Le contexte historique, développé par Vladimir Poutine dans son discours, est celui du coup d’État de Maiden de 2014, des massacres par les troupes nazies en Géorgie, des accords de Minsk sur le respect des minorités jamais appliqués, du développement des bases de l’OTAN vers l’Est malgré les accords de 1997 et, chose encore moins médiatisée, de la fermeture du canal approvisionnant en eau la Crimée. À présent les populations russophones vont être reconnues dans leurs droits administratifs et culturels, la Crimée pourra bénéficier de l’eau du Dniepr — fleuve de l’Europe de l’Est—, les États-Unis seront remis à leur juste niveau dans le rapport des forces mondial et les nazis devront abandonner tout espoir d’épuration ethnique.
Pourquoi le mot diplomatie est-il sur toutes les lèvres ? Il suffit d’avoir dans le placard de quoi dissuader ses adversaires. En 2016, la Russie a dévoilé un missile nucléaire, surnommé « Satan 2 » par l’OTAN. Un missile qui donne envie de se mettre autour d’une table et de négocier la paix.
Particularité de ce missile thermonucléaire le RS-28 Sarmat ? Il peut raser un pays de la taille de la France en seulement quelques secondes et en faire un grand parking ou un terrain de pétanque — une fois les radiations retombées. Le Sarmat est un grand voyageur, il peut avoir une portée équivalente au périmètre de la Terre et une capacité de charge jusqu’à dix têtes de forte puissance. Selon Poutine, le missile peut être lancé de façon à passer par le pôle Sud pour contourner les défenses actuelles.
Comprenons bien que les gesticulations enfantines et capricieuses de BHL et Raphaël Glucksmann à pousser les gouvernements vers une guerre frontale contre la Russie sont purement et simplement suicidaires… ou alors ce sont deux grands amateurs de pétanque.
Le monde Blanc, désormais largement minoritaire dans le monde, se déchire encore un peu plus depuis la nuit de lundi à mardi.
En Europe de l’Ouest, nous sommes sortis depuis bien longtemps de l’Histoire, on discute du sexe des anges, on éduque le peu d’enfants que nous faisons à devenir LGBTO-compatibles, à l’indifférence raciale et au déracinement, tout en plongeant nos peuples dans un climat d’insécurité (économique, humaine, sociale) permanent. Mais nos dirigeants prétendent encore donner des leçons au monde entier….
En Europe de l’Est, les vieilles cicatrices jamais refermées se rouvrent dans le sang et la fureur, tandis que les appétits de nos fossoyeurs, impérialistes ou mondialistes à l’affût de pouvoir façonner ces territoires à l’image des bordels occidentaux, ne sont jamais rassasiés.
Au détriment des populations locales, divisées, meurtries, ayant chacune leur légitimité, tout en étant éduquées sans doute pour des siècles encore dans la haine du voisin.
Pendant ce temps, des milliards d’Africains et d’Asiatiques sont à nos portes, lorgnant sur un continent en dormition, à la démographie en berne et à la conscience raciale effondrée.
Un continent que les décideurs du monde entier ne cessent de leur indiquer comme étant à prendre, à occuper et surtout, à remodeler.
Et nous devrions continuer à faire la guerre entre Européens, sur nos propres terres ? C’est une folie que dis-je, c’est un suicide organisé !
Il faut en finir avec les guerres fratricides qui ont déjà provoqué la mort de millions de forces vives en Europe au 20ème siècle. Plus jamais ça. Nous devons seulement préserver l’existence de nos peuples d’Europe, et l’avenir de nos enfants. La tâche s’annonce ardue !
Les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.
Et parions que le peuple russe adhère massivement à cet état d’esprit.
Une fois de plus, ce sont donc les Européens qui vont payer les pots cassés de la politique des États-Unis.
Le principal partenaire commercial de la Russie reste la Chine, suivie par les pays d’Europe. C’est donc l’Europe qui va pâtir en priorité des sanctions à l’encontre de Moscou.
Un excellent article du Figaro nous montre que ces dernières décennies, les sanctions économiques n’ont guère eu d’influence sur la politique des pays visés.
Les mesures prises à l’encontre de l’Irak de Saddam Hussein n’ont eu aucun effet.
Les sanctions contre Moscou, après l’annexion de la Crimée en 2014, n’en ont pas eu non plus.
La politique de Poutine à l’égard de l’Ukraine n’a pas changé et l’opinion ne s’est aucunement retournée contre le tsar.
Évidemment, quelques oligarques sont affectés, mais au niveau national l’économie n’est que partiellement ralentie.
Selon Poutine, l’embargo sur les denrées alimentaires en provenance de l’UE a permis depuis 2000 d’augmenter massivement la production de blé et le pays est autosuffisant en légumes, volailles et porcs.
En se tournant vers la Chine, Moscou a largement compensé la baisse des échanges avec l’Europe.
En outre, la hausse du baril de pétrole et des matières premières est une aubaine pour la Russie, puisque ce pays regorge de richesses multiples, alors que l’UE est dépendante de tout, à commencer par le gaz russe !
Sur le plan international, si les pressions occidentales ont mis fin au régime de l’apartheid en Afrique du Sud, elles n’ont eu aucun effet sur les régimes communistes de Cuba et de la Corée du Nord.
Idem pour l’Iran, où les mollahs n’ont pas renoncé à leur course à l’arme atomique.
Non seulement les sanctions économiques n’ont généralement aucun effet, mais elles ont tendance à exacerber le nationalisme chez les peuples visés et à rassembler le pays autour de son leader, pour se défendre contre les agressions étrangères.
C’est ce qui se passe en Russie. Le peuple russe se resserre autour de Poutine.
La solution au problème ukrainien n’est ni la guerre ni les sanctions. Le retour à une paix durable exige d’apporter aux Russes des garanties de sécurité, en déclarant que l’Ukraine ne sera jamais le 31e membre de l’Otan ni le 28e pays de l’UE.
Une solution que ni les Américains ni les Ukrainiens ne veulent.
C’est donc Poutine qui continuera de mener le bal, avec de dures conséquences pour les populations subissant les combats.
Laurent Bigorgne est soupçonné d’avoir mis de la MDMA dans la coupe de champagne d’une de ses collègues à son insu. Il a été interpellé ce vendredi.
Un très proche de la macronie en garde à vue. Le directeur de l’Institut Montaigne, Laurent Bigorgne, un think tank libéral, a été interpellé ce vendredi, selon les informations du Parisien. Il est soupçonné d’avoir drogué à son insu une de ses collaboratrices lors d’une soirée.
Agée d’une quarantaine d’années, cette femme aurait passé le début de la soirée de mardi avec Laurent Bigorgne, qui l’avait invitée à son domicile. Mais elle se serait ensuite rendue dans un commissariat dans la nuit pour porter plainte.
Nous sommes le 26 février 2022, c’est le troisième jour de l’opération menée par la Russie en Ukraine.
Militairement
Voici une carte animée des trois premiers jours de combats. L’armée russe progresse rapidement et méthodiquement.
D’après les estimations, ce sont 40,000 hommes que l’armée russe a concentré sur l’axe de l’offensive visant Kiev. Ils ont conquis la totalité du territoire entre la frontière biélorusse et la capitale en moins de 48 heures.
L’armée russe entame désormais l’encerclement de la capitale ukrainienne.
Au nord-ouest, dans la zone du zoo de la ville, des combats ont été rapportés.
Cela peut signifier que les troupes russes venant de la rive droite du fleuve depuis Chernihiv ont atteint la capitale, dans un mouvement parallèle à celui des troupes venues du secteur de Tchernobyl sur la rive gauche.
Au petit matin, après les combats de la nuit dans le secteur du zoo.
Au sud-est, les parachutistes russes tentent actuellement de prendre la base aérienne de Vasylkiv, pour débarquer du matériel.
« Beaucoup de parachutistes (russes, ndlr) ont atterri dans les champs de toute la commune, qui se battent maintenant durement avec les combattants de notre 40e brigade ».
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