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++ WEBTUBE : Si c’est vrai tant mieux. On en avait marre d’entendre ses chroniques à deux balles !
Sophia Aram est vent debout suite à un retour de bâton de Cyrille Hanouna. Pour être plus précis, lors d’une chronique, Sophia a qualifié Hanouna et ses chroniqueurs de « décérébrés », de « bande d’abrutis congénitaux », de « populistes » et de « complotistes ». Cyrille a réagi à ces propos en exprimant son désaccord :
« Nous, on est honnête, mais toi au moins occupe-toi de ta maman ma chérie. Khadija Aram, condamnée à deux ans de prison dont six mois ferme… Pourquoi ? Elle est accusée d’avoir berné des personnes en situation irrégulière en leur faisant miroiter des titres de séjour alors qu’elle était adjointe au maire de Trappes. »
Le procédé « TPMP » peut sembler déplacé mais Sophia est loin d’être une débutante en matière d’insulte pour attaquer des millions de Français :
- En février 2022, Sophia Aram avait qualifié les manifestants qui ont participé aux “convois de la liberté” contre le pass sanitaire de “cons”, “fachos”, “beaufs” et “poujadistes” sur France Inter.
- Sophia Aram a qualifié de « gros cons » les électeurs du Rassemblement national dans une chronique sur France Inter et utilisé d’autres termes péjoratifs comme “fachos”, “racistes”, “xénophobes” ou “homophobes” pour les décrire. Ajoutant qu’elle ne souhaitait pas dialoguer avec eux ni les comprendre, mais juste les insulter.
- Concernant les Gilets Jaunes, elle aura ces mots : « Le gilet jaune est magique, il peut transformer n’importe quelle endive en Che Guevara des ronds points. »
La gauchiste Sophia Aram aime insulter une grande partie du peuple Français mais n’apprécie guère qu’on lui réponde. Susceptible ! C’est par le bégaiement qu’elle fera sa derrière chronique, le tremolo dans la voix, l’œil perdu dans sa propre connerie. Nous sommes face à une chronique en forme de serpillère mal essorée… Sa descente d’organe colle avec son nouvel environnement, car quand elle sortira du bâtiment sécurisé de France Inter, elle retrouvera l’odeur nauséabonde de ses chroniques, grâce aux poubelles laissées par les éboueurs. Ces populistes qui l’emmerdent.
Le Média en 4-4-2.
ADDFREESTATS.COM AUTOCODE V4.0 –> Ecoutez DJMusic.fr Publié le Catégories Non classéLaisser un commentaire sur Sophia Aram bégaye et pleurniche lors de sa dernière chronique !Enquête : cette trouble association « humanitaire » islamique couverte d’or par l’Europe
Articles : Mar. 2023 – Fev. 2023 – Jan. 2023 – Dec. 2022 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887
Ce mercredi 15 mars, les institutions européennes promeuvent, notamment par la voix de Marion Lalisse, nouvelle coordinatrice de la lutte contre la haine anti-musulmane, la Journée contre l’islamophobie. Discours en arabe, promotion du hijab, sensibilisation à l’islamophobie… Tous ces récents signaux témoignent de l’influence grandissante de l’islam radical à Bruxelles. Sous couvert d’antiracisme, de valorisation de la jeunesse musulmane et d’actions humanitaires, des associations islamistes parviennent à décrocher d’importantes subventions européennes. Selon l’anthropologue Florence Bergeaud-Blackler, spécialiste du sujet et interrogée par Le Figaro, ces financements s’élèveraient « à hauteur de dizaines de millions d’euros ». Parmi les ONG concernées, Islamic Relief (Secours islamique) tire son épingle du jeu, avec près de 40 millions d’euros de subsides européens reçus en une quinzaine d’années. Et ce, malgré des liens troubles entre l’association et les Frères musulmans.
Antisémitisme, terrorisme et Frères musulmans
Fondé en 1984, Islamic Relief, organisation caritative musulmane, agit au niveau international auprès des « populations vulnérables ». En Syrie, Turquie, Bosnie-Herzégovine… l’association vient en aide aux personnes touchées par la famine, les phénomènes naturels ou le manque d’instruction. Derrière cette vitrine bien lisse, Islamic Relief fait face, depuis plusieurs années, à de nombreuses polémiques. En 2020, Tayeb Abdoun, ancien dirigeant de l’association, était accusé d’antisémitisme. La même année, le Times révèle que Heshmat Khalifa, autre membre éminent de l’ONG, était contraint de démissionner après avoir qualifié les Juifs de « petits enfants de singes et cochons ».
À ces scandales s’ajoute la proximité présumée entre Islamic Relief et les Frères musulmans. Comme l’explique Kamal el-Helbawy, ancien membre de la confrérie, dans le livre The Closed Circle : « Les dirigeants d’Islamic Relief sont des Frères musulmans. » Une affirmation réfutée par l’ONG, et ce, alors même que l’un de ses cofondateurs, Essam el-Haddad, a été conseiller du président égyptien Mohamed Morsi, membre notoire des Frères musulmans. D’autre part, le gouvernement fédéral allemand, en avril 2019, considère que l’antenne allemande de l’association entretient « des liens personnels importants avec les Frères musulmans ou des organisations qui leur sont liées ». Plus grave encore, Israël, tout comme les Émirats arabes unis, soupçonnant Islamic Relief de faire partie du système de financement du Hamas, classe l’ONG sur sa liste des organisations terroristes.
14 millions d’euros en six ans
Malgré ces éléments et de nombreuses mises en garde, l’Union européenne continue de subventionner généreusement l’association musulmane. Entre 2014 et 2020, selon le site de transparence financière de l’UE, l’ONG a ainsi reçu près de 14 millions d’euros ! En 2020, date de la dernière subvention enregistrée, Islamic Relief a perçu 35.125 euros dans le cadre du programme Awareness with human action, un projet européen pour aider la collaboration des responsables religieux. Pour l’année 2019, la seule branche allemande d’Islamic Relief a, pour sa part, bénéficié d’une allocation de 712.000 euros. Ces aides financières sont, la plupart du temps, versées au titre de l’aide humanitaire.
À ces subventions européennes s’ajoutent les aides versées directement par les États membres. Le Middle East Forum note ainsi, dans son rapport de 2018, qu’une aide de 1,1 million de dollars a été versée à l’ONG par le gouvernement espagnol en 2011/2012. La Suède lui a également attribué une aide 6,8 millions de dollars. La France, quant à elle, verse près de 2 millions d’euros au Secours islamique français, association proche d’Islamic Relief. Outre ces aides financières, Islamic Relief a été désigné « partenaire humanitaire » de la Commission européenne jusqu’en 2027.
Maintes fois interrogées sur la pertinence de continuer à verser de généreuses subventions à Islamic Relief, dont certaines activités semblent en contradiction avec la charte des valeurs de l’Union européenne, les institutions européennes assurent se montrer vigilantes et n’avoir, à ce jour, trouvé aucune preuve de quelconque compromission de l’ONG musulmane… Mais Islamic Relief n’est peut-être que la partie émergée de l’iceberg. Combien d’associations, compromises avec les Frères musulmans et plus discrètes, réussissent également à soutirer des aides financières à l’Union européenne ?
Clémence de Longraye, Boulevard Voltaire
ADDFREESTATS.COM AUTOCODE V4.0 –> Ecoutez DJMusic.fr Publié le Catégories Non classéLaisser un commentaire sur Enquête : cette trouble association « humanitaire » islamique couverte d’or par l’Europe49.3 : dans les coulisses de l’Assemblée nationale, entre violence et chaos
Articles : Mar. 2023 – Fev. 2023 – Jan. 2023 – Dec. 2022 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887
Ce 16 mars, jour du vote final de la loi sur la retraite, promettait d’être animé. Les députés et les Français n’auront pas été déçus… Comme dans une pièce de théâtre, le gouvernement s’est fait attendre à l’Assemblée. Arrivé en retard, il a été accueilli par une bronca précédant une « Marseillaise ». Les députés de la NUPES avaient brandi des pancartes : « Démocratie, 64 ans, c’est non ! » Le Premier ministre Élisabeth Borne a été contrainte d’attendre les derniers couplets de LFI sous l’œil réprobateur du reste de l’Assemblée, communistes compris. Le chant a entrainé une suspension de séance qui n’aura pas suffi à apaiser les esprits. Élisabeth Borne est inaudible. « Démission », scande le RN, tandis que la « Marseillaise » de LFI continue.
La réforme des retraites est donc passée. Dans la violence. C’était le seul axe de campagne d’Emmanuel Macron. L’idée était imposée par le pouvoir dans les esprits : c’était lui ou le chaos. Lui ou le retour de la peste brune. Lui ou Le Pen.
Las. Les élections législatives ont contrecarré les plans de la majorité devenue relative. Fini la chambre d’enregistrement du régime présidentiel, place au parlementarisme, aux tractations et aux négociations. « S’abstenir, c’est voter pour », a martelé le Rassemblement national pendant 24 heures. Un RN dont le chef de file, Marine Le Pen, a été très clair, la veille du vote : « Nous voterons unanimement contre », a affirmé, devant les caméras aux Quatre-Colonnes, celle qui, par deux fois, a affronté Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle. « Le groupe RN utilisera tous les moyens réglementaires et constitutionnels qui sont à disposition pour lutter contre ce texte », a martelé le groupe, dans un communiqué envoyé hier soir, après l’accord trouvé par la commission mixte paritaire. Les moyens réglementaires étaient nombreux : motion de rejet préalable, motion de censure du gouvernement… Tous ces outils ont été neutralisés par le 49-3, mais l’issue doit aussi beaucoup à une opposition fracturée, à une NUPES incapable de passer outre ses postures idéologiques pour mêler sa voix ou sa signature avec celles du RN. Un groupe LR déboussolé entre ses députés de la France périphérique et ceux qui reposent sur un électorat Macron-compatible, et surtout terrorisé à l’idée d’une dissolution qui pourrait achever cette équipe déjà famélique et menacée de multiples scissions. « Cette menace de dissolution est une tentative de pression sur les élus de la majorité et des Républicains tentés de voter contre », dénonce, auprès de BV, le député RN du Loiret Thomas Ménagé. Le jeune élu sait de quoi il parle. Le département du Loiret fait partie de ces territoires en pleine bascule en faveur du parti de Marine Le Pen. Ce n’est pas un hasard si le député MoDem de la circonscription voisine, Richard Ramos, était des plus critiques vis-à-vis de cette réforme et a fait part de son opposition. Son siège est des plus menacés. Il en est de même pour le député Renaissance de l’Hérault Patrick Vignal, survivant de la législature précédente dans un territoire qui a vu la NUPES et le RN faire d’excellents scores. « S’il y a dissolution, on sera nombreux à sauter », craint l’élu méridional. L’utilisation de cet outil constitutionnel aura eu le mérite de calmer les scrupules, d’oblitérer les reculades. « Ce texte passe sans majorité », a sobrement analysé Marine Le Pen. Le groupe du RN s’est réuni à 16 heures, cet après-midi, pour faire un point sur la situation.
LR : la bascule n’a pas opéré
« Ce compromis n’était pas mon souhait mais le vôtre », affirme Élisabeth Borne, toujours inaudible face à une NUPES qui chante la « Marseillaise ». Le Sénat à majorité LR avait ouvert la voie à ce compromis. Après avoir pesé dans la commission mixte paritaire, la chambre du Luxembourg a voté à une très large majorité la réforme en l’état, renvoyant le projet en lecture définitive à l’Assemblée nationale. Pour le chef de file des LR, Bruno Retailleau, « ce vote n’est en aucun cas un soutien inconditionnel au gouvernement », a-t-il précisé sur la chaine LCP AN, ce matin du 16 mars. Mais sur BFM TV, ce même jour, Éric Ciotti a précisé les limites de l’indépendance : « Le groupe LR ne s’associera ni ne votera aucune motion de censure. » Ce sauvetage par les LR, l’utilisation du 49.3 l’aura rendu caduc. Les sénateurs LR ont acté le divorce au sein de la famille des Républicains qui n’ont pas été capables de rassurer l’exécutif quant au vote de ce projet, renvoyant le groupe présidé par Olivier Marleix devant ses propres contradictions. Un texte qui était pourtant apparu comme un compromis à l’avantage des LR.
« En utilisant la force, ils ont nourri, voire légitimé, le chaos provoqué par la NUPES », peste un député du RN auprès de BV. Le bras de fer se mue en bras d’honneur. « L’utilisation du 49.3 aujourd’hui nous fait changer de dimension. Ils étaient dans une crise politique, les voilà dans une crise de régime », note, pour sa part, le député du Gard Pierre Meurin. Au fond, rien n’est réglé au palais Bourbon. L’exécutif a sa réforme, au prix de la violence politique et sociale. Il tient sa victoire contre la majorité de ses concitoyens mais rien n’est joué. Après cette victoire à la Pyrrhus face aux institutions, la réforme des retraites va devoir passer l’examen de la rue. Une aubaine inespérée pour la NUPES qui peut donner libre cours à son goût pour le chaos.
Marc Eynaud, Boulevard Voltaire
ADDFREESTATS.COM AUTOCODE V4.0 –> Ecoutez DJMusic.fr Publié le Catégories Non classéLaisser un commentaire sur 49.3 : dans les coulisses de l’Assemblée nationale, entre violence et chaosAprès Callac, le pouvoir accélère l’invasion de nos campagnes
Articles : Mar. 2023 – Fev. 2023 – Jan. 2023 – Dec. 2022 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887
Après Callac, le pouvoir accélère l’invasion de nos campagnes
Un vent de panique a soufflé chez les politiciens immigrationnistes quand, suite à la mobilisation de la population, le maire de Callac a dû renoncer au projet Horizon, présenté comme un laboratoire de la transition démographique voulue par Macron dans nos campagnes.
Une violente campagne de presse s’est mise en place contre les animateurs du combat, et les plaintes se sont multipliées contre eux. Des maires et des journalistes se sont victimisés, se disant l’objet de graves menaces. Dans ce contexte, le pouvoir, s’appuyant sur ses préfets, a décidé de passer en force, et d’accélérer l’implantation de migrants dans les campagnes, malgré le désaccord de certains maires.
À Callac, malgré l’hostilité de la population, l’association Viltaïs vient d’imposer l’installation d’une famille de dix Soudanais, dans des conditions indignes des valeurs qu’ils prétendent défendre. Ce sont des associations callacoises, payées par les impôts des habitants, qui doivent faire face, tandis que l’école doit accueillir des enfants ne parlant pas un mot de français.
À Corlay, dans la précipitation, le maire, Olivier Allain, lors des vœux, a annoncé l’arrivée de cinq familles de clandestins africains, suite au rachat d’une bâtisse ancienne par l’association Viltaïs. Il les a implantés immédiatement, rendant difficile la réaction des habitants hostiles à ce coup de force.
À Saint-Brevin, malgré des mobilisations toujours plus nombreuses, le maire, Yannick Morez, persiste, de manière irresponsable, à vouloir imposer un Cada de 120 migrants, juste à côté d’une école maternelle.
À Beyssenac, malgré l’hostilité du maire et du conseil municipal, le préfet Desplanques veut imposer aux 350 habitants, habitués à vivre sans fermer leurs portes, la présence d’un Cada de 40 migrants. Il essaiera de convaincre, ce jeudi 16 mars, dans une réunion publique qui s’annonce houleuse, des bienfaits de son projet, et expliquera aux habitants que la Corrèze est en retard sur ses quotas.
À Bélâbre, petite ville de 900 habitants dans l’Indre, le maire Laurent Laroche, qui veut imposer un Cada de 40 personnes, a refusé l’offre d’un entrepreneur, pourtant supérieure à celle de Viltaïs, qui proposait d’implanter, à la place de son projet, une entreprise générant vingt emplois dans la ville. Une nouvelle offre sera examinée en conseil municipal extraordinaire, le lundi 20 mars.
À Séloncourt, dans le Doubs, le maire, sans concertation, se voit également imposer l’accueil de 40 migrants, dans les anciens locaux d’une association de handicapés.
Pour compléter cette offensive, la LDH multiplie les plaintes contre les villageois qui refusent ces projets qui bouleverseraient leur quotidien.
Nombre de citoyens, partout, s’étonnent que l’on trouve des millions pour accueillir des clandestins, qu’on leur promette du travail, quand les autorités disent aux Français qu’il n’y a pas d’argent, ni d’emplois pour eux.
La Coordination Partout Callac encourage les citoyens des villes et villages concernés à résister, dans l’esprit de la bataille de Callac. Elle se tient à la disposition de tous ceux qui voudront s’organiser pour sauver leur mode de vie. Elle se propose, forte de l’expérience de Callac, de leur apporter l’aide, le soutien et les conseils utiles pour mettre en échec les projets gouvernementaux, soutenus par l’ensemble de la gauche.
Bernard Germain Riposte Laïque
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