Samedi 12 février, Boulevard Voltaire était présent sur les Champs Elysées lors des manifestations du Convoi de la Liberté. Gaz lacrymogènes, charges de CRS… la rudesse avec laquelle les manifestants ont été reçus pose question. La preuve en images.
Comment ‘R : Quand on laisse les rues aux barbares et aux trafiquants, voilà comment cela pourrait tourner, surtout si la Police ne fait plus son métier… puisqu’elle est sous-dotée et que les commissariats sont de plus en plus fermés dans les petites villes. Il faut projeter ces images dans la décennie future. Si rien n’est fait dès aujourd’hui, il y aura de plus en plus de règlements de comptes dans nos rues…effrayant!Des faits identiques se passent déjà dans certaines grandes villes de France comme Marseille, Lyons ou Nantes.
Ça n’a pas l’air d’être du cinéma. En tout cas, comme disent nos amis italiens : « Se non è vero, è ben imitato »
Je n’ai aucune information sur le lieu, la date et les circonstances de cette petite sauterie. Règlement de comptes sur fond de trafic de drogue entre bandes rivales à Trappes, Roubaix, Méluche-Ville, Yéti-City ? Si vous avez des précisions, chers lecteurs, n’hésitez pas à les mettre en commentaires.
Vous allez me dire : « Tant que ce n’est qu’entre eux, où est le problème ? » Oui, bien sûr…
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Mais le jour où ils tireront sur les foules françaises, comme l’ont fait les tirailleurs algériens lors du massacre d’Oran en juillet 1962, on changera de dimension…
Le massacre du 5 juillet 1962 se soldera par huit cents morts et disparus, en quasi-totalité des Européens. Mais la guerre est finie, on vous dit… Elle a officiellement pris fin le 19 mars 1962, avec la signature, la veille, des accords d’Évian entre le pouvoir gaulliste et les tortionnaires du FLN.
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Dès le 19 mars 1962, le FLN se livre par ailleurs au massacre systématique des Harkis, ces Français de confession musulmane qui avaient eu foi en la parole de la France et se sont battus jusqu’au bout aux côtés de l’armée française. Différentes sources évoquent de 10.000 à 150.000 morts et disparus, entre le 19 mars et la fin juillet 62. Le FLN s’en donnera à cœur-joie après le 15 avril, jour où le ministère français des Armées ordonne le désarmement immédiat des Harkis.
Les bouchers du FLN ne se contentent pas de tuer. Ils font subir à leurs victimes des tortures qui dépassent l’imagination : que voulez-vous, c’est dans leur culture islamique, ils n’y peuvent rien : ils n’ont pas les codes.
« Ainsi, le nombre de victimes de coups et blessures volontaires (sur personnes de 15 ans ou plus) enregistrées augmente très fortement en 2021 (+12 %, après +1 % en 2020 et +8 % en 2019) : +14 % pour les victimes de violences intrafamiliales et +9 % pour les victimes d’autres coups et blessures volontaires. La hausse est également très nette pour les escroqueries (+15 %, après +1 % en 2020 et +11 % en 2019) et encore plus forte pour les violences sexuelles enregistrées (+33 %, après +3 % en 2020 et +12 % en 2019) », indique le site du ministère de l’Intérieur.
Ces chiffres s’entendent naturellement a minima : beaucoup de victimes n’osent pas porter plainte de peur de représailles. Sans parler d’une tendance malheureusement fort compréhensible des honnêtes gens au fatalisme : « À quoi bon ?… Les juges vont les relâcher immédiatement ».
Interviewé sur BFMTV le 8 février dernier, le ministre de l’Intérieur, dont on rappellera qu’il n’a dû qu’à ses :. potes :. juges de voir l’affaire Patterson-Spatz se clore par un non-lieu, est un peu gêné aux entournures par ces chiffres « bruts », conséquences directes de la politique laxiste qu’il mène – avec son complice Dupond à la Justice – depuis juillet 2020 :
"Je vous demande pardon ?": l’échange très tendu entre Gérald Darmanin et Apolline de Malherbe pic.twitter.com/8XlHS5jzFl
Moussa n’a pour l’instant présenté aucune excuse à la journaliste, affirmant simplement qu’il regrettait « profondément »que« quelqu’un » se soit « senti agressé ». Peu probable qu’il en présente un jour au peuple français. Quant à Dupond, il est trop occupé à roder sa nouvelle Maserati pour se sentir concerné par ces menus détails de la vie quotidienne.
Nouveau meeting d’Éric Zemmour, à Saulieu, en Bourgogne. Le thème est la ruralité. Le candidat de « Reconquête » en profite pour étriller Valérie Pécresse, cette criminelle irresponsable qui veut transformer tous nos villages en villes du 93
"Valérie Pécresse a déjà annoncé qu'elle couvrira le pays de logements sociaux, elle fera de chaque village un 93 miniature, il y aura en France autant de zones de non-droit" #ZemmourSaulieupic.twitter.com/qh5WysyB3N
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) February 12, 2022
Nouvelle plongée dans les années 80 avec Brain Ferry ex chanteur du groupe Roxy Music. C’est rythmé avec une très bonne instrumentation…. et enfin le timbre de voix de Brian toujours aussi envoutant. N’hésitez pas à redécouvrir Roxy Music par la même occasion. Bon week-end.
Fidel Trudeau a été fermement mis en garde par Biden.
Il a 24 heures pour commencer à écraser les routiers de la liberté.
Aujourd’hui, j’ai parlé avec le @POTUS Biden des barrages illégaux à la frontière. J’ai résumé la situation et on a parlé de l’influence américaine et globale sur la situation actuelle. On a convenu que pour la sécurité des gens et de nos économies, ces barrages doivent partir.
Justin Castro dispose d’environ une heure d’autonomie vis-à-vis de ZOG. C’est-à-dire le temps de répéter à la plèbe canadienne les ordres que Washington lui donne.
Aujourd’hui, j’ai envoyé un message clair à ceux qui prennent part aux occupations et barrages illégaux : on vous a entendus. Mais ceux qui enfreignent la loi s’exposent à des conséquences, et ces conséquences sont de plus en plus graves. Il est temps de rentrer à la maison. pic.twitter.com/X0eKmArDwq
La décision a donc été prise : ce sera la répression.
Comment va s’y prendre Trudeau, c’est dur à dire. Il risque une révolution en bonne et due forme. J’imagine que Klaus Schwab ne lui laisse de toute façon pas le choix. Soit il écrase les routiers, soit il finit mort du Cohen19 avant d’être remplacé par un exécutant plus zélé.
L’hyperclasse n’est pas un club d’amis.
[…]
Trudeau doit découvrir en ce moment même qu’il y a un revers de la médaille lorsque l’on décide de nouer un pacte avec les forces des ténèbres.
Macron se trouve dans la même position.
Sauf que Macron adore réprimer sauvagement la population française. C’est la seule chose qu’il sache vraiment faire.
Les hijabeuses ont créé la polémique, il y a quelques jours, en prévoyant un happening revendicatif pour exiger de pouvoir jouer voilées. La majorité macroniste a montré son art consommé du « en même temps », réussissant l’exploit, d’un bout à l’autre du gouvernement, d’être pour et contre, pour ou contre, contre tout en étant un petit peu pour, sans qu’on n’y comprenne rien.
Le calendrier des hijabeuses était parfaitement calculé, puisque la loi confortant les principes de la République, nouveau nom cosmétique de la loi contre le séparatisme, repassait en lecture ce mercredi. On dit que la majorité ne voulait pas de la réapparition de ce débat en fin de législature. On les comprend : voilà un sujet clivant, dans lequel la « bienveillance collective », réclamée par le Président au sujet du Convoi de la liberté, risque de n’être d’aucun secours. Soit le droit reste ce qu’il est, et les footballeuses peuvent jouer voilées, soit le droit change, et elles ne le peuvent pas. Le voile est un objet politique, presque personne ne songe à le nier désormais, et la décision le concernant ne devrait être dictée que pas la politique, la vraie, c’est-à-dire la sauvegarde des intérêts nationaux. En d’autres termes, le voile fait-il partie du sport à la française, comme en Iran ou en Arabie saoudite, ou pas ?
La réponse des députés a été sans appel : l’amendement visant à interdire la port du voile dans les compétitions sportives, proposé à nouveau par Éric Ciotti, a été rejeté. Certains députés LREM, pourtant (toujours cet « en même temps »), avaient voté pour. Mais, même si la cohésion des marcheurs craque de toutes parts, c’est tout de même le politiquement correct qui l’a emporté. Une fois encore.
C’était peut-être la dernière cartouche qu’il restait aux députés LREM pour faire croire qu’ils sont un peu de droite.
À quelques jours (les 17 et 18 février à Bruxelles) du sommet Union européenne-Union africaine, force est de constater que le partenariat entre ces deux entités n’a pas démontré son efficacité. La conjoncture actuelle le prouve : difficultés économiques de plus en plus accrues, défiance exacerbée à l’égard d’un pays comme la France, vague d’émigration de jeunes désespérés vers une Europe encore convalescente.
Les deux continents liés par l’histoire et la géographie ont raté leur marche commune. La coopération n’a pas réussi à éviter à l’Afrique, malgré ses nombreuses richesses, des contre-performances réelles. L’une des occasions manquées semble liée à l’incapacité du vieux continent à développer une prospective intelligente consistant à prendre l’Afrique comme un partenaire stratégique respectable avec qui développer des complémentarités. A l’instar du plan Marshall américain pour l’Europe.
Il est fortement espéré que le prochain sommet enclenchera une rupture salvatrice dans l’état d’esprit et les méthodes du partenariat. Plus que les déclarations diplomatiques préétablies, il s’agira de s’attaquer aux vrais problèmes de la coopération et de trouver un nouveau vocabulaire, de nouveaux concepts et des orientations novatrices dans la relation. Un diagnostic du bilan permet de mettre en évidence les constats ci après.
Premièrement, l’Aide publique au Développement (APD) que nous souhaitons désormais voire remplacer par le concept de Placements Financiers Calculés (PFC) n’a pas été une solution au développement de l’Afrique, malgré les 161 milliards de dollars annoncés par l’OCDE, dont la moitié comptabilisée au profit de notre Continent ; une aide ciblée suivant les priorités européennes, inefficace, peu porteuse de développement et dont une bonne partie est dévoyée et recyclée à l’extérieur (plus de 50 milliards de dollars annuellement selon la Commission Economique pour l’Afrique).
Deuxièmement, les stratégies de coopération ont laissé en rade des domaines importants comme de solides alliances industrielles de complémentarité assorties de transferts massifs de technologie. Résultat : de faibles capacités de transformation des matières premières locales, peu de valeur ajoutée dans l’exportation des produits tropicaux, chômage endémique, émigration. Pourtant, une synergie réfléchie gagnant-gagnant est bien possible, l’Afrique recélant des matières premières abondantes, un dividende démographique, une main-d’œuvre bon marché, une connaissance réelle du terrain, un potentiel foncier considérable et de véritables relais de croissance. L’Europe de son côté, prenant avantage sur la technologie, ses capacités d’organisation et les financements.
Troisièmement, les difficultés notées dans la finalisation d’accords de partenariat économiques (APE) déséquilibrés, malgré les pressions européennes, reflètent l’avènement d’un nouvel état d’esprit du côté africain. L’Europe doit se rendre compte de cette nouvelle donne irréversible. Son partenaire du XXIe siècle représente une Afrique décomplexée.
Quatrièmement, l’Europe, tôt ou tard, aura à vider une équation de plus en plus gênante dans ses relations avec l’Afrique : le cas français et la défiance de plus en plus grande vis-à-vis des comportements de ce pays, très souvent décalés par rapport aux réalités du moment, font naître dans la jeunesse africaine une nouvelle exigence. Le modèle politique et économique français ne réussit pas à l’Afrique.
Cinquièmement, l’Union européenne a fait preuve jusqu’ici d’une passivité peu comprise par l’opinion publique africaine dans les questions relatives au déficit de gouvernance.
Il faudrait ramener la confiance en trouvant des solutions viables aux contentieux en cours : non restitution des avoirs de pays africains gelés par l’Europe, des biens culturels confisqués et des fortunes mal acquises par des dirigeants africains condamnés en Europe. L’Europe doit aussi changer son regard sur l’Afrique en considérant cette dernière comme un véritable partenaire.
La scène, filmée par Aymeric Couchourel pour Boulevard Voltaire, ne dure que quelques secondes. Elle se déroule ce samedi 12 février après-midi, en plein Paris. Des policiers arrachent le drapeau français à un automobiliste, manifestant du convoi de la liberté, et le jettent à terre. On doit être à quelques centaines de mètres, à peine, de l’Arc de Triomphe, là même où Macron décida que le drapeau européen flotterait, seul, sous l’arche sacrée, le 1er janvier 2022, pour inaugurer son règne de pacotille en tant que président du Conseil de l’Union européenne. Tout un symbole !
Ce manifestant, sans doute un « Français moyen », vivant en zone périurbaine ou rurale, est monté à la capitale avec sa bagnole. Que n’a-t-il pas fait ? La Ville-Lumière, ces grandes avenues hausmanniennes, ce n’est pas pour lui. Lui, ce qu’on lui demande, c’est, déjà, de faire un petit effort pour la planète : par exemple en allant au boulot à vélo ou à trottinette. Mieux, en prenant les transports en commun. Son boulot, l’école des gamins, le judo pour son garçon, la danse pour sa fille sont à quinze bornes ? Faudrait peut-être voir à trouver un logement plus près. La maison individuelle est un « non-sens écologique », qu’elle a dit la ministre Wargon. Bon, s’il ne peut pas faire autrement que de prendre sa voiture, au moins qu’il se contente de faire le strict nécessaire : le boulot (on l’a dit), l’école, la zone commerciale le samedi après-midi, point barre. Si, à la rigueur, une ou deux fois par an, on veut bien qu’il sorte de sa réserve de Gaulois pour en rejoindre une autre, au camping, par exemple, histoire de faire marcher le commerce. Mais monter à la capitale, vous n’y pensez pas ! Faut laisser ça aux racailles de banlieue, les soirs de match, et aux Black block qui font l’objet de toute la sévérité que l’on sait de la part du pouvoir.
Apparemment, ce manifestant est aussi un patriote. En tout cas, il doit le revendiquer, même si, comme l’a affirmé le ministre Beaune, avec la morgue qui le caractérise, ce convoi est celui « de la honte et de l’égoïsme », et que ces gens « ne sont pas des patriotes » mais « des irresponsables ». Cet automobiliste, qui n’agite pas le drapeau rouge ou le drapeau noir mais le drapeau tricolore, au fond, représente tout ce qu’on peut détester en Macronie. Et brandir le drapeau tricolore, semble-t-il, deviendrait donc un acte séditieux. Le policier qui a arraché ce misérable petit drapeau et l’a jeté par terre est probablement, lui aussi, un bon patriote et il n’a sans doute pas saisi la portée symbolique de son geste. Irons-nous jusqu’à dire que cet agent public a commis un outrage au drapeau tricolore, une contravention de 5e catégorie punie d’une amende ? On laissera les juristes en juger…
Cela dit, notre souveraineté étant en grande partie transférée ailleurs, on peut à juste titre se demander à quoi rime encore ce pavoisement tricolore de nos bâtiments officiels, ce maintien d’une fiction à travers ce symbole bleu-blanc-rouge, qui permet à un président de la République de s’imaginer souverain alors qu’il n’est plus qu’un super préfet. Ce pauvre drapeau arraché des mains d’un « gueux » et jeté sur le pavé parisien par un policier n’est peut-être, finalement, que l’allégorie en miniature de ce qui se passe pour notre pays.
Immigration : exceptionnel travail de vérité effectué par les équipes d’Éric Zemmour pour informer les Français.
Immigration zéro, c’est le cheval de bataille d’Éric Zemmour, la priorité absolue pour sauver notre France millénaire du naufrage identitaire et du chaos interconfessionnel.
Tout d’abord, je tiens à saluer le formidable travail d’information effectué par les équipes de Reconquête.
Tous les chiffres qui suivent en fin d’article proviennent de l’Insee. Vous ne trouverez chez aucun autre candidat un tel travail de recherche afin d’éclairer le peuple français sur une sinistre réalité, savamment occultée par le pouvoir, les médias et les lobbys immigrationnistes.
L’immigration de masse qui ne s’intègre plus est incontestablement devenue un danger mortel pour notre pays et notre héritage culturel. Et qu’on ne nous parle plus de « chance pour la France », « d’enrichissement culturel » ou « d’intégration réussie ».
Les mensonges et la désinformation qui nous mènent au chaos racial n’ont que trop duré.
Quand 74 % des musulmans de moins de 25 ans placent la charia au-dessus de la loi républicaine, où est donc l’intégration réussie ?
Et que dire du terrorisme et de l’insécurité qui font de la France le pays le plus dangereux d’Europe ? Notre pays totalise 44 % des attentats islamistes en Europe et 42 % des victimes !
Les 1000 agressions violentes par jour, les 120 attaques au couteau quotidiennes, les 100 000 viols annuels, tout cela n’existait pas en 1960. La criminalité a été multipliée par cinq depuis cette époque.
Nous connaissons les propositions d’Éric Zemmour sur l’immigration. Mais il complète son programme par une série de tableaux édifiants, montrant clairement l’ampleur du désastre et annonçant des lendemains tragiques.
Mais au-delà du programme, voici le constat accablant fait par Éric Zemmour et résumé en 18 points :
1 En un siècle, le nombre d’étrangers en France est passé de 1,5 million à 5,1 millions, soit 7,6 % de la population
2 Sur la période, le nombre d’immigrés est passé de 1,4 million à 6,8 millions, soit 10,2 % de la population
3 En 2019, 350 000 étrangers sont entrés en France, sans compter les clandestins
4 Le Maroc, l’Algérie et la Tunisie totalisent 82 000 titres de séjour à eux trois
5 Le continent africain totalise 41 % des titres de séjour
6 Seulement 14 % des titres accordés concernent l’immigration du travail
7 L’asile a été multiplié par 3,5 en 20 ans, passant de 40 000 demandeurs à 138 000
8 Chaque demandeur d’asile coûte 830 euros par mois au contribuable. Coût de l’asile, 2 milliards selon la Cour des comptes
9 Seulement 13 % des expulsions prononcées sont exécutées
10 Parmi les étrangers acquérant la nationalité française, 34 % sont Maghrébins et 27 % Africains
11 Les immigrés représentent 10 % de la population mais engendrent 32 % des naissances (22 % en l’an 2000)
12 Le taux de fécondité est de 3,6 enfants pour les Maghrébines, de 3,1 pour les Turques et de 2,9 pour les Africaines. En 2021, le taux de fécondité moyen en France est de 1,9 enfant par femme. Ce qui signifie que celui des natives s’est effondré et tourne autour de 1,6
13 La part des naissances extra-européennes a doublé, voire triplé dans certaines villes depuis 1990
14 On dénombre 55 % d’inactifs parmi les étrangers extra-européens en âge de travailler, contre 35 % d’inactifs chez les Français ou les étrangers issus de l’UE
15 Le nombre de bénéficiaires de l’AME a été multiplié par 4,5 depuis 2000. Une véritable pompe aspirante
16 Le coût de l’AME a été multiplié par 7 depuis 2000 et atteint 1 milliard d’euros par an
17 Un clandestin coûte 2600 euros par an en dépenses de santé
18 Un mineur isolé coûte 50 000 euros par an au contribuable, soit un total de 2 milliards par an pour 41 000 MNA
Rappel définitions
Un immigré est une personne née étrangère, à l’étranger, et résidant en France. Un immigré peut donc être Français par acquisition de la nationalité française
Un descendant d’immigré est une personne née en France d’un ou deux parents immigrés
Conclusion
Avec de tels chiffres, il est clair que le Grand Remplacement n’est pas un fantasme d’extrême droite, mais bien une réalité que tous les mondialistes immigrationnistes s’acharnent à mettre sous le tapis depuis 40 ans.
Avec Zemmour, tous ces mensonges, toute cette désinformation, toute cette gabegie qui ruine et détruit le pays, prendront fin.
C’est bien pour cela que tous les profiteurs du Système, qui nous tue à petit feu, diabolisent Zemmour, quand ils ne le menacent pas carrément de mort. Car ces fossoyeurs de la nation savent qu’ils vont tout perdre car Eric ne reculera pas.
Dans 58 jours, il s’agira de ne pas se tromper de bulletin de vote !