°° WEBTUBE : Ces scènes de chaos provoquées par des migrants afghans sont intolérables. Ce ne sont pas des réfugiés politiques, mais des délinquants qui savent qu’en France, on ne risque rien en mettant une telle chienlit dans la rue contrairement à l’Afghanistan des Talibans. Alors que le chef du gouvernement promettait une restauration de l’autorité, ce bordel montre qu’il n’y a ni chef, ni gouvernement.
Ces scènes de chaos provoquées par des migrants afghans sont intolérables.
Ce ne sont pas des réfugiés politiques, mais des délinquants qui savent qu'en France, on ne risque rien en mettant une telle chienlit dans la rue contrairement à l'Afghanistan des Talibans.
Ironie démocratique, les 90 soldats français morts pour l’OTAN en Afghanistan ont désormais moins de contact avec la France que ces joyeux drilles prochainement naturalisés.
Voilà qui donne résolument envie de mourir pour cette république.
Peu importe, on continue !
Près de 200 Afghans qui ont travaillé pour la France ou qui sont menacés viennent d’être évacués de Kaboul. Ainsi que des Français et des ressortissants étrangers. À nos armées, policiers et équipes diplomatiques qui organisent ces opérations sensibles, merci. On continue. pic.twitter.com/xHSreTLOLI
Le jeune homme a été interpellé samedi, au domicile de sa victime. Les forces de police ont maintenu en garde à vue ce week-end un individu âgé de 25 ans, soupçonné d’avoir battu, séquestré et agressé sexuellement une femme de 49 ans, habitante de Saint-Herblain, dans l’agglomération nantaise. La victime, qui aurait notamment été violée, aurait vécu un calvaire qui se serait éternisé de vendredi soir au lendemain matin, avant qu’elle ne parvienne à prendre la fuite et à alerter les secours.
Déjà connu de la justice pour des faits d’atteintes aux biens, le jeune homme est un Algérien sans domicile fixe, indique au Figaro une source policière. L’auteur de l’agression devait être déféré lundi devant le parquet de Nantes pour être mis en examen dans le cadre d’une information judiciaire.
L’individu interpellé samedi par les forces de l’ordre connaissait sa victime. Membre bénévole d’une association de soutien aux plus démunis, l’Herblinoise avait rencontré le jeune homme et lui était venue en aide à un moment où il se trouvait en détresse, rapportent nos confrères de Presse Océan , sans préciser la date de ces premiers contacts.
Vendredi soir, l’agresseur serait revenu chez elle. «Ce qui est décrit par la victime est innommable», a confié à nos collègues une source proche du dossier. La victime s’est vue prescrire 10 jours d’incapacité totale de travail.
Au moins, cette militante d’extrême-gauche gardera un souvenir inoubliable de son engagement.
°° WEBTUBE : La chute du niveau scolaire est un mystère ? C’est donc ça la startup nation de Macron, des jeunes illettrés sans avenir.C’est assez peu impressionnant, il faut en convenir.Peut-être qu’importer des millions de migrants d’Afrique n’était pas la solution miracle tant espérée par les boomers pour payer leurs retraites ? J’ai en tout cas l’impression que ce grand plan est compromis.
°° WEBTUBE : Laissez vous bercer par cette chanson vraiment rafraichissante et pleine d’émotion. On n’aime pas, on adore ! Ce morceau est extrait du film “La vie de ma mère”. Un très bon film d’ailleurs.
°° WEBTUBE : Un peu d’histoire aide à rafraîchir les mémoires :Le 14 juillet 1865, un sénatus-consulte ordonné par Napoléon III, donc un décret faisant loi, indique que, sous certaines conditions, tous les indigènes d’Algérie seront français. Ces conditions impliquaient, pour les musulmans : Le renoncement à la polygamie, Le renoncement au divorce (à l’époque il était également interdit en France), Le renoncement aux droits de successions traditionnels qui désavantageaient la femme.Il n’était nullement question d’un abandon de leur religion musulmane.
La Troisième République, qui succéda au Second Empire, supprima les articles de ce sénatus-consulte concernant les musulmans. Dorénavant ils ne pourraient accéder à la nationalité française que par naturalisation.
En ce qui concerne les juifs d’Algérie, le décret d’émancipation des juifs promulgué le 27 septembre 1791 ne concernait que les « Ashkénazes » de l’Est européen.
Et ce sera le 24 octobre 1870, par le décret Crémieux, ministre de la Justice, approuvé par le ministre de l’Intérieur, Léon Gambetta, que les quelques 30.000 juifs d’Algérie (Séfarades, du nom de l’Espagne en hébreu, expulsés par l’Inquisition au XVe siècle) ainsi que les 250.000 « étrangers », deviendront à leur tour français.
Cette nouvelle mesure fut considérée comme particulièrement injuste et offensante par les trois millions d’indigènes musulmans.
Ce décret entraîna la terrible révolte organisée par le bachaga El Mokrani, en avril 1871, qui souleva 250 tribus, un tiers de la population musulmane du pays, contre le gouvernement français. La répression, contre ceux qui voulaient déjà « exterminer les Français », fut à la hauteur de la révolte. Les instigateurs seront jugés, déportés ou emprisonnés et leurs terres réquisitionnées.
Ce sera la première, et l’une des plus importantes fractures, qui aboutira à la guerre d’Algérie quelques décennies plus tard.
Après les événements de triste mémoire du 8 mai 1945, qui fut la seconde fracture, le député sénégalais Lamine Gueye proposa un décret offrant la nationalité française à tous les ressortissants d’outre-mer, y compris de l’Algérie, c’est-à-dire aux indigènes musulmans, et ce sera le général de Gaulle, alors chef de l’État, qui s’opposa à la promulgation de cette loi, soucieux qu’il était de la « préservation de la race blanche ».
Je suggère à tous ces politiques qui se réfère très souvent à de Gaulle, ces « gaullistes » de circonstances, de méditer sur la directive du 12 juin 1946, adressée par de Gaulle au garde des Sceaux, Pierre-Henri Teitgen : « Sur le plan ethnique il convient de limiter l’afflux des Méditerranéens et des Orientaux, qui ont depuis un demi-siècle profondément modifié les compositions de la population française. Sans aller jusqu’à utiliser, comme aux États-Unis, le système rigide des quotas, il est souhaitable que la priorité soit accordée aux naturalisations nordiques (Belges, Luxembourgeois, Suisses, Hollandais, Danois, Anglais, Allemands, etc. »
Si en 1946 les migrants d’Afrique et Orientaux avaient déjà « profondément modifié les compositions de la population française » que dirait de Gaulle en 2024 ? Pas grand-chose de plus car sous son autorité cela ne se serait jamais produit. De Gaulle n’aurait jamais accepté le regroupement familial ni l’invasion voulue par ses différents successeurs depuis une trentaine d’années.
Et l’on sait pourtant « que je ne suis loin d’être gaulliste », me référant à de nombreuses de ses autres décisions, certaines même criminelles, mais d’autres concernant notamment l’identité et la souveraineté de la France ne peuvent qu’obtenir ma totale adhésion.