Crise alimentaire. Le PDG de Système U alerte sur de possibles pénuries à venir

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Des produits de consommation habituels qui pourraient disparaître des rayons « d’ici quelques semaines à quelques mois », telle est la crainte de Dominique Schelcher. Le PDG de Système U redoute en effet des pénuries dans le secteur alimentaire.

Bientôt des pénuries alimentaires en France ?

Les consommateurs français l’auront remarqué : certains produits tendent à se faire rares depuis plusieurs semaines dans les rayons des supermarchés du pays. Quand ils ne sont pas tout simplement absents. Désorganisation des chaînes d’approvisionnement depuis la crise sanitaire, crise énergétique, guerre en Ukraine… Rumeurs et confusions vont bon train pour tenter d’expliquer la situation.

Dans une interview accordée au JDD le 23 octobre, Dominique Schelcher, PDG de Système U indique qu’actuellement, près de 12 % des produits manquent déjà en rayon. Une situation qui aggrave de surcroît la dépendance de la France aux importations.

Selon le patron du groupe de distribution disposant de 1 670 magasins et employant 73 000 salariés, « cette crise est plus grave que pendant la pandémie » de Covid-19, assurant que « tout peut basculer très vite ». Au printemps 2020 en effet, en raison des provisions faites par une partie de la population au début du confinement et de l’incidence de la pandémie sur la chaîne logistique globale, certains magasins de l’Hexagone se sont parfois retrouvés en situation de rupture concernant des produits de première nécessité. Toutefois, cet épisode pourrait être largement dépassé en termes de gravité par ce qui attend la France dans les mois à venir si l’on en croit les propos de Dominique Schelcher.

Des produits habituels risquant « de faire défaut dans les rayons »

Par ailleurs, le patron de Système U redoute également de voir les faillites se succéder dans le secteur agroalimentaire. Mais, concrètement, à quoi doivent s’attendre les consommateurs français dans un futur proche ?

Dominique Schelcher redoute que « d’ici quelques semaines à quelques mois, les produits habituels risquent de faire défaut dans les rayons ».

Au sujet de ces pénuries qui ne relèveraient donc plus de la science-fiction, il explique que, « selon la Coopération agricole, qui représente un tiers des marques, beaucoup de producteurs seront bientôt contraints d’effectuer des choix de gammes, à cause de coûts trop élevés : des agriculteurs décideront par exemple d’abandonner la volaille au profit des céréales ».

En clair, certains produits plus coûteux à la fabrication tel le fromage et la charcuterie pourraient être abandonnés par les producteurs. Idem pour les produits ayant un succès commercial moindre.

La facture énergétique mise en cause par le PDG de Système U

Comment en sommes-nous donc arrivés au bord de telles pénuries dans un pays comme la France ? Si, comme indiqué précédemment, plusieurs causes sont actuellement avancées de parts et d’autres, pour Dominique Schelcher, la raison principale est la flambée des prix de l’énergie. Une envolée de la facture énergétique qui, selon ses mots, met certaines PME « au pied d’un mur insurmontable ».

Lorsqu’elles n’ont pas anticipé cette inflation, les TPE-PME, « parce que souvent isolées et sans accès à des informations fiables, sont obligées de renégocier des contrats trois à quatre fois plus cher », souligne le PDG de Système U. Qui indique par ailleurs que le groupe devrait lui aussi voir sa facture énergétique être multipliée par deux en 2023.

Quant à la guerre en Ukraine, si elle n’apparaît pas comme étant l’élément déclencheur de ces difficultés d’approvisionnement dans la grande distribution française, elle n’a cependant guère contribué à permettre un retour à la normale. Au contraire, le conflit débuté en février dernier a, selon Dominique Schelcher, « perturbé la chaîne agroalimentaire durablement et profondément », tandis que le taux de rupture de produits, avoisinant initialement les 2 %, a désormais franchi la barre des 10 % dans l’Hexagone.
 Breizh-info.com

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Cyril Hanouna dérange politiciens et médias : il en deviendrait sympathique

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On a beau détester la vulgarité de ses émissions, les épisodes de nouilles dans le slip et d’humiliation sous hypnose ; on a beau se désoler qu’il transforme le français en un sabir comprenant 150 mots de novlangue prononcés avec l’accent du Sentier et 150 mots d’arabe ; on a beau regretter qu’il soit en tête des audiences… il n’empêche : Cyril Hanouna est en train de devenir sympathique.

Il paraît qu’on mesure la valeur d’un homme à la puissance de ses ennemis. Les deux derniers contempteurs de « Baba », ainsi qu’il se nomme lui-même, ne sont pas n’importe qui. La première est Sophia Aram, comique de profession sur France Inter. Elle n’est pas drôle, donne des leçons à la Terre entière, crache sur les cibles fétiches de la gauche : vous connaissez ce genre de profil, ils sont tous pareils sur la radio d’État. Lors de sa chronique du lundi 24 octobre, cette dame n’y est pas allée de main morte : entre deux figures imposées (une attaque contre Bolloré et un regret sur « notre civilisation » que son camp a pourtant contribué à déconstruire), elle a considéré que Cyril Hanouna était « un barbare au service de la barbarie ».

La raison de tant de haine ? Hanouna a osé considérer, lors de son émission « Touche pas à mon poste ! », que dans la sordide affaire Lola comme dans tant d’autres, on devrait pouvoir envoyer immédiatement les coupables en prison à perpétuité, à condition d’avoir toutes les preuves. Sophia Aram est choquée. Hanouna, lui, a demandé à l’Arcom (ex-CSA) de ne pas laisser passer cette insulte.

Le deuxième adversaire d’Hanouna s’est dressé contre lui à cause des mêmes propos. Sauf que, cette fois, il s’agit d’Éric Dupond-Moretti, l’homme à qui la taille et les sourcils froncés tiennent lieu de charisme. Le garde des Sceaux était l’invité d’Anne-Élisabeth Lemoine, sur France 5, dans « C à vous », vendredi 21 octobre. Il a longuement fustigé Hanouna, son côté prétendument populiste et ses raccourcis sur la justice qui, selon Acquittador, est très compliquée à rendre.

Ce dernier a répondu à Éric Dupond-Moretti, dans son émission du lundi 24 au soir, tout comme il a répondu à Sophia Aram dans la même émission. Le garde des Sceaux aurait-il dû répondre à Cyril Hanouna par écran interposé ? Est-ce bien de son niveau ? À chacun son avis. Il n’empêche que la réponse du trublion est « à la hauteur des enjeux ». Il rappelle que la liberté d’expression existe, que le ministre peut venir s’exprimer et qu’il est bien triste de chercher à faire du buzz sur le dos d’un animateur quand on siège au gouvernement. Autant d’évidences qui n’en sont plus, en France, en 2022.

Il est sympathique, Hanouna, par contraste avec ses adversaires. Je n’aurais pas misé là-dessus. Toujours par contraste avec ses adversaires, il est également en train d’apparaître, ces jours-ci, comme un homme modéré, intelligent, un défenseur de la liberté.

Arnaud Florac dans BV

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À Roanne, Lyon ou Nantes, des Français tentés de se faire justice eux-mêmes

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Dans la nuit de jeudi à vendredi, à Roanne (Loire), la mère d’une enfant de 6 ans aperçoit en pleine nuit l’homme qui vient d’agresser sexuellement son enfant dans le pavillon familial. Il s’y est introduit frauduleusement avant de prendre la fuite. L’agresseur présumé est un mineur isolé de 16 ans.

Dans un témoignage recueilli par Le Progrès, Aniss, le jeune père de famille, témoigne d’une vie bouleversée depuis l’agression : « Ma femme est partie dans sa famille avec nos enfants, explique-t-il. Elle ne veut plus dormir ici. Elle et ma fille sont traumatisées; » Furieux, Aniss s’emploie à rendre coup pour coup dès le lendemain : le matin, son épouse et lui portent plainte en donnant une description physique très détaillée de l’homme qui a fait face à la mère de famille dans la chambre de la victime. Ce portrait-robot permet à Aniss et à quelques amis d’identifier l’adolescent le soir même lors d’une patrouille de voisinage dans le quartier. L’agresseur est passé à tabac. Un acte que le père de famille « ne regrette pas » : il appelle lui-même la police. L’adolescent est alors conduit aux urgences où il se voit délivrer dix jours d’ITT avant d’être placé en garde à vue puis déféré, mis en examen et placé en détention provisoire.

Une première enquête est ouverte suite au viol de la fillette, une deuxième enquête devrait suivre concernant le règlement de comptes auquel a participé le père de la victime. Car, pour la Justice, les méfaits de l’agresseur présumé « ne justifient pas et ne légitiment pas les violences qu’il a subies,commente le procureur de la République de Roanne, Abdelkrim Grini, auprès de BFM TVLe procureur de la République que je suis ne peut pas tolérer ce type de comportement. » En France, « on ne se fait pas justice soi-même », ajoute Denis Jacob, secrétaire général du syndicat Alternative Police, ce matin, toujours à l’antenne de BFM TV. Côté politique, quelques réactions se sont pourtant fait entendre et l’une d’elles a créé la polémique. Éric Ciotti, le futur patron pressenti du parti Les Républicains, a tonné : « Qui peut condamner la réaction du père ? Je ne condamnerai pas le père de famille qui protège sa fille ! »

La réaction du père de famille Aniss a en effet peu choqué l’opinion publique car les Français ont de moins en moins confiance dans l’État pour résoudre les problèmes liés à l’insécurité. Selon le baromètre IFOP du 22 août dernier, 69 % des Français ont aujourd’hui le sentiment que la délinquance a augmenté, 58 % que l’État ne sera pas en mesure de sécuriser les JO de 2024 (Fiducial/Odoxa le 22 octobre). L’État ne remplit plus son devoir régalien d’assurer la sécurité, constatent certains habitants. Le thème ressort dans les conseils de quartiers mis en place par les municipalités. Pour certains, le dispositif de sécurité assuré par l’État n’est plus suffisant. À Montrouge (Hauts-de-Seine) ou à Nantes (Loire-Atlantique), les administrés constituent ce qui apparaît parfois comme de véritables milices citoyennes.

Le jeudi 3 juin 2021, le maire (UDI) de Montrouge, Étienne Lengereau, faisait ainsi hurler d’effroi ses opposants en faisant passer une délibération qui vise à instaurer dans la commune un dispositif de participation citoyenne sur les questions de sécurité. Le principe est simple : tout citoyen majeur ayant du temps libre, après validation par le maire et son chef de la police municipale, peut rejoindre un comité de surveillance de quartier afin de remonter tous les faits inquiétants. L’opposition dénonce aussitôt « une milice de la délation ».

Justice parallèle

L’idée fait pourtant son chemin. Après le meurtre d’une femme, Nadia Hassade, connue de tous dans le quartier de Bellevue à Nantes, une « milice de quartier » très active sur les réseaux sociaux publie des vidéos de ses rondes citoyennes. Le groupe annonce même qu’il a intensifié ses « patrouilles » après cet acte, espérant dissuader les délinquants de toute nouvelle tentative d’agression. « On va sécuriser tout le quartier », préviennent ainsi ces groupes, souvent composés de jeunes. On voit sur leurs publications Web des groupes d’hommes patrouiller de nuit comme de jour dans les rues, accompagnés d’un chien de type Rottweiler. À Lyon, les habitants s’organisent aussi.

Le phénomène n’est pas marginal, au point que l’augmentation des mouvements d’autodéfense citoyenne pose problème à la Justice. Ainsi, c’est presque une enquête parallèle qui s’est ouverte à Nantes après le meurtre de Nadia Hassade. Des proches de la victime ayant remonté la trace de l’assassin se sont introduits chez lui pour mener un interrogatoire musclé, diffusé sur les réseaux sociaux. De quoi compliquer le travail des juges. Le procureur de Nantes, Renaud Gaudeul, insiste : « Cela doit s’inscrire dans un cadre légal. » Mais la diminution des actes d’autodéfense citoyenne dans le cadre (ou non) de milices ne semble pas pour demain…

Jordan Florentin dans BV

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Mais arrêtez de nous emmerder avec votre folle politique anti-voitures !

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Mais arrêtez de nous emmerder avec votre politique anti-voitures totalement bidon ! Pompidou, exaspéré par la profusion de décrets et de lois inutiles, avait eu ce cri du cœur il y a cinquante ans. La dictature des Verts n’existait pas encore, mais les Français étaient déjà harcelés dans leur quotidien. Et tout empire pour instaurer une société à la chinoise.

Leur voiture, non seulement les Français l’aiment, mais ils en ont un grand besoin quotidien, souvent irremplaçable.

C’est leur plaisir, leur liberté, leurs vacances en famille, l’évasion du WE, mais c’est surtout l’outil indispensable pour aller travailler, faire les courses, emmener les enfants à l’école, aller chez le médecin, ou pour se déplacer à n’importe quelle heure du jour et de la nuit en cas d’urgence.

Pour certains, c’est même l’outil de travail incontournable qui nourrit la famille.

La voiture a plus de 100 ans mais elle n’a pas pris une ride dans le cœur des Français. La première démarche dans la vie d’adulte reste de passer son permis, car sans ce sésame on est souvent handicapé dans la recherche d’un emploi. Mais dès le précieux papier rose obtenu, le jeune conducteur devient le bouc-émissaire des ayatollahs du climat. Pourtant, la voiture, c’est le sang de l’économie.

Par conséquent, tuer la voiture comme le veulent les écolos malveillants, accuser l’automobile de tous les fléaux, alors que la grève des pétroliers a montré que sans voiture la France était paralysée, est un crime économique.

Depuis des décennies, l’automobiliste est persécuté, le mot est faible, par des illuminés de la sécurité routière qui font dans la démesure, ou des écologistes de pacotille qui imposent leur dictature mensongère à tout le pays.

Limitations de vitesse délirantes, radars devenus machines à cash, permis à points abusif, rues piétonnes et centres-villes interdits, places de parkings supprimées, amendes incessantes, taxes écrasantes sur les carburants, vignette Crit’air anti-sociale avec explosion des zones à faible émission ZFE, suppression des voitures thermiques en 2035, pour le tout électrique très onéreux et hyper polluant, autant de contraintes parfois justifiées mais souvent délirantes, qui n’existaient pas dans les années soixante, l’âge d’or de l’automobile pour tous et de la liberté sur nos routes.

La dictature écologique va tuer la voiture, alors que nos constructeurs ont fait des prodiges dans les systèmes anti-pollution des moteurs thermiques.

Or, le bilan carbone dans le monde montre que la voiture est responsable de seulement 6 % des émissions de gaz à effet de serre. En France, ce chiffre monte à 16 %, puisque notre pays est très équipé en voitures particulières avec 38 millions de véhicules.

https://www.fiches-auto.fr/articles-auto/energie-et-pollution/s-2373-quelle-est-la-part-de-co2-emise-par-les-voitures-.php

Il paraît que c’est pour notre santé et notre bien-être que les moteurs thermiques seront interdits en 2035 pour les véhicules neufs. On a vu avec le Covid ce qu’il advient quand le gouvernement veut se préoccuper de notre santé sans nous demander notre avis !

C’est une décision unilatérale de l’Europe, que les Américains et les Asiatiques n’ont pas prise. Nous allons tuer des dizaines de milliers d’emplois, ouvrir le marché aux Chinois fournisseurs de batteries.

Et pour se ravitailler aux bornes électriques, il faudra doubler la production d’électricité, alors que nous avons prévu la réduction drastique du nucléaire non polluant. Un parc automobile électrique en 2035, même partiel, c’est mission impossible, sauf à relancer les centrales au gaz et au charbon. Où est le bénéfice écologique ?

Nous étions les champions du diesel, nous l’avons tué alors que les systèmes anti-pollution modernes ont éliminé l’essentiel des particules nocives et des émissions de CO2. La transition écologique telle qu’appliquée par des fanatiques hystériques est un non sens.

Le gouvernement veut 43 ZFE en 2025, donc demain. Qui va pouvoir changer sa vieille voiture contre un modèle électrique pour circuler en ville ? Le coût d’une voiture électrique est de 50 % supérieur au modèle essence équivalent, même avec les aides de l’Etat. Pas de citadine électrique à moins de 20 000 euros de sa poche.

Les ZFE transforment un outil de masse indispensable en produit de luxe réservé aux classes supérieures. La politique antipollution devient une injustice sociale contre les classes populaires. Une idéologie braquée contre les plus modestes.

Sans parler du bilan carbone totalement négatif, si on inclut l’extraction des métaux précieux, la fabrication des batteries et leur recyclage en fin de vie. Domaines que les écolos évacuent d’un revers de la main.

Mais le pire, avec cette politique qui chasse la voitures des centres-villes, est que les commerces de proximité en pâtissent au profit des grandes surfaces à la périphérie. C’est la mort du petit commerce.

Des soignants refusent de se déplacer chez un patient dans les ZFE, faute de posséder une voiture « propre » ou de pouvoir se garer facilement. De plus, ces ZFE sont actives 7/7 et H24, ne prévoyant aucune tolérance pour faciliter la vie aux usagers.

Et que dire des innombrables déboires des automobilistes qui effectuent des grands parcours en voiture électrique ? Bornes insuffisantes, fournisseurs multiples sans aucune standardisation des prises électriques, bornes en panne ou vandalisées, emplacement squatté par une voiture thermique, temps d’attente excessif pour la recharge complète, autant de désagréments qui transforment le voyage en galère stressante quand l’autonomie est dérisoire. Autonomie qui dépend de votre style de conduite. Excités du volant, s’abstenir.

N’avez-vous jamais vu sur autoroute une voiture électrique se traîner à 80 km/h ? Elle essaie de rejoindre la borne la plus proche en roulant à l’économie. Car si vous avez roulé vite, utilisé la clim, les phares et êtes chargé, l’autonomie va être divisée par deux et l’ordinateur va vous rappeler à l’ordre. En espérant que la prochaine borne ne soit pas vandalisée !

60 % des possesseurs de véhicules électriques ont connu des problèmes de bornes HS ou squattées par des voitures thermiques. Bref, le grand bonheur de l’électrique n’est pas pour demain.

Personne ne vous dira que chez un constructeur premium que je ne citerai pas, 8 acheteurs sur 10 ont revendu leur véhicule 100 % électrique au bout de deux mois, avec une perte de 30 % sur le prix d’achat. Motif ? La galère permanente.

La voiture électrique c’est réservé à la ville en rechargeant chaque nuit chez soi. Les longs parcours, c’est l’aventure et mieux vaut ne pas être pressé. Le pied au plancher ça ne pardonne pas.

Enfin, la crise énergétique qui sévit, va sans doute avoir un impact significatif sur le coût de la recharge électrique. Deux euros les 100 km, c’est du rêve.

Si un plein électrique fait à la maison était jusque là 3 ou 4 fois moins cher qu’un plein essence, on pourrait voir cet écart largement diminuer si la guerre perdure en Ukraine.

A chacun sa vision du problème. Mais personnellement, je garderai mon diesel encore longtemps. Aucun stress de la panne sèche et grande autonomie sur les longs parcours. La panne de batterie en rase campagne, très peu pour moi.

Jacques Guillemain dans Riposte Laïque

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Plus de 40% des automobilistes concernés par les zones à faibles émissions (MàJ : mise en place d’un système de “contrôle sanction automatisé” avec amende pouvant atteindre 750 euros)

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25/10/2022

A la suite du premier comité ministériel de suivi des zones à faible émission (ZFE) qui s’est tenu mardi 25 octobre, le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu a annoncé la mise en place d’un système de “contrôle sanction automatisé” contre les véhicules trop polluants interdits dans les agglomérations concernées par le dispositif d’ici au second semestre 2024. Les amendes ne concerneront dans un premier temps que les véhicules Crit’Air 5. D’ici 2025, les véhicules crit’Air 4 puis 3 seront progressivement sanctionnés.

Les ZFE concernent d’ores et déjà 11 agglomérations françaises et doit en englober 43 a total d’ici le 1er janvier 2025. Les nouvelles ZFE, qui comptent au moins 150.000 habitants, ont jusqu’à cette date pour se mettre en conformité avec le règlement. […]

Si les collectivités territoriales ont le choix du périmètre et des dérogations possibles, elles doivent toutefois respecter un calendrier progressif d’interdiction de circulation dès lors que les normes de qualité de l’air fixées au niveau européen sont dépassées.

Ainsi, dès le 1er janvier 2023, les véhicules Crit’Air 5 (véhicules diesel produits produits avant 2001) seront concernés. Au 1er janvier 2024, ce sera au tour des Crit’Air 4 (véhicules diesel produits avant 2006) puis des Crit’Air 3 (véhicules diesel produits avant 2011 et véhicules essence produits avant 2006) le 1er janvier 2025.

Y aura-t-il des portiques ou des caméras pour effectuer ces contrôles automatisés ? Le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu assure que les “caractéristiques techniques des projets retenus seront présentés lorsqu’ils seront connus“. Il annonce d’ores et déjà que les contrevenants s’exposeront à une amende “théoriquement de classe 4“, soit 750 euros maximum. […]

actu.orange

09/10/2022

Les automobilistes français s’inquiètent déjà des conséquences des zones à faibles émissions dans les années à venir. Ces ZFE vont prochainement devenir obligatoire dans les grandes villes de plus de 150.000 habitants. Pour certains, ces ZFE pourraient agrandir un fossé social, obligeant les Français à soit changer de voitures soit ne plus rouler du tout. Pierre Chasseray délégué général de “40 millions d’automobilistes” y voit “une bombe à retardement sociale“. Les plus concernés par ces mesures ne disposent pas du budget nécessaire pour acheter un véhicule propre, malgré les aides gouvernementales

Alors que la grève des raffineries continue et que les stations essence sont prises d’assaut par les automobilistes français, certains s’inquiètent déjà des conséquences des zones à faibles émissions dans les années à venir. Ces ZFE vont prochainement devenir obligatoire dans les grandes villes de plus de 150.000 habitants. Le Journal du Dimanche a révélé que les propriétaires de véhicules thermiques redoutent et anticipent déjà leur mise en place.

On est tout simplement en train d’interdire à un Français sur deux, au 1ᵉʳ janvier 2025, de circuler avec sa propre voiture. C’est inacceptable.” affirme Pierre Chasseray.

Selon le délégué général, une protestation pointe son nez à l’horizon. “Pour 0,03 € de plus sur les carburants, les Français sont tous sortis dehors avec des gilets jaunes. Alors on imagine bien, il y a quand même pas besoin d’avoir fait Polytechnique pour comprendre qu’en interdisant à un Français sur deux de rouler, ça va mal se passer.”

Europe 1

Déjà indispensable pour des raisons de santé publique et de protection de l’environnement, le développement des énergies décarbonées constitue aussi la meilleure arme face à l’explosion des coûts des énergies fossiles. Mais les mesures mises en place dans le cadre de cette transition comportent néanmoins des aspects contraignants à court et moyen terme. Notamment pour les propriétaires de véhicules polluants.

Selon Aramisauto (une entreprise spécialisée dans la vente en ligne de véhicules neufs et d’occasion, filiale du constructeur ­Stellantis), qui publie chaque année un baromètre sur le marché de l’automobile en France réalisée par OpinionWay, les ménages modestes aux revenus mensuels inférieurs à 2 500 euros net, soit 46 % des actifs, s’inquiètent. L’extension des ZFE (zones à faibles émissions) à toutes les agglomérations de 150 000 habitants d’ici à 2025 implique l’interdiction de circuler au volant de véhicules non propres. Identifiés grâce aux vignettes Crit’Air (voir explications page ci-contre), ces derniers seront bannis du Grand Paris, dans le périmètre de l’A86, dès juillet 2023 pour les Crit’Air3. À Lyon, Montpellier, Grenoble, Rouen ou Strasbourg, les restrictions s’étenderont des critères 5 aux critères 4 l’an prochain.

La France, quatrième pays au monde par le nombre de ZFE, compte 17,5 millions de véhicules classés Crit’Air3 ou plus, ce qui représente… 40 % du parc automobile actuel. Or 75 % des ménages modestes interrogés dans l’étude Aramisauto-OpinionWay se disent dépendants de leur voiture, sans offre alternative de transport pour 60 % d’entre eux, notamment pour se rendre sur leur lieu de travail. Et 42 %, propriétaires d’un véhicule Crit’Air4 ou 5, se disent déterminés à le conduire malgré l’interdiction à venir. « L’étude reflète une vraie fracture, estime Romain Boscher, directeur général d’Aramisauto. Les plus concernés par ces mesures ne disposent pas du budget nécessaire pour acheter un véhicule propre, malgré les aides gouvernementales. Car les voitures électriques sont en moyenne 50 % plus chères que les modèles à moteur thermique. »

Le JDD

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