. Les éoliennes vont vous coûter 90 milliards pour RIEN en 2025 !


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°° WEBTUBE : Le développement des éoliennes en France a commencé sur un conflit d’intérêt, Il a continué sur un détournement de la loi, Il coûtera 9Mds en taxes rien qu’en 2025 et exige 200Mds d’investissements pour que le réseau de distribution puisse supporter ces sources intermittentes… Alors que le nucléaire marche très bien !

Angela Merkel avait prévenu que si l’on commençait à donner des subventions aux éoliennes, on ne pourrait jamais les retirer tant leur lobby est puissant. Et pourtant… La France sans ses éoliennes a une empreinte carbone 7 fois plus faible que l’Allemagne qui les a développé massivement. Dernier mensonge, l’éolien et le nucléaire de font pas bon ménage que les centrales atomiques ne peuvent pas monter en charge suffisamment rapidement quand les éoliennes s’arrêtent… La France est donc obligée de s’appuyer sur des capacités thermiques !

. Rennes et Nantes : au cœur de l’explosion du trafic de drogue, riverains et policiers à bout de souffle


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°° WEBTUBE : Rennes et Nantes connaissent une explosion de la violence liée au trafic de drogue, avec des fusillades régulières qui plongent les quartiers dans la peur. Les policiers se disent impuissants face à cette montée d’ultraviolence. Alors que Bruno Retailleau était à Rennes ce vendredi 1er novembre, certains réclament une loi adaptée au narcotrafic, allant jusqu’à appeler à la création d’un parquet national pour lutter contre les narcotrafiquants, qui continuent à gérer leurs affaires criminelles même depuis les prisons.

Dans les quartiers de Maurepas, de Villejean à Rennes, ou dans le secteur de Malakoff à Nantes, la réalité du trafic de drogue s’étale à ciel ouvert. Des guetteurs postés à l’angle des rues, des transactions rapides et discrètes, des consommateurs qui repartent aussi vite qu’ils sont venus. L’ambiance est lourde, la tension palpable. Pour les habitants et les autorités locales, cette situation vire au cauchemar, tant le phénomène semble inarrêtable. En parcourant ces quartiers gangrenés par le trafic de stupéfiants, on comprend que la lutte contre la drogue est une guerre en apparence déjà perdue. Reportage.

Des policiers désabusés face à un combat sans fin

« Ici, on mène des batailles quotidiennes, mais la guerre est déjà perdue », lâche un policier rennais sous couvert d’anonymat. En poste depuis une dizaine d’années, il observe avec amertume l’explosion des points de deal dans la ville. « On sait où ils se trouvent, les habitants aussi. Les dealers changent de spot dès qu’ils sentent le vent tourner, et nous, on tente de limiter les dégâts sans jamais vraiment éradiquer le problème. » Ce policier évoque une certaine résignation qui s’est installée au sein des forces de l’ordre, confrontées à un manque cruel de moyens face à des réseaux toujours plus organisés. « On fait des arrestations, bien sûr, mais c’est comme mettre un pansement sur une plaie béante. Les interpellés sont souvent relâchés par la justice, et les points de deal reprennent de plus belle. »

Un de ses collègues basé à Nantes abonde dans ce sens. « Nos efforts paraissent ridicules face à l’ampleur du problème. Nous sommes obligés de concentrer nos moyens sur les petits points de deal et les petits dealers, alors que les gros poissons restent intouchables. » Les policiers de terrain ne cachent plus leur exaspération, notamment face à la montée de drogues de synthèse de plus en plus dangereuses et dont les effets, souvent dévastateurs, sont encore peu maîtrisés par le corps médical.

Les riverains sous le joug de la terreur

Pour les riverains, la cohabitation avec le trafic de drogue a dépassé le stade du supportable. À Maurepas, quartier emblématique de Rennes gangréné par les points de vente de stupéfiants, des habitants vivent sous une pression constante. Marie, mère de famille, raconte comment elle préfère ne plus laisser ses enfants jouer seuls dehors. « Ici, on a l’impression d’être pris en otage. Les dealers et leurs guetteurs se sont installés juste devant chez nous, et on vit avec cette peur constante qu’une rixe éclate ou qu’une balle perdue fasse un jour un drame. »

Jean-Paul, un habitant historique du quartier (ses parents et grands parents y habitaient déjà, ce qui devient rare à Rennes), évoque des mesures radicales pour sortir de cet enfer. « À ce stade, on ne peut plus se contenter de demi-mesures. Il faudrait des peines exemplaires pour ces trafiquants, et même envisager des expulsions de familles entières si les dealers sont d’origine étrangère. Regardez ce qui se passe au Salvador : ils ont construit des prisons spéciales pour les trafiquants et ça marche. Pourquoi ne pourrait-on pas faire pareil ici ? »

À Malakoff, quartier sensible de Nantes, les habitants en appellent également à des solutions extrêmes. Pour eux, la justice ne suit pas, et les pouvoirs publics se contentent de « mesurettes » alors que la situation empire. « On voit bien que la police fait ce qu’elle peut, mais ce n’est pas suffisant, explique Ahmed, un commerçant du quartier. Les trafiquants savent qu’ils risquent peu, et ça les rend arrogants. »

Un enjeu de santé publique : les nouvelles drogues, une menace croissante

Outre l’omniprésence du trafic, la qualité et la dangerosité des drogues disponibles ajoutent une autre dimension à la crise. Dans les centres de soin, mais aussi via des associations dédiées, les médecins tirent la sonnette d’alarme. « Nous voyons arriver des patients en état de dépendance sévère à des substances nouvelles, bien plus toxiques que les drogues classiques, explique un médecin addictologue de Rennes. Ces drogues de synthèse provoquent des effets délirants et des états de dépendance très rapides, avec des impacts encore peu connus sur le cerveau. » 

Les médecins et les psychologues sont souvent démunis face à l’ampleur des symptômes présentés. « Nous n’avons même pas toujours les traitements adaptés pour gérer ces cas, confie un psychiatre nantais. C’est une crise sanitaire qui se profile, et elle pourrait bien nous échapper. »

Une « mexicanisation » du trafic qui inquiète

Ce qui inquiète le plus les autorités, c’est la transformation progressive du trafic local en une structure semblable aux cartels mexicains ou colombiens. « Nous voyons bien que les réseaux se professionnalisent, explique un enquêteur. Les trafiquants sont de plus en plus jeunes, de plus en plus armés, et ils n’hésitent pas à user de la violence pour contrôler leur territoire. La vie humaine importe par ailleurs de moins en moins pour eux, comme au Mexique ou dans ces pays là. C’est terrifiant » Des quartiers entiers à Rennes comme à Nantes, mais aussi à Brest, échappent peu à peu à l’autorité publique, créant des « zones de non-droit » où la loi du plus fort règne en maître. Et ce ne sont ni les annonces du ministre de l’Intérieur, ni la mobilisation ponctuelle de CRS, ni les opérations médiatiques sur les points de deal, qui changeront la donne.

Le constat est partagé par plusieurs associations d’habitants qui dénoncent l’inaction des pouvoirs publics et une réponse judiciaire largement insuffisante. « On sait bien que les prisons sont pleines, mais cela ne doit pas être une excuse pour laisser ces zones à l’abandon, plaide un représentant d’une association de riverains. Si l’État ne reprend pas rapidement le contrôle, la France pourrait bien basculer dans une sorte de narco-État à l’européenne. »

Quelle réponse politique ?

Face à cette situation explosive, les responsables politiques peinent à proposer des solutions concrètes. Pour les riverains et les policiers, les « mesurettes » actuelles sont loin de suffire. « Il est urgent que l’État prenne des décisions fortes, des solutions radicales si besoin, pour briser ces réseaux de trafic qui gangrènent nos quartiers », clame Jean-Paul. Mais malgré les appels à l’aide et les promesses, le quotidien des habitants de Rennes et Nantes reste marqué par la peur, l’insécurité et le désespoir.

En attendant, ce sont les habitants, les policiers et les professionnels de santé qui restent en première ligne, dans un combat où ils ont de moins en moins l’espoir de voir la situation s’améliorer.

YV
Breizh-info.com

. L’indifférence des autorités face au massacre de jeunes Français : le tragique assasinat de Nicolas, 22 ans.


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°° WEBTUBE : Une nouvelle tragédie frappe la jeunesse française, cette fois en Ardèche, où Nicolas, un rugbyman de 22 ans, a perdu la vie après avoir été grièvement blessé par balle devant une discothèque à Saint-Péray. Cet acte de violence gratuite vient s’ajouter à une longue série de drames similaires, tous témoins d’une insécurité galopante que les autorités semblent incapables de freiner. Pire encore, elles cherchent à réprimer les voix qui tentent de rendre hommage à ces victimes, laissant un sentiment d’indifférence s’installer face au chaos ambiant.

Une violence qui frappe de plein fouet

La nuit du 1er novembre 2024, aux abords de la discothèque « Le Seven » de Saint-Péray, a viré au cauchemar. Vers 2h30, alors que l’établissement accueillait des centaines de fêtards venus célébrer Halloween, un homme cagoulé a ouvert le feu, blessant trois personnes. Nicolas, touché d’une balle en pleine tête, a succombé à ses blessures quelques heures plus tard. La violence aveugle qui frappe au hasard n’a épargné ni lui, ni ses amis, qui ont dû se mettre à l’abri pour échapper à la pluie de balles.

Ce drame résonne douloureusement avec celui de Thomas, un autre jeune rugbyman tué dans des circonstances tout aussi brutales l’an dernier lors d’un bal à Crépol. Les deux jeunes hommes, qui appartenaient au même club, le Rugby Club Romans-Péage (RCRP), sont devenus malgré eux les symboles d’une jeunesse sacrifiée, confrontée à une montée inexorable de la violence.

La gestion des hommages, un silence assourdissant des autorités

Face à cette série de tragédies, l’indignation gronde. Les autorités, pourtant attendues pour rassurer et agir, paraissent étrangement silencieuses, voire hostiles à l’idée de permettre des manifestations d’hommage. Récemment, des tentatives pour organiser des rassemblements commémoratifs ont même été entravées, créant une incompréhension et un sentiment d’abandon parmi les familles et proches des victimes. Cette inertie institutionnelle est interprétée par beaucoup comme une approbation tacite de l’anarchie régnante, un message alarmant pour ceux qui voient leur sécurité se détériorer.

L’inaction face à l’ultraviolence

Les appels à renforcer les dispositifs de sécurité et à imposer un cadre législatif plus strict n’ont cessé d’émaner des élus locaux et des familles endeuillées, mais en vain. Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, a lui-même reconnu « la nécessité d’un réarmement législatif » face à cette « ultraviolence » qui gangrène le quotidien. Toutefois, ces paroles, sans répercussions tangibles, se vident de leur sens à mesure que les crimes violents se multiplient. Le spectre d’un manque de volonté politique se profile, laissant les citoyens démunis face à la prolifération des armes et des règlements de comptes, souvent liés au trafic de stupéfiants.

Comme l’a souligné Denis Iglesias, secrétaire national adjoint du syndicat Alliance dans la Drôme, « il y a désormais des armes à feu à tous les coins de rue ». Cette présence accrue d’armes, bien souvent issues du narcotrafic, ajoute un niveau de dangerosité supplémentaire à une société déjà fragilisée par une criminalité en hausse. Dans ce climat où l’insécurité devient la norme, des jeunes comme Nicolas et Thomas en paient le prix fort, tandis que les responsables peinent à déployer les moyens nécessaires pour enrayer cette spirale infernale.

Devant l’inaction, les appels à une justice renforcée et à une responsabilité accrue des dirigeants politiques se font pressants. La population ne demande rien d’autre que de vivre en paix, de pouvoir profiter de sorties nocturnes sans craindre de ne pas rentrer. Les familles de ces jeunes disparus attendent des réponses, des actions et une réelle prise en compte de leur désarroi. Un simple hommage ne suffit plus : il est temps que ceux qui nous gouvernent rendent des comptes sur la protection des citoyens. Sinon demain, si plus rien ne lie l’Etat aux citoyens dont il n’assure plus la sécurité, alors ils se mettront à faire justice eux mêmes, c’est irrémédiable, car aucun père de famille, aucune mère, aucun ami, ne peut accepter très longtemps de voir les siens mourir devant la passivité des autorités, sans riposter.

YV
[cc] Breizh-info.com

. [Micro-boulevard] Harris ou Trump ? Les New-Yorkais au micro de BV


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°° WEBTUBE : À l’approche de l’échéance finale de l’élection américaine, nos journalistes Louis de Torcy et Julien Tellier sont allés à la rencontre des New-Yorkais pour prendre le pouls du pays. Kamala Harris ou Donald Trump ? Qui des deux candidats prendra l’avantage ? Si Trump est en mauvaise posture à New York, il n’en reste pas moins qu’une grande partie du pays lui semble acquise… Réponse le 5 novembre prochain.

Boulevard Voltaire

. La presse se vautre dans l’ignominie en traitant Trump de nouvel Hitler


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°° WEBTUBE : Les sondages s’étant rééquilibrés après avoir propulsé Kamala Harris au sommet, l’élection de mardi prochain reste incertaine et affole le camp mondialiste, paniqué par la très possible victoire du milliardaire. Trump ayant résisté au harcèlement judiciaire, aux scandales en tous genres, aux accusations de viols ressorties de la naphtaline 30 ans après les faits supposés, et rescapé de deux attentats, les mondialistes en sont réduits à faire du leader républicain le nouvel Hitler.

Incapable de répondre à la moindre question, Kamala Harris, la potiche totalement ignare des dossiers se contente d’insulter son rival, l’accusant de fascisme et de complaisance hitlérienne.

Posture d’autant plus grotesque que le monde entier a pu voir Trump diriger les États-Unis durant quatre ans, sans qu’il se comporte en dangereux dictateur prêt à ensanglanter la planète. Bien au contraire, Trump n’a engagé aucune guerre durant son mandat et je n’ai pas vu de camps de concentration aux États-Unis.

Son crime ? Vouloir en finir avec l’idéologie mondialiste, avec l’immigration-invasion, avec les expéditions coloniales qui se terminent en fiasco, avec le wokisme et avec les délires LGBT.

Trump, c’est le nationalisme conservateur contre cette société multiculturelle et progressiste, qui veut faire table rase des valeurs conservatrices.

Et en France, on assiste à un déluge de propagande anti-Trump, comme si les états d’âme de nos journalistes avaient une quelconque influence sur l’électorat du milliardaire. On a rarement vu un tel déballage d’âneries dans les médias. Je cite :

« Trump, la menace fasciste ? »

« Fascisme, le grand retour ? »

« Trump, le nouveau visage du fascisme »

« Donald Trump : un fascisme à l’américaine ? »

Tous ces adeptes de l’information impartiale se mettent au garde à vous devant l’oligarchie mondialiste, en bêlant tous en chœur ce que dit Kamal Harris :

« Oui, nous pouvons le dire, la vision politique de Donald Trump est celle du fascisme ». 

Faute d’arguments, affichant son ignorance abyssale sur tous les sujets, Kamala Harris en est réduite à se vautrer dans l’infamie, avec le soutien des médias européens. Tout cela est pitoyable.

Que nos journalistes hypocrites se taisent et que le peuple américain vote en conscience pour son avenir.

Réponse le 5 novembre, en espérant que la fraude ne viendra pas une fois de plus voler sa victoire au peuple, avec la complicité des médias et des juges, comme en 2020 !

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Macron salit encore notre armée et crache de nouveau sur la France


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°° WEBTUBE : Macron salit encore notre armée et attise la haine d’Alger contre la France. Fidèle à sa politique de repentance à sens unique, Macron vient de reconnaître officiellement que le leader FLN Larbi Ben M’hidi avait été assassiné par des militaires français en 1957…. Lire la suite

https://www.lefigaro.fr/politique/algerie-macron-reconnait-que-le-dirigeant-du-fln-larbi-ben-m-hidi-a-ete-assassine-par-des-militaires-francais-en-1957-20241101

En pleine guerre civile larvée, alors que la nation est en passe de se disloquer durablement, comme on le voit avec le conflit israélo-palestinien, Macron ne trouve rien de mieux que de ruminer le passé et d’attiser la haine envers la France, en tuant définitivement tout espoir d’intégration des cités. Rien de tel que cet acharnement à culpabiliser  l’ex-puissance coloniale pour embraser la jeunesse immigrée, si prompte à se rebeller contre la République. 

En prétendant réconcilier les histoires, Macron nous conduit à la guerre civile. On n’a jamais vu un président haïssant autant son pays et faisant son procès à longueur de quinquennat, y compris à la tribune de l’ONU, devant les représentants de 193 nations, sidérés par un tel comportement accusateur. Une autoflagellation unique.

Après avoir accusé notre pays de crime contre l’humanité, sans un mot sur l’œuvre civilisatrice de la colonisation, après avoir accusé l’armée française de torture, sans un mot sur les atrocités commises par le FLN, le chef des armées accuse aujourd’hui nos soldats d’avoir assassiné un leader FLN, arrêté au cours de la bataille d’Alger en 1957.

Plus Alger nous déteste, plus Macron se répand en actes de repentance, mais toujours à sens unique, bien entendu. Pour le chef de l’État, la France et son armée ne sont qu’un ramassis de salauds.

Ce 1er novembre, Macron a réitéré son souhait de « regarder l’Histoire de la colonisation et de la Guerre d’Algérie en sa vérité, dans le but d’aboutir à la constitution d’une mémoire apaisée et partagée ».

Il a donc reconnu dans un communiqué que Larbi Ben M’hidi, un des six dirigeants du FLN à la tête de la révolte armée, « a été assassiné par des militaires français placés sous le commandement du général Aussaresses » en mars 1957. 

Mais est-il besoin d’affirmer que la « répression » française « s’accompagna de la mise en place d’un système hors la société des Droits de l’Homme et du Citoyen » ?

Ce ne sont pas des anges et des modèles de vertu que les paras de Massu ont combattu durant la bataille d’Alger, ce sont évidemment des combattants nationalistes mais aussi des terroristes commettant d’innombrables attentats et pratiquant des enlèvements visant des civils. Ce que Macron se garde bien de rappeler. Il ajoute :

« Le travail de vérité historique se poursuivra. »

« C’est aussi en pensant aux générations futures que le chef de l’État se fait devoir, encore et toujours, de chercher les voies de la réconciliation des mémoires entre les deux pays. »

Mais qu’attend donc Macron pour dénoncer les atrocités du FLN envers nos militaires et les civils ? La vérité n’est pas une donnée à géométrie variable.

Qu’attend-il pour faire le procès d’Alger, coupable d’avoir laissé massacrer 120.000 harkis sur les 250.000 supplétifs qui ont servi la France ? Chirac l’avait reconnu en 2001 en déclarant :

« La France n’a pas su sauver ses enfants de la barbarie » 

Car la barbarie, elle était bien dans le camp FLN.

« Des dizaines de milliers d’hommes mais aussi de femmes furent massacrés, souvent avec des supplices publics : personnes écartelées, dépecées, ébouillantées, enterrées vives »

Et que dire des 3 000 Français disparus après le 19 mars 1962 ?

Pas un seul mot des autorités algériennes depuis 62 ans.

En voulant réécrire l’histoire, mais en faisant le seul procès de la France, Macron prouve une fois de plus que sous couvert d’apaisement entre Paris et Alger, il affiche la haine de son pays. Pour lui, nos 2 000 ans d’histoire n’ont aucune signification.

Il n’existe aucun chef d’État au monde qui se soit comporté avec autant de haine contre son pays, son peuple, son identité, son patrimoine culturel et son histoire.

Macron est bien le fossoyeur de la France, cherchant à détruire en deux quinquennats les siècles de grandeur d’une nation millénaire.

Les guerres font les lâches et les héros, mais elles font aussi les victimes et les bourreaux. Aucune guerre n’est propre, quel que soit le camp que l’on défend. 

Mais pour apaiser le débat, il faut être deux à reconnaître ses responsabilités. Ce qu’Alger a toujours refusé et ce à quoi Macron semble se résigner, exonérant Alger de toute culpabilité et de ses propres crimes durant cette guerre.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

. Téhéran : une étudiante défie l’islam


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°° WEBTUBE : La jeune femme a donné une leçon de courage au monde entier. Harcelée par des membres de la milice Basidi, les Gardiens de la révolution islamique, bras armé des mollahs, une étudiante, militante du mouvement Femme Vie Liberté, s’est déshabillée pour marcher en sous-vêtement au milieu de ses camarades voilées devant l’entrée de la prestigieuse université Azad de Téhéran, l’une des plus grandes du monde.

Elle semble attendre l’inévitable : quelques minutes plus tard, elle est arrêtée par la police des mœurs du régime islamiste. D’abord postée par le site étudiant iranien, Amir Kabir, la vidéo, prise par des habitants d’un immeuble jouxtant l’université, a été publiée par de nombreux sites iraniens dont le site juridique Dadban, le groupe de défense des droits humains Hengaw et le site d’information Iran Wire. Dans les heures qui ont suivies, la vidéo a fait le tour des réseaux sociaux.

L’agence iranienne Fars a publié une photo floutée de l’étudiante, expliquant qu’elle portait des vêtements « inappropriés ». L’agence d’État qui relaie la propagande des mollahs a expliqué que les agents de sécurité lui avaient parlé calmement… alors même que l’on voit sur des images la jeune femme être violemment jetée dans une voiture par des hommes en civil.

La vidéo de son arrestation a notamment été partagée par la journaliste Masih Alinejad, inspiratrice du mouvement contre le port du voile en Iran et l’une des plus farouches opposantes de la République islamique à l’étranger.

« Les autorités iraniennes doivent relâcher immédiatement et sans condition » la jeune femme, a déclaré Amnesty Iran, branche d’Amnesty international, sur X. « Les allégations de coups et de violence sexuelle à son encontre pendant son arrestation doivent faire l’objet d’une enquête indépendante et impartiale », ajoute l’organisation.

La loi islamique en Iran, comme dans tous les pays musulmans, impose un code vestimentaire dictatorial aux femmes, sommées de porter le foulard et des vêtements amples dissimulant leurs formes. Les femmes iraniennes sont à l’origine d’un mouvement de révolte après la mort de la jeune Kurde Mahsa Amini en septembre 2022, arrêtée et torturée à mort pour ne pas avoir respecté le code vestimentaire islamique. Le mouvement Femme Vie Liberté a été massivement réprimé par les autorités iraniennes, avec au moins 551 morts et des milliers de personnes arrêtées, torturées et psychiatrisées.

En France, on attend toujours les commentaires de la gauche et des féministes.

Les images de cette jeune étudiante héroïque sont à rapprocher de celle de cet homme, resté anonyme, qui a bloqué la progression d’une colonne de chars, place Tian’anmen à Pékin, lors de la grande répression de 1989 qui fit plus de 1000 morts. Le communisme est mort – du moins formellement -, mais l’islam, communisme du XXIe siècle, est encore vivant…

Henri Dubost, Riposte Laïque