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°° WEBTUBE : Si les Russes sont très réservés quant à la volonté réelle de Trump de mettre fin au conflit, je crois que le choix de Vance comme vice-président est significatif et prometteur. Et je dois dire que si les actes suivent ses paroles passées, la guerre suicidaire que mènent les Occidentaux pour soutenir le régime mafieux et corrompu de Zelensky devrait s’achever avant que l’escalade actuelle ne se transforme en cataclysme planétaire.
Je ne vais pas vous dresser le portrait du futur vice-président choisi par Donald Trump, James David Vance. Christian Navis vient de le faire avec brio :
Je m’intéresse surtout à son positionnement sur l’Ukraine.
Et si les Russes sont très réservés quant à la volonté réelle de Trump de mettre fin au conflit, je crois que le choix de Vance comme vice-président est significatif et prometteur.
Et je dois dire que si les actes suivent ses paroles passées, la guerre suicidaire que mènent les Occidentaux pour soutenir le régime mafieux et corrompu de Zelensky devrait s’achever avant que l’escalade actuelle ne se transforme en cataclysme planétaire.
Vance, c’est la droite populiste et nationaliste, bien décidée à renverser la table, ce que Trump n’avait pas pu faire totalement lors de son premier mandat, compte tenu de l’opposition permanente des mondialistes. Mais cette fois, c’est une équipe de fidèles qui entoure le milliardaire, où les traîtres n’auront pas leur place.
Le premier test de fidélité qu’exige le candidat républicain, c’est de soutenir la thèse du vol de la victoire de Trump par le camp démocrate en 2020, par une fraude électorale massive, niée par les médias aux ordres et par le Deep State corrompu. Vance adhère à 100 %.
“Je pense que la contestation des élections et de leur légitimité fait partie du processus démocratique.” (2020)
Qu’a donc dit ce jeune sénateur de 39 ans, ancien Marine vétéran d’Irak et diplômé de Yale, qui permet d’espérer des négociations de paix ?
“Honnêtement, je ne me soucie pas vraiment de ce qui arrive à l’Ukraine, d’une manière ou d’une autre.” (2022)
“Nous ne pouvons tout simplement pas continuer à envoyer des armes. Quel que soit le nombre de chèques du Congrès américain, nous sommes limités dans ce domaine. Je pense qu’il est raisonnable d’envisager une paix négociée.”
“Notre politique en Ukraine n’est pas viable. Il faut une fin négociée à la guerre.”
“Nous avons envoyé des centaines de milliards de dollars d’armements à l’Ukraine sans aucun objectif atteignable.” (juillet 2024)
“Nous avons clairement fait comprendre à l’Europe et au reste du monde que l’Amérique ne pouvait pas indéfiniment signer des chèques en blanc.” (blocage des 60 milliards d’aide à l’Ukraine par les Républicains)
“Ce que je souhaiterais faire, c’est geler les lignes de front à peu près là où elle se trouvent aujourd’hui”.
“Il faut garantir à la fois l’indépendance de Kiev et sa neutralité. Je ne suis pas naïf. Les Russes ont demandé beaucoup de choses malhonnêtement, mais la neutralité est clairement existentielle pour eux.”
Voilà qui ne laisse aucun doute sur la future politique étrangère américaine.
Zelensky ne s’y est pas trompé. Lui qui refuse toute négociation depuis 30 mois propose une nouvelle approche avec la présence de la Russie ! Le vent tourne.
Vance ne considère absolument pas Poutine comme une menace pour les États-Unis ou pour la paix en Europe. C’est une fable entretenue par le camp démocrate pour stimuler les ardeurs de ces crétins de supplétifs européens, qui n’ont aucune politique étrangère autre que le suivisme aveugle de la diplomatie américaine.
Ce qui préoccupe Vance, en revanche, c’est la Chine.
“Les États-Unis- doivent se recentrer sur l’Asie de l’Est. Ce sera l’avenir de la politique américaine pour les quarante prochaines années, et l’Europe doit s’en rendre compte”.
“Je m’intéresse beaucoup plus aux problèmes en Asie de l’Est qu’à ceux de l’Europe.”
À bon entendeur…
Les crétins d’Européens, Macron en tête, qui ont voulu se faire mousser auprès de Biden en faisant de la surenchère guerrière sans en avoir les moyens, ont l’air fin.
Le suivisme aveugle de Macron, qui veut se frotter à l’Ours russe avec son armée “bonzaï”, est d’un grotesque absolu.
Cette guerre n’est pas celle de Trump.
Mais Macron et ses homologues sont bien trop soumis à Washington pour oser dire à Biden qu’elle n’est pas non plus celle des Européens.
Toutes ces fanfaronnades absurdes, tous ces milliards dilapidés, les 600 000 morts ukrainiens, les centaines de milliers de blessés, de veuves et d’orphelins, tout cela est à mettre sur le dos de Biden et de ses complices européens, coupables d’un des pires crimes de l’histoire.
Puisse Trump être réélu et mettre enfin un terme à cette boucherie et aux turpitudes anti-Russes de l’Amérique, qui durent depuis 1990.
Il n’y a pas de mots assez dégradants pour définir la politique étrangère de Macron. C’est un désastre comme jamais vu depuis 1945. Qu’il parte, il n’a fait que trop de mal à la France, ruinée et humiliée partout.
Les Russes ne sont pas nos ennemis. C’est la folie de Macron qui nous mène au chaos.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque