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Il est écrit dans la sourate 4 (les femmes), verset 34 :
“ Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs que Dieu accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes à leur mari et protègent ce qui doit être protégé, pendant l’absence de leur époux, avec la protection de Dieu. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Dieu est certes, Haut et Grand ! ”
Lire aussi la sourate 38, versets 41 à 44.
Le droit de frapper sa femme est inscrit dans la doctrine coranique quoi qu’en disent les islamo-gauchistes, les progressistes et les néo-féministes qui sont en déshérence. Et n’en parlons pas des sarrasins qui perdent leur langue quand il s’agit de la violence faite aux femmes. La seule réponse qu’ils ont à la bouche : Allah a honoré la femme.
Ils savent ces hypocrites, surtout les frérots qui font de l’entrisme dans les institutions de l’état français, qu’Allah autorise le mari à battre ses femmes. Ce n’est pas une recommandation mais un droit devin qui est la conséquence logique de la prééminence de l’homme sur la femme et de l’autorité qu’il a sur elle. C’est écrit noir sur blanc dans le livre saint mahométan.
Des hadiths connus encouragent cette violence, et les imams en font la promotion lors des prêches de la prière hebdomadaire du vendredi. Ainsi, selon le recueil des hadiths d’Ibn Majah, rapporté par Ash’ath bin Qais a dit : « J’étais l’hôte d’Omar une nuit et, dans le milieu de la nuit, il alla vers sa femme et la battit ; je les séparai. Quand je retournai me coucher, il me dit : « Ô Ash’ath, apprends de moi quelque chose que j’ai entendu du messager d’Allah : « Un homme ne devrait pas être interrogé sur la raison pour laquelle il bat sa femme…
Selon Abu Dawud, un autre collecteur des paroles de Mahomet : « Omar ibn al-Khattab a dit : « Le prophète a dit : « On ne demandera pas à un homme pourquoi il bat sa femme ».
La Sîra nabaouya rapporte les propos de Mahomet peu de temps avant sa mort : « Musulmans, vos épouses ne doivent point commettre d’action gravement honteuse. Si elles le font, Dieu vous donne l’autorisation de les mettre en quarantaine et de les battre, sans trop d’excès. Si elles renoncent à leurs mauvaises actions, elles auront le droit à la nourriture et au vêtement selon l’usage. »
N’est-il pas écrit dans le musnad d’Ahmed Ibn Hanbal : « Les hommes sont supérieurs aux femmes parce que Allah leur a octroyé la supériorité sur elles. Par conséquent, il donne aux hommes le double de ce qu’il donne aux femmes. Les maris qui souffriront de la désobéissance de leurs femmes peuvent les châtier : abandonner leur lit et même les frapper. Il n’a pas été légué à l’homme pire calamité que la femme » ?
Le Coran énonce clairement les mesures que doit prendre un mari face à une femme rebelle : il doit d’abord la réprimander verbalement, puis refuser de coucher avec elle, et enfin, si elle persiste dans sa rébellion, il doit la corriger en la frappant durement pour qu’elle s’en rappelle. Cette pratique constitue le cœur des normes islamiques d’autorité dans le mariage. Le prophète Mahomet, en tant que beau modèle à suivre, a autorisé les croyants à battre leurs épouses rebelles comme il l’avait fait, lui-même avec ses onze épouses et ses esclaves sexuelles, selon la tradition islamique. En tant que principe fondamental de la loi islamique, l’autorisation de battre sa femme se perpétue aujourd’hui dans les fatwas des érudits musulmans modernes. D’ailleurs, la loi islamique ne reconnaît pas comme un crime le fait de battre sa femme par son mari.
Dans Sunan Abu Daoud, Sulayman Ibn `Amr Ibn al-`Ahwas a rapporté que : “Ubai m’a dit qu’il avait été témoin du discours de départ du prophète. Il a remercié Dieu et l’a loué, et a commencé à prêcher en disant: “Je vous ordonne de faire preuve de bonne volonté pour vos femmes, car elles sont vos captives qui ne possèdent rien, à moins qu’elles ne commettent une faute de désobéissance prouvée -quand il s’agit d’un adultère, c’est la lapidation qui l’attend. Si elles le font, alors Dieu vous a donné la permission de les laisser seules dans leurs lits et de les corriger jusque au moment où elles retrouvent le chemin d’Allah ».
Le droit de frapper la femme fait partie de la charia, si elle désobéit à son mari. C’est une des punitions prévue par le fiqh. Que signifie le mot désobéissance qui est mentionné dans le coran et les hadiths ? La désobéissance consiste à quitter la maison sans la permission du mari, à refuser d’obéir au mari au lit, à parler impoliment au mari ou à faire le contraire de ce qu’il aime. Toute forme de désobéissance qui contrarie le mari conduit à une bonne raclée infligée à son épouse, conformément à la charia…
Dans ces cas, corriger son épouse n’est pas un délit dans le droit musulman, au contraire, les punitions physiques font partie de l’éducation de la femme. Et aucun croyant islamique ne doit douter de ces pratiques, parce que c’est Allah, le Créateur de l’homme qui les autorise. En islam, frapper sa femme, c’est parfaire son éducation. D’ailleurs, la misogynie est inscrite dans le coran et les hadiths, par conséquent, aussi dans les manuels scolaires des pays où l’Allahisme est roi.
La vidéo qui circule sur les réseaux montrant le sieur Mohamed Haouas, un rugbyman international franco-algérien, qui s’acharne sur sa femme alors qu’elle est à terre, fait partie du quotidien de nombreuses musulmanes de Tanger à Djakarta.
Il n’y a rien de choquant dans cette vidéo pour un allahiste. Ce que dévoile cette vidéo est le quotidien des femmes à Dar-Al-Islam lorsqu’elles contrarient leur époux.
Frapper sa femme est halal, car c’est Allah qui l’exige.
Il n’y a rien de nouveau dans cette vidéo, parce que depuis quatorze siècles, le Tout-Puissant a ordonné aux musulmans à corriger leurs épouses quand elles leurs désobéissent.
Ce qui choquant par contre, c’est l’emballement médiatique pour une pratique qui est courante dans les quartiers de France et de Navarre sous contrôle de l’islam. On dirait que les journalistes viennent de découvrir subitement le fil à couper le beurre.
L’oligarchie doit revoir sa copie sur l’islam, religion de paix, de tolérance et d’amour et trouver un autre slogan, plus vendeur. Hélas pour eux, le roi est désormais nu.
Cette histoire de Mohamed qui bat sa femme dans un lieu public, parce qu’elle aurait grillé une cigarette, est banale en soi, ce n’est pas une nouveauté en terre d’islam.
À la limite, c’est sans importance. Anodin. D’autant plus qu’en bonne musulmane la femme de Mohamed lui a pardonné devant le juge.
Et le juge a jugé suivant la charia. Point final.
Que l’oligarchie politico-médiatique arrête de verser des larmes de crocodile sur le sort de l’épouse de Mohamed qui n’a fait que se conformer aux oukases d’Allah.
Quant aux néo-féministes, elles sont invitées à faire un tour au bazar pour s’acheter une abaya ou un tachdor. Et pourquoi pas un tchadri ?
Et l’affaire sera définitivement close…
C’est l’enseignement islamique qui a fait que la musulmane n’a jamais pu progresser comme les autres femmes dans les différentes cultures, pour occuper des postes de responsabilités. Ce n’est qu’au contact de l’Occident qu’on observe actuellement, ici et là, quelques femmes musulmanes émergées dans la recherche scientifique, les arts et les lettres. Quant à prendre le pouvoir politique, ce n’est pas demain la veille.
Il ne faut pas aussi croire les balivernes d’un film réalisé par une Algérienne ayant pour titre la dernière reine d’Alger. Dans Ce film, c’est la fiction qui dépasse l’histoire.
Ce film veut montrer une chose qui n’a jamais existé en islamie, parce que la guidance, Dieu l’a réservée exclusivement aux croyants, pas aux croyantes.
Faire croire qu’au XVIe siècle, Alger était gouvernée par une reine aux côtés de son mari et qu’elle avait droit à la parole, cela s’appelle de la manipulation. Quand elle fut prise en 1530 par le sinistre Barberousse, ce dernier n’a pas hésité une seconde à étrangler Salim Toumi, l’émir d’Alger et à s’installer dans le lit de son épouse, Zaphira, la fameuse reine dont il est question dans le film… Cette histoire rappelle étrangement celle de Safiya, la juive que Mahomet a ‘épousée’ après liquidé physiquement son père, son frère et son mari.
Le film oublie aussi d’évoquer que Barberousse avait fait d’Alger le plus grand centre de piraterie en Méditerranée Occidentale et un énorme marché à esclaves florissant, conformément à l’enseignement coranique qui permet d’acheter de vendre les mécréants et les mécréantes. Ce commerce d’êtres humains a duré pendant trois siècles.
Mais ça, il ne faut pas l’ébruiter, sinon vous serez taxé d’islamophobe.
Le moment, n’est-il venu pour faire de la violence faite aux femmes, une cause nationale?
Hamdane Ammar