump sur la question israëlo-palestinienne ? Rappelons qu’il avait été en 2020 l’architecte des accords d’Abraham entre Israël, les Émirats Arabes Unis et Bahrein, puis le Soudan et le Maroc. « Trump s’était alors vanté d’avoir négocié “the best deal ever”, le meilleur accord de l’histoire » rappelle Régis Le Sommier, « mais il l’était bien peu pour les Palestiniens car il avantageait surtout les colons, ce qui explique en partie la situation actuelle. Aujourd’hui, face à l’intransigeance de Netanyahu, Trump a tout de même des leviers. Les armes qui équipent Tsahal sont américaines, et les accords d’Abraham restent une base. »

Vincent Hervouët, éditorialiste politique étrangère sur Europe 1, nous rappelle de son côté que si « Trump n’a jamais cru à la solution des deux États, il n’y a pas vraiment d’alternative. Impossible de prédire donc ce que vont faire les Israéliens, sauf qu’ils feront tout pour que ne se reproduise pas un drame du type de celui du 7 octobre 2023. »

Ukraine : retour à l’esprit de Minsk ?

Pour Régis Le Sommier, il faudrait que la relation entre Trump et Poutine cesse de faire l’objet de fantasmes : « Donald Trump n’a jamais été un agent de Poutine, et il n’y a pas eu non plus d’ingérence de la Russie dans l’élection américaine. » Pour autant, Donald Trump était-il sérieux et crédible en prétendant que s’il était réélu, il mettrait fin au conflit russo-ukrainien « en vingt-quatre heures » ? Pour Nikola Mirković, « ce n’était là qu’un slogan de campagne, mais Donald Trump n’est pas un idéologue et il va négocier avec Vladimir Poutine. Le conflit Russie / Ukraine ne sera cependant qu’un aspect d’une négociation plus large avec les BRICS. »

Régis Le Sommier observe pour sa part que « ce qui change avec le retour de Trump, c’est qu’il incarne réellement les Etats-Unis comme Poutine incarne vraiment la Russie. Cette incarnation, dont est dépourvu Emmanuel Macron, est essentielle à la relation qui doit s’instaurer lors d’une négociation. » Les accords de Minsk peuvent-ils encore constituer une base de négociation entre Russes et Ukrainiens ? « Il faut évidemment revenir à l’esprit de Minsk. Mais Vladimir Poutine va-t-il vouloir faire la paix ? La situation militaire a bien changé. Rappelons que son objectif annoncé est la démilitarisation de l’Ukraine, qui est aujourd’hui partout sur le recul. Vladimir Poutine veut clairement récupérer tout le Donbass. Mais ne va-t-il pas être tenté de pousser son avantage jusqu’au Dniepr ? Et qu’en sera-t-il de la situation intérieure en Ukraine ? Ne va-t-on pas vers “une situation à la somalienne”, avec un Volodymyr Zelensky contesté par les milices qui l’ont soutenu, des seigneurs de la guerre aux références nazies inquiétantes, héritages de l’histoire ukrainienne pendant la Seconde Guerre mondiale, et qui vont vouloir régner sur leurs fiefs ? »

S’il est sans doute bien trop tôt pour dessiner avec précision les contours de la future politique étrangère américaine, un changement semble s’amorcer. Donald Trump revient en affichant son intention de rechercher un apaisement des conflits ouverts, notamment sur les points chauds que sont l’Ukraine et le Proche-Orient. Mais, en patriote sincère, il sera aussi et d’abord un défenseur acharné des intérêts américains. On peut dès lors espérer un mieux par rapport à l’ère Biden, même si, souligne Vincent Hervouët, « en Europe, il faut se garder d’un excès d’optimisme, car cela va être raide. »


Etienne Lombard
, BV

. [SATIRE A VUE] Hécatombe de stars soutiens de Kamala Harris


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°° WEBTUBE : Ces people ont soutenu la candidate démocrate. Notre rédacteur s’est amusé à imaginer leur désarroi à l’annonce des résultats…  Le passage de l’ouragan Trump sur la colline d’Hollywood a laissé les habitants exsangues. La liste des victimes s’allonge d’heure en heure. Les secours sont au chevet des ex-soutiens célèbres de Kamala Harris. Selon la presse people, rien ne sera comme avant. Taylor Swift pourra-t-elle continuer à chanter en bikini à paillettes après cette tuile qui vient de tomber sur son groupe électrogène ? Pour ses producteurs, la décence impose qu’elle adopte le look veuve éplorée. Voilette et chapeau transparent pour la sensualité du show. Surtout pas de chanson ! Sur scène un long cri de désespoir, un hululement repris par la foule. Sans Auto-Tune, sans correcteur de plainte. Le chagrin à l’état brut.

À ce sujet — [PEOPLE] Beyoncé, la voix du politiquement correct

Parmi les stars rudement touchées par la catastrophe, George Clooney tente de tirer son épingle du jeu. « What else »… Non rien d’autre. Lorsque Kamala Harris boit la tasse, il se dégage de son café un arôme de déconfiture à nul autre pareil. Son conseil pour une dégustation réussie : pas de sucre ! Une bonne dose de vinaigre blanc, une nuage de mort aux rats… Le spot de pub viendra en son temps. Séducteur en diable, cheveux poivre et poivre et deux top-models qui défaillent sur son passage.

CNN n’a pas encore donné de nouvelles de Robert de Niro. Peut pas parler pour l’instant. Ses dents sont restés serrées sur l’oreiller. Après le dessus de lit, il se serait replié sur ce qui lui tombait sous la main au réveil. Déjà deux coussins éventrés. Les plumes sans le goudron. A Hollywood on a la rage écoresponsable. L’entourage de l’acteur pense parvenir à lui desserrer les mâchoires en fin de journée.

Entre regrettés soutiens de Kamala Harris, la solidarité s’organise. Bruce Springsteen a appelé Katy Perry qui a appelé Patrick Bruel. Avec tous ces chanteurs américains qui sont restés sans voix, il y a des places à prendre. Et pas des moindres ! Saisie par le résultat, Madonna fait désormais son âge. 250 grammes de Botox on été retrouvés sur son canapé. Le dernier lifting a par ailleurs cédé sous le choc. Les voisins arrivés sur les lieux ne l’ayant pas reconnue sont allés frapper à la porte de Bono… Ce pauvre Bono qui, en 2022, vantait les mérites d’Emmanuel Macron en le comparant à un patron de la Silicon Valley… Nul ne sait s’il se remettra d’avoir misé deux fois sur le mauvais cheval.

Aux portes des experts en communications les sinistrés se pressent. Beyoncé, Matt Damon, Jennifer Lopez, Julia Roberts, Arnold Schwarzenegger et tant d’autres, réclament une aide d’urgence. Un tatouage du visage de Trump sur l’avant bras, un hymne à son épouse qu’ils adorent, un certificat médical… Enfin quelque chose qui les sorte de cette image de looser.

A quelques pas de là, Mel Gibson savoure le moment. Au cinéma, ce rare soutien de Trump incarna Jésus. Tant de postulants pour le rôle de Judas… Le peuple reconnaitra les siens.

Jany Leroy, BV