Vous le savez sur ce site toutes les musiques ont le droit de citer. Du coup je vous propose aujourd’hui un morceau particulièrement long (1h20) puisqu’il s’agit d’un morceau de “House”. Certes ce type de musique est assez répétitif mais il permet de s’évader, se relaxer et même de travailler dans une ambince tout à fait sereine. Laissez vous tenter par ce morceau très tendance et très cool.
L’émission du 27 janvier 2022 « Face à baba » diffusée sur la chaîne C8 restera un moment important dans la campagne présidentielle. Les masques sont tombés. Jean-Luc Mélenchon a révélé son vrai visage, celui d’un apprenti dictateur haineux et violent. Éructant de colère, le candidat de la France insoumise a insulté avec une brutalité inouïe ceux qui osaient ne pas penser comme lui. Il traita les uns de chiens. Il qualifia de ramassis d’ivrognes des millions d’électeurs. Il méprisa ouvertement les interlocuteurs qui ne rampent pas à ses pieds. Il chercha à intimider ouvertement un policier, lui promettant même de le faire exclure des forces de l’ordre dès qu’il arriverait au pouvoir. Il n’y a rien d’étonnant à ce que Jean-Luc Mélenchon, niant avoir jamais été communiste alors qu’il fut membre de l’Organisation communiste internationaliste, montre une admiration sans borne pour des tyrans sanguinaires tels que Fidel Castro.
Purger la police, c’est justement ce qu’ont fait les bolcheviks, dès leur arrivée au pouvoir en 1917, pour créer la Tcheka, une abominable police politique. Purger la police, c’est justement ce qu’ont fait les nazis dès leur arrivée au pouvoir en 1933, pour créer la Gestapo, une abominable police politique. Jean-Luc Mélenchon ne veut pas d’une police aux ordres de la République, il veut une police à sa botte. Il sait parfaitement qu’il existe aujourd’hui, au sein des forces de l’ordre, une immense majorité de policiers démocrates qui n’accepteront pas ses méthodes. Alors, il propose de les briser sous n’importe quel prétexte pour transformer la police en une milice politique lui permettant de réprimer à sa guise.
Le programme de Jean-Luc Mélenchon est une pure folie, comme tous les programmes d’extrême gauche. S’il arrive au pouvoir, nous connaîtrons la ruine économique et, par conséquent, l’effondrement social. Son projet de transformation planifiée de la société masque, en réalité, l’éternel délire de création d’une humanité nouvelle par la rééducation impitoyable des citoyens. Son nouveau partisan, Aymeric Caron, l’a d’ailleurs avoué. Ce qui lui plaît, chez Jean-Luc Mélenchon, c’est sa radicalité, ce qui signifie, en termes gauchistes, sa brutalité et son mépris de la démocratie.
Qu’Aymeric Caron se rassure : si Jean-Luc Mélenchon est élu, Aymeric Caron, comme tous les idiots utiles ayant soutenu Lénine, aura le loisir de goûter à cette radicalité. Pendant ce temps, Raquel Garrido terrorisera les plateaux de télévision afin d’y imposer sa loi, comme elle a encore tenté de le faire durant cette émission, quand elle reprocha à Cyril Hanouna de trop laisser la parole à ceux qui osaient s’opposer à Jean-Luc Mélenchon. Un Paradis rouge mené à la baguette.
Valérie Pécresse est allée au moins trois fois rencontrer les islamistes de l’Union des musulmans du 93 dans leurs différents bastions à Aulnay-sous-Bois en 2008, Pantin en 2013, et au Blanc-Mesnil pour leur grand diner du ramadan de 2015.
Il faut savoir que l’UAM93 a publié sur son site des articles tels que « Le jihâd du niqab », où on lisait « Comme l’ont fort bien remarqué les responsables politiques ainsi que les journalistes, le port du niqab en France est l’objet d’une guerre sans merci entre les forces républicaines et celles des musulmans . » Une interprétation toute particulière de la pensée des journalistes. Un des fondateurs de l’UAM93, qui regroupe 30 mosquées, est le sulfureux Dhaou Meskine, voir ce portrait dans Libération : https://www.liberation.fr/societe/2006/06/21/une-figure-de-l-islam-de-france-arretee_41916/
Au programme , un regard croisé sur les situations au Canada et en France. Alors que des convois de camions traversent le pays pour rejoindre Ottawa et manifester contre le pass-vaccinal, le gouvernement français se raidit devant l’incohérence de sa politique vexatoire. Également au sommaire, les ralliements, alliances et départs entre les mouvements de Marine Le Pen et d’Eric Zemmour, à 70 jours du premier tour de la présidentielle. Et puis nous reviendrons sur l’inénarrable primaire populaire. L’initiative a consacré la victoire de Christiane Taubira. Un scrutin qui ne changera pas grand-chose de ce côté de l’échiquier.
Après des années de négation de la réalité par les médias mainstream et les partis politiques du système, l’émission de M6 » Zone Interdite « , diffusée le dimanche 23 janvier, a levé le voile sur l’islamisation de certains quartiers français. Cela n’a pas manqué de créer une vague de récriminations et d’accusations de militants de gauche islamophiles et francophobes. Certains participants de cette émission ont même reçu des menaces de mort pour y avoir témoigné.
Le contenu de l’émission intitulée « Face au danger de l’ islam radical, les réponses de l’État »
Ce reportage traitait donc des courants radicaux de l’islam. Il s’est contenté de montrer la présence importante d’un islam fondamentaliste à Marseille, Roubaix, Lyon. Cela se traduit par la création d’écoles illégales, par l’obligation du voile pour des fillettes dès l’enfance, des prêches d’inspiration salafiste dans certaines mosquées radicales, etc…
Il a commencé par le témoignage d’Amine Elbahi, militant politique habitant Roubaix, dont une sœur aînée radicalisée s’est rendue en Syrie. Il a dénoncé cette radicalisation : « C’est un appel à s’exclure de la communauté nationale et à adhérer à une pratique plus rigoriste de l’islam. »
Il a fait visiter les endroits les plus islamisés de Roubaix contrôlés par ces islamistes, en particulier la rue Lannoy.
Dans cette rue, la plupart des femmes portent le niqab, qui dissimule le visage et le corps. Elles peuvent manger dans un restaurant caché derrière un rideau. Les boucheries s’affichent hallal. Dans des librairies, on trouve des livres de propagande islamiste.
Le reportage a également montré un magasin de vente de poupées sans visage car l’Islam en interdit la représentation : « Parce que c’est Allah qui crée et qu’il est donc interdit de représenter des humains », explique la vendeuse.
D’autres commerces de prêt-à-porter proposent des voiles intégraux prohibés dans l’espace public en France.
Plus grave, M6 révélait le versement de fonds publics pour financer des organisations salafistes. Le reportage accable le maire de Roubaix à ce propos.
Ainsi, ce reportage a seulement filmé ce que tout français peut constater dans certains quartiers de sa commune. Il a pourtant soulevé une vague de condamnations de militants de partis de gauche.
Des partis de gauche accusent M6 d’islamophobie
Dès dimanche, avant d’avoir vu le reportage, des militants de la France insoumise protestent sur les réseaux sociaux contre la promotion du reportage par la chaîne. Accusant M6 d’islamophobie, ils appellent au boycott de l’émission.
David Guiraud, porte-parole jeunesse de la France insoumise avance l’argument suivant :« Je ne vois pas pourquoi les musulmans n’auraient pas le droit de faire comme les écoles Saint Pie X et séparer les garçons et filles ».
Après l’émission, il l’a traitée de « journalisme de caniveau ». Il affirme que le problème est uniquement celui de la précarité.
Lundi sur CNews, David Guiraud a déclaré : « Je ne sais pas ce que c’est une bibliothèque islamiste, il faudrait qu’on arrive à définir ça un jour ». « Zone interdite » avait pourtant montré qu’une librairie islamiste est un endroit où l’on trouve « la Voie du musulman » qui décrit comment faire le djihad.
Il a ajouté : « Comme si la République était menacée par des poupées »
Dans le « Grand Oral des GGMO ». Sandrine Rousseau EELV a déclaré : « J’espère qu’elles auront des crayons et des feutres pour dessiner des visages dessus et pour s’émanciper de cela ».
Ophélie Meunier et Amine Elbahi menacés de mort
En défendant ces islamistes, David Guiraud ne prend pas en compte que les premières victimes de ces fondamentalismes sont des musulmans.
Ainsi Amine Elbahi a affirmé sur BFM avoir été menacé de mort depuis sa participation à l’émission : « Mon numéro de téléphone a circulé sur les réseaux sociaux, plusieurs appels au meurtre ont été diffusés. On me menace de décapitation, d’égorgement, de s’en prendre à moi parce que j’ai tenu un discours de vérité à visage découvert et en particulier sur l’inaction du maire de ma commune ».
De même, la journaliste et présentatrice de « Zone interdite » Ophélie Meunier a été placée sous protection policière.
Ces menaces et atteintes à la liberté d’expression et au travail d’un journaliste ne semblent pas émouvoir la majorité de confrères d’Ophélie Meunier.
Pendant ce temps, le gouvernement s’inquiète du danger pour la démocratie que représenteraient des militants identitaires ou des catholiques qui défendent le respect de la vie…
Vous connaissez la phrase de Saint-Just, pendant la Révolution : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ». La définition de la liberté a fluctué au gré des courants historiques, mais le « deux poids deux mesures », lui, n’a pas pris une ride. Ainsi, quand un député est menacé de mort symboliquement par ses électeurs parce qu’il a voté une loi que l’on peut considérer comme liberticide, par exemple, la Justice s’active – la police est sur les dents, comme on disait autrefois paresseusement dans la PQR. Quand Jean-Marie Le Pen faisait des blagues vaseuses sur « Durafour crématoire », c’était le tribunal, direct. Mais quand une vidéo circule, où des jeunes montrent un drapeau algérien en traitant Éric Zemmour de « fils de juif » et de « fils de putain », bon, benn là, euh, c’est pas pareil.
Je tends l'oreille, je n'entends aucune condamnation des insultes antisémites dont #Zemmour a fait l'objet : "espèce de juif de fils de p…" pic.twitter.com/Ppe6kIU9rP
Quand les Zouaves se battent à Villepinte contre des gauchistes venus les provoquer, c’est la dissolution immédiate. Mais quand des antifas saccagent Nantes, c’est pas bien grave. Tout récemment, encore, quand SOS Racisme et l’Union des étudiants juifs de France (UEJF) se prennent pour Jean Moulin en collant des affiches qui assimilent Zemmour au maréchal Pétain, devant les caméras, c’est un happening – au pire, c’est de l’agit-prop, comme du temps du rideau de fer. Ce n’est pas une insulte.
Il y a quasi officiellement, en politique, le bon et le mauvais chasseur. Comme dans le sketch des Inconnus, peu de choses les séparent… sauf qu’il y en a un, c’est un bon chasseur.
À gauche de la gauche et dans la diversité bienheureuse, par exemple, ce sont de bons chasseurs (même si cela ne doit pas leur faire plaisir). Quand ils voient un truc, ils hurlent, ils cassent, ils brûlent, ils interdisent ou ils excommunient. Incroyable et paradoxale écume de haine sortant de la bouche de ceux qui, justement, prétendent souvent lutter contre la haine. Pas d’arrestations, quelques molles condamnations, et roulez jeunesse ! Au pire, Gérald Darmanin se « rendra sur place ». Au pire du pire, on fera marcher la planche à billets : subventions aux associations, stades et médiathèques en banlieue. Argent magique. Impunité quasi totale.
À droite, en revanche, malgré une longue (et sans doute répréhensible) habitude cynégétique, ce sont plutôt de mauvais chasseurs. Jean Messiha s’insurge d’avoir été traité de chameau par le président de SOS Racisme ? Peu importe. Zemmour est agressé le jour de son premier grand meeting ? Peu importe. Et, donc, son QG est ciblé par des militants bas du front qui se prennent pour des résistants à la bête immonde ? On verra, mais à mon avis, il ne se passera rien du tout. C’est normal, pour la Justice : Zemmour, c’est la haine, et on ne débat pas avec les « marchands de haine » qui « jouent sur les peurs », sinon c’est immédiatement « le bruit des bottes ». L’opinion publique commence à se réveiller. Elle rejette les médias, les discours préfabriqués, les indignations sur commande. On lui en a trop fait. Ce n’est pas trop tôt, espérons seulement que ce ne soit pas trop tard…
Cinquante ans, déjà. Le dimanche 30 janvier 1972, dans un contexte de lutte pour l’égalité des droits en Irlande du Nord, une marche de protestation pacifique avait lieu, à Derry, contre la politique d’internement du gouvernement britannique. À la nuit tombante, 15.000 manifestants se heurtèrent aux soldats du Parachute Regiment qui ouvrirent le feu sur la foule, faisant 14 morts et 17 blessés. En réaction immédiate, les jeunes du Bogside, territoire catholique minoritaire, rejoignirent en masse les rangs de l’IRA, jusque-là très faible en Ulster.
Il faudra finalement attendre le vendredi de Pâques 1998 pour que soit signé le fameux accord de paix, dit « accord du Vendredi saint », entre les différentes communautés d’Irlande du Nord : chacune voyait sa légitimité reconnue, son existence protégée et son droit à participer à la gestion des affaires publiques institutionnalisé. Par ailleurs, si, un jour, une nouvelle majorité se déclarait favorable à l’unification du pays, celle-ci serait rendue possible.
Alors que les conséquences du Brexit semblent à nouveau menacer la paix civile en Ulster, penchons-nous un peu sur les causes historiques d’une telle tension dans le nord du pays et voyons quels enseignements en tirer pour la France.
Le débarquement d’Henri II en Irlande, le 17 octobre 1171, et la soumission des roitelets qui se partageaient jusque-là le territoire, sont évidemment le point de départ des conflits. Par le traité de Windsor, en 1175, le haut-roi d’Irlande Rory O’Connor reconnaissait la suzeraineté des Plantagenêts sur toute l’île. En 1557, sous Marie Tudor, les districts de Leix et d’Offaly furent envahis, confisqués et « plantés » de colons anglais qui désiraient s’octroyer des terres. Un projet que poursuivit Élisabeth Ire. C’est en Ulster, surtout, que se concentra la politique de « plantation » ; il s’agissait d’Anglais du Yorkshire et, surtout, d’Écossais des Basses Terres, de confession presbytérienne, indépendante, baptiste, quaker et bientôt méthodiste (à partir du XVIIIe siècle). Ces dissenters, ou « non-conformistes », persécutés jadis par les anglicans, introduisirent une paysannerie, un prolétariat et une bourgeoisie. Vers 1650, ils étaient plus de 100.000 colons. En une génération, nous dit Pierre Joannon dans son Histoire de l’Irlande, les comtés d’Antrim et de Down étaient radicalement transformés.
Contrairement au sud du pays, le nord connut un bond économique sans précédent avec l’industrie du lin et les premiers chantiers navals de Belfast, apparus dès 1791 ; on parla alors du « Glasgow irlandais ».
La même année fut fondée la Société des Irlandais unis de Belfast afin de promouvoir une fraternité interconfessionnelle en vue d’obtenir une complète réforme de la législature et de s’affranchir, à terme, des Anglais. Si les presbytériens d’Ulster s’étaient un temps sentis proches des catholiques, le fossé entre les deux communautés du nord allait se creuser tout au long du XIXe siècle. D’après Joannon, « l’aversion religieuse, l’intérêt économique, le privilège politique et l’extrême concurrence sur le marché du travail s’alliaient pour briser l’union qui s’était forgée ». En Irlande du Nord, les catholiques, mis en minorité, se concentrèrent alors spontanément dans les trois comtés occidentaux de Londonderry, Tyrone et Fermanagh. Les tensions à venir étaient inévitables ; et le pays, aujourd’hui, n’en est pas tout à fait sorti.
La leçon à tirer de tout cela est que la politique de « plantation » d’un peuple exogène, fédéré autour d’une religion, sur un territoire donné, à plus ou moins long terme, peut constituer un ferment de guerre civile ; l’Irlande en est le parfait exemple. Alors, quid des banlieues françaises dans un siècle ? Les populations d’origine restées sur place auront-elles à subir un Bloody Sunday de la part de la nouvelle majorité ?
À la primaire des forces de gauche, Anne Hidalgo s’est pris une gamelle des plus humiliantes. Dans un système d’évaluation hilarant, le maire de Paris recueille la mention « passable », juste devant deux parfaites inconnues à la moyenne « insuffisant(e) » (Mesdames Marchandise et Agueb-Porterie) et bien loin derrière ses meilleurs ennemis, Taubira étant en tête avec une mention « bien ».
Les méchants diront que c’est bien fait pour celle qui réclamait une primaire à cor et à cri. D’ailleurs, son entourage tempère : « Ces résultats méritent d’être un peu plus précis, dit un proche au Parisien. Ils ne modifient en rien la stratégie d’Anne Hidalgo. Elle a ses 500 parrainages qu’elle déposera cette semaine au Conseil constitutionnel et elle poursuit sa campagne sur le terrain. » Car on l’assure autour d’elle : « Ce que les électeurs demandent, c’est la connaissance des dossiers. Et là, Anne Hidalgo qui a l’expérience de la gestion de la capitale et un réseau international fera la différence. »
Expérience, oui, sans doute, mais ce serait plutôt celle de la mauvaise gestion.
D’abord, il y a la dette, colossale, et si la mairie reconnaissait, voilà deux ans, qu’elle avait atteint 6 milliards d’euros, force lui est de reconnaître, aujourd’hui, qu’elle dépasse officiellement les 7 milliards, chiffres attestés par la chambre régionale des comptes dans un rapport du 27 janvier, et d’autres sources laissent entendre qu’on serait bien au-delà.
Anne Hidalgo conteste et reporte la faute sur l’État. Et puis elle est là pour répondre à la demande des électeurs qui lui ont renouvelé (très chichement) leur confiance en 2020 : « La stratégie d’investissement de la ville de Paris a été validée par les électeurs et répond de manière volontariste aux enjeux de logement et de solidarité, au financement de la transition écologique et à la priorité d’accueillir les Jeux olympiques et paralympiques de 2024 », a-t-elle répondu aux sages de la CRC. Et puis, elle a beau jeu de lister les méfaits dus à la politique du gouvernement et qui la viseraient particulièrement : « Nous sommes la seule ville en France traitée ainsi. »
L’opposition rappelle qu’en 2013, la dette n’était « que » de 3,6 milliards d’euros. L’avoir plus que doublée, c’est mettre haut la satisfaction de l’électorat bobo de la capitale. Lui est en effet reproché le saccage du paysage au nom de l’écologie, ainsi que des aménagements urbains d’une totale démagogie. On citera en exemple le changement des plaques de rues pour satisfaire l’électorat féministe. Ainsi, dans le IXe arrondissement où la rue La Rochefoucauld est devenue rue Catherine-de-La-Rochefoucauld, la rue de Rochechouart rue Marguerite-de-Rochechouart, etc., étant entendu que ces dames sont, évidemment et par définition, plus méritantes que leurs odieux époux.
Et comme un malheur n’arrive jamais seul, une procédure judiciaire oppose désormais la ville de Paris et la RATP pour des dégâts occasionnés par les travaux de réaménagement de la place de la République (pour 20 millions d’euros). L’affaire est ancienne (travaux engagés sous le mandat de Bertrand Delanoë) et le contentieux a nécessité des années d’expertise. La RATP venait de refaire totalement la gigantesque station/échangeur de République : « Nouveaux luminaires, nouveaux carreaux blancs, nouvelles signalétiques… Tout avait été refait à neuf », rappelle Le Parisien. Et puis la ville a décidé de réaménager la place en surface… et ce fut la Bérézina : « infiltrations, coulures jaunâtres et verdâtres, peintures cloquées, murs boursouflés de moisissures, carreaux de faïence souillés »… Résultat : la RATP réclame plusieurs millions d’euros de dédommagement à la mairie de Paris. Ce qui ne va pas arranger sa dette…
Les Parisiens ne devraient pas être en reste puisque Alice Coffin annonçait, sur BFM TV, que le gouvernement a bien validé le projet de multiplier les salles de shoot, mais que « tout est gelé avant l’élection »…
⚠️Ce qui attend les Parisiens après la présidentielle (et qui se négocie dans notre dos).
Alice Coffin (EELV) confirme que le projet de la Mairie de multiplier les salles de shoot à Paris a bien été validé par le Gouvernement mais que "tout est gelé avant l'élection". ⤵️ #Crackpic.twitter.com/ttLnrW6QTl
"La France m'a sauvé la vie (…) bien entendu que j'ai quelque chose à lui rendre à la France (…) d'ailleurs elle m'a offert une langue, je lui ai rendu des livres", explique Abnousse Shalmani. #GrandsEntretienspic.twitter.com/5yWGZoDHN9
La route migratoire des îles Canaries a été réactivée au milieu de l’hiver
Le nombre de personnes arrivées par bateau en janvier est désormais proche de 2 700.
59 petits bateaux ont atteint les îles au cours d’un mois de janvier inhabituellement actif. Au cours de l’année 2021, l’arrivée de migrants aux îles Canaries par la mer avait diminué de 4,1 %, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, pour atteindre un total de 22 316 personnes. Cependant, au cours des deux derniers mois de l’année dernière, les forces de sécurité ont déjà constaté une accélération des arrivées : 3 039 en novembre et 2 451 en décembre. En janvier, le rythme des arrivées reste similaire : 2 674 arrivées jusqu’au 28, selon les données fournies par la délégation du gouvernement aux Canaries. Pendant tout le mois de janvier 2020, l’entrée de 2 077 personnes avait été enregistrée. “Nous subissons un trafic intense”, indiquent des sources proches du gouvernement des îles Canaries.
Entre samedi et lundi, 623 personnes sont arrivées aux Canaries à bord d’embarcations de fortune. Au total, depuis le début de l’année, plus de 2 000 migrants ont rejoint l’archipel espagnol.
Les sauveteurs espagnols opérant au large des Canaries ont été débordés ce week-end. En seulement trois jours, ils ont porté assistance à 623 migrants en détresse dans l’Atlantique.
Lundi 24 janvier, au moins 150 personnes, réparties dans quatre embarcations, ont débarqué dans l’archipel, selon l’agence de presse EFE. Parmi les rescapés se trouvent cinq mineurs et 23 femmes.
Près de 300 arrivées pour la seule journée de samedi
#Migración | 445 personas han sido rescatadas por Salvamento Marítimo este fin de semana en #Canarias
La veille déjà, 178 exilés, à bord de quatre canots, avaient été secourus par les autorités espagnoles. Dans le détail, ce sont 28 hommes originaires du Maghreb qui ont été pris en charge par les services de secours vers 4h du matin dimanche et emmenés à Grande Canarie.
Une heure plus tard, 47 personnes d’Afrique subsaharienne, dont 14 femmes, ont été déposées sur l’île de Lanzarote. Dans l’après-midi, un autre groupe de 52 migrants subsahariens a été aperçu au sud-est de Lanzarote par un voilier. Ils ont été secourus quelques heures plus tard par les sauveteurs espagnols. Enfin, les autorités ont porté assistance à 51 exilés, parmi lesquels deux enfants et 26 femmes dont deux enceintes. Ils ont été déposés dans la soirée à Grande Canarie.
La journée de samedi a été la plus dense avec l’arrivée dans l’archipel de 295 personnes, venues du Maghreb et d’Afrique subsaharienne, qui avaient pris place dans six petits bateaux. Les occupants ont été débarqués sur l’île de Grande Canarie et de Lanzarote.