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°° WEBTUBE : En moins de 50 ans, les gouvernements en place ont transformé la Suède en dystopie grand-remplacée où sévissent des gangs allogènes en toute impunité. Les immigrés qui pensaient pouvoir vivre dans un pays blanc avec de moins en moins de Blancs découvrent avec horreur que ça ne marche pas comme ça.
Après un demi-siècle ans d’expérimentation, la Suède a enfin trouvé la solution pour intégrer les nombreux migrants musulmans qu’elle accueille. Cette formule est d’autant plus révolutionnaire qu’elle a été mise au point par les Musulmans eux-mêmes. Elle consiste à les intégrer dans leurs pays d’origine.
Remix :
Après plus de deux décennies en Suède, Amin est retourné dans son pays d’origine, décrivant le déménagement comme l’une des meilleures décisions qu’il ait jamais prises.
Dans une interview accordée à Dagens Nyheter, M. Amin a fait part de son expérience de chef d’entreprise en Suède pendant des années, avant que l’activité des gangs dans son quartier ne l’oblige à partir.
« J’ai oublié cette époque ! Maintenant, je vis comme un roi ! Je me développe, je me sens bien. On est beaucoup plus en sécurité en Irak qu’en Suède », a-t-il déclaré en évoquant sa nouvelle vie dans son pays d’origine.
L’Irak n’était pas le pays le plus favorablement coté pour son environnement sécuritaire.
Quand l’Irak devient plus performant en termes de sécurité publique qu’une démocratie scandinave, c’est que le moment est venu de se poser les bonnes questions.
Un homme blanc est désormais bien plus en sécurité à Bagdad au milieu des Musulmans qu’à Paris au milieu des Musulmans.
Les migrants que les démocraties occidentales importent en masse sont la lie de ces pays. Ils n’en veulent tellement pas eux-mêmes qu’ils les poussent à partir.
Compte tenu des volumes d’immigration insensés actuels, d’ici 10 ou 20 ans, presque n’importe quel pays du tiers-monde sera plus sûr que la France ou la Suède.
Amin a monté une affaire prospère après son arrivée en Suède à la suite de la guerre d’Irak. Il tenait un pub dans la banlieue de Stockholm. Cependant, la zone est devenue de plus en plus dangereuse à mesure que les gangs d’immigrés commençaient à dominer, exigeant des propriétaires d’entreprises locales une protection financière et recourant à la violence lorsque leurs demandes n’étaient pas satisfaites. Amin est devenu l’une de leurs cibles.
« J’ai déménagé en Suède parce que c’était un pays sûr. Maintenant, je quitte la Suède parce qu’elle n’est plus sûre », a expliqué Amin. Après avoir fait l’objet de menaces, de violences et d’extorsions répétées de la part d’une bande organisée de Skärholmen, il a décidé qu’il ne pouvait plus vivre ou travailler dans de telles conditions.
« Imaginez ce que vous ressentez lorsque vous travaillez 10 heures par jour et qu’une personne malveillante vient vous menacer et vous dire des choses dégoûtantes », a-t-il ajouté.
Malgré le soutien initial de la police locale, la situation s’est dégradée avec l’escalade de la violence. Plusieurs fusillades ont eu lieu dans le quartier, dont une mortelle juste devant son restaurant. « Il n’y a pas de sécurité en Suède. Je ne me sens plus en sécurité. On ne peut pas porter de beaux vêtements, une chaîne en or, une belle montre. On ne peut pas conduire une belle voiture parce que quelqu’un va la détruire », a déclaré M. Amin.
https://x.com/franceinfo/status/1845857574077210987?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1845857574077210987%7Ctwgr%5E1b1d4209bff9b4948d1b3e022eefabb599c645a0%7Ctwcon%5Es1_c10&ref_url=https%3A%2F%2Fcnews.click%2Fnouvelle-tendance-les-migrants-fuient-lenfer-multiculturel-suedois-pour-se-refugier-en-irak%2FIl a ouvert un nouveau restaurant en Iraq et affirme qu’il se sent beaucoup plus en sécurité dans un pays qu’il avait fui, il y a à peine vingt ans, en quête de sécurité. « C’est plus sûr en Irak », conclut-il.
D.P.
. Déconfiture des batteries : vers l’explosion d’une « bulle verte » européenne ?
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°° WEBTUBE : Parallèlement aux constructeurs automobiles, les fabricants de batteries européens enchaînent les déboires. Alors qu’ils étaient censés, voici à peine deux ans, contribuer à la réindustrialisation de l’« Europe verte », c’est hélas déjà l’hécatombe. Rappelons-nous Automotive Cell Company. Associant les grands Européens de l’énergie et de l’automobile (Total – via sa filiale batterie Saft, Stellantis & Mercedes), elle avait été baptisée par Bruno Le Maire (encore lui !) l’« Airbus des batteries » en souvenir du triomphe du consortium aéronautique franco-allemand.
Le fiasco des batteries
D’Airbus, ACC s’est rapidement transformé en Concorde. ACC a ainsi annoncé, début juin, le décalage dans le temps de la construction d’unités de production planifiées en Italie et en Allemagne. À la suite de l’arrêt des travaux sur le site de Termoli (côte Adriatique), le gouvernement Italien a ainsi décidé d’arrêter toute subvention. En France, l’usine de Douvrin (Pas-de-Calais) est censée regrouper, à l’horizon 2030, trois à quatre gigafactories produisant, chacune, huit GW/an, et ce, pour un investissement total de deux milliards d’euros. Inaugurée en grande pompe en juin 2023, la première unité (500 millions d’euros d’investissement, dont 121 de subventions publiques) tourne aujourd’hui à moins de 50 % de sa capacité, faute de marché, mais aussi par suite d’incertitudes quant à la technologie utilisée.
ACC n’est pas un cas isolé. Mi-2023, la société taïwanaise ProLogium avait décidé d’investir, à Dunkerque, 5,2 milliards d’euros (dont 1,5 milliard d’euros de subventions publiques) pour produire 48 GW de batteries lithium-céramique à l’horizon 2030. ProLogium vient de réviser ses ambitions à la baisse entre 8 et 16 GW.
Mais la (mauvaise) cerise sur le gâteau nous vient de Scandinavie. Fondée en 2016, la société suédoise Northvolt était parvenue à lever 13,8 milliards d’euros auprès des grands constructeurs automobiles comme BMW, Volkswagen et Volvo en vue de construire des gigafactories ion-lithium en Pologne, en Allemagne et au Canada. Incendies en série inexpliqués, commandes annulées : rien ne va plus, chez Northvolt. L’entreprise, dont Volkswagen est le premier actionnaire, est carrément au bord de la faillite depuis que le gouvernement suédois a refusé de la renflouer.
À ce sujet — Carlos Tavares (Stellantis) : « La France a besoin de migrants. » Vraiment ?
La vente de voitures électriques en berne
Cette déroute n’est que la partie émergée d’une bulle verte européenne en train d’exploser. Elle se lit, notamment, en filigrane des grandes difficultés auxquelles est confrontée l’industrie automobile européenne, dont les ventes de véhicules électriques ont baissé de près de 36 %, en un an (plus de 60 % en Allemagne). Les raisons sont multifactorielles : augmentation importante du prix des véhicules, recharge devenue parfois plus onéreuse au kilomètre parcouru que des carburants en forte baisse, raisons purement pratiques liées à l’autonomie sur longue distance et au manque de bornes de recharge, notamment dans les grandes villes.
Les voitures électriques sont, aujourd’hui, sous perfusion publique et ne se vendent qu’à condition d’être fortement subventionnées. Ainsi, en Norvège, avec une subvention de 35.000 euros par véhicule, associée à de multiples avantages (exemption de TVA, péages gratuits), le parc automobile est devenu électrique à 85 %. Des subventions permises grâces aux ventes norvégiennes… de pétrole et de gaz ! Les restrictions budgétaires, en France, qui vont dans l’autre sens (réduction du bonus écologique et accroissement du prix de l’électricité envisagé dans la loi de finances 2025), ne devraient pas améliorer la situation, loin de là.
Cette situation cataclysmique ne semble pourtant pas inquiéter les instances bruxelloises, qui continuent d’enfoncer le clou du suicidaire Pacte vert. Après avoir englouti plus de 200 milliards dans la mobilité électrique, les constructeurs européens, faute de ventes suffisantes de voitures électriques, vont devoir s’acquitter d’une taxe pour « émissions excessives ». En 2025, la punition s’élèverait à la bagatelle de 15 milliards d’euros.
Comme le mentionne l’excellent Jean-Paul Oury dans son ouvrage Greta a ressuscité Einstein (VA), on connaissait la « destruction créatrice schumpétérienne » ; désormais, on pourra parler de « planification destructrice vonderleyenne ».
Philippe Charlez, Boulevard Voltaire
. Notre-Dame des Landes : scandaleuse régularisation du repaire des blacks-blocks
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°° WEBTUBE : Après les lâchetés et les renoncements des gouvernements Hollande et Macron, la ZAD – « zone d’expérimentation anticapitaliste et anti-autoritaire » – de Notre-Dame des Landes, en Loire-Atlantique, se voit « régularisée » par le Conseil départemental. C’est le dernier coup fourré de l’assemblée écolo-socialiste contre les maires et les habitants de Notre-Dame des Landes et de Vigneux-de-Bretagne : jeudi 10 octobre, le Conseil départemental a ainsi décidé, contre l’avis des élus locaux, d’offrir aux zadistes occupants, et non agriculteurs, des baux emphytéotiques pour une durée de 25 ans et des loyers défiant toute concurrence (de 1.800 à 2.600 euros par an).
Faute de vouloir s’attaquer aux occupations illicites, rendons-les licites !
En septembre, sentant le coup venir, le maire de Notre-Dame des Landes s’indignait auprès du Figaro : « Le département ne respecte plus du tout nos plans locaux d’urbanisme (PLU) et cherche à nous mettre devant le fait accompli ». Comment ? En rachetant les « 1082 hectares aujourd’hui occupés par une grosse centaine de personnes – et au moins le double l’été », et que le département va maintenant louer à vil prix aux squatteurs historiques de la ZAD.
Fort discret, le vice-président du Conseil départemental chargé du dossier avait alors refusé de répondre aux questions. Un simple communiqué du département exposait l’objectif : plus question de « régularisation » ni de « pacification » mais de « sécuriser les situations » et « stabiliser la situation foncière » sur « les bâtis existants ». Des bâtiments squattés depuis quinze ans, rappelons-le. Et le quotidien de préciser alors : « Quant au reste des occupants de l’ancienne ZAD, dont des groupes de personnes errantes (sic), le département caresserait l’idée de les loger sur place, avec de l’habitat social agricole. »
Car les occupants ne cessent de se multiplier, ce que dénoncent les maires qui, depuis des mois, réclament « l’évacuation d’habitants n’ayant aucun projet agricole ayant érigé des cabanes sans permis, squattant du bâti existant sans autorisation, ou vivant dans des caravanes ou yourtes ». Et de dénoncer les branchements illégaux au réseau électrique, à l’eau, les décharges sauvages, etc. Cela dans une zone humide que tout ce cirque était censé protéger…
À ce sujet — [L’ÉTÉ BV] Notre-Dame-des-Landes : six ans après, ces zadistes continuent le saccage
Mais voilà, on est en France, pays où, faute d’avoir le courage de s’attaquer aux occupations illicites, on préfère les rendre licites !
« On ne sait pas qui est derrière »
Interrogé par TV Nantes, Jean-Paul Naud, le maire (sans étiquette) de Notre-Dame-des-Landes, s’insurge : « Ils veulent régulariser les bâtis pour des non agriculteurs, et ensuite ils veulent nous demander des permis de construire pour des agriculteurs (le fameux habitat social agricole cité plus haut, NDLR). Ce que nous voulons, c’est que les bâtis existants soient rénovés bien sûr, et réservés aux agriculteurs qui ont des baux environnementaux. » Il poursuit : « On a beaucoup d’irrégularités dans ces bâtiments. J’ai même adressé le dossier à l’ARS des Pays-de-la Loire. » Gwënola Franco, maire de Vigneux-de-Bretagne, souligne quant à elle que les baux ont été signés avec des associations et non des particuliers comme ce fut le cas lors de la régularisation des agriculteurs, en 2019. Tous, alors, étaient tenus de présenter un projet viable. Rien de tout cela aujourd’hui, or, dit-elle, « on ne sait pas qui est derrière ».
On en a toutefois une petite idée. En effet, comme le rappelait ce mercredi matin Emmanuelle Ducros, sur Europe 1 : « Les services de renseignement s’accordent aussi à dire que cette ZAD est un lieu d’accueil et de repli pour des black blocks et des activistes violents venus de toute l’Europe. Ceux qu’on retrouve ensuite dans les manifestations interdites qui dégénèrent ». C’est d’ailleurs là le siège des Soulèvements de la Terre.
Alors, qu’en dit Monsieur Retailleau, notre nouveau ministre de l’Intérieur et ancien président de la région Pays de la Loire, qui, en 2018, déclarait : « C’est une erreur de la part du gouvernement d’avoir imaginé qu’il pouvait discuter avec les zadistes » ?
Marie Delarue, Boulevard Voltaire
. Sarah Knafo remet à leur place deux journaleux arrogants : Isabelle Saporta et Didier François
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°° WEBTUBE : On ne sait pas ce qui se passe, mais on ne voit plus que Sarah Knafo et on n’entend plus Eric Zemmour. Un coup d’Etat conjugal ? Toujours est-il que sur le plateau de LCI, la belle Sarah, toujours superbement habillée, a habillé pour l’hiver deux spécimens de la collabosphère médiatique, et pas n’importe lesquels quand on connaît les dessous de leur carrière.
Résumons d’abord les choses. On parlait d’une éventuelle prochaine loi immigration, et bien évidemment, ces deux journalistes ont multiplié les arguments fallacieux et les incidents de plateau pour éviter qu’on fasse le parallèle entre l’insécurité, l’immigration et l’islam, alors que tous les Français normalement constitués ont fait le lien depuis bien longtemps.
Isabelle Saporta, qui ne pouvait dissimuler la haine qu’elle éprouve pour Sarah, l’interrompant sans arrêt, a été deux ans chroniqueuse sur RTL, tout en entretenant une relation secrète avec Yannick Jadot. Au niveau déontologique, c’est plutôt moyen, quand on sait qu’Anne Sinclair, elle, dans une situation semblable, s’était mise en retrait. Apparemment, le cumul des fonctions ne paraît pas poser de problème, puisqu’elle peut être directrice générale des éditions Fayard et toujours chroniqueuse. Elle se présente en victime de Bolloré, puisqu’elle se fait éjecter du groupe Hachette quand il y a un changement de propriétaire. Sauf qu’elle s’est crue maligne en refusant la venue de Lise Boell, coupable d’être l’éditrice d’Eric Zemmour, et elle a fini par perdre, sans doute avec un bon chèque à la clé. Présente sur beaucoup de plateaux de télévision, chouchou du système, elle étale son arrogance sans le moindre scrupule, et ne précise jamais ses conflits d’intérêt, qui sont pourtant multiples.
Didier François, c’est un autre registre. Toute une jeunesse chez les trotskistes, dans la bande à Julien Dray, où il était connu sous le nom de Rocky. Il se dit qu’il est l’inventeur de la petit main jaune et du slogan « Touche pas à mon pote ». Il abandonne le militantisme, officiellement, et se lance dans le journalisme, notamment comme grand reporter de guerre. C’est un vrai journaliste, qui va sur le terrain, et qui a couvert tous les grands événements mondiaux. Cela lui vaudra une blessure par balle à Gaza, en 2006, et surtout un enlèvement par les islamistes en 2013, dont il sera l’otage durant près d’un an. Il sera libéré en même temps que l’ineffable Nicolas Hénin, devenu admirateur de ses kidnappeurs ! Lui fera preuve de davantage de dignité, mais il demeure un gauchiste invétéré, malgré les années, et donc un immigrationniste militant.
Comme Isabelle Saporta et nombre de journalistes de gauche, il n’a pas supporté la venue de Bolloré sur Europe 1, et donc il est parti, sans doute avec un bon chèque. Il y a beaucoup d’arrogance quand il s’exprime, et la volonté de ridiculiser son interlocuteur avec une mauvaise foi grossière, comme quand il essaiera de faire remarquer à Sarah Knafo que les fichés S ne sont pas un problème, puisqu’il y en a un à l’Assemblée nationale.
Des Isabelle Saporta et des Didier François, il y en a des centaines, sur les plateaux de télévision, tous les jours. Ce sont des gens comme eux qui sont responsables de l’invasion migratoire de la France, de l’ensauvagement de notre pays, de la mort de toutes les victimes des soldats d’Allah, et ils se permettent encore de baver sur la prétendue extrême droite, comme Saporta, ou de noyer le poisson en essayant d’expliquer que le problème n’est pas l’immigration, ni l’islam, mais le terrorisme, comme Didier François.
A chaque fois qu’elle s’oppose à des petits soldats de la collabosphère comme ces deux spécimens, Sarah Knafo fait plaisir à la France qui ne veut pas mourir.
Joël Locin, Riposte Laïque
. Samuel Paty pour mémoire : c’était il y a 4 ans…
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°° WEBTUBE : Pendant douze ans j’ai habité Andrésy (Yvelines). Andrésy se situe au confluent de l’Oise et de la Seine et c’est un coin d’Île-de-France sans histoire. Enfin, ça c’était avant, car même cet endroit paisible connaît à présent les violences coutumières de la diversité joyeuse, et la ville n’a d’ailleurs pas échappé aux émeutes ethniques de l’été 2023. Andrésy n’est séparée de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) que par un pont. Autant dire que j’allais souvent dans la ville de Michel Rocard, qui y a régné pendant 17 ans en qualité de maire. Ce 16 octobre 2020, j’étais chez moi et j’entendais au loin les sirènes de la police, me disant alors que ce devait encore être la fête diversitaire du côté de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines) non loin de là. Chanteloup, là où a été tourné le film La Haine de Mathieu Kassovitz, qui a décidé d’en faire une comédie musicale ! Toujours à charge contre la France, Kassovitz est cependant très heureux de profiter d’elle, la France, comme beaucoup d’autres…
Ce jour-là, je me trompais : les sirènes n’étaient pas pour Chanteloup-les-Vignes mais pour un homme, professeur d’histoire-géographie, qui avait eu la naïveté de croire qu’en France on vivait encore libre. C’était ignorer le changement islamique du vent. Et c’est ainsi que cet enseignant du collège du Bois-d’Aulne à Conflans-Sainte-Honorine fut décapité par un fanatique islamique, à Eragny-sur-Oise (Val-d’Oise).
J’ai tout d’abord refusé d’aller sur les lieux. Puis, mû non pas par un voyeurisme mais par une envie d’alimenter ma rage contre cette religion préconisant la soumission ou la mort, je me suis rendu au collège de Samuel Paty, dont j’apprends qu’il va enfin être rebaptisé de son nom, jusqu’à ce qu’un autre fanatique de la religion « aride », comme la désignait l’historien Henri Martin, oppose religieusement son refus, qui sait ?
Sur place, il y avait bien entendu les hyènes des chaînes d’info en continu, attendant l’image choc au mépris du recueillement de certains visiteurs, dont une jeune femme pleurant à chaudes larmes. L’entrée de l’établissement était recouverte de fleurs et de mots. Autant d’ex-voto remerciant Samuel Paty. C’était dérisoire mais il faut savoir que beaucoup de ces manifestations de chagrin provenaient de jeune adolescents, précipités soudain dans la réalité islamique.
Quelques jours plus tard, j’étais à Paris, pour une manifestation en hommage à ce professeur martyr, place de la République. Là-bas, j’ai subi l’hypocrisie de la gauche qui, toute honte bue, croyait célébrer un homme mort, voulant ignorer que c’était par la faute de sa politique. De voir par exemple parader un Dominique Sopo m’a particulièrement écœuré. J’ai été tout de même très satisfait d’entendre les représentants de l’Unef – ce syndicat étudiant islamolâtre – se faire siffler et traiter de collabos (à 12 min. 40 sur la vidéo), eux qui avaient activement participé à l’entrisme islamique dont l’issue ne pouvait être que le sang et les larmes, promis jadis par Churchill au peuple britannique. Sauf que Churchill promettait au bout la victoire sur la tyrannie et pas la victoire de la tyrannie qu’appellent de tous leurs vœux ces traîtres à la France !
Une fois encore, tout le monde a dit : « Plus jamais ça ». Et le 13 octobre 2023, à Arras (Pas-de-Calais), Dominique Bernard était à son tour assassiné par un fidèle islamique…
Plus généralement, Samuel Paty et Dominique Bernard ont été abandonnés par un système tout entier et nul ne peut se prétendre à l’abri de la honte.
Charles Demassieux, Riposte Laïque
. Macron se ridiculise car Netanyahou a raison : la Finul ne sert à rien
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°° WEBTUBE : Une fois de plus, Macron a tout faux. En déclarant que « Monsieur Netanyahou ne doit pas oublier que son pays a été créé par une décision de l’ONU », Macron fait preuve d’une arrogance et d’un mépris contre un pays ami et en guerre, qui salissent la France. Que Macron commence donc par exiger du Hezbollah qu’il respecte la résolution 1701 de l’ONU, avant de donner des leçons d’histoire sur la naissance d’Israël au Premier ministre de l’Etat hébreu.
Je rappelle que Macron s’est récemment immiscé dans les affaires intérieures du Liban, en échangeant avec le Hezbollah, une organisation terroriste. Le résultat ? Un fiasco. Par conséquent notre président est mal placé pour donner des leçons à qui que ce soit.
Il serait mieux inspiré en rapatriant nos 700 soldats de la Finul, un « machin » onusien totalement inutile. Tout donne raison à Netanyahou.
Non seulement les 10 000 casques bleus de la Finul, sous-équipés, ne servent strictement à rien, mais ils sont un handicap pour les soldats de Tsahal, freinés dans leurs opérations au Sud-Liban, par peur de faire des victimes collatérales parmi la force de paix onusienne.
En fait, le Hezbollah se sert de la Finul comme bouclier humain. Les bastions du Hezbollah et les postes de la Finul sont côte à côte dans la zone de combat.
Déployée au Liban depuis 1978 pour y garantir la paix et la stabilité, la Finul n’a pu éviter aucune guerre, ni empêcher aucune agression du Hezbollah contre Israël. Cinquante pays y participent.
https://www.dreuz.info/2024/10/la-finul-pour-les-nuls-304069.html
La milice chiite armée par Téhéran, est un véritable Etat dans l’Etat qui bafoue la résolution 1701 de l’ONU, exigeant son retrait au nord du fleuve Litani pour assurer une zone de protection pour Israël.
La Finul a-t-elle fait respecter cette résolution par le Hezbollah ? Non ! C’est pourtant sa mission.
Non seulement le Hezbollah a pris possession du Sud-Liban, y creusant des tunnels et des caches d’armes innombrables, mais il le fait à quelques mètres des postes de la Finul, totalement sourde et aveugle, se montrant incapable d’assurer la mission pour laquelle elle a été créée.
Comment la Finul peut-elle ignorer les travaux du Hezbollah à la frontière ? On ne creuse pas des tunnels en quelques heures, à la petite cuillère et en silence. Que ceux qui accablent Netanyahou et dénoncent les bavures de Tsahal nous expliquent pourquoi la Finul n’a rien vu et n’a pas pu protéger les 80 000 habitants évacués de toute la région nord.
À seulement quelques mètres à l’intérieur du territoire libanais, les soldats israéliens ont découvert ces tunnels et ces armements, missiles antichars, fusils d’assaut, munitions, permettant de harceler les kibboutz et les villages proches de la frontière.
En une semaine, Tsahal a découvert 700 caches d’armes diverses.
Depuis la reprise des hostilités, ce sont 80 000 habitants qui ont dû évacuer le nord d’Israël, soumis à une pluie de 9 000 roquettes tirées par le Hezbollah, en soutien au Hamas.
La Finul a-t-elle pu empêcher cette agression pour protéger les populations juives ? Non ! C’est pourtant sa mission.
La Finul a-t-elle pu empêcher les affrontements ? Non. C’est pourtant sa mission.
Qu’on me dise ce que nos soldats font encore au Liban. 83 de nos parachutistes y sont morts en 1983, massacrés dans un attentat du Hezbollah. Morts pour rien !
Depuis des années, les militaires israéliens ont alerté la communauté internationale sur la présence du Hezbollah à leur frontière. Qui les a écoutés ? Certainement pas l’ONU et encore moins Macron, qui pourtant se permet de faire de l’ingérence dans les affaires du Liban.
Tsahal découvre que ce que préparait le Hezbollah, c’est un massacre de type 7 octobre 2023, à la puissance 10. Il n’y aura pas de cessez-le-feu tant que la menace n’aura pas été éradiquée. Macron refuse d’admettre qu’Israël mène un combat existentiel, Netanyahou ira jusqu’au bout pour une raison simple : seul contre tous, il n’a plus rien à perdre.
Antonio Guterres peut s’étrangler d’indignation en déclarant : « Les attaques contre des soldats du maintien de la paix sont une atteinte au droit international, y compris au droit humanitaire international. Elles peuvent constituer un crime de guerre »
Si les soldats de la paix sont incapables de maintenir la paix et de protéger les populations, ils deviennent inutiles.
On estime que le Hezbollah possède de 150 à 200 000 roquettes.
Qui d’autre que Tsahal va sécuriser le Sud-Liban puisque la Finul est totalement défaillante ?
Et puisque Macron fait la leçon à Netanyahou, rappelons aussi qu’en 1947, l’ONU avait divisé la Palestine mandataire en deux Etats. Mais les Arabes ont refusé d’avoir un Etat juif à leurs côtés. Est-ce la faute de Netanyahou ?
Jacques Guillemain, Riposte Laïque