. Delogu ne sait pas qui est le Maréchal Pétain


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°° WEBTUBE : Avec des élus de ce type, la France de 2050 ne saura tout simplement pas qui furent Pétain, Laval, Doriot, Déat, Darnand, Bousquet, Papon. Comment peut-on représenter le peuple et ne rien connaitre à notre histoire proche ?

Que Delogu soit d’origine algérienne, espagnole, arménienne et italienne, même s’il n’a aucune goutte de sang français et il n’a pas à se moquer totalement de l’histoire de France […]

Le bashing qu’il prend va le rendre très populaire chez les illettrés de banlieue qui haïssent les bobos (blancs) de plateaux télés. Il est à l’image des millions de Fronssais qui seront demain majoritaires dans toutes les villes du pays : débiles, incultes et fiers de l’être.

Nous sommes sur le point de passer du Maréchal Philippe Pétain à Delogu.

On peut appeler ça le paradigme Pétain/Delogu.

Rétrospectivement, c’est une évolution prodigieuse.

D.P.

. Allemagne : Un site internet donne un aperçu terrifiant de la violence quotidienne et des attaques au couteau


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WEBTUBE : Au cours des sept premiers jours de septembre, la police allemande a eu à traiter plus de 100 attaques commis à l’aide d’un couteau. C’est ce que révèle un nouveau site web appelé Messerinzidenz (Incidence des couteaux), qui analyse quotidiennement les rapports de police pour créer un suivi en temps réel des crimes commis avec un couteau. La fréquence et la gravité de ce crime désormais courant montrent clairement que les « incidents isolés » s’ajoutent à une réalité effrayante.

De nombreuses attaques au couteau ont lieu chaque jour dans les rues d’Allemagne, mais la plupart d’entre elles ne sont même pas enregistrées par les médias. Afin de rendre plus visible le nombre d’attaques quotidiennes au couteau, un développeur a publié une carte interactive de l’Allemagne sur laquelle les nouveaux cas sont enregistrés en temps réel et affichés géographiquement et avec les références des sources.

Ce projet est basé sur une collecte et une agrégation complètes des communiqués de presse de la police de toute l’Allemagne relatifs à des incidents impliquant des couteaux ou d’autres armes blanches. L’objectif est de fournir une image transparente de l’étendue et de la répartition de ces crimes à travers le pays en temps réel. En visualisant les données sur une carte interactive, les citoyens, les chercheurs et les décideurs politiques peuvent mieux comprendre l’occurrence et la fréquence des crimes commis avec des couteaux dans différentes régions. L’incidence des couteaux a pour but de sensibiliser le public et de susciter des discussions éclairées sur la sécurité en Allemagne.

Les chiffres présentés sur le site web se fondent exclusivement sur les rapports de police, qui sont recherchés à l’aide de l’intelligence artificielle pour des mots clés liés aux armes blanches. Toutefois, le site web souligne activement qu’en raison du processus de signalement et de traitement par la police, toutes les attaques au couteau ne sont pas communiquées publiquement. Et, bien entendu, la police n’est pas appelée pour chaque crime. Selon le site :

Les attaques au couteau sont rapportées presque quotidiennement dans les nouvelles, mais ces rapports ne montrent souvent que les cas les plus extrêmes. La véritable dimension de la violence au couteau reste souvent cachée, car de nombreux incidents se perdent dans les communiqués de presse régionaux. Messerinzidenz.de garantit la transparence en recherchant en permanence tous les rapports de police régionaux et en publiant ici les rapports pertinents sur les crimes au couteau avec référence à la source.

Collecte des données

Le développeur du site explique comment les incidents sont enregistrés sur le site :

  1. L’acte se produit. Une agression est commise et la police est appelée. (REMARQUE : tous les incidents n’impliquent pas un appel à la police).
  2. Un incident est documenté. Le crime est documenté dans un système de traitement des affaires de police. Depuis janvier 2020, les attaques au couteau y sont enregistrées comme un « phénomène ». (REMARQUE : les crimes dans lesquels un couteau a été impliqué mais n’a pas été utilisé comme instrument ne sont pas enregistrés).
  3. L’incident est publié. L’incident est publié dans un communiqué de presse ou des représentants de la presse s’adressent à la police. (REMARQUE : la police n’est pas tenue de publier les incidents).
  4. Messerinzidenz.de lit les communiqués de presse. Le développeur fournit une liste des sites web des communiqués de presse de la police et effectue une recherche par mots clés.
  5. Messerinzidenz.de ajoute l’incident. Si le communiqué de presse contient l’un des mots clés, l’incident sera affiché sur le site web.

Le site web précise qu’il ne peut pas, à ce stade, être utilisé comme outil de comparaison :

Les chiffres agrégés relatifs à l’incidence des armes blanches ne peuvent être comparés à d’autres statistiques telles que les statistiques de la police sur la criminalité (PKS). Au sens de l’enregistrement des crimes dans les PKS, les « attaques au couteau » sont : « […] les actes au cours desquels une personne est menacée d’être attaquée au moyen d’un couteau ou est attaquée directement contre elle. Le simple fait de porter un couteau n’est toutefois pas suffisant pour qu’il soit enregistré comme une attaque au couteau. [Source : PKS 2023 ,p.15 ] ».

En outre, le site note qu’il y aura évidemment des cas de sous-enregistrement en raison des chiffres non signalés susmentionnés (comme indiqué aux points 1, 2 et 3 ci-dessus). D’autre part, un double comptage est possible, car le même acte peut être publié sur différents portails (par exemple, dans des communiqués de presse conjoints de différentes autorités) ou lorsqu’il y a des rapports de mise à jour sur les communiqués de presse.

Le site web souligne que l’inclusion d’un incident impliquant un couteau est un « indicateur non critique » – il appartient aux journalistes et aux politiciens de décider si un certain nombre d’incidents est alarmant ou acceptable.

Le projet d’analyse des données prévoit de s’étendre à la détection automatique des doublons, à une fonction d’exportation des données brutes, à des données globales pour chaque État, à des valeurs comparatives pour l’année précédente et pour les statistiques criminelles de la police, ainsi qu’à une carte thermique intégrée.
Breizh-info.com

. Etats-Unis : Le débat truqué n’aidera aucunement Kamala Harris


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°° WEBTUBE : Trump a de nombreux atouts en main que beaucoup oublient. Ceux qui enterrent prématurément Donald Trump en prétendant que la candidate démocrate a gagné ce débat évacuent l’essentiel et pavoisent un peu vite.  On comprend que toute la presse occidentale pousse un soupir de soulagement, puisque Kamala Harris ne s’est pas effondrée comme le craignait le camp mondialiste. Mais avoir évité le pire face au milliardaire n’est pas pour autant synonyme de victoire.

Sans aucun programme, sans aucun charisme, sans aucun bilan en tant que vice-présidente, Kamala Harris a bénéficié du soutien des organisateurs du débat, qui ont ressorti leurs attaques éculées contre le candidat républicain, cible permanente de l’État profond.

Mais ce débat ne fait pas oublier que Kamala Harris est une immigrationniste, fan du wokisme et sensible à la cause palestinienne. De lourds handicaps dans une Amérique profondément divisée et qui a toujours affiché un soutien inconditionnel à Israël.

De son côté, Trump est insubmersible.

– Il a survécu miraculeusement à un attentat, tournant la tête une seconde avant que la balle du tueur ne l’atteigne en plein front

– Il a résisté à toutes les attaques et accusations qui auraient coulé n’importe quel autre candidat

– Son électorat lui pardonne tout, ses excès, ses mensonges, ses scandales, faisant de lui un martyr, quand ce n’est pas un héros injustement persécuté

– Il a le soutien inconditionnel des États ruraux, les plus nombreux

– Seul un écart de 3 à 5 points en faveur de Kamala Harris, permettrait à celle-ci d’envisager la victoire. Car le système électoral américain permet de rafler la mise avec les grands électeurs, tout en étant minoritaire en voix au niveau national

– À égalité dans les sondages, 47 % contre 48 %, Trump devrait sortir gagnant

– Les 7 États-clés, Michigan, Wisconsin, Géorgie, Caroline du Nord, Arizona, Nevada et Pennsylvanie décideront une fois de plus de la victoire

– Mais contrairement à 2020, le camp républicain a pris en compte le risque de fraude massive

– 175 000 observateurs républicains vont surveiller le scrutin

– Trump a promis des “peines de prison de longue durée” pour les fraudeurs impliqués en 2024

Bref, ce ne sont ni les médias, ni le débat, ni la chanteuse Taylor Swift, qui s’est déclarée favorable à Kamala Harris, qui feront l’élection.

Les deux camps se sont radicalisés.

Les 2/3 des républicains sont convaincus que Trump dit vrai quand il affirme que les démocrates lui ont volé sa victoire en 2020 et s’apprêtent à en faire autant en 2024.

Rien d’étonnant donc, à ce que les 2/3 des citoyens américains s’attendent à des violences post-électorales. Mais cette fois, la triche sera plus difficile pour le camp démocrate. Il reste cinquante jours de campagne avant le verdict.

(inspiré du Figaro du 12 septembre)

Jacques Guillemain, Riposte Laïque