Il avait déjà affirmé que, lui Président, il « raserait Versailles pour que l’on arrête de cultiver la grandeur de la France ». Pas très étonnant, donc, que Jean-Michel Aphatie récidive en affirmant, sur LCI, que ceux qui trouvent quelques qualités à Zemmour sont, en quelque sorte, ces « Français de chez Français qui puent un peu des pieds » !
Jean-Michel Aphatie qualifie Eric Zemmour et les gens autour de lui de “Français de chez les Français qui puent un peu des pieds” pic.twitter.com/QpBqFK4kla
Après les sempiternelles idées « nauséabondes » (qui commencent maintenant à Manuel Valls), puis les « sans-dents » de Hollande (dont on peut supposer qu’ils ont mauvaise haleine), cette gauche-béluga est décidément très olfactive avec « ceux qui ne sont rien » ; mais qui sont simplement une multitude de braves gens qui se lèvent tôt, travaillent dur, se permettent parfois de « fumer des clopes et de rouler en diesel » et trouvent quand même, plus souvent que le camp du Bien ne le croit, le temps de se laver les pieds. Et c’est cette même gauche qui s’étonne, ensuite, que ceux-là l’abandonne !
Mais avec Aphatie, longtemps adhérent au PS, la zemmourite infectieuse chronique se complique de psychose hallucinatoire, puisqu’au meeting de Villepinte, il estime avoir « vu un monstre ». Un cran au-dessus et il convoquait le Grand Exorciste !
Mais il faut le comprendre, ce pauvre Aphatie : Zemmour et lui ont exactement le même âge et ont exercé le même métier. Mais l’un a, par sa seule présence, hissé un média confidentiel au rang de première chaîne d’information de France – dépassant BFM TV sur l’ensemble des tranches horaires – avant d’acquérir une envergure politique nationale.
Et l’autre doit se contenter de commenter l’ascension de son confrère… Aphatie n’a jamais eu, bien sûr, la moindre ambition de se présenter à l’élection présidentielle : il enrage simplement qu’un confrère l’ait eue.
Illustration cristalline de la rivalité mimétique si bien décrite par René Girard et dont les effets pervers sont la haine, l’envie et la jalousie : « Celui qui hait se hait d’abord lui-même, en raison de l’admiration secrète que recèle sa haine ». Tout est dit.
Villepinte, Cannes, Lille, partout où il passe, Zemmour embrase les foules. Reconquête, c’est devenu une redoutable armée de près de 100 000 adhérents, derrière un chef de guerre hors du commun, entouré de fidèles dont l’excellence n’est plus à démontrer. Zemmour est en train de lever des légions d’électeurs.
Il y a trois mois, on disait le candidat isolé, sans troupes et sans moyens, inconscient des enjeux. Zemmour n’était qu’un innocent farfelu ayant la prétention de venir jouer dans la cour des grands, parmi les pros de la politique. On se gaussait, on ricanait, on gloussait dans les dîners en ville. Le novice allait se faire broyer par le système.
Ses « amis », comme le félon Ménard, lui prédisaient l’échec. Le sinistre maire de Béziers continue d’ailleurs, chaque matin, de lui savonner la planche. Marine lui promettait un score scotché à 3 %.
Les journalistes, supplétifs de la Macronie pour la plupart, s’adonnaient à leur jeu préféré, la diabolisation du candidat anti-système. Certains continuent, mais d’autres, perplexes, s’interrogent. On ne sait jamais…
Car Éric pourrait très bien devenir le Trump français et tout emporter sur son passage.
Le fait est que plus personne ne ricane.
La roue a donc tourné. Courage, volonté, ténacité, sincérité et intelligence ont renversé la donne.
Et le débatteur hors pair est devenu un redoutable tribun, capable de galvaniser les foules comme jamais.
Même les instituts de sondage ne peuvent plus nier cette formidable dynamique qui porte Éric Zemmour.
Hier, ils étaient 8 000 fans venus ovationner leur champion et son équipe, répondant ainsi de façon magistrale à l’insignifiante Martine Aubry, qui avait cru bon d’encourager les antifas à barrer la route à notre patriote. Quelle posture misérable !
Mais quelle gifle ! Collard, Zemmour, tous ont moqué le fiasco total de cette initiative pitoyable de la maire de Lille. Quel comportement anti-démocratique décadent !
« Merci de ne pas être tombés dans cet état d’Aubryété », a ironisé l’inimitable Gilbert Collard, en s’adressant aux militants de Reconquête.
C’est dans une ambiance survoltée que s’est déroulé le troisième grand meeting de Zemmour, un show aussi enthousiaste que ceux de Villepinte ou de Cannes. Du grand professionnalisme. Visiblement, l’équipe du « perdreau de l’année » est au top ! Ils ont vite appris. C’est bluffant.
Tant de ferveur, tant de joie contagieuse, tant de chaleur, tant de passion, au son d’une musique conquérante et au milieu d’une marée de drapeaux tricolores, font vraiment chaud au cœur.
En écoutant Zemmour et son équipe, en observant l’enthousiasme délirant des 8 000 fans venus écouter la bonne parole, on se dit aussitôt que tous les sondages sont faux et qu’Éric ne peut pas susciter autant de ferveur et d’espoir, tout en restant scotché à 12 % comme se plaisent à le dire la plupart des sondeurs.
Les sondages sont faux car 60 % des électeurs n’ont pas encore pris de décision quant à leur choix.
Le meeting démarre avec le discours de Jean-Frédéric Poisson, suivi à la tribune par Bruno North, Jacline Mouraud, Gilbert Collard, Jérôme Rivière, Maxette Pirbakas, l’époustouflant tribun Guillaume Peltier et enfin Philippe de Villiers.
Tous y vont de leur couplet patriotique et d’une ode à la France qui enflamme la salle, avec 8 000 fidèles qui scandent « Zemmour Président » ! Grandiose.
Enfin la rock star arrive, acclamée comme Rocky montant sur le ring. Zemmour fend la foule, serre des mains. C’est un show à l’américaine, accompagné d’une musique endiablée au milieu de centaines de drapeaux.
Du haut de la tribune, bras levés, sourire aux lèvres, Zemmour savoure l’instant. Il est clair qu’il est heureux de son triomphe, de son pari gagné, fier du succès de son travail de chaque instant, infatigable, sur le pont depuis des mois.
Un sondage de ce soir le donne à égalité avec Marine, à 14 %. Ce sondeur, Ipsos, le donnait à 12 % face à Marine à 17 % il y a quelques jours. Est-ce le signe d’un retour au réel ? Le fait est que Zemmour gagne 2 points et Marine en perd 3 chez le même sondeur. On ne peut que s’en réjouir.
Sans notes, au meilleur de sa forme, Zemmour remercie son équipe et son public. Puis, il rend hommage à la jeune policière de 24 ans, agressée à Lille par un multirécidiviste, et remercie les forces de l’ordre.
Le thème du meeting ? Le pouvoir d’achat, plombé par des décennies de gabegie et par une immigration de masse qui nous ruine et saigne le peuple français.
Zemmour dénonce l’assistanat et vante le Nord industriel, où naguère, Belges, Polonais et Italiens se sont assimilés par amour de la France et par le goût du travail bien fait. Le travail, c’est notre trésor, notre patrimoine, notre capital.
« Je serai le Président de la réconciliation des classes »
Dénonçant l’indigne comportement de Martine Aubry faisant appel aux antifas, Zemmour revient sur l’islamisation des villes, sur Roubaix, l’Afghanistan à deux heures de Paris. Il dénonce le voile chez les fillettes, les horaires séparés dans les piscines, les écoles coraniques subventionnées.
Dans certains quartiers, « on cherche la France et on ne la trouve plus ».
C’est un scandale que des journalistes, qui révèlent la vérité, soient ensuite menacés de décapitation et de viol.
Et la gauche relativise, insulte les gens modestes, en mettant la criminalité sur le dos de la pauvreté, comme si les pauvres avaient vocation à plonger dans la délinquance, alors qu’ils mettent un point d’honneur à respecter les lois.
Pour Éric, l’argent public, l’argent magique, ça n’existe pas. Cet argent distribué à tout-va par Macron, c’est celui du peuple français, écrasé de taxes et d’impôts.
« Les chèques cadeau, c’est votre argent »
C’est vous qui payez la dette. Votre pouvoir d’achat, c’est ce qui vous reste après que l’État vous a pris la moitié de votre travail. Nous sommes le peuple le plus taxé du monde.
L’AME, le RSA aux terroristes, la fraude sociale et fiscale, le coût des détenus étrangers, les plans banlieue, les subventions aux associations de gauche, c’est vous qui les financez. Il ne vous reste rien.
Vous en avez assez ? Moi aussi j’en ai assez ! Pour votre pouvoir d’achat j’ai trois solutions :
1 Arrêter le gaspillage de l’argent public
2 Arrêter de financer notre propre remplacement
3 Récompenser le travail et le mérite
Savez-vous que la France aide la Chine à se développer, alors qu’elle est la seconde puissance économique du monde ? Nous aidons un pays qui pratique une concurrence déloyale.
Savez-vous que l’audiovisuel public coûte 3,6 milliards par an pour diffuser son discours de gauche ? J’économiserai cette somme en privatisant les chaînes publiques.
Dès mon élection, je recenserai toutes les dépenses inutiles et folles et lancerai la plus grande réforme de l’État.
L’immigration est financée sur votre dos. Notre modèle social profite à toute la misère du monde et étrangle les classes moyennes.
Un demandeur d’asile, logé et subventionné, bénéficie d’une carte de crédit de 430 euros par mois. C’est plus que nos paysans dont certains survivent avec 350 euros par mois. Je limiterai le droit d’asile aux seuls combattants de la liberté, une poignée par an.
Les mineurs isolés, dont beaucoup sont des délinquants, coûtent 2 milliards par an à l’État.
L’AME, qui soigne les sans-papiers, c’est 1 milliard par an. Je la supprimerai.
Sachez que 55 % des étrangers extra-européens en âge de travailler sont inactifs.
J’accorderai une prime de 10 000 euros pour chaque naissance en milieu rural afin de repeupler nos campagnes. Et je créerai 1000 postes de médecins salariés pour les installer dans les déserts médicaux.
20 % de nos logements sociaux sont occupés par des étrangers. Certains Français logent dans des caravanes, résignés, car abandonnés par l’État depuis des années.
Nous finançons notre Grand Remplacement au prix de notre grand déclassement !
Je couperai les aides sociales aux étrangers extra-européens : RSA, allocations familiales, aide au logement. Cela représente 20 milliards d’économie.
J’augmenterai le salaire net, j’accorderai des bourses d’études aux classes moyennes, je porterai la pension de réversion à 75 % au lieu de 50 % actuellement.
Travailler plus pour gagner plus était une excellente idée de Nicolas Sarkozy. Je rétablirai les heures supplémentaires défiscalisées.
J’instaurerai une aide patronale de 50 % pour les frais de trajet en voiture.
La participation sera encouragée et libérée des contraintes actuelles.
Je revaloriserai le travail en encourageant le mérite et l’effort.
Je créerai la prime patronale aux salariés avec zéro charge, pour récompenser le mérite.
Plus question que notre modèle social soit partagé avec le monde entier.
Nous sommes LA solution du mérite, du travail et de la justice.
La reconquête que nous voulons, c’est combattre l’assistanat
La reconquête que nous voulons, c’est combattre le Grand Remplacement pour lutter contre le grand déclassement.
Oui, nous pensons que demain sera meilleur. Oui, c’est possible car « impossible n’est pas français »
La France a un destin, son peuple a un destin. Son peuple, qui est là depuis 1000 ans et qui a envie d’être encore là dans 1000 ans, a le devoir de préserver son héritage culturel, son art de vivre et sa civilisation pour les transmettre aux générations futures.
Pour cela, nous aurons besoin de nos entreprises pour produire, innover et partir à la conquête du monde. Nous aurons besoin de Français qui vivent correctement de leur travail et n’ont plus l’angoisse des fins de mois.
Nous voulons redevenir ce peuple solide, robuste, fier et plein de confiance en lui et en son génie.
Je veux insuffler à la France cet esprit de reconquête.
Nous avons un pays à reconquérir, une économie à reconquérir.
Rien ni personne ne nous fera mépriser notre pays, son économie, ses travailleurs et le fruit de leurs efforts.
Rien ni personne ne nous fera oublier que nous sommes nés dans la prospérité, qu’elle a éclairé notre passé et qu’elle nous attend dans l’avenir.
Rien ni personne ne nous fera abandonner nos parents, nos enfants, nos envies, nos ambitions, nos projets.
Rien ni personne ne nous empêchera de vivre chez nous et pour nous. Ils ne nous déplaceront pas, ils ne nous soumettront pas, ils ne nous remplaceront pas.
Il faudra nous arracher le cœur et ils n’y arriveront pas.
Parce que le courage c’est nous, le panache c’est nous, le travail et le drapeau qui flotte au vent de l’Histoire, c’est nous.
La nation qui ne baisse pas les yeux c’est nous, la terre qui refuse de se soumettre c’est nous, le peuple qui n’a plus peur c’est nous, la reconquête c’est nous.
Vive la République et surtout, surtout, vive la France.
Et c’est une foule en délire, déchaînée, ivre de fierté, de patriotisme et d’espoir, qui entonne la Marseillaise à pleins poumons.
Oui, vraiment, des meetings politiques qui vous transportent à ce point, vous ne les verrez que chez Zemmour.
« La guerre civile s’installe dans notre pays » estime Christiane #Taubira après les discours de « haine entendus hier » (référence aux meetings organisés par @ZemmourEric et @MLP_officiel) et les actes « violents » commis à Amboise. https://t.co/NYSyzPgGkT
Dans un communiqué, l’ambassade d’Algérie en France a salué la «dynamique ascendante d’apaisement» à l’œuvre entre Alger et Paris. L’Algérie se félicite notamment des «condamnations unanimes» après la détérioration d’une statue de l’émir Abdelkader.
(…)
«Rappelons-nous ce qui nous unit. La République n’effacera aucune trace ni aucun nom de son histoire. Elle n’oubliera aucune de ses œuvres. Elle ne déboulonnera pas de statues», a condamné le président Emmanuel Macron.
Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a pour sa part évoqué un acte «profondément débile». Le 6 février, l’ambassade d’Algérie en France a de nouveau dénoncé «un acte de vandalisme d’une bassesse inqualifiable»
La sculpture en hommage à Abdelkader a été vandalisée avant son inauguration ce samedi à Amboise (Indre-et-Loire), où le héros national algérien a été détenu avec plusieurs membres de sa famille de 1848 à 1852, ont constaté des journalistes de l’AFP. L’œuvre du sculpteur Michel Audiard intitulée « Passage Abdelkader », qui représente l’émir Abdelkader (1808-1883) découpé dans une feuille d’acier rouillé, a été largement abîmée dans la partie basse de la structure.
Saisissant au bond la proposition de l’historien Benjamin Stora qui, dans son rapport sur la réconciliation mémorielle entre la France et l’Algérie, proposait l’installation d’une stèle en hommage à l’émir Abdelkader à Amboise, la Ville a fait appel au sculpteur tourangeau, Michel Audiard. C’est l’un de ses « Passages », du nom de ces portraits découpés dans une feuille d’acier rouillée, qui replacera la silhouette de ce personnage historique le long des bords de Loire, à quelques pas du château d’Amboise où il a été emprisonné. Pour la réalisation de son œuvre, Michel Audiard s’est inspiré d’un portrait en pied de l’émir Abdelkader, issue du fond de la Bibliothèque nationale de France. Le coût de cette installation de 3×2 m, 35.000 €, est supporté en grande partie par des subventions de l’Élysée et de la Direction régionale des affaires culturelles. Elle sera officiellement inaugurée samedi 5 février.
Les Sénégalais fêtent la victoire de leur équipe qui remporte la Coupe d'Afrique des Nations pour la première fois de son histoire sur les Champs-Elysées.#CAN2022#Senegal#Parispic.twitter.com/ygb82UM3V4