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°° WEBTUBE : Focus de cet Octogone sur Michel Barnier, nommé Premier Ministre par Emmanuel Macron, pour ce qu’avait prévu l’essayiste et politologue Pierre-Yves Rougeyron à savoir un fameux “gouvernement technique”. Pourquoi donc un ancien commissaire européen pour prendre les rênes d’une France surendettée? Pour mieux la dissoudre dans un état fédéral européen bien sûr! Puisqu’il l’avait prédit avec brio, Pierre-Yves Rougeyron en discute donc avec nous en direct
. France, Zone Euro, Épargne : Comment éviter le chaos ?
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°° WEBTUBE : La France a enfin un nouveau Premier Ministre. Pour autant, le plus dur reste à venir. Et pour cause : La France en septembre 2024 c’est : Une dette publique de 3 200 milliards d’euros, un déficit public qui devient incontrôlable, numéro un mondial des dépenses publiques (57,3%), des dépenses sociales (31,6%) et des prélèvements obligatoires (46%), des indices INSEE du climat des affaires et de confiance des ménages en zone de contraction de l’activité, chute de 1,9 % de la production industrielle en 3 mois, plongeon de 3,3 % des exportations en juillet, déficit de la balance courante…
Enfin, la France a sollicité un délai supplémentaire pour l’envoi de son plan de réduction du déficit public à Bruxelles, initialement attendu pour le 20 septembre. Dans ce cadre, de nombreuses questions se posent : Quelles perspectives pour le déficit public et la dette en 2024 et 2025 ? Déjà en roue libre depuis 2023, pourquoi le déficit public français est devenu incontrôlable ? Où peut-on faire des économies ? Que regroupent les dépenses de fonctionnement ? Pourquoi, depuis 2010, 90,9 % du déficit public provient de l’Etat et des administrations centrales ? Quelles mesures est-il possible de prendre pour sauver l’économie française ? Est-il possible de réduire le déficit public de 70 Mds d’euros en une année ? Quelles stratégies pour protéger notre épargne ? Question de la semaine : L’Etat français peut-il ponctionner l’épargne des citoyens ? Quelle est la bonne nouvelle de la semaine ? Réponses à toutes ces questions et à bien d’autres dans cette vidéo, graphiques et tableaux explicites, pédagogiques et réalisés sans trucage à l’appui… PS : une petite erreur s’est glissée dans le slide 9. Voici les bons chiffres de la répartition de la dette publique française : 83,4 % pour l’Etat et administrations centrales, 8,1 % pour les collectivités locales et 8,5 % pour les administrations de sécurité sociale. Merci pour votre compréhension
. Une frappe hypersonique élimine 800 gradés ukro-otaniens à Poltava
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°° WEBTUBE : Tandis que Zelensky fait la manche pour réclamer toujours plus d’armes et surtout des missiles longue portée pour frapper le cœur de la Russie, Poutine continue la destruction méthodique de l’armée ukrainienne, au rythme de 3 000 soldats mis hors de combat chaque jour. Mais le Churchill ukrainien s’acharne. Pour Zelensky, la fin de la guerre après la défaite, c’est le grand saut dans l’inconnu. Car il faudra bien endosser la responsabilité du massacre d’une ampleur effrayante.
Les naïfs Occidentaux n’ont toujours pas compris qu’ils ont vingt ans de retard sur les armements russes et qu’ils ne gagneront jamais cette guerre. Mais comment faire comprendre à un faucon du Pentagone que l’avance technologique russe est considérable, aussi bien dans les domaines des armes offensives ou défensives que dans celui de la guerre électronique ? Il n’y a que dans le secteur du renseignement que l’Otan a la suprématie satellitaire et aérienne.
Comme le rappelle l’auteur de l’article ci-dessous, les missiles hypersoniques russes sont inégalés. La dernière salve sur un rassemblement de hauts gradés et de conseillers otaniens à Poltava a fait 800 victimes dont 200 morts. Un ballet d’avions cargos a dû rapatrier les corps dans les différents pays occidentaux engagés en Ukraine. Et ce n’est pas un cas isolé.
On ne connaît pas le nombre de morts que compte la France dans ce décompte macabre, mais Macron sacrifie nos soldats pour une cause non seulement injuste, mais surtout perdue d’avance.
Rien n’arrête les missiles hypersoniques se déplaçant à mach 10. Ils sont imparables. Et dès qu’une concentration d’officiers ukrainiens et otaniens est connue des Russes, les missiles ne tardent pas à frapper.
Souvenez-vous de nos experts qui clamaient dès le printemps 2022 que Poutine n’avait plus de munitions et encore moins de missiles. Des crétins imposteurs.
Aujourd’hui, quand la France fabrique 30 000 obus par an et espère dépasser les 100 000 bientôt, la Russie en sort 3 millions. En deux ans, la France n’a livré que 30 000 obus de 155 mm à l’Ukraine. Au plus fort de la guerre, la Russie en tirait 50 000 en 24 heures.
Quel que soit l’effort de guerre occidental, il ne fera que prolonger l’hécatombe. 600 000 morts côté ukrainien, autant de blessés, des dizaines de milliers de handicapés, des centaines de milliers de veuves et d’orphelins. Des victimes de la haine antirusse des États-Unis, restés scotchés dans la guerre froide contre l’URSS.
Les Américains sont prêts à liquider le peuple ukrainien si cela peut empêcher l’émergence d’une vaste Europe de Gibraltar à Vladivostok.
Depuis vingt ans, Poutine réclame des garanties de sécurité pour toute l’Europe. Depuis vingt ans, Washington lui rit au nez. Depuis 2015, il demande que soient appliqués les accords de Minsk, mais Kiev et l’Europe lui rient au nez.
De même que Bruno Le Maire, le guignol de Bercy, clamait qu’il allait mettre l’économie russe à genoux, les faucons américains ont cru qu’ils allaient achever l’Ours russe en trois mois. Mais comment peut-on être aussi stupide ? Comment ont-ils pu ignorer la puissance de l’armée russe que Poutine reconstruit depuis l’an 2000 ? Il est assez sidérant de voir que l’Otan s’est attaquée à la Russie en la jugeant dix fois plus faible qu’elle ne l’est.
Si l’escalade perdure, si l’Occident autorise Zelensky à frapper les cibles russes en profondeur, si des F-16 mènent des missions de guerre au départ de pays frontaliers de l’Ukraine, il ne faudra pas s’étonner si une base roumaine ou polonaise est pulvérisée par un missile russe.
Ce n’est pas parce que nous ne connaissons pas les véritables lignes rouges de Poutine qu’elles n’existent pas et qu’il bluffe, comme on l’entend de la bouche de quelques illuminés qui fanfaronnent bien assis dans leurs fauteuils.
Quel peuple européen est prêt à se sacrifier pour un pays mafieux et corrompu comme l’Ukraine, au bénéfice des seuls intérêts américains ?
En attendant, Zelensky continue de sacrifier ses soldats sans états d’âme et s’acharne du côté de Koursk, devenu la nouvelle fournaise où se jettent les débris de son armée.
“L’armée ukrainienne a perdu 4 740 tués et 5 890 blessés, depuis le 6 août, dans l’oblast de Koursk, où elle mène une opération militaire contre des civils russes… plus 88 chars, 725 véhicules blindés, 373 véhicules, 118 pièces d’artillerie, etc.”, nous dit Marc Legrand.
10 000 hommes sacrifiés en un mois à Koursk, pour tenir 1 000 km2, alors que les Russes avancent sur l’ensemble du front du Donbass, voilà qui commence à faire cher…
Les derniers chiffres du ministère russe de la Défense sont assez proches
“Les pertes des forces armées ukrainiennes pendant toute la période des hostilités dans la région de Koursk ont dépassé 11,8 mille militaires, 93 chars, 7 HIMARS MLRS et 5 MLRS ont été détruits.”
Pour mémoire, ce sont 120 000 km2 du territoire ukrainien que les Russes ont annexés depuis février 2022. Autant dire que pour négocier, Zelensky arrive les mains vides. Il devra bientôt capituler et se réfugier aux États-Unis.
Car après avoir saigné son peuple tout en lui promettant la victoire, il va de soi qu’il ne s’est pas fait beaucoup d’amis, en Ukraine comme en Russie…
Jacques Guillemain, Riposte Laïque