La chanson du jour, Harlem Shuffle – Rolling Stones *

Reprise du légendaire morceau “Harlem Shuffle” de Bob and Earl par les Rolling Stones. Un must, un standard de 1966. La reprise des Rolling Stones date de 1986. Titre incontournable que vous devez avoir dans votre playlist. Une superbe chanson pour ce premier week-end de déconfinement.

Mort annoncée : nos bac+10 fuient la France, les bac-10 affluent

Articles : Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Le tsunami migratoire repart et l’Europe est plus impuissante que jamais.

Après l’accalmie due à la crise du Covid qui avait tari les flux migratoires en 2020, les beaux jours relancent la course à l’Eldorado européen, bien connu pour ses frontières passoires et ses valeurs humanistes qui interdisent toute expulsion.

Les vagues d’immigrés affluent de toutes parts, alors que l’UE se révèle incapable de protéger ses frontières après plus de cinq années de palabres stériles depuis 2015 ! L’UE n’est qu’un fléau mortel.

On en est encore à entendre des discours éculés vieux de 40 ans. “Aider l’Afrique pour y fixer les populations”.

Discours éminemment stupide tenu par les dirigeants de l’UE, qui n’ont jamais mis les pieds en Afrique et qui n’ont toujours pas compris que ce continent corrompu jusqu’à la moëlle n’a aucune chance de monter un jour dans le train du progrès.

Quand tout un continent, avec 1,2 milliard d’habitants, produit moins de richesses que la France avec ses 67 millions de citoyens, on voit mal en quoi l’aide de l’UE pourrait changer la donne.

Les 3/4 de l’aide internationale sont engloutis dans les guerres incessantes. Et le quart restant part en Suisse vers les comptes numérotés des dirigeants en place. Et cela n’a rien d’une caricature. C’est une réalité.

Le vice-président de la Commission européenne, le Grec Margaritis Shinas, déclare : “On ne peut protéger le mode de vie européen sans protection des frontières de l’UE”.

Mais que fait l’Europe ? Rien ! On attend depuis des années son pavé de 1 000 pages censé traiter le problème des flux migratoires. Son “Pacte pour la migration et l’asile”, qui n’accouchera pas d’une “solution” avant des mois. D’ailleurs personne n’est d’accord sur rien.

Quand on veut chausser 27 personnes avec la même pointure, c’est mission impossible.

Les pays de premier accueil, Italie, Espagne, Grèce, Malte et Chypre, veulent répartir le fardeau entre les 27.

Les pays de seconde zone, France, Allemagne, Belgique, Pays-Bas etc. souhaitent au contraire que les demandes de visas soient examinées en amont, donc dans les pays d’accueil.

Quant aux pays du groupe Visegrad, Hongrie, Pologne, Tchéquie et Slovaquie, le V4, ils ne veulent tout simplement pas d’immigration ! Ce sont les seuls pays conscients du chaos racial et interconfessionnel à venir.

On nous annonce un budget de 6 milliards pour Frontex, 10 000 garde-côtes, des hélicoptères et des navires. Mais 6 milliards, c’est ce que donne l’UE  à Erdogan pour garder chez lui les 3 millions de réfugiés syriens.

10 000 garde-côtes à l’horizon 2027 ? Mais de qui se moque-t-on ? C’est la moitié des effectifs que les États-Unis consacrent à la surveillance de leurs frontières, qui sont 2,5 fois moins longues que celles de l’UE. ( Figaro )

Tous les discours des dirigeants politiques français sont mensongers. À ce jour, le droit européen, éminemment laxiste et tolérant, prévaut sur le droit national.

Quelles que soient les promesses de campagne pour un durcissement des règles d’admission des migrants, celles-ci se briseront sur les règles de l’UE.

Il n’y aura JAMAIS de moratoire sur l’immigration, sauf à sortir de l’UE ou à rejoindre le groupe Visegrad ! Ce que Macron, missionné pour détruire le pays, ne fera jamais.

Il faut donc s’attendre à une poursuite de l’effondrement économique, sécuritaire et identitaire du pays, avec au bout du chemin une désintégration de la nation, dont nul ne peut mesurer les conséquences, qui de toutes façons, ne peuvent qu’être dramatiques pour les générations futures.

En attendant, le “tsunami printemps-été” devrait satisfaire les ONG et les immigrationnistes de tout poil. Depuis le 1er janvier 2021, c’est l’assaut général.

900 000 migrants sont parqués dans les camps libyens avant de se lancer dans la traversée de la Méditerranée.

8 000 migrants sont arrivés dans l’enclave espagnole de Ceuta, au Maroc

4 500 sont arrivés aux îles Canaries (+ 139 % par rapport à 2020)

11 600 sont arrivés de Méditerranée centrale (+ 157 %)

11 600 sont arrivés par les frontières de l’Est (+ 93 %)

Une seule source s’est tarie, celle venue de Méditerranée orientale (- 58 %).

En 2020, donc en pleine crise sanitaire, la France a délivré 220 000 visas longue durée. 

75 000 au titre du regroupement familial, 72 000 visas étudiants, 32 000 pour des critères humanitaires, 27 000 au titre de l’immigration économique et 14 000 “divers”.

On le voit, pas question pour Macron de lever le pied, alors que le pays s’effondre, écrasé par une dette de 3 000 milliards et menacé d’embrasement avec une immigration qui refuse de plus en plus de s’intégrer.

La tribune des généraux ? Déjà enterrée. Comme toutes les vérités qui dérangent, elle a été mise sous le tapis.

Pas de vague, surtout pas d’émeutes qui pourraient dégénérer avant mai 2022. Et une fois le fossoyeur de la nation réélu, tout pourra s’effondrer.

Le bilan est de plus en plus alarmant :

“Dans des chiffres inédits publiés mercredi 7 avril, l’Insee avance qu’en 2017, “44 % de la hausse de la population provient des immigrés”et que cet apport s’est beaucoup renforcé ces dernières années. L’immigration ne représentait que 26 % de la hausse en 2006. Autrement dit, désormais, l’apport migratoire fait quasiment jeu égal avec le solde naturel, c’est-à-dire l’excédent de naissances par rapport aux décès. Une situation jugée impensable il y a encore dix ans.”

En fait l’Insee ment. Car sur les 500 000 immigrés qui arrivent chaque année, légaux et clandestins, une infime minorité est expulsée.

Le solde migratoire en 2020 est au moins 4 fois plus élevé que le solde naturel des naissances qui s’est effondré, autour de 85 000.

Mais inversement, selon l’Insee, “150 000 personnes nées en France ont quitté le pays chaque année entre 2014 et 2016 et depuis 2006, le pays perd en moyenne 110 000 jeunes de 19 à 29 ans chaque année, qui partent à l’étranger et ne reviennent pas ensuite”.

https://www.la-croix.com/France/En-France-hausse-population-grande-partie-due-limmigration-2021-04-07-1201149798

Cela signifie que l’avenir fait peur à nos jeunes diplômés.

Cela signifie que nous accueillons des milliers de bac-10 pour laisser partir des milliers de bac+10.

Cela signifie que le mondialisme et le multiculturalisme sont destructeurs de richesses.

Ce ne sont pas des légions de médecins et d’ingénieurs que nous accueillons, mais en majorité des déshérités illettrés.

Et j’invite les grincheux qui voudraient contester cette réalité à lire le paragraphe ci-dessous, relatif aux 750 millions d’analphabètes dans le monde. Car c’est de ces pays que provient l’essentiel de notre immigration !

“20 pays ont le triste honneur de compter plus de 50 % d’analphabètes dans leur population : l’Afghanistan, le Bénin, le Burkina Faso, la Centrafrique, le Tchad, les Comores, la Côte d’Ivoire, l’Éthiopie, la Gambie, la Guinée-Bissau, Haïti, l’Irak, le Liberia, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, la Sierra Leone et le Sud Soudan.”

Aucun pays moderne au monde ne peut survivre à un tel cataclysme démographique.

La France s’autodétruit et les élites applaudissent.

L’immigration extra-européenne de masse, c’est la mort de la France. Que chaque citoyen en soit conscient dans l’isoloir en 2022 !

Jacques Guillemain, dans Riposte Laïque

Macron aux sans-papiers : « Vous avez des devoirs avant d’avoir des droits »

Articles : Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

Rutube.fr : A n’y rien comprendre. Imaginez qu’un individu entre dans votre appartement de façon illégale. Qu’allez-vous lui dire ? Qu’avant de pouvoir se servir un bon whisky sur votre canapé il doit aussi penser à faire la vaisselle ? Pour moi son premier devoir c’est de quitter mon appartement et c’est tout !

En marge de son déplacement à Nevers (Nièvre) vendredi, pour promouvoir la réouverture des lieux culturels et donner le coup d’envoi d’un «Pass culturel» pour les jeunes, Emmanuel Macron a été interpellé sur le sort des sans-papiers.

«On n’arrive pas en disant ‘on doit être considéré, on a des droits’. On a une culture d’accueil et les choses se passeront bien si chacun fait son devoir, et dit ‘je respecte les règles, j’essaie de m’intégrer, j’apprends la langue’», a affirmé le chef de l’État.

«Les choses ne sont pas données. J’ai été pris à partie à plusieurs reprises. La France prend sa part dans l’immigration qu’il y a aujourd’hui, nous continuerons de le faire. On va continuer à investir pour héberger et former mais il faut aussi que celles et ceux qui arrivent sur notre sol prennent leur part de devoirs pour faire l’effort sur la langue, pour faire l’effort pour les formations et ensuite pour avoir un travail, c’est la clé», a-t-il ajouté. «À ce moment-là, on arrivera collectivement à pacifier les choses, sinon, tous les esprits s’embrasent», a poursuivi Emmanuel Macron.

«Nous sommes un pays généreux mais on doit respecter les règles, on ne peut pas donner des papiers à tout le monde», a souligné le président français. . […]

Le Figaro

Algérie : après les violentes agressions et le viol de neuf institutrices, des dizaines d’enseignantes terrorisées fuient Bordj Badji Mokhtar

Articles : Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021Jan.2021

La famille de l’éducation ne décolère à Bordj Badji Mokhtar, une commune située à la frontière du Mali, à 2200 kilomètres au sud d’Alger. Aujourd’hui, cinquante sept enseignantes, tout cycle confondu, ont quitté la ville par avion, trente huit autres ont pris le risque de faire le voyage par route, jusqu’à Adrar (770 km en grande partie en piste), dans des camions, et vingt autres sont parti mercredi dernier, fuyant le climat de terreur, qui règne depuis l’agression menée en pleine nuit, contre neuf institutrices à l’intérieur de l’école N°10 de Bordj Badji Mokhtar, où elles enseignent.

Tous les syndicats de l’éducation ont décidé d’arrêter les cours dans tous les établissements de la wilaya d’Adrar et de Bordj Badji Mokhtar, et d’organiser des rassemblements de protestation tous les jours de la semaine, jusqu’à ce que le ministre de l’éducation se déplace sur les lieux. Dans le cas échéant, ils annoncent le boycott de tous les examens. […]

Ces femmes n’arrivent plus à supporter les menaces dont elles font l’objet depuis prés de trois ans sans que les autorités ne daignent prendre les mesures nécessaires. Durant ces trois dernières années, les agressions, les attaques, les vols et les intimidations ciblant les enseignantes et à un degré moindre leurs collègues hommes, sont devenus légion. […]

«Ces institutrices ont vécu l’horreur et cet horreur n’est pas encore terminé. Elles continuent à recevoir des menaces et de représailles parce qu’elles ont reconnu et identifié, deux de leurs agresseurs devant les gendarmes. Elles font l’objet d’une campagne de dénigrement et de haine sur les réseaux sociaux, depuis qu’elles ont parlé des tortures et des violences qu’elles ont subies. […] », affirme Halima. Elle n’est pas la seule. […]

Témoignage de Halima Ahssini, chargée de la commission femme au Syndicat national des travailleurs de l’éducation pour la wilaya d’Adra.

[…] N’osait-elle pas parler des violences sexuelles qu’elles ont du subir ?

Elles n’arrivaient pas à en parler. J’ai insisté et elle a fini par me lancer : « crois tu qu’un voleur resterait deux heures à tourner en rond ? Ils nous ont alignées et prenaient à chaque fois une d’entre nous seule vers la chambre. Ils ne sont pas venus pour voler ». Puis elle a éclaté en sanglot. Elle n’arrivait plus à parler. La petite fille de 18 mois, qui était avec sa mère hospitalisée, n’arrêtait pas de pleurer. L’une d’entre elles a tenté de repoussé violement de la main, son agresseur, elle a reçu un coup de couteau dans la main. Elle ne pouvait même pas crier de peur, que le deuxième qui tenait le bébé, fasse du mal à ce dernier. On ne sort pas indemne d’une telle tragédie. […]

Les agresseurs ne sont pas étrangers à la ville. Ils sont connus des services de sécurité. Ce sont des récidivistes et n’ont jamais été inquiétés. Ils n’ont été appréhendés qu’en fin de journée. De telles agressions sont légions à Bordj Badji Mokhtar. […]

El Watan