Retraites : le gouvernement choisit le 49.3 et renonce au vote à l’Assemblée – En direct Live

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Quand le syndicaliste Olivier Mateu remet en place un représentant du Medef

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Christine Kelly reçoit Éric Zemmour : et surtout vive la France !

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C’est une Christine Kelly rayonnante qui accueille dans son émission Face à l’Info Eric Zemmour , venu nous parler de son dernier livre, déjà en tête des ventes, “Je n’ai pas dit mon dernier mot”.

Bilan de sa campagne, secrets, mea-culpa, trahisons, tout y est. On y voit un Zemmour à la fois fort, faible, malheureux, optimiste, humain et toujours sincère. 

Non, lors de sa participation à l’émission de Christine Kelly, il ne l’a pas “trahie” et s’y est pleinement investi, sans arrière pensée politique. Ce n’est que peu à peu que l’idée de la présidentielle a fait son chemin pour défendre ses idées et sauver la France. En se jetant dans l’arène, il était au moins certain de ne rien regretter.

Ce n’est pas un livre règlement de comptes mais une mise au point sans concessions. Avec des anecdotes, des faits choquants, parfois crus, de façon à en tirer une leçon politique.

Ménard est par exemple la parfaite figure du traitre aux retournements de veste incessants.

C’est le soi-disant ami qui me dit pendant des mois que je suis le meilleur et qu’il faut y aller. Puis il passe la campagne à me taper dessus. C’est le Judas de Béziers qui a empêché de parler des vrais problèmes. Il m’a diabolisé pour délégitimer mes idées.

Marine et moi sommes plus complémentaires qu’adversaires, mais jusqu’au bout j’ai davantage été son ennemi que Macron. Elle a d’ailleurs refusé toute alliance pour les législatives. Pour ma part, j’ai plus attaqué Valérie Pécresse que le RN. En fait les médias m’ont enfermé dans un duel d’extrême droite avec Marine alors que je combattais LR. Je suis plutôt RPR de 1990.

En fait, ce sont les médias qui ont été mes plus farouches adversaires et j’ai sous-estimé leur puissance.

Au Trocadéro, j’ai fait un meeting d’exception avec 100 000 personnes, une ambiance bon enfant, le soleil, un discours apprécié. Ce fut un succès. Mais un cri a retenti au loin dans la foule : “Macron assassin”, cri que je n’ai pas entendu. Et aussitôt tout le meeting s’est résumé à ce cri que je n’avais pas aussitôt condamné.

Par la suite, il s’est avéré que ce cri a avait été lancé par des gamins. Mais les médias avaient fait de la mousse avec rien.

Beaucoup d’amis m’on lâché. Quand on perd on déçoit. C’est la grande désillusion qu’on ne vous pardonne pas.

Mais je tiens à faire l’éloge de Philippe de Villiers, ami hors du commun, avec lequel je suis devenu encore plus proche.

Macron profite du clivage entre la Macronie et le RN, mais surtout de la génération des boomers, la plus nombreuse, qui ne votera jamais Marine. Quand cette génération aura disparu, vers 2035, nous aurons deux grandes forces politiques : les islamo-gauchistes et la droite identitaire. Ce sera le duel de demain.

Oui, je me livre car j’ai mis dans ce combat toute ma sincérité et mon énergie et je veux que mes électeurs comprennent ce qui s’est passé. J’explique mes erreurs et analyse les évènements. Oui, il y a eu des polémiques inutiles, le handicap, les réfugiés ukrainiens. J’ai eu peur d’être taxé de racisme en accueillant des réfugiés blancs. Alors j’ai répondu non.

Puis je parle de la boule au ventre, cette tension nerveuse que j’ai eue jusqu’au bout depuis le 24 février, date de la guerre en Ukraine, qui a détourné les esprits de ma campagne.

C’est un discours de vérité, de sincérité, de simplicité et de franchise que nous livre Zemmour.

Sur la réforme, Eric Zemmour est pour la retraite à 64 ans, qui figure dans son programme, mais pour une réforme globale beaucoup plus vaste et durable, qui traite de la natalité, de la fraude, de l’emploi, de la réindustrialisation, d’une dos de capitalisation. Il y a une gauchisation excessive du débat. 

Oui, je suis attaché à notre histoire car une nation n’existe que par son histoire.

Reconquête, c’est une arme pour agir. Il ne s’agit plus de défendre seulement les idées, il faut agir. Quand je m’oppose à ce qu’une enseignante aille à Calais avec ses élèves défendre la cause des migrants, j’agis. Quand je m’oppose à l’installation de migrants à Callac, j’agis.

Il faut façonner les esprits et combattre l’endoctrinement de gauche.

Oui, nous irons aux européennes et aux municipales. L’important, avec Marion, ce n’est pas de savoir qui sera tête de liste mais de combattre ensemble.

Puis Marc Menant arrive sur le plateau.

Il nous décrit un Zemmour sincère qui parle vrai, tout le contraire d’un raciste et d’un facho.

C’est sur le peuple que mise Zemmour. Un peuple judéo-chrétien qui sait l’urgence de la situation.

Pour Mathieu Bock-Côté, ce n’est pas un livre règlement de comptes. Zemmour se fait l’historien de sa propre action. Mais il devra changer sa tactique. Après la charge héroïque des premiers mois, Reconquête ne sera plus l’instrument de conquête, mais le recours après la décomposition du système politique.

Pour Zemmour la guerre en Ukraine a été sa retraite de Russie.

Il nous rappelle qu’au delà des classes populaires patriotes, il y a aussi une droite bourgeoise identitaire qui n’a rien à voir avec la droite macroniste. Et cette droite, qui envoie ses enfants à l’étranger, n’attend qu’une chose : que Zemmour gagne les élections.

Quel est le dernier mot de Zemmour ?

Sauver la France en grand danger, c’est un devoir envers le peuple.

C’est donc un Zemmour toujours aussi déterminé qui s’est exprimé. Est-il l’avenir de la France ? Espérons. C’est en tout cas le plus sincère, le plus patriote, le plus désintéressé et le plus courageux de toute cette classe politique sans courage, qui nous a conduits vers l’abîme et qui se couche devant l’Europe, résignée comme à l’abattoir.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

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Le tribunal de Lyon condamne le propriétaire à indemniser ses squatteurs !

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Nous vous rapportions l’affaire ici même, au début de ce mois : deux squatteurs portaient plainte contre le propriétaire de l’immeuble qu’ils occupaient indûment depuis dix-huit mois au motif que celui-ci avait récupéré son bien avant la date butoir du 31 mars. Partis sans doute en vacances, les indésirables avaient déserté les lieux et le propriétaire en avait profité pour changer les serrures et récupérer son bien.

On apprenait alors qu’un des squatteurs portait plainte, demandant à « pouvoir réintégrer son domicile » (sic), « un logement remis en état » (resic). Il réclamait aussi 5.000 euros de dommages et intérêts. Le premier, « serrurier », était rejoint dans sa plainte par une copine de squat « professeur des écoles », nous dit aujourd’hui Le Progrès. Vous avez bien lu.

Le jugement était fixé au 14 mars. Il vient d’être rendu : le tribunal, ayant jugé « irrégulière la procédure de reprise des lieux », condamne le… propriétaire à verser 2.000 euros à ses squatteurs ! Seule concession : ceux-ci ne pourront pas réintégrer les lieux pour les quinze jours restants avant la date légale d’expulsion, le 31 mars.

On connaît la chanson : on va nous dire que c’est le droit, que l’affreux propriétaire n’avait pas à se faire justice lui-même. Que le droit au logement prime sur le droit de la propriété. Que la propriété, c’est le vol. Etc. Et puis quoi, il s’agit d’une société civile immobilière qui avait acheté cet immeuble de bureaux voilà deux ans et demi dans le but de le rénover. Un scandale, sans doute, alors les squatteurs l’ont prise de vitesse et la Justice leur donne raison.

Envisage-t-on de juger les squatteurs qui ont occupé ce bien des mois durant « sans droit ni titre » et l’ont transformé en véritable porcherie ? Il n’en est pas question, pour l’instant. Et pourtant…

Un reportage de TF1 info, diffusé le 8 mars dernier, nous a invités à la découverte de l’immeuble saccagé. Sur 800 mètres carrés, « pas une pièce n’a été épargnée ». Murs intégralement tagués, portes défoncées, amas de détritus partout, déjections… « Ici, il y avait une fenêtre à la place de cette porte de garage », dit la propriétaire. Pour l’installer, « des murs porteurs ont été entièrement cassés et la structure de l’immeuble est complètement à revoir ». À quoi il faut ajouter les ravages causés par la piscine installée sur le toit…

Qui va payer les dégâts ? Et qu’en pensent les voisins, tous ces habitants du quartier dont France 3 Régions nous expliquait, voilà deux semaines, qu’ils avaient « vécu l’enfer », entre « musique techno, bagarres, disputes, cris… » ? Des citoyens dont les « pétitions, recours, tentatives de médiation » sont restés lettre morte ?

Les Français, ces grincheux, n’ont plus aucune confiance dans leurs institutions, nous dit-on, Justice en tête. Voilà donc un nouvel épisode pour alimenter leur défiance, car qui peut comprendre que la plainte de ces individus ait été même reçue et instruite ? Qui était derrière, quelles associations ? Qui a trouvé et rétribué leur avocat, celui qui a osé plaider la remise en état d’un bien totalement saccagé ?

Reste une autre question de droit, bien intéressante aussi celle-là : vers qui va pouvoir se retourner le propriétaire ? Va-t-il pouvoir, lui, porter plainte contre les démolisseurs de son bien (la « professeur des écoles » et le serrurier sont sans doute insolvables) ? Va-t-il éventuellement pouvoir demander des comptes aux associations qui tirent les ficelles, généralement subventionnées à leur insu par les contribuables ?

Cette société, la France marchent sur la tête. On voudrait que les citoyens s’arment pour leur autodéfense qu’on ne s’y prendrait pas autrement.

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L’immigration coûte 20 à 33 milliards d’euros par an à la France, selon la Fondapol

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« Ce qui est dangereux et haïssable, c’est le simulacre de l’action. » Ce mot du grand historien Jacques Bainville s’adapte parfaitement à la politique migratoire française. Le récent rapport Immigration : comment font les États européens, que la Fondapol (Fondation pour l’innovation politique, un laboratoire d’idées libéral créé en 2004 par le fonctionnaire, industriel et homme politique Jérôme Monod) consacre à ce sujet sensible, est sans appel : la France est trop peu exigeante et trop généreuse avec ceux qu’elle accueille. Auditionné par la commission des lois du Sénat, le 28 février dernier, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin déclarait être favorable à « des dispositions qui pourraient limiter le regroupement familial » – première cause d’immigration en France. Mais c’est bel et bien toute une politique qu’il faut entièrement réviser. Dominique Reynié, directeur général de la Fondapol, estime que « les raisons [de cet échec en matière de politique migratoire] se trouvent dans l’évolution de nos élites au cours des décennies 1980 et 1990 ». Elles ont préféré une approche « humanitaire » et un « accueil inconditionnel » des étrangers au détriment d’un « réalisme d’État d’une communauté nationale, de sa culture ou du souci des classes populaires ». Le philosophe Yves Michaud avait raison, « la politique des bons sentiments et de la compassion mène à l’aveuglement ». Quant à la sempiternelle question des obligations de quitter le territoire français (OQTF), la France est en bas de classement des pays classés sur leur efficacité… « En moyenne, sur la période 2015-2021, la France a réalisé 12 % de ses OQTF, contre 43 % pour l’ensemble de l’Union européenne », rapporte la Fondapol. Formidable constat d’échec…

Quelle politique d’intégration ?

L’arrivée durable d’étrangers (venus de l’extérieur de l’Union européenne) sur le sol de France est conditionnée par « un contrat d’intégration républicaine » d’une durée d’un an qui comprend un entretien avec l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) débouchant sur une formation linguistique de « découverte du français » de niveau A1. L’étranger peut aussi être considéré comme un grand débutant, avec formation obligatoire en cas de besoin constaté et proposition d’une formation professionnelle et civique permettant de s’approprier les valeurs de la société française. « Obligatoire, cette formation est cependant l’une des moins contraignantes d’Europe : elle ne dure que quatre jours, précise le rapport de la Fondapol. Le respect du contrat, nécessaire pour la délivrance d’une carte de séjour pluriannuelle, n’est conditionné qu’au suivi des formations obligatoires et ne comporte aucun test de niveau. »

En matière d’intégration, la France est loin, très loin de ses voisins européens. L’exemple allemand est frappant. L’Allemagne rend obligatoire son programme d’intégration (700 heures) en cas de faible maîtrise de l’allemand, « programme à sa charge, soit 2,29 euros par heure et 1.603 euros au total, sauf s’il perçoit des aides sociales », ajoute la Fondapol. En Italie, ce programme d’intégration existe sous la forme de crédit. L’étranger doit suivre des formations qui l’amènent à trente crédits ou plus pour obtenir un titre de séjour. « Au bout de deux ans, si le nombre de crédits est égal ou supérieur à trente, la personne reçoit un certificat ; si le nombre de crédits est nul, l’étranger perd son permis de séjour », décrit le rapport.

Le coût réel de l’immigration

L’immigration, dans ces conditions, est-elle une chance pour la France ? Elle coûte, au contraire, bien plus cher qu’elle ne rapporte. Une étude de l’OCDE étendue sur la période 2006-2018 a permis de mettre fin aux habituels poncifs. « La contribution budgétaire nette des immigrés est de –0,85 % du PIB », poursuit la Fondapol. En prenant en compte les dépenses liées « aux biens publics congestibles » (fourniture d’eau, d’énergie ou transports en commun) et « purs » (biens accessibles à tous), on s’aperçoit que l’immigration représente un coût « d’environ 20 milliards d’euros [pour la France] en 2018 ». En élargissant le calcul à la première génération de descendants d’immigrés, le chiffre tombe à « -1,41 % du PIB, soit un coût d’environ 33 milliards d’euros en 2018 », précise la Fondapol.

Si le constat est alarmant, rien n’est fatal. Des solutions existent et sont mises en place dans de nombreux pays européens. Ainsi, la Fondapol préconise le retour d’un « ministère de l’Immigration », l’instauration de « statistiques complètes [comprendre ethniques, NDLR] » ou « la fin de la gratuité des soins pour les migrants irréguliers sauf les mineurs et les femmes enceintes ». Mais comme l’écrivait Diderot dans Jacques le fataliste : « Il y a longtemps que le rôle de sage est dangereux parmi les fous. »

Julien Tellier, Boulevard Voltaire

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Après la Bretagne et le Berry, bientôt des migrants en Auvergne-Rhône-Alpes

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Le tour de France continue : le nombre des villages contraints d’accueillir très prochainement des migrants ne cesse d’augmenter. Cette fois-ci, c’est en Auvergne-Rhône-Alpes, dans le petit village de Doyet (Allier), que les habitants commencent à s’organiser contre la probable installation de migrants dans un ancien hôtel.

Coallia à la manœuvre

« Nous avons découvert le projet par le bouche-à-oreille. » Depuis fin février, à Doyet et dans ses environs, des habitants, préoccupés par le projet d’installation de migrants dans un hôtel désaffecté, s’organisent en collectif. « Nous avons écrit une pétition et nous faisons du porte-à-porte pour informer les riverains », explique, auprès de BV, un membre de ce collectif baptisé « Avenir ruralité Allier ». Et de poursuivre : « On nous parle d’accueillir jusqu’à 80 migrants, c’est énorme pour un petit village ! » Du côté de Reconquête, Clément Monteiro, militant Génération Zemmour de l’Allier, nous confirme ce chiffre : « La population arrivante représenterait jusqu’à 5 % de la population. » La mairie se positionnera-t-elle également contre l’implantation du projet ? « Notre maire s’y oppose car notre village n’a pas les capacités (sanitaires, emploi…) d’accueillir autant de migrants, et aussi pour des raisons de sécurité », nous explique un habitant. Contactée, Christiane Touzeau, maire de Doyet, n’a pas encore répondu à Boulevard Voltaire.

À en croire la pétition de Reconquête – qui vient d’atteindre les 1.000 signatures – et selon les habitants contactés, l’hôtel, propriété privée mise en vente par les héritiers, devrait être acheté dans les semaines à venir par Coallia, spécialisée dans l’accueil des demandeurs d’asile. L’association, qui perçoit près de 100 millions d’euros de subventions directement de l’État, possède déjà plusieurs centres d’accueil de demandeurs d’asile (CADA) à travers la France. Mais Coallia, malgré le soutien financier de l’État, a plusieurs fois été pointée du doigt pour des manquements. En juin dernier, Politis et StreetPress, deux médias d’extrême gauche, révélaient, par exemple, les conditions de vie indignes et insalubres dans lesquelles des dizaines de migrants devaient vivre dans l’un des centres franciliens de l’association.

Même tableau à Callac, dans les Côtes-d’Armor. Les réfugiés soudanais installés dans le village depuis quelques semaines seraient, selon Valeurs actuelles, contraints de vivre dans des conditions « indécentes » et de dormir sur des matelas de fortune. Il semblerait que Viltaïs, qui gère ce centre, ait le sens de l’accueil…

Bélâbre : la mobilisation s’accélère

À quelques kilomètres de Doyet, dans l’Indre, le projet du même Viltaïs avance doucement. Découvert grâce à la vigilance de quelques habitants et révélé par BV, le projet d’installation de 38 demandeurs d’asile dans l’ancienne chemiserie de Bélâbre est aujourd’hui contesté. Réunis sous la bannière « Non au CADA à Bélâbre », les opposants ont déjà deux manifestations à leur actif. Lors de la dernière, organisée le 11 mars dernier, ils ont été bousculés par des pro-CADA. « Les contre-manifestants ont évolué jusqu’à nous, contrairement à ce qui nous avait été indiqué, et ils ont saboté notre sono », s’indigne un membre du collectif d’opposition.

Mais la conjoncture pourrait changer. Après plusieurs semaines de manifestations, un projet alternatif a surgi. Selon nos informations, deux entrepreneurs volontaires pour racheter la chemiserie et créer des emplois ont rencontré le maire de Belâbre. Un conseil municipal extraordinaire doit se tenir, ce lundi 20 mars, pour trancher entre les deux projets. Pour l’heure, aucune décision n’a été prise.

Clémence de Longraye, Boulevard Voltaire

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Jean Dujardin, fier d’être Français !

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Il suffit de voir la désaffection des téléspectateurs vis-à-vis de la cérémonie des César pour comprendre qu’entre nos vedettes de cinéma et leur public, le malaise va grandissant.

Et il y a de quoi. Adèle Haenel, par exemple, plus qu’en pointe dans le feuilleton #Metoo, a décidé d’arrêter sa carrière sur grand écran pour dénoncer un « système réactionnaire, raciste et patriarcal » après avoir quitté la cérémonie (millésime 2020) en s’en prenant publiquement au réalisateur Roman Polanski. Un an plus tard, Corinne Masiero, capitaine Marleau sur France 3, se croit maligne en se présentant à poil devant « la grande famille du cinéma français » avec des tampons hygiéniques en guise de boucles d’oreilles.

Bref, ce désamour est tout, hormis immérité. Il n’empêche qu’il serait injuste de mettre tout ce joli demi-monde dans le même panier. La preuve par Jean Dujardin et ses propos récemment tenus dans l’émission « Sept à huit », sur TF1. Attention, âmes sensibles et progressistes s’abstenir : « J’aime bien aimer ce pays et j’aime bien le dire parce que je pense que le plus gros problème de ce pays, c’est qu’il ne s’aime pas, ou pas assez. »

Et Dujardin d’en remettre une couche : « Parfois, je l’ai un peu surjoué. J’ai été un peu chauvin, au moment où, justement, on imaginait que je ne le serais plus. » Ce qu’il a précisément fait en recevant l’Oscar du meilleur acteur, le 26 février 2012, pour The Artist, le superbe film de Michel Hazanavicius. Durant la cérémonie, il ne mit pas la pédale douce sur les cocoricos. À l’époque, nombreux furent ceux qui lui prédisaient une carrière américaine. Il se contenta pourtant de deux modestes rôles, dans Le Loup de Wall Street (2013), de Martin Scorsese, où il donne la réplique à Leonardo DiCaprio, et dans Monument Men (2014), de George Clooney. Voilà qui aurait fait tourner la tête d’une palanquée d’acteurs et d’actrices, mais pas la sienne, manifestement bien faite.

Lucide, il évoque cette période : « On m’a prêté cette intention… Ben non ! […] Je n’ai jamais eu un grand rêve d’Amérique. Moi, mon grand rêve, c’était de rencontrer Jean-Paul Belmondo. C’est là où j’ai été le plus intimidé. » Effectivement, plus franco-français, on ne fait pas. Quant à son éventuelle carrière hollywoodienne, Jean Dujardin persiste à garder les pieds sur Terre : « Je ne crois pas qu’un acteur français puisse bien jouer en anglais. […] En ce qui me concerne, la greffe ne prend pas. C’est assez amusant, parce que c’est assez exotique, mais l’idée est quand même de revenir à la maison mère. » La France, donc !

Et pourtant, cette France, il l’a raillée en incarnant à trois reprises l’agent OSS 117, le héros de Jean Bruce, dans Le Caire, nid d’espions (2006), Rio ne répond plus (2009), de Michel Hazanavicius, sans oublier Alerte rouge en Afrique noire (2021), de Nicolas Bedos, autrement moins réussi. Dans cette trilogie, il rit de la France mais pas contre la France, plutôt avec elle et ces millions de Français qui ne s’y sont effectivement pas trompés. Car il s’agit là d’un rire franc et affectueux, au contraire des actuels ricanements d’autres comiques plus ou moins subventionnés. Mieux : dans ces pochades, il incarne un patriote maladroit – c’est le moins qu’on puisse prétendre – mais sincère. Un peu comme lui, somme toute.

S’il y avait plus de Jean Dujardin dans le cinéma français, ce dernier ne s’en porterait probablement que mieux. En attendant, la relève de ces grands acteurs de « droite », les Jean Gabin, Lino Ventura, Maurice Ronet, Claude Rich, Alain Delon et, évidemment, Jean-Paul Belmondo, même s’ils incarnaient, chacun à leur façon, cinquante nuances de tricolore, paraît aujourd’hui assurée.

Nicolas Gauthier, Boulevard Voltaire

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