Aphatie, le prototype du minable de plateau !

Publié le 13 décembre 2019 – par Alain Lussay (RL)

Si Aphatie a osé dire sur le plateau de Canal+ que « Zemmour est l’archétype de la violence… c’est un cochon de la pensée », je m’autorise à penser que ce minable de plateau est le prototype de raclure de caniveau.

Mais, pour respecter les formes de la bienséance, je m’en tiendrai à dire que c’est un crétin de la « rien-pensance ».
Car Aphatie est un type tellement imbu de sa personne et de sa déontologie qu’il ne peut « débattre avec n’importe qui… en dehors de ce qu’est le champ acceptable du débat ».

Alors débattre avec Zemmour, Aphatie est catégorique « je n’ai pas envie, merde ! »
Comprendre : pas envie de me prendre une taule !
Ce qui accrédite l’idée que Aphatie est un trou-du-cul de la « rien-pensance ».

Ce qui avait déjà été confirmé par ses assertions délirantes sur le plateau de Public Sénat où Aphatie affirmait :
« savez-vous ce que je ferais, si j’étais président de la République ? Je raserais le château de Versailles, afin que nous n’allions pas là-bas, en pèlerinage, cultiver la grandeur de la France ».

Mais quand Aphatie traite Zemmour de « cochon de la pensée », on pourrait y voir aussi le message « subliminal » de son islamo-prosternation.
En référence au verset 60 de la sourate 5 : « ceux qu’Allah a maudits, ceux qui ont encouru sa colère, ceux dont il a fait des singes et des porcs, ceux qui sont le plus égarés de son chemin ».
Ou un appel à fatwa ? Mais Aphatie n’a pas lu le Coran.

Et on se souvient qu’après la tuerie perpétrée à la préfecture de police de Paris par un fonctionnaire de confession musulmane, Aphatie avait tweeté : « Intégrer l’islam à la République est une nécessité. Cela doit nous conduire à réformer profondément la loi de 1905 ».

Ce qui démontre une nouvelle fois qu’Aphatie est un rien-pensant minable à côté de la plaque.
Incapable de voir ni de comprendre que c’est l’islam au cœur de l’État, au Saint des saints de la préfecture de police qui est la cause du problème.
Malgré la succession terrifiante d’attentats commis au jour le jour au nom d’Allah.

Car Aphatie a horreur de l’islamophobie puisqu’il n’a pas lu le Coran.
Comme toute l’indigente islamo-collabosphère qui croit que l’islam, cette théocratie totalitaire qui veut nous soumettre à la charia, est compatible avec les valeurs de la République.

Mais ne désespérons pas d’Aphatie, ce fossoyeur de la Nation et de son histoire.
Le moment n’est pas loin où Aphatie, en déséquilibré coranisé, pourrait proclamer à qui veut l’entendre :

« savez-vous ce que je ferais, si j’étais président de la République ?
J’irais en pèlerinage à la Mecque, cultiver la grandeur d’Allah ».

C’est ainsi qu’Aphatie serait grand !

Fraudes algériennes contre la Sécu : nos dirigeants savaient, depuis 10 ans

Publié le 14 décembre 2019 – par Manuel Gomez (RL)

Nous vous avions tenu informer, dans notre article sur Riposte Laïque publié le 6 décembre 2019, et bien d’autres auparavant, mais pour certains « ces milliards fraudés à notre Sécurité Sociale c’était du « pipeau », des « Fakes News ». 

Il était impensable que l’administration de la Sécurité Sociale paie des pensions à des retraités, à des pensionnaires, morts depuis de nombreuses années.

Tous les comptes publiés officiellement ne pouvaient être que de fausses rumeurs diffusées dans l’objectif de stigmatiser l’immigration et son coût, contesté toujours par ces « certains » qui n’hésitent pas à « prouver » que l’immigration est une chance pour notre pays et « qu’elle rapporte bien davantage qu’elle ne coûte ».

Rolande Ruellan, ancienne présidente de la 6e chambre de la Cour des Comptes, avait débusqué cette « magouille » dès 2010 et, lors d’une audition devant la commission des affaires sociales de l’Assemblée Nationale, elle s’était étonnée de la « longévité de ressortissants algériens bénéficiant d’une retraite française en Algérie ».

Elle demandait qu’on lui explique par quel miracle le « nombre de pensionnaires algériens centenaires enregistrés dans nos caisses de retraite était supérieur à celui des centenaires recensés par les services de statistiques algériens ? ».

En 2017, cette même 6e chambre de la Cour des Comptes rendait publique une enquête qui confirmait les propos de son ex présidente.

Les magistrats confirmaient l’existence de nombreux retraités d’un âge dépassant les 115 ans, non seulement en Algérie mais également dans d’autres pays, signalant ainsi les incohérences et les faiblesses des contrôles diligentés.

Comme nous en avons informé tout récemment, l’enquête « Goulet-Grandjean » révélait que 1,25 million de retraités de la « Sécu » vivaient à l’étranger, dont près de 40% au Maghreb, et que les prestations versées chaque année atteignaient les 7 milliards d’euros.

La députée « Les Républicains », Valérie Boyer, s’est emparée de cette mission.

Les responsables de la CNAV (Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse) ont donc réalisé des tests sur certains dossiers où il y avait « suspicions de fraude ».

Le premier de ces tests a entraîné la suspension de 30 versements sur une centaine seulement d’assurances contrôlées, et le second test a donné des résultats quasi identiques.

Les pouvoirs publics français avaient été avertis de ces pratiques frauduleuses au moins depuis 2009, mais qu’importe !

La Société « Excellium », spécialisée dans la lutte contre la fraude pour le compte des assurances et des organismes de retraite complémentaire, vient d’achever une mission en Afrique du Nord, notamment en Algérie.

Les résultats ont été communiqués aux parlementaires : sur les 200 premiers dossiers suspects, 49 retraités seulement ont été retrouvés « vivants », et cela malgré les nombreux « bâtons mis dans les roues » par les administrations locales.

« Il a fallu se battre pour obtenir les informations » a confié le président d’Excellium, Pierre-Alexandre Rocoffort de Vinnière.

Parmi les « morts-vivants » découverts, nombreux étaient décédés depuis plusieurs années mais, pour la famille et les proches interrogés « ils ne sont morts que depuis moins de trois mois, ou de mort subite ».

Malgré la mise à jour de ces « magouilles », des ces fraudes, les veuves ont pu tout de même obtenir les versements des pensions de réversion, égales à la moitié du montant de la retraite fraudée.

Rien d’illégal, paraît-il, à ces pratiques, malgré des années de fraudes caractérisées et prouvées.

Ce qui est bien plus étonnant, bien que cela ne nous surprenne pas venant de nos administrations, c’est que justement « notre administration » a reconnu ouvertement « la polygamie » au titre de la sécurité sociale, notamment avec certains Etats.

Mais cela ne devrait pas peser trop lourd sur nos finances publiques puisque ces pensions de réversions uniques sont partagées entre les différentes femmes du conjoint décédé.

Par exemple, au Sénégal et au Mali, pays avec lesquels la France a signé de telles conventions sur la polygamie, les pensions de réversion sont deux fois moins nombreuses qu’au Maghreb.

Tous ces dysfonctionnements  et bien d’autres, ne sont pas toujours révélés car il n’y a pas d’échange d’état-civil avec ces pays.

Il devrait être impératif, comme le prévoit la loi Eckert pour les clients des banques et des assurances, d’exiger une preuve véritable « de vie » pour tous les retraités installés à l’étranger, tel que cela se pratique obligatoirement dans certains pays européens, l’Espagne par exemple.

Vers une France africaine : 20 % d’immigrés extra-européens, 30 % de naissances

Publié le 14 décembre 2019 – par Jacques Guillemain (RL)

« Il y en aura pour tout le monde », sauf pour les Gilets jaunes, moins bien lotis qu’un clandestin, notamment en matière de soins.

Les lecteurs les plus anciens se souviennent de ce discours de Jacques Chirac en 1991, dénonçant les méfaits de l’immigration extra-européenne. C’était l’époque où la droite avait encore le courage de parler vrai, donc bien avant que l’Union européenne ne prenne les commandes du bateau France et nous impose une immigration de masse que les peuples européens ne veulent plus.

Un discours qui fit grand bruit, notamment à cause du terme « odeur », lequel concernait les odeurs de cuisine envahissantes, mais que la gauche immigrationniste s’empressa de juger raciste.

Dès la signature du Traité de Maastricht en 1992, la France dut se soumettre aux règles d’immigration européennes, perdant ainsi sa souveraineté territoriale. Et la droite, qui parlait comme le Front National, osant affirmer que l’islam était incompatible avec nos lois républicaines, retourna promptement sa veste pour s’approprier le discours immigrationniste de Bruxelles.

La France venait de perdre son indépendance et de semer les germes du Grand Remplacement.

En 2019, non seulement il nous est interdit de supprimer le regroupement familial, mais la Cour de justice européenne peut nous interdire d’expulser un criminel étranger, en prétextant qu’il serait en danger dans son pays. Nous subissons la dictature bruxelloise sans aucun moyen de dire non à ses diktats. On comprend pourquoi les Britanniques ont dit non à l’UE…

Mais qu’avait donc dit Chirac de si odieux ? Voici ses paroles :

« Comment voulez-vous que le travailleur français, qui habite à la Goutte d’Or, où je me promenais avec Alain Juppé la semaine dernière, il y a trois ou quatre jours, et qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs par mois, et qui voient sur le palier, à côté de son HLM, entassée, une famille, avec un père de famille, trois ou quatre épouses et une vingtaine de gosses, et qui gagnent 50 000 francs de prestations sociales sans, naturellement, travailler… si vous ajoutez à cela le bruit et l’odeur, eh bien, le travailleur français sur le palier, il devient fou, il devient fou. C’est comme ça. Il faut le comprendre. Si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n’est pas être raciste que de dire cela. »

C’était il y a 30 ans. Inutile de dire que depuis 1991, ce sont des millions d’étrangers qui ont déferlé vers l’Eldorado social, ruinant le pays et conduisant à une dislocation de la nation, avec une immigration musulmane qui refuse de s’intégrer.

Souvenez-vous de Fanta Sangaré, le célèbre polygame de Bobigny, un Malien qui a cessé de travailler avec ses 4 femmes et 46 gamins, grâce aux juteuses prestations familiales très largement supérieures à son salaire de « technicien de surface ». Au Mali, il passe pour le modèle qui a réussi.

Chaque mois, il perçoit sans travailler,  l’équivalent de 6 années de PIB d’un Africain. (PIB/hab en Afrique : 1 700 euros par an).

La France est le premier  pays polygame d’Europe. Pas étonnant que toute l’Afrique accoure !

En 1995, l’Insee estimait le nombre de polygames à 10 000. En 2006, la CNCDH donnait le chiffre de 20 000. En 2009, un rapport sur la polygamie estimait que le nombre avait doublé, donc 40 000. On peut tabler sur 50 000 polygames en 2019 !! Un sujet plus que tabou… Coût ? Sans doute plus de 5 milliards/an.

On comprend donc pourquoi les caisses sont vides et pourquoi les Gilets jaunes tirent la langue. Nos 2 500 milliards de dettes, c’est en grande partie l’immigration.

On loge les clandestins à l’hôtel mais pas nos propres SDF.

Jean-Yves Le Gallou  vient  de chiffrer cette immigration de masse, démontrant une fois de plus la réalité du Grand Remplacement.

La grande question est de savoir si en 2022 les Français se résigneront à la disparition de leur pays, ou s’ils auront  le sursaut salutaire indispensable pour reprendre leur destinée en mains.

Les Britanniques viennent de leur montrer le chemin. Reconduire Macron, c’est signer définitivement pour la libanisation irréversible de la France, avec la guerre civile au bout du chemin. L’ex-premier flic de France savait de quoi il parlait en évoquant un face-à-face dans les cinq ans. Nos banlieues sont un volcan en ébullition.

Jean-Yves Le Gallou estime à 20 % la population d’origine extra-européenne et à 30 % le nombre de naissances d’origine immigrée. Son constat est sans appel :

« Sans arrêt rapide de toute immigration nouvelle en provenance du Maghreb, d’Afrique et d’Asie, les Français de souche européenne deviendront minoritaires sur la terre de leurs ancêtres. Il est temps de changer radicalement de politique et de paradigme. Il faut réaffirmer le droit des Français à la souveraineté, à l’identité et à la continuité historique. »

Cette vidéo rappelle l’ampleur du désastre que nous préparent Macron et les mondialistes.

Toulouse : la crèche vivante des enfants attaquée au cri de « Stop aux fachos! »

Affligeant. C’est aux cris de « Stop aux fachos », sans même se rendre compte que c’est ce qu’ils sont eux-mêmes, en ne respectant aucunement la liberté de pensée des autres, qu’une cinquantaine d’individus, a interrompu samedi, vers 16h la crèche vivante avec chœurs, qui devait se dérouler jusqu’à 18 heures, place Saint-Georges.

Regroupés sur les murettes entourant la place, vociférant et proférant insultes et cris à l’encontre « des flics, des fachos » revendiquant « nous, on est les anticapitalistes ». Effrayant les enfants qui jouaient dans la pastorale et jouant la provocation jusqu’à descendre sur la place en cherchant la confrontation. Ce qui a clos définitivement la représentation, prévue avec succession de chorales, jusqu’à 18h. Alors, les enfants sont descendus de l’estrade, trois chœurs prévus encore n’ont pas chanté. L’âne et les moutons sont repartis dans leur ferme. Et le public déçu, hochait la tête de dépit. Aussi triste que crétin. Quel intérêt de venir manifester là ?
[…]
La Dépêche

Le sport, foyer de radicalisation islamique

Publié le 13 décembre 2019 – par Marcus Graven (RL)

Un article du Canard Enchaîné, Radicalisation : le sport botte en touche, met en cause la ministre des Sports, la transparente Roxana Maracineanu, pour son peu d’empressement à faire remonter le rapport des députés Poulliac (LaREM) et Diard (LR). Après avoir reçu les deux députés, Édouard Philippe aurait passé un savon à l’ancienne nageuse (en eaux troubles ?).

Les deux hommes reprochent à la dame « de ne pas avoir pris toute la mesure de la gravité de la radicalisation dans le milieu sportif. La peur de remettre en cause les résultats ou la crainte d’interférer avec l’organisation de grands événements (comme les JO de Paris) expliquent sans doute en partie sinon une forme de déni, à tout le moins une tendance à minimiser le phénomène ».
Et la crainte d’être traitée d’islamophobe n’expliquerait-elle pas aussi ce comportement dangereux ?
Selon les services de police, une trentaine de sportifs de haut niveau seraient sous surveillance.

Le sport censé, pour les bonnes âmes, apporter éducation et intégration, est un des principaux lieux de la radicalisation islamique, un immense nid de vipères prêtes à mordre, des centaines de racailles sportives (surtout sports de combats, clubs de tir et foot) se musclant pour pouvoir hurler « Allahu akbar » au moment opportun.
L’an dernier, 829 cas de radicalisation ont été signalés dans les clubs français.
Et 2019 battra certainement ce beau record.

Les clubs sportifs sont les premiers foyers de radicalisation devant les associations pro-musulmanes et les mosquées.
Sur le site de BFM, on lit que l’an dernier à Lagny-sur-Marne, deux entraîneurs d’un club de football local ont été suspendus par la municipalité après la découverte de leur proximité avec les milieux islamistes radicaux.
« Natifs du quartier, les deux jeunes hommes, qui avaient progressivement gravi les échelons, étaient très écoutés par les jeunes joueurs sur lesquels ils exerçaient une grande influence. Or, tous deux étaient connus des services de renseignement, dont l’un pour une affaire de terrorisme. Ce sont des scènes de prières au beau milieu des terrains de foot qui ont mis la puce à l’oreille de la préfecture. »
Certains emmènent les jeunes à la mosquée à la place de l’entraînement. Avec l’aide d’Allah, podium assuré sous les applaudissements des 72 vierges ?

La région Île-de-France, qui comptait 18 % de sportifs radicalisés en 2017, semble particulièrement touchée.
Médéric Chapitaux, auteur du livre Le sport, une faille dans la sécurité de l’État (un cadeau de Noël pour Roxana Maracineanu !), explique dans une interview donnée au Point en mai 2019 : « Le sport devient une faille à cause de l’absence de compréhension des problèmes de sécurité par le ministère des Sports. (…) on retrouve le sport comme marqueur fort chez tous les auteurs d’attentat depuis 2012. On constate aussi une présence marquée des sports de combat et arts martiaux, qui sont une façon de se préparer physiquement au combat. Les sports comme le football et le futsal sont aussi concernés à cause de leur succès, notamment dans les milieux populaires, en particulier dans les quartiers dits sensibles, cela permet un recrutement plus large.
Pour tout le monde, le sport est censé apporter des solutions à tous les problèmes. Envisager que le sport soit aussi un lieu de déviance, c’est le placer aux antipodes de ses valeurs premières et reconnaître une forme d’échec. C’est difficile de faire bouger l’ordre établi. Dans ce domaine, chacun veut protéger son périmètre. Cela fait partie du fonctionnement très particulier de l’administration du ministère des Sports.
 »

Comment éviter de parler, dans un article sur le sport, d’Earvin Ngapeth, star de l’équipe de France de volley, surnommé le « Nicolas Anelka du volley ».

Il a été arrêté lundi à Belo Horizonte (Brésil) pour avoir mis une main aux fesses d’une jeune femme dans une salle de spectacles. Pour sa défense, ce charmant bambin a prétendu à un malentendu, il aurait confondu ces fesses-là avec d’autres fesses. Celles de son épouse peut-être ? Et il a tenu à préciser « qu’en France toucher les fesses d’une femme n’est ni une agression ni une offense ». J’espère que Marlène Schiappa en a pris note.

Earvin Ngapeth n’est pas un inconnu des tribunaux, même si ceux-ci font preuve d’une grande mansuétude quand cette chance pour l’équipe de France de volley passe devant les juges.
En 2010, alors âgé 19 ans, il a été débarqué de l’équipe de France en plein Mondial en Italie pour avoir insulté le sélectionneur de l’époque, Philippe Blain.
Pour une rixe dans une boîte de nuit en août 2013, il a été condamné à trois mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Montpellier. Puis relaxé.
En novembre 2015, en rentrant à 3 h 30 du matin d’un match de Ligue des champions, il a percuté trois piétons dans un virage près de Modène en Italie.
Il a été condamné en 2016 à trois mois de prison avec sursis pour avoir frappé un contrôleur SNCF qui refusait de différer le départ du train parce que les amis de Monsieur étaient en retard. Puis relaxé.
Au Brésil, il vient d’être libéré après versement d’une caution de 10 000 euros. Il est certainement en vol vers d’autres cieux. Plus cléments ?

Il serait peut-être temps de démissionner Roxana Maracineanu pour nommer une personne moins sensible aux charmes de la diversité et plus soucieuse de la sécurité des citoyens.
Faudra-t-il qu’une chance sportive massacre toute une équipe de France pour que le ministère des Sports prenne enfin conscience d’un problème islamique dans son domaine ?

Victoire totale de Boris Johnson : le 31 janvier 2020, Brexit !

Publié le 13 décembre 2019 – par Jacques Guillemain (RL)

Un succès pour les conservateurs britanniques aux législatives ? Non, un triomphe absolu, une victoire par KO pour Bojo, qui lamine littéralement l’opposition travailliste. Une claque sévère à tous les antidémocrates de tout poil, qui, à Bruxelles et en Grande-Bretagne, ont usé et abusé de toutes les bassesses et mensonges, pour confisquer au peuple son vote de 2016 en faveur du  Brexit.

Trois ans et demi de coups bas, de peaux de banane en tous genres, de machinations diaboliques, de déclarations apocalyptiques des dirigeants européens, promettant la ruine de la Grande-Bretagne en cas de Brexit.

Comment les leaders de l’Union européenne, Merkel et Macron en tête, ont-ils pu s’associer à une telle ignominie ? Comment les élus de la plus vieille démocratie du monde moderne ont-ils  pu, eux aussi, s’opposer à la volonté du peuple souverain ? Une ignominie. Seul Donald Trump a soutenu ouvertement Boris Johnson.

Mais Boris Johnson aura triomphé de tous les obstacles.

Il lui fallait 326 sièges pour obtenir la majorité absolue, il en obtient 364, au grand dam de ses opposants et des impérialistes de Bruxelles, pour lesquels les peuples européens ne sont que des sujets qu’il faut soumettre. Mais on ne soumet pas le peuple anglais. Le Labour obtient 203 sièges, les éternelles contorsions de Jeremy Corbyn ayant découragé bon nombre d’électeurs travaillistes.

C’est donc une immense victoire pour la démocratie.

Après trois années et demie de discussions avec l’UE, de guérilla parlementaire, de coups de théâtre, d’incertitudes multiples, de sondages contradictoires, de votes incessants ajoutant à l’imbroglio, la Grande-Bretagne sort enfin de l’instabilité politique et de l’impasse du Brexit. Celui-ci sera effectif le 31 janvier 2020.

Cette victoire éclatante de Boris Johnson est amplement méritée, car il n’a jamais renoncé malgré les obstacles mis sur sa route, y compris par son propre camp.

Affaibli par les désertions de certains des siens, il lui fallait regagner une large majorité, c’est fait…

Pourtant, tout aura été tenté pour annuler le référendum de 2016 et confisquer au peuple son « oui » au Brexit.

Les Remainers nous ont vendu la fable du peuple mal informé, voire irresponsable. Ils ont mobilisé la rue pour rejouer la partie et refaire un second référendum. Mais le « People’s vote » initiateur de cette entreprise s’est  crashé. Les donations de Georges Soros pour torpiller le Brexit n’auront servi à rien.

À la dernière minute, ce sont les grosses pointures de l’anti-Brexit qui ont tenté le « vote tactique ». John Major et Tony Blair ont incité les électeurs à voter dans leur circonscription, non pas pour le candidat de leur choix, mais pour le candidat le mieux placé pour battre le conservateur. Mauvaise pioche. On ne dicte pas aux électeurs un choix aussi crucial.

Au cours de ces trois années et demie, l’artillerie médiatique européenne, anti-Brexit à 99 %, aura déversé des torrents de mensonges et de faux sondages, annonçant le revirement de l’opinion britannique en faveur du Remain. Mais toute cette entreprise antidémocratique aura eu un effet contreproductif. Les électeurs se sont braqués et Jeremy Corbyn a perdu une partie de son électorat de gauche.

On aura même entendu un député travailliste déclarer sans honte, suite à l’enlisement parlementaire :

« Je ne pense pas que ce soit à 650 politiciens de décider pour 65 millions de personnes » !! Ce bon démocrate a simplement  oublié que le peuple souverain a choisi librement son destin en 2016…

De toutes façons, les Britanniques, épuisés par des années de palabres sans lendemain, ne voulaient pas d’un second référendum. 47 % y étant opposés contre 41 % y étant favorables.

La conclusion de tout cela est que le peuple britannique a perdu plus de trois années en palabres stériles, par la faute de l’UE et de ses propres élus.

Ce que personne ne dit et qui reste la cause première du Brexit, c’est que ce sont les questions d’immigration et d’insécurité qui ont été déterminantes pour le choix du peuple.

Sur les terres travaillistes, Jeremy Corbyn a perdu des légions d’électeurs, ne supportant plus les méfaits de l’immigration.

C’est la politique immigrationniste de l’UE qui est responsable du Brexit. Les Britanniques ont dit non au mondialisme et au multiculturalisme. Ils sont enfin maîtres chez eux !

La France va accueillir 400 migrants de Grèce « dans les prochains mois »

Pour soulager l’afflux massif de migrants en Grèce, la France a annoncé via son ambassadeur à Athènes, qu’elle accueillera prochainement 400 demandeurs d’asile

L’ambassadeur français à Athènes, Patrick Maisonnave a indiqué, jeudi 12 décembre, que la France allait accueillir « dans les prochains mois » 400 demandeurs d’asile « qui ont atteint le territoire grec »[…].

La Grèce est redevenue en 2019 la première porte d’entrée des migrants en Europe. Le flux migratoire maritime en provenance de Turquie reste le plus important de ces dernières années. Selon le Haut-commissariat des réfugiés (HCR) il y aurait eu plus de 55.000 arrivées en 2019. L’immigration via la frontière terrestre entre les deux pays est également en augmentation depuis 2018. Toujours selon le HCR, plus de 14.000 personnes ont emprunté ce second chemin, tout aussi périlleux, en 2019…

RTL

Législatives au Royaume-Uni: le camouflet des Britanniques aux médias occidentaux

Sources Sputnik

Voilà qui ne va pas arranger l’image des médias et des politiques en France. Alors que depuis trois ans, articles et reportages se succèdent sur ces Britanniques qui regretteraient massivement leur vote en faveur du Brexit, la victoire électorale écrasante des Conservateurs le 12 décembre vient démentir cette analyse mainstream. Piqure de rappel…

«Get Brexit done» («faisons le Brexit»), voilà qui pourrait être bientôt chose faite. Après trois ans d’imbroglios et de paralysies politiques, la victoire écrasante de Boris Johnson aux élections générales clarifie la situation, en offrant au Premier ministre britannique les coudées franches pour mener le Brexit à son terme.

Il faut dire que la victoire est loin d’être minime: alors que «BoJo» avait tout misé en provoquant ces Législatives anticipées, le Parti conservateur réalise son meilleur score depuis 1987, alors qu’il était mené par Margaret Thatcher. Les Tories obtiennent ainsi 364 des 650 sièges à la Chambre des communes, alors qu’en face le Parti travailliste subit l’une de ses plus importantes défaites, en perdant 59 de ses 262 sièges.

Face à Jeremy Corbyn dont la campagne ne décollait pas, Boris Johnson était donné «grand favori des élections. Si on en croit les sondages», nuançait-on toutefois dans la presse française jusqu’à la veille de l’élection, le JDD allant jusqu’à titrer sur une victoire «loin d’être assurée». Une presse tricolore qui se montrait particulièrement prudente quant à l’issue d’un scrutin que certains annonçaient sans surprise. Il est vrai qu’on avait connu nos confrères plus enthousiastes vis-à-vis des prévisions électorales, notamment, sur les chances de victoires d’Hillary Clinton aux Présidentielles américaines de 2016 ou encore du Remain lors du référendum britannique quelques mois auparavant. Notons néanmoins que le climat de cette campagne était parvenu à faire perdre ses repères au plus britannique de nos intervenants.

Il faut dire que par leurs enjeux, ces élections faisaient office de second référendum sur la question du Brexit. Or, pour nos confrères, depuis le lendemain du 23 juin 2016, il semblait acquis que –trompés– nos voisins d’outre-manche n’attendaient qu’une chose: revoter afin de rester dans l’Union européenne. «Les Britanniques regrettent déjà leur vote» lançait Europe1 au lendemain du vote. «Certains Britanniques ont voté “Leave” et le regrettent déjà», titrait Slate, un magazine en ligne américain, indiquant également dans un autre article que les Britanniques recherchaient massivement sur Internet, peu après le vote, «Que se passe-t-il en cas de Brexit?». «“C’était une énorme erreur”: pro-Brexit en 2016, ces Britanniques veulent désormais rester dans l’Union européenne», appuyait FranceInfo.

Une chose était sûre déjà avant le vote, le Brexit était annoncé comme une catastrophe économique par ses détracteurs. Un message massivement relayé, notamment dans une presse française qui «prend ses désirs pour des réalités», taclait à notre micro, avant le vote, François Asselineau, Président du parti prônant historiquement la sortie de la France l’UE. Il regrettait l’«intimidation générale» menée auprès de l’opinion tant au Royaume-Uni qu’en France. Ainsi, nous expliquait-on, le Brexit mènerait le pays à la récession, rendrait plus pauvres tous les Britanniques: le chiffre de la destruction de près d’un million d’emplois fut avancé.

Les personnalités de la sphère politico-médiatique ne furent pas en reste, à commencer par l’inénarrable Bernard-Henri Lévy. Bien avant le succès plus que mitigé de sa pièce pro-européenne «Looking for Europe» –dont la tournée fit l’objet d’un documentaire autobiographique en partie financé par l’argent public–, BHL prit la plume pour enjoindre les Britanniques, qui à ses yeux avaient «été abusés», à ne pas commettre l’«irréparable». Il leur enjoignait de réclamer un nouveau vote, car après tout «rien, juridiquement, ne s’y oppose» et qu’il en «allait de la vie et de la mort de la nation européenne». Celui-ci ira jusqu’à se rendre à Londres pour y tenir un monologue anti-Brexit de deux heures.

Les Britanniques, trompés, inconscients de ce qu’ils avaient pu voter et réclamant un nouveau vote? Ce leitmotiv fur repris jusqu’au sommet du FMI, dont l’ex-présidente, Christine Lagarde, récemment nommé à la tête de la Banque centrale européenne, lors d’une conférence en 2018 à Washington affirma qu’«il semble qu’il y ait davantage de Britanniques qui préféreraient rester plutôt que sortir de l’Union européenne.» Du côté sphère financière en tout cas, le résultat de ce vote du 12 décembre actant la sortie de crise du Brexit a été salué par les marchés.

Si l’élection algérienne est bidon, c’est la faute de la France…comme d’hab !

Publié le 12 décembre 2019 – par Jacques Guillemain (RL)

Ce 12 décembre 2019 se joue l’élection présidentielle algérienne, avec cinq candidats en lice, tous adoubés par l’armée qui tient les  véritables rênes du pouvoir. Les « indésirables » ont été rapidement mis hors jeu.

Depuis avril, date de l’éviction de Bouteflika par la rue, ce pays au bord de l’abîme n’a plus de Président, mais l’homme fort du régime est le général Ahmed Gaïd Salah, chef d’état-major depuis 2004, et qui entend garder la main sur cette élection.

Il n’y a pas de sondages en Algérie. Impossible, donc, de savoir quel candidat sortira des urnes, compte tenu du tripatouillage habituel des scrutins. En 2004, Bouteflika avait été réélu avec 85 % des suffrages ! Mais dans les hautes sphères galonnées, on connaît déjà le vainqueur…

Sur le papier, ce pays est une démocratie, mais dans les faits, c’est un régime mafieux et corrompu, resté aux mains du FLN et de l’armée depuis l’Indépendance.

On comprend donc que le peuple algérien juge cette présidentielle comme une mascarade et choisisse de boycotter le scrutin. Mais que cette élection soit une « parodie » ou une « forfaiture », l’Algérie  aura ce soir un nouveau Président. Depuis des mois, la contestation (le Hirak) est dans la rue.

Chez RL, on ne compte plus les articles qui ont dépeint le naufrage de l’Algérie en quatre décennies d’indépendance, par la faute de dirigeants aussi incompétents que corrompus, vivant uniquement de la rente pétrolière et gazière, après avoir dilapidé l’immense patrimoine légué par la France en 1962. Car on ne le dira jamais assez, la France a fait d’un désert un paradis.

C’est la France qui a créé l’Algérie et fait, d’une terre sauvage et hostile, un pays aussi moderne que l’Afrique du Sud en 1962. C’est la France qui a transformé les marécages en grenier à blé.

C’est la France qui a construit des villes, des ports, des aéroports, des routes, des voies ferrées, des écoles et universités, des hôpitaux, des usines, là où il n’y avait que le néant. Aucun autre pays colonisé n’a été autant privilégié que l’Algérie en termes d’investissements massifs  venus de métropole.

C’est la France qui a découvert et mis en valeur le pétrole et le gaz du Sahara, une richesse colossale qui représente l’essentiel des ressources du pays.

Cette œuvre civilisatrice admirable, qui a propulsé un pays moyenâgeux vers le monde moderne, c’est ce que notre Président inculte et irresponsable ose appeler un crime contre l’humanité ! Macron est encore plus anti-français que les Algériens !

Mais tout cet héritage est resté à l’abandon. Les nababs du FLN se sont comportés depuis quarante ans en rentiers oisifs, sans jamais développer leur pays. Et pour masquer leur incompétence et s’exonérer de leur responsabilité dans ce désastre absolu, le pouvoir algérien n’a pas cessé de culpabiliser la France coloniale. S’ils sont incompétents et corrompus, c’est la faute des Français.

Le résultat est que les 42 millions d’Algériens (ils étaient 8 millions en 1962)  se révoltent et n’ont aucune perspective d’avenir.

Entre 2002 et 2014, l’envolée des cours du baril a permis aux Algériens d’engranger 900 milliards de dollars de réserves. Mais l’économie étatisée ne tournant qu’à coups de subventions, il ne reste plus que 80 milliards de réserves, alors que l’Algérie importe chaque année pour 30 milliards de biens et services.

Cette descente aux enfers ne va pas s’arranger avec une explosion démographique ininterrompue. Cinq fois plus nombreux qu’en 1962, les Algériens courent à la catastrophe.

Toute la jeunesse rêve de venir en France. Quand le chaos et  la misère vont se généraliser, ce sera le rush sur la France, où vivent déjà trois millions d’Algériens, dont beaucoup crachent sur notre pays, comme on le constate au quotidien.

La bombe démographique algérienne aura des répercussions dramatiques sur la France, ce pays raciste mais si généreux avec ceux qui le haïssent…

Boris Johnson superstar : 3 ans après, les Anglais plébiscitent le Brexit !

Publié le 12 décembre 2019 – par Philippe Grimberg (RL)

Angleterre 10-Bruxelles 0 ! Boris Johnson  peut maintenant, fort de sa confortable majorité absolue, procéder au Brexit.

Depuis trois ans, les ennemis acharnés des nations européennes blanches et chrétiennes tentaient d’empêcher ce Brexit exigé par le peuple anglais véritable.

Les Anglais ne se sont pas laissé avoir comme les Français, qui avaient rejeté la Constitution européenne, laquelle avait finalement  été adoptée par nos politiciens, au mépris de la volonté du peuple théoriquement souverain.

Cette soirée magnifique est un vent d’espoir pour tous les peuples européens martyrisés par leur personnel politique, qui s’est donné pour mission la destruction de la civilisation occidentale, en génocidant les Européens de souche, avec la submersion migratoire islamisée, l’avortement massif des Blancs, l’euthanasie, la destruction des familles, la destruction des langues nationales, l’encouragement au suicide, la promotion, au sein des populations blanches, de toutes les pratiques mortifères possibles (drogues, déviations sexuelles stériles et dangereuses, la folie…) tout en dénigrant  les traditions cultuelles et culturelles ancestrales, le patriarcat, la fierté nationale, l’honneur, le devoir.

Mais le fighting spirit de l’Anglais éternel a terrassé les spectres nazislamisted’un parti travailliste prétendument défenseur des travailleurs.

L’esprit de Winston Churchill est descendu ce soir sur la vieille Angleterre, le combat sera encore rude, avec des larmes, de la sueur et du sang.

Puisse cette victoire incontestable du peuple anglais souverain inspirer les Français, pour que la France redevienne enfin la France !