. La Commission Européenne « saisie » après une vidéo du Raptor qui explose le mythe réchauffiste


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°° WEBTUBE : Depuis quand est-il permis d’émettre des doutes sur le réchauffement climatique « d’origine humaine » ? Il est temps d’agir. Vite, saisissons la Commission Européenne pour que ces négationnistes arrêtent de parler librement.

00:00:00 Comme un climat d’apocalypse 00:00:39 Introduction 00:03:11 Plan détaillé de la vidéo 00:03:44 1.1 De quoi démarre-t-on ? 00:05:40 1.2 Les anomalies de température depuis 1850 00:08:48 2.1 L’état d’équilibre 00:09:41 2.2 L’effet de serre 00:10:59 2.3 Influences humaine et naturelle 00:13:23 3.1 Rapport entre émissions et concentrations 00:16:46 3.2 Les prévisions du GIEC 00:19:23 4.1 Modélisation climatique, le plus grand défi de simulation 00:20:49 4.2 Comment sont créés les modèles ? 00:22:49 4.3 Limites des modèles 00:27:22 4.4 Un large éventail de résultats 00:30:17 5.1 Montée des eaux 00:33:56 5.2 Ouragans et tornades 00:37:15 5.3 Précipitations, inondations et feux de forêts 00:39:48 5.4 Espaces verts et rendements agricoles 00:42:45 6.1 Les filtres successifs du GIEC : du rapport original au “résumé pour les décideurs” 00:47:36 6.2 Censures et pressions politiques/économiques/personnelles 00:53:29 7.0 Rappel des faits 00:54:14 7.1 Les accords de Paris 00:55:46 7.2 Le “net zero” et ses conditions 00:57:06 7.3 Énergie, PIB, population : le mono-délire européen 01:00:24 7.4 Les fausses promesses de la “transition énergétique” 01:08:59 Conclusion

. Une France sous tutelle : compte à rebours lancé – Politique & Eco avec Tom Benoit


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°° WEBTUBE : Une France rattrapée par ces vieux démons. Alors que Michel Barnier, l’égérie de Bruxelles, vient d’être nommé au poste de premier ministre, toutes les lumières sont au rouge pour les Français. Leur Etat est sous le coup d’une procédure de la Commission européenne pour déficit excessif (5,6% en 2024 selon B. Le Maire), et le budget pour 2025, déjà en retard dans sa préparation, promet une pression fiscale insoutenable et un déficit autour des 6%. Une incapacité de nos dirigeants à réduire les dépenses publiques qui interroge comme avec la transition écologique ou les 15 milliards € déjà dépensés pour aider l’Ukraine dans une guerre perdue d’avance. Une gabegie ubuesque qui expose notre pays à la menace d’une mise sous tutelle de la Commission européenne et une disparition de la France comme pays indépendant. Le paiement des intérêts de la dette coûte déjà plus de 50 milliards €/an à l’Etat et pourrait avoisiner les 75 milliards € en 2027. Tom Benoit, économiste et directeur de la rédaction de “Géostratégie magazine”, livre un constat pessimiste : “les Français ont cessé de se battre, je ne crois pas au relèvement de la France…”. En attendant un éventuel sursaut du peuple qui attend souvent d’être dos au mur…

. La solidarité communautaire en action !


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°° WEBTUBE : L’entraide est réelle dans certaines cités. Ils bloquent la voiture de police pendant une course poursuite. “Voilà ! Terminus, tout le monde descend.”

. Afrique : théâtre de la prédation chinoise et des rivalités Chine-Occident


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°° WEBTUBE : La neuvième édition du Forum sur la coopération sino-africaine (FOCAC) s’ouvrait ce 4 septembre à Pékin. Un rendez-vous diplomatique organisé en grande pompe, entre la Chine et les États d’Afrique, et réitéré tous les trois ans depuis la création du sommet multilatéral en 2000. À travers cette nouvelle rencontre au sommet, Pékin, devenu le premier partenaire commercial du continent africain, poursuit son offensive sur le continent en prônant une « coopération gagnant-gagnant ». Un partenariat Chine-Afrique de grande envergure, fondé principalement sur le développement économique et commercial des États africains, tout autant qu’une initiative qui fait ombrage aux anciennes puissances coloniales et occidentales implantées historiquement sur le continent, mais qui voient le dragon chinois progressivement entasser le butin africain à leurs dépens et leur damer le pion.

Le thème de cette nouvelle édition : « Se donner la main pour faire avancer la modernisation et construire une communauté sino-africaine de haut niveau avec un avenir commun ». L’avenir, pour la Chine, c’est justement l’assurance d’apports en matières premières et minerais stratégiques pour son industrie manufacturière et technologique. Avec ses innombrables ressources géologiques, l’Afrique attire donc tout particulièrement l’intérêt de Pékin depuis plusieurs décennies. C’est le cas en République démocratique du Congo (RDC), où la Chine, depuis le « contrat du siècle » de 2007 signé entre Pékin et l’ancien président de la RDC Joseph Kabila, et autrement baptisé « Mines contre infrastructures », s’est emparée de la majorité des concessions minières du pays (cuivre, cobalt, mais aussi or, lithium, terres rares, etc.), autrefois aux mains de la Gécamines (Société générale des carrières et des mines, détenue par l’État de la RDC). Sur les 19 mines de cobalt que compte le Sud-Est congolais, la Chine en possède ainsi 15. Une coopération sino-africaine fortement asymétrique, qui n’a eu de cesse de se renforcer depuis la fin des années 1990 et l’adhésion de la Chine à l’Organisation mondiale du commerce (OMC) en 2001. Et, plus encore, depuis le lancement des nouvelles routes de la soie par Xi Jinping, en 2013. Un projet titanesque, qui a pour but de désenclaver la Chine en la reliant aux quatre continents par voie terrestre et maritime.

L’Afrique rempile face aux promesses chinoises

Le président chinois Xi Jinping s’est engagé, ce jeudi 5 septembre, à doter l’Afrique d’un nouvel apport financier de près de 51 milliards de dollars. Une aide conséquente qui sera apportée par Pékin au continent sur trois ans. L’enjeu : le développement de nouveaux projets d’infrastructure, projets agricoles et autres projets d’énergies vertes et la création d’« au moins 1 million d’emplois ». Fait notable : pour la première fois de l’Histoire, l’aide chinoise sera libellé en yuans (soit 360 milliards de yuans) afin de renforcer l’internationalisation de la devise chinoise.

À ce sujet — Communauté de destin Chine-Afrique renforcée, effacement de la France confirmé

« Les relations entre la Chine et l’Afrique ne se sont jamais aussi bien portées qu’aujourd’hui
»
, déclarait Xi Jinping. La coopération sino-africaine est d’autant plus forte qu’elle se veut multisectorielle : industrie, agriculture, infrastructures, télécommunications, commerce et investissements, éducation, santé, sécurité, développement durable. Tous les domaines de coopération sont ainsi investis par le Parti communiste chinois afin d’accroître son emprise sur le continent. Y compris militaire, comme à Djibouti, cœur névralgique du commerce maritime international, où la Chine s’est imposée de force, face à la présence militaire américaine, française et japonaise. Une véritable révolution copernicienne pour Pékin, qui s’inscrit dans le climat de la compétition stratégique menée contre les États-Unis, hostiles à la présence et à l’influence chinoise sur le continent.

La diplomatie de la dette au service des intérêts de Pékin

Mais l’aide de Pékin n’est pas sans contrepartie, puisque la Chine – premier bailleur de fonds de la plupart des pays d’Afrique – tient désormais plusieurs États africains, lourdement endettés auprès des banques publiques chinoises, sous sa coupe. Un cercle vicieux de la dette, qui se perpétue par des contrats réitérés de nombreux prêts d’investissements. L’argent fourni par la Chine aura cependant permis aux États africains d’accueillir sur leur sol de nombreuses infrastructures (voies ferrées, routes, ports, aéroports, réseaux de télécommunication, etc.) afin d’accroître leurs échanges commerciaux. Mais cette pax sinica ne saurait cacher la stratégie de prédation chinoise, plus subtile que celle de ses prédécesseurs du temps de l’ère coloniale, mais non moins redoutable ; ce qui nourrit plus encore le sentiment anti-chinois au sein des populations africaines. Parmi les pays d’Afrique tombés dans les filets chinois du piège de la dette : le Nigeria, l’Éthiopie, l’Angola ou la Zambie. Le Kenya, plus grande économie d’Afrique de l’Est, fait également figure de « joyau de la corruption » depuis la création, en 2017, d’une ligne de chemin de fer reliant la ville portuaire de Mombasa à la capitale Nairobi. Les entreprises du géant asiatique y remportent ainsi de nombreux appels d’offres, au détriment des investisseurs occidentaux (et français).

Enfin, les largesses chinoises et autres « cadeaux » offerts aux dirigeants de la région permettent également à Pékin de s’assurer le soutien diplomatique des pays africains au sein de l’Assemblée générale des Nations unies, notamment sur le dossier taïwanais, véritable pomme de discorde qui cristallise les tensions, de plus en plus vives, entre Pékin et Washington.

Une mondialisation du continent africain « made in China » léonine. « Le siècle de l’humiliation » semble désormais un lointain souvenir. C’est une Chine conquérante qui s’impose désormais en Afrique et qui met au tapis les puissances occidentales, moins compétitives, pour s’assurer accès aux ressources naturelles et soutien diplomatique.

Anna Morel, Boulevard Voltaire

. Paris : le périphérique limité à 50 km/h, la fausse bonne idée d’Hidalgo


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°° WEBTUBE : Lundi 9 septembre, Anne Hidalgo a annoncé, sur RTL, une mesure sur laquelle elle travaille depuis 2018 : l’abaissement de la vitesse maximale sur le périphérique parisien à 50 km/h. Elle doit être effective le 1er octobre. Le maire de Paris a également affirmé que cette mesure ferait l’unanimité au Conseil de Paris. C’est là que le bât blesse. Si le périphérique fait bien partie du territoire parisien, il est de fait bien plus utilisé par les Franciliens. Ainsi, une étude de l’Institut Paris Région indiquait, en avril 2024, que « 80 % des usagers du boulevard périphérique (BP) habitent en dehors de Paris ». Elle montrait également que « 59 % des déplacements passant par le boulevard périphérique se font entre Paris et la banlieue, 35 % ont pour origine et destination la banlieue et seulement 6 % sont internes à Paris ». Ainsi, un sentiment d’iniquité peut être ressenti par les habitants d’Île-de-France, tous ne pouvant prendre les transports en commun.

Car la diminution de la vitesse implique nécessairement une augmentation du temps de trajet. Le risque de congestion sur le boulevard périphérique est également naturellement accru. Ce qui risque donc de créer une barrière temporelle supplémentaire pour entrer dans Paris, mais également une barrière financière, puisqu’un temps de trajet plus long en voiture équivaut à une plus grande consommation d’essence. Or, en pleine période inflationniste, les carburants font partie des produits les plus impactés.

Une mesure antipollution… qui polluera plus !

L’argument avancé par la mairie est également contestable. Pour Anne Hidalgo, cette mesure vise avant tout à améliorer la santé publique en bordure du périphérique, c’est-à-dire à diminuer la pollution atmosphérique aux abords du « périph ». BV a contacté Fabrice Godefroy, expert en mobilité et environnement de l’association « 40 millions d’automobilistes ». Selon lui, « ce qui compte avant tout, dans les émissions de gaz polluants d’une voiture, c’est le régime moteur. On pollue évidemment plus à 1.300 tours par minute qu’à 1.100. Or, selon une étude du CEREMA, le moteur tourne plus à 50 km/h qu’à 70. Une voiture relâche plus de CO2 et d’oxydes d’azote à 50 km/h qu’à 70 km/h. » Ainsi, la mesure d’Anne Hidalgo est non seulement contre-productive, mais sa principale justification est mise en cause.

De plus, elle s’ajouterait à une autre mesure susceptible de complexifier la circulation sur le boulevard périphérique : la création d’une voie réservée au covoiturage, aux taxis et aux bus, en lieu et place de celle jusqu’ici dévolue aux transports des JO. C’est en tout cas l’avis de Fabrice Godefroy : « Les bus entrent sur le périphérique par la droite, doivent le traverser pour se mettre à gauche, puis faire le chemin inverse afin d’en sortir. Cela risque évidemment de créer des blocages. »

Le périphérique n’appartient pas à Mme Hidalgo

L’abaissement de la vitesse maximale sur le périphérique pourrait avoir d’autres conséquences. L’Île-de-France est de loin la région la plus riche et productive du pays. Le périphérique est utilisé quotidiennement par un million de personnes. L’augmentation des temps de trajet conduirait à une diminution de la productivité des usagers. Tout le monde ne peut pas faire du télétravail. Cependant, la décision ne revient pas uniquement à la mairie de Paris. Le préfet de police peut apporter un veto pour des raisons de sécurité. Contactée par BV, la préfecture répond que « les consultations prévues n’ont pas été menées à leur terme » et que « ce projet nécessite à la fois une expertise des services de l’État responsables du réseau routier national francilien et une consultation des collectivités publiques limitrophes ». Or, Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, s’oppose frontalement à ce projet. Il ne reste donc à l’État que 21 jours pour trancher…

Louis de Torcy, Boulevard Voltaire