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La logique écologique de nos écologistes aurait-elle vocation à défier la plus élémentaire des logiques ? C’est à croire, Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, ancienne d’EELV, ensuite passée au Parti socialiste avant de se recycler chez les macronistes, annonçant que les centrales à charbon ont encore un avenir tout en assurant que « le charbon est l’ennemi numéro un ». Vous vous y perdez ? Vous devez sûrement être légion.
🗣 Nucléaire, énergie durable ➡️ “Cette taxonomie est nécessaire pour garantir des investissements pour la transition” estime Barbara Pompili. “Le fait de mettre le nucléaire dit juste c’est une énergie décarbonée”, ajoute la ministre qui critique les attaques des écologistes. pic.twitter.com/I8OvSd8JAY
— franceinfo (@franceinfo) February 8, 2022
Barbara Pompili, donc : « On a remonté un petit peu le quota du charbon, parce qu’on a besoin de marges de manœuvre à cause des réacteurs nucléaires qui sont arrêtés alors qu’ils n’auraient pas dû l’être. » Vous vous y perdez toujours ? Vous n’êtes évidemment pas le seul. Certes, il est vrai que ces mesures « charbonologiques » ne jouent qu’à la marge, sachant qu’il est prévu de passer à un taux de « 0,7 kilotonne d’équivalent dioxyde de carbone » à une « kilotonne ». Selon les mêmes sources officielles, « ce taux passera à 0,6 kilotonne pour le reste de l’année 2022 et reviendra à 0,7 kilotonne en 2023 ». À quelques décimales près, c’est à l’aune des ambitions d’un gouvernement qu’on peut juger de sa vision du monde à venir.
Voilà qui appelle au moins une remarque quant à la cohérence de ces gens, Barbara Pompili se lamentant finalement que le parc nucléaire français n’ait pas été assez bien entretenu, « à cause de réacteurs nucléaires qui sont arrêtés alors qu’ils n’auraient pas dû l’être », alors qu’elle n’a pas ménagé sa peine pour qu’elles le soient, tout en appelant à la rescousse des centrales à charbon dont « deux sont fermées sur quatre », la troisième étant censée l’être au printemps prochain. Bref, au secours le nucléaire et, en attendant, vive le charbon !
À l’évidence, Florian Philippot, ancien numéro deux du Rassemblement national et actuel patron des Patriotes, raisonne d’or lorsqu’il tweete : « 1. Le gouvernement tue EDF via l’Union européenne 2. EDF n’investit plus assez et ferme 11 réacteurs nucléaires sur 563. On doit importer de l’électricité créée par le charbon et rouvrir 2 centrales à charbon. 4. Les prix flambent. Sortons de cette folie : service public national hors UE ! »
1. Le gouvernement tue EDF via l’UE
— Florian Philippot (@f_philippot) February 9, 2022
2. EDF n’investit plus assez et ferme 11 réacteurs nucléaires sur 56
3. On doit importer de l’électricité créée par le charbon et rouvrir 2 centrales à charbon
4. Les prix flambent
➡️ Sortons de cette folie : service public national hors UE ! pic.twitter.com/l9Pcntu2X0
Et c’est là tout le paradoxe de nos verdâtres élus. Avec Anne Hidalgo, première des Parisiennes, la Ville Lumière n’a jamais été aussi sale et vilaine. Même si comparaison n’est pas raison, à Beyrouth, capitale ayant au moins l’excuse d’une guerre civile sans fin, on pourrait presque manger sur les trottoirs. En matière d’embouteillages, Paris n’a désormais plus rien à envier à New Delhi, mégapole ayant pourtant mis la barre très haut sur la question. Et ne parlons pas de sécurité, sachant qu’on risque peut-être moins dans les ruelles de Rio de Janeiro que dans celles de la place de la Chapelle.
Toujours dans la même démarche bienveillante – mais s’agit-il de sauver la planète ou d’encore un peu plus brimer les Français ? –, les feux de cheminée sont toujours en voie de potentielle interdiction pour cause d’émission de particules fines. « Fines », c’est le mot, car finalement à peine moins finaudes que les raisonnements de « celles et ceux » qui, toqués de naissance, nous parlent de nature, quoique ne sachant pas toujours faire la différence entre un poireau et un topinambour, tout en entendant nous dicter, pour notre bien, notre façon de vivre.
Plus que jamais, la défense de la nature est un sujet par trop sérieux pour être abandonné aux seuls écologistes.
Nicolas Gauthier, Boulevard Voltaire
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Certes, la pluie de cadeaux financés par un endettement record, la diplomatie continentale et les annonces qui enjambent allègrement l’élection présidentielle, comme si celle-ci n’existait pas, doivent éberluer bon nombre de Français. Certes, les calculs et les connivences des élus socialistes et autres ralliés à la Macronie tissent un réseau de soutiens intéressés qui explique la courtisanerie des signatures en faveur de celui qui n’est pas encore candidat parce qu’il souhaite profiter au maximum de la présidence pour faire campagne de haut et à bon compte. Certes, enfin, la complicité des médias qui ont assuré son élection en 2017 perdure en grande partie, mais on peut quand même s’interroger sur des sondages qui semblent ne tenir aucun compte des réalités les plus marquantes qui composent un bilan désastreux.
Ne retenons que trois chiffres : le premier est celui du commerce extérieur, qui affiche un record historique pour notre pays de 84,7 milliards d’euros en 2021 ; le second est celui de l’immigration, avec 270.000 titres de séjour accordés l’année dernière, un redémarrage après le blocage lié au Covid et non à la politique gouvernementale ; le troisième est celui de la délinquance violente, puisque le total du nombre de victimes de coups et blessures volontaires (sur personnes de 15 ans ou plus) enregistrées augmente très fortement en 2021 et s’établit à 306.700. Il était de 274.300 en 2020 et de 225.500 en 2016.
Ces trois chiffres mettent au pilori le quinquennat macronien, les discours autosatisfaits du pouvoir et les annonces tardives de mesures à visées électoralistes. Le dernier a donné lieu à un échange entre le ministre de l’Intérieur et Apolline de Malherbe. Une augmentation de 33 % des violences sexuelles et des violences de 12 % est rappelée par la journaliste, qui cite les données du ministère. L’ambitieux frénétique inquiet pour son avenir n’hésite pas à mentir effrontément : par omission surtout, puisqu’il s’appuie sur la diminution toute relative des atteintes aux biens, en oubliant que le confinement qui a maintenu les Français à domicile a freiné les cambriolages, et en passant sous silence la reprise des vols en 2021 (+5 %) et l’envolée des escroqueries (+15 %). Le plus saillant est le passage de l’objectivité des chiffres à l’idéologie des mots : dire que la violence augmente est populiste.
Dire que cette violence, la délinquance en général, le trafic des stupéfiants en particulier (+38 %), sont liés à l’immigration et à la multiplication des quartiers de non-droit doit évidemment aussi être une marque de populisme. La volonté d’enrayer le processus migratoire est un marqueur d’extrême droite. « Ben voyons » ! C’est la raison pour laquelle il paraît scandaleux, aux yeux du pouvoir actuel, de dénoncer la réalité du « Grand Remplacement », alors que la demande d’asile a augmenté de 28 % en 2021, que le regroupement familial a crû de 18 % et que les naturalisations ont progressé de 50 %. Cette question ferait partie des obsessions idéologiques qui génèrent les « sentiments » d’insécurité ou de changement de population, lesquels doivent laisser place au domaine sérieux de l’économie.
L’ennui, c’est que le juge de paix de notre économie – la balance commerciale – vient de se prononcer. La planche à billets de l’endettement permet d’annoncer une croissance record, après une récession plus importante que ce rattrapage, la formation et l’apprentissage en particulier améliorent apparemment les chiffres du chômage, qui restent cependant deux fois plus élevés que ceux de l’Allemagne, qui n’a nullement dû creuser les déficits pour y parvenir. Mais cette surchauffe artificielle se traduit par le déficit le plus élevé de la balance commerciale connu par notre pays. Nous importons de l’énergie devenue plus chère, mais aussi des biens que nous ne parvenons plus à produire à des prix compétitifs, ou avec une qualité suffisante quand nous les produisons. L’Allemagne a, elle, engrangé un excédent commercial de 173 milliards d’euros en 2021. « Une grande nation se mesure à son commerce extérieur » : cette phrase est de Bruno Le Maire ; elle suffit à juger la réalité d’une économie qu’il prétend aujourd’hui dans une forme olympique.
Une campagne présidentielle digne de ce nom devrait permettre aux Français d’appréhender l’état véritable de leur pays, entre déclin et décadence. On comprend que le locataire de l’Élysée préfère jouer les importants sur la scène internationale. Mais, là encore, la froideur de l’accueil moscovite, la longueur des tables et les démentis dissipent les illusions entretenues. Le mandat macronien ? Cinq années de perdues !
Christian Vanneste, Boulevard Voltaire
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Klaus Schwab a écrit que la crise du covid devait être une fenêtre d’opportunité pour instaurer un gouvernement mondial, et c’est pour cette raison que la réponse à ce projet fou ne pouvait qu’être planétaire. Et ce sont les routiers qui sont devenus le symbole de la résistance à la tyrannie covidiste, prélude à la domination des élites mondialisées.
Faisons le tour du globe des points de résistance.
Au Canada, malgré le déluge de feu de la propagande mainstream, le mouvement va en s’amplifiant et gagne les cœurs des Canadiens.
Trudeau sur la défensive tente bien de déverser sa haine en utilisant l’habituel cortège d’insultes, mais cela ne prend plus, les Canadiens soutiennent le mouvement. La division gagne même les libéraux, le parti de Trudeau : « après avoir lancé un pavé dans la mare en accusant son propre gouvernement d’avoir divisé la société avec son « ton » dénigrant envers la minorité non vaccinée, le député libéral fédéral Joël Lightbound a annoncé qu’il quittait son poste de président du caucus du Québec des libéraux fédéraux. »
Mais c’est aussi les Premiers ministres des États du Canada qui tout en dénonçant les manifestations semblent terrorisés à l’idée d’affronter les manifestations dans leur ville ; ils annoncent les uns après les autres la fin des restrictions, comme le Premier ministre Legault du Québec, qui a donné un plan de déconfinement progressif jusqu’en mars. Son homologue de l’Alberta a annoncé que l’exigence du passeport vaccinal cesse dans son État tandis que les masques suivront dans 3 semaines.
Voilà, Justin Trudeau dit Coward-19 semble donc de plus en plus isolé !
En Nouvelle-Zélande, l’ancienne Young leader global Jacinta Ardem est aussi contestée ; il faut dire qu’elle est allée très loin dans la persécution des non-vaccinés et les restrictions. Le convoi pour la liberté qui a roulé sur la capitale a eu un certain succès et va obliger les politiques à lâcher du lest. On attend une réponse politique dans les prochains jours.
Le Premier ministre australien Scott Morrison, chahuté cette semaine par le convoi de la liberté à Canberra, a repris la main, et il a surpris tout le monde en annonçant la réouverture des frontières, fermées depuis deux ans, alors qu’elles devaient rester fermer jusqu’à juin. À la fin du mois, toutes les restrictions comme le port du masque devraient être levées.
À Londres et à New York, des rassemblements ont eu lieu pour soutenir les mouvements des routiers canadiens, symbole de l’oppression covidiste. Trump a même déclaré qu’il faudrait peut-être organiser un mouvement comme cela aux USA pour obliger Sleepy Joe Biden à se réveiller sur la question. Un bon coup de klaxon dans les oreilles !
Et la France dans tout cela ? Un mouvement s’organise, et cela bruisse dans les rédactions que Macron serait terrorisé, comme son petit copain le pétochard Trudeau, à l’idée d’affronter un nouveau mouvement de Gilets jaunes ! Il vient de recevoir en urgence les syndicats de routiers. Va-t-il les acheter comme les syndicalistes Manigold ou doc Marty ?
Mais ce convoi ne sera pas majoritairement composé de camions, tous les véhicules participeront à cette manifestation d’un nouveau genre. Ce mouvement a pour objectif de se rassembler à Paris le 11 février, puis à Bruxelles le 14 février. C’est un mouvement apolitique qui réunit tous les déçus de Macron, les Gilets jaunes, les anti-passe vaccinal… Cela pourrait faire du monde ! En tous les cas, ce convoi pour la liberté a remporté de belles victoires à travers le monde, on lui souhaite le même succès en France !
Marquis de Dreslincourt, Riposte Laïque
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2022
Ce matin au Conseil de Paris, je suis intervenue pour dire tout mon soutien à la formidable mobilisation de @leshijabeuses et de leurs soutiens comme @LesDegommeuses . Et inviter toutes celles qui le pouvaient à les rejoindre ce mercredi à 16h30 à l’Esplanade des Invalides. 1/4 pic.twitter.com/zJ5ZTC1d2B
— Alice Coffin (@alicecoffin) February 8, 2022
2004
En 2004, @alicecoffin était foncièrement anti-voile et publiait une tribune au vitriol dans libé sur les dérives de l'anti-racisme https://t.co/9H4iPrpqXk pic.twitter.com/tftyIB5Eok
— Jean Robert 🍺🍺🍺 (@Jean_Robert_29) February 9, 2022
Je suis dépassée, hystérique, victimaire, stigmatisante, voire raciste, volontiers catastrophiste, et un tantinet néocolonialiste. Qui suis-je ? Une féministe de 25 ans. Fière de l’être mais malheureuse d’appartenir à une génération ingrate. (…)
Nous estimons qu’il y a urgence à connaître les acquis et les revendications féministes. Car le machisme (…) s’exerce désormais sous des formes beaucoup plus hargneuses, en plein espace public. (…) Les jeunes femmes sont ainsi fréquemment confrontées dans la rue ou les transports en commun aux regards libidineux ou haineux de certains hommes, voire de jeunes garçons, aux insultes ou parfois même aux crachats.
Le peu de soutien reçu par le projet de loi antisexiste est incompréhensible. Un pays où l’on entend des insultes comme « sale chatte », expression la plus en vogue du moment, doit se doter d’un arsenal législatif conséquent. (…)
Nous serions dépassées aussi, selon certains, parce qu’au regard des enjeux politiques actuels, le féminisme (…) deviendrait même une idéologie au service de la défense des intérêts occidentaux. Lorsque nous avons pris parti pour la loi contre le port des signes religieux à l’école et que nous dénoncions dans le voile un symbole d’oppression sexiste, nous avons rencontré l’hostilité des milieux d’extrême gauche qui nous ont reproché d’être « stigmatisantes », «racistes» ou «néocolonialistes».
Parce que nous sommes profondément et prioritairement féministes et que nous ne cédons pas devant les intimidations de ceux qui essaient de jouer sur notre culpabilité de femme occidentale, nous dénoncerons toujours les méfaits faits aux femmes au nom des cultures et des traditions. Nous luttons contre toutes les religions en général, lesquelles n’ont jamais aimé les femmes (toujours suspectées d’impureté, toujours diabolisées), pourquoi pas contre l’islam ?
Lorsque les milieux d’extrême gauche voient dans la communauté d’origine arabo-musulmane les nouveaux opprimés qu’il faut soutenir jusque dans leur repli religieux et traditionaliste, sans doute ne considèrent-ils pas que ce contre-modèle identitaire n’a rien à proposer si ce n’est une réelle oppression machiste. La forme la plus insidieuse, la plus sournoise du sexisme, est la forme antiraciste. Sous prétexte d’antiracisme et du respect des cultures, certains en sont venus à défendre l’excision, le port du voile, la polygamie. Là où leur antiracisme pèche, c’est que précisément ils pensent en termes de races et de catégories. Ce qu’ils jugeraient scandaleux pour eux-mêmes, ils le considèrent bon pour les autres. (…)
Autrefois, au nom de la priorité des luttes, une partie de l’extrême gauche dénigrait le féminisme. En attendant le grand soir, ce sont les femmes qui continuaient d’endurer une double oppression, sociale et domestique. Aujourd’hui encore, nombre de jeunes gens et de jeunes filles ont intériorisé ces réflexes bien-pensants, refusant de voir le sexisme quand il touche aux communautés issues de l’immigration, maghrébine notamment. «Chut, camarade, tu stigmatises !» Cette génération qui a grandi dans les années 80, les années Mitterrand, est une génération qui a été dressée à la culpabilité liée à la colonisation et à un antiracisme devenu vide de sens tant elle profère à tout bout de champ «raciste» et «facho» à ceux qui, humanistes, dénoncent l’oppression engendrée par les croyances et les traditions. (…)
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« C’est du jamais vu à Fürth » selon la police de cette ville de Bavière de 130 000 habitants, située près de Nuremberg. Mardi vers 19h, le chauffeur d’un poids lourd a d’abord grillé un feu rouge puis continué sa course en semant le chaos dans une rue du centre-ville. Il a percuté une trentaine de voitures qui se trouvaient soit en circulation, soit en stationnement. Certains véhicules ont pris feu et les flammes se sont propagées à un immeuble dont les occupants ont dû être évacués et relogés.
(…) De nationalité turque et âgé de 50 ans, il affichait un taux d’alcoolémie de 2 grammes par litre de sang.
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Les riverains des immeubles du 2, 6 et 9 de la rue Arthur-Fontaine, près du cimetière de l’Est, à Rennes, n’en peuvent plus. Depuis six mois des dealers occupent les halls d’immeuble et ont transformé les lieux en véritable décharge à ciel ouvert. Et n’hésitent pas à fouiller les habitants !
« En quittant la Seine-Saint-Denis pour venir habiter à Rennes, je pensais vivre dans un cadre plus agréable », raconte, amer, ce sexagénaire croisé vendredi dernier aux abords du 6 de la rue Arthur-Fontaine. Un groupe de petits immeubles situés tout près du parking du cimetière de l’Est et bordé par le boulevard Villebois-Mareuil. À moins de 3 km de la place de la mairie. « Depuis environ six mois, les dealers qui se sont installés là nous pourrissent la vie. Mais je ne veux pas d’emmerde. Alors, quand je dois passer entre eux pour rentrer chez moi, je fais comme tout le monde. Je baisse les yeux. » Il doit faire avec. Contraint et forcé. « Trouver un autre appartement social ? Je n’y crois pas. Pourtant si je pouvais… »
(…) Tous vivent dans la terreur depuis six mois, et l’installation d’un point de deal à proximité du cimetière de l’Est. Dans le hall d’un immeuble de la rue Arthur-Fontaine, les journalistes de Ouest-France tombent sur « une dizaine de jeunes (…) tous en survêtement et capuche sur la tête ». Le sol est décrit comme jonché de déchets : emballages de kebabs, canettes, mégots… et flaques d’urine.
« Ces dealers nous ont mis en mort sociale », se lamente un riverain, qui pointe l’inaction de la mairie et de la préfecture.
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Les chaussettes de Jean-Michel Aphatie sentent bon la rocaille des chemins escarpés du Sud-Ouest. De retour sur les plateaux de télévision parisiens, l’homme fait respirer ses pieds aux journalistes présents à ses côtés. Un vrai bonheur. Quelques traces de Chanel N° 5, un nuage de pin des Landes et cette bonne vieille odeur de terroir qui vous requinque son homme de gauche après une dure journée de matraquage mondialiste.
Entre deux tests olfactifs de ses arpions, le rude chroniqueur s’insurgeait récemment, sur LCI, contre l’hygiène des Français qui gravitent autour d’Éric Zemmour. Après examen approfondi, le verdict du spécialiste tombait. Il s’agit d’olibrius « qui puent un peu des pieds ». Rassurés par le « un peu », ceux-ci remirent au lendemain le bain de pied prévu de longue date, mais l’injure faite aux électeurs de l’ex-journaliste du Figaro déclenchait un tollé sur les réseaux sociaux. Boulevard voltaire n’était pas en reste avec les écrits de Gabrielle Cluzel et Richard Hanlet dénonçant le mépris du personnage pour les millions de Français qui ne partagent pas le « tout va bien » ambiant.
Sur Twitter, un internaute également choqué par cette remarque imbécile va plus loin et lance le challenge #EnvoieTesChaussettesSalesaApathie.
2ème envoi ce jour les premières ne sentaient pas assez 😇😇💐💐Participez au challenge #EnvoieTesChaussettesSalesaApathie
— patleter (@patleter91) February 8, 2022
Lci
1 quai du Point du Jour 92100 BOULOGNE.#Zemmour2022 #Quotidien un petit reportage, c'est assez con et de gauche pour vous ? pic.twitter.com/bGL0vJlkIz
Une enveloppe de bonne taille, deux chaussettes sales glissées à l’intérieur et une seule adresse : LCI. Jean-Michel Aphatie, 1, quai du Point-du-Jour, 92100 Boulogne. Pour une réussite totale de l’opération, les perfectionnistes étaleront, ici et là, quelques discrètes pointes de munster bien fait, camembert de Normandie coulant ou toute autre production laitière restituant des effluves de pieds dans un état de zemmourisation avancé.
Cela afin de permettre au destinataire de faire constater à ses chers téléspectateurs et confrères la véracité de ses propos. Des lots de chaussettes répugnantes déballées sur la table de LCI et, soudain, le Français comprend dans quelle pétaudière le sympathisant de Zemmour évolue. Il se pince le nez, implore Macron de se présenter, dénonce le dérèglement climatique… Les fact checkers maison avec des lunettes sont appelés à la rescousse. « Oui. Ça sent mauvais. Il avait raison. »
Loin de jouer un mauvais tour à Jean-Michel Aphatie, le challenge consiste donc bel et bien à aider le propagandiste de gauche dans son travail. À lui apporter la preuve de sa clairvoyance. À l’aube du premier tour, le don de chaussettes sales peut sauver la France de l’abîme. À vos boîtes à lettres !
Jany Leroy, Boulevard Voltaire
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Ils refusent la société de restrictions imposées depuis deux ans et comptent bien se faire entendre pour défendre leur liberté, mais aussi leurs « droits fondamentaux, le respect du référendum, l’accès inconditionnel aux soins, à l’éducation, à la culture, le respect des valeurs essentielles de notre Constitution », explique à Putsch Media Marisa, porte-parole de European Freedom Convoy. Maria, porte-parole de Freedom Convoy France, ajoute, quant à elle, combien les images du Canada leur ont ouvert la voie, elles ont ramené « de la joie et de l’espoir dans un convoi qui se veut extrêmement pacifique ». Et à ceux qui tenteraient de réduire la mobilisation à une lutte entre personnes vaccinées ou non vaccinées, elle répond qu’« on est tous perdants : les services publics sont atteints, les démocraties sont atteintes, les libertés sont atteintes, la jeunesse n’est pas très en forme »…
Alors, par l’intermédiaire des réseaux sociaux, la résistance s’organise. Le convoi de la liberté compte plus de 271.000 membres sur Facebook. Rémi Monde, coorganisateur du mouvement, insiste sur l’aspect apolitique de ce mouvement citoyen et invite Florian Philippot à « envoyer ses partisans vers le convoi » et non l’inverse. « Ce mouvement est neutre et le restera. » Parmi leurs revendications : le « sacrifice des enfants et de la jeunesse ». Il s’agit de manifester pour cesser « la maltraitance subie quotidiennement ». Sur Facebook, Nath, cette mère de famille, insiste : « Nos enfants sont notre plus grande force, il n’y aura jamais plus fort qu’un parent. »
⚠️The 14th February 2022 Will be the Day when ALL European Convoys will RDV in Brussels and Siege the European Capital until Vaccination Pass and Associated Restrictions are Abolished. #TruckersForFreedom2022 #TruckersForFreedomEurope #europeanfreedomconvoy @EuropeConvoy pic.twitter.com/ukOFqyi2xd
— European Freedom Convoy 2022 🚛 (@EuropeConvoy) January 30, 2022
À pied, à cheval, à vélo ou en voiture, le mouvement n’empruntera que le réseau routier secondaire et partira sous forme de trois convois : dès le 9 février de Nice, Perpignan et Bayonne, le 10 de Brest et Quimper et, enfin, le 11 de Strasbourg, Charleville-Mézières, Lille, Cherbourg. Arrivée prévue en région parisienne le vendredi à 20 heures pour une « soirée de partage et de convivialité avec la solidarité citoyenne ». Ce samedi 12, la journée sera consacrée à une grande manifestation anti-passe et le convoi repartira, dimanche 13, en direction de Bruxelles pour faire remonter ses revendications au Parlement. Les porte-parole de l’organisation d’appeler à deux démarches : écrire des lettres qu’ils porteront directement aux élus d’une part, et proposer des hébergements aux manifestants d’autre part. D’autres convois partiront d’Allemagne, Finlande, Danemark, Suède, Belgique, Italie, Espagne, Portugal, Hongrie, Croatie, Roumanie pour converger aussi vers Bruxelles. « Par l’intermédiaire des réseaux sociaux, on s’est rendu compte qu’on vivait tous les mêmes problématiques sociales ou sanitaires », ajoute Maria.
À la différence du Canada, le mouvement initié en France et en Europe ne sera pas porté par des routiers. D’ailleurs, Christophe Denizot, secrétaire général de la Fédération SUD Solidaires des transports routiers, s’est désolidarisé de ce mouvement. Il s’explique dans Le Monde du 7 février : « On nous inclut dans un mouvement qui ne nous concerne donc pas. Ils se servent de l’imaginaire de la puissance d’un convoi pour bloquer je-ne-sais-qui ou je-ne-sais-quoi. » En revanche, des internautes se joignent à l’opération en proposant un café, un repas, un bol de soupe ou une douche. Les organisateurs mettent l’accent sur le lien social et la convivialité. Chassez le naturel, il revient au galop, enseignait Horace. Ce mouvement de contestation populaire qui est en train de naître à l’échelle (presque) planétaire revient comme un boomerang à la face de ces élites technocratiques mondialisées qui imposent, depuis deux ans, aux populations des restrictions de liberté qu’elles ne souhaitent plus endurer.
Iris Bridier, Boulevard Voltaire
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Bilan rapide de la visite de Macron à Moscou.
Accueil à la hauteur de l’importance donnée à Macron par le Président Poutine : aucun accueil officiel à l’aéroport, à part un employé du ministère des Affaires étrangères pour régler l’entrée du visiteur en Russie.
Au Kremlin, comme indiqué hier, accueil glacial : ni fleurs, ni boissons, ni même poignée de mains. Vladimir Poutine installe Macron en bout d’une immense table. Peur de la contamination sans doute, pas celle du covid mais celle des « valeurs » nauséabondes qu’incarne Macron.
https://ripostelaique.com/froid-siberien-au-kremlin-avec-macron.html
Déclarations et conférence de presse à l’issue de la rencontre : en termes diplomatiques soigneusement choisis, même si Macron annonce des points positifs, la réalité est que rien n’a été résolu, comme le Kremlin le prévoyait. Les médias racontent n’importe quoi, par exemple le Financial Times écrit que « Moscou et Paris ont convenu d’un certain nombre de mesures » et que la Russie n’entreprendrait pas de nouvelles « initiatives militaires ».
Le Kremlin remet les pendules à l’heure aujourd’hui :
La Russie et la France n’ont pu conclure aucun « accord » lié à la réduction des tensions dans les relations avec l’Ukraine, a déclaré l’attaché de presse du Président russe Dmitri Peskov.
« Le Financial Times, bien sûr, a écrit essentiellement faux. Moscou et Paris n’ont pu conclure aucun accord, c’est tout simplement impossible. Parce que la France est à la fois membre de l’UE et membre de l’OTAN, là où la France n’a pas de leadership, le leadership appartient à un autre pays ». L’attaché de presse présidentiel a également noté qu’il n’avait pas entendu parler du refus de Moscou d’initiatives militaires.
Et si les médias occidentaux disent que Macron est arrivé à ce que le Président Poutine annonce le retrait des forces russes de Biélorussie à l’issue des manœuvres militaires actuellement en cours, c’est oublier qu’il n’a jamais été question qu’elles y restent, seuls les propagandistes de l’OTAN prétendaient que ces forces sont le fer de lance de l’ « invasion russe » en Ukraine !
Comme prévu donc, chou blanc pour Macron. Ceci s’explique par plusieurs choses :
D’abord la véritable question est non pas l’Ukraine mais la sécurité de la Russie. L’Ukraine n’est qu’un pion que l’OTAN et les États-Unis utilisent pour justement tenter de saper la sécurité de la Russie. Et sur ce point il n’y a pas et il n’y aura jamais de négociation possible.
Ensuite, comme l’a précisé Peskov, Macron n’a pas le leadership de l’OTAN et n’est donc pas un interlocuteur pris en considération.
Et enfin, et c’est peut-être la plus importante raison, Macron représente tout ce que Vladimir Poutine exècre : rejet des valeurs ancestrales, rejet des valeurs morales, soutien du lobby LGBT, mondialisation à marche forcée, etc., etc. Et en Russie, si on écoute poliment ce genre d’individu, on ne tient pas compte de leurs remarques et encore moins on ne signe d’accord avec eux. La mégalomanie de Macron en prend un sacré coup : pensait-il ne fût-ce qu’une seconde que Vladimir Poutine le considère comme un « égal » ?
Macron a donc dépensé quelques centaines de milliers d’euros pour venir se faire voir à Moscou. Comme disait son mentor François Hollande, « ça ne coûte rien, c’est l’État qui paye ! »
Pendant ce temps, l’armée ukrainienne renforce ses positions au Donbass et semble préparer une attaque massive, poussée par les États-Unis et l’OTAN. Les forces indépendantistes ont demandé aujourd’hui un soutien militaire à la Russie sous la forme d’une aide en matériel et en hommes, chiffrant à 30 000 soldats russes le nombre souhaité.
Rappel : Le 14 février le Parlement russe décidera très probablement de « reconnaître » l’indépendance des républiques de Donetsk et Lugansk. Dans ces 2 républiques, plus d’un million de citoyens ont reçu la nationalité russe et il est parfaitement clair que si l’Ukraine attaque, la Russie ira sur place défendre ses ressortissants.
Les conséquences de tout ceci vont être clairement visibles dans une dizaine de jours.
Boris Guennadevitch Karpov, dans Riposte Laïque