Articles : Août 2020 – juillet 2020 – juin 2020 – mai 2020
Extrait tiré de l’émission “BFM Story” du 13 Août 2020.
La mairie de Paris se fiche de la biodiversité du bois de Vincennes : place aux soirées clandestines
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Boulevard Voltaire
Ces écologistes-là n’ont rien à voir avec ceux qui se préoccupent et s’occupent avec foi de la préservation de la nature. La preuve par la mairie de Paris.
Dépassée, la mairie, face à la multiplication des free parties (comprendre rave-parties, ou fêtes clandestines) depuis la fin de confinement. Ne pouvant aller en boîte de nuit, puisqu’elles sont toujours fermées pour cause de Covid-19, des milliers de « teufeurs » qui n’attendent qu’elles toute l’année s’arrogent donc, sans vergogne, l’occupation de terrains privés, souvent des pâtures sur lesquelles les bêtes n’auront plus rien à brouter, ou celle d’espaces publics.
Public, c’est le bois de Vincennes, depuis 1860 propriété de la ville de Paris. Laquelle le qualifie, sur son site, de « réservoir de la biodiversité parisienne ». Un bois de 995 hectares « abritant des espèces patrimoniales présentes depuis des millénaires ». Une diversité forestière avec ses milliers d’arbres différents qui représentent le gîte et le couvert indispensables pour des milliers d’oiseaux ou un lieu de passage pour ceux, migrateurs ; ses prairies, ses plans d’eau, ses cinq cents espèces de plantes sauvages, ses animaux de la forêt avec ses mammifères, ses reptiles, ses insectes.
Bref, un merveilleux poumon vert en ville, un paradis pour amoureux de la nature. Mais pour l’adjoint d’Anne Hidalgo, « si on peut rassembler 12.000 personnes au Puy du Fou, pourquoi ne pourrait-on pas rassembler 2.000 personnes dans le bois de Vincennes ? » Sauf qu’au Puy du Fou, pas besoin de sectionner des barbelés pour y entrer, et d’un, et de deux, on doute fort, eu égard au profil des visiteurs, qu’alcool et drogues y circulent à flots… Passons.
Que faire, alors, face à ce bois pris d’assaut par des milliers de raveurs ? Les faire décamper sans autre forme de procès ? Vous n’y pensez pas ! Car « une politique de répression pure et simple n’aurait pas de sens et pourrait même empirer (sic) la situation », explique, benoîtement, l’adjoint vert Frédéric Hocquard. Sûr que quelques policiers face à des milliers d’indélicats peut-être prêts à en découdre, ça se discute pas… Et puis, de quoi auraient-ils l’air, je vous le demande, ces élus écolos, s’ils se mettaient à réprimer de jeunes fêtards, souvent autoproclamés écolos, souvent adeptes de la fumette ? D’ailleurs, d’après cet élu, une free-party, c’est l’endroit idéal pour faire… de la prévention, rapporte BFM TV ! Sur l’alcool, les drogues, les MST, tout ça, tout ça…
Donc, répression, pas question. Autre raison, à donner l’autorisation de ces free-parties en ce territoire à protéger, riche en biodiversité ? Paraît que c’est une question de droit. « Il est impératif de faire respecter l’égalité des citoyens devant le droit. » Du droit à « permettre aux gens de s’amuser malgré tout (en dépit du virus), en s’adaptant à chaque situation et en aidant les collectifs organisateurs ».
Autrement dit, raveurs des champs ou raveurs des villes = égalité des droits ! Ce qu’on laisse faire en Lozère, on doit le permettre à Vincennes ! De toute façon, « la police a autre chose à faire que de courir après des jeunes » en plein milieu du bois, argumente, encore, l’adjoint Hocquard. Le rôle de la police, c’est bien connu, n’est pas de traquer les illégalités.
Mais alors, les prairies du bois de Vincennes ravagées, jonchées de canettes, de papiers gras, de mégots et autres délicieux déchets, des dommages sans intérêt pour la mairie de Paris ? Et les petits oisillons blottis dans leur nid, ils n’ont qu’à mettre des boules Quies, peut-être ? Décidément, les écologistes et ceux de la mairie de Paris ont une drôle de conception de la cause qu’ils prétendent défendre ! Avec l’exemple du bois de Vincennes devenu repaire de rave-parties, paris.fr devrait vraiment corriger son site : Bois de Vincennes, réservoir riche de fêtards parisiens !
À Palavas : « C’est devenu infernal et invivable, on est prêt à défendre notre village bec et ongles »
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À la suite de la manifestation citoyenne qui a réuni, vendredi dernier, des Palavasiens dénonçant l’insécurité grandissante, Boulevard Voltaire a rencontré Jean-Michel Mostacci, le cofondateur du groupe « Tout n’est pas permis à Palavas ».
Il fait part de sa colère face à l’ensauvagement quotidien que subit son village de Palavas-les-Flots, depuis le début de la saison estivale : rodéos urbains, insultes, agressions de la part de jeunes « des cités » qui agissent « en toute impunité » et « emmerdent tout le monde ».
Fin juin, nous nous sommes réunis à une petite dizaine de personnes. Nous avons créé un groupe qui s’appelle « Tout n’est pas permis à Palavas ! ».
En cinq semaines, ce groupe a réuni exclusivement 850 Palavasiens puisque le groupe est privé et ne s’adresse qu’aux Palavasiens. Nous avons décidé de monter des petites actions comme des petites manifestations et apporter notre soutien à notre police municipale et à notre gendarmerie, pour qu’elles puissent obtenir des renforts en cours de saison. Nous voyons ces délits exploser. On avait besoin de remonter les informations au niveau du préfet pour qu’il mette vraiment le paquet sur les renforts de gendarmerie et de police.
Palavas-les-Flots est un village au sud de Montpellier. C’est la plage de Montpellier. 6000 habitants y vivent toute l’année et on peut passer jusqu’à 100 000 habitants en pleine saison. Du moment que ces personnes nous respectent, elles sont vraiment les bien venues. En revanche, si elles ne nous respectent pas, la donne peut très rapidement changer. Je ne voudrais pas que les Palavasiens en viennent aux émeutes ou aux guérillas urbaines, comme ce qui s’est passé ce week-end en Belgique. Nous essayons d’éviter cela, mais jusque quand allons nous pouvoir l’éviter ?
Le profil est celui des cités parisiennes, lyonnaises, peu importe. Ce sont de gens qui viennent en vacances en toute impunité. Je ne vais pas vous faire un dessin de ces personnes-là. Tout le monde a bien compris. Ce sont les mêmes qui pratiquent l’ensauvagement dans leur ville et qui viennent le pratiquer ici. L’État abandonne la police. Et quand on laisse faire, tout est permis. Par conséquent, on vient et on fait les cons puisque personne ne leur dira rien. Voilà un peu le profil des personnes en question.
En début de saison, un gamin de 14 ans a pris un coup de couteau à la fête foraine. Un ancien professeur de tennis de Palavas s’est pris des coups de barre de fer, alors qu’il essayait de protéger sa compagne en mettant sa moto dans son garage. Tous les soirs, des accélérations de voiture ont lieu.
Certains individus consomment du protoxyde d’azote. Ils laissent les capsules et les bonbonnes à même le canal et dans les rues. On mange et on consomme sur la plage, on laisse tout et on s’en va.
Les Palavasiens sont en insécurité et intimidés, les femmes se font insulter. Certains mots font mal, notamment « sale pute », « tu dois être revêtue », « tu ne peux pas t’habiller comme cela ».
Des personnes de notre collectif ont été agressées verbalement. Les femmes ont peur et ne sortent plus. Les Palavasiennes restent chez elles le soir. Nous n’envoyons plus nos gamins acheter le pain. Tout cela est fini de peur qu’il se passe quelque chose ou qu’ils se fassent voler leur portable ou autre.
Tout ce que l’on vit à Palavas c’est une insécurité grandissante depuis le mois de juin. C’est invivable pour nous. Les Palavasiens sont prêts à défendre leur village coûte que coûte avec l’aide de la police, de notre maire et de l’État. Je serais prêt à réunir encore plus de Palavasiens et à donner de mon temps. Je serais prêt à être l’émissaire avec mon équipe pour pouvoir porter la parole du citoyen. Je serais prêt à défendre bec et ongle mon village s’il le fallait à un moment ou à un autre.
Beaucoup de gens veulent monter une milice à Palavas. Le but de notre groupe est d’empêcher cela. Nous voulons respecter la loi et éviter de dégrader notre village et notre image. Je ne vous cache pas que c’est pour éviter que des personnes solvables qui travaillent tous les jours puissent commettre un impair et être jugées à cause de cet impair, alors qu’elles sont les premières victimes.
S’il se passait quelque chose aujourd’hui à Palavas, ce serait presque considéré comme de la légitime défense pour défendre nos droits.
Le Pr Toussaint explose le comité scientifique dans une nouvelle interview” sur YouTube
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Le Professeur Jean-François Toussaint, après son interview censurée sur LCI est revenue à la charge dans une nouvelle interview sur Radio classique et a littéralement incendié le Conseil scientifique mis en place par Macron. Vous allez voir, le professeur Toussaint y va avec son franc parler et ça décoiffe sur la gestion de la crise sanitaire du coronavirus.
La chanson du jour, The One I Love – R.E.M.
Les années ont passé et pourtant on aime toujours autant cette chanson. R.E.M. quel groupe ! On aura l’occasion de proposer d’autres morceaux de ce groupe.
Ces humanitaires veulent nous interdire de montrer les crimes islamistes
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8 morts au Niger : ils défendent les musulmans et attaquent les Identitaires
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