. La chanson du jour, Bateau Mouche – Henry Mancini

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°° WEBTUBE : En cette période de JO à Paris, quoi de plus romantique que cette petite ballade musicale associant le violon et l’acordéon. Splendide. Témoignant une fois de plus de son pur génie, Mancini a capturé l’essence pure de la culture parisienne dans la scène la plus romantique de ce film qui comprend une croisière nocturne sur un bateau sur la Seine.

°° WEBTUBE: During this Olympic period in Paris, what could be more romantic than this little musical ballad combining the violin and the accordion. Splendid.  Testifying once again to his pure genius, Mancini captured the pure essence of Parisian culture in this film's most romantic scene which includes a night cruise on a boat on the Seine.

. France et Zone Euro : Après les JO, le chaos ?

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°° WEBTUBE : « Donnez leur du pain et des jeux ! » Si pour le moment de nombreux Français sont anesthésiés par les JO, les mois à venir s’annoncent particulièrement difficiles pour les entreprises, les ménages et l’ensemble de l’économie française. C’est d’ailleurs ce que viennent de confirmer les derniers indicateurs avancés de l’activité nationale. Dans ce contexte, de nombreuses questions se posent : La croissance du PIB français de 0,3 % au deuxième trimestre 2024 est-elle normale ? Comment s’explique-t-elle ? Quelles sont les perspectives d’activité de l’économie française ? Quid de la consommation des ménages, de l’investissement des entreprises et du chômage au cours des prochains mois ? Quelles perspectives pour la Zone Euro dans son ensemble ? Quid de l’Euro/dollar pour les prochains trimestres ? Comment vont évoluer les taux d’intérêt de la BCE et de la Réserve fédérale américaine ? Quelle est la bonne nouvelle du jour ? Que répondre à la question de la semaine : Dans quels pays ouvrir un compte bancaire à l’étranger ? Réponses à toutes ces questions et à bien d’autres dans cette vidéo, graphiques et tableaux explicites, pédagogiques et réalisés sans trucage à l’appui…

. Venezuela : soulèvement général contre le tyran Maduro

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°° WEBTUBE : Est-ce la fin du bolchevisme dans cet enfer marron qu’est le Venezuela ? Si le paradis communiste qui tient lieu de modèle à Mélenchon peut être anéanti et ses dirigeants lynchés, ce serait toujours ça de pris. En attendant, La statue d’Hugo Chávez vient d’être démolie au Venezuela. Le peuple se soulève. À cette heure de la nuit, des manifestants parcourent les quartiers populaires du Venezuela avec la tête de la statue de Chávez. Tout le quartier est en fête. Même dans ses pires cauchemars, le chavisme n’a pas rêvé d’une telle fin. C’est beau, c’est du cinéma. La Garde nationale bolivarienne du Venezuela défie les ordres de Nicolás Maduro de réprimer les manifestants et les rejoint dans leur marche vers Guarenas. Le changement arrive. Les patriotes vénézuéliens ont pris le contrôle de l’aéroport international Simón Bolívar à Maiquetía. Ce combat pour mettre fin à Nicolás Maduro et à son régime socialiste entrera dans l’histoire. Les Vénézuéliens viennent d’arracher une bannière géante à l’effigie du dictateur socialiste Nicolás Maduro. On dirait qu’ils ne craignent plus les démons autoritaires. C’est incroyable à voir

Calvario 17h25 centre ville de Caracas à quelques mètres du Palais de Miraflores

En définitive, tout dépend de l’armée et de la police. Au Venezuela, ces deux organisations ne sont guère plus que des cartels au service du narco-état bolivarien spécialisé dans le trafic de cocaïne.

Dans ce trou à rats rouge présidé par Maduro, 80% de la population vit dans la pauvreté, plus de 50% dans l’extrême pauvreté.

Le satrape, lui, vit comme un nabab oriental.

C’est toujours le seul et unique produit du marxisme pratique.

Nicolas Maduro et sa femme prenant un bon repas au restaurant Salt Bae pendant que les Vénézuéliens meurent de faim.

C’est toutefois l’anéantissement de la Cuba communiste, étroitement liée à ces truands de Caracas, qui serait une bonne nouvelle.

Cuba occupe une place à part dans l’imaginaire de la gauche internationale, sa destruction aurait des vertus insoupçonnées, à commencer par la profonde démoralisation de la vermine gauchiste.

Je veux croire en un effet domino.

[…]

Et quand on pense que les démocraties occidentales s’acharnent à transformer les pays blancs en poubelles de type sud-américaines – l’islam en plus -, on éclate d’indignation.

Source D.P.

. Bagnoles électriques : la fin des illusions et l’addition est lourde

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°° WEBTUBE : On les savait dangereuses et fragiles, vite obsolètes et irréparables. Avec des batteries qui s’enflamment toutes seules, et des accus tellement liés au châssis qu’il faut tout jeter en cas d’incident ou d’accident. Sans parler de la mauvaise volonté des fabricants pour révéler leurs critères techniques et former des réparateurs. On les savait de faible autonomie, lentes à la recharge, très en dessous des chiffres annoncés par les prospectus. Carrément handicapées en dehors des routes plates, et lors de l’utilisation du chauffage ou de la clim. Et on préférait oublier leur coût excessif, comparé à celui d’une vraie voiture, même avec les cadeaux faits par le gouvernement désireux de capter les bulletins de vote écolos. Quant au coût de la recharge sur autoroute, l’Automobile-magazine affirme que pour une même distance à vitesse comparable, il peut être supérieur à celui du carburant liquide. Oubliées les belles promesses !

En physique, on apprend que l’électricité passe mal avec les mauvais conducteurs

Le chauffard électrifié appartient au camp du bien. C’est un bobo qui vote majoritairement à gauche. On a tellement glorifié sa morale citoyenne à la télé qu’il ne se sent plus pisser. Il va sauver le monde. Et prendre Greta en stop. Ça lui donne tous les droits.

Seulement voilà, un édito de la newsletter Watt Else du 25 juilletabondée par Numerama, accable les preux chevaliers de l’électron qui rime si bien avec étron. Ils vont même jusqu’à fustiger la multiplication des comportements détestables au moment de la recharge des batteries. Les sauveurs de la planète se révèlent particulièrement odieux lors des grands chassés-croisés des vacances d’été. L’eusses-tu cru ?

Le fond du bocal à gogos est atteint quand des thuriféraires du tout électrique observent, pour une fois sans œillères, que s’il y a toujours eu quelques malotrus chez les conducteurs de véhicules thermiques, les incivilités concernent essentiellement les possesseurs de voitures électriques.

Quoi, les parangons du bien-penser et de la juste cause se comporteraient en gougnafiers ? Pour les rédacteurs de l’article, c’est tout bonnement incompréhensible ! Mais ils se rattrapent aux branches in extremis en attribuant les comportement égocentriques aux novices de l’électro-mobile. C’est comme au tribunal. Les voleurs, les dealers, les violeurs, les assassins ne connaissent pas les codes. De la route ou autres. Ce n’est pas de leur faute. Excusés d’office, Votre Honneur !

S’en suit une liste de préconisations banales, révélatrices de l’emprise de la société d’assistés sur les suivistes

Le point stratégique, c’est la station de recharge. Pas besoin d’avoir fait Polytechnique pour comparer le nombre de pompes des stations service avec celui des prises électriques, rapportés à la flotte des cacugnes. Et le temps pour faire un plein, par rapport à la réanimation d’une batterie.

La France officielle, celle des macronards et des bobos qui peuvent installer une prise maxi dans leur garage, vante la bonne couverture du territoire en capacités de recharge, en particulier sur les autoroutes. Sans dire qu’en poussant à l’achat de ces bagnoles, tout en fermant les centrales nucléaires, on n’a fait qu’aggraver une situation de pénurie.

La récente chute des ventes de ces guimbardes annonce une début de prise de conscience chez les Français. Mais il est déjà trop tard. Tant que des pannes irréparables ne condamneront pas l’espèce par sélection naturelle… De nombreuses stations ne proposent que 4 ou 6 points de charge, pour dix ou douze véhicules qui attendent leur tour. Le double pendant les week-ends et les vacances. Temps réel moyen de charge une heure sauf abus.

Dans ces stations sur-sollicitées, avec un peu de sens civique, chacun essaierait de libérer sa place de recharge au plus vite. On n’en attendrait pas moins de ces gens admirables qui veulent sauver le monde. Or il y a un fossé énorme entre leurs bonnes intentions et leurs pratiques égoïstes. Je veux bien sauver la planète. Mais je me goinfre d’abord. Les écolo-progressistes ont toujours été des hypocrites donneurs de leçons.

Les reporters de Numerama ont souvent observé plusieurs voitures branchées, dépassant les 90 % et pas décidées à dégager. Ces électromobilistes n’en ont rien à cirer que 4 voitures et plus attendent leur tour pour une borne. J’y suis, j’y reste, et je vous emmerde, jusqu’à atteindre 99 % de charge.

Sachant qu’il faut au moins deux fois plus de temps pour passer de 80 à 100 % que de 10 à 80 %, c’est un comportement irresponsable. On abîme sa propre batterie tout en pourrissant la vie des autres gogos qui ont trop regardé la télé eux aussi. D’autant qu’une recharge à 80 % est généralement considérée comme suffisante pour poursuivre sa route.

Squatter les places n’est que la partie visible de l’iceberg

L’excuse de la station vide au moment où l’on s’est branché, ainsi que l’ignorance des capacités de la prochaine prise ne sont plus recevables avec les applications mobiles qui indiquent la disponibilité des bornes en temps réel. Si tu as les moyens de te payer une caisse à 50.000 euros, tu peux bien t’offrir un Iphone. À moins d’être un grand parano revenu au bon vieux Nokia pour éviter d’être tracé par la webstapo.

À ma grande surprise, moi qui croyais à l’altruisme des écolos, comme on l’enseigne aux gosses à l’école, les places devant les bornes servent de plus en plus souvent de parking à des véhicules qui ont fini de recharger. Les proprios sont partis casser la croûte ou tirer un coup dans la nature.

Quand on les admoneste, tandis qu’il s’émiettent le plastron ou se reboutonnent la braguette, des sournois objectent que si le panneau indique une place réservée aux véhicules électriques, il ne mentionne nullement la recharge obligatoire. Plus jésuite, tu meurs !

Quant aux poursuites, en théorie ce serait une prune à 35 € pour stationnement gênant. Mais la hiérarchie policière est inerte sur ordre et la fourrière ne se déplace pas, car c’est exclu dans le cahier des charges de la plupart des exploitants afin de ne pas entraver le développement du tout-électrique.

Des fois, ça se termine par des pneus crevés. Déjà finie la belle solidarité des gens de gauche ? On va bien rigoler si la Castafiore prend Matignon à l’abordage.

Autres désagréments auxquels les énarques n’ont pas pensé

La plupart des stations de recharge rapide, et que dire des lentes, n’ont pas été conçues pour accueillir des véhicules longs. Comprendre une guimbarde électrique tractant une caravane ou une remorque. Là, il vont généralement bloquer deux places de stationnement standard… Cela n’empêche pas les sinistres du gouvernement de vous promettre pour demain le camion électrique, voire le semi-remorque sur batteries.

Enfin, il est intéressant de noter que la plupart des écolos qui se foutent pas mal de la nature sont de vrais gorets. Ils laissent leurs déchets sur place, même quand il y a des poubelles, et transforment les WC en porcheries.

La voiture électrique a-t-elle un avenir ?

Auto-infos pose une question pertinente. La publicité politico-commerciale pour l’électrique a beau se déchaîner, renforcée par les diktats de l’Eurocrature, les ventes de voitures électriques s’effondrent et les motorisations thermiques font un retour en force.

En Allemagne, après l’arrêt des subventions de l’État, les ventes ont chuté de plus de moitié. Comme ce fut le cas en Norvège. Et les véhicules envoyés à la casse sont remplacés par des thermiques. Et ne parlons pas des pays comme l’Italie et l’Espagne où les ventes pour fashion victims privilégiées n’ont jamais dépassé les 5 % de parts du marché.

En France aussi, malgré le leasing dit « social », les ventes dégringolent. Les campagnes de marketing n’y changent plus grand-chose. Carlos Tavares, PDG de Stellantis, doute publiquement de la caisse électrique comme solution universelle, invitant à sortir d’une pensée dogmatique.

Du début de la chaîne de fabrication avec ses batteries spéciales, à la fin du recyclage des épaves, il apparaît, sauf aux écolos-barjots, que la bagnole électrique pollue davantage que la thermique. Même en oubliant les microparticules de cobalt des éoliennes et les centrales au charbon pour produire du courant.

Et puis, combien de temps l’État va-t-il se priver d’une partie de son juteux racket sur le carburant pour capter le vote écolo ? Combien de temps avant qu’il ne compense ce manque à gagner par une taxation des électro-mobiles ? Comme déjà dans certains districts des USA. Avec la promesse de Trump, s’il revient, de doubler les taxes douanières sur ces bagnoles fabriquées en Chine.

La voiture électrique n’était pas l’avenir en 1890. Elle ne l’est toujours pas aujourd’hui. Si vous en avez une, gardez-la pour vos arrière-petits-enfants. Dans 100 ans, ils en tireront un bon prix auprès des collectionneurs.

Christian Navis, Riposte Laïque

https://climatorealist.blogspot.com

. Le programme économique NFP, c’est celui qui a saigné à blanc le Venezuela  

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°° WEBTUBE : À l’heure où Nicolas Maduro vient d’être “réélu” à la tête du Venezuela et alors que Lucie Castets ne cesse de faire le forcing en réclamant Matignon, il est bon de rappeler ce qu’est devenu ce pays d’Amérique latine, immensément riche avant de connaître les bonnes vieilles recettes du socialisme imposées par Hugo Chavez, l’idole de Mélenchon. https://www.lepoint.fr/editos-du-point/le-venezuela-ruine-melenchoniste-23-07-2024-2566205_32.php Il n’y a aucun doute à avoir sur la descente aux enfers que connaîtra la France si le programme NFP est mis en oeuvre par la clique LFI, dont les recettes économiques simplistes consistent essentiellement à plumer les riches pour financer l’assistanat généralisé. La gauche n’a toujours pas compris qu’il faut travailler plus pour créer des richesses, avant de les redistribuer.

Plutôt que de vous expliquer pourquoi un tel programme fera fuir tous les créateurs de richesses et d’emplois en quelques semaines, je vous livre les chiffres effarants qui montrent comment Caracas, paradis des années 1960, a sombré dans le chaos et la misère extrême. Les chiffres, c’est du concret, loin des théories fumeuses des bonimenteurs.

Je reprends ceux de Nicolas Baverez, parus dans une chronique du Figaro :

Alors qu’il possède les premières réserves pétrolières du monde (300 milliards de barils), ainsi que d’immenses ressources de gaz, d’or, de bauxite, de fer ou de nickel, le Venezuela a vu son PIB chuter de 80 % depuis 2013 et ne représente plus que 10 % du PIB français.

L’inflation est de 360 %. La monnaie, le bolivar, ne vaut plus rien.

La grande pauvreté touche 90 % de la population.

Famine, absence de produits de première nécessité, effondrement du système de santé entraînant des épidémies sont le lot quotidien du peuple.

Ajoutons la corruption généralisée et la violence extrême, qui ont poussé le 1/4 de la population à l’exil. Et comme toujours quand le chaos s’installe, ce sont les plus diplômés qui fuient, accélérant ainsi le naufrage du pays.

La ruine du Venezuela est la conséquence tragique de la révolution bolivarienne imposée par Hugo Chavez, le modèle de Mélenchon.

Nicolas Baverez énonce les trois stades de cette folie économique :

– la collectivisation des moyens de production

– le contrôle des prix et des changes afin de financer les aides sociales

– l’instauration d’une dictature féroce par Nicolas Maduro

Chacun aura compris qu’avec ses 3 200 milliards de dettes, la France serait bien incapable de supporter le choc du programme économique LFI.

Les taux d’emprunt exploseraient, alors que la charge de la dette est déjà de 50 milliards par an, soit le double de la croissance. Les investisseurs fuiraient en masse, tout comme les grosses fortunes et les diplômés, aussitôt remplacés par des légions de déshérités attirés par le paradis du tout gratuit, qui n’expulse plus et régularise à tout va.

En 1981, les apprentis sorciers du mitterandisme qui promettaient eux aussi de raser gratis, avaient rapidement opéré un virage à 180 % pour éviter la tutelle du FMI. Mais à l’époque, la France sortant des Trente Glorieuses était encore suffisamment riche pour encaisser le choc.

Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Notre pays déjà exsangue, subirait cette fois un coup mortel qui signerait le terminus de l’Histoire pour notre nation millénaire.

À bon entendeur…

Jacques Guillemain, Riposte Laïque