°° WEBTUBE : Cette semaine dans “I-Média”, Jean-Yves Le Gallou et Lucas Chancerelle reviennent dans l’image de la semaine sur les émeutes racistes anti-blancs en Nouvelle-Calédonie. Le dossier du jour sera consacré à la propagande LGBT et trans avec les JO et l’Eurovision. Les pastilles de l’info aborderont : 1) Décryptage : L’attaque d’Incarville 2) L’idiot du village global : Bide du livre d’Omar Sy malgré la propagande médiatique 3) Ça décoiffe : La cérémonie du 9 mai 4) Désintox : Les Gaulois existent-ils ? Pour conclure, le portrait piquant du jour en partenariat avec l’OJIM sera consacré à Natasha Polony, un portrait piquant d’actualité alors que le journal Marianne serait en passe d’être racheté par le milliardaire patriote Pierre-Edouard Stérin. ‐-‐———– Portrait piquant : Natasha Polony
°° WEBTUBE : « Nous ne sommes pas capables d’équilibrer nos comptes, nous allons chercher l’argent là où il est. Ils nous le donnent, mais ce n’est jamais gratuit. Et ce n’est pas payé demain, c’est payé tout de suite, en influence, en perte de souveraineté. Je ne suis pas sûr que si nous avions des finances tenues, nous aurions pris les mêmes décisions politiques depuis 5 ou 10 ans. » L’analyste financier pointe aussi le manque d’efficacité des dépenses de l’État, dont le déficit s’élevait à 154 milliards d’euros en 2023, et son incapacité à générer de la croissance : « Nous dépensons du fric comme jamais, mais nos hôpitaux ne se portent pas bien, nos écoles ne se portent pas bien, notre armée ne se porte pas bien. » Pour réduire le déficit public « sans appauvrir tout le monde », Guy de la Fortelle estime qu’il faut limiter les dépenses sociales tout en créant des emplois pour augmenter la création de richesse. Pour ce faire, il considère qu’il est indispensable de « reprendre la main sur nos frontières et de faire revenir les usines ». « Ça va prendre beaucoup de temps parce que nous avons durablement détruit notre appareil industriel. Quand Emmanuel Macron vous dit que nous réindustrialisons, ce n’est que du flan », observe-t-il. Si l’inflation a ralenti ces derniers mois et que le gouverneur de la Banque de France affirme qu’elle « reviendra à 2% dans un an au plus tard », Guy de la Fortelle considère qu’elle pourrait au contraire exploser en cas de baisse des taux d’intérêt directeurs de la Banque centrale européenne au mois de juin. « Le système financier ne peut pas continuer très longtemps avec les taux actuels. Tout le monde dit qu’il va falloir que les taux baissent sinon ça va exploser. Il y a tout qui craque », explique-t-il. « Vous avez un vrai problème parce que si vous baissez les taux d’intérêts alors que vous avez de l’inflation, vous faites de l’hyperinflation. Il y a un risque hyperinflationniste très important, c’est-à-dire d’emballement terminal. C’est pour ça que vous avez ce besoin de l’euro numérique, qui est un besoin de contrôle des prix. Et le contrôle des prix, c’est quoi ? C’est la gestion de la pénurie. »